Titre de l'histoire érotique : Soumise
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Soumise
Lorsque je me suis mariée à vingt ans avec le fils d’un couple d’amis de mes parents plus vieux de quatre ans, je ne connaissais pas grand choses en matière de sexe.
Au lycée, j’avais un peu flirté avec des copains puis lors d’une soirée d’anniversaire, l’un d’eux avait pris mon pucelage avec beaucoup de douceur. J’ai couché avec lui à plusieurs reprises avant mon mariage mais, bien qu’il sache s’y prendre pour me faire l’amour, je n’étais pas trop attirée par les choses du sexe. Cela a continué avec mon mari avec qui je remplissais mon devoir conjugal (comme dit l’expression) sans grand enthousiasme. Nos rapports se sont progressivement espacés jusqu’à ce que je sois enceinte de notre premier enfant.
C’est après l’accouchement que ma vie sexuelle a basculé. Serge, mon mari à qui j’avais refusé tout contact depuis plusieurs mois, est arrivé un vendredi soir dans notre chambre où je venais de me mettre au lit après m’être occupée de notre fille. Sur le moment, je n’ai pas compris pourquoi il avait avec lui les ceintures de nos peignoirs de bain. Il s’est penché sur moi et m’a embrassée amoureusement en me prenant dans ses bras. Je me laissais faire en disant que j’exagérais de me refuser encore une fois.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il a attaché mes poignets au montant du lit. Je ne pouvais plus le repousser. Ensuite, il a ouvert brusquement ma nuisette, l’arrachant à moitié pour venir peloter mes seins gonflés par le lait maternel, les embrasser en mordillant les tétons.
Il était doux et violent à la fois. Puis il a rejeté les draps en montant sur le lit. D’un geste énergique il a écarté mes jambes, ouvrant mon compas au large. Il a mis une main sur ma chatte, faisant aller deux doigts dans ma fente. Immédiatement j’ai senti que mon sexe s’humidifiait alors que d’habitude, il fallait de longs préliminaires pour arriver au même résultat.
En levant la tête j’ai vu que sa bite était dressée, dure, impérieuse. Je ressentais les prémices du plaisir. Alors que je ne pouvais bouger, Serge a plongé son dard dans ma chatte en m’éperonnant vigoureusement, son pubis collé au mien. Je n’avais rien ressenti de pareil jusqu’à ce jour. Mon bassin allait au devant du sien lorsqu’il me pénétrait de plus en plus vite, de plus en plus vigoureusement.
Alors que je ne m’y attendais pas (et je n’ai rien pu contrôler) ma jouissance est arrivée, soudaine, violente comme je n’en avais jamais connu.
Sans avoir joui, Serge s’est retiré. Son sexe était toujours aussi triomphant. Il a détaché mes poignets pour me faire mettre en levrette, nouant à nouveau les ceintures pour emprisonner mes avant bras. Une fois encore j’étais à sa merci. Je lui dis :
• Pas comme çà ! Tu exagères !
• Si ! Tu vas voir ! Je vais te baiser comme une chienne ! Tu m’as trop fait attendre !
Comme je tentais d’échapper à la pénétration en descendant le plus bas possible, il a commencé à me donner des grandes claques sur les fesses en me disant que j’allais comprendre et que désormais je devrais me conduire en femme soumise.
Oulla ! Cela chauffait mes fesses. Elles devaient être rouges vif. Au début je mordais mes lèvres pour ne pas crier mais sous l’avalanche de claques, je n’en pouvais plus. J’ai relevé mes hanches pour venir au devant de sa bite en disant d’arrêter et qu’il pouvait faire ce qu’il voulait.
Au lieu de me prendre brusquement comme la première fois, il s’est introduit lentement dans ma chatte humide et chaude comme jamais elle ne l’avait été. En même temps, il cajolait mes fesses en les massant. Après la douleur des claques, j’avais droit à la douce caresse de ses mains. Il me pénétrait lentement, attentif à mes réactions, il me baisait comme je ne l’avais jamais été puisque nous baisions habituellement dans la position des plus classique qu’est celle du missionnaire ! Notre plaisir mutuel est arrivé. J’ai joui comme une folle quand j’ai senti son sperme jaillir au fond de ma chatte.
Une semaine plus tard au moment de nous coucher, il a sorti un paquet cadeau de sous le lit en me disant de l’ouvrir. Il n’y avait pas de circonstance particulière et j’étais étonnée.
Il me dit sèchement sur un ton qui ne laissait place à une quelconque hésitation :
• Ouvre !
Je me suis exécutée immédiatement en repensant à la fessée de l’autre jour. C’est là que j’ai trouvé des jouets qui allaient me faire découvrir des facettes d’une sexualité que je ne soupçonnais même pas. Il y avait deux paires de menottes entourées de tissus doux, deux sexes factices, des pinces, des bracelets, une poire d’angoisse et encore bien d’autres choses. Bref tout un attirail. Devant mon regard étonné Serge m’a dit :
• Puisque tu as semblé apprécier d’être fessée la semaine précédente et que tu as bien joui, tout cela est destiné à faire de toi une femme soumise sexuellement à mes envie et caprices.
Reprenant les ceintures de peignoirs et les menottes, il m’a attachée, nue, les yeux bandés, les bras et les jambes en croix sur le lit avant de me bâillonner. Prenant un plumeau il a commencé à agacer les pointes de mes seins, le creux de l’aine et la fourche de mes cuisses, le dessous de mes pieds. Que cette caresse était douce, je sentais la cyprine inonder ma chatte, je passais par des alternatives de chaleur et de frissons mais je ne pouvais rien dire sauf à soupirer d’aise.
Il m’a ensuite détachée et fait mettre à plat ventre et de nouveau entravée comme au début de la soirée pour continuer à me caresser de la même manière entre les épaules, au creux des reins, entre les fesses ouvertes par la position. Mais soudain j’ai eu un sursaut de douleur, après la douceur des plumes, Serge venait de me cingler les fesses d’un coup de badine. Et les coups, heureusement pas encore trop appuyés, ont commencé à pleuvoir du bas de mes reins jusqu’à mi-cuisses.
Aussi soudainement, la caresse avec les plumes a repris entrecoupée de baisers humides sur mes parties endolories par la badine. Après avoir serré les dents, je soupirais d’aise à nouveau et ma chatte dégoulinait de cyprine. Serge m’a détachée, enlevé le bâillon et de moi-même je me suis mise en levrette en disant :
• Viens, baise-moi fort ! Je suis à toi !
D’une seule poussée lente, Serge m’a pénétrée, son pubis venant au contact de mes fesses sur lesquelles je sentais encore la chaleur des coups de badine. Cette nuit là, nous avons baisé trois fois et quelle jouissance de se sentir ainsi dominée, au service du plaisir de mon seigneur et MAITRE.
Chaque fois que nous allions faire l’amour, je me demandais ce que mon mari allait inventer de nouveau pour me soumettre encore un peu plus. Mes seins, pleins de mon lait, ont fait connaissance avec de pinces. Oulla que c’était douloureux au début et lorsqu’elles étaient retirées.
Ma chatte a été pénétrée par les godes maniés par Serge puis c’est moi qui ait été obligée de me masturber ainsi devant lui mais là, je ne devais pas atteindre la jouissance. C’était réservé à mon MAITRE qui achevait ainsi ce que j’avais commencé.
Ensuite, il me baisait plusieurs fois de suite dans différentes positions. Au bout d’une année, j’avais subi tous les supplices imaginés par mon mari mais quelle jouissance déferlait en moi lorsque celle-ci m’emportait.
Mes habitudes vestimentaires ont changé. Au lieu des dessous classiques, j’ai commencé à sa demande à porter des strings, des soutiens-gorges demi bonnet ou même avec les bonnets percés pour bien présenter mes tétons qui, après l’allaitement et les étirements avec les pinces, avaient atteint la taille d’une olive.
Lorsque je portais un pullover ou un chemisier de soie, le contact m’excitait au plus haut point et j’avais la chatte humide.
Je m’habillais plus court aussi, j’étais fière de montrer mon corps moulé dans des vêtements ajustés.
Serge était fier du travail accompli pour révéler les facettes sexuelles cachées de ma personnalité allant jusqu’à me faire accepter la sodomie.
Mais ce n’était pas tout.
Son travail de soumission n’était pas encore totalement achevé. Depuis quelques temps, par des insinuations, il suggérait qu’être soumis ou soumise à une personne étrangère devait être excitant.
Je n’étais pas très chaude pour ce genre d’expérience mais, soumise désormais, j’acceptai qu’une tierce personne intervienne.
Cependant, je posais des conditions : si c’était un homme, pas question qu’il me fasse l’amour. Nous avons cherché sur la toile une MAITRESSE qui accepterait de venir chez nous. Ce ne fut pas facile car la plupart officiaient chez elles en ayant à portée de mains tous les objets nécessaires. Finalement nous avons trouvé celle qui nous conviendrait en la personne de « Démonia ».
Elle avait exigé que je sois nue intégralement, j’ai donc cherché et trouvé un institut de soins corporels qui accepte de me raser les poils du pubis.
Serge m’a prise en photo et la lui a envoyée.
Le rendez vous a été pris pour le vendredi suivant : Nous avions confié notre fille à sa nounou habituelle en prétextant des obligations le vendredi soir…
Vers 22 heures, elle est arrivée vêtue de noir de la tête aux pieds, le visage totalement masqué, seuls les yeux et la bouche aux lèvres fines et serrées apparaissaient dans les orifices de la cagoule. Elle portait un collier, des bracelets et une ceinture de cuir noir cloutés, des cuissardes noires également avec de hauts talons. Très grande et fortement charpentée, elle avait des seins volumineux et des hanches larges. Elle portait une petite valise de cuir noir dans laquelle il s’est avéré qu’elle transportait divers accessoires. D’un ton sec elle nous dit d’aller dans notre chambre et de nous mettre nus tous les deux. Serge, un peu surpris car il ne faisait pas partie du plan, s’exécuta lui aussi. Nous devions l’attendre à genoux de part et d’autre du lit où nous avions disposé tous nos jouets. Lorsqu’elle est arrivée dans la chambre, elle y a jeté un coup d’œil.
• Bien ! Cela suffira !
Elle avait avec elle une cravache et un fouet au manche court qu’elle fit siffler à nos oreilles. Elle m’a ordonné de me coucher sur le lit en demandant à Serge de m’entraver. En moins d’une minute, je fus à sa merci, impossible de faire quoique ce soit pour échapper à ce qui m’attendait. Elle s’approcha de moi et brutalement elle pinça mes tétons, faisant jaillir des larmes dans mes yeux tellement j’ai eu mal. Je n’ai pas pu réprimer un cri.
• Fais la taire ! Ferme-lui son clapet !
Pendant que Serge me passait la poire d’angoisse, elle lui cingla plusieurs fois les fesses avec la cravache en lui reprochant de ne pas m’avoir appris le silence. De sa main libre elle continuait à malaxer durement mes seins avant de descendre jusqu’à mon pubis glabre et d’introduire brutalement deux doigts dans mon vagin encore sec tellement j’étais crispée.
Notre supplice a duré plus d’une heure.
Serge n’a pas été épargné, il a subi diverses flagellations au fouet ou avec la cravache.
Elle lui a emprisonné les couilles dans un anneau pour l’empêcher d’éjaculer. Son cul, comme le mien, a lui aussi été maltraité : Elle y a introduit l’un de nos godes.
Dans le mien, après y avoir injecté du gel, elle a introduit un Plug de taille respectable. J’avais l’impression d’être remplie jusqu’à l’estomac.
Lorsqu’elle a été satisfaite de ce qu’elle nous avait fait endurer, elle s’allongea sur le lit en ouvrant le zip de son entrejambe en disant :
• Pendant que ton mari va t’enculer, tu vas me lécher la chatte pour me faire jouir, j’ai mérité ma récompense !
Serge et moi nous nous sommes placés comme elle le demandait. Quelques temps plus tard, une jouissance commune nous submergeait. Alors que je n’avais jamais eu de rapports saphiques, j’avais obéi sans rien dire et mon antre secret avait reçu la visite du sexe de mon mari pour la première fois.
Désormais j’étais totalement soumise à mon SEIGNEUR et MAITRE. Il pouvait faire de moi ce qu’il voudrait.
Mais ceci est une autre histoire…
Au lycée, j’avais un peu flirté avec des copains puis lors d’une soirée d’anniversaire, l’un d’eux avait pris mon pucelage avec beaucoup de douceur. J’ai couché avec lui à plusieurs reprises avant mon mariage mais, bien qu’il sache s’y prendre pour me faire l’amour, je n’étais pas trop attirée par les choses du sexe. Cela a continué avec mon mari avec qui je remplissais mon devoir conjugal (comme dit l’expression) sans grand enthousiasme. Nos rapports se sont progressivement espacés jusqu’à ce que je sois enceinte de notre premier enfant.
C’est après l’accouchement que ma vie sexuelle a basculé. Serge, mon mari à qui j’avais refusé tout contact depuis plusieurs mois, est arrivé un vendredi soir dans notre chambre où je venais de me mettre au lit après m’être occupée de notre fille. Sur le moment, je n’ai pas compris pourquoi il avait avec lui les ceintures de nos peignoirs de bain. Il s’est penché sur moi et m’a embrassée amoureusement en me prenant dans ses bras. Je me laissais faire en disant que j’exagérais de me refuser encore une fois.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il a attaché mes poignets au montant du lit. Je ne pouvais plus le repousser. Ensuite, il a ouvert brusquement ma nuisette, l’arrachant à moitié pour venir peloter mes seins gonflés par le lait maternel, les embrasser en mordillant les tétons.
Il était doux et violent à la fois. Puis il a rejeté les draps en montant sur le lit. D’un geste énergique il a écarté mes jambes, ouvrant mon compas au large. Il a mis une main sur ma chatte, faisant aller deux doigts dans ma fente. Immédiatement j’ai senti que mon sexe s’humidifiait alors que d’habitude, il fallait de longs préliminaires pour arriver au même résultat.
En levant la tête j’ai vu que sa bite était dressée, dure, impérieuse. Je ressentais les prémices du plaisir. Alors que je ne pouvais bouger, Serge a plongé son dard dans ma chatte en m’éperonnant vigoureusement, son pubis collé au mien. Je n’avais rien ressenti de pareil jusqu’à ce jour. Mon bassin allait au devant du sien lorsqu’il me pénétrait de plus en plus vite, de plus en plus vigoureusement.
Alors que je ne m’y attendais pas (et je n’ai rien pu contrôler) ma jouissance est arrivée, soudaine, violente comme je n’en avais jamais connu.
Sans avoir joui, Serge s’est retiré. Son sexe était toujours aussi triomphant. Il a détaché mes poignets pour me faire mettre en levrette, nouant à nouveau les ceintures pour emprisonner mes avant bras. Une fois encore j’étais à sa merci. Je lui dis :
• Pas comme çà ! Tu exagères !
• Si ! Tu vas voir ! Je vais te baiser comme une chienne ! Tu m’as trop fait attendre !
Comme je tentais d’échapper à la pénétration en descendant le plus bas possible, il a commencé à me donner des grandes claques sur les fesses en me disant que j’allais comprendre et que désormais je devrais me conduire en femme soumise.
Oulla ! Cela chauffait mes fesses. Elles devaient être rouges vif. Au début je mordais mes lèvres pour ne pas crier mais sous l’avalanche de claques, je n’en pouvais plus. J’ai relevé mes hanches pour venir au devant de sa bite en disant d’arrêter et qu’il pouvait faire ce qu’il voulait.
Au lieu de me prendre brusquement comme la première fois, il s’est introduit lentement dans ma chatte humide et chaude comme jamais elle ne l’avait été. En même temps, il cajolait mes fesses en les massant. Après la douleur des claques, j’avais droit à la douce caresse de ses mains. Il me pénétrait lentement, attentif à mes réactions, il me baisait comme je ne l’avais jamais été puisque nous baisions habituellement dans la position des plus classique qu’est celle du missionnaire ! Notre plaisir mutuel est arrivé. J’ai joui comme une folle quand j’ai senti son sperme jaillir au fond de ma chatte.
Une semaine plus tard au moment de nous coucher, il a sorti un paquet cadeau de sous le lit en me disant de l’ouvrir. Il n’y avait pas de circonstance particulière et j’étais étonnée.
Il me dit sèchement sur un ton qui ne laissait place à une quelconque hésitation :
• Ouvre !
Je me suis exécutée immédiatement en repensant à la fessée de l’autre jour. C’est là que j’ai trouvé des jouets qui allaient me faire découvrir des facettes d’une sexualité que je ne soupçonnais même pas. Il y avait deux paires de menottes entourées de tissus doux, deux sexes factices, des pinces, des bracelets, une poire d’angoisse et encore bien d’autres choses. Bref tout un attirail. Devant mon regard étonné Serge m’a dit :
• Puisque tu as semblé apprécier d’être fessée la semaine précédente et que tu as bien joui, tout cela est destiné à faire de toi une femme soumise sexuellement à mes envie et caprices.
Reprenant les ceintures de peignoirs et les menottes, il m’a attachée, nue, les yeux bandés, les bras et les jambes en croix sur le lit avant de me bâillonner. Prenant un plumeau il a commencé à agacer les pointes de mes seins, le creux de l’aine et la fourche de mes cuisses, le dessous de mes pieds. Que cette caresse était douce, je sentais la cyprine inonder ma chatte, je passais par des alternatives de chaleur et de frissons mais je ne pouvais rien dire sauf à soupirer d’aise.
Il m’a ensuite détachée et fait mettre à plat ventre et de nouveau entravée comme au début de la soirée pour continuer à me caresser de la même manière entre les épaules, au creux des reins, entre les fesses ouvertes par la position. Mais soudain j’ai eu un sursaut de douleur, après la douceur des plumes, Serge venait de me cingler les fesses d’un coup de badine. Et les coups, heureusement pas encore trop appuyés, ont commencé à pleuvoir du bas de mes reins jusqu’à mi-cuisses.
Aussi soudainement, la caresse avec les plumes a repris entrecoupée de baisers humides sur mes parties endolories par la badine. Après avoir serré les dents, je soupirais d’aise à nouveau et ma chatte dégoulinait de cyprine. Serge m’a détachée, enlevé le bâillon et de moi-même je me suis mise en levrette en disant :
• Viens, baise-moi fort ! Je suis à toi !
D’une seule poussée lente, Serge m’a pénétrée, son pubis venant au contact de mes fesses sur lesquelles je sentais encore la chaleur des coups de badine. Cette nuit là, nous avons baisé trois fois et quelle jouissance de se sentir ainsi dominée, au service du plaisir de mon seigneur et MAITRE.
Chaque fois que nous allions faire l’amour, je me demandais ce que mon mari allait inventer de nouveau pour me soumettre encore un peu plus. Mes seins, pleins de mon lait, ont fait connaissance avec de pinces. Oulla que c’était douloureux au début et lorsqu’elles étaient retirées.
Ma chatte a été pénétrée par les godes maniés par Serge puis c’est moi qui ait été obligée de me masturber ainsi devant lui mais là, je ne devais pas atteindre la jouissance. C’était réservé à mon MAITRE qui achevait ainsi ce que j’avais commencé.
Ensuite, il me baisait plusieurs fois de suite dans différentes positions. Au bout d’une année, j’avais subi tous les supplices imaginés par mon mari mais quelle jouissance déferlait en moi lorsque celle-ci m’emportait.
Mes habitudes vestimentaires ont changé. Au lieu des dessous classiques, j’ai commencé à sa demande à porter des strings, des soutiens-gorges demi bonnet ou même avec les bonnets percés pour bien présenter mes tétons qui, après l’allaitement et les étirements avec les pinces, avaient atteint la taille d’une olive.
Lorsque je portais un pullover ou un chemisier de soie, le contact m’excitait au plus haut point et j’avais la chatte humide.
Je m’habillais plus court aussi, j’étais fière de montrer mon corps moulé dans des vêtements ajustés.
Serge était fier du travail accompli pour révéler les facettes sexuelles cachées de ma personnalité allant jusqu’à me faire accepter la sodomie.
Mais ce n’était pas tout.
Son travail de soumission n’était pas encore totalement achevé. Depuis quelques temps, par des insinuations, il suggérait qu’être soumis ou soumise à une personne étrangère devait être excitant.
Je n’étais pas très chaude pour ce genre d’expérience mais, soumise désormais, j’acceptai qu’une tierce personne intervienne.
Cependant, je posais des conditions : si c’était un homme, pas question qu’il me fasse l’amour. Nous avons cherché sur la toile une MAITRESSE qui accepterait de venir chez nous. Ce ne fut pas facile car la plupart officiaient chez elles en ayant à portée de mains tous les objets nécessaires. Finalement nous avons trouvé celle qui nous conviendrait en la personne de « Démonia ».
Elle avait exigé que je sois nue intégralement, j’ai donc cherché et trouvé un institut de soins corporels qui accepte de me raser les poils du pubis.
Serge m’a prise en photo et la lui a envoyée.
Le rendez vous a été pris pour le vendredi suivant : Nous avions confié notre fille à sa nounou habituelle en prétextant des obligations le vendredi soir…
Vers 22 heures, elle est arrivée vêtue de noir de la tête aux pieds, le visage totalement masqué, seuls les yeux et la bouche aux lèvres fines et serrées apparaissaient dans les orifices de la cagoule. Elle portait un collier, des bracelets et une ceinture de cuir noir cloutés, des cuissardes noires également avec de hauts talons. Très grande et fortement charpentée, elle avait des seins volumineux et des hanches larges. Elle portait une petite valise de cuir noir dans laquelle il s’est avéré qu’elle transportait divers accessoires. D’un ton sec elle nous dit d’aller dans notre chambre et de nous mettre nus tous les deux. Serge, un peu surpris car il ne faisait pas partie du plan, s’exécuta lui aussi. Nous devions l’attendre à genoux de part et d’autre du lit où nous avions disposé tous nos jouets. Lorsqu’elle est arrivée dans la chambre, elle y a jeté un coup d’œil.
• Bien ! Cela suffira !
Elle avait avec elle une cravache et un fouet au manche court qu’elle fit siffler à nos oreilles. Elle m’a ordonné de me coucher sur le lit en demandant à Serge de m’entraver. En moins d’une minute, je fus à sa merci, impossible de faire quoique ce soit pour échapper à ce qui m’attendait. Elle s’approcha de moi et brutalement elle pinça mes tétons, faisant jaillir des larmes dans mes yeux tellement j’ai eu mal. Je n’ai pas pu réprimer un cri.
• Fais la taire ! Ferme-lui son clapet !
Pendant que Serge me passait la poire d’angoisse, elle lui cingla plusieurs fois les fesses avec la cravache en lui reprochant de ne pas m’avoir appris le silence. De sa main libre elle continuait à malaxer durement mes seins avant de descendre jusqu’à mon pubis glabre et d’introduire brutalement deux doigts dans mon vagin encore sec tellement j’étais crispée.
Notre supplice a duré plus d’une heure.
Serge n’a pas été épargné, il a subi diverses flagellations au fouet ou avec la cravache.
Elle lui a emprisonné les couilles dans un anneau pour l’empêcher d’éjaculer. Son cul, comme le mien, a lui aussi été maltraité : Elle y a introduit l’un de nos godes.
Dans le mien, après y avoir injecté du gel, elle a introduit un Plug de taille respectable. J’avais l’impression d’être remplie jusqu’à l’estomac.
Lorsqu’elle a été satisfaite de ce qu’elle nous avait fait endurer, elle s’allongea sur le lit en ouvrant le zip de son entrejambe en disant :
• Pendant que ton mari va t’enculer, tu vas me lécher la chatte pour me faire jouir, j’ai mérité ma récompense !
Serge et moi nous nous sommes placés comme elle le demandait. Quelques temps plus tard, une jouissance commune nous submergeait. Alors que je n’avais jamais eu de rapports saphiques, j’avais obéi sans rien dire et mon antre secret avait reçu la visite du sexe de mon mari pour la première fois.
Désormais j’étais totalement soumise à mon SEIGNEUR et MAITRE. Il pouvait faire de moi ce qu’il voudrait.
Mais ceci est une autre histoire…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un joli récit de la découverte des envies cachées d'une épouse qui se révèle petit à petit être être très chaude !
C'es agréablement écrit et vivant, vivement la suite de vos expériences…
C'es agréablement écrit et vivant, vivement la suite de vos expériences…
Court et efficace !