Titre de l'histoire érotique : Tour à l'hotel pour Yann et Greg
Récit érotique écrit par Acool281 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Tour à l'hotel pour Yann et Greg
Yann est une crevette, il a le milieu de trentaine 170 pour 60 kg. Gueule virile il est brun et dégarni sur le dessus du crane. Imberbe sur le torse, sexe rasé dans la moyenne 17x3, un beau petit cul fin. Il aime être malmené. Je l'ai rencontré au sauna voilà plus de 18 mois. Il kiffe les mecs virils, torse poilu et forte corpulence, car il veut être écrasé par un corps qui pèse sur lui.
Notre première rencontre a eu lieu au sauna d'une ville du centre de la France. Dés le vestiaire il a flashé sur mon corps qui correspondait à ses attentes. Moi je me prénomme Grégoire j ai pas loin de vingt ans de plus. Je fais 174 pour 95 kilos soit quelques kilos superflus si on peut appeler ça ainsi. Je suis hyper poilu du torse et de tout le reste du corps. Sauf le sexe et les testicules rasés. Je suis châtain mais tire désormais au poivre et sel. Crane dégarni sur le dessus et lunettes. Je suis désormais homo pur et dur après 25 ans de mariage, et plus actif que passif. Je kiffe défoncer les petits boules étroit avec mon zob de 19x5 au large gland.
La première fois Yann m'a croisé au vestiaire et m'a suivi à la douche pour se placer à coté de moi. Les jeux de mains ont commencés et se sont poursuivis dans le hammam. Avant de passer en cabine et qu'il me demande de le prendre. Et je l'ai baisé, je dirais même transpercé, car c'est comme cela que je l'ai vécu. Un moment d'échange intense et charnel. Yann était assez cash, doigtage et fist du fion, traitement des tétons, morsures sur le menton. Une véritable hargne. J'ai du partir et à remords de conscience , sur la route du retour j'envoyais un coup de fil au sauna et donnais mon adresse mail au patron pour qu'il lui fasse passer. Les jours ont passé, et une bonne quinzaine après je reçu un message. Nous étions à plus de 200 kilomètres l'un de l'autre, et c'est depuis à mi chemin au sauna que nous nous retrouvons.
Nous avons appris à nous connaître, entre nous c'est sexuel et purement sexuel même si j'avoue que je pourrais fondre. Mais c'est un super coup pour la baise. J'adore et il adore me sentir entrer puissamment en lui et ramoner son fion étroit. Je le fais parfois avec force puis avec douceur afin de varier les plaisirs. Avant moi il était actif. Aujourd'hui il est surtout soumis et passif.
Nous avons décidé d'espacer nos rencontres car avec l'habitude, c'est devenu moins hot et parfois j'avoue ne pas toujours bander. Voilà quelques semaines il m'envoie un mail pour me dire qu'il est actuellement en mission sur une autre ville pour un contrat dans la restauration. Il est logé par l'employeur mais est particulièrement en manque. Très vite nous mettons sur pieds une rencontre dans un hôtel, pour une soirée muy caliente. Et je ne croyais pas si bien dire. Elle fut très chaude.
Me voici arrivé à l’hôtel à 23 heures. Une heure après il me rejoint. Chambre totalement dans le noir me dit Yann. J'étais nu près du lit et dés qu'il a appuyé sur la poignée de la porte je lui ai sauté dessus. Nos bouches se sont soudées dans des palots de hargne. Sa main a vite épousée ma bite déjà bien tendue. Yann roucoule d'avance. Et je le dé poile très vite, tout en palpant ce corps déjà consentant. Puis nous nous allongeons. Moi sur lui et il couine de sentir ce poids franc sur lui. Ma bite devient particulièrement dure et tendue et je lui titille les pointes de ses seins. Très vite il fait pareil et pousse de petits cris stridents. « Oh putain Grégoire, ta queue, humm oui ta queue j'en ai trop envie , comme elle est grosse »
Et le voilà qu'il me paluche , on se roule des pelles, nos langues violent nos bouches. Nous sommes tous les deux haletants. Il vient emboucher mon sexe et il pompe avec violence et vigueur. Je laisse à mon tour échapper un cri de surprise . Il m'aspire et tire sur ma tige en faisant claquer sa bouche. Et tâte fermement mes testicules en les serrant.
« Tu aimes ça la queue ! » Ce n'est pas une question , juste une affirmation à laquelle il répond positivement. « Oui la tienne , elle est trop bonne, elle hante mes pensées. »
Je lui propose un 69 , car j'ai envie de m'occuper aussi de son zob et j'ai idée de lui bouffer sa chatte. Je l'écrase puisqu'il le souhaite . Il me dit que c'est la première fois qu'il baise à l’hôtel et qu'il est un peu mal à l'aise. Tu parles , une fois en main il n'a plus aucun mal être. Je suce sa queue, mais il ne le souhaite pas ce soir, il me dit vouloir que je le prenne uniquement. Je m'attaque à son petit fessier imberbe. Je pars de ses couilles pour venir lécher ses deux lobes, puis ma langue se dirige vers le centre après les avoir préalablement écartés. Et je plonge pour venir lui humecter la corolle avec tact. Déjà il tressaille et son fessier semble s'ouvrir. Et je lèche et salive pour bien dilater son petit fion. Mes doigts caressent les flancs pour l'exciter davantage. Il me suce comme un fou et je pense à autre chose pour ne pas me laisser aller. Pas question que je jouisse tout de suite. Je suis bien décidé à le faire couiner de plaisir mon Yann. Il en voulait, il va en avoir.
Ma langue plonge toute seule la toupie a vite fait son œuvre. Il est à point et j'ose maintenant mes doigts. Très vite je lui triture le fion en l'élargissant en tirant avec un doigts de chaque main à chaque extrémité. Yann se redresse et je comprends vite qu'il va venir s'empaler de lui même sur ce chibre turgescent. Je lui propose du gel, mais non il en a décidé autrement. Et dans un soupir qui tire en longueur, il englouti mon zob dans son antre. C'est chaud et humide, et déjà il se redresse pour y revenir. Trois quatre aller et retour et le voilà qu'il se lâche pour venir taper mes burnes, avec vigueur et il ronronne.
Il aime ça la baise sauvage, et je dois avouer ne rien, lui envier tant le plaisir est présent. Je donne quelques coups de reins à des cadences différentes à la sienne pour qu'il ne mène pas seul la danse. Je ne sais combien de temps dure ce balai. Il se redresse et je lui dis que je souhaite le prendre différemment pour varier les plaisirs. Nous nous levons et je décide de le baiser debout dans le noir contre le mur. Il tend son petit fion et ma queue plonge et enfin je prends le contrôle . Je le sodomise puissamment tout en lui demandant si il aime se faire prendre comme une chienne. « oh ooouiii, oh oui » répond-il. Je le fais s'allonger sur la moquette de la chambre sur le dos et ramener ses jambes à l'envers sur les cotés de ses épaules. Et je plonge ma queue avec vigueur qui s'enfonce sans encombre dans ce trou distendu. Et je tape le fond. Yann couine, je crois que je lui fait découvrir une position qu'il n'avait jamais osée. Humm comme je le baise à fond. Cela dure et dure encore. Il me dit ne plus en pouvoir. Je m'épuise mais ne renonce pas. En levrette sur le lit je me redresse sur mes jambes genoux fléchis et mes hanches donnent de la puissance.
Qu'est ce que je lui mets. Son souffle est court. « Oh, Grég que c'est bon mais ce que je préfère c'est sentir ton corps sur le mien »
Cette fois ci je lui met du gel car il me dit être échauffé. Allongé sur le ventre, ma queue se positionne entre ses jambes et je m'enfonce d'un coup franc. Il hurle de plaisir, mais déjà j'entame de savants va et vient. Et à chaque plongée mon corps s'écrase sur lui. « Oh putain Grégoire que j'aime quand tu m'écrases ainsi, c'est trop bon, et cette grosse queue en moi... » Ses gémissements l’empêchent d'en dire plus. Quel pieds nous prenons surtout que le prendrais ensuite sur le flanc mes jambes enserrés autour des siennes. Nos corps ondulent et ne font plus qu'un. Il reviendra de nouveau s 'empaler car je commence à faiblir depuis plus de deux heures que j'ai commencé mes vas et vient. Je crois que Yann va se souvenir longtemps de cette soirée. C'est ce que je souhaite en tous cas. Éreintés nous nous allongeons l'un contre l'autre et nous nous branlons mutuellement . Son petit cul est trop échauffé pour subir de nouvelles pénétrations, sa main s'active sur mon sexe. Il prend du gel pour le faire davantage coulisser et après de longs et profonds coulissages je sens que mon sexe ne m'appartient plus, ce sont ses doigts agiles qui font tout. Mon corps se soulève en douceur, je me tortille, mon souffle devient court, et un courant traverse tout mon être , une déferlante qui monte et me submerge. »Oh ooouii , je ne peux en dire plus que plusieurs jets chauds s’élèvent dans l'air, certains atterrissent sur mon torse d'autres sur mon visage et mon crane. Je ne sais combien il y en a. C'est l'extase, le soulagement extrême après le séisme. Ce moment de béatitude et de bien être. Mais je dois rendre la pareille à Yann et je m'active à mon tour pour le faire jouir.
« Tu vas me donner ton jus » Et je le pompe alors que mes doigts triturent ses boules. Il est bien mur aussi, et je ne tarde pas à tirer sa liqueur. Je la veux et je l'aspire alors qu'il pousse un cri de résignation. Quatre, cinq jets que j'avale goulûment. Nous nous serrons l'un contre l'autre et nos bouches partagent sa semence. Nous avons pris un plaisir sans précédent.
Notre première rencontre a eu lieu au sauna d'une ville du centre de la France. Dés le vestiaire il a flashé sur mon corps qui correspondait à ses attentes. Moi je me prénomme Grégoire j ai pas loin de vingt ans de plus. Je fais 174 pour 95 kilos soit quelques kilos superflus si on peut appeler ça ainsi. Je suis hyper poilu du torse et de tout le reste du corps. Sauf le sexe et les testicules rasés. Je suis châtain mais tire désormais au poivre et sel. Crane dégarni sur le dessus et lunettes. Je suis désormais homo pur et dur après 25 ans de mariage, et plus actif que passif. Je kiffe défoncer les petits boules étroit avec mon zob de 19x5 au large gland.
La première fois Yann m'a croisé au vestiaire et m'a suivi à la douche pour se placer à coté de moi. Les jeux de mains ont commencés et se sont poursuivis dans le hammam. Avant de passer en cabine et qu'il me demande de le prendre. Et je l'ai baisé, je dirais même transpercé, car c'est comme cela que je l'ai vécu. Un moment d'échange intense et charnel. Yann était assez cash, doigtage et fist du fion, traitement des tétons, morsures sur le menton. Une véritable hargne. J'ai du partir et à remords de conscience , sur la route du retour j'envoyais un coup de fil au sauna et donnais mon adresse mail au patron pour qu'il lui fasse passer. Les jours ont passé, et une bonne quinzaine après je reçu un message. Nous étions à plus de 200 kilomètres l'un de l'autre, et c'est depuis à mi chemin au sauna que nous nous retrouvons.
Nous avons appris à nous connaître, entre nous c'est sexuel et purement sexuel même si j'avoue que je pourrais fondre. Mais c'est un super coup pour la baise. J'adore et il adore me sentir entrer puissamment en lui et ramoner son fion étroit. Je le fais parfois avec force puis avec douceur afin de varier les plaisirs. Avant moi il était actif. Aujourd'hui il est surtout soumis et passif.
Nous avons décidé d'espacer nos rencontres car avec l'habitude, c'est devenu moins hot et parfois j'avoue ne pas toujours bander. Voilà quelques semaines il m'envoie un mail pour me dire qu'il est actuellement en mission sur une autre ville pour un contrat dans la restauration. Il est logé par l'employeur mais est particulièrement en manque. Très vite nous mettons sur pieds une rencontre dans un hôtel, pour une soirée muy caliente. Et je ne croyais pas si bien dire. Elle fut très chaude.
Me voici arrivé à l’hôtel à 23 heures. Une heure après il me rejoint. Chambre totalement dans le noir me dit Yann. J'étais nu près du lit et dés qu'il a appuyé sur la poignée de la porte je lui ai sauté dessus. Nos bouches se sont soudées dans des palots de hargne. Sa main a vite épousée ma bite déjà bien tendue. Yann roucoule d'avance. Et je le dé poile très vite, tout en palpant ce corps déjà consentant. Puis nous nous allongeons. Moi sur lui et il couine de sentir ce poids franc sur lui. Ma bite devient particulièrement dure et tendue et je lui titille les pointes de ses seins. Très vite il fait pareil et pousse de petits cris stridents. « Oh putain Grégoire, ta queue, humm oui ta queue j'en ai trop envie , comme elle est grosse »
Et le voilà qu'il me paluche , on se roule des pelles, nos langues violent nos bouches. Nous sommes tous les deux haletants. Il vient emboucher mon sexe et il pompe avec violence et vigueur. Je laisse à mon tour échapper un cri de surprise . Il m'aspire et tire sur ma tige en faisant claquer sa bouche. Et tâte fermement mes testicules en les serrant.
« Tu aimes ça la queue ! » Ce n'est pas une question , juste une affirmation à laquelle il répond positivement. « Oui la tienne , elle est trop bonne, elle hante mes pensées. »
Je lui propose un 69 , car j'ai envie de m'occuper aussi de son zob et j'ai idée de lui bouffer sa chatte. Je l'écrase puisqu'il le souhaite . Il me dit que c'est la première fois qu'il baise à l’hôtel et qu'il est un peu mal à l'aise. Tu parles , une fois en main il n'a plus aucun mal être. Je suce sa queue, mais il ne le souhaite pas ce soir, il me dit vouloir que je le prenne uniquement. Je m'attaque à son petit fessier imberbe. Je pars de ses couilles pour venir lécher ses deux lobes, puis ma langue se dirige vers le centre après les avoir préalablement écartés. Et je plonge pour venir lui humecter la corolle avec tact. Déjà il tressaille et son fessier semble s'ouvrir. Et je lèche et salive pour bien dilater son petit fion. Mes doigts caressent les flancs pour l'exciter davantage. Il me suce comme un fou et je pense à autre chose pour ne pas me laisser aller. Pas question que je jouisse tout de suite. Je suis bien décidé à le faire couiner de plaisir mon Yann. Il en voulait, il va en avoir.
Ma langue plonge toute seule la toupie a vite fait son œuvre. Il est à point et j'ose maintenant mes doigts. Très vite je lui triture le fion en l'élargissant en tirant avec un doigts de chaque main à chaque extrémité. Yann se redresse et je comprends vite qu'il va venir s'empaler de lui même sur ce chibre turgescent. Je lui propose du gel, mais non il en a décidé autrement. Et dans un soupir qui tire en longueur, il englouti mon zob dans son antre. C'est chaud et humide, et déjà il se redresse pour y revenir. Trois quatre aller et retour et le voilà qu'il se lâche pour venir taper mes burnes, avec vigueur et il ronronne.
Il aime ça la baise sauvage, et je dois avouer ne rien, lui envier tant le plaisir est présent. Je donne quelques coups de reins à des cadences différentes à la sienne pour qu'il ne mène pas seul la danse. Je ne sais combien de temps dure ce balai. Il se redresse et je lui dis que je souhaite le prendre différemment pour varier les plaisirs. Nous nous levons et je décide de le baiser debout dans le noir contre le mur. Il tend son petit fion et ma queue plonge et enfin je prends le contrôle . Je le sodomise puissamment tout en lui demandant si il aime se faire prendre comme une chienne. « oh ooouiii, oh oui » répond-il. Je le fais s'allonger sur la moquette de la chambre sur le dos et ramener ses jambes à l'envers sur les cotés de ses épaules. Et je plonge ma queue avec vigueur qui s'enfonce sans encombre dans ce trou distendu. Et je tape le fond. Yann couine, je crois que je lui fait découvrir une position qu'il n'avait jamais osée. Humm comme je le baise à fond. Cela dure et dure encore. Il me dit ne plus en pouvoir. Je m'épuise mais ne renonce pas. En levrette sur le lit je me redresse sur mes jambes genoux fléchis et mes hanches donnent de la puissance.
Qu'est ce que je lui mets. Son souffle est court. « Oh, Grég que c'est bon mais ce que je préfère c'est sentir ton corps sur le mien »
Cette fois ci je lui met du gel car il me dit être échauffé. Allongé sur le ventre, ma queue se positionne entre ses jambes et je m'enfonce d'un coup franc. Il hurle de plaisir, mais déjà j'entame de savants va et vient. Et à chaque plongée mon corps s'écrase sur lui. « Oh putain Grégoire que j'aime quand tu m'écrases ainsi, c'est trop bon, et cette grosse queue en moi... » Ses gémissements l’empêchent d'en dire plus. Quel pieds nous prenons surtout que le prendrais ensuite sur le flanc mes jambes enserrés autour des siennes. Nos corps ondulent et ne font plus qu'un. Il reviendra de nouveau s 'empaler car je commence à faiblir depuis plus de deux heures que j'ai commencé mes vas et vient. Je crois que Yann va se souvenir longtemps de cette soirée. C'est ce que je souhaite en tous cas. Éreintés nous nous allongeons l'un contre l'autre et nous nous branlons mutuellement . Son petit cul est trop échauffé pour subir de nouvelles pénétrations, sa main s'active sur mon sexe. Il prend du gel pour le faire davantage coulisser et après de longs et profonds coulissages je sens que mon sexe ne m'appartient plus, ce sont ses doigts agiles qui font tout. Mon corps se soulève en douceur, je me tortille, mon souffle devient court, et un courant traverse tout mon être , une déferlante qui monte et me submerge. »Oh ooouii , je ne peux en dire plus que plusieurs jets chauds s’élèvent dans l'air, certains atterrissent sur mon torse d'autres sur mon visage et mon crane. Je ne sais combien il y en a. C'est l'extase, le soulagement extrême après le séisme. Ce moment de béatitude et de bien être. Mais je dois rendre la pareille à Yann et je m'active à mon tour pour le faire jouir.
« Tu vas me donner ton jus » Et je le pompe alors que mes doigts triturent ses boules. Il est bien mur aussi, et je ne tarde pas à tirer sa liqueur. Je la veux et je l'aspire alors qu'il pousse un cri de résignation. Quatre, cinq jets que j'avale goulûment. Nous nous serrons l'un contre l'autre et nos bouches partagent sa semence. Nous avons pris un plaisir sans précédent.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Eh oui toujours aussi juteuses tes histoires , je les attends avec impatience , ne tarde pas a nous en écrire d'autres