Titre de l'histoire érotique : Tirée au sort - histoire érotique

- J’en ai marre de jouer a la belote les gars
- T’as raison, de quoi pourrions nous parler ?
- De cul ?
- Très bonne idée mais encore ? ……
- T’as une belle femme Armand, tu dois te régaler au lit
- Je reconnais qu’elle me vide bien les burnes, la tienne n’est pas mal non plus avec son p’tit cul bien moulé dans ses jeans!
- Et toi Alex ? elle a de beaux nichons Nicole
- Tu serais déçu elle met des coquilles en mousse dans ses bonnets
- Ha ? Alain ne dit rien pourtant elle est très baisable Annie
- Quel adorable p’tit cul elle a !
- Vous êtes là à baver sur nos femmes mais lequel nous offrirait la sienne en pâture ?
- Tu veux dire en baiser une à quatre ?
- A trois, son mari serait exclu ! il serait simplement spectateur ?
- Je vois ça comme ça
- Une fois la femme choisie impossible de se défiler, son mari devra absolument la convaincre de se laisser baiser par nous trois
- Je suis persuadé que la mienne ne refusera pas une bonne partie de cul !
- Alors tirons une de nos nanas au sort
- Comment ?
- J’ai une idée, plaçons cette bouteille de bière vide à plat sur la table et faisons la tourner, lorsqu’elle s’arrêtera le goulot désigneras l’heureux gagnant !
- Ou le futur cocu !
- Prêts ? sans regret ?
- Va-y qu’ont en finisse
- C’est parti !!!... Wooouuuah c’est toi Armand !
- Oh non ! putain les gars recommençons !
- Pas question, c’est toi qui as eu l’idée, tu as huit jours pour décider Aline
- C’est la plus belle de toutes ! bon choix !
- Je me vois déjà entre ses cuisses fuselées
- Elle a une belle petite chatte ?
- Serrée ? tu as déjà mis ta bite entre ses nichons ?
- Vos gueules !
- Aller rentre à la maison pour la cuisiner, sinon nous lui révélerons tes frasques avec les petites étudiantes
- Faites pas ça merde, sinon ma vie est foutue, bon, j’y vais
- Tiens-nous au courant !

Comment me tirer de ce merdier ? si les copains parlent je vais a coups sûrs me retrouver seul... je n’ai pas d’autres choix que de la décider a se faire prendre par notre bande …

- Coucou chérie !
- Bonsoir mon amour, tu as passé une bonne journée ?
- J’ai tapé le carton avec les potes
- Ta bande de tricheurs ? !
- Oh, ils se donnent un genre de mauvais garçons mais au fond ils sont très sympas
- C’est vrai, je les aime bien malgré tout
- Tu le pense vraiment ?
- Mais oui, je le pense vraiment, c’est de beaux mecs !
- Ça me fais plaisir, en y repensant je suis le seul homme que tu as connu
- Pour cause, c’est toi qui as eue ma virginité à quinze ans
- Tu ne le regrette pas ?
- Pas le moins du monde, bien que …
- Bien que ?
- Parfois je regrette de ne pas avoir connu d’autres garçons, je suis obligée de croire que tu es le meilleur amant du monde !
- Mais je le suis !
- Hummm !
- Tu veux que je te le prouve ?
- Et comment ?
- Couche avec mes copains pour faire la différence…
- QUOI ?
- Couche avec me copains, je suis sérieux Aline
- Hahahahahaha !!!!! séparément ou ensembles ?
- Ensembles, devant moi …
- Tu délire ?
- Pas du tout chérie, je t’aime profondément
- C’est pour me le prouver que tu veux me faire sauter ?
- En quelque sorte, je veux savoir si ça me rendrais jaloux, tu es si parfaite que je ne t’imagine pas draguer dans la rue et comme tu dis je suis le seul homme que tu as connus, baise avec eux ? fais-moi ce plaisir …
- Mais c’est que tu finirais par me convaincre …je pourrais faire tout ?
- Tout ce que tu voudras
- Ou qu’ils voudront … il y a des trucs sur lesquels je fantasme des fois
- Genre ?
- Une double pénétration …plusieurs mains sur mon corps, des verges partout autour de moi !
- C’est vrai ??
- Ça te surprend ? je ne suis pas la ‘fifille’ si rangée que tu pense connaitre, pourtant je ne t’ai jamais trompé
- Et tu aimerais le faire ?
- J’sais pas …
- En baisant avec mes copains ce ne serait pas tromper et je ne suis pas obligé de participer …
- Arrête ! je suis obligée d’aller changer de slip …
- Tu mouille et moi je bande ! c’est la preuve que c’est le bon choix !
- Prend-moi sur ce coin de table et raconte-moi comment ça se passerait ….

Je l’ai limée lentement, profondément, elle a jouis trois fois et moi j’ai déchargé des litres de sperme au fond de son ventre tandis que je lui susurrais des idées de positions indécentes, finalement j’étais fier d’offrir ma femme a mes potes, ils ne me croyaient pas lorsque je les ais invités pour un après midi torride

- Je m’habille comment ?
- Ta petite robe noire ?
- Les couleurs commencent à passer
- Et alors ? c’est à cause des passages répétés au pressing
- Quand j’y repense je n’avais même pas honte de faire détacher le sperme que tu y avais laissé ! je peux même te l’avouer maintenant, ça m’excitais de savoir que ce gérant de la cinquantaine grisonnant savait que j’en avais pris plein le minou la veille !
- Il ne t’a jamais proposé la botte ?
- Non... s’il l’avait fait je ne suis pas sûre d’avoir dis non à ses charmes
- Tien-tien, finalement tu es une grosse cochonne ?
- J’ai mon jardin secret, ou plutôt j’’avais’ car je te dévoile tout aujourd’hui !
- Quels souvenirs ! à chaque fois que tu mettais cette mini robe je ne pouvais m’empêcher de te sauter toute habillée
- Tu me la faisais porter pour aller au resto ou au ciné
- Sans culotte ni soutient gorge, sauf des dim-up !
- Je n’arrêtais pas de tirer dessus, j’avais l’impression que les gens voyaient tout
- Certains distinguaient le renflement de ton pubis accentué par ta toison
- C’est ce qui t’excitais mon salaud ! et moi aussi !
- Alors nous somment bien d’accord ? tu te laisse faire tout simplement
- Quand même ? me laisser déshabiller part tes copains ….
- Excite-les rajoute-en lorsqu’ils te prendront
- Je crois que je n’aurais pas à me forcer !
- Chaudasse, tu me fais bander à nouveau
- Soulage-toi dans mon con !
- Tu sais qu’ils voudront sans doute te sodomiser ?
- Alors prépare le passage, fais le moi maintenant

Jamais je n’ai sodomisé ma femme avec autant de facilité, pas un geignement de douleur, plutôt des gémissements de bonheur en s’empalant elle-même sur mon membre, sans doute pensait-elle a ce qui l’attendait demain après midi, ils furent exacts au rendez vous mais pas un d’eux ne pavoisait, ils avaient perdu leur envie de baiser ma femme ? c’est elle qui s’est enhardie en se campans au milieux du salon dans une posture aguichante

- Alors messieurs ? lequel d’entre vous va oser me débarrasser de cette robe qui devient encombrante ?
- Moi ?
- Non moi !
- Allons-y tous les trois ensembles

Cette fois c’est partit, mes copains de belote entourent Aline qui tient ses bras le long de ses hanches en évitant mon regard sans doute a-t-elle honte de ce qu’elle va faire sous mes yeux, les six mains caressent son corps par-dessus la robe n’osant pas toucher les parties dénudées, c’est Alex qui se tenant derrière elle fait glisser les fines bretelles jusqu'à découvrir la naissance de la poitrine arrogante aux tétons dardés, les aréoles sont fripées de chair de poule , très vite les seins sont dissimulés par les paumes pétrissant la texture gélatineuse, les mains inoccupées remontent le bas de la robe, j’aperçois le triangle blond finement épilé de ce matin, la robe ne forme plus qu’une large ceinture autour de la taille … je bande sans éprouver de jalousie

- Elle est belle ta femme mon salaud !
- Tu dois t’amuser au lit !
- Aujourd’hui c’est nous qui allons profiter de ses charmes les plus secrets

Aline écarte elle-même ses pieds permettant aux mains les plus audacieuses l’accès à sa chatte certainement trempée

- Faites doucement pour me doigter …pas plus de trois doigts pour commencer
- HUUUUMM ! elle a pas de culotte ! chacun un dans le minou les gars et gentiment
- Et un dans ton p’tit trou ?
- Plus tard quand je serais décontractée, tétez-moi les seins …
- Si nous sortons nos bites tu nous branles ?

Sortie depuis peu j’étreins la mienne à me faire mal, je réalise soudain que jamais d’autres hommes n’ont touchés ma femme aussi intimement, j’entends le bruit mouillé que provoquent le doigtage, ses yeux chavirent de plaisir, je fais un effort surhumain pour ne pas bondir la délivrer de ces pattes avides de sexe, deux queues en érection très appréciables sont décalottées par les mains de ma femme… elles sont légèrement plus volumineuse que la mienne, encore un coup porté a mon orgueil

- Ça va chérie ? tu veux qu’ont arrêtent tout ?
- Pourquoi ? tu regrette ?
- Non-non, je disais ça pour toi
- Détend toi tes amis sont délicats, si vous passiez a la vitesse supérieure mes chers amis ?
- Soulevez là les gars je vais lui brouter la chatte
- OK mais chacun sont tour, prend Aline sous les bras et les cuisses et tenons là a bonne hauteur... ça va comme ça ?
- Impec, je n’ai qu’à me pencher pour cueillir ce fruit mûr, mais avant je vais retirer mes fringues

Celle d’Alex est courte mais trapue, finissant en cône énorme à sa base, les mains sous les fesses il se met à lécher bruyamment le vagin détrempé, ma femme se tord en grimaçant, apparemment elle n’apprécie pas ce cunnilingus maladroit, voyant que ça ne profite ni a lui ni a sa maitresse il se relève, et avance entre la fourche écartée comme celle d’une femme en position d’accouchement, il frotte son ergot menaçant sur les lèvres luisantes malgré les protestations des deux acolytes qui pestent lui reprochant de tout vouloir faire avant eux
Aline, sa robe toujours en bouchon autour de sa taille, me jette un regard désespéré sachant que l’accouplement est désormais inévitable, je tente de la rassuré d’un sourire peu convaincant, soudain elle ouvre la bouche laissant échapper un cri de biche blessée, la verge vient de s’enfoncer au plus profond de son nid douillet, Alex cherchant à s’enfoncer au maximum au lieu de se mettre à limer la chatte il persiste à pilonner comme une bête, ma pauvre Aline subissant le contrecoup, par effet de bélier revient de tout son poids sur l’homme écrasant son clitoris ce qui provoque son premier orgasme insupportable a mes oreilles, elle gigote en tous sens mais bien encrée sur la queue elle ne peux échapper a son amant qui heureusement, dans un ultime coup de reins, exultant sa joie, se colle a l’entrecuisses pour déposer son foutre chaud au plus profond de la matrice distendue

- Tire-toi de là connard ! c’est à notre tour
- Chéri ? ont peux aller sur notre lit ? je n’en puis plus
- Portez ma femme dans la chambre, je vais retirer le couvre lit
- Je vais m’allonger, Aline viendras sur moi
- Et moi je la baisse par derrière !
- Faites ça en douceur, ne la déchirez pas
- Alex a préparé le passage avec sa grosse trique pointue !
- Tu pourras me sucer Aline pour me refaire bander ?
- Oui … j’en veux dans tous mes trous

Aline est en transes, impossible de la raisonner, mon estomac est noué lorsqu’elle enjambe mon pote et, comme si elle avait toujours pratiqué elle s’empale aisément sur la queue maintenue droite

- Enfin assise ! et bien remplie !
- Penche-toi en avant, huuummmm ! c’est bien marécageux par là, et si je prenais le petit ? il me lance des appels !
- NON ! enfonce-toi avec ton copain dans sa moule
- Hooooo chéri, laisse-le essayer, je me sens ouverte de partout
- Que je ne t’entende pas hurler de douleur !
- Ça m’étonnerait …

Mon pote vise l’anus en jubilant, son ventre s’approche lentement du cul de ma femme il la sodomise sans qu’elle ne pousse un gémissement, la salope ! le trio se met en branle, une fois bien synchronisés Alex approche son membre de la bouche qui accepte d’avaler le gland, dégouté par son audace je n’ai même plus envie de me branler, que faire sinon prendre quelques clichés afin de lui montrer son audace d’un soir ?
Je regarde d’un œil distrait les amants qui se congratulent en pistonnant énergiquement les trous de mon épouse qui pompe avec ardeur la bite en cône devenue raide

- Dépêchez vous de décharger j’ai envie de baiser Aline en douceur a la missionnaire, t’es d’accord Armand ?!
- Oui vite fait, et après vous-vous tirez de chez moi !
- Tu va la baiser dans notre foutre ?
- Pourquoi pas ?

Une odeur de sperme et de jus de femme flotte dans l’air, serais-je capable de lui bouffer la chatte ?

- PUTAIN ! je jooouiiiiiiiiiiiiiis !
- Moi aussssssssiiiiiii !
- Aaaaahhh mon amour ils m’ont tuéeeeeeeeeeeee oooooooooouuuuuuuiii c’est booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn !

Ils se ‘décollent ‘enfin ! Aline les cheveux poisseux sur le visage est méconnaissable, elle a encore du sperme sur le menton, quand a son entrejambe … pouuuuuhaaaa !

- Maintenant partez vite, laissez moi seule avec mon mari …. Chéri ? tu viens ?
- Tu as vu l’état de ta robe ? elle est bonne pour la poubelle
- Certainement pas ! je vais la porter au pressing demain !
- Je suppose que cette fois tu va passer derrière le comptoir ?
- Oui, je veux que le gérant qui a dût fantasmer sur mes soirées coquines me baise une fois pour toutes !