Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (2/5).
Récit érotique écrit par Brimbelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (2/5).
Triple A
Chapitre 1
Ma première fois (2/5).
J’ai surpris des tractions sur les liens maintenant mon bikini en place. Une dans le milieu mon dos, deux autres sur mes hanches. J’ai senti ma poitrine se libérer de son entrave puis ma culotte glisser lentement le long de mes jambes. Ainsi, exposée, je sentais des frémissements parcourir tout mon corps. Ce sont les mots prononcés par Adriana qui m’ont rappelé à la réalité :
- Beurk ! La pelouse n’est pas tondue !
Andréa est venue rejoindre sa copine, elles étaient côte à côte en face de moi, et voyant ma toison elle me dit :
- Pourquoi tu gardes ça ?
- J’ai eu plusieurs fois envie de m’épiler, mais maman me l’a déconseillé, je la taille et je l’entretien de manière à être toujours présentable.
- Baliverne ! Cela ne te gêne pas quand tu te masturbes ?
- Comment veux-tu que je sache, je les ai toujours eus.
- Exacte !
Elle attrapa une de mes mains et la posa sur son mon de Vénus.
- Et maintenant touche toi avec l’autre main et compare. Lequel tu préfères ?
- Le tien !
Elle avait la peau douce et soyeuse et ce simple geste m’électrisa totalement. C’est vrai que ça devait être super agréable de se masturber en étant aussi lisse qu’un œuf. Adriana se saisit de la main que j’avais sur moi pour la guider à son tour vers son mont de Vénus. J’avais les mains là où jamais je n’aurais pensé les poser, sur l’intimité de mes amies. J’étais paralysée, comme pétrifiée. Elles écartèrent légèrement leurs jambes comme une invitation à m’enfoncer un peu plus vers leur intimité.
- Ne craint rien, ça ne mord pas me dit Adriana.
J’ai glissé mes majeurs plus bas pour sentir leur sexe complètement imberbe. Au moment de ce contact, j’ai eu une montée d’adrénaline, j’ai senti ma chatte s’humidifier. J’ai retiré immédiatement mes mains, ce qui provoqua une question de la part d’Andréa :
- Cela ne te plaît pas ?
- Si bien au contraire, mais c’est la première fois que je touche un sexe de fille autre que le mien.
- Nous non !
Elles se sont rapprochées l’une de l’autre et collées serrées elles se sont embrassées. Mais un vrai baiser pas celui que l’on avait l’habitude de se faire, puis j’ai vu une de leurs mains descendre et disparaître dans leur entrejambe.
- Surprise me demanda Andréa ?
- Pas vraiment car je vous ai vu une fois ou deux vous embrasser de cette façon, mais je ne vous savais pas goudou.
- On n’est pas gouine ! Tout au plus bisexuelle.
Elle s’approcha de moi, colla son corps contre le mien et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue a forcé mes lèvres pour venir s’enrouler autour de la mienne, une de ses mains et descendu le long de ma colonne vertébral pour caresser mes fesses avant de passer sur mon ventre et venir terminer sa course entre mes jambes. J’étais comme étourdie mais merveilleusement bien. C’est à ce moment-là que j’ai entendu :
- A mon tour !
Andréa laissa sa place à Adriana qui eut les mêmes gestes pleins de sensualité et de douceur. Quand elle relâcha son étreinte, elle s’adressa à Andréa :
- Tu as vu notre Alycia est toute mouillée.
- Oui, j’ai vu ! Visiblement cela lui a plu.
- Tu as aimé ?
Avant de répondre, j’ai éprouvé le besoin de m’assoir sur l’un des transats pour me remettre de mes émois. Sans m’en rendre compte, je me suis assise à califourchon ce qui eut comme conséquence d’exposer mon intimité à mes amies. Dans cette position, elles pouvaient très clairement voir l’état d’excitation dans lequel je me trouvais. Elles étaient toute les deux de part et d’autre du transat et j’avais leur ventre à hauteur de ma bouche :
- Si j’ai aimé ? J’ai adoré !
Pour les convaincre et peut-être même finir de m’en persuader moi-même, j’ai posé mes mains sur chacun des fessiers pour attirer mes amies vers moi et déposer un tendre baiser à la naissance de leur sexe.
- Ouhahou s’éclaffa Andréa ! Elle apprend vite.
- Oui, répondit Adriana, mais il y a quand même un gros problème.
- Lequel dis-je ?
- Je n’ai pas envie de me retrouver avec tes poils entre les dents quand je vais te brouter le minou.
- Pardon ?
- Tu ne crois quand même pas que nous allons en rester là. On a une folle envie de te manger l’abricot.
- Tu n’as pas envie ?
J’ai bredouillé tout un tas de fausses excuses pour dissimuler les sentiments contradictoires qui naissaient en moi. Partagée entre ceux liés à l’éducation que mes parents m’ont donnée et ceux de découvrir un autre aspect de ma sexualité même si ceux-ci ne sont pas conformes aux usages. J’ai fini par lâcher :
- Bien sûr, que j’en ai envie ! Je n’ai pas seulement envie que vous me fassiez découvrir de nouvelles jouissances, je veux aussi pouvoir vous les rendre.
- Parfait, mais pour ça, il y a un préalable.
- Lequel ? Ma toison ?
- Exactement !
- D’accord !
- Lève-toi !
Elles me prirent toutes les deux par la main et nous avons traversé la maison jusqu’à la chambre d’Andréa puis une fois dans la salle de bain, je me suis allongée sur une serviette à même le sol.
Andréa ouvrit plusieurs tiroirs pour en sortir peigne, tondeuse et des bandelettes épilatoires. J’ai relevé mes genoux, les pieds à plat et j’ai écarté mes jambes pour permettre à Andréa de prendre place. Elle commença par réduire ma toison avec le peigne et la tondeuse. Adriana était assise à côté de moi, elle me caressait de façon subtile le visage si bien que par moment, je n’avais même pas l’impression que ces doigts touchaient ma peau. Le glissement du peigne et le passage de la tondeuse sur celui-ci produisaient des sensations nouvelles pour moi. Je me laissais faire, je passais d’un visage à l’autre. L’un était concentré sur la tâche à accomplir alors que l’autre n’était que sourire. Sans vraiment en avoir eu la volonté, j’ai posé une de mes mains sur l’une des cuisses d’Adriana et je me suis mise à la câliner doucement. Son sourire s’est encore embelli. Sans me quitter des yeux elle se mit titiller un téton avec un doigt. L’effet fut presque instantané, car je les ai très érectiles, ils peuvent atteindre le centimètre en longueur au plus fort de mon excitation.
- Andréa regarde comme elle a de jolis tétons.
Elle arrêta son travail pour lever la tête et découvrir l’objet de l’interpellation. Puis à quatre pattes elle s’est approchée jusqu’à surplomber ma poitrine où elle déposa un tendre baiser sur le sein qui n’était pas en main. Elle a même délicatement mordillé ce téton insolent ce qui provoqua en moi le passage d’un cran supplémentaire. Une sensation de fraîcheur, provoquée par une bandelette que l’on appliquait mon pubis, puis ce fut une douleur, vive, intense lorsque celle-ci fut arrachée. Une douleur vite calmée par l’application de la paume de la main sur la partie martyrisée.
- Adriana attrape lui les jambes que je lui fasse la raie.
- Alycia lève tes jambes à la verticale.
J’obéis sans me poser plus de question. Je n’étais plus à ça près. Adriana qui était venue se positionner au-dessus de mon visage m’offrait une vue imprenable sur son minou. Elle m’attrapa par les chevilles, tira sur mes jambes en les écartant le plus possible ce me mettait dans une position des plus inconvenante. J’avais ma chatte et mon anus à la merci d’Andréa. Celle-ci indifférente à ma position continuait son œuvre. J’ai senti une nouvelle fraîcheur et une nouvelle douleur sur ce qui pour moi était la partie la plus secrète de mon intimité. Je sentais mon minou s’ouvrir et se fermer pour piéger le plus récalcitrant des poils. Quand j’ai senti un doigt agacer mon petit trou j’ai eu comme un mouvement de recul.
- Tu es vierge de là ?
- Oui !
- Tu n’as jamais essayé ?
- Non, Jamais !
- Ferme les yeux, décontracte-toi et laisse-toi aller.
J’obéis et quelque instant après j’ai senti un doigt qui me massait ma rosette en tournoyant tout autour. Encore une nouvelle sensation ! Puis ce fût une pression plus forte et enfin j’ai senti l’intrusion.
- Elle est très étroite, hyper serrée.
- Ne t’en fais pas, on arrangera ça me dit Adriana.
Elle reprit son travail. La position dans laquelle on me maintenait était inconfortable, reins relevés et cambrés, les jambes grandes ouvertes presque en grand écart, commençait à me faire mal. Heureusement que j’ai entendu :
- Voilà, elle est aussi lisse que nous, vient voir.
Relâchant mes chevilles, Adriana rejoignit Andréa et toutes les deux étaient admiratives devant ma petite chatte totalement dégagée. Agenouillées, côte à côte, contemplatives de mon intimité leurs bouches se trouvèrent pour un baiser passionné, presque violent. J’étais comme sur un nuage, formidablement bien, en totale confiance. Puis ce fut au tour d’Andréa d’ajouter :
- Regarde son clito comme il est attirant.
- Tu as raison.
Elle posa ses mains de chaque côté de ma vulve pour en écarter les lèvres et elle déposa un doux baiser sur ce petit monstre de plaisir. Puis ce fut au tour d’Adriana de me donner le même plaisir avant de dire :
- Va vite sous la douche ! Lave ton joli corps et découvre ta nouvelle petite chatte.
- Devant-vous ?
- Cela te gêne ?
Gênée, n’était peut-être pas le mot le plus approprié, mais pour moi ses gestes, je ne les avais pratiqués que dans l’intimité de ma chambre.
Je suis rentrée dans la douche séparée de mes amies que par la cloison en verre qui ne leur cachait rien de mes activités. Elles étaient là à me regarder, mais aussi à guetter mes réactions au moment où j’allais découvrir la sensation de mes doigts sur ma peau lisse. J’ai failli défaillir quand ma main s’est glissée sur ma «Mounette», comme disait ma mère. Cela les a fait sourire. J’ai fermé les yeux et j’ai laissé mes doigts apprécier ce nouvel aspect de mon sexe. Je ne sais pas, combien de temps dura cet abandon, mais quand j’ai rouvert les yeux, ce fut pour découvrir mes amies étroitement enlacées, échangeant un baiser enflammé, pendant qu’une main fouillant l’intimité de l’autre.
Je suis sortie de la douche et sans même me laisser le temps de m’essuyer, elles se sont approchées de moi pour m’embrasser une nouvelle fois. J’ai été mise entre elles et j’ai senti quatre mains courir sur mon corps. Je me suis dégagée de leur étreinte pour leur dire :
- Excusez-moi les filles, mais j’ai besoin de me vider la tête, de digérer ces nouvelles sensations et là j’ai surtout envie de nager.
- Tu as raison retournons au bord de la piscine.
C’est bras dessus bras dessous que nous sommes sorties de la maison et arrivées au bord de la piscine, nous avons sauté dans l’eau. J’avais besoin de cette fraîcheur pour me remettre les idées en place. Je n’avais absolument rien contre cette intimité entre filles bien au contraire mais cette soudaineté me dépassait quelque peu. Depuis quelque temps je me doutais que mes deux amies étaient plus liées qu’elles ne le laissaient paraître et là était un autre problème : Pourquoi ne m’en avaient-elles pas parlé ? Pourquoi m’ont-elles tenue à l’écart ?
Chapitre 1
Ma première fois (2/5).
J’ai surpris des tractions sur les liens maintenant mon bikini en place. Une dans le milieu mon dos, deux autres sur mes hanches. J’ai senti ma poitrine se libérer de son entrave puis ma culotte glisser lentement le long de mes jambes. Ainsi, exposée, je sentais des frémissements parcourir tout mon corps. Ce sont les mots prononcés par Adriana qui m’ont rappelé à la réalité :
- Beurk ! La pelouse n’est pas tondue !
Andréa est venue rejoindre sa copine, elles étaient côte à côte en face de moi, et voyant ma toison elle me dit :
- Pourquoi tu gardes ça ?
- J’ai eu plusieurs fois envie de m’épiler, mais maman me l’a déconseillé, je la taille et je l’entretien de manière à être toujours présentable.
- Baliverne ! Cela ne te gêne pas quand tu te masturbes ?
- Comment veux-tu que je sache, je les ai toujours eus.
- Exacte !
Elle attrapa une de mes mains et la posa sur son mon de Vénus.
- Et maintenant touche toi avec l’autre main et compare. Lequel tu préfères ?
- Le tien !
Elle avait la peau douce et soyeuse et ce simple geste m’électrisa totalement. C’est vrai que ça devait être super agréable de se masturber en étant aussi lisse qu’un œuf. Adriana se saisit de la main que j’avais sur moi pour la guider à son tour vers son mont de Vénus. J’avais les mains là où jamais je n’aurais pensé les poser, sur l’intimité de mes amies. J’étais paralysée, comme pétrifiée. Elles écartèrent légèrement leurs jambes comme une invitation à m’enfoncer un peu plus vers leur intimité.
- Ne craint rien, ça ne mord pas me dit Adriana.
J’ai glissé mes majeurs plus bas pour sentir leur sexe complètement imberbe. Au moment de ce contact, j’ai eu une montée d’adrénaline, j’ai senti ma chatte s’humidifier. J’ai retiré immédiatement mes mains, ce qui provoqua une question de la part d’Andréa :
- Cela ne te plaît pas ?
- Si bien au contraire, mais c’est la première fois que je touche un sexe de fille autre que le mien.
- Nous non !
Elles se sont rapprochées l’une de l’autre et collées serrées elles se sont embrassées. Mais un vrai baiser pas celui que l’on avait l’habitude de se faire, puis j’ai vu une de leurs mains descendre et disparaître dans leur entrejambe.
- Surprise me demanda Andréa ?
- Pas vraiment car je vous ai vu une fois ou deux vous embrasser de cette façon, mais je ne vous savais pas goudou.
- On n’est pas gouine ! Tout au plus bisexuelle.
Elle s’approcha de moi, colla son corps contre le mien et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue a forcé mes lèvres pour venir s’enrouler autour de la mienne, une de ses mains et descendu le long de ma colonne vertébral pour caresser mes fesses avant de passer sur mon ventre et venir terminer sa course entre mes jambes. J’étais comme étourdie mais merveilleusement bien. C’est à ce moment-là que j’ai entendu :
- A mon tour !
Andréa laissa sa place à Adriana qui eut les mêmes gestes pleins de sensualité et de douceur. Quand elle relâcha son étreinte, elle s’adressa à Andréa :
- Tu as vu notre Alycia est toute mouillée.
- Oui, j’ai vu ! Visiblement cela lui a plu.
- Tu as aimé ?
Avant de répondre, j’ai éprouvé le besoin de m’assoir sur l’un des transats pour me remettre de mes émois. Sans m’en rendre compte, je me suis assise à califourchon ce qui eut comme conséquence d’exposer mon intimité à mes amies. Dans cette position, elles pouvaient très clairement voir l’état d’excitation dans lequel je me trouvais. Elles étaient toute les deux de part et d’autre du transat et j’avais leur ventre à hauteur de ma bouche :
- Si j’ai aimé ? J’ai adoré !
Pour les convaincre et peut-être même finir de m’en persuader moi-même, j’ai posé mes mains sur chacun des fessiers pour attirer mes amies vers moi et déposer un tendre baiser à la naissance de leur sexe.
- Ouhahou s’éclaffa Andréa ! Elle apprend vite.
- Oui, répondit Adriana, mais il y a quand même un gros problème.
- Lequel dis-je ?
- Je n’ai pas envie de me retrouver avec tes poils entre les dents quand je vais te brouter le minou.
- Pardon ?
- Tu ne crois quand même pas que nous allons en rester là. On a une folle envie de te manger l’abricot.
- Tu n’as pas envie ?
J’ai bredouillé tout un tas de fausses excuses pour dissimuler les sentiments contradictoires qui naissaient en moi. Partagée entre ceux liés à l’éducation que mes parents m’ont donnée et ceux de découvrir un autre aspect de ma sexualité même si ceux-ci ne sont pas conformes aux usages. J’ai fini par lâcher :
- Bien sûr, que j’en ai envie ! Je n’ai pas seulement envie que vous me fassiez découvrir de nouvelles jouissances, je veux aussi pouvoir vous les rendre.
- Parfait, mais pour ça, il y a un préalable.
- Lequel ? Ma toison ?
- Exactement !
- D’accord !
- Lève-toi !
Elles me prirent toutes les deux par la main et nous avons traversé la maison jusqu’à la chambre d’Andréa puis une fois dans la salle de bain, je me suis allongée sur une serviette à même le sol.
Andréa ouvrit plusieurs tiroirs pour en sortir peigne, tondeuse et des bandelettes épilatoires. J’ai relevé mes genoux, les pieds à plat et j’ai écarté mes jambes pour permettre à Andréa de prendre place. Elle commença par réduire ma toison avec le peigne et la tondeuse. Adriana était assise à côté de moi, elle me caressait de façon subtile le visage si bien que par moment, je n’avais même pas l’impression que ces doigts touchaient ma peau. Le glissement du peigne et le passage de la tondeuse sur celui-ci produisaient des sensations nouvelles pour moi. Je me laissais faire, je passais d’un visage à l’autre. L’un était concentré sur la tâche à accomplir alors que l’autre n’était que sourire. Sans vraiment en avoir eu la volonté, j’ai posé une de mes mains sur l’une des cuisses d’Adriana et je me suis mise à la câliner doucement. Son sourire s’est encore embelli. Sans me quitter des yeux elle se mit titiller un téton avec un doigt. L’effet fut presque instantané, car je les ai très érectiles, ils peuvent atteindre le centimètre en longueur au plus fort de mon excitation.
- Andréa regarde comme elle a de jolis tétons.
Elle arrêta son travail pour lever la tête et découvrir l’objet de l’interpellation. Puis à quatre pattes elle s’est approchée jusqu’à surplomber ma poitrine où elle déposa un tendre baiser sur le sein qui n’était pas en main. Elle a même délicatement mordillé ce téton insolent ce qui provoqua en moi le passage d’un cran supplémentaire. Une sensation de fraîcheur, provoquée par une bandelette que l’on appliquait mon pubis, puis ce fut une douleur, vive, intense lorsque celle-ci fut arrachée. Une douleur vite calmée par l’application de la paume de la main sur la partie martyrisée.
- Adriana attrape lui les jambes que je lui fasse la raie.
- Alycia lève tes jambes à la verticale.
J’obéis sans me poser plus de question. Je n’étais plus à ça près. Adriana qui était venue se positionner au-dessus de mon visage m’offrait une vue imprenable sur son minou. Elle m’attrapa par les chevilles, tira sur mes jambes en les écartant le plus possible ce me mettait dans une position des plus inconvenante. J’avais ma chatte et mon anus à la merci d’Andréa. Celle-ci indifférente à ma position continuait son œuvre. J’ai senti une nouvelle fraîcheur et une nouvelle douleur sur ce qui pour moi était la partie la plus secrète de mon intimité. Je sentais mon minou s’ouvrir et se fermer pour piéger le plus récalcitrant des poils. Quand j’ai senti un doigt agacer mon petit trou j’ai eu comme un mouvement de recul.
- Tu es vierge de là ?
- Oui !
- Tu n’as jamais essayé ?
- Non, Jamais !
- Ferme les yeux, décontracte-toi et laisse-toi aller.
J’obéis et quelque instant après j’ai senti un doigt qui me massait ma rosette en tournoyant tout autour. Encore une nouvelle sensation ! Puis ce fût une pression plus forte et enfin j’ai senti l’intrusion.
- Elle est très étroite, hyper serrée.
- Ne t’en fais pas, on arrangera ça me dit Adriana.
Elle reprit son travail. La position dans laquelle on me maintenait était inconfortable, reins relevés et cambrés, les jambes grandes ouvertes presque en grand écart, commençait à me faire mal. Heureusement que j’ai entendu :
- Voilà, elle est aussi lisse que nous, vient voir.
Relâchant mes chevilles, Adriana rejoignit Andréa et toutes les deux étaient admiratives devant ma petite chatte totalement dégagée. Agenouillées, côte à côte, contemplatives de mon intimité leurs bouches se trouvèrent pour un baiser passionné, presque violent. J’étais comme sur un nuage, formidablement bien, en totale confiance. Puis ce fut au tour d’Andréa d’ajouter :
- Regarde son clito comme il est attirant.
- Tu as raison.
Elle posa ses mains de chaque côté de ma vulve pour en écarter les lèvres et elle déposa un doux baiser sur ce petit monstre de plaisir. Puis ce fut au tour d’Adriana de me donner le même plaisir avant de dire :
- Va vite sous la douche ! Lave ton joli corps et découvre ta nouvelle petite chatte.
- Devant-vous ?
- Cela te gêne ?
Gênée, n’était peut-être pas le mot le plus approprié, mais pour moi ses gestes, je ne les avais pratiqués que dans l’intimité de ma chambre.
Je suis rentrée dans la douche séparée de mes amies que par la cloison en verre qui ne leur cachait rien de mes activités. Elles étaient là à me regarder, mais aussi à guetter mes réactions au moment où j’allais découvrir la sensation de mes doigts sur ma peau lisse. J’ai failli défaillir quand ma main s’est glissée sur ma «Mounette», comme disait ma mère. Cela les a fait sourire. J’ai fermé les yeux et j’ai laissé mes doigts apprécier ce nouvel aspect de mon sexe. Je ne sais pas, combien de temps dura cet abandon, mais quand j’ai rouvert les yeux, ce fut pour découvrir mes amies étroitement enlacées, échangeant un baiser enflammé, pendant qu’une main fouillant l’intimité de l’autre.
Je suis sortie de la douche et sans même me laisser le temps de m’essuyer, elles se sont approchées de moi pour m’embrasser une nouvelle fois. J’ai été mise entre elles et j’ai senti quatre mains courir sur mon corps. Je me suis dégagée de leur étreinte pour leur dire :
- Excusez-moi les filles, mais j’ai besoin de me vider la tête, de digérer ces nouvelles sensations et là j’ai surtout envie de nager.
- Tu as raison retournons au bord de la piscine.
C’est bras dessus bras dessous que nous sommes sorties de la maison et arrivées au bord de la piscine, nous avons sauté dans l’eau. J’avais besoin de cette fraîcheur pour me remettre les idées en place. Je n’avais absolument rien contre cette intimité entre filles bien au contraire mais cette soudaineté me dépassait quelque peu. Depuis quelque temps je me doutais que mes deux amies étaient plus liées qu’elles ne le laissaient paraître et là était un autre problème : Pourquoi ne m’en avaient-elles pas parlé ? Pourquoi m’ont-elles tenue à l’écart ?
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
son intimitèe devient plus belle
Quel délice ! J'ai ressenti les sensations que vos mots suggèrent. Vous êtes diabolique tant la description lente est précise et bouleversante. A part le minou glabre tout me plait. J'ai gardé un fin duvet, même si j'ai eu le minou lisse. Minou c'est le mot que j'emploie pour le mien. Toute cette tendresse laisse à penser que ces amours saphiques vont encore me faire fantasme et finir par me faire plonger.
Merci Brimbelle
Effrontée
Merci Brimbelle
Effrontée
Voilà une bien belle initiation au saphisme, avec en plus une description savoureuse de la mise à nu de la toison d'Alycia qui devrait plaire à notre ami Bizber. Les suites risquent d'être des plus perverses.
Le cou d'essai de Brimbelle est parfaitement transformé avec ce 2ème chapitre(comparaison au rugby) bien que je préfère d'autres jeux. Bien que préférant un petit buisson bien taillé court chez une fille, le texte ne m'a pas laissé insensible et l'humidité en haut du compas de mes jambes en est la preuve !!!!
Bravo et vivement la suite.
Bravo et vivement la suite.