Titre de l'histoire érotique : Trois orgasmes
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Trois orgasmes
Quand on sait que l'employé qu'on exploite au Smic va voir nos couilles la moindre politesse c'est de les laver. Pour K, chef d'entreprise d'une quarantaine d'année, nettoyer ses testicules ne suffisait pas ; il se douchait avec ces savons irritants vendus aux supermarchés, savons qui non seulement piquaient les yeux, laissaient aussi des traces blanches sur la peau et particulièrement pour K, des traces blanches sur ses testicules, traces blanches qui collaient sur ses poils et donnaient sinon l'impression de saleté l'impression qu'il avait des poils blancs aux testicules. Cet « inconvénient » qui s'il ne suffisait à remettre en cause sa virilité pouvait faire préjuger de sa mauvaise hygiène et c'était précisément ce que K ne voulait pas. « s'ils voient mes testicules comme ça, ils vont penser que je suis crade ou que j'ai des vieilles couilles ! » K ne voulait pas qu'on juge ses couilles sales ou vieilles.
On se trouvait début juillet ; grâce au vent la chaleur qui avait tout brûlé durant juin s'était atténuée. En hiver K détestait le vent parce qu'il donnait froid mais l’aimait en été parce qu'il rafalait les moustiques. K pénétra la salle de bain. Il se déshabilla. En léger surpoids, son ventre engraissait une petite bedaine. Les hommes au petit sexe compensent financièrement ; c'était un cliché Trumpesque et grotesque qui ne s'accordait pas avec K, riche au long épais pénis ; deux raisons pour lesquelles on le détestait. Il ne s'était jamais marié. C'était un heureux célibataire.
L'eau mouilla le corps clair. Il dirigea le jet sur son sexe. Il tenu en main ses parties génitales. Elles étaient velues. Sous ses burnes il revit les poils blancs, résidus savonniers. Il éteignit l'eau. Il saisit le rasoir pour raser ses poils blancs. Alors qu'il rasait ses bourses il imaginait une bouche qui lui suçait les testicules. Son pénis entra en semi-érection. Après s'être lavé K mangea. Il devait faire le plein d'énergie pour la nuit charnelle qui l'attendait.
Toute la ville avait déjà été rempli par la nuit lorsque K arriva chez B et T. Il était 20H. Ensemble ils prirent un verre, causèrent un peu, puis pénétrèrent la chambre conjugale. Ils se déshabillèrent et se retrouvèrent tous nus.
Le mari allongea son dos sur le matelas. L'épouse l'enjamba, se mit à quatre pattes au dessus des cuisses maritales ; son visage regardait le ventre mâle, ses seins frôlaient le pénis tendu. Debout les pieds sur le tapis l'amant se colla au bord du lit. Fléchissant les jambes il saisit les fesses femelles, y introduisit son braquemart. C'était exquis de baiser par le vagin la femme de son employé pendant que la queue cocue bandait et frémissait désirablement entre les seins adultérins. En prenant sa femme dans leur lit conjugal il lui montrait qu'il n'était non seulement le patron au bureau mais aussi le patron au lit, faisant de lui le BOOSSXUEL !
Les époux se fixaient les yeux pendant qu'elle gémissait érotiquement sous les assauts du pénis amant. D'être allongé sous sa femme pendant qu'elle contentait un autre, entendre ses gémissements plaisants, les coups de reins du rival, fixer l'adultère dans les yeux pendant l'acte adultérin, tout cela n'en finissait plus de plonger le mari dans un désir sans fin et d'étirer son pénis jusqu'à la douleur entre les seins de sa femme prise par un autre et pas n'importe quel autre, son patron !
Son cerveau étant chez lui son plus grand organe sexuel elle savait tout ce que cette scène qui se déroulait sur lui et dont elle était l'élément principal provoquait chez le cocu cérébral ; plus encore que la longue grosse queue amante qui la mouillait, l'ardent feu désirant qu'elle voyait illuminer les yeux maritaux la cyprinait pendant que son amant l'élargissait vaginalement ; contre ses seins verticaux aspirés par l'attraction terrestre elle sentait son pénis cocu qui s'électrisait de désir et de frustration ; la volupté avait été de ne pas le maintenir en cage chaste pendant qu'elle le cocufiait avec son patron, une humiliation cérébrale particulièrement profonde.
Ils essayèrent une nouvelle position : le mari resta étendu sur le dos ; cette fois l'épouse s'assit sur son pubis en lui tournant le dos ; elle ouvrit les cuisses, rejeta en arrière le dos, appuya les deux mains en arrière sur le matelas pour maintenir son dos en équilibre ; l'amant à genoux rapprocha son braquemart des sexes époux ; sauf qu'à la différence du pénis cocu qui bandait en l'air, le pénis amant gonflait dans le vagin.
Cette fois l'amant pouvait voir le visage de l'épouse pendant qu'il la labourait sexuellement ; non seulement il pouvait l'entendre, maintenant il pouvait suivre en direct les fluctuations grimaçantes de son plaisir ; lui aussi prenait un plaisir égocentrique similaire à celui des tueurs en série à baiser sur le corps de son employé la femme de ce dernier.
Le mari, qui subissait le poids de son épouse prise sur le pubis, ne pouvait voir que son dos, ses cheveux. Le corps de son épouse oscillait d'avant à l'arrière en suivant le rythme que lui imprimait les coups de reins de l'amant. Sa queue bandait pour rien sous la jointure charnelle de son patron et de son épouse. Comme il aurait aimé être son patron, être à la place de son patron en train de baiser sa femme ! Il déposa ses mains sur les hanches de son épouses. Au passage ses mains croisèrent les mains du patron qui se dirigeaient vers les seins : non seulement par le pénis il prenait le vagin maintenant en main il prenait les seins.
Ils changèrent une nouvelle fois leur positionnement : cette fois encore le mari resta étendu sur le dos ; l'épouse s'allongea sur lui en position 69 ; l'amant à genoux derrière le cul de l'épouse introduisit sa longue grosse verge blanche dans l'intime chair rose. Elle sentait pleinement le pénis amant qui remplissait son canal vaginal. « Oh oui ! Baise-moi ! Baise-moi bien ! » s'écria-t-elle.
Le mari bandait plus fort ; il voyait à quelque centimètre le pénis patron baiser le vagin infidèle ; cette union charnelle produisait une odeur érotique qui l'étourdissait, odeur charnelle qu'il respirait ; pour lui il n'y avait pas plus délicieuse et humiliante position, voir de très près comment la verge d'un autre transperce sa femme ! L'impression que son pénis d'excitation frôlait la déchirure.
L'amant accéléra ses coups de reins. La bouche maritale se colla au clitoris qu'elle téta. Elle ressentit un énorme plaisir. Elle saisit le braquemart mari qu'elle branla très rapidement en suivant le rythme fou que lui appliquaient les coups de reins amants. L'amant éjacula dans le vagin propulsant ses spermatozoïdes dans tout le tunel vaginal. Elle cyprina la bouche suceuse de son mari. L'époux éjacula verticalement serré par la main branleuse de son épouse.
On se trouvait début juillet ; grâce au vent la chaleur qui avait tout brûlé durant juin s'était atténuée. En hiver K détestait le vent parce qu'il donnait froid mais l’aimait en été parce qu'il rafalait les moustiques. K pénétra la salle de bain. Il se déshabilla. En léger surpoids, son ventre engraissait une petite bedaine. Les hommes au petit sexe compensent financièrement ; c'était un cliché Trumpesque et grotesque qui ne s'accordait pas avec K, riche au long épais pénis ; deux raisons pour lesquelles on le détestait. Il ne s'était jamais marié. C'était un heureux célibataire.
L'eau mouilla le corps clair. Il dirigea le jet sur son sexe. Il tenu en main ses parties génitales. Elles étaient velues. Sous ses burnes il revit les poils blancs, résidus savonniers. Il éteignit l'eau. Il saisit le rasoir pour raser ses poils blancs. Alors qu'il rasait ses bourses il imaginait une bouche qui lui suçait les testicules. Son pénis entra en semi-érection. Après s'être lavé K mangea. Il devait faire le plein d'énergie pour la nuit charnelle qui l'attendait.
Toute la ville avait déjà été rempli par la nuit lorsque K arriva chez B et T. Il était 20H. Ensemble ils prirent un verre, causèrent un peu, puis pénétrèrent la chambre conjugale. Ils se déshabillèrent et se retrouvèrent tous nus.
Le mari allongea son dos sur le matelas. L'épouse l'enjamba, se mit à quatre pattes au dessus des cuisses maritales ; son visage regardait le ventre mâle, ses seins frôlaient le pénis tendu. Debout les pieds sur le tapis l'amant se colla au bord du lit. Fléchissant les jambes il saisit les fesses femelles, y introduisit son braquemart. C'était exquis de baiser par le vagin la femme de son employé pendant que la queue cocue bandait et frémissait désirablement entre les seins adultérins. En prenant sa femme dans leur lit conjugal il lui montrait qu'il n'était non seulement le patron au bureau mais aussi le patron au lit, faisant de lui le BOOSSXUEL !
Les époux se fixaient les yeux pendant qu'elle gémissait érotiquement sous les assauts du pénis amant. D'être allongé sous sa femme pendant qu'elle contentait un autre, entendre ses gémissements plaisants, les coups de reins du rival, fixer l'adultère dans les yeux pendant l'acte adultérin, tout cela n'en finissait plus de plonger le mari dans un désir sans fin et d'étirer son pénis jusqu'à la douleur entre les seins de sa femme prise par un autre et pas n'importe quel autre, son patron !
Son cerveau étant chez lui son plus grand organe sexuel elle savait tout ce que cette scène qui se déroulait sur lui et dont elle était l'élément principal provoquait chez le cocu cérébral ; plus encore que la longue grosse queue amante qui la mouillait, l'ardent feu désirant qu'elle voyait illuminer les yeux maritaux la cyprinait pendant que son amant l'élargissait vaginalement ; contre ses seins verticaux aspirés par l'attraction terrestre elle sentait son pénis cocu qui s'électrisait de désir et de frustration ; la volupté avait été de ne pas le maintenir en cage chaste pendant qu'elle le cocufiait avec son patron, une humiliation cérébrale particulièrement profonde.
Ils essayèrent une nouvelle position : le mari resta étendu sur le dos ; cette fois l'épouse s'assit sur son pubis en lui tournant le dos ; elle ouvrit les cuisses, rejeta en arrière le dos, appuya les deux mains en arrière sur le matelas pour maintenir son dos en équilibre ; l'amant à genoux rapprocha son braquemart des sexes époux ; sauf qu'à la différence du pénis cocu qui bandait en l'air, le pénis amant gonflait dans le vagin.
Cette fois l'amant pouvait voir le visage de l'épouse pendant qu'il la labourait sexuellement ; non seulement il pouvait l'entendre, maintenant il pouvait suivre en direct les fluctuations grimaçantes de son plaisir ; lui aussi prenait un plaisir égocentrique similaire à celui des tueurs en série à baiser sur le corps de son employé la femme de ce dernier.
Le mari, qui subissait le poids de son épouse prise sur le pubis, ne pouvait voir que son dos, ses cheveux. Le corps de son épouse oscillait d'avant à l'arrière en suivant le rythme que lui imprimait les coups de reins de l'amant. Sa queue bandait pour rien sous la jointure charnelle de son patron et de son épouse. Comme il aurait aimé être son patron, être à la place de son patron en train de baiser sa femme ! Il déposa ses mains sur les hanches de son épouses. Au passage ses mains croisèrent les mains du patron qui se dirigeaient vers les seins : non seulement par le pénis il prenait le vagin maintenant en main il prenait les seins.
Ils changèrent une nouvelle fois leur positionnement : cette fois encore le mari resta étendu sur le dos ; l'épouse s'allongea sur lui en position 69 ; l'amant à genoux derrière le cul de l'épouse introduisit sa longue grosse verge blanche dans l'intime chair rose. Elle sentait pleinement le pénis amant qui remplissait son canal vaginal. « Oh oui ! Baise-moi ! Baise-moi bien ! » s'écria-t-elle.
Le mari bandait plus fort ; il voyait à quelque centimètre le pénis patron baiser le vagin infidèle ; cette union charnelle produisait une odeur érotique qui l'étourdissait, odeur charnelle qu'il respirait ; pour lui il n'y avait pas plus délicieuse et humiliante position, voir de très près comment la verge d'un autre transperce sa femme ! L'impression que son pénis d'excitation frôlait la déchirure.
L'amant accéléra ses coups de reins. La bouche maritale se colla au clitoris qu'elle téta. Elle ressentit un énorme plaisir. Elle saisit le braquemart mari qu'elle branla très rapidement en suivant le rythme fou que lui appliquaient les coups de reins amants. L'amant éjacula dans le vagin propulsant ses spermatozoïdes dans tout le tunel vaginal. Elle cyprina la bouche suceuse de son mari. L'époux éjacula verticalement serré par la main branleuse de son épouse.
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