Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #4

- Par l'auteur HDS Markpm -
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #4
Jour #4
Rome, Italie - Igoumenitsa, Grèce
852 km



Pour notre prochaine étape, la Grèce, il nous fallait être au port de Brindisi, dans le talon de la botte qu'est l'Italie, avant 17h. Et comme je voulais tout de même prendre le temps sur la route, nous avons dû nous lever tôt. Nous avons pris un café sur la terrasse, nus, comme d'habitude, et regardé une toute dernière fois Rome, qui comme nous se réveillait tout juste. Nous avons rapidement fait nos affaires et nous sommes préparés à partir. Après une longue réflexion, Nina a finalement récupéré sa culotte sale de la veille, au lieu de la jeter comme elle voulait le faire. Elle m'a dit qu'elle ne la porterait plus, mais qu'elle la gardait comme un trophée. A ce rythme-là, elle aurait une sacrée collection de trophées.

Puis nous avons repris la route, direction le sud.

L'itinéraire pour se rendre à Brindisi était assez simple, mais je n'étais pas du genre à aimer les itinéraires simples. J'avais envie de revoir la baie de Naples. J'y étais allé en voyage scolaire et en était tombé amoureux, ainsi que de Laure, une de mes camarades, qui a été la première à autoriser ma main sur son sein. Il était donc compréhensible que Naples m'évoque tant de bons souvenirs, et que je veuille y retourner. Cela nous rajoutait 50 minutes de trajet, mais nous avions le temps.

Aux abords de Naples, j'ai posé ma main sur la cuisse de Nina pour la réveiller. Elle s'était endormie très vite après notre départ. Elle a sursauté, me demandant combien de temps elle avait dormi, et je lui ai simplement dit de regarder la ville. Nous ne la voyions que de loin, rentrer dans le centre-ville en van aurait été du suicide. Mais le peu que j'ai pu en voir me ravissait. Ce qui n'était visiblement pas le cas de Nina, qui m'a demandé pourquoi j'aimais tant cette ville. J'ai alors dû lui raconter l'histoire de mes premiers émois avec Laure, et de comment ma main avait glissé dans son soutien-gorge, à la découverte du corps féminin.

_ Tu n'as pas été plus loin qu'un sein ?
_ Non, on était encore jeunes et pas très mûrs, lui ai-je répondu avec un sourire.

Nina, quant à elle, avait l'air agacée.

_ Est-ce que tu serais jalouse d'une amourette vieille de plus de dix ans ?
_ Non, pas du tout, m'a-t-elle répondu un peu sèchement. Mais si tu veux, je peux t'aider à associer d'autres souvenirs à Naples. Des souvenirs plus pimentés qu'une simple main sur un nichon.

La jalousie de Nina me faisait rire, elle était constamment exagérée. Mais j'en ai profité, et j'ai accepté son offre. Nous avions le Vésuve à notre gauche lorsque j'ai quitté l'autoroute. J'ai suivi les routes qui me menaient au volcan, et une fois un peu en hauteur, j'ai pris le premier chemin un peu discret que j'ai trouvé. J'ai arrêté la voiture sur le bas-côté, au bout de la route, et je suis sorti admirer la vue magnifique sur la ville et la baie. Nina est sortie de la voiture une minute plus tard et est venue regarder le panorama avec moi. Je l'ai prise dans mes bras, et ma main est remontée sur sa poitrine avant de glisser dans l'échancrure de son tee-shirt, puis dans son soutien-gorge.

_ C'est à peu près comme ça que ça s'est passé avec Laure, lui ai-je dis en caressant son téton. Sauf qu'il faisait nuit. Avec toi, bien sûr, c'est différent.

Pour le lui prouver, j'ai soudainement attrapé son téton entre deux doigts et l'ai pincé assez fort pour la faire crier de surprise. Ma main libre a glissé sous sa petite jupe noire, et j'ai saisi fermement l'une de ses fesses.

_ Avec toi, c'est beaucoup moins sage, ai-je ajouté en la poussant contre le capot.

J'ai lâché son téton pour pouvoir attraper sa jupe, et la relever haut sur ses hanches. J'ai claqué son cul, une ou deux fois, pour la forme, puis j'ai descendu son string en dentelle le long de ses cuisses, jusqu'à ses chevilles. Jusqu'à ma mort, je serais capable de m'extasier devant les fesses de Nina. Elles me donnaient envie de les dévorer à chaque fois que je les redécouvrais. Et je ne m'en suis pas privé. Après m'être mis à genoux, j'ai écarté les deux globes de chair et j'y ai enfoui mon visage. J'ai commencé à la lécher. Son petit trou d'abord, puis l'entrée de son sexe. Nina ruisselait déjà et je me régalais de ce breuvage. J'ai dû lâcher ses fesses pour enfoncer un doigt dans son anus, et aller titiller son clitoris avec mon autre main. Je la doigtais, la branlais, et la léchais, en rythme et avec vigueur, et je ne me suis arrêté qu'après qu'elle ait joui. Nina est restée contre le capot, la poitrine collée à la carrosserie chauffée par le soleil, haletante. J'en ai profité pour me relever, et ouvrir mon jeans pour en sortir un sexe dur et excité que j'ai glissé instantanément entre ses cuisses. Son sexe encore trempé s'est ouvert à mon passage, et mes mains sur ses hanches, j'ai commencé à la pilonner. A peine remise de son orgasme, Nina s'est mise à gémir à nouveau. Je la tenais par les cheveux pour pouvoir la pénétrer plus profondément encore, tout en claquant son cul de ma main libre. Cinq minutes plus tard, j'éjaculais au fond de son vagin, les yeux rivés sur la mer.

_ Merci pour ce nouveau souvenir, lui ai-je dis en embrassant son épaule.

Nina a souri, avant de se relever lentement tandis que je me retirais d'elle. Elle a vaguement essuyé le sperme qui coulait sur ses cuisses avant de remonter son string, puis elle est venue m'embrasser à pleine bouche.

_ De rien, a-t-elle dit. Je compte bien en créer beaucoup d'autres !

Je l'ai embrassée à nouveau, et nous avons repris la route.

Il nous a fallu quatre heures et demie de plus pour atteindre Brindisi, en roulant tranquillement, et en s'arrêtant sur une aire d'autoroute pour manger un petit truc. Nous étions donc bien en avance pour le ferry, mais je préférais que ce soit dans ce sens et pas dans l'autre. Le port de Brindisi n'avait rien de sexy. Comme souvent en zone portuaire, il n'y avait rien d'autre autour de nous que des entrepôts, des parkings de poids lourds, et de vieilles carcasses de bateaux de pêche. Et une fois passée la police, nous étions bloqués en zone d'attente, impossible de ressortir. Pour patienter, Nina somnolait dans la voiture tandis que je bouquinais. Au fur et à mesure, d'autres voitures ainsi que des piétons nous rejoignaient.

Une heure avant le départ, une voiture est venue se garer à côté de nous. Un couple, dans la même tranche d'âge que nous. J'ai regardé la fille principalement, puisque j'aime tant les regarder. C'était une jolie fille, aux cheveux blonds comme les blés, un air angélique, presque virginal. Mais je ne me suis pas attardé sur elle plus qu'il ne le fallait, et suis retourné à mon bouquin. Jusqu'à ce que Nina me tape sur l'épaule quelques minutes plus tard en m'invitant à regarder chez nos voisins. De la fille, nous ne voyions que sa tête blonde monter et descendre au-dessus des cuisses de son copain. Nul doute n'était possible quant à ce qui se passait dans cette voiture. Nina ne pouvait décrocher la scène du regard. L'heureux copain de la blonde a croisé notre regard à plusieurs reprises, mais n'était visiblement pas du tout gêné par la situation. Il nous a simplement souri et a posé sa main sur la tête de sa copine.

_ Merde, a dit Nina en remontant sa jupe, qu'est-ce qu'ils m'excitent !

Mais désirant jouer un peu, j'ai attrapé sa main avant qu'elle ne glisse entre ses cuisses.

_ Attends encore un peu. Je te préfère excitée comme une chatte.
_ Je peux te sucer alors ?
_ Plus tard.

Nina a poussé un grognement de mécontentement, puis a de nouveau regardé la scène à côté d'elle. Elle ondulait du bassin sans même s'en rendre compte, se tordait les doigts pour s'empêcher de se toucher. Finalement, le calvaire a pris fin une dizaine de minutes plus tard, quand la blonde a relevé la tête, passant un doigt sur sa bouche pour effacer toute trace de ce qui venait de se passer. Nous avons ensuite été autorisés à monter sur le ferry, et nous avons perdu leur voiture des yeux.

Dans le bateau, nous avons suivi les ordres du personnel et garé la voiture avant de monter sur le pont. Il faisait déjà très chaud, et la brise marine ne nous aidait pas tellement. Nous avons heureusement trouvé deux places un peu abritées du soleil et nous y sommes installés. Par soucis de budget, nous n'avions pas pris de chambre pour dormir sur le ferry, malgré les 10h de bateau, et avions décidé que nous dormirions dans la voiture. Il a fallu encore attendre trois bons quarts d'heure avant que le bateau ne se mette à bouger pour quitter le port.

_ Marc, s'il te plait, m'a dit Nina en s'agrippant à mon bras, fais moi jouir, j'en peux plus.
_ Tu n'es vraiment pas patiente, lui ai-je répondu en souriant et sans relever les yeux de mon téléphone sur lequel je lisais les actualités.
_ Non, effectivement, je déteste attendre.

Et c'est vexée qu'elle a remonté sa jupe pour glisser sa main dans son string. A la vue de tous, elle a commencé à se branler.

_ Si tu te fais jouir, lui ai-je dis sans même la regarder, je te punirai plus sévèrement que tu ne peux l'imaginer.

Ce n'est pas ma menace qui a fait arrêter Nina, mais le regard choqué que lui a lancé un couple de sextagénaires. Ce qui, moi, m'a fait partir dans un grand fou rire.

_ Je vais pisser, lui ai-je dis en me levant, sois patiente et je m'occuperai de toi après.
_ Non, s'il te plait, emmène moi et baise moi dans les chiottes.

Je l'ai regardée avec un sourire, j'étais dingue de son langage de charretier, ça la rendait encore plus sexy.

_ C'est pour ça que je t'aime ! lui ai-je dit en lui embrassant le front, avant de partir vers les toilettes.

Alors que j'étais en train de vider ma vessie, je me suis rendu compte que mon voisin de pissotière n'était autre que notre fameux voisin de voiture. J'ai attendu qu'on ait fini tous les deux et de m'être lavé les mains pour engager la conversation, en anglais.

_ C'était bien vous, dans la voiture tout à l'heure, lui ai-je dis avec un petit sourire en coin.
_ C'était bien nous.
_ Joli spectacle, félicitations.
_ Vous voulez en voir encore ?

Intrigué par sa demande, je l'ai suivi dans les couloirs étroits du ferry. On est montés à l'étage, où il m'a annoncé avoir loué une cabine pour la nuit. Il a ouvert la porte, nous sommes entrés, et je suis tombé nez à nez avec sa copine. Elle était allongée sur le lit, entièrement nue, ses genoux étaient relevés, ses mains attachées à ses chevilles, ce qui la forçait à ouvrir ses cuisses et à exhiber outrageusement son sexe entièrement épilé. Ses yeux étaient bandés, une boule noire bâillonnait sa bouche, et son ventre était zébré par des giclées de sperme.

_ Si vous voulez en profiter, allez-y.
_ A vrai dire, j'ai une autre proposition à vous faire, lui ai-je répondu.

La minute d'après, j'arrivais sur le pont, en courant presque, pour retrouver Nina.

_ Suis moi ! lui ai-je dis en la prenant par la main.

Elle me demandait ce qui se passait mais je ne répondais pas, désirant garder la surprise entière. Une fois devant la porte, je l'ai tournée face à moi, et ai glissé ma main sous sa jupe pour poser ma main contre sa culotte.

_ Toujours envie ?

Pour seule réponse, elle m'a regardé en mordillant sa lèvre inférieure. J'ai alors frappé à la porte, et l'homme, dont je n'avais même pas demandé le prénom, nous a ouvert. Il a reluqué Nina de haut en bas, puis de bas en haut, avant de nous faire entrer. Nina est restée un moment sans voix devant la fille entièrement offerte devant elle, mais son sourire s'est agrandi et elle m'a jeté un regard plein d'envie.

_ Tu voulais jouir, non ? Bah vas-y, fais toi plaisir.

Nina est venue m'embrasser, puis s'est retournée vers l'homme en lui adressant son plus beau sourire, avant de glisser sa main sous sa jupe pour faire tomber son string sur ses chevilles. Puis elle est montée sur le lit, une jambe en l'air, prête à chevaucher la pauvre tête blonde.

_ Hé ! lui ai-je lancé alors qu'elle était en plein élan. Tu veux bien être polie face à nos nouveaux amis, et te déshabiller entièrement, s'il te plaît ?

Elle n'a pas hésité avant d'obéir. Elle a fait voler son haut, sous lequel elle ne portait rien, puis a défait sa jupe avant de la faire passer au-dessus de sa tête également. Une fois nue, elle m'a regardé, et d'un signe de la tête je lui ai donné mon approbation. Alors elle a retiré le bâillon-boule, et posé son sexe sur la bouche de l'autre fille. Immédiatement, elle a poussé un gémissement et commencé à onduler du bassin, et dans le même temps, j'ai cru voir la blonde sortir sa langue pour la lécher.

J'ai regardé ce spectacle des plus excitants pendant un long moment. Nina était en train de jouir pour la deuxième fois, mais ni l'une ni l'autre ne s'arrêtait. A côté de moi, l'homme s'était assis sur une petite chaise, et regardait aussi la scène, de la plus sobre des manières, comme s'il s'agissait d'une pièce de théâtre.

_ Vous pouvez participer si vous voulez.

Sa proposition était très tentante. Je me suis rapproché un peu plus de la scène. Une fois à sa hauteur, Nina a lâché le sein de la blonde pour m'attraper la main et m'attirer vers elle. Elle m'a embrassé, tout en continuant ses mouvements de bassin contre la bouche de l'autre fille, et avec un sourire et un clin d'œil, m'a proposé d'en profiter aussi. Je crois qu'inconsciemment, il me fallait quand même son approbation. Je suis monté sur le lit avec elles et me suis placé entre les cuisses déjà ouvertes de notre nouvelle amie. Je l'ai caressée un peu, sa peau était d'une extrême douceur, et plus je montais haut entre ses jambes, plus sa peau se réchauffait. Deux doigts sont entrés d'un coup et sans problème au fond de son vagin, ruisselant. En me voyant faire, Nina s'est penchée sur sa partenaire, jouant un peu avec le sperme sur son ventre au passage, et est venue embrasser sa fente lisse. Très vite, les gémissements de la petite blonde se sont fait entendre également. Que ce soit avec un garçon ou une fille, Nina savait y faire avec sa langue. J'ai ensuite rapidement échangé mes doigts contre mon sexe. Une main sur la tête de Nina et l'autre sur les hanches de la blonde, je me suis mis à aller et venir de plus en plus vite dans le vagin de celle-ci.

_ Ne la faites pas jouir, nous a dit l'homme toujours assis dans sa chaise. Ça fait maintenant deux mois que je lui refuse tout orgasme, et j'aimerais que ça continue.

J'ai acquiescé de la tête, tout en baisant sa copine, mais la remarque m'a fait tilter. Je me suis demandé ce qui se passerait si, par mégarde, nous la faisions jouir. Il avait l'air d'être bienveillant, mais autoritaire, et cela ne m'aurait pas étonné qu'il la punisse sévèrement en cas d'orgasme, même si c'était de notre faute. Pour préserver ce joli corps, mieux valait donc faire attention. Et puis je me suis aussi demandé si Nina serait capable de ne pas jouir pendant une si longue période. Mais je me suis rappelé son état d'excitation, ces dernières heures, et je me suis tout de suite enlevé l'idée de la tête. Elle exploserait au bout de 24 heures.

J'ai continué à baiser cette fille, avec de moins en moins de retenue. Quand je sentais que sa jouissance approchait, je me retirais au dernier moment, et glissait dans la bouche de Nina, qui m'avalait avec plaisir. Quand elle semblait calmée, je retournais en elle et la pénétrais à nouveau jusqu'aux portes de l'orgasme. Ce petit manège a duré une bonne vingtaine de minutes encore, avant que je sois moi-même sur le point de jouir. J'ai retiré mon sexe au dernier moment pour arroser celui de la blonde, dont je ne connaissais toujours pas le nom. Nina, affamée, s'est jetée sur ce sperme qui coulait déjà jusqu'entre les fesses de sa partenaire. Elle a passé encore quelques minutes allongée sur elle, glissant sa langue dans les moindres recoins de son entre-jambes, récupérant et avalant ma semence qui lui était si chère. Puis, seulement après ça, elle s'est relevée. La bouche de la fille était recouverte d'un mélange de salive et de mouille. Je ne savais pas combien de fois Nina avait joui contre ses lèvres, mais à n'en pas douter, elle avait fait du bon travail.

L'homme s'est levé de sa chaise pendant que Nina se rhabillait, et un léger malaise s'est installé. Nous ne savions pas bien quoi dire après ça. Nina a finalement tendu sa main vers l'homme et l'a remercié. Tout simplement.

_ Tout le plaisir est pour moi, a-t-il dit en donnant un baiser à la main de Nina.
_ Oh non, vous pouvez me croire, lui ai-je répondu en lui serrant la main également. Tout le plaisir était pour nous.
_ A bientôt peut-être.

Il nous a souri et nous a ouvert la porte de sa cabine, comme pour nous inviter à sortir. Quand nous nous sommes retrouvés dans les couloirs du ferry, j'étais encore en train de me rhabiller. Je me demandais ce qui allait arriver à cette fille maintenant. Nina, elle, était enfin calmée. Pour le moment. Une fois sur le pont, on s'est assis sur des sièges pour admirer les couleurs du ciel en cette fin de journée. Le vent marin en pleine figure, les températures redescendaient et nous cela nous faisait du bien. Nous sommes allé manger un petit truc après le coucher du soleil, puis nous avons passé la soirée tranquillement sur le pont à regarder un ciel magnifique, rempli d'étoiles. Plus tard, quand la fatigue s'est faite ressentir, nous sommes allés rejoindre la voiture et nous sommes couchés. Une fois nue, Nina s'est allongée tout contre moi, caressant mon sexe du bout des doigts, et s'est endormie comme ça, en quelques minutes. Crevé par cette journée, je l'ai vite rejointe.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
superbe histoire...sur un ferry je ne sais pas si on a déjà eu?
Trial



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #4
Histoire sexe : Une rose rouge
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