Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (5/5).

- Par l'auteur HDS Brimbelle -
Récit érotique écrit par Brimbelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (5/5). Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : Triple A - Ma première fois (5/5).
Triple A.
Chapitre 1.
Ma première fois (5/5).


Je ne sais pas combien de temps, je suis restée dans les vaps, mais quand j’ai ouvert les yeux, il y avait au-dessus de moi deux visages rayonnants, qui m’accueillirent avec leur plus beau sourire et en disant :

- Bienvenue chez les vivants.
- Il y a longtemps que je suis comme ça ?
- Une bonne trentaine de secondes tout au plus.

Petit à petit je régulais à nouveau ma respiration.

- Je n’ai jamais joui comme ça !
- Regarde les draps, ils sont trempés. Je suis certaine que l’on aurait pu remplir un verre.
- Il n’y pas que les draps nos visages sont couverts de ton délicieux nectar.
- Embrassez-moi, je veux me goûter.

A tour de rôle elles ont posé leur bouche sur la mienne pour échanger un baiser profond ou nos langues se sont livrées un combat de titan. J’ai pu ainsi retrouver et savourer mon odeur.

- Je ne vous remercierai jamais assez toutes les deux, je n’avais jamais joui de la sorte. C’est un moment qui restera gravé à tout jamais dans ma mémoire.
- On ne te savait pas fontaine.
- Moi non plus, c’est la première fois. Pour vous dire à quel point j’ai aimé vos caresses.
- Tu n’avais jamais éjaculé comme ça avant.
- Non, jamais, je savais que je mouillais pas mal mais jamais à ce point.
- Qu’est-ce qui t’est arrivée, tu as joui sans arrêt, tu avais orgasme sur orgasme, puis plus rien ?
- Je crois que j’ai joui si fort que je me suis évanoui.
- C’est ça la petite mort demanda Adriana.
- J’en sais rien, mais ça y ressemble, j’ai lu quelque chose sur Internet qui ressemble à ça. Répondit Andréa.
- Une chose est sûre, vous pouvez me faire jouir comme ça tous les jours. Et vous, vous avez déjà connu ça?
- Non.
- Moi non plus.
- Vous croyez que les faits d’être fontaine et de s’évanouir sont liés.
- Je n’en sais rien.
- Vous êtes fontaine vous ?
- Cela ne m’est pas encore arrivé, en tout cas pas comme toi.
- Quand je me masturbe, il m’arrive de mouiller les draps, mais c’est très léger et s’est plus un surplus de mouille.
- Il paraît que nous le sommes toutes plus ou moins, mais ces éjaculations dépendent du niveau d’excitation et l’état psychologique du moment.
- La preuve que j’en avais réellement envie et que j’étais en totale confiance avec vous.

Sur ce, je me suis levée en disant :
- Je meurs de soif, vous voulez quelque chose.
- Regarde dans le frigo, il y a du Schweppes et les verres dans le placard du haut juste à côté.

Quand je suis revenue, elles étaient toutes les deux assises en tailleur, face à face, au milieu du King-size. J’ai posé le plateau sur le lit et je me suis assise comme elle et nous nous sommes désaltérées.

- Vous m’avez dit quand mais vous ne m’avez pas dit, comment vous étiez arrivées à vous gouiner.
- Regarde-moi la petite curieuse qui veut tout savoir.
- Depuis que nous sommes chez toi on va de découvertes et confidences, alors allez jusqu’au bout.

Andréa se lança dans le récit de leur première fois toutes les deux :

«Comme je te l’ai dit cette après-midi, ça s’est passé ici, l’année dernière quand tu es partie en vacances. C’était la première fois qu’Adriana venait à la maison. Nous étions que toutes les deux et il faisait un temps magnifique. Nous nous sommes installées au bord de la piscine pour profiter au maximum du soleil. J’avais l’habitude de bronzer nue quand j’étais seule à la maison et même quand il n’y a que mes parents. Comme aujourd’hui je suis apparue nue à Adriana sans lui poser la question de savoir si ça la dérangeait. Elle en a fait autant. Ce n’est qu’un peu plus tard quand nous nous sommes mises à l’eau qu’a eu lieu le déclic. On s’est retrouvé face à face au milieu de la piscine, on avait de l’eau jusque sous les bras. Nos seins se sont effleurés et là on est resté comme pétrifiées quelques secondes, on s’est enlacé pour être collé l’une à l’autre et on a échangé notre premier vrai baiser.

Nos mains sont parties explorer le corps de l’autre, je sentais les siennes sur mes fesses pendant que les miennes parcouraient sa colonne vertébrale. Nous sommes sorties de l’eau pour nous allonger toutes les deux sur un même transat et nous avons de nouveau uni nos bouches. On avait les jambes mêlées et nous sentions les poils pubiens de l’autre sur nos cuisses. Notre position ne souffrait d’aucune équivoque et le fait de braver les interdits faisait monter notre excitation. Elle me caressait les fesses et moi un sein tout en continuant nos baisers profonds. Je ne sais, laquelle de nous a commencé, mais nous nous sommes retrouvées à onduler du bassin pour frotter nos sexes sur la cuisse de l’autre. On a joui ensemble. On est resté un long moment sans bouger sans rien dire. Quand nous sommes revenues à la réalité, c’était pour nous avouer les plaisirs que l’on venait d’avoir.

De tout l’été, on a continué à se voir, mais il ne s’est plus rien passé, par contre on a beaucoup parlé toutes les deux sur l’ambiguïté de cette liaison. On n’a pas mal surfé sur les forums pour découvrir que les relations entre filles n’étaient pas aussi rares que l’on pouvait le penser. Qu’elles n’étaient pas directement liées à la sexualité et qu’elles pouvaient être éphémères. Le saphisme est une manière "poétique" de décrire l’homosexualité. Si l’on admet que l'orientation sexuelle n'est pas, en elle-même, à considérer comme une chose inavouable, l’homosexualité devient alors acceptable. En tout cas, une relation saphique peut être vécue parallèlement à une vie hétérosexuelle et peut même apporter beaucoup aux disciples de Sapho. Cette découverte nous déculpabilisa quelque peu et nous avons poursuivi nos recherches pour aller plus loin dans la découverte de l’autre.

Puis la rentrée est arrivée et l’envie de nous toucher nous tenaillait le ventre et nous nous sommes à nouveau aimées. Ce fut l’occasion pour nous de nous découvrir plus intimement. On savait comment on était faite par ce que nos doigts nous transmettaient ou par l’image qu’un miroir entre nos jambes nous renvoyait, mais on n’avait jamais vu un autre sexe d’aussi près. La première fois qu’Adriana a posé ses lèvres sur mon minou, j’ai jouis au bout de quelques secondes.

On a expérimenté l’épilation parce que nous avions lu sur Internet que cela était plus agréable pour celle qui faisait minette mais aussi parce que cela permet de mieux ressentir les caresses, même quand tu te masturbes. D’abord, au rasoir avant d’en comprendre les inconvénients liés à une repousse rapide. Aujourd’hui, on utilise la cire orientale, la même que j’ai utilisé pour toi, ce qui nous permet de rester imberbe plus longtemps. On envisage même une épilation définitive au laser. On a découvert le plaisir buccal et les bienfaits d’un doigté profond. On s’est même offert des sexes Toy pour des pénétrations entre filles. Aujourd’hui, on expérimente tout ce qui peut nous procurer les plus belles jouissances. On se donne du plaisir et crois-moi en donnant, on reçoit aussi beaucoup en retour.»

- Vous avez un gode ?
- Non pas un, mais plusieurs et on n’a pas que des godes.

Adriana se leva et se dirigea vers son sac pour en sortir un paquet-cadeau :
- Tiens c’est pour toi.
- On avait une chance sur deux de nous planter, ajouta Andréa. Si tu n’avais pas joué le jeu cette après-midi, on l’aurait ajouté à notre collection.

J’ai ouvert mon cadeau et j’ai découvert un Pink Sweety. Je l’ai sorti de sa boîte pour le porter à mes lèvres.

– Bonjour toi.

Ce qui fit rire mes amies.

- T’inquiète pas, on te montrera.

Adriana prit la parole :

- Il faut aussi que l’on te dise que ce qui s’est passé aujourd’hui a été savamment préparé.

J’ai regardé mes deux amies avec mon nouveau jouet dans la main et j’ai écouté.

«Ça faisait longtemps que nous réfléchissions à la meilleure manière de t’annoncer la chose. On savait par les conversations que nous avions eues toutes les trois que tu étais une fille aux idées larges, mais on savait aussi qu’il y a une énorme différence entre ce que l’on peut penser et le comportement que l’on peut avoir quand on est confronté à la réalité. Nous ne voulions surtout pas te rebuter et encore moins de perdre, car nous t’aimons toutes les deux. Alors après mûre réflexion nous sommes arrivées à la conclusion que le mieux était que tu le découvres par toi-même. Alors, on a imaginé ce week-end en essayant de penser à tout et là il n’y avait plus qu’une alternatives : Tu restes ou tu parts.

Tu es restée et l’on peut bien te l’avouer maintenant, on est vraiment soulagé. On a pensé à tout depuis la séance d’épilation, même si on ne savait pas comment tu étais, jusqu’à l’orgasme que l’on t’a donné. On a reproduit sur toi les caresses qui nous faisaient le plus d’effet avec la ferme attention de faire en sorte que tu n’oublies jamais cette première fois avec nous. La seule chose qu’on n’avait pas prévue, c’est que tu étais fontaine et que tu inonderais nos visages et le lit. Une dernière chose, si tu es d’accord, on souhaiteraient toutes les deux, que tu joignes à nous le plus souvent possible en toute liberté. On se dit tout, on ne se cache plus rien. On ne s’interdit rien, on profite de tout. Garçon ou filles, seule ou ensemble mais toujours avec la plus belle confiance et la plus tendre complicité.»

- Qu’en penses-tu ?
- Je suis pour évidemment ! Mais vous n’avez pas peur du qu’en dira-ton ?
- On n’est pas non plus obligé de s’afficher ouvertement dans la rue.
- Tu verras à la FAC, ils seront moins coincés qu’au lycée ajouta Andréa avant de continuer :
- Le sexe, c’est comme la cuisine, on ne peut pas se limiter à une seule recette si l’on veut en connaître toutes les saveurs? On a encore tellement de choses à découvrir ensemble.
- C’est joli ça c’est de toi ? demanda Adriana.
- Oui, et j’ai mieux encore : «La liberté est la plus belle des choses, c’est un bien inaliénable que chacun se doit d’utiliser selon son bon vouloir. Personne ne devrait en être dépouillé», souvenez-vous de nos cours de philo.
- Tu as raison, on ne vit qu’une fois, alors profitons-en, dis-je.

Avant d’ajouter :

- J’aimerais goûter à vos …

J’ai eu la parole coupée par Adriana :

- Nos chattes !
- Exactement !

Andréa attrapa mon jouet pour le poser sur la table de nuit :

- Tu n’en as pas besoin ce soir. Alycia, je vais m’occuper de toi car je n’ai pas encore eu ce plaisir, pendant que tu besogneras Adriana et elle de moi.

On s’est positionné en triangle le visage entre les jambes d’une autre et on a commencé notre broute minou collectif. Il devait être un peu plus de trois heures du matin quand, après avoir connu l’orgasme toutes les trois, Andréa éteignit. Nous nous sommes endormies encore emmêlées dans la position où l’on avait joui.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
April 27, 2017. Que du plaisir et John La Semelle se réjouit de pouvoir lire la suite de ce charmant et oh combien excitant récit.

excuse-moi ... tes textes !

Adorable ! belle plume ! ... et très excitant .... Je te laisse deviner ce que j'ai fait en lisant ton texte !

Merci à tous pour vos encouragements.
Le chapitre deux arrivera rapidement d’ici quelques joues.
Il comportera, en principe, sept parties.
D'autres sont ensuite prévus, mais il me faut les écrire.
Encore merci à vous.

Les deux amies ont fait découvrir à Alycia que les glandes de Skene peuvent provoquer de véritables éjaculations. Elle a bien l'intention d'en faire aussi profiter les deux autres. Adorables récits saphiques.
Mais au fait c'est charmantes "enfants" ont déjà vu le "Loup", comment se comportent elles avec les garçons; une suite nous le dira peut être ?

Magnifique. Tu nous a régale jusqu au bout. As tu goûté à tes deux amies? As tu aime leur cyprine? Comment jouissent elles? Dis nous la suite?

Histoire Erotique
Une suite est envisagée?



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