Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #2
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #2
Jour #2
Sasso Marconi, Italie - Rome, Italie
470km
—
Au petit matin, c'est un coq, dans un jardin voisin de l'hôtel, qui nous a réveillés. Nous n'étions pas habitués à ce genre de réveil, en ville. Je me suis levé assez vite et ai laissé Nina émerger doucement, nue sous les draps, et je suis allé dans la salle de bain. Elle m'y a rejoint cinq minutes plus tard, tandis que je me lavais les dents, s'est assise sur les toilettes et s'est mise à pisser face à moi, qui ne pouvait m'empêcher de la regarder dans le miroir.
_ T'aimes bien me voir pisser, hein ? m'a-t-elle dit avec sa voix enrouée matinale et un brin de malice dans la voix.
Dès lors, elle a écarté un peu plus les cuisses pour bien tout me montrer, et je me suis régalé de la vue.
_ Ce que j'aime, ai-je répondu après m'être rincé la bouche, c'est ton manque total de pudeur !
_ Je n'ai plus de barrière, m'a-t-elle dit en tirant la chasse. C'est ce que tu voulais de moi, tu te rappelles ? Tu as été un bon professeur !
Après l'avoir embrassée, je suis retourné dans la chambre pour m'habiller, et me suis mis à repenser à tout ça. C'est vrai que nous revenions de loin. C'était il y a moins d'un an ! Nina, à l'époque, n'était qu'une lointaine amie, presque une simple connaissance. Et puis il y a eu son aménagement, et le début de notre relation. Tout était allé très vite. Et si aujourd'hui nous étions devenus un couple "normal", sans rapport de domination entre nous, nos activités sexuelles n'en étaient pas moins délurées. Bien au contraire. Un peu comme si nous étions débarrassés de ce carcan, nous n'avions plus aucune barrière. Seul notre plaisir commun importait. Et cela nous rendait plus amoureux l'un de l'autre chaque jour.
A son tour, Nina est sortie de la salle de bain. Elle a enfilé la même robe que la veille, puis ses sandales et ses lunettes de soleil, et m'a dit être prête. C'est sûr que moins on met de vêtement, et plus vite on est prêt ! On s'est quand même arrêtés au buffet de l'hôtel avant de reprendre la route. Il était inclus dans le prix, alors pourquoi s'en priver. Ainsi, vers 10h, nous étions à nouveau sur la route. Nina avait repris sa position habituelle, les pieds sur le tableau de bord, à quelques centimètres de sa culotte de la veille. Quelque chose me disait qu'elle y resterait un bout de temps. Une heure et demie plus tard, nous étions déjà aux abords de Florence, et j'ai estimé qu'il était de notre devoir de nous y arrêter, ne serait-ce que pour le déjeuner.
On a trouvé une place dans une petite rue, proche de l'Arno, et on s'est baladé un peu au bord du fleuve. On a pris quelques photos du Ponte Vecchio, on a déambulé un moment dans les petites rues autour de la Piazza della Signoria, avant de s'arrêter manger dans une pizzeria. Assis à une petite table donnant sur la rue, Nina regardait la vie à travers la fenêtre, et moi je regardais Nina. Elle était belle, comme à son habitude, et la savoir nue sous sa robe me titillait de plus en plus. Si la table avait été plus petite, j'aurais bien glissé mes doigts entre ses cuisses, la titiller d'un peu plus près, mais ici c'était difficilement faisable sans éveiller de soupçon. Du coup, j'ai fait en sorte qu'on ne s'attarde pas trop. Dans une petite rue, sur le retour vers la voiture, j'ai attrapé Nina par la taille, et glissé une main sur son cul.
_ Que dirais-tu d'un petit dessert ? lui ai-je dis à l'oreille.
_ Ce genre ? m'a-t-elle répondu en relevant sa robe au-dessus de ses fesses.
Je n'ai pas pu m'en empêcher, j'ai claqué ce derrière qui me donnait tant envie. J'ai ensuite regardé autour de nous, personne. J'ai regardé une deuxième fois, cette fois pour repérer une petite impasse. J'ai attrapé Nina par la main et l'y ai attirée, la plaquant dans le renfoncement d'un porche, contre une lourde porte en bois. Nous nous sommes embrassés, furieusement, comme si le temps était compté. Nina avait toujours sa robe relevée, ce qui m'a permis de glisser une main entre ses cuisses pour enfin titiller son sexe. Ses lèvres étaient déjà humides, j'ai eu envie de mon dessert sur le champ, alors j'ai lâché sa bouche et je me suis agenouillé, comme ça, sur le trottoir. Sans attendre plus longtemps, j'ai posé ma bouche sur son sexe, et pour me permettre un meilleur accès, Nina a relevé sa jambe et l'a posée contre mon épaule. Les mains agrippées à son cul, je l'ai dévorée. J'ai ouvert son sexe avec ma langue, l'ai pénétrée, l'ai bue avec délice, et je suis remonté sucer son bouton qui s'excitait. Nina avait posé ses mains dans mes cheveux, et je l'entendais gémir de plus en plus fort. J'aurais bien relevé la tête pour vérifier que nous étions bien seuls, mais déjà, j'étais trop occupé pour ça, et puis la robe de Nina m'était retombée dessus. Alors j'ai continué mon affaire, et j'ai glissé deux doigts dans son vagin désormais trempé et brûlant. Je l'ai sentie se tendre de plus en plus, mais avant que j'aie pu la faire jouir, Nina m'a tiré par les cheveux pour m'écarter de son sexe, et le souffle court, m'a dit :
_ Baise-moi ! S'il te plait !
Comment dire non ? Je me suis relevé et l'ai embrassée, comme je le fais à chaque fois que je remonte d'entre ses jambes, j'aime qu'elle goûte à son propre jus. Alors que nos langues s'entre-mêlaient, Nina a défait ma ceinture et sorti mon sexe de mon boxer. Je l'ai alors retournée, face à la porte, et Nina s'est cambrée pour coller son derrière à mon membre en érection. Je n'ai eu qu'à le faire glisser entre ses cuisses, et à l'enfoncer profondément dans son sexe. Incapable de se retenir, Nina a poussé un long râle de plaisir. J'ai alors posé une main contre sa bouche pour l'empêcher de gueuler trop fort, et l'autre sur son cul, et j'ai commencé à la prendre en levrette. C'était bestial, mais nous n'avions ni le temps ni le confort nécessaire pour la jouer romantique. Et puis, c'était terriblement excitant. Nous entendions des voitures passer pas très loin, et des gens parler entre eux, par les fenêtres ouvertes des immeubles aux alentours. Peut-être qu'eux aussi entendaient les râles de Nina, nos cuisses claquant les unes contre les autres, et les quelques fessées que je lui mettais. Cette possibilité ne pouvait pas nous arrêter, nous étions tous les deux bien trop excités. J'ai vu une des mains de Nina lâcher la porte face à elle et glisser entre ses jambes, et je l'ai sentie branler son clito pendant que je la pénétrais. L'effet a été presque immédiat, et elle s'est mise à gémir plus fort encore, mordillant mes doigts pour s'empêcher de crier, son corps s'est tendu puis s'est mis à trembler. Elle venait de jouir en pleine rue, et cette idée m'a amené moi aussi aux portes de l'orgasme. Je ne me suis pas retenu. J'ai éjaculé dans son vagin, claquant son cul plus fort encore, comme pour me défouler.
Je suis resté en elle le temps qu'on reprenne tous les deux notre souffle, moi la tête contre son dos, elle la tête contre la porte. Quand je me suis retiré, j'ai senti un peu de mon sperme couler en même temps. Nina a glissé sa main entre ses cuisses pour s'essuyer un peu, puis a nettoyé ses doigts en les suçant. Cette image était tellement érotique que j'ai failli replonger en elle pour la baiser une deuxième fois. Nous avions quinze minutes de marche à peu près pour rejoindre la voiture, et deux ou trois fois, j'ai vu Nina regardé autour d'elle pour voir s'il n'y avait personne, et glisser sa main sous sa robe pour essuyer le sperme qui s'échappait de son sexe. Et à chaque fois, elle finissait en suçant ses doigts souillés.
_ Mon dessert, m'a-t-elle dit en souriant.
Puis on a repris la route, direction Rome. Trois heures de trajet durant lesquelles Nina a principalement dormi et bouquiné. Il était un peu moins de 18 heures lorsque je me suis garé aux abords du Trastevere, le quartier de Rome où j'avais pris un Airbnb pour deux nuits. L'homme d'une cinquantaine d'années qui nous a accueilli nous a montré toutes les fonctionnalités de l'appartement avant de s'éclipser et de nous laisser nous installer. Le logement était standard mais avait une immense terrasse donnant, au loin, sur les toits du Vatican. Je m'y suis installé pendant que Nina est allée prendre une douche. Elle m'a dit en avoir bien besoin, sentant encore ses cuisses poisseuses depuis Florence. Je l'ai attendue, assis tranquillement sur une chaise longue, écoutant les bruits de la rue un peu plus bas, et regarder la lumière du soleil décliner. Ce n'était pas la première fois que je venais à Rome, et comme à chaque fois, cette ambiance m'apaisait complètement.
Nina m'a rejoint un quart d'heure plus tard sur la terrasse, habillée, maquillée, coiffée. Elle avait troqué sa robe contre un short en jean, taille haute, mais terriblement court, il descendait à peine plus bas que ses fesses. En haut, elle avait mis un débardeur assez décolleté, et une petite veste en jean pour habiller ses épaules. Si je voyais clairement les piercings de ses tétons pointer à travers le tissu léger et moulant du débardeur, j'ai eu envie de savoir s'il y avait quelque chose sous le short, alors je l'ai attrapée par la taille, et ai entrepris de défaire le bouton pour vérifier, mais Nina m'a mis une petite tape sur la main.
_ Tu vérifieras plus tard ! m'a-t-elle dit avec un sourire.
Joueur, j'ai accepté d'entretenir le suspense, et nous sommes sortis de l'appartement. Nina et moi avons traversé le Trastevere, main dans la main, jusqu'au Tibre que nous avons traversé pour voir le Circus Maximus, où à une lointaine époque, on venait assister à des courses de chars façon Ben-Hur. On s'est assis là, en regardant le soleil se coucher et donner au ciel des couleurs incroyables. Une fois la nuit tombée, on a marché encore un peu, jusqu'à un petit restaurant, puis on a traversé la rue et pris un verre sur une terrasse au calme. Un verre de vin blanc à la main, Nina avait son pied posé contre ma cuisse.
_ On ne tarde pas à rentrer après, ça ne te dérange pas ? m'a-t-elle demandé.
_ Tu es fatiguée ?
_ Non, mais tu n'es pas curieux ?
_ Curieux ?
_ C'est toi, qui voulais vérifier, tout à l'heure...
_ Oh... En effet, ne tardons pas.
Au lieu de reprendre un verre, donc, on s'est arrêtés en chemin dans une épicerie pour acheter une bouteille de vin, et vingt minutes plus tard, nous étions de nouveau à l'appart. J'ai pris deux verres dans la cuisine, dé-bouchonné la bouteille, et j'ai rejoint Nina sur le balcon. De nuit comme de jour, la vue était très belle. Nina aussi. On a trinqué et bu quelques gorgées, puis j'ai posé mon verre et posé mes mains sur ses hanches.
_ Et maintenant ? Je peux vérifier ?
Nina n'a pas répondu et a continué à boire son vin. J'ai pris ça comme un oui, et j'ai doucement défait le bouton de son short, puis j'ai baissé sa braguette. Dessous, j'ai découvert un joli string blanc en dentelle, à travers lequel j'avais plaisir à voir son ticket de métro.
_ Déçu ? m'a demandé Nina.
_ Avec toi, absolument jamais !
Je l'ai embrassée en faisant glisser son short le long de ses jambes. Puis ma main s'est glissée dans sa culotte. Nina tentait de rester de marbre, buvant toujours son vin, mais après quelques baisers dans le creux de son cou et quelques caresses le long de sa fente, elle a lâché un gémissement et a posé son verre sur le rebord du balcon. Rapidement, deux doigts se sont glissés en elle, sans le moindre mal. Deux doigts en elle et un troisième sur son clitoris, tandis que ma deuxième main glissait dans l'échancrure de son décolleté pour attraper un sein et pincer son téton tendu, ont rapidement mené Nina à la limite de la jouissance. Elle a alors attrapé mon poignet et m'a supplié d'arrêter. J'ai retiré mes doigts de son vagin et le souffle court, elle s'est laissé glisser le long de la rambarde et s'est retrouvée à genoux. Elle a ouvert mon pantalon et sorti mon sexe, dur devant son visage, avant de l'engouffrer sans plus attendre. Une main sur le balcon et l'autre dans ses cheveux, j'ai commencé à aller et venir dans sa bouche, puis dans sa gorge. Les mains sur ses genoux, Nina accueillait chacun de mes coups de reins, toussant parfois, salivant beaucoup. Et face à moi, toujours cette vue impériale sur la ville.
Sentant à mon tour la jouissance montrer le bout de son nez, j'ai sorti mon sexe de la gorge de Nina, et l'ai relevée en la tirant par les cheveux, que je tenais toujours fermement. Je l'ai embrassée à pleine bouche, elle avait un goût de sexe, puis je l'ai retournée, face au paysage, et elle a bu une gorgée de vin tandis que d'une main, je baissais sa culotte à mi-cuisses. Je l'ai pénétrée ainsi. Elle mouillait tellement, je n'ai eu qu'à écarter ses fesses et guider mon sexe entre ses lèvres. Et je l'ai baisée là, face à Rome, claquant son cul, y enfilant un ou deux doigts de temps en temps. Nina se mordait les lèvres pour s'empêcher de crier. Nous savions qu'on ne pouvait pas vraiment nous voir, mais on pouvait nous entendre, et mieux valait être prudents. Alors quand elle a été sur le point de jouir, Nina a posé ses deux mains contre sa bouche, et malgré ça je l'ai entendu geindre de plaisir quand son corps entier s'est tendu, parcouru par des spasmes de plaisir. Quand à mon tour j'ai été aux portes de l'orgasme, je me suis retiré d'entre ses cuisses, et en la tirant par les cheveux, je l'ai forcée à s'agenouiller à nouveau. Ses cheveux dans une main, mon sexe dans l'autre, je me suis branlé au-dessus de sa bouche ouverte et de sa langue tendue, et j'ai éjaculé sur son visage en poussant un long râle.
J'ai lâché mon emprise sur ses cheveux, et l'ai caressée, tandis qu'elle suçait mon gland pour le nettoyer. Puis elle s'est levée, du sperme dégoulinant encore de son visage, et m'a dit aller dans la salle de bain. Je l'y ai rejointe après avoir fini mon verre de vin et admiré encore fois la vue. Je ne pourrais me lasser de quelque chose comme ça. Après une douche sage et rapide, Nina et moi nous sommes endormis rapidement, prêts pour de nouvelles aventures le lendemain.
Sasso Marconi, Italie - Rome, Italie
470km
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Au petit matin, c'est un coq, dans un jardin voisin de l'hôtel, qui nous a réveillés. Nous n'étions pas habitués à ce genre de réveil, en ville. Je me suis levé assez vite et ai laissé Nina émerger doucement, nue sous les draps, et je suis allé dans la salle de bain. Elle m'y a rejoint cinq minutes plus tard, tandis que je me lavais les dents, s'est assise sur les toilettes et s'est mise à pisser face à moi, qui ne pouvait m'empêcher de la regarder dans le miroir.
_ T'aimes bien me voir pisser, hein ? m'a-t-elle dit avec sa voix enrouée matinale et un brin de malice dans la voix.
Dès lors, elle a écarté un peu plus les cuisses pour bien tout me montrer, et je me suis régalé de la vue.
_ Ce que j'aime, ai-je répondu après m'être rincé la bouche, c'est ton manque total de pudeur !
_ Je n'ai plus de barrière, m'a-t-elle dit en tirant la chasse. C'est ce que tu voulais de moi, tu te rappelles ? Tu as été un bon professeur !
Après l'avoir embrassée, je suis retourné dans la chambre pour m'habiller, et me suis mis à repenser à tout ça. C'est vrai que nous revenions de loin. C'était il y a moins d'un an ! Nina, à l'époque, n'était qu'une lointaine amie, presque une simple connaissance. Et puis il y a eu son aménagement, et le début de notre relation. Tout était allé très vite. Et si aujourd'hui nous étions devenus un couple "normal", sans rapport de domination entre nous, nos activités sexuelles n'en étaient pas moins délurées. Bien au contraire. Un peu comme si nous étions débarrassés de ce carcan, nous n'avions plus aucune barrière. Seul notre plaisir commun importait. Et cela nous rendait plus amoureux l'un de l'autre chaque jour.
A son tour, Nina est sortie de la salle de bain. Elle a enfilé la même robe que la veille, puis ses sandales et ses lunettes de soleil, et m'a dit être prête. C'est sûr que moins on met de vêtement, et plus vite on est prêt ! On s'est quand même arrêtés au buffet de l'hôtel avant de reprendre la route. Il était inclus dans le prix, alors pourquoi s'en priver. Ainsi, vers 10h, nous étions à nouveau sur la route. Nina avait repris sa position habituelle, les pieds sur le tableau de bord, à quelques centimètres de sa culotte de la veille. Quelque chose me disait qu'elle y resterait un bout de temps. Une heure et demie plus tard, nous étions déjà aux abords de Florence, et j'ai estimé qu'il était de notre devoir de nous y arrêter, ne serait-ce que pour le déjeuner.
On a trouvé une place dans une petite rue, proche de l'Arno, et on s'est baladé un peu au bord du fleuve. On a pris quelques photos du Ponte Vecchio, on a déambulé un moment dans les petites rues autour de la Piazza della Signoria, avant de s'arrêter manger dans une pizzeria. Assis à une petite table donnant sur la rue, Nina regardait la vie à travers la fenêtre, et moi je regardais Nina. Elle était belle, comme à son habitude, et la savoir nue sous sa robe me titillait de plus en plus. Si la table avait été plus petite, j'aurais bien glissé mes doigts entre ses cuisses, la titiller d'un peu plus près, mais ici c'était difficilement faisable sans éveiller de soupçon. Du coup, j'ai fait en sorte qu'on ne s'attarde pas trop. Dans une petite rue, sur le retour vers la voiture, j'ai attrapé Nina par la taille, et glissé une main sur son cul.
_ Que dirais-tu d'un petit dessert ? lui ai-je dis à l'oreille.
_ Ce genre ? m'a-t-elle répondu en relevant sa robe au-dessus de ses fesses.
Je n'ai pas pu m'en empêcher, j'ai claqué ce derrière qui me donnait tant envie. J'ai ensuite regardé autour de nous, personne. J'ai regardé une deuxième fois, cette fois pour repérer une petite impasse. J'ai attrapé Nina par la main et l'y ai attirée, la plaquant dans le renfoncement d'un porche, contre une lourde porte en bois. Nous nous sommes embrassés, furieusement, comme si le temps était compté. Nina avait toujours sa robe relevée, ce qui m'a permis de glisser une main entre ses cuisses pour enfin titiller son sexe. Ses lèvres étaient déjà humides, j'ai eu envie de mon dessert sur le champ, alors j'ai lâché sa bouche et je me suis agenouillé, comme ça, sur le trottoir. Sans attendre plus longtemps, j'ai posé ma bouche sur son sexe, et pour me permettre un meilleur accès, Nina a relevé sa jambe et l'a posée contre mon épaule. Les mains agrippées à son cul, je l'ai dévorée. J'ai ouvert son sexe avec ma langue, l'ai pénétrée, l'ai bue avec délice, et je suis remonté sucer son bouton qui s'excitait. Nina avait posé ses mains dans mes cheveux, et je l'entendais gémir de plus en plus fort. J'aurais bien relevé la tête pour vérifier que nous étions bien seuls, mais déjà, j'étais trop occupé pour ça, et puis la robe de Nina m'était retombée dessus. Alors j'ai continué mon affaire, et j'ai glissé deux doigts dans son vagin désormais trempé et brûlant. Je l'ai sentie se tendre de plus en plus, mais avant que j'aie pu la faire jouir, Nina m'a tiré par les cheveux pour m'écarter de son sexe, et le souffle court, m'a dit :
_ Baise-moi ! S'il te plait !
Comment dire non ? Je me suis relevé et l'ai embrassée, comme je le fais à chaque fois que je remonte d'entre ses jambes, j'aime qu'elle goûte à son propre jus. Alors que nos langues s'entre-mêlaient, Nina a défait ma ceinture et sorti mon sexe de mon boxer. Je l'ai alors retournée, face à la porte, et Nina s'est cambrée pour coller son derrière à mon membre en érection. Je n'ai eu qu'à le faire glisser entre ses cuisses, et à l'enfoncer profondément dans son sexe. Incapable de se retenir, Nina a poussé un long râle de plaisir. J'ai alors posé une main contre sa bouche pour l'empêcher de gueuler trop fort, et l'autre sur son cul, et j'ai commencé à la prendre en levrette. C'était bestial, mais nous n'avions ni le temps ni le confort nécessaire pour la jouer romantique. Et puis, c'était terriblement excitant. Nous entendions des voitures passer pas très loin, et des gens parler entre eux, par les fenêtres ouvertes des immeubles aux alentours. Peut-être qu'eux aussi entendaient les râles de Nina, nos cuisses claquant les unes contre les autres, et les quelques fessées que je lui mettais. Cette possibilité ne pouvait pas nous arrêter, nous étions tous les deux bien trop excités. J'ai vu une des mains de Nina lâcher la porte face à elle et glisser entre ses jambes, et je l'ai sentie branler son clito pendant que je la pénétrais. L'effet a été presque immédiat, et elle s'est mise à gémir plus fort encore, mordillant mes doigts pour s'empêcher de crier, son corps s'est tendu puis s'est mis à trembler. Elle venait de jouir en pleine rue, et cette idée m'a amené moi aussi aux portes de l'orgasme. Je ne me suis pas retenu. J'ai éjaculé dans son vagin, claquant son cul plus fort encore, comme pour me défouler.
Je suis resté en elle le temps qu'on reprenne tous les deux notre souffle, moi la tête contre son dos, elle la tête contre la porte. Quand je me suis retiré, j'ai senti un peu de mon sperme couler en même temps. Nina a glissé sa main entre ses cuisses pour s'essuyer un peu, puis a nettoyé ses doigts en les suçant. Cette image était tellement érotique que j'ai failli replonger en elle pour la baiser une deuxième fois. Nous avions quinze minutes de marche à peu près pour rejoindre la voiture, et deux ou trois fois, j'ai vu Nina regardé autour d'elle pour voir s'il n'y avait personne, et glisser sa main sous sa robe pour essuyer le sperme qui s'échappait de son sexe. Et à chaque fois, elle finissait en suçant ses doigts souillés.
_ Mon dessert, m'a-t-elle dit en souriant.
Puis on a repris la route, direction Rome. Trois heures de trajet durant lesquelles Nina a principalement dormi et bouquiné. Il était un peu moins de 18 heures lorsque je me suis garé aux abords du Trastevere, le quartier de Rome où j'avais pris un Airbnb pour deux nuits. L'homme d'une cinquantaine d'années qui nous a accueilli nous a montré toutes les fonctionnalités de l'appartement avant de s'éclipser et de nous laisser nous installer. Le logement était standard mais avait une immense terrasse donnant, au loin, sur les toits du Vatican. Je m'y suis installé pendant que Nina est allée prendre une douche. Elle m'a dit en avoir bien besoin, sentant encore ses cuisses poisseuses depuis Florence. Je l'ai attendue, assis tranquillement sur une chaise longue, écoutant les bruits de la rue un peu plus bas, et regarder la lumière du soleil décliner. Ce n'était pas la première fois que je venais à Rome, et comme à chaque fois, cette ambiance m'apaisait complètement.
Nina m'a rejoint un quart d'heure plus tard sur la terrasse, habillée, maquillée, coiffée. Elle avait troqué sa robe contre un short en jean, taille haute, mais terriblement court, il descendait à peine plus bas que ses fesses. En haut, elle avait mis un débardeur assez décolleté, et une petite veste en jean pour habiller ses épaules. Si je voyais clairement les piercings de ses tétons pointer à travers le tissu léger et moulant du débardeur, j'ai eu envie de savoir s'il y avait quelque chose sous le short, alors je l'ai attrapée par la taille, et ai entrepris de défaire le bouton pour vérifier, mais Nina m'a mis une petite tape sur la main.
_ Tu vérifieras plus tard ! m'a-t-elle dit avec un sourire.
Joueur, j'ai accepté d'entretenir le suspense, et nous sommes sortis de l'appartement. Nina et moi avons traversé le Trastevere, main dans la main, jusqu'au Tibre que nous avons traversé pour voir le Circus Maximus, où à une lointaine époque, on venait assister à des courses de chars façon Ben-Hur. On s'est assis là, en regardant le soleil se coucher et donner au ciel des couleurs incroyables. Une fois la nuit tombée, on a marché encore un peu, jusqu'à un petit restaurant, puis on a traversé la rue et pris un verre sur une terrasse au calme. Un verre de vin blanc à la main, Nina avait son pied posé contre ma cuisse.
_ On ne tarde pas à rentrer après, ça ne te dérange pas ? m'a-t-elle demandé.
_ Tu es fatiguée ?
_ Non, mais tu n'es pas curieux ?
_ Curieux ?
_ C'est toi, qui voulais vérifier, tout à l'heure...
_ Oh... En effet, ne tardons pas.
Au lieu de reprendre un verre, donc, on s'est arrêtés en chemin dans une épicerie pour acheter une bouteille de vin, et vingt minutes plus tard, nous étions de nouveau à l'appart. J'ai pris deux verres dans la cuisine, dé-bouchonné la bouteille, et j'ai rejoint Nina sur le balcon. De nuit comme de jour, la vue était très belle. Nina aussi. On a trinqué et bu quelques gorgées, puis j'ai posé mon verre et posé mes mains sur ses hanches.
_ Et maintenant ? Je peux vérifier ?
Nina n'a pas répondu et a continué à boire son vin. J'ai pris ça comme un oui, et j'ai doucement défait le bouton de son short, puis j'ai baissé sa braguette. Dessous, j'ai découvert un joli string blanc en dentelle, à travers lequel j'avais plaisir à voir son ticket de métro.
_ Déçu ? m'a demandé Nina.
_ Avec toi, absolument jamais !
Je l'ai embrassée en faisant glisser son short le long de ses jambes. Puis ma main s'est glissée dans sa culotte. Nina tentait de rester de marbre, buvant toujours son vin, mais après quelques baisers dans le creux de son cou et quelques caresses le long de sa fente, elle a lâché un gémissement et a posé son verre sur le rebord du balcon. Rapidement, deux doigts se sont glissés en elle, sans le moindre mal. Deux doigts en elle et un troisième sur son clitoris, tandis que ma deuxième main glissait dans l'échancrure de son décolleté pour attraper un sein et pincer son téton tendu, ont rapidement mené Nina à la limite de la jouissance. Elle a alors attrapé mon poignet et m'a supplié d'arrêter. J'ai retiré mes doigts de son vagin et le souffle court, elle s'est laissé glisser le long de la rambarde et s'est retrouvée à genoux. Elle a ouvert mon pantalon et sorti mon sexe, dur devant son visage, avant de l'engouffrer sans plus attendre. Une main sur le balcon et l'autre dans ses cheveux, j'ai commencé à aller et venir dans sa bouche, puis dans sa gorge. Les mains sur ses genoux, Nina accueillait chacun de mes coups de reins, toussant parfois, salivant beaucoup. Et face à moi, toujours cette vue impériale sur la ville.
Sentant à mon tour la jouissance montrer le bout de son nez, j'ai sorti mon sexe de la gorge de Nina, et l'ai relevée en la tirant par les cheveux, que je tenais toujours fermement. Je l'ai embrassée à pleine bouche, elle avait un goût de sexe, puis je l'ai retournée, face au paysage, et elle a bu une gorgée de vin tandis que d'une main, je baissais sa culotte à mi-cuisses. Je l'ai pénétrée ainsi. Elle mouillait tellement, je n'ai eu qu'à écarter ses fesses et guider mon sexe entre ses lèvres. Et je l'ai baisée là, face à Rome, claquant son cul, y enfilant un ou deux doigts de temps en temps. Nina se mordait les lèvres pour s'empêcher de crier. Nous savions qu'on ne pouvait pas vraiment nous voir, mais on pouvait nous entendre, et mieux valait être prudents. Alors quand elle a été sur le point de jouir, Nina a posé ses deux mains contre sa bouche, et malgré ça je l'ai entendu geindre de plaisir quand son corps entier s'est tendu, parcouru par des spasmes de plaisir. Quand à mon tour j'ai été aux portes de l'orgasme, je me suis retiré d'entre ses cuisses, et en la tirant par les cheveux, je l'ai forcée à s'agenouiller à nouveau. Ses cheveux dans une main, mon sexe dans l'autre, je me suis branlé au-dessus de sa bouche ouverte et de sa langue tendue, et j'ai éjaculé sur son visage en poussant un long râle.
J'ai lâché mon emprise sur ses cheveux, et l'ai caressée, tandis qu'elle suçait mon gland pour le nettoyer. Puis elle s'est levée, du sperme dégoulinant encore de son visage, et m'a dit aller dans la salle de bain. Je l'y ai rejointe après avoir fini mon verre de vin et admiré encore fois la vue. Je ne pourrais me lasser de quelque chose comme ça. Après une douche sage et rapide, Nina et moi nous sommes endormis rapidement, prêts pour de nouvelles aventures le lendemain.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cest génial ! Merci pour cette belle histoire ca melange bien le sexe et le voyage, vivement la suite ! :D