Titre de l'histoire érotique : Retrouvailles avec ma prof - histoire érotique

Je suis un médecin fraichement promu, d’origine camerounaise, dans l’immédiat pour me ‘faire la main’ je me contente de remplacements, j’espère un jour travailler en hôpital
Aussi quelle joie lorsque j’ai reçu ma première proposition dans la ville ou j’ai passés mes examens, il s’agit d’un cabinet tenu par un docteur bientôt a la retraite, je pense que je vais me farcir toute les petits vieux du quartier !
Je suis plus ou moins apprécié par certains patients hommes, sans doute la couleur de ma peau ne leur inspire pas confiance ?
A l’inverse les femmes sont ravies de me montrer leur peau blanche ! Elles n’hésitent pas à ôter plus de vêtements que nécessaire, parfois je suis ravi, parfois je leur demande de vite se rhabiller !
Sur l’ordi le nom de me dernière patiente me rappelle quelqu’un… j’ai eu une prof du même nom et prénom Nadine V.
Qu’est-ce qu’elle était belle, je me souviens des cours de l’amphithéâtre, qu’elle avait de belle jambes et dans son décolleté trônait une poitrine d’enfer, lorsqu’elle s’apercevait que j’essayais de mater sous sa jupe elle me foudroyait de ses yeux magnifiques
Je suis perdu dans mes pensées, il faudrait songer à la faire entrer ! Et là stupéfaction, c’est bien elle, nous restons à nous dévisager un long moment

- Yannick ? Yannick S. ? Je n’en reviens pas ! Finalement vous avez réussi ?
- Avec beaucoup de peines et de persévérance, oui ! entrez madame V. asseyez vous
- Merci
- Que vous arrive-t-il ?
- Eh bien... finalement je ne suis plus sûre de rien …je vous connais trop …
- Je suis toubib ! expliquez-vous ?
- Je venais pour me faire conseiller pour un dépistage mammaire
- Je vois, vous voulez une lettre pour un spécialiste ?
- C’est tout à fait ça !
- Vous êtes vous palpée vous-même ? avez-vous de ganglions ?
- C'est-à-dire … je n’ose pas, j’ai trop peur de me trouver des grosseurs anormales
- Défaites votre haut nous allons voir ça
- Je suis obligée de vous montrer mes seins ?
- C’est professionnel madame V. ! nous ne somme plus en fac !
- Pardonnez- moi je suis bête ! vous aviez tellement le regard fouineur …
- J’étais jeune ! ceci dit vous êtes toujours aussi belle, allez, montrez moi cette poitrine
- C’est un paradoxe ! car vous allez voir à votre aise ce que vous convoitiez il y a quelques années
- Je ne vais voir que des organes à diagnostiquer

Finalement Nadine ôte son corsage et son soutien-gorge, ses seins libérés son propulsés en avant, mon fantasme d’étudiant est réalisé ! J’observe ses larges aréoles et ses tétons qui n’en finissent pas de s’allonger, preuve que ça ne la laisse pas indifférente

- Asseyez vous, je vais passer derrière vous, ainsi vous n’aurez pas a soutenir mon regard de pervers !
- Vous avez de l’humour !
- C’est pour détendre l’atmosphère…. Je vais les presser a la limite de la douleur … ils sont très fermes …

Sa respiration c’est accélérée, sa tête vient se poser sur mes abdominaux, un nichon après l’autre, je palpe les glandes, je caresse sournoisement les tétons, je reviens sur le premier, puis sur le second, je n’ai pas envie que ça cesse … et je bande

- Alors docteur ?
- Appelez-moi Yannick … soyez rassurée, je ne vois rien de particulier, à présent je vais vérifier si vous n’avez pas de ganglions ailleurs
- Ou ça ?
- Dans le cou, sous les aisselles et dans les aines...
- Jusque dans les aines ?
- Oui, ainsi nous serons complètement rassurés, allongez-vous sur la table
- Je dois me déshabiller Yannick ?
- Non, je vais simplement relever votre jupe et tâter vos aines sans ôter la culotte Nadine
- Sinon ça ne me gêne plus... pas …

Ce lapsus est édifiant …il m’est très difficile de cacher la bosse qui gonfle ma braguette lorsque je la vois étendue a ma merci, les seins a peine aplatis par la position allongée, ses jambes ne sont pas serrées, je vais pouvoir me délecter de toucher son corps sous le couvert de la médecine

- Levez les bras Nadine… toussez fort…rien sous l’aisselle droite … rien sous la gauche, pas davantage dans le cou, assurons nous des aines et je vous libère
- Vous êtes sûr que je ne dois pas enlever ma jupe ? y’en a pour deux secondes
- Vous avez peut être raison, mes gestes serons plus précis
- Et voilà ! avouez que vous rêviez de me voir quasiment nue depuis la fac
- A l’époque j’étais follement amoureux de vous Nadine
- Pour être sincère, vous ne m’étiez pas indifférent, vous incarniez l’exotisme, la chaleur de l’Afrique, et bien d’autre choses sur la légende des blacks…mais je m’interdisais tout contact avec des élèves
- Je suis très troublé …
- Ça se voit, votre pantalon parle pour vous
- A présent c’est moi qui m’interdis tous contacts avec mes patientes
- Alors finissez votre diagnostique et je m’en vais …
- Voulez vous bien ouvrir les jambes ?
- Comme ça ?
- C’est largement suffisant, merci de votre coopération
- C’est normal Yannick …

Je peux dire qu’elle est une vraie blonde, sa toison est impeccablement taillée, rien ne dépasse dans les aines, mais le bord du string ne colle pas bien a l’entre cuisse ce qui permet de voir une partie de la lèvre luisante de mouille, je dois rester pro pour ne pas céder a la tentation de glisser mes doigts sous la dentelle

- Relevez un genou et toussez à nouveau…. C’est bon pour ce coté
- ÇA SUFFIT !!! arrêtons de nous voiler la face ! j’ai envie de vous et votre érection prouve que vous voulez me baiser ! alors qu’attendez-vous pour m’enfiler un doigt ??? tire sur ma culotte, je lève les fesses, ensuite quitte ce froc qui te gêne, montre moi ta queue de noir, je suis certaine qu’elle est énorme
- Tu as raison, j’ai envie de cet instant depuis des années, ta petite culotte sens bon ….
- Embrasse ma petite chatte, mes jambes sont assez levées ?
- C’est indécent mais j’adore la vue… muuuuuummmmmm
- Aaaaahhhhhhhooooooouuuuuuuiiiiii enfonce ta langue …. Encore ! encore !!!Ohhhhhhhhhhhh c’est booooooooonnnnnnnnnn ! enfonce tes doigts ! tu me fais pisser de bonheur ! raaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh Noooooooooooonnnnnnnn !
- Tu jouis salope !
- Donne-moi ta trique à sucer
- Je vais monter sur la table et te la mettre entre les seins, elle est assez longue pour que tu puisses me téter en même temps
- Super !!

Nadine serre ses nichons sur mon membre, je passe une main sous sa tête afin que sa bouche soit a la bonne hauteur, une fois le bon rythme trouvé c’est un vrai bonheur, je coulisse entre ses seins comme dans une chatte et, comble de bonheur, je me fais sucer a la sortie, mon canal gonfle, ma queue se raidi Nadine a compris qu’elle allait boire ma semence, elle lâche sa poitrine pour cramponner ma verge, le surplus de jus suinte aux coins de ses lèvres, coule dans son cou pour s’étaler sur la protection de papier, avant que je ne sois totalement tari elle se barbouille le visage de foutre

- C’est bon pour le teint ! Quelle est la suite ?
- Avance ton cul au bord et pose tes jambes sur mes épaules
- Je suis ouverte comme chez mon gynéco, enfonce-moi ton spéculum de chair noire
- Je vais t’ouvrir comme une huitre vieille cochonne

Sans ménagement je la tire par les pieds afin que ses fesses soient au bord de la table, elle replie ses jambes sur elle, les poils collés de sa chatte laissent voir la fente craquelée, les mains accrochées aux rebords elle soulève sa tête afin d’assister a l’intromission de mon membre entre ses cuisses laiteuses
Ma main a la base de ma queue bandée comme jamais, je guide mon bout marron clair dans ce cratère écumant un jus mousseux, une bague d’écume se forme autour de mon nœud et se déplace au fur et a mesure de la pénétration

- Aaaaahhhhhh Yannick !!! enfonce encore ! enfonce tout ce que tu pourras dans ma chatte de salope
- Si je peux je rentre mes couilles avec ! tu es trop bonne, ma queue est bien au chaud
- Retire là que je vois le contraste de nos peaux …. Oooohhhhhhhhhhh ! j’ai un manche d’ébène dans le vagin ! remet le vite au fond et n’ai pas peur de me secouer !!

La table tangue et craque dangereusement sous mes coups de boutoirs, et je ne parle pas du bruit et de ses lamentations non feintes, heureusement que la salle d’attente est vide, dans une dernière estocade je vide mes burnes trop pleines dans son réceptacle a bite

- Déjà ? je n’ai pas eu le temps de prendre mon pied
- Descend et penche-toi sur la table
- J’adore être prise ainsi

Je mate son cul blanc cambré et ouvre ses deux lobes charnus, j’aperçois sa fente entrebâillée suintante et son anus boursouflé cerné de quelques poils follets collés par mon foutre …

- Que fais-tu ? que regardes-tu ? tu n’espères pas me sodomiser ?
- Mais non …à moins que je dérape ?
- C’est réservé à mon mari les jours de mes règles
- Arrête de bavasser et penche toi, je t’emmanche la chatte
- OOOOOOoooooooohhhh salaud ! mmmmmmmuuuuuummmmmm que c’est boooooooonnnnnnn, tu remontes jusqu’à mon estomac !! mais que fais-tu ? ôte tes doigts de mon anus !
- Cchhhhhuuuuut ! tu vas me remercier de cette double pénétration
- Mmuuummm je reconnais que c’est bien de se faire tripoter par de gros doigts en ayant une belle queue dans le vagin … continue …

J’en profite pour étirer son anneau aussi mouillé que sa moule, j’y mets trois doigts sans qu’elle ne rechigne, au contraire elle roucoule de bien être, si j’avais un pote sous la main cette nana se ferais baiser volontiers en double
Les deux mains accrochées de l’autre cote de la table Nadine entre en transe, à ce stade elle n’est plus en état de refuser quoique ce soit, je me retire et vise la cible qui palpite à son rythme cardiaque, une pression continue et j’entre lentement dans le tunnel interdit

- Salaud, tu l’as fait ….
- Je change de trou ?
- NOOOOONNNN !!!! c’est trop boooooooonnnnnnn
- Je dois vérifier aussi si ce boyau est sain, mais en même temps je vais t’enfiler mes doigts dans la chagatte
- Mets-en autant que tu peux

Quatre doigts dans son ventre ouvert ! je la maintient contre moi comme un vulgaire ballot, mes coups de reins sont répercutés dans tout son être, ses seins écrasés roulent en tous sens, un jus abondant pisse entre mes doigts,
Mon ex prof jouis dans un râle à faire peur et devient totalement inerte, telle une poupée gonflable, mon foutre ne la ranime même pas, je lui ai passé un bouchon de papier entre les cuisses afin d’éponger le plus gros des souillures

- Boit ce verre de whisky ça va te revigorer
- Tu n’as pas un ami qui pourrait être présent à ma prochaine visite ? …….