Titre de l'histoire érotique : Suite de mes ébats d'ados ( 7 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2007 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Suite de mes ébats d'ados ( 7 )
7 - Cette fois on va à la foire du Trône. On monte sur des manèges à sensations fortes, parfois il faut avoir le cœur bien accroché. Puis les nanas rentrent en voiture,( il n’y a que 4 places ) les 2 mecs doivent nous rejoindre en prenant les transports en commun. Vers 9 h du soir, Bob et Audrey nous invitent au resto. On en sort 2 h plus tard. Les mecs ont pris une bouteille de vin, ils sont pas mal excités. Tout le monde se retrouve chez Bob.
Au resto, les mecs, échauffés par le vin, nous ont promis une soirée de baise intense. J’en mouille d’avance ! Audrey entre la première et clame : Allez, tous à poil, joint le geste à la parole. On en fait autant, il faut dire qu’on a pas grand chose sur nous. Audrey est blonde, mais l’original, bien fourni et non rasé, est plutôt châtain foncé. Sa poitrine, ( 95 C ) est belle, avec des mamelons aux quels il ne manque que la parole. Le lit placard est resté baissé, on s’assoit dessus, 2 d’entre nous prenons le canapé. Bob met un disque d’ambiance, on se calme, discutons un peu, ça nous fait tout drôle d’être à poil, chacun pouvant détailler l’anatomie de l’autre. Les bites sont au repos, tête en bas, sur les couilles. Une bande de copains dans un camp de nudistes. Mélanie est entre Bob et Mat. Steve a pris une chaise. Je suis assise sur le canapé avec Audrey.
Tout en discutant avec les autres, je regarde Mélanie. Mine de rien, elle a prit une queue dans chaque main, les branle doucement. Ca a l’air de leur plaire, en regardant bien ils commencent à bander dur. Elle se penche d’un côté et de l’autre, les prend en bouche chacun leur tour.
Un doigt se glisse dans ma fente, astique mon petit bouton, le fait bander, puis va jusqu’à mon trou dans lequel il entre sans vergogne. La main est celle d’Audrey. Elle se lève, me fait pivoter sur le canapé, passe au-dessus de moi, m’écarte largement les cuisses, les remonte, ouvre ma vulve, sa bouche s’y colle. La langue entre en action, s’attaque à mon clito, pénètre mon trou. Je creuse le bas ventre, mouille, elle me boit à la source. J’ai son sexe au-dessus de moi, la fente est dissimulée par des poils denses qui recouvrent les lèvres. Je les écarte, roule le clito entre deux doigts, les glissent vers le l’entrée du vagin, les enfoncent, j’active, elle s’ouvre, mouille terrible.
Que se passe-il ? Un genou passe au-dessus de ma tête, s’appuie sur le coussin, l’autre pied reste au sol. Le mec attrape Audrey aux hanches, la tire vers lui, la redresse, elle est en levrette, sur les coudes, cul en l’air. Une paire de couilles velues me frôle le visage, une bite en érection se dirige vers sa vulve. Je la reconnais, c’est la bite de mon copain, Steve, celle qui me ramone régulièrement. J’écarte ses lèvres en grand, saisie le braquemart, le met en place. Il s’enfourne, disparaît en totalité. Audrey, pousse un cri quand il entre. Le pilonnage commence. Elle émet des petits cris, suit la cadence. Et moi qui suis coincée dessous ! Je vois les couilles aller et venir au dessus de mon nez, la bite luisante de mouille passer à portée de ma bouche. Il lui écarte les fesses, sort et entre la queue, l’emmanche, va de plus en plus loin, elle râle toujours plus fort, cambre les reins, relève le cul, crie oui oui ouiiiiiiiiiiiii, elle va jouir.
Soudain il s’arrête, lui écarte les jambes en grand, elle s’écroule sur moi. Il sort sa verge, la prend en main, la place sur sa rosette. Elle a comprit, crie, non pas ça, essaye de se dégager Il lui ouvre les fesses, se maintient en place, pousse. De l’endroit où je suis, je vois la queue forcer l’entrée et pénétrer doucement, mais inexorablement. Elle essaye de s’y soustraire, mais la queue, déjà engagée, s’enfonce de plus en plus. Le sphincter cède, le gland est passé, le reste suit, elle pousse un cri strident, aïe, je crois qu’elle pleure. La queue a entièrement disparu dans son cul, il commence un lent va et vient. Elle se laisse faire, amorphe, ne réagit pas aux coups de butoir, subit, sanglote. Je glisse la main sous elle, ouvre la vulve, enfonce deux doigts dans le vagin pour compenser, la faire mouiller, penser à autre chose. Je sens la queue qui s’active de l’autre côté de la paroi. Il accélère, se bloque, donne quelques secousses, grogne, se lâche dans ses entrailles.
Tout ceci est allé très vite, je plains Audrey qui vient de se faire empaler. Il sort sa queue, c’est bien mon copain ce porte couilles qui descend du canapé, va dans la salle de bain se laver. Si il y a pris goût, je vais devoir faire très attention à mon cul la prochaine fois qu’on baise !
- Elle lui dit » salaud, tu m’as enculé, je ne voulais pas ! » .
Je n’aurais jamais cru qu’il était capable de lui faire ça, surtout sans son accord. Il lui a violé le cul, il me déçoit. Je vois le cul d’Audrey, il se referme lentement, mérite un bon nettoyage, les bords sont marrons, dégueulasses. Elle est aplatie sur moi, m’écrase, je la repousse, me dégage. Elle se recroqueville, je m’assoie à ses pieds.
Mélanie est en sandwich, Mat est au-dessous, elle est à califourchon, Bob au-dessus, sur son dos. Elle râle de plaisir, a l’air d’apprécier les assauts dont elle est l’objet, pousse un long grognement, joui, s’affale. Bob sort de son vagin, il transpire, a le souffle court. Des jets de foutre se répandent sur ses reins, loin sur son dos, sa bite ramollit, retombe. Il s’allonge sur le lit, vidé, épuisé. Elle s’éjecte de Mat, roule sur le côté, s’assoie au bord du lit, récupère. Elle n’a plus qu’à prendre une douche. Mat se lève, vient vers moi bite à la main, droite, agressive, me tire vers lui. Il me bascule en attrapant mes jambes, les relève, les écarte un max, se place entre elles, m’enfile sans ménagement. Le voilà parti dans une ardente chevauchée, j’en avais envie, je l’accompagne, il me lime avec ardeur. Quelques coups brefs, sort, s’encastre à fond, ne bouge plus, a quelques soubresauts, m’envoie plusieurs giclées au fond du vagin. Le foutre se répand au fond de moi, me fait du bien, sans plus. Il s’écroule sur moi, je n’ai pas eu le temps de jouir, ça a été trop vite. Il se relève, me laisse là, pantelante, cuisses grandes ouvertes, sexe béant, le sperme coule hors de mon vagin. Les mecs sont debout, les bites rétrécies, molles, pendantes. C’est marrant de voir leurs attributs se balancer quand ils se déplacent. Mélanie est au centre, chacun la caresse, les mains ne sont pas inactives, tout y passe. Ma parole elle n’en a pas eu assez, elle aime que les mecs tripotent son intimité ? Bob vient vers moi, me relève, me joint à eux, j’ai droit à une visite détaillée de mon anatomie, leurs doigts récupèrent le foutre qui coule encore, ils me les font sucer. Audrey est toujours recroquevillée sur le canapé, elle semble dormir. On a soif, Bob propose à boire, on s’assoit autour de la table. Mélanie me confie qu’elle a eu droit à deux bites dans le vagin, celle de Bob, sur son dos, allant plus loin en elle. C’est le pied, mais j’aurais aimé qu’ils me remplissent de leur jus, je n’ai eu droit à rien. Elle a apprécié d’avoir deux grosses bites en elle . Elle a eu un orgasme très fort, moi rien qu’un coup de queue vite fait, suivi d’une bonne dose de foutre, pas de quoi pavoiser. Heureusement que je n’ai pas oublié de prendre la pilule. Les discussions tournent autour du sexe. Bob nous dit que c’est la première fois qu’Audrey se fait enculer, elle a sûrement un peu de mal à récupérer. Il était trop occupé à limer Mélanie, il regrette de ne pas s’être rendu compte de ce qui se passait sur le canapé. Il ne s’en ai aperçu que lorsqu’elle a traité Steve de salaud, quand c’était terminé. Il regrette de ne pas être intervenu et engueule Steve pour l’avoir enculée contre son gré.
D’ailleurs elle va prendre une douche, puis, sans dire bonsoir, étend la couette sur le lit et se couche. Je crois qu’elle ne va pas tarder à s’endormir.
Il est deux heures du matin, je songe à rentrer. Mais Bob en a décidé autrement. Assise à côté de lui, sa main se glisse entre mes cuisses, enserre ma vulve, un doigt puis deux pénètrent mon intimité. Ses doigts me fouillent, mon clito sort de sa gaine, mon sexe réagit, est trempé.
- Vire ta patte de là, tu me fais mal !
- OK, mais tu me tailles une pipe !
Je regarde sa queue, il n’a pas eu besoin de mon aide pour bander de nouveau. Il éloigne sa chaise de la table, m’attrape la tête, appuie dessus et je me retrouve avec sa bite dans la bouche. Le gland est tellement gros que j’ai du mal à l’absorber. Il me l’enfonce le plus loin possible, j’étouffe, il me donne de l’air. Il lâche ma tête, je me redresse.
La position m’a obligé à me tourner vers lui et à écarter les jambes pour maintenir mon équilibre et ne pas tomber. Il en profite, passe sa main à plat entre mes cuisses, enfile deux puis tente d’en introduire un troisième dans mon vagin, réussit, le pouce caresse mon petit bouton. Je ne tiens plus sur ma chaise, lui attrape le bras, tente de sortir ses doigts de mon sexe et de me dégager. Il m’en empêche, insiste, ma gaine est envahie, forcée, l’entrée, trop élargie, commence à me faire mal. Ce n’est plus possible, il faut que je me dégage de cette main qui me fait chavirer, qui occupe tout l’intérieur de mon vagin, me fouille. Si ça continu, il va tenter de l’entrer en entier, il faut que je réagisse Je vais faire ce qu’il attend de moi.
- C’est bon, j’accepte de t’en faire une, mais tu ne me gicles pas dans la bouche!
Je me lève, m’accroupis devant lui. Je prends sa verge en main, commence à l’astiquer, le gland devient violet, la tige s’allonge, la queue devient impressionnante, comparée à celle de mon copain, plus petite et bien moins grosse. Moi qui n’aime pas sucer, je l’enfourne avec difficulté, la recrache, passe ma langue sur le méat, ne réussit qu’à n’absorber que le gland. Soudain, alors que rien ne le laisse prévoir, il m’attrape la tête à deux mains, se cambre, m’enfonce sa queue au fond de la gorge, décharge, je le bois au goulot, il se vide. J’étouffe, déglutit, avale le foutre qui me remplit la bouche. J’ai envie de dégueuler, j’ai un haut le cœur. Il sort, m’envoie une giclée sur le visage, s’enfourne de nouveau, se vide encore et encore. J’en ai plein la bouche, je bave, ça me colle sur la langue, du sperme coule sur mon menton. Ouf, c’est fini, je fonce dans la salle de bain recracher, me laver. C’est la première fois que j’en avale, décidément je n’aime pas.
Je reviens, regarde Mélanie. Tout à l’heure elle était accroupie, suçait deux bites alternativement. Maintenant elle est assise sur Steve, jambes écartées, ancrée sur son vit, monte et descend. Elle a son copain dans la bouche, le pompe hardiment. Une secousse, il se vide, elle a du foutre qui coule à la commissure des lèvres, avale. Elle se lève, la queue retombe, du sperme coule le long de ses cuisses. Elle va dans la salle de bain faire un brin de toilette. Pour aujourd’hui je crois qu’elle s’est fait suffisamment ramoner la cheminée.
Je veux rentrer. Tout le monde se rhabille. Bob nous dépose, je suis, comme d’habitude, la dernière. On s‘embrasse, il cherche ma langue, en profite pour passer sa main derrière la ceinture de mon jean. Elle est sur ma peau. Aïe, j’ai oublié mon string. Un doigt est déjà dans ma fente, glisse vers mon trou, s’y introduit. Décidément il est inrassasiable. Si je reste encore un peu, il va me baiser, là, dans la voiture. J’ouvre la portière, descends en vitesse. Je file avant que ça dégénère, monte dans ma chambre sans faire de bruit. Quelle journée !
Au resto, les mecs, échauffés par le vin, nous ont promis une soirée de baise intense. J’en mouille d’avance ! Audrey entre la première et clame : Allez, tous à poil, joint le geste à la parole. On en fait autant, il faut dire qu’on a pas grand chose sur nous. Audrey est blonde, mais l’original, bien fourni et non rasé, est plutôt châtain foncé. Sa poitrine, ( 95 C ) est belle, avec des mamelons aux quels il ne manque que la parole. Le lit placard est resté baissé, on s’assoit dessus, 2 d’entre nous prenons le canapé. Bob met un disque d’ambiance, on se calme, discutons un peu, ça nous fait tout drôle d’être à poil, chacun pouvant détailler l’anatomie de l’autre. Les bites sont au repos, tête en bas, sur les couilles. Une bande de copains dans un camp de nudistes. Mélanie est entre Bob et Mat. Steve a pris une chaise. Je suis assise sur le canapé avec Audrey.
Tout en discutant avec les autres, je regarde Mélanie. Mine de rien, elle a prit une queue dans chaque main, les branle doucement. Ca a l’air de leur plaire, en regardant bien ils commencent à bander dur. Elle se penche d’un côté et de l’autre, les prend en bouche chacun leur tour.
Un doigt se glisse dans ma fente, astique mon petit bouton, le fait bander, puis va jusqu’à mon trou dans lequel il entre sans vergogne. La main est celle d’Audrey. Elle se lève, me fait pivoter sur le canapé, passe au-dessus de moi, m’écarte largement les cuisses, les remonte, ouvre ma vulve, sa bouche s’y colle. La langue entre en action, s’attaque à mon clito, pénètre mon trou. Je creuse le bas ventre, mouille, elle me boit à la source. J’ai son sexe au-dessus de moi, la fente est dissimulée par des poils denses qui recouvrent les lèvres. Je les écarte, roule le clito entre deux doigts, les glissent vers le l’entrée du vagin, les enfoncent, j’active, elle s’ouvre, mouille terrible.
Que se passe-il ? Un genou passe au-dessus de ma tête, s’appuie sur le coussin, l’autre pied reste au sol. Le mec attrape Audrey aux hanches, la tire vers lui, la redresse, elle est en levrette, sur les coudes, cul en l’air. Une paire de couilles velues me frôle le visage, une bite en érection se dirige vers sa vulve. Je la reconnais, c’est la bite de mon copain, Steve, celle qui me ramone régulièrement. J’écarte ses lèvres en grand, saisie le braquemart, le met en place. Il s’enfourne, disparaît en totalité. Audrey, pousse un cri quand il entre. Le pilonnage commence. Elle émet des petits cris, suit la cadence. Et moi qui suis coincée dessous ! Je vois les couilles aller et venir au dessus de mon nez, la bite luisante de mouille passer à portée de ma bouche. Il lui écarte les fesses, sort et entre la queue, l’emmanche, va de plus en plus loin, elle râle toujours plus fort, cambre les reins, relève le cul, crie oui oui ouiiiiiiiiiiiii, elle va jouir.
Soudain il s’arrête, lui écarte les jambes en grand, elle s’écroule sur moi. Il sort sa verge, la prend en main, la place sur sa rosette. Elle a comprit, crie, non pas ça, essaye de se dégager Il lui ouvre les fesses, se maintient en place, pousse. De l’endroit où je suis, je vois la queue forcer l’entrée et pénétrer doucement, mais inexorablement. Elle essaye de s’y soustraire, mais la queue, déjà engagée, s’enfonce de plus en plus. Le sphincter cède, le gland est passé, le reste suit, elle pousse un cri strident, aïe, je crois qu’elle pleure. La queue a entièrement disparu dans son cul, il commence un lent va et vient. Elle se laisse faire, amorphe, ne réagit pas aux coups de butoir, subit, sanglote. Je glisse la main sous elle, ouvre la vulve, enfonce deux doigts dans le vagin pour compenser, la faire mouiller, penser à autre chose. Je sens la queue qui s’active de l’autre côté de la paroi. Il accélère, se bloque, donne quelques secousses, grogne, se lâche dans ses entrailles.
Tout ceci est allé très vite, je plains Audrey qui vient de se faire empaler. Il sort sa queue, c’est bien mon copain ce porte couilles qui descend du canapé, va dans la salle de bain se laver. Si il y a pris goût, je vais devoir faire très attention à mon cul la prochaine fois qu’on baise !
- Elle lui dit » salaud, tu m’as enculé, je ne voulais pas ! » .
Je n’aurais jamais cru qu’il était capable de lui faire ça, surtout sans son accord. Il lui a violé le cul, il me déçoit. Je vois le cul d’Audrey, il se referme lentement, mérite un bon nettoyage, les bords sont marrons, dégueulasses. Elle est aplatie sur moi, m’écrase, je la repousse, me dégage. Elle se recroqueville, je m’assoie à ses pieds.
Mélanie est en sandwich, Mat est au-dessous, elle est à califourchon, Bob au-dessus, sur son dos. Elle râle de plaisir, a l’air d’apprécier les assauts dont elle est l’objet, pousse un long grognement, joui, s’affale. Bob sort de son vagin, il transpire, a le souffle court. Des jets de foutre se répandent sur ses reins, loin sur son dos, sa bite ramollit, retombe. Il s’allonge sur le lit, vidé, épuisé. Elle s’éjecte de Mat, roule sur le côté, s’assoie au bord du lit, récupère. Elle n’a plus qu’à prendre une douche. Mat se lève, vient vers moi bite à la main, droite, agressive, me tire vers lui. Il me bascule en attrapant mes jambes, les relève, les écarte un max, se place entre elles, m’enfile sans ménagement. Le voilà parti dans une ardente chevauchée, j’en avais envie, je l’accompagne, il me lime avec ardeur. Quelques coups brefs, sort, s’encastre à fond, ne bouge plus, a quelques soubresauts, m’envoie plusieurs giclées au fond du vagin. Le foutre se répand au fond de moi, me fait du bien, sans plus. Il s’écroule sur moi, je n’ai pas eu le temps de jouir, ça a été trop vite. Il se relève, me laisse là, pantelante, cuisses grandes ouvertes, sexe béant, le sperme coule hors de mon vagin. Les mecs sont debout, les bites rétrécies, molles, pendantes. C’est marrant de voir leurs attributs se balancer quand ils se déplacent. Mélanie est au centre, chacun la caresse, les mains ne sont pas inactives, tout y passe. Ma parole elle n’en a pas eu assez, elle aime que les mecs tripotent son intimité ? Bob vient vers moi, me relève, me joint à eux, j’ai droit à une visite détaillée de mon anatomie, leurs doigts récupèrent le foutre qui coule encore, ils me les font sucer. Audrey est toujours recroquevillée sur le canapé, elle semble dormir. On a soif, Bob propose à boire, on s’assoit autour de la table. Mélanie me confie qu’elle a eu droit à deux bites dans le vagin, celle de Bob, sur son dos, allant plus loin en elle. C’est le pied, mais j’aurais aimé qu’ils me remplissent de leur jus, je n’ai eu droit à rien. Elle a apprécié d’avoir deux grosses bites en elle . Elle a eu un orgasme très fort, moi rien qu’un coup de queue vite fait, suivi d’une bonne dose de foutre, pas de quoi pavoiser. Heureusement que je n’ai pas oublié de prendre la pilule. Les discussions tournent autour du sexe. Bob nous dit que c’est la première fois qu’Audrey se fait enculer, elle a sûrement un peu de mal à récupérer. Il était trop occupé à limer Mélanie, il regrette de ne pas s’être rendu compte de ce qui se passait sur le canapé. Il ne s’en ai aperçu que lorsqu’elle a traité Steve de salaud, quand c’était terminé. Il regrette de ne pas être intervenu et engueule Steve pour l’avoir enculée contre son gré.
D’ailleurs elle va prendre une douche, puis, sans dire bonsoir, étend la couette sur le lit et se couche. Je crois qu’elle ne va pas tarder à s’endormir.
Il est deux heures du matin, je songe à rentrer. Mais Bob en a décidé autrement. Assise à côté de lui, sa main se glisse entre mes cuisses, enserre ma vulve, un doigt puis deux pénètrent mon intimité. Ses doigts me fouillent, mon clito sort de sa gaine, mon sexe réagit, est trempé.
- Vire ta patte de là, tu me fais mal !
- OK, mais tu me tailles une pipe !
Je regarde sa queue, il n’a pas eu besoin de mon aide pour bander de nouveau. Il éloigne sa chaise de la table, m’attrape la tête, appuie dessus et je me retrouve avec sa bite dans la bouche. Le gland est tellement gros que j’ai du mal à l’absorber. Il me l’enfonce le plus loin possible, j’étouffe, il me donne de l’air. Il lâche ma tête, je me redresse.
La position m’a obligé à me tourner vers lui et à écarter les jambes pour maintenir mon équilibre et ne pas tomber. Il en profite, passe sa main à plat entre mes cuisses, enfile deux puis tente d’en introduire un troisième dans mon vagin, réussit, le pouce caresse mon petit bouton. Je ne tiens plus sur ma chaise, lui attrape le bras, tente de sortir ses doigts de mon sexe et de me dégager. Il m’en empêche, insiste, ma gaine est envahie, forcée, l’entrée, trop élargie, commence à me faire mal. Ce n’est plus possible, il faut que je me dégage de cette main qui me fait chavirer, qui occupe tout l’intérieur de mon vagin, me fouille. Si ça continu, il va tenter de l’entrer en entier, il faut que je réagisse Je vais faire ce qu’il attend de moi.
- C’est bon, j’accepte de t’en faire une, mais tu ne me gicles pas dans la bouche!
Je me lève, m’accroupis devant lui. Je prends sa verge en main, commence à l’astiquer, le gland devient violet, la tige s’allonge, la queue devient impressionnante, comparée à celle de mon copain, plus petite et bien moins grosse. Moi qui n’aime pas sucer, je l’enfourne avec difficulté, la recrache, passe ma langue sur le méat, ne réussit qu’à n’absorber que le gland. Soudain, alors que rien ne le laisse prévoir, il m’attrape la tête à deux mains, se cambre, m’enfonce sa queue au fond de la gorge, décharge, je le bois au goulot, il se vide. J’étouffe, déglutit, avale le foutre qui me remplit la bouche. J’ai envie de dégueuler, j’ai un haut le cœur. Il sort, m’envoie une giclée sur le visage, s’enfourne de nouveau, se vide encore et encore. J’en ai plein la bouche, je bave, ça me colle sur la langue, du sperme coule sur mon menton. Ouf, c’est fini, je fonce dans la salle de bain recracher, me laver. C’est la première fois que j’en avale, décidément je n’aime pas.
Je reviens, regarde Mélanie. Tout à l’heure elle était accroupie, suçait deux bites alternativement. Maintenant elle est assise sur Steve, jambes écartées, ancrée sur son vit, monte et descend. Elle a son copain dans la bouche, le pompe hardiment. Une secousse, il se vide, elle a du foutre qui coule à la commissure des lèvres, avale. Elle se lève, la queue retombe, du sperme coule le long de ses cuisses. Elle va dans la salle de bain faire un brin de toilette. Pour aujourd’hui je crois qu’elle s’est fait suffisamment ramoner la cheminée.
Je veux rentrer. Tout le monde se rhabille. Bob nous dépose, je suis, comme d’habitude, la dernière. On s‘embrasse, il cherche ma langue, en profite pour passer sa main derrière la ceinture de mon jean. Elle est sur ma peau. Aïe, j’ai oublié mon string. Un doigt est déjà dans ma fente, glisse vers mon trou, s’y introduit. Décidément il est inrassasiable. Si je reste encore un peu, il va me baiser, là, dans la voiture. J’ouvre la portière, descends en vitesse. Je file avant que ça dégénère, monte dans ma chambre sans faire de bruit. Quelle journée !
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