Titre de l'histoire érotique : Sandrine et Hugues se partagent mon cul - histoire érotique

Ca a commencé à la fac. Hugues et Sandrine me draguaient chacun de leur côté. Hugues me caressait les fesses, comme s'il voulait m'enculer, et Sandrine la pine, comme si elle voulait que je la baise. Ce que je ne savais pas, c'est qu'ils se voyaient en cachette, et échangeaient leurs informations. Ils aimaient s'amuser, sexuellement parlant.
Comme je n'étais pas au courant, j'ai succombé au charme de Sandrine. Elle m'a emmené dans sa chambre. Sandrine était plus délurée que moi. Elle savait que si elle voulait tenter des expériences, ça passerait mieux avec une fille. C'est elle qui m'a déshabillée. Une fois à poil, elle s'est mise derrière moi, ses cuisses et sa moule, collés à mon cul. Elle s'est emparée de ma pine, pour éviter une éjaculation trop hâtive, m'a-t-elle dit, et ma branlé. Au moment de la jouissance, elle a fait le tour et s'est présentée de face, ma pine dirigée vers son ventre. J'ai tout lâché. Elle était couverte de sperme. Elle est retournée derrière moi, et, toute gluante, elle s'set frottée contre mes cuisses et mon cul. Ensuite, elle est revenue devant, s'est agenouillée et a pris ma pine dans sa bouche. Elle a pris tout son temps. Les lèvres closes, elle a déposé un bisou sur le gland. Le bout de sa langue est sorti et a léché la petite fente, déjà échauffée. Ensuite, elle a désserré les dents et ses lèvres se sont refermées sur ma queue. Sa salive l'a aidée à glisser le long de ma tige. D'abord jusqu'à ce que le gland soit tout entier dans bouche, sa langue en faisant le tour, afin d'aiguiser mes sens, puis, descendant plus bas, à chaque plongée de ma queue entre ses lèvres. Quand celles-ci touchèrent les poils de mon pubis, elle glissa sa langue sous mes couilles. Elle les les goba, une à une. Ses yeux ne quittaient pas les miens, guettant le moindre signe d'excitation. J'ai fini par jouir dans sa bouche. Elle a tout avalé. J'étais incapable de bouger. Alors, elle se baissa, et sortit un attirail de sous le lit. La seule chose que j'ai reconnue, c'était une bite en plastique. Elle se dégagea de sous moi, et entreprit de revêtir l'engin. Une fois la ceinture gode bien en place, elle passa derrière moi, écarta mes fesses de ses mains, et avec ses hanches, elle posa le gland en plastique sur mon petit trou. Elle me courba vers le lit, et, très doucement, elle poussa le gode dans mon cul. Ses cuisses se mirent en mouvement et le gode glissa doucement. Sandrine prit ma pine dans sa main. Elle était raide.
- Ca a l'air de te plaire,,,Tu aimes ?
- C'est pas désagréable...
- C'est mieux qu'avec Hugues ?
Je sursautai. Elle passa son bras autour de ma taille, pour maintenir le gode dans mon cul.
J'essayai de réfléchir. J'ai connu Hugues sur les bancs de l'école. Nous sommes devenus copains très vite. Quand il m'a dit que j'avais un beau cul, je n'y ai pas prêté attention. Les moqueries entre garçons sont fréquentes. Plus tard, au lycée, quand il a commencé à me toucher puis me caresser, j'ai compris qu'il me désirait. Je ne connaissais pas encore Sandrine. Quand, pour la première fois, il m'a emmené chez lui, il m'a amené dans sa chambre. A peine la porte fermée, il se colla dans mon dos. Je sentais sa pine raide collée à mon cul. Il passa devant moi, et glissa sa main entre mes cuisses. J'étais raide, moi aussi. Il se colla à moi, et posa ses mains sur mes fesses.
- Ca fait trop longtemps que j'attends ça, murmura-t-il à mon oreille.
Il glissa ses mains dans la ceinture de mon pantalon, puis dans mon slip. Il empoigna mes fesses, et les malaxa. Involontairement, je tendais mon cul vers ses mains. Cet endroit de mon corps a toujours été le plus sensible aux caresses. Hugues sentait bien la raideur de ma pine. Il lâcha mes fesses et agrippa les bords de mon pantalon. Il le baissa jusque sur mes chaussures. De fait, il était à genoux. Il fit le même geste avec mon slip et posa ses lèvres sur ma pine, qui se cabra. Il la prit dans sa bouche, et m'administra la première pipe que me fit un homme. Il me demanda de lui rendre la pareille, mais dans une autre position. Il s'allongea sur le sol et prit ma bite dans sa bouche. Moi, j'étais accroupi au-dessus de lui et me suis baissé pour gober sa queue.
- Ca s'appelle un 69, si tu connais pas ! Dit-il.
Je n'ai pas pu répondre, j'avais la bouche pleine. Quand nous eûmes joui, dans la bouche l'un de l'autre, Hugues s'est dégagé et m'a dit :
- Ne bouges pas...
Il s'est allongé sur moi. Je sentais sa queue déjà raide, se colla contre la raie de mes fesses. Il l'a saisit et, à l'aide de son gland, il écarta mes fesses, et le posa sur mon petit trou. Encore toute gluante du sperme lâché dans ma bouche, il enfonça sa queue dans mon cul. C'était la première fois avec un garçon. Hugues a été obligé de forcer pour introduire sa queue dans mon cul. Contre toute attente, j'ai aimé ça. Sentir glisser le gros manche de Hugues, dans mon petit trou, me donnait le sentiment de lui appartenir. Je sentais que je lui donnerais mon cul, encore et encore.
Mais, pour l'instant, c'est Sandrine, qui est dans mon cul.
- Tu connais Hugues ?
- Enfin, Désiré ! On était tout les trois dans la même classe !
- Et alors ?
- Alors ? Mais regardes-toi ! T'as un cul magnifique ! A la fac, tout le monde en parlait. Quand j'ai connu Hugues, ton cul était la mascotte du bahut. Comme il nous plaisait à tout les deux, et qu'on aime la compétition, on a décidé, lui et moi, de te le prendre. Et, comme on aime s'amuser, on a parié pour savoir qui t'amènerait à l'autre. Bon, assez joué. Qu'est-ce tu dirais de mettre ta bite dans ma chatte, ou dans mon cul, c'est toi qui choisit, et celle de Hugues dans ton cul. De toute façon, on t'enculera tous les deux. Quand ce sera Hugues, tu me baiseras ou me boufferas la chatte, Quand ce sera moi, tu lui boufferas la queue. Dans tous les cas, dans notre sandwich, ce sera toujours toi qui feras le jambon. Dis-toi que le seigneur t'as fait un si beau cul, pour donner du plaisir à ceux qui t'aiment et à ceux que tu aimes.
Et aujourd'hui, ça fait dix ans que ces deux -là se partagent mon cul.