Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #6
Récit érotique écrit par Markpm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Roadtrip - Jour #6
Jour #6
Athènes, Grèce
—
Lorsque je me suis réveillé, le lit était vide, et le réveil indiquait dix heures du matin. J'avais dormi plus que de raison. J'ai enfilé un caleçon et suis allé dans le séjour, où j'ai trouvé Nina en train de préparer le café. Elle est venue m'embrasser en m'en apportant une tasse, puis s'est assise sur la terrasse pour se passer du vernis à ongles.
_ Tu es réveillée depuis longtemps ?
_ Une heure environ. Ça m'a laissé le temps de me préparer.
En effet, Nina était déjà apprêtée. Lavée, coiffée, maquillée et habillée. Elle avait enfilé un short, haut sur la taille comme sur les cuisses, et un top assez échancré pour être obligée de porter un soutien-gorge. Non pas que ça l'aurait gêné de se retrouver avec un sein à l'air, non, elle n'était pas du genre à s'offusquer pour si peu. Mais autant commencer la journée sur de "bonnes" bases.
Je me suis dépêché de finir mon petit déjeuner et de m'habiller à mon tour, histoire de ne pas gâcher notre journée culturelle. Et donc, moins de trente minutes après mon réveil, nous étions déjà dans la rue, chaude et bruyante. Et on a marché. Longtemps. Nina avait prévu le coup en enfilant une paire de baskets pour l'occasion, ce qui lui donnait, avec sa paire de lunettes solaires sur le nez, un air de jeune californienne branchée. J'ai surpris quelques regards masculins se poser sur elle, ce qui me rendait assez fier. Et pendant plusieurs heures, nous avons marché à travers les ruines de la Grèce Antique, de l'Agora d'Athènes à l'Acropole, du Parthénon à l'Héphaïstéion, de la Porte d'Hadrien au Théâtre de Dionysos. Vers seize heures, nous étions tous les deux crevés, les jambes en compote et suant à grosses gouttes. Nous en avions maintenant assez des visites, aussi nous avons décidé de rentrer à notre appartement, le temps d'une douche, avant de ressortir le soir. Pour rentrer, nous avons traversé le parc de la colline des Muses, un massif aride au cœur de la ville, recouvert de végétations sèches, de pavés, et de ruines disséminées par-ci par-là. C'est ici que Nina m'a saisi la main et m'a dit :
_ Attends, je dois faire pipi.
Elle savait que je la suivrais de toutes façons, aussi elle n'a pas lâché ma main, jusqu'à ce qu'on se retrouve au milieu des buissons, à priori à couvert d'éventuels passants. Elle a défait son short et l'a baissé sur ses genoux, avec sa culotte, avant de s'accroupir, et de pisser devant mes yeux, sans la moindre gêne ou pudeur. J'ai été incapable de détourner le regard du jet doré qui s'échappait de son sexe. Puis je l'ai regardée me regarder, et les pensées les plus lubriques ont envahi mon cerveau. J'ai eu envie de sortir mon sexe, prendre sa bouche, sa gorge, et puis me répandre sur elle, lui éjaculer dessus, puis lui pisser dessus. Quand je l'ai vue se mordiller la lèvre, je me suis dis que peut-être avait-elle lu dans mes pensées. Mais un cri venant de derrière les buissons nous ont sortis de mes pensées. Nous sommes restés un instant sans bouger, puis un deuxième cri s'est fait entendre. Plus qu'un cri, il s'agissait d'un gémissement. Le temps que l'on se demande ce qui se passe, un troisième gémissement, clairement féminin, se faisait entendre. Il n'y avait que très peu de doute sur ce qui était en train de se dérouler à quelques mètres de nous. Nina s'est alors rhabillée, et curieux, nous nous sommes rapprochés de la source du bruit.
Derrière un fourré, un peu en contre-bas, un couple s'adonnait à la plus belle des activités. Ils avaient tous les deux la vingtaine, et tandis que elle, la jupe retroussée sur les hanches et la culotte sur les chevilles, s'agrippait à un arbre, lui l'agrippait elle, et la prenait en levrette avec la plus grande fermeté. Parfois, ils jetaient un regard tout autour d'eux, mais sans jamais s'arrêter, pour vérifier qu'on ne les épiait pas. Ce que Nina et moi faisions, allègrement, cachés derrière notre arbre. Nina, très intéressée par le spectacle, se mordait déjà les lèvres, et n'a pas tardé à glisser une main dans son short encore déboutonné. Je l'ai ainsi laissée se branler, en rythme avec les va-et-vient du couple d'exhibitionnistes. Leurs gémissements à tous les deux devenaient progressivement des cris et des grognements, nous étions proches du bouquet final. Alors lui s'est retiré, et elle s'est agenouillée pour le prendre en bouche. Le main de Nina accélérait elle aussi entre ses cuisses, son orgasme arrivait également. J'ai posé ma main sur son poignet pour l'empêcher de continuer.
_ Pas maintenant, lui ai-je chuchoté à l'oreille.
Nina m'a regardé avec un air partagé entre la déception, la rage, mais aussi l'excitation. Car elle savait qu'en lui interdisant de jouir maintenant, un nouveau jeu commençait. Elle a alors retiré ses doigts poisseux de sa culotte, tandis qu'en face de nous, l'homme jouissait bruyamment dans la bouche de son amie.
Nous nous sommes éclipsés discrètement, et avons repris le chemin de notre appartement. Alors que nous quittions le parc, j'ai remarqué que Nina se dandinait sans même s'en rendre compte, sûrement gênée par les picotements entre ses cuisses, ce qui m'a fait sourire.
_ Quand est-ce que tu t'occuperas de moi ? m'a-t-elle demandé.
_ Plus tard. Quand tu ne t'y attendras pas forcément.
_ J'ai tellement envie que tu me baises que je m'attends même à ce que tu me baises ici, sur ce passage piéton.
_ Plus tard, lui ai-je dis en rigolant et en attrapant sa main.
Un quart d'heure plus tard, nous étions arrivés. A peine entrés dans l'appartement, Nina s'est collée à moi, me suppliant de la prendre sur le champ.
_ Va prendre une douche froide, ça te calmera un peu, lui ai-je dis en lui pinçant une fesse.
Elle a grogné, mais a suivi mon conseil. Elle s'est déshabillée face à moi, en tirant la gueule, et elle est allée dans la salle de bain.
_ Et que je ne te surprenne pas en train de te toucher ! lui ai-je lancé de loin.
Pendant ce temps, je suis allé dans la chambre, et j'ai ouvert la valise de Nina. J'en ai sorti une jupe fleurie, que je savais courte et évasée, et un petit top blanc, avec de la dentelle dans le dos. J'ai tout mis sur le lit, puis j'ai ouvert mon propre sac, d'où j'ai sorti mon attirail de sextoys. J'ai pris son plug anal, agrémenté d'un petit bijou rose au bout, et l'ai ajouté à sa panoplie. Nina est arrivée dans la chambre quelques minutes plus tard, enroulée dans sa serviette.
_ Ça fait du bien ? lui ai-je demandé.
_ Pas vraiment. Tu sais très bien ce qui me fera du bien. Tu m'as préparé une tenue ?
_ Ouais, tu ne m'en voudras pas j'espère. J'avais envie d'une tenue spéciale pour une soirée spéciale.
Elle m'a regardé d'un air curieux, avant de se pencher sur les vêtements que je lui avais choisis.
_ Pas de sous-vêtements ?
_ Considère ça comme un sous-vêtement, lui ai-je dis en prenant le plug entre les doigts.
Nina a souri puis a défait sa serviette. J'avais vu son corps nu des centaines de fois, sous toutes les coutures, dans toutes les positions. Pourtant, je m'extasiais toujours autant quand elle se mettait à nu devant mes yeux. Elle avait un corps parfait. Nina a souri de nouveau en me voyant la dévorer du regard, puis a enfilé la jupe, et le haut. Ses piercings aux tétons étaient largement visibles, ce qui lui donnait un air à la fois provocateur et terriblement sexy.
_ Tu m'aides pour la dernière pièce ? m'a-t-elle demandé en se penchant sur le lit.
_ Avec plaisir, lui ai-je répondu avec une légère fessée.
J'ai pris le plug entre les doigts, et l'ai d'abord enfoncé dans sa bouche, le faisant tourner pour qu'elle le lèche bien, comme un mini pénis. Puis j'ai fait voler sa jupe au-dessus de ses hanches, et d'une main j'ai écarté ses fesses. Le plug est venu se coller contre son anus brun, et d'une poussée légère mais assurée, je l'ai enfoncé profondément en elle. Nina a grogné de plaisir, et j'ai terminé l'opération par une nouvelle claque, un peu plus sèche cette fois, sur ce cul délicieux.
_ Sortons, maintenant, lui ai-je dis en la relevant.
Et nous sommes ressortis. Nous avons erré pendant un moment sans réel but, si ce n'est de confronter la quasi nudité de Nina aux regards des gens. Parfois, au détour d'une rue, je glissais discrètement ma main sous sa jupe pour pétrir l'une de ses fesses, ou glisser un peu plus entre ses cuisses quand je le pouvais. Je la sentais qui frémissait à chacun de mes contacts. Après vingt bonnes minutes de marche, on est s'est installés à la terrasse d'un petit restaurant perdu dans une ruelle. Nous étions quasiment les seuls clients, aussi notre assiette de légumes grillés est arrivée assez vite. J'avais une faim de loup ! Nous n'avions quasiment rien mangé de la journée. Nina, pourtant, n'a presque pas touché à la nourriture, trop occupée à résister au plaisir et aux doigts que je glissais discrètement sous sa jupe dès que j'en avais l'occasion. Elle était trempée. A deux reprises, j'ai pu glisser deux doigts en elle sans le moindre problème. Nina a alors attrapé mon poignet en me suppliant d'arrêter, sans quoi elle allait jouir sur le champ. Voulant la garder encore un peu sous pression, j'ai laissé sa fente au profit de mes aubergines.
Le repas terminé, nous avons quitté le restaurant pour aller boire un verre dans un bar tout proche. L'endroit semblait chic, plein d'hommes en costumes et femmes bien apprêtées en train de siroter des cocktails. Ce n'était pas le genre d'établissement que j'avais en tête pour continuer notre soirée. Nous n'avons même pas commandé et avons repris la route, pour nous retrouver à l'entrée d'un café sombre, deux rues plus loin. Un groupe d'hommes était en train de discuter au bar avec une jeune serveuse, d'autres jouaient aux cartes sur une table près de l'entrée. Un sourire aux lèvres, j'ai ouvert la porte et invité Nina a passé devant moi. Tous ont arrêté leurs activités et nous ont dévisagé, tandis que je lançais un "Hello!", espérant que quelqu'un comprendrait l'anglais. Nous nous sommes assis à une table au fond du bar, et je suis allé commandé deux bières, la serveuse m'a dit qu'elle m'apporterait nos consommations. De retour à ma place, j'ai remarqué que Nina n'avait pas l'air vraiment à l'aise.
_ Qu'est-ce qui se passe ? lui ai-je demandé. L'endroit te fait flipper ?
_ Pas l'endroit, non. Plutôt ce que tu peux avoir en tête.
_ Ça te fait peur ou ça t'excite ? lui ai-je demandé en posant ma main haut sur sa cuisse.
_ Les deux.
_ Tant mieux. La serveuse arrive, remonte ta jupe.
Nina a eu un regard d'incompréhension, puis voyant la jeune fille arriver avec nos deux bières, s'est exécutée et a remonté sa jupe au-dessus de sa taille. Voyant l'entrejambe exhibé de Nina, la serveuse a elle aussi eu ce même regard d'incompréhension, avant de poser les boissons et de nous sourire. Une fois de retour à son bar, je l'ai vue qui parlait aux autres hommes, et les autres hommes se retourner vers nous et se contorsionner, sûrement pour avoir une chance d'apercevoir cette chatte dont elle avait dû leur parler. Nina était rouge, d'embarras et d'excitation. Elle avait laissé sa jupe relevée, et buvait sa bière en tentant d'éviter de croiser les regards qui se posaient sur son corps. Puis la serveuse est revenue avec deux cocktails, que nous n'avions pas commandés.
_ Offerts par un de ces hommes, nous a-t-elle dit en anglais et en désignant le groupe au bar. Ils m'ont aussi dit qu'ils paieraient toutes vos consommations s'ils pouvaient en voir d'avantage.
Une fois la serveuse repartie, j'ai demandé à Nina ce qu'elle en pensait. Elle m'a simplement répondu qu'elle me faisait confiance, qu'elle m'aimait, et qu'elle avait envie de jouir. Et qu'elle se foutait pas mal des cocktails. Et alors, sans en demander plus, elle a passé son tee-shirt au dessus de ses seins. Une salve d'applaudissements a alors retenti dans le bar.
_ On dirait que j'ai rendez-vous avec mon public, a lancé Nina en se levant.
Elle a entièrement retiré sa jupe et son tee-shirt, et c'est uniquement vêtue de ses baskets et de son plug qu'elle a rejoint la serveuse derrière le bar. Les hommes près de la porte d'entrée se sont levés, l'un d'entre eux a verrouillé celle-ci, et tous ont rejoint les autres fans de Nina près du zinc. Je commençais à penser que tout ceci était une mauvaise idée, une situation dangereuse dans laquelle j'avais jeté Nina sans plus de précaution. J'ai commencé à stresser, j'étais prêt à pousser ces types, et sortir celle que j'aime de ce trou à rats. Et puis j'ai croisé son regard, plein de désir et d'excitation, lorsque avec l'aide de la serveuse, elle est montée sur le bar. Alors je l'ai laissée continuer, m'avançant simplement aux premières loges pour garantir un minimum sa sécurité. Une fois assise sur le bar, Nina a glissé ses mains le long de son corps, les yeux fermés, et a commencé à caresser ses seins, son ventre, ses cuisses, avant de glisser deux doigts entre les lèvres de sa chatte. Tout le monde pouvait très largement voir à quel point elle était trempée. Et ainsi elle a commencé à se masturber devant tout le monde, faisant aller et venir ses doigts en elle. Son intérêt s'est ensuite porté sur la bouteille d'un des clients. Sans même vider le reste de bière, elle a posé le goulot contre son sexe, et s'en est servi comme d'un sextoy. Elle l'a fait aller et venir en elle, à un rythme de plus en plus soutenu. Elle a ensuite rendu sa bouteille au client, qui s'est jeté dessus pour boire une grande gorgée de bière au goût de mouille, et elle a pris la bouteille d'un autre. Et ainsi de suite, avec chacune des bouteilles présentes sur le bar. Puis elle a utilisé ses doigts. Trois sont entrés directement en elle. Elle a glissé son autre main sous ses fesses, et a joué avec son plug. Elle était ruisselante, d'excitation et de sueur. Elle m'a regardé droit dans les yeux, j'ai pu lire “ je peux? ” sur ses lèvres, et j'ai acquiescé d'un hochement de tête. Alors elle a fermé les yeux et accéléré le rythme, ajoutant même un quatrième doigt. Seul son pouce était resté en dehors. Moins d'une minute lui aura suffi pour qu'elle se mette à trembler, et gémir de plus en plus fort. Le public s'est tu, et Nina s'est laissée aller à la jouissance en criant. La serveuse et moi-même avons dû la retenir pour qu'elle ne tombe pas du bar. Le bar est resté silencieux jusqu'à ce que Nina se calme et s'asseye sur le zinc, puis une nouvelle salve d'applaudissements s'est faite entendre. Nina a rouvert les yeux, souri, et m'a regardé amoureusement. Je l'ai aidée à se relever, et elle est allée se rassoir à notre table tandis que je lui commandais un nouveau verre, offert par la maison.
J'ai discuté avec la serveuse le temps qu'elle prépare nos cocktails. Elle m'a dit s'appeler Lejla, sa famille était originaire d'Albanie mais ses parents vivaient aujourd'hui au nord de la Grèce, et elle travaillait dans ce bar avec son oncle depuis deux ans. Pendant qu'elle m'expliquait un peu sa vie, je la détaillais. Ses cheveux châtain, ondulés, teintés de mèches blondes. Ses pomettes, garnies de tâches de rousseur, et ses yeux verts. Je ne voyais pas grand chose de son corps, mais je devinais une belle poitrine sous son tee-shirt noir moulant. Son collier, au ras du cou, me rappelait les colliers que Nina avait parfois l'habitude de porter, quand elle endossait le rôle de la chienne soumise, et cela avait tendance à m'intriguer. Lejla m'a demandé ce que nous faisions dans le coin, et je lui ai expliqué notre périple, notre désir de voyage à travers l'Europe, d'aller là où le vent nous mènera, au gré des rencontres et des envies. Je lui ai expliqué que dès le lendemain, nous partions pour Naxos rejoindre un couple rencontré l'avant-veille, dans le ferry qui ne menait en Grèce.
_ Ça a l'air d'être un chouette voyage, m'a-t-elle dit un peu rêveuse. Et puis, vous avez l'air d'être un chouette couple. Si vous avez envie de découvrir l'Albanie, j'y retourne dans quelques jours. Peut-être qu'on pourrait faire la route ensemble ? Je vous ferai découvrir les charmes de ma région.
Son client d'œil, qui ponctuait sa phrase, m'a fait accepter sur le champ. Avec un grand sourire, j'ai noté son numéro, lui promettant de l'appeler dès notre retour de Naxos. Nous passerions forcément par Athènes, et alors nous pourrions remonter ensemble vers le nord.
_ Ça me semble parfait, m'a-t-elle dit en me tendant nos cocktails.
De retour à notre table, Nina finissait tout juste de se rhabiller. Elle a bu son cocktail pendant que je lui racontais ma conversation avec Lejla. Comme d'habitude, je sentais dans son regard un mélange d'excitation et de jalousie. Aussi, je la rassurais en la prenant tout contre moi, pour l'embrasser et lui chuchoter à l'oreille à quel point j'étais amoureux d'elle.
Dix minutes plus tard, nous sortions du bar en saluant tout le monde, et nous rentrions à notre appartement. Nina m'a dit être fatiguée, et surtout avoir besoin d'une bonne douche ! Nous avons pris cette douche ensemble. Une douche sage, jusqu'à ce que Nina se rende compte que si elle avait eu un orgasme, ce n'était pas mon cas. Je lui ai dis que je ne voulais pas forcément que ce soit le cas, que ce n'était pas tout le temps donnant-donnant et que son plaisir, parfois, me suffisait. Mais elle n'était pas du même avis, et s'est agenouillée aussitôt pour prendre mon sexe en bouche. Deux minutes plus tard, j'étais dans sa gorge. Quelle douce sensation que de sentir cette bouche sur moi en même temps que l'eau chaude sur le reste de mon corps. Cinq minutes de plus me suffirent pour être à bout, et Nina s'est retirée pour que je puisse éjaculer abondamment sur son visage. Après ça, Nina est venue se lover contre moi tandis que je la lavais.
Nous étions au lit une demie heure plus tard, nus, à nous câliner, prêts à vivre de nouvelles aventures le lendemain.
Athènes, Grèce
—
Lorsque je me suis réveillé, le lit était vide, et le réveil indiquait dix heures du matin. J'avais dormi plus que de raison. J'ai enfilé un caleçon et suis allé dans le séjour, où j'ai trouvé Nina en train de préparer le café. Elle est venue m'embrasser en m'en apportant une tasse, puis s'est assise sur la terrasse pour se passer du vernis à ongles.
_ Tu es réveillée depuis longtemps ?
_ Une heure environ. Ça m'a laissé le temps de me préparer.
En effet, Nina était déjà apprêtée. Lavée, coiffée, maquillée et habillée. Elle avait enfilé un short, haut sur la taille comme sur les cuisses, et un top assez échancré pour être obligée de porter un soutien-gorge. Non pas que ça l'aurait gêné de se retrouver avec un sein à l'air, non, elle n'était pas du genre à s'offusquer pour si peu. Mais autant commencer la journée sur de "bonnes" bases.
Je me suis dépêché de finir mon petit déjeuner et de m'habiller à mon tour, histoire de ne pas gâcher notre journée culturelle. Et donc, moins de trente minutes après mon réveil, nous étions déjà dans la rue, chaude et bruyante. Et on a marché. Longtemps. Nina avait prévu le coup en enfilant une paire de baskets pour l'occasion, ce qui lui donnait, avec sa paire de lunettes solaires sur le nez, un air de jeune californienne branchée. J'ai surpris quelques regards masculins se poser sur elle, ce qui me rendait assez fier. Et pendant plusieurs heures, nous avons marché à travers les ruines de la Grèce Antique, de l'Agora d'Athènes à l'Acropole, du Parthénon à l'Héphaïstéion, de la Porte d'Hadrien au Théâtre de Dionysos. Vers seize heures, nous étions tous les deux crevés, les jambes en compote et suant à grosses gouttes. Nous en avions maintenant assez des visites, aussi nous avons décidé de rentrer à notre appartement, le temps d'une douche, avant de ressortir le soir. Pour rentrer, nous avons traversé le parc de la colline des Muses, un massif aride au cœur de la ville, recouvert de végétations sèches, de pavés, et de ruines disséminées par-ci par-là. C'est ici que Nina m'a saisi la main et m'a dit :
_ Attends, je dois faire pipi.
Elle savait que je la suivrais de toutes façons, aussi elle n'a pas lâché ma main, jusqu'à ce qu'on se retrouve au milieu des buissons, à priori à couvert d'éventuels passants. Elle a défait son short et l'a baissé sur ses genoux, avec sa culotte, avant de s'accroupir, et de pisser devant mes yeux, sans la moindre gêne ou pudeur. J'ai été incapable de détourner le regard du jet doré qui s'échappait de son sexe. Puis je l'ai regardée me regarder, et les pensées les plus lubriques ont envahi mon cerveau. J'ai eu envie de sortir mon sexe, prendre sa bouche, sa gorge, et puis me répandre sur elle, lui éjaculer dessus, puis lui pisser dessus. Quand je l'ai vue se mordiller la lèvre, je me suis dis que peut-être avait-elle lu dans mes pensées. Mais un cri venant de derrière les buissons nous ont sortis de mes pensées. Nous sommes restés un instant sans bouger, puis un deuxième cri s'est fait entendre. Plus qu'un cri, il s'agissait d'un gémissement. Le temps que l'on se demande ce qui se passe, un troisième gémissement, clairement féminin, se faisait entendre. Il n'y avait que très peu de doute sur ce qui était en train de se dérouler à quelques mètres de nous. Nina s'est alors rhabillée, et curieux, nous nous sommes rapprochés de la source du bruit.
Derrière un fourré, un peu en contre-bas, un couple s'adonnait à la plus belle des activités. Ils avaient tous les deux la vingtaine, et tandis que elle, la jupe retroussée sur les hanches et la culotte sur les chevilles, s'agrippait à un arbre, lui l'agrippait elle, et la prenait en levrette avec la plus grande fermeté. Parfois, ils jetaient un regard tout autour d'eux, mais sans jamais s'arrêter, pour vérifier qu'on ne les épiait pas. Ce que Nina et moi faisions, allègrement, cachés derrière notre arbre. Nina, très intéressée par le spectacle, se mordait déjà les lèvres, et n'a pas tardé à glisser une main dans son short encore déboutonné. Je l'ai ainsi laissée se branler, en rythme avec les va-et-vient du couple d'exhibitionnistes. Leurs gémissements à tous les deux devenaient progressivement des cris et des grognements, nous étions proches du bouquet final. Alors lui s'est retiré, et elle s'est agenouillée pour le prendre en bouche. Le main de Nina accélérait elle aussi entre ses cuisses, son orgasme arrivait également. J'ai posé ma main sur son poignet pour l'empêcher de continuer.
_ Pas maintenant, lui ai-je chuchoté à l'oreille.
Nina m'a regardé avec un air partagé entre la déception, la rage, mais aussi l'excitation. Car elle savait qu'en lui interdisant de jouir maintenant, un nouveau jeu commençait. Elle a alors retiré ses doigts poisseux de sa culotte, tandis qu'en face de nous, l'homme jouissait bruyamment dans la bouche de son amie.
Nous nous sommes éclipsés discrètement, et avons repris le chemin de notre appartement. Alors que nous quittions le parc, j'ai remarqué que Nina se dandinait sans même s'en rendre compte, sûrement gênée par les picotements entre ses cuisses, ce qui m'a fait sourire.
_ Quand est-ce que tu t'occuperas de moi ? m'a-t-elle demandé.
_ Plus tard. Quand tu ne t'y attendras pas forcément.
_ J'ai tellement envie que tu me baises que je m'attends même à ce que tu me baises ici, sur ce passage piéton.
_ Plus tard, lui ai-je dis en rigolant et en attrapant sa main.
Un quart d'heure plus tard, nous étions arrivés. A peine entrés dans l'appartement, Nina s'est collée à moi, me suppliant de la prendre sur le champ.
_ Va prendre une douche froide, ça te calmera un peu, lui ai-je dis en lui pinçant une fesse.
Elle a grogné, mais a suivi mon conseil. Elle s'est déshabillée face à moi, en tirant la gueule, et elle est allée dans la salle de bain.
_ Et que je ne te surprenne pas en train de te toucher ! lui ai-je lancé de loin.
Pendant ce temps, je suis allé dans la chambre, et j'ai ouvert la valise de Nina. J'en ai sorti une jupe fleurie, que je savais courte et évasée, et un petit top blanc, avec de la dentelle dans le dos. J'ai tout mis sur le lit, puis j'ai ouvert mon propre sac, d'où j'ai sorti mon attirail de sextoys. J'ai pris son plug anal, agrémenté d'un petit bijou rose au bout, et l'ai ajouté à sa panoplie. Nina est arrivée dans la chambre quelques minutes plus tard, enroulée dans sa serviette.
_ Ça fait du bien ? lui ai-je demandé.
_ Pas vraiment. Tu sais très bien ce qui me fera du bien. Tu m'as préparé une tenue ?
_ Ouais, tu ne m'en voudras pas j'espère. J'avais envie d'une tenue spéciale pour une soirée spéciale.
Elle m'a regardé d'un air curieux, avant de se pencher sur les vêtements que je lui avais choisis.
_ Pas de sous-vêtements ?
_ Considère ça comme un sous-vêtement, lui ai-je dis en prenant le plug entre les doigts.
Nina a souri puis a défait sa serviette. J'avais vu son corps nu des centaines de fois, sous toutes les coutures, dans toutes les positions. Pourtant, je m'extasiais toujours autant quand elle se mettait à nu devant mes yeux. Elle avait un corps parfait. Nina a souri de nouveau en me voyant la dévorer du regard, puis a enfilé la jupe, et le haut. Ses piercings aux tétons étaient largement visibles, ce qui lui donnait un air à la fois provocateur et terriblement sexy.
_ Tu m'aides pour la dernière pièce ? m'a-t-elle demandé en se penchant sur le lit.
_ Avec plaisir, lui ai-je répondu avec une légère fessée.
J'ai pris le plug entre les doigts, et l'ai d'abord enfoncé dans sa bouche, le faisant tourner pour qu'elle le lèche bien, comme un mini pénis. Puis j'ai fait voler sa jupe au-dessus de ses hanches, et d'une main j'ai écarté ses fesses. Le plug est venu se coller contre son anus brun, et d'une poussée légère mais assurée, je l'ai enfoncé profondément en elle. Nina a grogné de plaisir, et j'ai terminé l'opération par une nouvelle claque, un peu plus sèche cette fois, sur ce cul délicieux.
_ Sortons, maintenant, lui ai-je dis en la relevant.
Et nous sommes ressortis. Nous avons erré pendant un moment sans réel but, si ce n'est de confronter la quasi nudité de Nina aux regards des gens. Parfois, au détour d'une rue, je glissais discrètement ma main sous sa jupe pour pétrir l'une de ses fesses, ou glisser un peu plus entre ses cuisses quand je le pouvais. Je la sentais qui frémissait à chacun de mes contacts. Après vingt bonnes minutes de marche, on est s'est installés à la terrasse d'un petit restaurant perdu dans une ruelle. Nous étions quasiment les seuls clients, aussi notre assiette de légumes grillés est arrivée assez vite. J'avais une faim de loup ! Nous n'avions quasiment rien mangé de la journée. Nina, pourtant, n'a presque pas touché à la nourriture, trop occupée à résister au plaisir et aux doigts que je glissais discrètement sous sa jupe dès que j'en avais l'occasion. Elle était trempée. A deux reprises, j'ai pu glisser deux doigts en elle sans le moindre problème. Nina a alors attrapé mon poignet en me suppliant d'arrêter, sans quoi elle allait jouir sur le champ. Voulant la garder encore un peu sous pression, j'ai laissé sa fente au profit de mes aubergines.
Le repas terminé, nous avons quitté le restaurant pour aller boire un verre dans un bar tout proche. L'endroit semblait chic, plein d'hommes en costumes et femmes bien apprêtées en train de siroter des cocktails. Ce n'était pas le genre d'établissement que j'avais en tête pour continuer notre soirée. Nous n'avons même pas commandé et avons repris la route, pour nous retrouver à l'entrée d'un café sombre, deux rues plus loin. Un groupe d'hommes était en train de discuter au bar avec une jeune serveuse, d'autres jouaient aux cartes sur une table près de l'entrée. Un sourire aux lèvres, j'ai ouvert la porte et invité Nina a passé devant moi. Tous ont arrêté leurs activités et nous ont dévisagé, tandis que je lançais un "Hello!", espérant que quelqu'un comprendrait l'anglais. Nous nous sommes assis à une table au fond du bar, et je suis allé commandé deux bières, la serveuse m'a dit qu'elle m'apporterait nos consommations. De retour à ma place, j'ai remarqué que Nina n'avait pas l'air vraiment à l'aise.
_ Qu'est-ce qui se passe ? lui ai-je demandé. L'endroit te fait flipper ?
_ Pas l'endroit, non. Plutôt ce que tu peux avoir en tête.
_ Ça te fait peur ou ça t'excite ? lui ai-je demandé en posant ma main haut sur sa cuisse.
_ Les deux.
_ Tant mieux. La serveuse arrive, remonte ta jupe.
Nina a eu un regard d'incompréhension, puis voyant la jeune fille arriver avec nos deux bières, s'est exécutée et a remonté sa jupe au-dessus de sa taille. Voyant l'entrejambe exhibé de Nina, la serveuse a elle aussi eu ce même regard d'incompréhension, avant de poser les boissons et de nous sourire. Une fois de retour à son bar, je l'ai vue qui parlait aux autres hommes, et les autres hommes se retourner vers nous et se contorsionner, sûrement pour avoir une chance d'apercevoir cette chatte dont elle avait dû leur parler. Nina était rouge, d'embarras et d'excitation. Elle avait laissé sa jupe relevée, et buvait sa bière en tentant d'éviter de croiser les regards qui se posaient sur son corps. Puis la serveuse est revenue avec deux cocktails, que nous n'avions pas commandés.
_ Offerts par un de ces hommes, nous a-t-elle dit en anglais et en désignant le groupe au bar. Ils m'ont aussi dit qu'ils paieraient toutes vos consommations s'ils pouvaient en voir d'avantage.
Une fois la serveuse repartie, j'ai demandé à Nina ce qu'elle en pensait. Elle m'a simplement répondu qu'elle me faisait confiance, qu'elle m'aimait, et qu'elle avait envie de jouir. Et qu'elle se foutait pas mal des cocktails. Et alors, sans en demander plus, elle a passé son tee-shirt au dessus de ses seins. Une salve d'applaudissements a alors retenti dans le bar.
_ On dirait que j'ai rendez-vous avec mon public, a lancé Nina en se levant.
Elle a entièrement retiré sa jupe et son tee-shirt, et c'est uniquement vêtue de ses baskets et de son plug qu'elle a rejoint la serveuse derrière le bar. Les hommes près de la porte d'entrée se sont levés, l'un d'entre eux a verrouillé celle-ci, et tous ont rejoint les autres fans de Nina près du zinc. Je commençais à penser que tout ceci était une mauvaise idée, une situation dangereuse dans laquelle j'avais jeté Nina sans plus de précaution. J'ai commencé à stresser, j'étais prêt à pousser ces types, et sortir celle que j'aime de ce trou à rats. Et puis j'ai croisé son regard, plein de désir et d'excitation, lorsque avec l'aide de la serveuse, elle est montée sur le bar. Alors je l'ai laissée continuer, m'avançant simplement aux premières loges pour garantir un minimum sa sécurité. Une fois assise sur le bar, Nina a glissé ses mains le long de son corps, les yeux fermés, et a commencé à caresser ses seins, son ventre, ses cuisses, avant de glisser deux doigts entre les lèvres de sa chatte. Tout le monde pouvait très largement voir à quel point elle était trempée. Et ainsi elle a commencé à se masturber devant tout le monde, faisant aller et venir ses doigts en elle. Son intérêt s'est ensuite porté sur la bouteille d'un des clients. Sans même vider le reste de bière, elle a posé le goulot contre son sexe, et s'en est servi comme d'un sextoy. Elle l'a fait aller et venir en elle, à un rythme de plus en plus soutenu. Elle a ensuite rendu sa bouteille au client, qui s'est jeté dessus pour boire une grande gorgée de bière au goût de mouille, et elle a pris la bouteille d'un autre. Et ainsi de suite, avec chacune des bouteilles présentes sur le bar. Puis elle a utilisé ses doigts. Trois sont entrés directement en elle. Elle a glissé son autre main sous ses fesses, et a joué avec son plug. Elle était ruisselante, d'excitation et de sueur. Elle m'a regardé droit dans les yeux, j'ai pu lire “ je peux? ” sur ses lèvres, et j'ai acquiescé d'un hochement de tête. Alors elle a fermé les yeux et accéléré le rythme, ajoutant même un quatrième doigt. Seul son pouce était resté en dehors. Moins d'une minute lui aura suffi pour qu'elle se mette à trembler, et gémir de plus en plus fort. Le public s'est tu, et Nina s'est laissée aller à la jouissance en criant. La serveuse et moi-même avons dû la retenir pour qu'elle ne tombe pas du bar. Le bar est resté silencieux jusqu'à ce que Nina se calme et s'asseye sur le zinc, puis une nouvelle salve d'applaudissements s'est faite entendre. Nina a rouvert les yeux, souri, et m'a regardé amoureusement. Je l'ai aidée à se relever, et elle est allée se rassoir à notre table tandis que je lui commandais un nouveau verre, offert par la maison.
J'ai discuté avec la serveuse le temps qu'elle prépare nos cocktails. Elle m'a dit s'appeler Lejla, sa famille était originaire d'Albanie mais ses parents vivaient aujourd'hui au nord de la Grèce, et elle travaillait dans ce bar avec son oncle depuis deux ans. Pendant qu'elle m'expliquait un peu sa vie, je la détaillais. Ses cheveux châtain, ondulés, teintés de mèches blondes. Ses pomettes, garnies de tâches de rousseur, et ses yeux verts. Je ne voyais pas grand chose de son corps, mais je devinais une belle poitrine sous son tee-shirt noir moulant. Son collier, au ras du cou, me rappelait les colliers que Nina avait parfois l'habitude de porter, quand elle endossait le rôle de la chienne soumise, et cela avait tendance à m'intriguer. Lejla m'a demandé ce que nous faisions dans le coin, et je lui ai expliqué notre périple, notre désir de voyage à travers l'Europe, d'aller là où le vent nous mènera, au gré des rencontres et des envies. Je lui ai expliqué que dès le lendemain, nous partions pour Naxos rejoindre un couple rencontré l'avant-veille, dans le ferry qui ne menait en Grèce.
_ Ça a l'air d'être un chouette voyage, m'a-t-elle dit un peu rêveuse. Et puis, vous avez l'air d'être un chouette couple. Si vous avez envie de découvrir l'Albanie, j'y retourne dans quelques jours. Peut-être qu'on pourrait faire la route ensemble ? Je vous ferai découvrir les charmes de ma région.
Son client d'œil, qui ponctuait sa phrase, m'a fait accepter sur le champ. Avec un grand sourire, j'ai noté son numéro, lui promettant de l'appeler dès notre retour de Naxos. Nous passerions forcément par Athènes, et alors nous pourrions remonter ensemble vers le nord.
_ Ça me semble parfait, m'a-t-elle dit en me tendant nos cocktails.
De retour à notre table, Nina finissait tout juste de se rhabiller. Elle a bu son cocktail pendant que je lui racontais ma conversation avec Lejla. Comme d'habitude, je sentais dans son regard un mélange d'excitation et de jalousie. Aussi, je la rassurais en la prenant tout contre moi, pour l'embrasser et lui chuchoter à l'oreille à quel point j'étais amoureux d'elle.
Dix minutes plus tard, nous sortions du bar en saluant tout le monde, et nous rentrions à notre appartement. Nina m'a dit être fatiguée, et surtout avoir besoin d'une bonne douche ! Nous avons pris cette douche ensemble. Une douche sage, jusqu'à ce que Nina se rende compte que si elle avait eu un orgasme, ce n'était pas mon cas. Je lui ai dis que je ne voulais pas forcément que ce soit le cas, que ce n'était pas tout le temps donnant-donnant et que son plaisir, parfois, me suffisait. Mais elle n'était pas du même avis, et s'est agenouillée aussitôt pour prendre mon sexe en bouche. Deux minutes plus tard, j'étais dans sa gorge. Quelle douce sensation que de sentir cette bouche sur moi en même temps que l'eau chaude sur le reste de mon corps. Cinq minutes de plus me suffirent pour être à bout, et Nina s'est retirée pour que je puisse éjaculer abondamment sur son visage. Après ça, Nina est venue se lover contre moi tandis que je la lavais.
Nous étions au lit une demie heure plus tard, nus, à nous câliner, prêts à vivre de nouvelles aventures le lendemain.
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