Titre de l'histoire érotique : TABLE DE SAPIN 6
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : TABLE DE SAPIN 6
En cette fin de journée, j'avais besoin de faire du vide dans ma tête suite à une surcharge de travail. Et pour cela il n’y a pas mieux pour moi que de marcher à travers les rues de la ville. Près pourquoi pas, à faire une rencontre scrupuleuse. La seule chose capable de faire retomber mon agressivité.
Après quelques longueurs de trottoir, je l’aperçus arriver. Une jeune fille habillée d'une traditionnelle jupe de jean et d'une sorte de longue chemise qui descendait jusqu'à mi-cuisse. Sa chevelure noire était attachée, en queue de cheval. Ça lui allait bien. Malgré la simplicité de sa tenue, elle était élégante.
Mais très vite en l’observant d'un œil distrait, je me disais qu’elle me rappelait quelqu'un. Oui… mais qui ?
Perdu dans mes pensées, j'esquissais un sourire lorsque son regard croisa le mien. Elle ralentit son allure, répondit à mon sourire, et à son tour me détailler de la tête aux pieds. Suite à ça, elle bifurqua pour se diriger droit vers moi. Sur le coup j'ai pensé qu'elle venait m’appréhender de mon effronterie.
Elle stoppa à quelques centimètres de moi et murmura d'un ton interrogatif :
- On se connaît . C’est bien toi .
Mes yeux s'écarquillèrent, mon sourire s'agrandit, alors que j’interrogeais mon cerveau pour qu’il me vienne en aide. Ce qui fit parfaitement, comme à son habitude.
- La fille au chien noir.
C'était franchement extraordinaire. Tu penses faire un tour incognito et vlan tu tombes sur la jeune fille témoin d’une de tes nombreuses liaisons sexuelles avec ma belle-mère.
Sur le trottoir, nous avions bavardé, pendant pas mal de minutes. J’appris par sa bouche, qu’elle allait bientôt avoir dix-neuf ans. Qu’elle se nommait Jennifer, mais qu’elle aimait par-dessous tous les hommes plus âgés qu'elle.
- Je les trouve plus attentionnés. Me confia-t-elle. Que les jeunes de mon âge. Beaucoup plus respectueux. Les vieux sont plus coquins que les plus jeunes.
Je n’allais pas la désapprouver. Rapidement je la trouvais de plus en plus épatante. Un petit visage ovale, de grands yeux sombres, une bouche qui me faisait déjà fantasmer.
Jennifer avait tout de suite accroché à mon humour, riant à tue-tête. Prenant racine sur le trottoir, je me devais de proposer quelque chose :
- Il serait plus judicieux quand aille s’asseoir quelque part, tu n’es pas d’accord ?
- Pourquoi pas. Pour faire plus ample connaissance. Répliqua-t-elle.
- Je suis d'accord. Mais pour ça pourquoi pas se retrouver derrière un verre.
- Oh ! Tu veux dire un bistro .
- Oui, bien sûr. Tu avais compris quoi .
- A vrai dire je n’aime pas trop ce genre d’endroit. Je ne serais pas contre un lieu plus intime.
- Je te propose alors mon bureau, pas loin et cette heure avançait il n'y a plus personne.
- Allons pour ton bureau.
Le culot monstre de cette jeune fille, m'épatait. Déjà lors de notre première rencontre, dans les bois, elle n’avait pas manqué de caractère. Mais là, en seulement quelques minutes, elle m'avait interpelé en pleine rue, prit l’initiative de tout de suite me tutoyer, comme si nous étions de vieux amis. Refuser une invitation dans un lieu public que je croyais plus sécurisant pour elle, pour un endroit isolé, sans rien connaitre de mes intentions.
Sur le chemin nous menons jusqu’au bureau, elle
m’interrogea :
- Dis-moi entre nous, ce n’était tout de même pas ta femme, la grosse… ?
- La grosse ?
- Eh bien oui, celle que tu as culbutée dans les bois, devant mes yeux ravis. Par ce que depuis, je t’avoue, ma libido est très, très exigeante. Et j’ai du mal à satisfaire mes envies.
Ceci expliquait son envie de s’isoler à tout prix. Je m’effaçais pour lui permettre d’entrée dans mon royaume. Arrivant à ma hauteur, elle me lança un air de défi. Ce fut à ce moment que je m’aperçus qu’elle était aussi grande que moi, perchées sur ses escarpins.
Une fois passé la porte, je ne pus empêcher mon regard d’envelopper son fessier, et ça jusqu’à ce qu’elle prenne place sur une chaise. Je verrouillais l’accès pour plus de sécurité et allais à mon tour poser mon cul sur le divan face à la chipie. Cette dernière croisait les jambes avec lenteur. Sans aucune gêne, ma vue coulait directement dans son entre jambes. Apercevant distinctement une culotte transparente en nylon mauve qui laissait voir les poils noirs de sa chatte. Cette fille m'affolait de minutes en minutes.
Pour un peu plus l’échauffer, comme s’il y en avait encore besoin . Je me mis à lui raconter quelques frasques. Ne cachant rien sur mes penchants branchés sexe. Elle m'avoua qu’elle n’était pas contre la soumission, sans cesser de croiser et décroiser ses jambes, pour mon plus grand plaisir.
- Je t’offre quelque chose à boire .
- Oh ! Non… merci, d’ailleurs j’ai très envie de faire pipi…
- Les toilettes se trouvent derrière la cloison. Lui désignant du menton.
Elle se leva, fit trois pas avant de se retourner.
- Alors tu ne viens pas .
- Mais ils sont justes là… lui désignant du doigt l’ouverture du lieu.
- Oui, mais je préfère tout de même que tu m’accompagnes.
- Bon ! Fils-je en abandonnant le divan.
Quelques pas plus loin, comme pour se dédouaner elle
enrichit :
- Je préfère ne pas rester seule. Dit-elle tout en gesticulant pour faire glisser descendre sa culotte mauve le long de ses jambes, cependant qu’apparaissait le triangle sombre de son ventre. Jamais je n’avais vu un ventre de jeune fille aussi fourni de poils noirs et longs. Ils montaient presque jusqu’au nombril et, sur les côtés, débordaient du pli de l’aine.
Elle laissa choir sa petite culotte sur ses escarpins. Je comprenais pourquoi maintenant son souhait de m’attirer jusque là, mais aussi de laisser la porte rouverte. Un besoin d’exhiber son sexe. À peine avait-elle pris place sur la toilette turque que j’entendis le doux clapotis de son pipi qui sortait tout droit entre ses genoux écartés. Ce spectacle érotique fit durcir une peu plus ma queue.
Je restais mes yeux rivés sur la jeune fille agenouillaient, me retenant de gémir en écoutant ce flux puissant qui éclaboussait l'eau en dessous.
Elle tendait la main et se saisit d’une feuille de papier hygiénique sur le dévidoir. Elle essuya soigneusement sa belle petite chatte. Mais au lieu de jeter le papier, elle approcha celui-ci prés de son nez et inhalait bruyamment.
- J'aime mon odeur de pisse. Pas toi ? demanda-t-elle ingénument.
J’avais la bouche tellement sèche que je devais saliver et humecter mes lèvres avant de lui parler.
- Je ne peux pas de le dire. Je ne le connais pas.
Un large sourire illuminait son visage et elle me tendait le papier hygiénique et me demandait sûre d'elle :
- Viens alors, je t’assure que tu ne le regretteras pas… Je la pris par le poignet et la tirais vers moi.
- Lâche-moi ça ! J’ai mieux à te proposer.
Alors que le papier souillé s’aplatit sur la faïence, je la pris dans mes bras, la ramenant dans la pièce initiale.
- Mais est un sauvage ! Murmura-t-elle.
Je la déposais sur le plateau du bureau. Allongée sur le dos, les deux jambes à terre, elle était encore une fois magnifique. Je me penchais au-dessus d’elle. Déboutonnaient un après l’autre les boutons de la chemise. J’écartais les pans. Comme je m’y attendais, dessous, Jennifer ne portait rien. Que les seins magnifiques, lourds fermes, avec un gros téton brun dardant vers moi. Je me penchais et happais l’un mamelons entre mes dents. Aussitôt, la jeune fille se cambra et exhala un feulement animal.
- Oui, mords-moi ! N’aies pas peur, j’adore avoir mal, espèce de sauvage.
En faisant rouler le petit bourgeon de chair frémissante entre mes dents, je caressais les cuisses, qui s'ouvraient pour que mes doigts aient accès à sa toison, d’où perlaient quelques gouttes d’urine. Tout ça sous les yeux de la jeune fille, crépitant de désir, un demi-sourire lubrique sur ses lèvres humides. elle resta inerte, appuyée sur les coudes, jouissant visiblement de l’affolante vision qu’elle offrait d’elle-même.
- Tu t’excites, hein, mon salaud ! Grinça-t-elle d’une voix qui devenait plus vulgaire à mesure que le désir montait en elle. Tu as envie de te servir de ma chatte pour te soulager, hein ! Eh bien vas-y, qu’est-ce que tu attends ? C’est fait pour ça, la chatte, non .
Je délaissais le sein, pour me pencher au-dessus de sa chatte qui sentait fort, une odeur de sueur, de pisse et de mouille. Et rien que ça aurait suffisait à me donner envie d'y plonger ma bouche.
- Qu’est-ce que tu fais ? Fit-elle.
- Je sens ta chatte. Tu ne vois pas .
Je posais mes lèvres, et commençais par bécoter l’intérieur de ses cuisses.
- Oui, oui, c’est bon ! continu ! mange-moi la chatte ! vas-y ! c’est bon ! hummm oui !
Doucement je tendais ma langue et touchais délicatement son clito, la faisant sursauter légèrement. Je relevais la tête juste pour lui dire :
- T’aime ça hein petite cochonne, tu en veux encore, hein.
Et replongeais de nouveau, embrassant sa moule et glissais le bout de ma langue entre ses lèvres. Elle gémissait, se tordait, et ouvrait le plus qu’elle pouvait du compas de ses cuisses. Désormais tout offerte, je prenais possession de sa feinte. Ma bouche se collait sur ses lèvres, tandis que ma langue fouillait sa chatte dans tous les recoins. Travaillant son petit clito gonflé. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts et elle mouillait fortement.
- Oui, continue ! Fais-moi jouir avec ta langue !
Je m’empressais de boire cette douce liqueur alors que de plus en plus elle ondulait et perdait tout contrôle d'elle-même. Se cabra, et dans une salve de cris, elle déchargea un flot chaud et doux dans ma bouche qui n’en perdait pas une goutte.
Mais cela n’avait pas suffi à la demoiselle d’assouvir sa soif sexuelle. Exigeante, elle en voulait encore davantage, et me le communiqua :
- Allez mets-moi ta queue dans la chatte maintenant ! Vas-y enfile-la ! T’inquiète je prends la pilule.
Je me redressais. Mes lèvres souillées de sa jouissance. Je la regardais dans les yeux et lui lançais.
- Non petite fille… par ce soir. Cela t’obligera peut-être à revenir. Enfin si tu le souhaites…
- Mais… ! Tu blagues… tu ne peux pas me laisser dans cet état…
- Oh non ! Petite fille, je n’ai jamais été aussi sérieux. J’avais juste envie de lécher une chatte. La chance a fait que notre chemin s’est croisée. Maintenant il est temps pour toi de rentrer chez toi. Lui dis-je en déverrouillant la porte d’entrée.
Dans une furie indescriptible, m’injuriant de tous les mots d’oiseaux elle quitta les lieux, faisant claquer la porte derrière elle, sans prendre la peine de se rajuster.
Il était temps pour moi de passer par la case toilette pour m’ôter cette entêtante odeur de chatte qui me poursuivait. Ce fut alors que je vis la culotte de Jennifer. Elle l’avait sans doute perdu quand je l’avais pris dans mes bras.
Quelques kilomètres plus tard, j’étais chez moi. Ma femme m’attendait. Les enfants étaient au lit. Nous avons mangé avant de nous retrouver dans notre chambre. Alors qu’elle se déshabillait, une idée me vint en tête en apercevant son slip de dentelle rouge, usée par le nombre de fois qu'elle l'avait porté.
Installée dans les draps, elle me regardait d’un air étonné faire le tour du lit et de me saisir de son sous-vêtement.
- Je suis d’instinct joueur ce soir. Fils-je.
Elle avait très bien compris le message. Prétendant un début de migraine, je coupais la lumière avec l'image d’un éclat vicieux dans ses yeux. Alors que je la caressais d’une main de l’autre j’extirpais la culotte de Jennifer de la poche de mon pantalon.
Quelques caresses plus tard et ma femme avait sous son nez mon volume arrogant. Elle approcha sa bouche, je sentis ses lèvres appuyaient sur ma queue, m’aspirant. Me pompant comme rarement elle l'avait fait, alors que je m’abîmai le nez au fond de la culotte de Jennifer. Je pris de profondes inspirations. Me délectant du fumet capiteux que dégageait le sous-vêtement. Mélange d’urine, de sueur macérée, de mouille. Mais aussi ça sentait fort le derrière mal essuyer. Je la lapais.
Je la bouffais. Je La mâchonnais même. J’étais fou de ce que je sentais. J'étais fou de ce que ma femme me faisait. Montant et descendant sur ma queue. D'une main, elle s'empara de mes couilles qu'elle malaxait avec art et fermeté. J'adorais être manipulé de cette façon. Tout en me suçant elle m'étirait, me pressait le paquet. Parfois même elle pressait fort me faisant un peu mal. Mais j'adorais ça.
Des deux pouces elle écarta les fesses. Je sentais son haleine chaude, ainsi que sa langue tiède sur mon cul. Elle me lécha la raie. Allant et venant à grands coups de langue. Bavant sur les poils. Vous pensez bien que je me suis laissé faire.
D’une langue tendue, elle pénétra mon anus. Elle me léchait le cul longtemps pour mon plus grand plaisir. Délaissant de temps à autre, l’anus, pour remonter le long de la raie, glissant jusqu’à mes couilles. Les suçait en frottant son menton sur mon trou. Puis reprenant sa besogne initiale, elle enfonçait brutalement sa langue entière dans mon rectum avec des bruits obscènes. Elle ne lâchait pas mon gland pour autant, le palpant, le griffant du bout de ses ongles ou le serrant dans sa paume tout en me suçant le cul.
Elle avait fini par me libérer. J’en profite pour me faufiler, encore incrédule, le vice en tête, je me plaçais sur elle en missionnaire, la pénétrant sans effort tant l’excitation la lubrifié. S’ensuivit un mouvement de va-et-vient qu’accompagnait un chuintement pervers. Elle haletait. Les cuisses écartées, imprimant à son bassin un balancement palpitant.
- Tiens renifle ton odeur. Osais-je, en lui adhérant la culotte de Jennifer sous le nez. Tu sens fort, cochonne. Tu étais excité aujourd’hui. Je parie que tu t’es masturbé en pensant à ma queue.
Je déployais une nouvelle et farouche énergie dans mes coups de rien.
- Tu aimes ton odeur . Hume fort. Je veux t’entendre la renifler.
Alors que ma vitesse augmentait au point que je me demandais comment je parvenais à m’agiter de la sorte, je l'entendais humer bruyamment. C’était incroyable, inouï !
Elle ondulait en cadence, s’agitait avec frénésie, en transes. Beaucoup trop attisé par le spectacle qui se déroulait sur ce lit, je ne pus me retenir et je giclai trop vite à son goût, car mon rythme se calmant et même s’arrêtant pratiquement, elle ne pouvait pas jouir comme elle en avait envie.
- Encore, vas-y, encore, fort !
Elle me retourna d’un coup de reins comme une crêpe. Elle s’installa à califourchon sur moi. Replaçant ma queue dans sa niche, s’agitant de façon lascive. J’entendais le bruit mouillé que faisait ma queue allant et venant. C’était un spectacle trop érotique pour que je reste indifférent. Ma queue se mit à se redresser assez vite. Elle roulait ses hanches, d’avant en arrière. Ou alors, elle décrivait avec son bassin des circonvolutions en forme de 8 pour bien ressentir la boule du gland lovée en elle et qui allaient dans tous les sens comme une boule de geisha qu’elle aurait agitée dans sa chatte. coulissa incroyablement dans son vagin hyper lubrifié par ses sécrétions et par le sperme que j’avais répandu en elle.
À chaque coup, son pubis venait heurter le mien, lui arrachant des gémissements. Elle me gicla sur la pine, puis s’abattit sur moi, lessivée...
À suivre…
Après quelques longueurs de trottoir, je l’aperçus arriver. Une jeune fille habillée d'une traditionnelle jupe de jean et d'une sorte de longue chemise qui descendait jusqu'à mi-cuisse. Sa chevelure noire était attachée, en queue de cheval. Ça lui allait bien. Malgré la simplicité de sa tenue, elle était élégante.
Mais très vite en l’observant d'un œil distrait, je me disais qu’elle me rappelait quelqu'un. Oui… mais qui ?
Perdu dans mes pensées, j'esquissais un sourire lorsque son regard croisa le mien. Elle ralentit son allure, répondit à mon sourire, et à son tour me détailler de la tête aux pieds. Suite à ça, elle bifurqua pour se diriger droit vers moi. Sur le coup j'ai pensé qu'elle venait m’appréhender de mon effronterie.
Elle stoppa à quelques centimètres de moi et murmura d'un ton interrogatif :
- On se connaît . C’est bien toi .
Mes yeux s'écarquillèrent, mon sourire s'agrandit, alors que j’interrogeais mon cerveau pour qu’il me vienne en aide. Ce qui fit parfaitement, comme à son habitude.
- La fille au chien noir.
C'était franchement extraordinaire. Tu penses faire un tour incognito et vlan tu tombes sur la jeune fille témoin d’une de tes nombreuses liaisons sexuelles avec ma belle-mère.
Sur le trottoir, nous avions bavardé, pendant pas mal de minutes. J’appris par sa bouche, qu’elle allait bientôt avoir dix-neuf ans. Qu’elle se nommait Jennifer, mais qu’elle aimait par-dessous tous les hommes plus âgés qu'elle.
- Je les trouve plus attentionnés. Me confia-t-elle. Que les jeunes de mon âge. Beaucoup plus respectueux. Les vieux sont plus coquins que les plus jeunes.
Je n’allais pas la désapprouver. Rapidement je la trouvais de plus en plus épatante. Un petit visage ovale, de grands yeux sombres, une bouche qui me faisait déjà fantasmer.
Jennifer avait tout de suite accroché à mon humour, riant à tue-tête. Prenant racine sur le trottoir, je me devais de proposer quelque chose :
- Il serait plus judicieux quand aille s’asseoir quelque part, tu n’es pas d’accord ?
- Pourquoi pas. Pour faire plus ample connaissance. Répliqua-t-elle.
- Je suis d'accord. Mais pour ça pourquoi pas se retrouver derrière un verre.
- Oh ! Tu veux dire un bistro .
- Oui, bien sûr. Tu avais compris quoi .
- A vrai dire je n’aime pas trop ce genre d’endroit. Je ne serais pas contre un lieu plus intime.
- Je te propose alors mon bureau, pas loin et cette heure avançait il n'y a plus personne.
- Allons pour ton bureau.
Le culot monstre de cette jeune fille, m'épatait. Déjà lors de notre première rencontre, dans les bois, elle n’avait pas manqué de caractère. Mais là, en seulement quelques minutes, elle m'avait interpelé en pleine rue, prit l’initiative de tout de suite me tutoyer, comme si nous étions de vieux amis. Refuser une invitation dans un lieu public que je croyais plus sécurisant pour elle, pour un endroit isolé, sans rien connaitre de mes intentions.
Sur le chemin nous menons jusqu’au bureau, elle
m’interrogea :
- Dis-moi entre nous, ce n’était tout de même pas ta femme, la grosse… ?
- La grosse ?
- Eh bien oui, celle que tu as culbutée dans les bois, devant mes yeux ravis. Par ce que depuis, je t’avoue, ma libido est très, très exigeante. Et j’ai du mal à satisfaire mes envies.
Ceci expliquait son envie de s’isoler à tout prix. Je m’effaçais pour lui permettre d’entrée dans mon royaume. Arrivant à ma hauteur, elle me lança un air de défi. Ce fut à ce moment que je m’aperçus qu’elle était aussi grande que moi, perchées sur ses escarpins.
Une fois passé la porte, je ne pus empêcher mon regard d’envelopper son fessier, et ça jusqu’à ce qu’elle prenne place sur une chaise. Je verrouillais l’accès pour plus de sécurité et allais à mon tour poser mon cul sur le divan face à la chipie. Cette dernière croisait les jambes avec lenteur. Sans aucune gêne, ma vue coulait directement dans son entre jambes. Apercevant distinctement une culotte transparente en nylon mauve qui laissait voir les poils noirs de sa chatte. Cette fille m'affolait de minutes en minutes.
Pour un peu plus l’échauffer, comme s’il y en avait encore besoin . Je me mis à lui raconter quelques frasques. Ne cachant rien sur mes penchants branchés sexe. Elle m'avoua qu’elle n’était pas contre la soumission, sans cesser de croiser et décroiser ses jambes, pour mon plus grand plaisir.
- Je t’offre quelque chose à boire .
- Oh ! Non… merci, d’ailleurs j’ai très envie de faire pipi…
- Les toilettes se trouvent derrière la cloison. Lui désignant du menton.
Elle se leva, fit trois pas avant de se retourner.
- Alors tu ne viens pas .
- Mais ils sont justes là… lui désignant du doigt l’ouverture du lieu.
- Oui, mais je préfère tout de même que tu m’accompagnes.
- Bon ! Fils-je en abandonnant le divan.
Quelques pas plus loin, comme pour se dédouaner elle
enrichit :
- Je préfère ne pas rester seule. Dit-elle tout en gesticulant pour faire glisser descendre sa culotte mauve le long de ses jambes, cependant qu’apparaissait le triangle sombre de son ventre. Jamais je n’avais vu un ventre de jeune fille aussi fourni de poils noirs et longs. Ils montaient presque jusqu’au nombril et, sur les côtés, débordaient du pli de l’aine.
Elle laissa choir sa petite culotte sur ses escarpins. Je comprenais pourquoi maintenant son souhait de m’attirer jusque là, mais aussi de laisser la porte rouverte. Un besoin d’exhiber son sexe. À peine avait-elle pris place sur la toilette turque que j’entendis le doux clapotis de son pipi qui sortait tout droit entre ses genoux écartés. Ce spectacle érotique fit durcir une peu plus ma queue.
Je restais mes yeux rivés sur la jeune fille agenouillaient, me retenant de gémir en écoutant ce flux puissant qui éclaboussait l'eau en dessous.
Elle tendait la main et se saisit d’une feuille de papier hygiénique sur le dévidoir. Elle essuya soigneusement sa belle petite chatte. Mais au lieu de jeter le papier, elle approcha celui-ci prés de son nez et inhalait bruyamment.
- J'aime mon odeur de pisse. Pas toi ? demanda-t-elle ingénument.
J’avais la bouche tellement sèche que je devais saliver et humecter mes lèvres avant de lui parler.
- Je ne peux pas de le dire. Je ne le connais pas.
Un large sourire illuminait son visage et elle me tendait le papier hygiénique et me demandait sûre d'elle :
- Viens alors, je t’assure que tu ne le regretteras pas… Je la pris par le poignet et la tirais vers moi.
- Lâche-moi ça ! J’ai mieux à te proposer.
Alors que le papier souillé s’aplatit sur la faïence, je la pris dans mes bras, la ramenant dans la pièce initiale.
- Mais est un sauvage ! Murmura-t-elle.
Je la déposais sur le plateau du bureau. Allongée sur le dos, les deux jambes à terre, elle était encore une fois magnifique. Je me penchais au-dessus d’elle. Déboutonnaient un après l’autre les boutons de la chemise. J’écartais les pans. Comme je m’y attendais, dessous, Jennifer ne portait rien. Que les seins magnifiques, lourds fermes, avec un gros téton brun dardant vers moi. Je me penchais et happais l’un mamelons entre mes dents. Aussitôt, la jeune fille se cambra et exhala un feulement animal.
- Oui, mords-moi ! N’aies pas peur, j’adore avoir mal, espèce de sauvage.
En faisant rouler le petit bourgeon de chair frémissante entre mes dents, je caressais les cuisses, qui s'ouvraient pour que mes doigts aient accès à sa toison, d’où perlaient quelques gouttes d’urine. Tout ça sous les yeux de la jeune fille, crépitant de désir, un demi-sourire lubrique sur ses lèvres humides. elle resta inerte, appuyée sur les coudes, jouissant visiblement de l’affolante vision qu’elle offrait d’elle-même.
- Tu t’excites, hein, mon salaud ! Grinça-t-elle d’une voix qui devenait plus vulgaire à mesure que le désir montait en elle. Tu as envie de te servir de ma chatte pour te soulager, hein ! Eh bien vas-y, qu’est-ce que tu attends ? C’est fait pour ça, la chatte, non .
Je délaissais le sein, pour me pencher au-dessus de sa chatte qui sentait fort, une odeur de sueur, de pisse et de mouille. Et rien que ça aurait suffisait à me donner envie d'y plonger ma bouche.
- Qu’est-ce que tu fais ? Fit-elle.
- Je sens ta chatte. Tu ne vois pas .
Je posais mes lèvres, et commençais par bécoter l’intérieur de ses cuisses.
- Oui, oui, c’est bon ! continu ! mange-moi la chatte ! vas-y ! c’est bon ! hummm oui !
Doucement je tendais ma langue et touchais délicatement son clito, la faisant sursauter légèrement. Je relevais la tête juste pour lui dire :
- T’aime ça hein petite cochonne, tu en veux encore, hein.
Et replongeais de nouveau, embrassant sa moule et glissais le bout de ma langue entre ses lèvres. Elle gémissait, se tordait, et ouvrait le plus qu’elle pouvait du compas de ses cuisses. Désormais tout offerte, je prenais possession de sa feinte. Ma bouche se collait sur ses lèvres, tandis que ma langue fouillait sa chatte dans tous les recoins. Travaillant son petit clito gonflé. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts et elle mouillait fortement.
- Oui, continue ! Fais-moi jouir avec ta langue !
Je m’empressais de boire cette douce liqueur alors que de plus en plus elle ondulait et perdait tout contrôle d'elle-même. Se cabra, et dans une salve de cris, elle déchargea un flot chaud et doux dans ma bouche qui n’en perdait pas une goutte.
Mais cela n’avait pas suffi à la demoiselle d’assouvir sa soif sexuelle. Exigeante, elle en voulait encore davantage, et me le communiqua :
- Allez mets-moi ta queue dans la chatte maintenant ! Vas-y enfile-la ! T’inquiète je prends la pilule.
Je me redressais. Mes lèvres souillées de sa jouissance. Je la regardais dans les yeux et lui lançais.
- Non petite fille… par ce soir. Cela t’obligera peut-être à revenir. Enfin si tu le souhaites…
- Mais… ! Tu blagues… tu ne peux pas me laisser dans cet état…
- Oh non ! Petite fille, je n’ai jamais été aussi sérieux. J’avais juste envie de lécher une chatte. La chance a fait que notre chemin s’est croisée. Maintenant il est temps pour toi de rentrer chez toi. Lui dis-je en déverrouillant la porte d’entrée.
Dans une furie indescriptible, m’injuriant de tous les mots d’oiseaux elle quitta les lieux, faisant claquer la porte derrière elle, sans prendre la peine de se rajuster.
Il était temps pour moi de passer par la case toilette pour m’ôter cette entêtante odeur de chatte qui me poursuivait. Ce fut alors que je vis la culotte de Jennifer. Elle l’avait sans doute perdu quand je l’avais pris dans mes bras.
Quelques kilomètres plus tard, j’étais chez moi. Ma femme m’attendait. Les enfants étaient au lit. Nous avons mangé avant de nous retrouver dans notre chambre. Alors qu’elle se déshabillait, une idée me vint en tête en apercevant son slip de dentelle rouge, usée par le nombre de fois qu'elle l'avait porté.
Installée dans les draps, elle me regardait d’un air étonné faire le tour du lit et de me saisir de son sous-vêtement.
- Je suis d’instinct joueur ce soir. Fils-je.
Elle avait très bien compris le message. Prétendant un début de migraine, je coupais la lumière avec l'image d’un éclat vicieux dans ses yeux. Alors que je la caressais d’une main de l’autre j’extirpais la culotte de Jennifer de la poche de mon pantalon.
Quelques caresses plus tard et ma femme avait sous son nez mon volume arrogant. Elle approcha sa bouche, je sentis ses lèvres appuyaient sur ma queue, m’aspirant. Me pompant comme rarement elle l'avait fait, alors que je m’abîmai le nez au fond de la culotte de Jennifer. Je pris de profondes inspirations. Me délectant du fumet capiteux que dégageait le sous-vêtement. Mélange d’urine, de sueur macérée, de mouille. Mais aussi ça sentait fort le derrière mal essuyer. Je la lapais.
Je la bouffais. Je La mâchonnais même. J’étais fou de ce que je sentais. J'étais fou de ce que ma femme me faisait. Montant et descendant sur ma queue. D'une main, elle s'empara de mes couilles qu'elle malaxait avec art et fermeté. J'adorais être manipulé de cette façon. Tout en me suçant elle m'étirait, me pressait le paquet. Parfois même elle pressait fort me faisant un peu mal. Mais j'adorais ça.
Des deux pouces elle écarta les fesses. Je sentais son haleine chaude, ainsi que sa langue tiède sur mon cul. Elle me lécha la raie. Allant et venant à grands coups de langue. Bavant sur les poils. Vous pensez bien que je me suis laissé faire.
D’une langue tendue, elle pénétra mon anus. Elle me léchait le cul longtemps pour mon plus grand plaisir. Délaissant de temps à autre, l’anus, pour remonter le long de la raie, glissant jusqu’à mes couilles. Les suçait en frottant son menton sur mon trou. Puis reprenant sa besogne initiale, elle enfonçait brutalement sa langue entière dans mon rectum avec des bruits obscènes. Elle ne lâchait pas mon gland pour autant, le palpant, le griffant du bout de ses ongles ou le serrant dans sa paume tout en me suçant le cul.
Elle avait fini par me libérer. J’en profite pour me faufiler, encore incrédule, le vice en tête, je me plaçais sur elle en missionnaire, la pénétrant sans effort tant l’excitation la lubrifié. S’ensuivit un mouvement de va-et-vient qu’accompagnait un chuintement pervers. Elle haletait. Les cuisses écartées, imprimant à son bassin un balancement palpitant.
- Tiens renifle ton odeur. Osais-je, en lui adhérant la culotte de Jennifer sous le nez. Tu sens fort, cochonne. Tu étais excité aujourd’hui. Je parie que tu t’es masturbé en pensant à ma queue.
Je déployais une nouvelle et farouche énergie dans mes coups de rien.
- Tu aimes ton odeur . Hume fort. Je veux t’entendre la renifler.
Alors que ma vitesse augmentait au point que je me demandais comment je parvenais à m’agiter de la sorte, je l'entendais humer bruyamment. C’était incroyable, inouï !
Elle ondulait en cadence, s’agitait avec frénésie, en transes. Beaucoup trop attisé par le spectacle qui se déroulait sur ce lit, je ne pus me retenir et je giclai trop vite à son goût, car mon rythme se calmant et même s’arrêtant pratiquement, elle ne pouvait pas jouir comme elle en avait envie.
- Encore, vas-y, encore, fort !
Elle me retourna d’un coup de reins comme une crêpe. Elle s’installa à califourchon sur moi. Replaçant ma queue dans sa niche, s’agitant de façon lascive. J’entendais le bruit mouillé que faisait ma queue allant et venant. C’était un spectacle trop érotique pour que je reste indifférent. Ma queue se mit à se redresser assez vite. Elle roulait ses hanches, d’avant en arrière. Ou alors, elle décrivait avec son bassin des circonvolutions en forme de 8 pour bien ressentir la boule du gland lovée en elle et qui allaient dans tous les sens comme une boule de geisha qu’elle aurait agitée dans sa chatte. coulissa incroyablement dans son vagin hyper lubrifié par ses sécrétions et par le sperme que j’avais répandu en elle.
À chaque coup, son pubis venait heurter le mien, lui arrachant des gémissements. Elle me gicla sur la pine, puis s’abattit sur moi, lessivée...
À suivre…
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