Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (4/5).
Récit érotique écrit par Brimbelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (4/5).
Triple A
Chapitre 1
Ma première fois (4/5).
La nuit était tombée et le sommeil commençait à gagner chacune de nous, c’est le moment qu’Andréa choisi pour lancer :
- Au lit les filles !
Elle passa derrière moi, posa ses mains sur ma poitrine pour emprisonner mes seins et murmurer à l’oreille :
- Tu es toujours d’accord ?
J’ai tourné la tête vers elle et j’ai répondu oui avant de coller mes lèvres aux siennes.
- Je te préviens quand tu auras franchi la porte de ma chambre, tu seras à nous.
- Je sais et je le veux !
Adriana est venue, elle aussi, m’embrasser et elles m’ont pris par la main pour rejoindre la chambre. Nous avons pris une douche toutes les trois ensemble, ce fut pour moi un moment d’émotion intense. Elles me savonnaient et de sentir quatre mains courir partout sur mon corps faisaient naître en moi des fourmillements que j’avais découverts lors de mes masturbations. Andréa parfuma son corps et les nôtres, mais j’avais besoin de me sécher les cheveux étant la seule à avoir des cheveux jusqu’aux épaules. Andréa me donna son séchoir en me disant :
- Fait vite et rejoint-nous.
Quand je suis arrivée dans la chambre, elles étaient tête-bêche, l’une au-dessus de l’autre à se faire minette. C’est Adriana qui m’a vu la première :
- Assied toi et regarde comment deux filles se donner du plaisir. C’est l’une des meilleures positions pour le plaisir entre nanas.
Avant d’ajouter :
- Tu peux même te caresser si tu en as envie.
Je n’ai pas assez de mes yeux pour me délecter du spectacle qui se déroule devant moi. Assise où je suis, j’ai une vue imprenable sur le postérieur et l’entre jambes d’Adriana qui est au-dessus. J’ai en premier plan sa rondelle plissée qui se contracte par moments et juste en dessous l’entrée de sa grotte et encore en dessous il y Andréa qui lui titille le clitoris avec sa langue.
Je suis terriblement excitée par mes amies, je n’ai pas besoin de porter ma main à mon intimité pour savoir que je mouille déjà. En appui sur une main pour me maintenir assise, je me caresse les seins, mes tétons sont longs et j’aime les rouler entre mes doigts. Je crois que je serais capable de jouir uniquement comme ça. Les yeux toujours rivés sur les fesses d’Adriana, je vois Andréa porter son majeur à sa bouche pour l’enduire de salive avant de venir masser le petit trou qui commence à vibrer.
Des gémissements étouffés mais de plus en plus fort se font entendre au fond des gorges occupées à donner à l’autre ce qu’elle recherche elle-même. Je vois un doigt conquérant s’enfoncer sans problème et de plus en plus profond dans les entrailles d’Adriana puis ressortir pour mieux y retourner. Cela devait lui plaire, car elle releva la tête pour dire :
- Oh oui prends-moi le cul, c’est trop bon.
Andréa délaissa un court instant sa partenaire pour me dire :
- Tu vois bien que l’on peut prendre du plaisir par là.
J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu empêcher ma main de descendre vers mon intimité et d’agacer mon clito pour qu’il sorte de sa cachette. Des gouttes de cyprine étaient visibles sur les lèvres de mon sexe, je les ai essuyées avec un doigt que j’ai porté immédiatement à ma bouche. J’aime ma liqueur. Mes amies étaient en train de se déchaîner, l’orgasme les guettait. Elles ont crié leur plaisir presque en même temps. Adriana s’est laissée tomber sur le côté. Elles avaient toutes les deux le souffle court. J’ai, moi aussi, arrêté tout mouvement sachant que moi, dans la même situation, j’aimerais être tranquille pour apprécier ce délicieux moment et mieux retrouver ma respiration.
Andréa refit surface la première, elle pivota de cent quatre-vingts degrés pour embrasser Adriana et mélanger leur nectar qui donnait cet aspect brillant à leurs lèvres. Puis elles se mirent assises en tailleur en face de moi :
-Tu as aimé me demanda Andréa ?
- J’ai adoré et j’ai très envie de jouir, moi aussi.
- Très bien ! Laquelle de nous deux ?
- Je vous veux toutes les deux. Je vous abandonne mon corps. Faites-moi hurler de plaisir.
- Eh ben dit donc je ne te savais pas aussi accro au sexe.
- Depuis que vous m’avez épilé la chatte, je n’attends que cela!
Elle s’est approchée de moi, me poussa en arrière pour m’embrasser. Sa langue s’enroulait sur la mienne, je lui prenais une lèvre puis l’autre puis elle me dit :
- Ecarte bien les jambes. Ouvre-toi pour qu’Adriana puisse te brouter comme il faut.
Je me suis exécutée et j’ai senti une main glisser sur ma cuisse, remonter et tourner sur mon Mont de Vénus avant de redescendre sur l’autre cuisse. Andréa pendant ce temps m’embrassait à me couper le souffle, ses mains caressaient ma poitrine. Elle enroulait ses mains autour de mes seins puis remontant au sommet pinçait mes tétons entre pouce et indexe. Je sentais mon corps s’électriser. Je connaissais ses ondes qui se transforment en frémissements avant de devenir des vibrations de plus en plus fortes. Celles qui conduisent à l’orgasme.
Je sentais à présent un léger souffle sur la naissance de mon sexe, un souffle qui se déplaçait de haut en bas avant de remonter. Je sentais les lèvres de ma chatte vibrer telle la voile d’un bateau sous le vent et enfin une bouche qui se plaque sur mon sexe qui s’ouvre instantanément pour laisser une langue s’immiscer à l’intérieur. Tout mon corps commençait à rentrer en résonance. Ma bouche était libérée de temps à autre pour me laisser reprendre mon souffle. Je pouvais aspirer des grandes bouffées d’air frais, mais ma poitrine était triturée par une bouche gourmande qui n’hésitait pas à mordiller mes tétons ou à les faire rouler entre les incisives de ma tortionnaire :
- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est trop bon ! Continuez ! Encore.
Deux doigts, appliqués de chaque côté de la naissance de mes petites lèvres pour les écarter et dégager le capuchon de mon clitoris. J’ai failli tressaillir quand une langue est venue se positionner sur mon clito et qu’elle a commencé à le flatter. Je découvrais les biens faits d’une telle caresse. La langue d’Adriana tournoyait sur mon bouton d’amour qui était maintenant sorti de sa cachette. Elle alternait ses caresses, tantôt avec sa langue, parfois avec ses lèvres. Elle l’aspirait et le mordillait.
C’est probablement cette câlinerie qui faisait le plus d’effet, sentir mon clito entre ses dents provoquait chez moi un mélange étrange d’angoisse et de plaisir. L’angoisse d’être mordue et d’avoir mal et le plaisir de sentir le cisaillement de ses incisives qui à chaque fois faisait monter mon plaisir d’un cran. Adriana maîtrisait parfaitement ce qu’elle faisait et prenait plaisir à le faire, car à chaque fois que je levais la tête pour la regarder, son regard était pétillant et même un peu dominateur, mais elle faisait aussi attention de me garder au bord de la jouissance pour que celle-ci soit la plus explosive possible. Chaque fois qu’elle s’arrêtait ou qu’elle ralentissait, je n’avais qu’une hâte, c’est qu’elle reprenne rapidement.
Mes seins étaient toujours à la merci d’Andréa qui se délectait de les malaxer en alternant douceur et fermeté. Mon excitation faisait gonfler mes seins et mes tétons n’avaient jamais été aussi durs et longs. Chaque fois qu’elle posait sa bouche sur l’un d’eux pour les sucer et les mordiller des vagues parcouraient ma poitrine.
- C’est trop bon ! Continuez les filles, faites-moi jouir ! Je veux jouir !
- Soit patiente cela va venir. Le plaisir se mérite et se travail murmura Andréa avant de poser sa bouche sur le mienne et d’emprisonner ma lèvre inférieure entre ses dents.
Mon plaisir montait crescendo et devenait de plus en plus pressant. Je n’avais encore jamais ressenti cela en tout cas pas aussi intensément. Chaque fois que je sentais, ma jouissance sur le point d’exploser mes amies cassaient le rythme, juste ce qu’il faut pour me ramener un cran en dessous. Non seulement elles maîtrisaient parfaitement leurs gestes, mais en plus elles étaient d’un synchronisme presque parfait. Contrairement à moi elles pouvaient se voir et voir ce que l’autre faisait et ainsi coordonner leurs actions. Il est vrai que la plupart du temps, j’avais les yeux fermés pour mieux me concentrer sur les vibrations qui faisaient frémir mon corps et le plaisir que cela me procurait.
Adriana abandonna mon précieux bouton pour explorer l’entrée de mon vagin avec sa langue dardée. Je la sentais entrer et sortir. C’était nouveau pour moi, je n’avais jamais connu cela même avec un garçon, comme quoi il n’y a rien de mieux qu’une fille pour savoir ce qui nous fait monter au septième ciel. Elle plaça ses mains à l’arrière de mes cuisses juste au-dessus du creux des genoux et me relava tout en écartant les jambes. Avec ce geste, j’ai senti ma chatte s’ouvrir totalement et mes fesses s’écarter. Posture totalement indécente, mais au combien jouissive.
- Tiens tes jambes comme cela, me dit-elle.
Totalement soumise j’ai tiré sur mes abdominaux pour me redresser et relever la tête afin d’attraper mes jambes comme elle me le demandait puis je me suis allongée ce qui m’ouvrit encore plus. J’étais totalement offerte. En exécutant ce mouvement, j’ai croisé son regard et j’ai vu qu’elle avait glissé un des majeurs dans sa bouche pour l’enduire de salive : J’allais enfin avoir quelque chose dans la chatte ! Doucement, avec délicatesse elle positionna son doigt et le fit entrer avec une lenteur savamment voulue puis elle s’immobilisa. Sa bouche se posa de nouveau sur mon bouton et sa langue se remit au travail. Son doigt se retira de ma caverne et descendant d’un cran se mit à masser ma rosette sans tenter une intrusion. Sa bouche était toujours active, j’avais l’impression que mon clito grossissait à chaque coup de langue. Ma chatte grande ouverte je sentais ma liqueur couler le long de ma raie. Ces doigts étaient maintenant imprégnés de ma cyprine et elle n’eut aucun mal à pénétrer ma grotte avec deux de ses doigts cette fois-ci.
Andréa ne quittait plus ma bouche tantôt elle l’envahissait de sa langue tantôt, elle mordillait mes lèvres à tour de rôle et même ma langue. Ses mains s’empressaient en permanence sur ma poitrine. Mes tétons commençaient à devenir douloureux surtout quand elle les prenait entre pouce et index pour les saisir fermement et tirer dessus. Mais cette douleur était largement compensée par le plaisir qu’elle générait. J’avais le ventre en feu et je n’attendais plus que la délivrance par la jouissance.
J’ai commencé à sentir des vas et viens dans mon ventre, lents et réguliers, puis plus rien, le vide. Puis ce fût un pouce sur le clito et deux doigts en moi. Cette fois je les sentais encore mieux, pulpe tournée vers le haut, se mirent à masser l’intérieur probablement à la recherche de mon fameux «Point G», suivi d’aller-retour rapides et appuyés sur la paroi supérieure de mon vagin. Je ne sentais de mon corps que le plaisir que je m’apprêtais à prendre.
- Tu es prête, on la fait jouir maintenant dit Adriana à Andréa.
– Vas-y !
Andréa est venue se positionner juste au-dessus de ma bouche. Elle était toute humide. Avec ses deux mains, elle attrapa mes tétons avec les ongles du pouce et de l’index et elle serra. J’avais atrocement mal, mais j’appréciais ce doux cocktail. Puis elle plaqua sa chatte sur ma bouche. Pendant ce temps Adriana avait emprisonné mon clitoris entre ses dents et deux de ces doigts fouraillaient rapidement mon minou. Je n’ai pu résister à l’envie d’agiter tant bien que mal ma langue sur les lèvres odorantes qui étaient sur ma bouche.
J’étais au bord de l’asphyxie quand j’ai été terrassée par un tsunami, je me suis arcboutée et j’ai explosé au visage de ma bienfaitrice. Je me vidais littéralement. Je ne voulais pas que cela s’arrête. Andréa, qui venait de se relever, me permit d’exprimer bruyamment mon orgasme.
- La salope, elle m’a inondé le visage et elle en réclame encore.
- Viens Andréa boire son jus toi aussi.
- Ohh ouiiiiiiiiiii, je jouis. T’arrête pas continu ! Vas-y plus fort ! Encore !
Andréa rejoignit celle qui venait de me libérer d’orgasme qui me prenait le ventre et qui poursuivait son œuvre en agitant follement ses doigts en moi. J’avais orgasme sur orgasme et je n’arrêtais pas de vider en de longs jets aux visages de mes amies. Puis plus rien, le noir !
Chapitre 1
Ma première fois (4/5).
La nuit était tombée et le sommeil commençait à gagner chacune de nous, c’est le moment qu’Andréa choisi pour lancer :
- Au lit les filles !
Elle passa derrière moi, posa ses mains sur ma poitrine pour emprisonner mes seins et murmurer à l’oreille :
- Tu es toujours d’accord ?
J’ai tourné la tête vers elle et j’ai répondu oui avant de coller mes lèvres aux siennes.
- Je te préviens quand tu auras franchi la porte de ma chambre, tu seras à nous.
- Je sais et je le veux !
Adriana est venue, elle aussi, m’embrasser et elles m’ont pris par la main pour rejoindre la chambre. Nous avons pris une douche toutes les trois ensemble, ce fut pour moi un moment d’émotion intense. Elles me savonnaient et de sentir quatre mains courir partout sur mon corps faisaient naître en moi des fourmillements que j’avais découverts lors de mes masturbations. Andréa parfuma son corps et les nôtres, mais j’avais besoin de me sécher les cheveux étant la seule à avoir des cheveux jusqu’aux épaules. Andréa me donna son séchoir en me disant :
- Fait vite et rejoint-nous.
Quand je suis arrivée dans la chambre, elles étaient tête-bêche, l’une au-dessus de l’autre à se faire minette. C’est Adriana qui m’a vu la première :
- Assied toi et regarde comment deux filles se donner du plaisir. C’est l’une des meilleures positions pour le plaisir entre nanas.
Avant d’ajouter :
- Tu peux même te caresser si tu en as envie.
Je n’ai pas assez de mes yeux pour me délecter du spectacle qui se déroule devant moi. Assise où je suis, j’ai une vue imprenable sur le postérieur et l’entre jambes d’Adriana qui est au-dessus. J’ai en premier plan sa rondelle plissée qui se contracte par moments et juste en dessous l’entrée de sa grotte et encore en dessous il y Andréa qui lui titille le clitoris avec sa langue.
Je suis terriblement excitée par mes amies, je n’ai pas besoin de porter ma main à mon intimité pour savoir que je mouille déjà. En appui sur une main pour me maintenir assise, je me caresse les seins, mes tétons sont longs et j’aime les rouler entre mes doigts. Je crois que je serais capable de jouir uniquement comme ça. Les yeux toujours rivés sur les fesses d’Adriana, je vois Andréa porter son majeur à sa bouche pour l’enduire de salive avant de venir masser le petit trou qui commence à vibrer.
Des gémissements étouffés mais de plus en plus fort se font entendre au fond des gorges occupées à donner à l’autre ce qu’elle recherche elle-même. Je vois un doigt conquérant s’enfoncer sans problème et de plus en plus profond dans les entrailles d’Adriana puis ressortir pour mieux y retourner. Cela devait lui plaire, car elle releva la tête pour dire :
- Oh oui prends-moi le cul, c’est trop bon.
Andréa délaissa un court instant sa partenaire pour me dire :
- Tu vois bien que l’on peut prendre du plaisir par là.
J’étais tellement excitée que je n’ai pas pu empêcher ma main de descendre vers mon intimité et d’agacer mon clito pour qu’il sorte de sa cachette. Des gouttes de cyprine étaient visibles sur les lèvres de mon sexe, je les ai essuyées avec un doigt que j’ai porté immédiatement à ma bouche. J’aime ma liqueur. Mes amies étaient en train de se déchaîner, l’orgasme les guettait. Elles ont crié leur plaisir presque en même temps. Adriana s’est laissée tomber sur le côté. Elles avaient toutes les deux le souffle court. J’ai, moi aussi, arrêté tout mouvement sachant que moi, dans la même situation, j’aimerais être tranquille pour apprécier ce délicieux moment et mieux retrouver ma respiration.
Andréa refit surface la première, elle pivota de cent quatre-vingts degrés pour embrasser Adriana et mélanger leur nectar qui donnait cet aspect brillant à leurs lèvres. Puis elles se mirent assises en tailleur en face de moi :
-Tu as aimé me demanda Andréa ?
- J’ai adoré et j’ai très envie de jouir, moi aussi.
- Très bien ! Laquelle de nous deux ?
- Je vous veux toutes les deux. Je vous abandonne mon corps. Faites-moi hurler de plaisir.
- Eh ben dit donc je ne te savais pas aussi accro au sexe.
- Depuis que vous m’avez épilé la chatte, je n’attends que cela!
Elle s’est approchée de moi, me poussa en arrière pour m’embrasser. Sa langue s’enroulait sur la mienne, je lui prenais une lèvre puis l’autre puis elle me dit :
- Ecarte bien les jambes. Ouvre-toi pour qu’Adriana puisse te brouter comme il faut.
Je me suis exécutée et j’ai senti une main glisser sur ma cuisse, remonter et tourner sur mon Mont de Vénus avant de redescendre sur l’autre cuisse. Andréa pendant ce temps m’embrassait à me couper le souffle, ses mains caressaient ma poitrine. Elle enroulait ses mains autour de mes seins puis remontant au sommet pinçait mes tétons entre pouce et indexe. Je sentais mon corps s’électriser. Je connaissais ses ondes qui se transforment en frémissements avant de devenir des vibrations de plus en plus fortes. Celles qui conduisent à l’orgasme.
Je sentais à présent un léger souffle sur la naissance de mon sexe, un souffle qui se déplaçait de haut en bas avant de remonter. Je sentais les lèvres de ma chatte vibrer telle la voile d’un bateau sous le vent et enfin une bouche qui se plaque sur mon sexe qui s’ouvre instantanément pour laisser une langue s’immiscer à l’intérieur. Tout mon corps commençait à rentrer en résonance. Ma bouche était libérée de temps à autre pour me laisser reprendre mon souffle. Je pouvais aspirer des grandes bouffées d’air frais, mais ma poitrine était triturée par une bouche gourmande qui n’hésitait pas à mordiller mes tétons ou à les faire rouler entre les incisives de ma tortionnaire :
- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii ! C’est trop bon ! Continuez ! Encore.
Deux doigts, appliqués de chaque côté de la naissance de mes petites lèvres pour les écarter et dégager le capuchon de mon clitoris. J’ai failli tressaillir quand une langue est venue se positionner sur mon clito et qu’elle a commencé à le flatter. Je découvrais les biens faits d’une telle caresse. La langue d’Adriana tournoyait sur mon bouton d’amour qui était maintenant sorti de sa cachette. Elle alternait ses caresses, tantôt avec sa langue, parfois avec ses lèvres. Elle l’aspirait et le mordillait.
C’est probablement cette câlinerie qui faisait le plus d’effet, sentir mon clito entre ses dents provoquait chez moi un mélange étrange d’angoisse et de plaisir. L’angoisse d’être mordue et d’avoir mal et le plaisir de sentir le cisaillement de ses incisives qui à chaque fois faisait monter mon plaisir d’un cran. Adriana maîtrisait parfaitement ce qu’elle faisait et prenait plaisir à le faire, car à chaque fois que je levais la tête pour la regarder, son regard était pétillant et même un peu dominateur, mais elle faisait aussi attention de me garder au bord de la jouissance pour que celle-ci soit la plus explosive possible. Chaque fois qu’elle s’arrêtait ou qu’elle ralentissait, je n’avais qu’une hâte, c’est qu’elle reprenne rapidement.
Mes seins étaient toujours à la merci d’Andréa qui se délectait de les malaxer en alternant douceur et fermeté. Mon excitation faisait gonfler mes seins et mes tétons n’avaient jamais été aussi durs et longs. Chaque fois qu’elle posait sa bouche sur l’un d’eux pour les sucer et les mordiller des vagues parcouraient ma poitrine.
- C’est trop bon ! Continuez les filles, faites-moi jouir ! Je veux jouir !
- Soit patiente cela va venir. Le plaisir se mérite et se travail murmura Andréa avant de poser sa bouche sur le mienne et d’emprisonner ma lèvre inférieure entre ses dents.
Mon plaisir montait crescendo et devenait de plus en plus pressant. Je n’avais encore jamais ressenti cela en tout cas pas aussi intensément. Chaque fois que je sentais, ma jouissance sur le point d’exploser mes amies cassaient le rythme, juste ce qu’il faut pour me ramener un cran en dessous. Non seulement elles maîtrisaient parfaitement leurs gestes, mais en plus elles étaient d’un synchronisme presque parfait. Contrairement à moi elles pouvaient se voir et voir ce que l’autre faisait et ainsi coordonner leurs actions. Il est vrai que la plupart du temps, j’avais les yeux fermés pour mieux me concentrer sur les vibrations qui faisaient frémir mon corps et le plaisir que cela me procurait.
Adriana abandonna mon précieux bouton pour explorer l’entrée de mon vagin avec sa langue dardée. Je la sentais entrer et sortir. C’était nouveau pour moi, je n’avais jamais connu cela même avec un garçon, comme quoi il n’y a rien de mieux qu’une fille pour savoir ce qui nous fait monter au septième ciel. Elle plaça ses mains à l’arrière de mes cuisses juste au-dessus du creux des genoux et me relava tout en écartant les jambes. Avec ce geste, j’ai senti ma chatte s’ouvrir totalement et mes fesses s’écarter. Posture totalement indécente, mais au combien jouissive.
- Tiens tes jambes comme cela, me dit-elle.
Totalement soumise j’ai tiré sur mes abdominaux pour me redresser et relever la tête afin d’attraper mes jambes comme elle me le demandait puis je me suis allongée ce qui m’ouvrit encore plus. J’étais totalement offerte. En exécutant ce mouvement, j’ai croisé son regard et j’ai vu qu’elle avait glissé un des majeurs dans sa bouche pour l’enduire de salive : J’allais enfin avoir quelque chose dans la chatte ! Doucement, avec délicatesse elle positionna son doigt et le fit entrer avec une lenteur savamment voulue puis elle s’immobilisa. Sa bouche se posa de nouveau sur mon bouton et sa langue se remit au travail. Son doigt se retira de ma caverne et descendant d’un cran se mit à masser ma rosette sans tenter une intrusion. Sa bouche était toujours active, j’avais l’impression que mon clito grossissait à chaque coup de langue. Ma chatte grande ouverte je sentais ma liqueur couler le long de ma raie. Ces doigts étaient maintenant imprégnés de ma cyprine et elle n’eut aucun mal à pénétrer ma grotte avec deux de ses doigts cette fois-ci.
Andréa ne quittait plus ma bouche tantôt elle l’envahissait de sa langue tantôt, elle mordillait mes lèvres à tour de rôle et même ma langue. Ses mains s’empressaient en permanence sur ma poitrine. Mes tétons commençaient à devenir douloureux surtout quand elle les prenait entre pouce et index pour les saisir fermement et tirer dessus. Mais cette douleur était largement compensée par le plaisir qu’elle générait. J’avais le ventre en feu et je n’attendais plus que la délivrance par la jouissance.
J’ai commencé à sentir des vas et viens dans mon ventre, lents et réguliers, puis plus rien, le vide. Puis ce fût un pouce sur le clito et deux doigts en moi. Cette fois je les sentais encore mieux, pulpe tournée vers le haut, se mirent à masser l’intérieur probablement à la recherche de mon fameux «Point G», suivi d’aller-retour rapides et appuyés sur la paroi supérieure de mon vagin. Je ne sentais de mon corps que le plaisir que je m’apprêtais à prendre.
- Tu es prête, on la fait jouir maintenant dit Adriana à Andréa.
– Vas-y !
Andréa est venue se positionner juste au-dessus de ma bouche. Elle était toute humide. Avec ses deux mains, elle attrapa mes tétons avec les ongles du pouce et de l’index et elle serra. J’avais atrocement mal, mais j’appréciais ce doux cocktail. Puis elle plaqua sa chatte sur ma bouche. Pendant ce temps Adriana avait emprisonné mon clitoris entre ses dents et deux de ces doigts fouraillaient rapidement mon minou. Je n’ai pu résister à l’envie d’agiter tant bien que mal ma langue sur les lèvres odorantes qui étaient sur ma bouche.
J’étais au bord de l’asphyxie quand j’ai été terrassée par un tsunami, je me suis arcboutée et j’ai explosé au visage de ma bienfaitrice. Je me vidais littéralement. Je ne voulais pas que cela s’arrête. Andréa, qui venait de se relever, me permit d’exprimer bruyamment mon orgasme.
- La salope, elle m’a inondé le visage et elle en réclame encore.
- Viens Andréa boire son jus toi aussi.
- Ohh ouiiiiiiiiiii, je jouis. T’arrête pas continu ! Vas-y plus fort ! Encore !
Andréa rejoignit celle qui venait de me libérer d’orgasme qui me prenait le ventre et qui poursuivait son œuvre en agitant follement ses doigts en moi. J’avais orgasme sur orgasme et je n’arrêtais pas de vider en de longs jets aux visages de mes amies. Puis plus rien, le noir !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bravo vous m avez fait jouir
Florence, c'est une proposition envers notre amie si secrète. Il est certain que Chantal devrait lire les récits d'Agnès, comme ce dernier aussi remarquable que les précédents.
Un merveilleux récit qui ne peut que donner envie à celles tentées par les jeux saphiques de sauter le pas! N'est ce pas Effrontée ?
Quelle merveille que cette première fois, Brimbelle a un incontestable talent pour conter la montée du plaisir de celle qui bénéficie de ce "dépucelage" saphique. Que nous réserve le dernier épisode de ce récit ? J'en suis mouillée d'avance et mon doigt ne quitte pas mon clitoris !!!