Titre de l'histoire érotique : Soirée à 4 (2ème partie) - histoire érotique

Nos amants et nous étions étendus nus sur le lit. L’intensité de nos ébats était nettement redescendue pour laisser place à des caresses plus tendres. Nous avions également formé deux nouveaux couples. Stéphane et moi étions dans les bras l’un de l’autre à côté de Thomas et Fred qui s’enlaçaient. Nous parlions de tout et de rien même si la conversation laissait souvent place à des échanges buccaux avec nos amants respectifs. Parfois ces échanges étaient simultanés, parfois un couple s’embrassait pendant que l’autre le regardait afin de profiter du spectacle salivaire que nous offraient nos maris sans aucune pudeur.
A force de faire durer ce jeu, l’heure tournait et nos caresses devenaient plus molles à mesure que la fatigue grandissait. C’est ce moment que choisit Frédéric pour faire une proposition aussi inattendue qu’excitante.
« Bon ! Qui dort avec qui ? »
Si Thomas et moi étions d’accord pour une soirée à 4, jamais nous n’avions parlé d’aller jusqu’à l’échange. Nous échangeâmes un regard afin de chercher dans les yeux de l’autre la réponse à cette question. Mais, avant que nous décidâmes si nous avions envie de donner à notre sexualité cette nouvelle direction, Stéphane dit :
« Moi, je reste avec Sébastien ! »
Le choix avait été fait pour nous sans que nous ayons notre mot à dire. En entendant ces mots, Thomas me sourit. Cette nouvelle expérience n’avait pas l’air de le traumatiser. Je lui souris et me levai pour m’isoler avec Stéphane dans la chambre voisine. Avant de sortir, je me tournai vers Thomas qui échangeait déjà des pelles gourmandes avec Fred … Non, vraiment pas traumatisé !
Je me retrouvai donc seul avec Stéphane. Il m’attira vers lui et nos torses et nos langues se rencontrèrent à nouveau. Je sentais sa queue raide contre la mienne. Nous commencions à peine à nous embrasser et déjà des gémissements nous parvenaient d’à côté. Je reconnus Thomas. Pas possible, ils étaient seuls depuis à peine 2 minutes et déjà il se faisait grimper et, à l’entendre, il se donnait bien. Ca mériterait une petite discussion. Stéphane, que ces cris avaient l’air d’exciter, me retourna et me poussa sur le lit. Sans que je comprenne ce qui m’arrivait, je sentis sa langue en moi. C’était un vrai bon bouffeur de cul. Je me mis moi aussi à gémir doucement mais sans comparaison avec Thomas. Stéphane prenait son temps et s’appliquait, je m’ouvrais de plus en plus. Je sentis sa langue remonter le long de ma raie et parcourir mon dos pour arriver dans mon cou. Après ce que je lui avais mis plus tôt dans la soirée, c’était mon tour. Je sentis son gland se poser sur mon anus et sa bite coulissa lentement en moi jusqu’à la garde. C’était vraiment un sacré morceau. Il me prit par les hanches et me fit mettre à 4 pattes et se mit à aller et venir. Je sniffai de grandes rasades du flacon de poppers que j’avais pris avant de partir et tendis mes fesses davantage. Le message fut compris immédiatement, Stéphane passa de la douceur à la force sans prévenir. Mes cris firent écho à ceux de Thomas qui mit encore plus de passion à se faire baiser. Quelle salope ! L’entendre gueuler comme ça me rendait dingue et, à chaque coup de Stéphane, je reculai mon cul vers sa bite. Il accéléra encore le rythme et je surpassai Thomas dans ses cris.
« Plus fort !!! » : l’entendis-je dire.
Il s’adressait autant à Fred qu’à moi. Nous nous livrions à une vraie bataille de plaisirs entre couples adultérins. A un moment, ses cris se turent et ceux de Fred se firent entendre. Stéphane, en entendant son mec, se faire grimper à son tour me baisa avec encore plus d’ardeur. Au bout d’un certain temps, Fred se tut et Thomas reprit du service. L’ambiance était très cul et il poussait le vice de cette nouvelle expérience à son paroxysme. J’eus alors une idée. J’avançai, faisant ainsi déculer Stéphane qui se colla à moi pour me dire :
« T’en peux plus ?
- Non ! T’inquiète ! J’ai de la réserve ! »
Je le pris par la main pour le tirer du lit et l’emmener dans la chambre de nos mecs. Il m’attira à nouveau vers lui.
« C’est un échange ! Le but, c’est pas d’y retourner !
- Fais-moi confiance ! Suis-moi ! »
En arrivant, nous vîmes Thomas à 4 pattes avec Frédéric derrière lui. Ils étaient tournés vers la porte, ce qui m’arrangeait tout à fait. Thomas me regarda avec une pointe de déception qui, loin de me choquer, m’excita et me fit comprendre que j’avais eu raison de les rejoindre. Je restai dans l’encadrement de la porte et tendis mon cul à Stéphane qui s’en empara immédiatement pendant que je regardais Thomas. La déception sur le visage de Thomas disparut instantanément pour laisser place à un sourire vicelard. Si notre arrivée leur avait fait ralentir le rythme sans pour autant les stopper, Fred se remit à baiser Thomas de plus belle pendant que Stéphane me défonçait plaqué contre le mur. Un petit manège s’engagea alors entre Thomas et Frédéric qui échangeaient régulièrement leurs rôles devant Stéphane et moi qui gardions les mêmes places par un accord tacite. Non seulement la présence de nos mecs officiels dans la même pièce ne nous gênait pas mais en plus elle nous stimulait et nous faisait reculer les limites de la perversion. Autant nous pouvions nous mater, autant il arrivait que pendant de longs moments l’un ou l’autre couple ignore complètement l’autre. Au bout d’un certain temps, je me retournai vers Stéphane et lui roulai une énorme pelle devant nos mecs puis j’adressai un petit sourire de défi à Thomas avant de repartir baiser seul avec mon amant. Je compris à ce que j’entendis qu’il avait pris ce sourire pour une bénédiction à se faire défoncer encore plus.
Seul avec Stéphane, je m’allongeai sur le lit et relevai les jambes. Il me pénétra à nouveau. Face à face, nous nous galochions sans discontinuer avec en fond sonore les cris de nos mecs. J’entendis Thomas jouir puis se faire baiser à nouveau par Fred qui ne fut pas long à se faire entendre à son tour. Stéphane me sourit :
« Ton mec se fait remplir par le geyser ! »
J’imaginai l’impressionnante jouissance de Frédéric se déverser en Thomas et pensai au plaisir qu’il devait prendre à me tromper. J’étais heureux de l’avoir laissé entre de si bonnes mains. L’image de mon mec me rendant cocu me plût et je rendis son sourire à Stéphane en agrippant ses fesses. Il intensifia ses coups de rein pendant que je me branlais et, quand il vit que je commençai à gicler, il se lâcha lui aussi. Je le sentais se vider en moi en de grandes saccades. Il s’écroula sur mon torse couvert de sperme et nous continuâmes à nous embrasser un moment. Puis Stéphane roula sur le côté.
Peu après, la lumière de la pièce voisine s’éteignit et nous fîmes de même. Le sommeil nous cueillit tous les 4 très vite mais fut des plus agités. L’une ou l’autre chambre était parfois réveillée par des voisins particulièrement bruyants et peu fidèles. Nous vivions cette nouvelle expérience à fond. Si Thomas était tantôt actif tantôt passif, je ne pus me résoudre à être autre chose que passif avec Stéphane tant sa queue me faisait décoller.
Et si la nuit du vendredi avait été chaude, le week-end ne faisait que commencer et allait nous réserver de nombreuses autres surprises …
A suivre …