Titre de l'histoire érotique : TROP CHAUD partie 1
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : TROP CHAUD partie 1
Pffff ! Quelle chaleur !
Vous ai-je jamais raconté comment je me balade en permanence dans mon appart ? En slip ou en maillot de bain. Tout le temps. Faute dire qu’avec Paulo j’en ai une sacrée collection. La seule différence, ce sont les fenêtres – sans rideaux -. Ouvertes en été, fermées en hiver. Ca doit être mon côté exhib – et donc voyeur aussi-. On sait tous que ce sont les deux faces d’une même médaille.
Samedi dernier, grand remue ménage dans l’immeuble d’en face, au même étage que le mien, le 3ème et dernier. On dirait bien que de nouveaux locataires emménagent. Faut dire que la rue est pas très large, dans les 8 à 10 mètres maximum. Toute la journée, ce sont des allées et venues. Tard le soir ça se calme et je peux donc découvrir mes nouveaux voisins : deux jeunes trentenaires, l’un très blond et l’autre très brun. Des colocs étudiants ? Très vite, je suis fixé. Colocs peut être mais homos sûrement. C’est un festival de petits bisous, de caresses. Tout ça, fenêtres ouvertes, comme chez moi. Ah cette chaleur….Est ce ma tenue ou la chaleur terrible qui leur a donné des idées ? Voilà que, tous les deux se mettent à se balader en slips eux aussi. Si je les ai vus, ils ont du, eux aussi, me voir à coup sûr. Faut dire qu’ils sont pa mal du tout tous les deux. Très mignons même, je trouve. Ca me donne une bonne raison de me mettre à la fenêtre, appuyé à la rambarde. Le soir, je vais diner en ville. Quand je rentre, la lumière d’en face est allumée partout. Dans la chambre aussi. Ils ont eu la bonne idée- comme nous -, de mettre leur lit, face à la fenêtre. Ils y sont d’ailleurs, dans leur lit. En slips, entrain de se caresser. Au début, je n’ose pas trop me mettre à la fenêtre pour les observer puis, en réfléchissant, je me dis qu’ils doivent être aussi exhibs que moi…J’enfile donc mon plus beau mini slip vert flashy et m’accoude à la fenêtre. Je les vois parfaitement bien, eux aussi sûrement. Ils continuent leurs caresses appuyées, ce qui met ma bite dans un bel état….Maintenant, je suis sûr qu’ils veulent m’offrir le spectacle de leurs ébats, sinon pourquoi auraient ils tout laissé allumé, fenêtre ouverte ? A cette heure, la rue est devenue très calme, déserte même. Il fait encore très très chaud. Ils ont, tous les deux, le même slip rose fuschia, très moulant. Le brun se place en 69 et agace le slip de son amant qui lui rend la pareille. Le blond a l’air d’aimer se laisser faire. Le brun dégage un peu la bite de son amant de son slip et se met à la lutiner du bout des lèvres. Son ami en fait autant. Tiens, autant le blond a l’air rasé, autant le brun a l’air d’avoir une toison exubérante. Ils vont ainsi s’agacer un bon moment. Le brun lui passe un doigt. Aussitôt le blond se met en levrette, le cul offert. Son ami lui fait glisser son slip bien lentement, tout en gardant le sien. C’est à ce moment que son regard croise le mien. Il me sourit. Il effectue alors un petit strip tease langoureux – pour moi ? -, se débarrasse de son slip et s’enduit copieusement la bite de gel. Il commence à faire glisser sa tige dans la raie de son ami. Le blond se met à remuer lentement et lève son regard dans ma direction aussi. Tou ça m’excite grave et me fais plonger ma main furieusement dans mon slip…Je comprends alors qu’on va bien « voisiner » avec les nouveaux ! Ca y est, il l’a pénétré et se met à le limer lentement, profondément, posément. Le blond a empoigné le cul de son amant et le tire vers lui à chaque poussée. Questions bites, ils ont l’air bien équipés tous les deux. A mon avis, ils se connaissent depuis un moment, leurs ébats sont tendres et doux. Le brun s’allonge maintenant et le blond cherche à s’empaler lentement sur son pieu dressé. Lui-même bande un max. Le brun contrôle la descente de son ami sur sa bite. Là encore, ça va chauffer un moment dans cette position. Ils ont l’air bien endurants tous les deux, finalement. Ah, ça change encore de position, à l’initiative du brun ; Il a allongé le blond sur le dos, lui a écarté les jambes qu’il a relevé et posé sur ses épaules et l’a pénétré d’un coup sec, à fond. J’ai entendu le blond crier de plaisir légèrement à la pénétration. Il se met à le limer, à le pilonner même de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment même. Ca secoue bien. Longtemps. J’en profite pour me frotter la bite contre la rambarde, à travers le slip. J’ai entendu le brun crier quand il a joui dans le cul de son amant. Il s’écroule sur lui. Assez vite, il se retire pour venir s’occuper de la bite en feu de son ami, toujours tendue à bloc. Il se met à lui sucer savamment, voluptueusement. Alternant les gorges profondes, les effleurements sur le gland et les mouvements de branle du bout des doigts. Le blond se tend de plus en plus, bientôt arcbouté sur le lit. Il jouit dans sa bouche. Ils se recollent l’un contre l’autre, en se câlinant doucement. Maintenant, ils vont sûrement comater un peu. Le spectacle est fini. Je vais vers la salle de bain pour me doucher, à l’eau froide, pour me calmer. Je décide alors de leur rendre un peu la pareille en me baladant complètement à poils – façon de parler, je suis complètement rasé, moi aussi- . Tiens, les lumières sont maintenant éteintes. C’est le noir complet en face et je distingue deux silhouettes nues accoudées à la rambarde. Je me laisse admirer alors, mine de rien. Je leur dois bien ça. J’éteins les lumières et je viens, moi aussi m’accouder à ma rambarde. Ils me font un signe amical de la main et repartent se coucher. J’en fais autant, restant au dessus du drap, dans la lumière, offert à leurs regards. C’est Paulo qui va être content quand il va savoir qu’on a de nouveaux voisins largement aussi exhibs que lui !
Le vendredi suivant, appel de Paulo. Il rentre le soir même.
« -Oh ! Nice ! You will have a surprise !
-What sort of surprise ?
-Come on quickly, you will see… »
21h30. Il est là. Comme à chaque fois, on se jette dans les bras l’un de l’autre et on se dévore furieusement. J’entreprends de lui arracher ses vêtements, ne lui laissant que son slip. Commence alors une furieuse partie de baise. J’avais remarqué que le blond était à sa fenêtre, mais, maintenant, ils sont tous les deux accoudés à leur fenêtre, à se régaler. C’est alors que Paulo les aperçoit…
« -Hey ! We have neighbours ?
-Yes ! That’s the surprise. And…they are gays !
-Fine !!!So, it’s a show ?
-If you want… »
Paulo, faut pas lui en promettre. Déjà comme ça ….Je sens que ça va être le grand jeu, pimenté par les deux voyeurs. C’est vrai que ça nous excite d’autant plus de nous savoir observés dans nos ébats. Ca leur permettra aussi d’apprécier la superbe plastique de Paulo…Paulo va alors se déchaîner en déployant tout son savoir faire en la matière - et dieu sait qu’il est grand – Il va même me proposer de nouvelles positions abracadabrantes – mais ô combien délicieuses -, comme celle du 69 vertical avec ses pieds accrochés à la barre de gym ! J’ai le cul en feu mais je voudrais que ça ne s’arrête jamais. J’aime trop la bite de Paulo, j’en suis trop privé au jour le jour. C’est sûr qu’il leur en a donné « pour leur argent ». Il a joui dans un grand cri de bête fauve en me gratifiant de ma position favorite : accroché à sa taille, appuyé au mur et secoué comme un prunier. Sûr qu’ils ont dû apprécier ….Je l’ai alors entrepris de toutes les façons possibles, moi aussi. Il s’est laissé faire comme un bébé, adorant ça. Sa préférée, face à face, jambes relevées, le l’ai gardée pour la fin. J’ai ainsi réussi à le faire jouir du cul – pas aussi fort que son Latino de New York ( voir « Cyber sexe »)- mais ses cris de jouissance ont empli la rue déserte… On s’est endormi, encastrés l’un dans l’autre, nus, offerts à leurs regards…
Le lendemain, au petit marché en bas de la rue, nous avons croisé, par hasard( ?) nos deux voisins. Paulo a aussitôt entamé la conversation et les a aussi sec invités à la piscine pour l’après midi même. On s’y est retrouvé sur la pelouse bain de soleil attenante au grand bassin. Eux moulés dans des shortcuts en mousse rose qui laissaient tout deviner de leur anatomie ; nous dans nos mini moule-bites jaunes et verts –couleurs du Brésil-. On a fait les présentations. C’était un peu bizarre car on avait l’impression qu’on connaissait beaucoup de choses les uns des autres, sans même s’être parlé. On a ainsi appris que le blond c’est Fabrice, le brun Paul, qu’ils sont tous les deux dans la fringue-on s’en serait douté-. Physiquement, de près, ils sont pas mal du tout. On sent qu’ils s’entretiennent physiquement. Des corps bien découplés, de fins abdos-ni trop, ni trop peu-, de belles bites – mais ça, on le sait déjà !-. Tout de suite la conversation a tourné sexe. Oui ils sont ensemble depuis un an. Oui ils « adorent ça ». Oui ils sont cleans. Oui ils ont beaucoup aimé notre séance d’hier soir –moi aussi la leur, merci-.Oui ils sont exhibs ET voyeurs –comme nous-.Oui ils aimeraient bien qu’on devienne amis. Oui ils ont déjà eu des expériences à plusieurs. Non ils n’ont rien contre une séance avec nous. Bref, rendez-vous fut pris pour le lendemain matin pour passer une journée à la mer tous les quatre. Je ne suis pas sur que ce soit pour perfectionner notre technique de nage en mer….on verra.
L’après midi se passa en baignades –ils nagent très bien tous les deux-, jeux dans l’eau, bronzage, rigolades, lectures, discussions. A la fin de l’après midi, ils nous apparaissent très sympas.
Vivement demain… !
Vous ai-je jamais raconté comment je me balade en permanence dans mon appart ? En slip ou en maillot de bain. Tout le temps. Faute dire qu’avec Paulo j’en ai une sacrée collection. La seule différence, ce sont les fenêtres – sans rideaux -. Ouvertes en été, fermées en hiver. Ca doit être mon côté exhib – et donc voyeur aussi-. On sait tous que ce sont les deux faces d’une même médaille.
Samedi dernier, grand remue ménage dans l’immeuble d’en face, au même étage que le mien, le 3ème et dernier. On dirait bien que de nouveaux locataires emménagent. Faut dire que la rue est pas très large, dans les 8 à 10 mètres maximum. Toute la journée, ce sont des allées et venues. Tard le soir ça se calme et je peux donc découvrir mes nouveaux voisins : deux jeunes trentenaires, l’un très blond et l’autre très brun. Des colocs étudiants ? Très vite, je suis fixé. Colocs peut être mais homos sûrement. C’est un festival de petits bisous, de caresses. Tout ça, fenêtres ouvertes, comme chez moi. Ah cette chaleur….Est ce ma tenue ou la chaleur terrible qui leur a donné des idées ? Voilà que, tous les deux se mettent à se balader en slips eux aussi. Si je les ai vus, ils ont du, eux aussi, me voir à coup sûr. Faut dire qu’ils sont pa mal du tout tous les deux. Très mignons même, je trouve. Ca me donne une bonne raison de me mettre à la fenêtre, appuyé à la rambarde. Le soir, je vais diner en ville. Quand je rentre, la lumière d’en face est allumée partout. Dans la chambre aussi. Ils ont eu la bonne idée- comme nous -, de mettre leur lit, face à la fenêtre. Ils y sont d’ailleurs, dans leur lit. En slips, entrain de se caresser. Au début, je n’ose pas trop me mettre à la fenêtre pour les observer puis, en réfléchissant, je me dis qu’ils doivent être aussi exhibs que moi…J’enfile donc mon plus beau mini slip vert flashy et m’accoude à la fenêtre. Je les vois parfaitement bien, eux aussi sûrement. Ils continuent leurs caresses appuyées, ce qui met ma bite dans un bel état….Maintenant, je suis sûr qu’ils veulent m’offrir le spectacle de leurs ébats, sinon pourquoi auraient ils tout laissé allumé, fenêtre ouverte ? A cette heure, la rue est devenue très calme, déserte même. Il fait encore très très chaud. Ils ont, tous les deux, le même slip rose fuschia, très moulant. Le brun se place en 69 et agace le slip de son amant qui lui rend la pareille. Le blond a l’air d’aimer se laisser faire. Le brun dégage un peu la bite de son amant de son slip et se met à la lutiner du bout des lèvres. Son ami en fait autant. Tiens, autant le blond a l’air rasé, autant le brun a l’air d’avoir une toison exubérante. Ils vont ainsi s’agacer un bon moment. Le brun lui passe un doigt. Aussitôt le blond se met en levrette, le cul offert. Son ami lui fait glisser son slip bien lentement, tout en gardant le sien. C’est à ce moment que son regard croise le mien. Il me sourit. Il effectue alors un petit strip tease langoureux – pour moi ? -, se débarrasse de son slip et s’enduit copieusement la bite de gel. Il commence à faire glisser sa tige dans la raie de son ami. Le blond se met à remuer lentement et lève son regard dans ma direction aussi. Tou ça m’excite grave et me fais plonger ma main furieusement dans mon slip…Je comprends alors qu’on va bien « voisiner » avec les nouveaux ! Ca y est, il l’a pénétré et se met à le limer lentement, profondément, posément. Le blond a empoigné le cul de son amant et le tire vers lui à chaque poussée. Questions bites, ils ont l’air bien équipés tous les deux. A mon avis, ils se connaissent depuis un moment, leurs ébats sont tendres et doux. Le brun s’allonge maintenant et le blond cherche à s’empaler lentement sur son pieu dressé. Lui-même bande un max. Le brun contrôle la descente de son ami sur sa bite. Là encore, ça va chauffer un moment dans cette position. Ils ont l’air bien endurants tous les deux, finalement. Ah, ça change encore de position, à l’initiative du brun ; Il a allongé le blond sur le dos, lui a écarté les jambes qu’il a relevé et posé sur ses épaules et l’a pénétré d’un coup sec, à fond. J’ai entendu le blond crier de plaisir légèrement à la pénétration. Il se met à le limer, à le pilonner même de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment même. Ca secoue bien. Longtemps. J’en profite pour me frotter la bite contre la rambarde, à travers le slip. J’ai entendu le brun crier quand il a joui dans le cul de son amant. Il s’écroule sur lui. Assez vite, il se retire pour venir s’occuper de la bite en feu de son ami, toujours tendue à bloc. Il se met à lui sucer savamment, voluptueusement. Alternant les gorges profondes, les effleurements sur le gland et les mouvements de branle du bout des doigts. Le blond se tend de plus en plus, bientôt arcbouté sur le lit. Il jouit dans sa bouche. Ils se recollent l’un contre l’autre, en se câlinant doucement. Maintenant, ils vont sûrement comater un peu. Le spectacle est fini. Je vais vers la salle de bain pour me doucher, à l’eau froide, pour me calmer. Je décide alors de leur rendre un peu la pareille en me baladant complètement à poils – façon de parler, je suis complètement rasé, moi aussi- . Tiens, les lumières sont maintenant éteintes. C’est le noir complet en face et je distingue deux silhouettes nues accoudées à la rambarde. Je me laisse admirer alors, mine de rien. Je leur dois bien ça. J’éteins les lumières et je viens, moi aussi m’accouder à ma rambarde. Ils me font un signe amical de la main et repartent se coucher. J’en fais autant, restant au dessus du drap, dans la lumière, offert à leurs regards. C’est Paulo qui va être content quand il va savoir qu’on a de nouveaux voisins largement aussi exhibs que lui !
Le vendredi suivant, appel de Paulo. Il rentre le soir même.
« -Oh ! Nice ! You will have a surprise !
-What sort of surprise ?
-Come on quickly, you will see… »
21h30. Il est là. Comme à chaque fois, on se jette dans les bras l’un de l’autre et on se dévore furieusement. J’entreprends de lui arracher ses vêtements, ne lui laissant que son slip. Commence alors une furieuse partie de baise. J’avais remarqué que le blond était à sa fenêtre, mais, maintenant, ils sont tous les deux accoudés à leur fenêtre, à se régaler. C’est alors que Paulo les aperçoit…
« -Hey ! We have neighbours ?
-Yes ! That’s the surprise. And…they are gays !
-Fine !!!So, it’s a show ?
-If you want… »
Paulo, faut pas lui en promettre. Déjà comme ça ….Je sens que ça va être le grand jeu, pimenté par les deux voyeurs. C’est vrai que ça nous excite d’autant plus de nous savoir observés dans nos ébats. Ca leur permettra aussi d’apprécier la superbe plastique de Paulo…Paulo va alors se déchaîner en déployant tout son savoir faire en la matière - et dieu sait qu’il est grand – Il va même me proposer de nouvelles positions abracadabrantes – mais ô combien délicieuses -, comme celle du 69 vertical avec ses pieds accrochés à la barre de gym ! J’ai le cul en feu mais je voudrais que ça ne s’arrête jamais. J’aime trop la bite de Paulo, j’en suis trop privé au jour le jour. C’est sûr qu’il leur en a donné « pour leur argent ». Il a joui dans un grand cri de bête fauve en me gratifiant de ma position favorite : accroché à sa taille, appuyé au mur et secoué comme un prunier. Sûr qu’ils ont dû apprécier ….Je l’ai alors entrepris de toutes les façons possibles, moi aussi. Il s’est laissé faire comme un bébé, adorant ça. Sa préférée, face à face, jambes relevées, le l’ai gardée pour la fin. J’ai ainsi réussi à le faire jouir du cul – pas aussi fort que son Latino de New York ( voir « Cyber sexe »)- mais ses cris de jouissance ont empli la rue déserte… On s’est endormi, encastrés l’un dans l’autre, nus, offerts à leurs regards…
Le lendemain, au petit marché en bas de la rue, nous avons croisé, par hasard( ?) nos deux voisins. Paulo a aussitôt entamé la conversation et les a aussi sec invités à la piscine pour l’après midi même. On s’y est retrouvé sur la pelouse bain de soleil attenante au grand bassin. Eux moulés dans des shortcuts en mousse rose qui laissaient tout deviner de leur anatomie ; nous dans nos mini moule-bites jaunes et verts –couleurs du Brésil-. On a fait les présentations. C’était un peu bizarre car on avait l’impression qu’on connaissait beaucoup de choses les uns des autres, sans même s’être parlé. On a ainsi appris que le blond c’est Fabrice, le brun Paul, qu’ils sont tous les deux dans la fringue-on s’en serait douté-. Physiquement, de près, ils sont pas mal du tout. On sent qu’ils s’entretiennent physiquement. Des corps bien découplés, de fins abdos-ni trop, ni trop peu-, de belles bites – mais ça, on le sait déjà !-. Tout de suite la conversation a tourné sexe. Oui ils sont ensemble depuis un an. Oui ils « adorent ça ». Oui ils sont cleans. Oui ils ont beaucoup aimé notre séance d’hier soir –moi aussi la leur, merci-.Oui ils sont exhibs ET voyeurs –comme nous-.Oui ils aimeraient bien qu’on devienne amis. Oui ils ont déjà eu des expériences à plusieurs. Non ils n’ont rien contre une séance avec nous. Bref, rendez-vous fut pris pour le lendemain matin pour passer une journée à la mer tous les quatre. Je ne suis pas sur que ce soit pour perfectionner notre technique de nage en mer….on verra.
L’après midi se passa en baignades –ils nagent très bien tous les deux-, jeux dans l’eau, bronzage, rigolades, lectures, discussions. A la fin de l’après midi, ils nous apparaissent très sympas.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
T'as raison, c'était super bandant !
Franchement bandant