Titre de l'histoire érotique : Un apprentissage plein d'enseignements
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Un apprentissage plein d'enseignements
Un apprentissage plein d’enseignements.
Ce que je vais vous raconter s’étale sur quelques mois…
Comme dans toutes les filières technologiques, j’ai effectué plusieurs stages au cours desquels j’alternais les cours au lycée et les semaines en entreprise…
Je dois avouer que la semaine au lycée me pesait pas mal et vous comprendrez que j’appréciais bien plus l’autre facette de ma formation.
Je rencontrais des personnes de tous âges et de toutes origines…
Au cours de la dernière année, j’ai eu la chance de décrocher un stage de trois mois qui, bien que ne correspondant pas strictement à ma formation, m’apporté beaucoup de choses…
En effet, le stage se déroulait au sein de la plateforme logistique d’une enseigne bien connue de la grande distribution.
Nous recevions les camions de marchandises diverses qui, pour les non périssables, étaient stockées sur place et redistribuées vers les magasins en fonction de leur besoins… Seuls les fruits et les légumes étaient absorbés dans un circuit court qui partant du Marché d’intérêt national du secteur les distribuait directement…
L’année précédente, j’avais effectué également un stage de trois mois prolongé par un CDD de deux mois pendant les vacances d’été dans une grande surface de la région…
Ainsi, j’avais une vue sur l’ensemble de la filière.
Le travail s’effectuait en deux postes… Le matin de 6 h à 13 heures nous recevions les marchandises et de 13 à 20 heures, les remorques des camions étaient chargées pour être acheminée en cours de nuit vers leur destination.
Je ne faisais pas de manutention mais je devais relever sur les diverses palettes, les dates de péremption des produits, le lieu de stockage et bien évidement la nature des denrées ou produits.
J’entrais les données dans une tablette et elles étaient transmises directement au service informatique de la plateforme…
Donc, tout se passait pour le mieux…
La dernière semaine de stage venait de commencer…
Ce soir la, nous n’étions plus que deux sur la plateforme : Ingrid, la directrice adjointe qui allait se charger de la fermeture et de la mise en sécurité et moi…
Lorsqu’elle est sortie par la porte de service, j’étais en train de fourrager dans le moteur de ma vieille voiture, qui une fois encore ne voulait pas démarrer !
J’avais consacré la majeure partie de mes économies pour passer mon permis de conduire et il ne me restait pas beaucoup d’argent pour acheter une voiture potable.
Ainé d’une fratrie de six enfants, mes parents ne pouvaient pas m’aider d’autant que deux de mes jeunes sœurs étaient internes dans un lycée pro à plus de 150 km de la maison.
Ingrid s’est approchée en disant :
• Laisse tomber… On va déposer tes clés avec un mot pour le chef mécano… Il regardera à ta voiture demain matin.
• Ok… C’est sympa… Je vais faire du stop pour renter chez moi…
• Non, viens te laver les mains qui sont pleines de cambouis et je te déposerai avant de revenir chez moi. Demain, tu prendras un taxi et je m’arrangerai pour payer la course.
• Oh, vous êtes vraiment sympa…
En cours de route, j’observais Ingrid du coin de l’œil… Cette dernière parlait peu, toute concentrée sur la conduite de son bolide, un Clio RS flambant neuve qu’elle avait depuis une semaine…
En moi-même je pensais que je voudrais bien avoir une telle voiture… les minettes me tomberaient toutes crues dans les bras…
Mais en fait de minette, c’est moi qui suis tombé dans les filets d’Ingrid !
Alors que nous approchions de chez elle, elle m’a dit :
• J’habite au bout de cette rue… Tu vois, nous n’habitons pas loin l’un de l’autre… As-tu quelque chose de prévu ce soir ?
• Non, j’ai juste envie de manger un morceau en écoutant de la musique. Pourquoi ?
• Si tu veux, nous allons partager ce que j’ai dans le réfrigérateur… Mon homme est absent pour la semaine et il ne rentrera que dans la nuit de vendredi à samedi. Je n’ai pas envie d’être seule… La journée a été difficile avec ce camion accidenté dont il a fallu récupérer la cargaison ! Cela ne fera du bien de bavarder avec quelqu’un de jeune.
• Décidément vous êtes une patronne vraiment TOP !
Après avoir ouvert la porte avec la télécommande, Ingrid a rentré sa voiture directement dans le garage et m’a dit :
• Je te montre le chemin… Installe-toi au salon, j’arrive dans deux minutes.
J’avais déjà observé Ingrid à la dérobée à plusieurs reprises et là, dans cet escalier montant au rez-de-chaussée, je la regardais et me disais qu’elle était bien belle !
A un peu plus de 40 ans, elle était une grande femme blonde (je pense un bon mètre soixante dix) aux cheveux toujours impeccablement relevés en chignon haut sur la nuque dégagée pour montrer un cou fin…
Ce soir là, elle porte une jupe un peu longue en tissu épais qui arrive à mi mollet avec une veste unie dont la taille est prise dans une large ceinture de cuir fauve.
Je ne sais pas si elle le fait exprès ou si ce sont ses chaussures à talon qui lui font cette démarche, toujours est-il que j’ai le regard attiré par le balancement des ses hanches au point qu’il me vient des idées salaces !
Quand Ingrid revient au salon, les bras chargé d’un plateau avec plein de victuailles et boissons diverses, je vois qu’elle a posé sa veste… Elle portait en dessous un chemisier en soie de couleur fauve qui lui va bien au teint… Les premiers boutons étaient défaits et j’apercevais le sillon mammaire… Waouh… elle est vraiment belle et je lui en fais le compliment.
• Vil flatteur… Tu pourrais être le fils que je n’ai jamais eu…
• Non… c’est sincère, je vous trouve belle… Ce soir je peux vous regarder sans avoir peur d’être surpris par quelqu’un d’autre !
• Serais-tu un peu coquin à regarder les femmes sans qu’elles s’en doutent ?
• Non, je vous le dis, vous êtes belle ! Pourquoi ne pas vous le dire ?
• Trêve de balivernes, mangeons… j’ai une faim de louve !
En fait nous mangeons tout en bavardant de choses et d’autres mais Ingrid se montre très curieuse quant à ma sexualité de jeune homme… et je lui confie volontiers mes secrets :
• Oh, il n’y a pas grand-chose à en dire… Certes, je ne suis plus puceau… mais les deux filles avec lesquelles j’ai fait l’amour un peu à la sauvette après une boum étaient un peu coincées… D’ailleurs, la première était vierge elle aussi !
• Dis donc, c’est la disette ! Cela te suffit ?
• Bien sur que non, je me masturbe mais ce n’est pas facile car un de mes frères couche dans la même chambre que moi !
Je dois reconnaitre qu’à ce moment là, toutes mes inhibitions étaient tombées, un peu aidées par le bon vin que nous dégustions verre après verre au point que j’avais chaud les oreilles et les yeux d’Ingrid brillaient… La bouteille était VIDE !
Lorsqu’elle est venue près de moi sur le divan, elle m’a tendu ses lèvres en me disant de l’embrasser… qu’elle avait envie de moi…
Je n’osais pas l’enlacer… c’était quand même un des cadres de l’entreprise… mais quand elle a posé sa main sur mon entrejambe où mon érection montait, j’ai perdu toute retenue.
J’ai répondu à son invitation et aussitôt nos langues se sont mêlées dans un baiser torride !
Je me suis enhardi en posant une main sur un de ses seins, c’était chaud et doux…
Ingrid s’est dégagée et elle a ôté son chemisier en disant :
• Nous serons plus à l’aise ainsi…
Puis elle a fait sauter l’agrafe de son soutien gorge laissant apparaitre une belle paire de seins haut placés avec une aréole bistre qui tranchait sur la peau laiteuse de blonde…
Certes, ce n’était pas les premiers seins que je voyais ainsi… Il y avait assez de filles ou de femmes qui sur la plage avaient opté pour le monokini !
Nous nous embrassions à en perdre le souffle… D’une main distraite Ingrid caressait mon entrejambes par-dessus le tissu du jean et mon sexe ne cessait de grandir… J’avais de plus en plus envie de cette femme, oubliant son statut par rapport au mien…
Mais n’est-ce pas elle qui en quelque sorte avait fait les premiers pas ?
Soudain (pour autant que je m’en souvienne exactement), elle me dit :
• Viens… Allons dans la chambre… Nous y serons mieux… Je vais te faire découvrir ce que c’est que de faire l’amour à une femme !
Par contre, ce dont je me souviens c’est comment elle s’est mise nue et m’a ensuite déshabillé.
Elle a fait glisser sa jupe qui s’est étalée à ses pieds, elle a retiré ses chaussures et elle ne portait plus qu’un tanga assorti au soutien gorge resté sur le tapis du salon !
Lorsque j’ai été nu, elle a fait glisser son dernier vêtement et elle m’est apparue dans la splendide maturité de la femme de 40 ans…
• Je vais t’apprendre comment faire monter le désir chez une femme… Un homme ne doit pas se comporter en hussard mais amener la femme au point où c’est elle qui désire faire l’amour.
Je n’avais jamais envisagé cela…
Je pensais naïvement : tu me plais… on se plait… on baise ensemble…
Ingrid s’est allongée sur le lit et m’a tendu les bras.
• Tout d’abord, je vais te faire découvrir le sexe d’une femme… Je suppose que tes copines se sont contentées de relever leur jupe et de baisser leur culotte !
• Oui… Effectivement… Elles ne se sont pas déshabillées. On a même baisé debout dans un coin de porte.
• Je m’en doutais… Franchement, à plus de 18 ans, tu es encore bien naïf !
C’est ainsi que j’ai découvert le sexe féminin et ses différentes parties. Ingrid m’expliquait comment être caressée avec les doigts, avec la langue… avant de m’inviter aux travaux pratiques. Là encore elle m’a guidé pendant que je léchais sa fente qui suintait doucement.
• Le clitoris est sorti de son capuchon, mordille-le doucement… Il est très sensible... Je suis excitée…
• Mais moi aussi, je suis excité… Regardez mon sexe ! Il est dur et bandé !
• C’est pour mieux me pénétrer… Plus ton désir sera fort, plus tu vas bander… Maintenant, glisse ta langue entre mes lèvres vaginales… Elles vont s’ouvrir… Darde ta langue dans l’entrée… Tu vois, je mouille… cela signifie que tu me fais du bien et je suis bien excitée ! Maintenant tu vas me baiser… Enfile d’abord une capote…
Ingrid a fouillé dans un tiroir de sa table de nuit et m’a tendu un chapelet de préservatifs… J’en ai déroulé un sur mon sexe qui était dressé devant mon pubis… J’avais un peu honte de me montrer ainsi !
• Oh… La nature t’a bien servi… Je sens que nous allons nous régaler ! Viens, place-toi entre mes jambes et enlace moi… Pour une première, tu vas me baiser à la missionnaire ! Je vais te guider…
Mon sexe est entré dans le sien… C’était bon… Je sentais la chaleur au travers du latex… Je n’osais me coller contre Ingrid et je restais en appui sur mes bras…
• Vas doucement nous ne sommes pas pressés ! Arrête-toi en restant en moi… Laisse retomber la pression !
C’est que j’étais particulièrement chaud et si Ingrid ne m’avait pas freiné dans mes élans, je serais parti après quelques va-et-vient !
D’elle-même elle m’a incité après quelques minutes à recommencer… Elle basculait son bassin pour me faire aller et venir dans son sexe si bien que je me suis lâché sans qu’elle ne jouisse !
• Ce n’est pas grave… Tu m’as dit que tu te masturbais de temps en temps… Je vais te montrer comment fait une femme.
• Oui… Montrez-moi !
• Arrête de me vouvoyer… Dans ma chambre c’est incongru ! Regarde, on peut se caresser avec les mains comme tu le fais mais il y a mieux… J’ai plusieurs jouets pour me faire plaisir quand je suis en manque mais rassure-toi… ce soir je n’avais pas envie d’un jouet : JE VOULAIS UNE VRAIE BITE !
Ingrid sort de sa table de nuit qui décidément recèle bien des secrets tout un assortiment de godes de formes et de couleurs diverses… Il y en a même un noir de taille que je juge gigantesque par rapport à mon sexe pourtant bien dimensionné d’après ce que j’ai su par la suite…
Elle caresse ses lèvres vaginales avec deux doigts qui entrent de temps en temps dans sa chatte puis elle revient sur le clitoris qu’elle fait rouler…
Elle saisit un gode très réaliste et après avoir mis en route le mécanisme vibratoire, elle me montre comment elle s’en sert en l’introduisant dans son vagin puis dans son sphincter dans lequel il entre sans peine.
Mais elle se garde bien de se caresser jusqu’à la jouissance !
Je bande à nouveau comme un cerf en rut… et lorsqu’Ingrid se met à quatre pattes, comme prosternée, m’offrant la vision de ses fesses ouvertes, je me couvre à nouveau et elle me dit :
• Baise-moi en levrette… J’adore…
Je connaissais cette position que j’avais découverte dans un film X que nous avions regardé chez un copain avec plusieurs camarades de classe… Mais là, j’allais l’expérimenter moi-même…
La bite dressée devant mon pubis, j’ai tâtonné quelques secondes à l’orée du vagin d’Ingrid puis, quand j’ai senti que j’étais bien placé, je me suis introduit vivement en faisant claquer mon ventre contre les fesses de ma maîtresse qui s’est écriée !
• Ooouuuuiiiiiii ! Comme çà ! Fort !
Les mains cramponnées autour de sa taille, je me suis mis à aller et venir en elle, sortant à chaque fois pour mieux la pénétrer à nouveau en force… sous des encouragements répétés…
En même temps j’observais l’entrée de son sphincter qui palpitait doucement… Erotisme terriblement fascinant !
Puis Ingrid s’est libérée dans un grand cri… jouissant avec force, ruant comme une cavale empalée sur mon sexe… qui a jailli à son tour !
Nous nous sommes affalés sur le lit, mon sexe encore fiché dans le sien dont je ressentais les contractions… J’avais l’impression qu’Ingrid se servait de ses muscles intimes pour extraire le maximum de mon jus…
J’étais bien…
Ingrid m’a désarçonné et nous nous sommes retrouvés dans les bras l’un de l’autre… Je contemplais sans gêne son beau visage et sa jolie poitrine que je caressais d’une main distraite. Je voyais les tétons s’ériger et imaginant qu’ils m’appelaient, j’ai descendu mes lèvres jusqu’à eux pour les embrasser et les sucer…
Cela devait faire du bien à Ingrid car elle a collé son pubis contre le mien et elle a entrepris une sorte de danse lubrique et frottant son sexe contre le mien…
Puis nous nous sommes endormis… ivres de la fatigue de la journée, un peu partis à cause de la bouteille de vin vidée et de nos joutes ardentes.
Il faisait déjà jour quand nous nous sommes éveillés… Nous avons pris une douche ensemble et Ingrid m’a congédié en disant :
• Nous nous reverrons bientôt…
Les jours puis les semaines ont passé…
Le bac en poche, je cherchais à nouveau du travail…
Ingrid avait rédigé une appréciation élogieuse à mon égard, qui jointe à mon dossier de stage, m’avait valu une très bonne note.
En dehors de deux nuits torrides pour avait-elle dit, pour « fêter ma réussite » je n’avais plus de nouvelles d’elle… car elle pensait m’avoir tout appris… y compris une sodomie très érotique…
J’attendais… car à chaque séparation, elle me disait que l’on se reverrait !
Le lendemain de ma dernière avec elle, je recevais de sa part un message dans lequel elle me demandait de faire un test HIV et nous n’aurions plus besoin de préservatifs !
La fin juillet arrivait quand j’ai reçu de sa part un nouveau message sur mon portable. Elle m’invitait à la retrouver le samedi suivant chez elle et me promettait une surprise.
Curieux… Le samedi, son mari est là… Quelle pouvait être cette surprise ?
Samedi 20 heures, vêtu d’un pantalon de toile et d’un polo, je sonnai à la grille d’entrée de la villa et c’est le mari d’Ingrid qui m’a accueilli :
• Entre vite… Nous n’attendions plus que toi...Mais avant, laisse-moi te dire que je sais tout… Mais ce n’est pas grave… je sais qu’Ingrid est comme moi, une fieffée coquine… Nous sommes échangistes… Nous nous racontons toutes nos frasques coquines quand nous nous retrouvons après une séparation aussi courte soit-elle et il nous arrive de participer à des soirées comme celle de ce soir…
• --- --- --- ---
• Nous allons tous partir en vacances… alors nous en profitons une dernière fois… Reste ou pars si tu ne veux pas participer… mais Ingrid et d’autres femmes seront déçues… Ma coquine de femme n’a pas pu s’empêcher de décrire ton bel organe…
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• Décide-toi…
• Je reste…
• Viens faisons le tour de la maison, nous prenons l’apéritif autour de la piscine.
Je ne connaissais de la maison que l’immense garage en sous-sol, les escaliers qui montaient au rez-de-chaussée, le salon et la chambre…
Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant une immense pelouse arborée avec une vaste piscine à l’eau bleutée et une demi-douzaine de convives qui bavardaient un verre à la main… et en maillots de bain… les femmes pour la plupart, les seins nus…
Elles étaient toutes plus belles l’une que l’autre, toutes à première vue entre 30 et 40 ans…
Les hommes eux, étaient disons le franchement, très différents, certains avaient une petite brioche, d’autres étaient minces et sveltes… sauf le dernier qui était accaparé par quatre des femmes… certainement un adepte des salles de sports… une musculature finement dessinée, des épaules larges et des hanches étroites… et le visage hâlé éclairé par un sourire ravageur !
Je ne me trompais pas… Ingrid me prenant par le bras m’a fait faire le tour des convives en disant :
• Voici ma dernière conquête… un bel étalon qui ne demande qu’à nous satisfaire ! Et voici Bruno, notre coach de fitness…
Sur le coup, j’étais un peu gêné de me retrouver dans cette compagnie mais c’est là que je me suis souvenu de cet interview vu quelques semaines auparavant dans une émission animée par Néphaël et dans laquelle un homme d’environ 25 ans racontait comment il participait à des soirée échangistes privées ou servait d’étalon dans les clubs libertins du secteur.
C’est donc pour cela qu’Ingrid m’a invité car je vois que nous sommes deux hommes de plus que les femmes… et en plus jeunes et certainement performants…
Ingrid m’interroge :
• Qu’as-tu en dessous de ton pantalon ?
• Un boxer…
• C’est bon, çà ira ! Viens poser tes autres vêtements !
C’est ainsi que nous regagnons ensemble l’assemblée qui continue à deviser autour de la piscine et dans l’eau…
Je jette un coup d’œil rapide et ce que je vois ne m’étonne pas… Hervé, le mari d’Ingrid est dans l’eau avec une brune très typée aux cheveux coupés en carré, genre eurasienne…
Elle est appuyée contre le rebord, seul son buste émerge de l’eau et Hervé est en train de la baiser en la prenant par derrière, les mains posées sur les seins de la fille… qui a une poitrine plutôt menue.
La soirée commence fort !
La maitresse de maison revient vers nous et frappe dans ses mains :
• Entrez… le buffet n’attend plus que vous… Les choses sérieuses commenceront après… Mangez mais gardez le corps léger ! Choisissez qui vous voulez comme partenaire ! Bruno, montre les usages à notre jeune ami !
• D’accord… je vais achever les présentations. Voici Catherine et Noëlle, comme tu peux le voir, elles se ressemblent beaucoup… Ce sont deux sœurs et… complètement bisexuelles… Donc ne t’étonne pas si tu vois l’une ou l’autre s’éclipser avec une autre femme. Ensuite, tu as Caroline, elle est très exhibitionniste, parfois dominatrice, mais elle aime les gros calibres…
• Un peu comme Ingrid alors ?
• Oh… elle… elle fait feu de tout bois… je crois que tous les hommes qui sont là ce soir se la sont tapée une fois au moins… Je sais que tu as passé trois nuits avec elle et qu’elle t’a en quelque sorte fait faire ton apprentissage !
• Oui… Dans la boîte où elle travaille, elle cache bien son jeu !
• Oh, ce n’est pas parce que nous nous retrouvons pour partouzer que nous devons étaler notre vie… mais elle ne sait pas tenir sa langue quand elle a trouvé un jeune mâle comme toi… Toutes les femmes présentes ce soir ont entendu parler de toi ! J’espère que tu es en forme ?
• Je pense… Depuis ma dernière nuit avec Ingrid, je ne me suis masturbé qu’une fois en pensant à elle !
• C’est bon… à nos âges, on a de la ressource ! L’asiatique, c’est Céline… c’est la femme de Ludovic, celui qui s’occupe du barbecue… et Corinne, elle est un peu ronde mais je dois te prévenir… il ne faut pas lui en promettre… c’est une chaude et son pécher mignon, c’est d’offrir son cul…
• C’est vrai qu’elle a une paire de seins de folie et un cul… Mais comment rassembler autant de jolies femmes… Elles sont toutes belles bien que différentes…
• Cela se fait au hasard des soirées en clubs… Quand un couple plait, il est rapidement intégré parmi les invités d’Ingrid qui joue la rabatteuse ! C’est le cas de Corinne et de Christian son mari. C’est la première fois qu’ils sont invités… Ils ont fait une partie à quatre avec Ingrid et son homme il y va y avoir deux mois… lors d’une sortie dans le club où j’étais ce soir là.
• Et alors ?
• Après s’être fait baiser par les deux hommes, elle est venue me trouver : Elle voulait que je la prenne en double avec un mec qu’elle avait remarqué !
• Ce devait être chaud !
• Tu ne crois pas si bien dire… Lorsqu’elle a été prise par l’autre mec, il ne me restait que son cul à honorer… et je dois te dire que j’y suis entré sans aucune difficulté malgré mon calibre !
• Çà a du être génial !
• Tu ne crois pas si bien dire mais comme nous étions en club, je devais porter un préservatif… Je compte bien me rattraper ce soir et lui en mettre plein son cul ! Ensuite tu as respectivement Henri le mari de Catherine et Charles, celui de Noëlle. Viens, je te présente à la « bande des quatre » comme nous les appelons… Ils ne vont pas en club mais ils font souvent des parties carrées…
Lorsque Bruno m’a présenté, les filles se sont écriées en chœur :
• Un nouvel étalon… Nous allons en profiter !
Henri a ajouté :
• Ne l’épuisez quand même pas… il en faut pour tout le monde…
Nous sommes restés à bavarder et à plaisanter tous les six… Si les deux filles étaient très jolies et spirituelles dans leurs réparties, à double sens parfois, leur maris étaient plus effacés…
Soudain Catherine a passé son bras sous le mien en me disant :
• Viens me montrer ce dont tu es capable… il parait que tu étais presque puceau quand Ingrid a commencé ton éducation !
• Oh… tu sais cela ?
• Oui… et quelles sont tes performances… qui sont comment dire… prometteuses !
• C’est comme tu veux… Montre-moi le chemin !
• Viens… Il y a un bosquet près de la piscine nous y serons à l’abri des regards…
Tout en bavardant nous arrivons derrière ce bosquet où sont rassemblés quelques matelas de plage… Waouh… Tout est prévu !
Rapidement Catherine se débarrasse de son bas de maillot pendant que j’en fais autant.
• Effectivement… Ingrid ne nous avais pas trompées… Je vais achever de te faire bander… Une bonne pipe goulue… çà va te faire du bien… Ensuite, tu me baiseras en amazone… J’aime bien, comme cela je peux me pénétrer au rythme qui me convient et faire monter la pression !
• C’est toi qui vois ce qui te plait ! Puisque je suis là comme étalon…
• Oh… mais tu vas nous satisfaire mais tu prendras ton pied aussi !
• C’est sur… Il y a une belle brochette de filles qui n’attendent que cela : se faire embrocher !
• Je vois que tu as de l’esprit… Allez… à moi !
Après la fellation savante de Catherine, qui plusieurs fois arrive à me faire entrer jusqu’au fond de sa gorge, je m’allonge sur le dos, affichant une érection qui se dresse sur mon pubis…
Ma compagne du moment m’enjambe, se saisit de ma bite et la place à l’entrée de son sexe…
Quand elle sent qu’elle est en place, elle se laisse glisser et mon vit disparait peu à peu…
Les yeux de Catherine brillent, sa bouche est entrouverte comme si elle cherchait son souffle…
Sa chatte est chaude et humide… ce qui explique peut-être que je suis entré facilement…
Lorsqu’elle se sent bien en place, Catherine entreprend les mouvements sur mon sexe… Tantôt lents, tantôt rapides, c’est elle qui d’une certaine façon même la danse… et elle danse bien !
Elle s’est déjà amenée à deux reprises au bord de la jouissance puis elle s’est calmée…
De mon côté, je me retiens de jouir… Ingrid m’a expliqué comment…
Mais soudain Catherine qui a repris sa chevauchée n’en peut plus… Elle se lâche et jouit en s’abattant sur mon torse… et j’inonde sa chatte de quelques belles giclées de foutre au moment où sa sœur Noëlle arrive près de nous.
• Alors… Il tient ses promesses ?
• Oh oui… Une bite bien formée et endurante ! J’ai manqué de partir à deux reprises et je peux te dire qu’il est généreux !
• Tu en as encore ?
• Oui… Bien sur… Allez, cède la place à ta frangine puisqu’elle a envie d’y goûter elle aussi !
Là-dessus Catherine nous quitte et Noëlle s’allonge tête bèche près de moi sur les matelas de plage.
Sa bouche est à la hauteur de mon bassin et moi, j’ai une vue rapprochée sur le sexe de Noëlle : un sexe bien fendu, avec des lèvres gorgées de sang et percées de deux anneaux dorés.
Puis elle se place au dessus de moi pour que je débute un cunni’ pendant qu’elle fait renaitre ma bandaison…
Waouh… elle aussi m’avale entièrement dans une gorge profonde… mon pubis (rasé depuis ma dernière nuit avec Ingrid…) arrivant au contact de sa bouche ! Elle m’a englouti d’un seul trait… Quelle gourmande… Çà promet !
Je bande à nouveau comme un animal en rut et Noëlle se relève en disant :
• Moi… ce que j’adore, c’est me faire baiser en levrette…
• Ok… Je suis à ton service ! N’est-ce pas ce que toutes vous attendez des étalons qui sont là ce soir ?
• Si bien sur… Mais je connais déjà Bruno… avec toi ce sera une nouveauté !
• Alors… en selle !
Noëlle s’agenouille sur un des matelas et se prosterne, les bras allongés devant elle, le cul dressé bien haut s’offre à moi… les fesses bien fendues prêtes à m’accueillir.
Cette coquine porte dans son sphincter un Plug orné d’un prisme coloré du plus bel effet.
• La porte arrière est ouverte elle aussi ?
• Oouuuiiii ! Mon homme m’a promis une double pénétration… C’est Hervé et sa bite longue et fine qui va me sodomiser pendant que Charles me baisera la chatte !
• Tout est organisé alors ?
• Tu ne crois pas si bien dire… c’est d’ailleurs un peu pour cela qu’Ingrid a invité ce couple et aussi le faire entrer dans notre cercle ! Bon assez parlé ! Baise-moi maintenant !
Je saisis Noëlle en plaçant mes mains au niveau de sa taille… et je glisse mon vit le long de ses lèvres intimes puis, j’entre doucement dans son sexe… D’une ruade, elle me fait entrer au plus profond de son vagin et entreprend aussitôt de masser mon membre avec ses muscles intimes…
Elle est aussi chaude que sa sœur !
Dans les faits, c’est bien plus elle qui se baise sur ma bite que moi… On dirait qu’elle me prend pour un gode à ventouse fixé sur un mur ou pour une machine à baiser…
Je suis le mouvement me contentant de rester fiché dans sa chatte qui bave de plus en plus… Les contractions de ses muscles intimes pressent mon gland et je sens que si cela continue, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps…
Je ne sais combien de temps s’est écoulé depuis que je suis passé derrière ce bosquet avec Catherine mais la nuit tombe doucement ! Mais finalement nous jouissons pratiquement en même temps…
Quelques temps après, nous nous désunissons et Noëlle m’entraine dans la piscine où deux autres couples s’ébattent joyeusement !
Désormais tout le monde est nu…
Peu de temps après, Ingrid s’approche de la margelle et interpelle tout le monde :
• Mes amis, c’est l’heure d’une première ! Nous allons avoir un trio très sensuel… Noëlle qui rêve depuis longtemps d’avoir une véritable double pénétration avec deux hommes va l’avoir ce soir… Rassemblons-nous autour du lit rond placé sous les projecteurs !
En fait de lit rond, il s’agit plutôt d’une estrade d’environ deux mètres de diamètre et surélevée à plus de 80 cm… avec certainement une couche de mousse en dessous du tissus qui la recouvre.
Tout le monde s’approche…
Noëlle arrive toute fraiche, sortant de l’eau mais les cheveux séchés et noués sur sa nuque, juste vêtue d’un paréo aux couleurs vives.
Hervé et Charles sont de part et d’autre d’Ingrid qui prend la parole :
• Mes amis… Ce soir et à sa demande Noëlle va nous offrir un spectacle... une première pour elle… C’est une adepte de la double pénétration mais jusqu’à présent, elle n’avait utilisé qu’un gode pour satisfaire cette envie, ce soir ce sont Herve et Charles son mari qui vont la baiser en double sous nos yeux et nos encouragements.
Cette annonce est suivie d’une salve d’applaudissements au moment où Noëlle monte sur le podium où elle danse lascivement en défaisant son paréo pendant qu’Ingrid invite deux autres femmes à mettre en forme les deux hommes qui vont baiser Noëlle…
• Ne soyez pas trop gourmandes… faites juste monter la pression…
Il ne faut pas plus de deux minutes pour qu’Hervé et Charles arborent une belle érection et montent rejoindre Noëlle qui les attend.
Charles se couche immédiatement sur le dos, la bite dressée comme un « I » vers le ciel et il tendant les bras à sa femme qui se place en amazone face à lui avant de laisser glisser le sexe masculin dans le sien…
Après quelques mouvements pour trouver le meilleur angle de pénétration, les deux partenaires invitent Hervé à les rejoindre.
Effectivement, Hervé a un appendice long et fin… et comme Noëlle s’est préparée à la recevoir dans son sphincter (qu’elle m’a dit avoir copieusement enduit de gel avant d’y placer le Plug), je pense que l’introduction va bien se dérouler…
L’ambiance sur le podium et autour est de plus en plus chaude…
Les deux amants ont arrêté leurs mouvements et Hervé vient de s’agenouiller entre leurs jambes…
Il prend son sexe d’une main et de l’autre il écarte les globes charnus de Noëlle et retire le Plug qui y était encore fiché !
Et… lentement, il s’introduit dans le pertuis étroit où son sexe trouve rapidement sa place sous une nouvelle salve d’applaudissements.
La copulation à trois commence…
Noëlle est prise en sandwich entre les deux hommes qui coordonnent leurs mouvements pour sortir et entrer alternativement de l’orifice qu’ils ont choisi d’honorer…
Les curieux regardent quelques temps puis s‘éclipsent…
C’est à ce moment-là que Céline s’approche de moi et dit :
• Je prends une option sur toi dès qu’ils auront terminé !
• Pas besoin d’attendre… J’en ai assez vu pour savoir comment cela se passe ! Je suis à ta disposition ! Tu me diras où aller !
• On va aller au sous-sol… Ingrid m’a dit avoir fait installer récemment un jacuzzi… j’ai envie de l’essayer… Tu es Ok ?
• Oui… je savais que c’était en projet… Oui pour l’essayer… ce sera une première pour moi…
• Moi, j’aime l’eau… D’ailleurs tu n’es pas sans avoir remarqué comment je me suis fait baiser dans la piscine !
• Oui… Tu semblais bien occupée quand je suis arrivé !
• Oui… Mais je n’ai pas pris le pied que j’attendais… Hervé avait envie de me sauter depuis plusieurs semaines mais il n’a pas su attendre que je jouisse… Il a joui et il est sorti de l’eau, me laissant à ma frustration !
• Dommage pour toi !
• Oh… je me suis rattrapée… avec Catherine qui sortait de tes bras ! Après une joute sévère m’a-telle dit, elle avait envie d’une femme… et visiblement ce n’était pas une première… Nous nous sommes envoyées en l’air comme deux garces que nous sommes !
• Ne vous traitez pas de garces… vous êtes des femmes et nous, des hommes qui aiment jouir…
• Tu es gentil. C’est vrai… nous partouzons mais en dehors de notre cercle, nous sommes sérieuses ! Nous nous assumons toutes professionnellement… Nos parties fines sont un dérivatif !
• Je ne voyais pas les relations homme-femme comme cela ! Mais cela me convient !
C’est tout en bavardant que nous entrons dans la maison, nous traversons les pièces à vivre pour nous engager dans cet escalier que je connais bien désormais…
Au moment d’entrer dans la pièce où se trouve le jacuzzi, Bruno et Corinne en sortent vêtus tous les deux d’un peignoir de bains… Ils devaient être là depuis un certain temps car effectivement ils n’étaient pas présents lorsque le spectacle de la double pénétration a commencé !
Bruno me dit rapidement :
• Tu as tiré le bon lot… Céline, c’est le TOP !
• Malin… c’est elle qui m’a tiré !
• Alors bravo !
Nous entrons dans une vaste pièce aux murs carrelés et ornés de gravures licencieuses avec le bassin du jacuzzi à demi enfoncé et une immense cabine de douche dans un angle. Céline s’écrie :
• C’est TOP… je suis sure qu’on peut y tenir facilement à quatre ! Viens je vais te nettoyer… Tes deux précédentes partenaires t’ont fait transpirer…
• Ok, je te rejoins dans l’eau…
• Oh oui… viens vite !
Aussitôt Céline me recouvre de mousse odorante et me frotte l’ensemble du corps, n’oubliant aucune partie, même la plus intime car elle introduit deux doigts dans mon sphincter ce qui me crispe car je ne suis pas habitué…
Elle cesse rapidement pour s’intéresser à ce qui m’a fait entrer dans ce cercle coquin : mon « services trois pièces » qu’elle manipule en douceur… Ses mains douces encore enduite de mousse partent de la base et remontent jusqu’au gland qui sort du prépuce puis elle s’intéresse à mes bourses en faisant rouler les testicules dans leur loge…
Hummm… Elle sait y faire…
Céline se frotte lascivement contre mon corps… Elle fait rouler mon sexe bandé entre ses fesses menues et achève de m’exciter.
Je ne montre aucune impatience… C’est elle qui, là encore, d’une certaine manière mène la danse !
Elle s’empare d’une douchette et ôte la mousse qui nous recouvre encore et m’invite à la suivre hors de l’eau.
• Viens… avant de me faire l’amour, je vais t’offrir un massage comme tu n’en as jamais eu !
• Je demande à voir ! Tu n’es pas kiné que je sache !
• Oh… ce n’est pas ce genre de massage… Allonge-toi sur ce matelas… Ferme les yeux et laisse toi faire. Tu m’en diras de nouvelles !
J’obéis donc aux directives de Céline… et ferme les yeux.
Je sens un liquide onctueux et parfumé couler sur mon corps, le buste, le bas ventre, les cuisses mais j’obéis et n’ouvre pas les yeux…
Je sens que Céline enjambe mon corps et deux mains douces répandent ce liquide partout…
Puis elle s’allonge sur moi et entreprend de me masser de tout son corps qui s’imprègne lui aussi de ce liquide… Nous glissons l’un sur l’autre… je sens les seins menus s’écraser contre les miens… nos pubis glabres entrer en contact et ma bite dressée, dure comme du bois, frotter l’entrejambe de Céline…
J’ouvre enfin les yeux…
Quel massage… et elle le fait durer…
• N’est-ce pas bon… et relaxant ?
• Oh oui… J’avais entendu parler de ce genre de massage… c’est très sensuel !
• Tu n’as encore rien vu ! J’ai appris à les faire dans mon pays d’origine avant de rencontrer mon homme qui y voyageait !
Céline entreprend une savante reptation et elle place mon sceptre de chair à l’entrée de sa vulve où je glisse lentement quand elle s’abaisse… Ses seins menus balancent devant moi…, les tétons sont sortis comme des pois…
Puis elle se redresse et se retourne…
Je suis toujours en elle…
Elle s’allonge le dos contre mon buste et commence à s’agiter sur ma bite, la faisant aller et venir dans sa chatte…
Je ne peux m’empêcher de placer mes mains sur ses seins et je fais rouler les tétons entre mes doigts… puis elle s’empare de ma main droite qu’elle fait descendre jusqu’à son pubis :
• Caresse-moi le bourgeon…
De deux doigts je titille le clitoris de Céline qui continue de monter et descendre sur mon sexe…C’est chaud mais tellement bon… Ne suis-je pas l’étalon avec lequel Céline prend son plaisir…
Je sens que je vais partir… Ce massage sensuel est tellement bon… Je ne peux pas me retenir… Je sens que je gicle abondamment au fond du vagin de ma compagne qui s’éclate à son tour dans un rugissement…
• Waaooouhhhhh ! T’es sacrément généreux !
• Grâce à toi ! T’es géniale… on ne m’avait jamais fait cela !
• Tu n’es pas au bout de tes surprises !
En disant cela, Céline se penche sur ma bite encore à moitié turgescente, l’embouche et entreprend une fellation qui a vite fait de me redonner toute ma superbe…
• Viens sous la douche… on va se débarrasser de cet onguent…
• Je te suis !
A peine sous le jet tiède, Céline reprend sa fellation pendant quelques instants avant de passer ses bras autour de mon cou et de hisser son bassin à hauteur du mien…
Je ne tâtonne pas… Mon sexe entre aussitôt dans le sien et c’est elle à nouveau qui mène la danse… Elle ondule du bassin et fait bouger ma bite dans son sexe…
Heureusement, Céline ne doit guère peser plus de 50 kilos… et je la porte facilement… Nous nous embrassons, mêlant nos langues dans des baisers de plus en plus chauds…
• Oh oui… Baise-moi bien… Tu ne remplis jusqu’au fond… C’est bon… Baise… Baise… Baise !
Alors que j’allais jouir, elle se dégage de mon étreinte et me tournant le dos elle me dit d’un air vicieux :
• Saute-moi comme une salope… prends moi par l’arrière… regarde comme j’écarte mes fesses pour bien dégager l’entrée de mon vagin !
Elle se penche à moitié vers l’avant en prenant appui contre une cloison vitrée et m’offre une merveilleuse vision sur sa raie où palpite son sphincter… mais ce n’est pas lui que je veux ! Elle a une telle chaleur dans son vagin et elle sait si bien jouer de ses muscles intimes que c’est là que je veux m’y épancher encore une fois.
Je fléchis légèrement les genoux et je glisse mon sceptre dans cette ouverture bouillante où il retrouve sa place.
Les mains agrippées à la taille de Céline, je copule de plus en plus vite… sous ses encouragements de plus en plus salaces :
• Défonce-moi la chatte… Mets m’en plein… Baise la salope… Vide tes couilles en moi… Envoie-moi en l’air…
Ce qui d’ailleurs ne tarde pas… Céline s’ébroue comme un cabri sur le membre qui la pénètre jusqu’à ce que je me libère également dans un nouveau jaillissement de foutre…
Lorsque je sors du sexe de Céline, cette dernière y passe la main et constate :
• Je coule comme une source… Allons-nous nettoyer !
Nous entrons une nouvelle fois dans le jacuzzi où, collés l’un contre l’autre, nous profitons des remous et des senteurs qui montent de l’eau… Nous y restons jusqu’à ce qu’un nouveau couple arrive… Ingrid et Bruno… auquel nous cédons la place.
Lorsque nous remontons dans les pièces à vivre, il ya a des couples un peu partout qui baisent ou se caressent…
Corinne est seule sur uns de divans…
C’est une splendide quadra, blonde comme les blés avec de longs cheveux tombant entre les épaules, des lèvres étroites qui lui font une bouche mutine et des yeux de biche, elle a des formes voluptueuses… Sa poitrine très généreuse tombe un peu mais avec une telle masse, n’est-ce pas normal ? Sa taille étroite est ceinte d’une chainette en or avec un cœur qui pend à quelques centimètres du haut de son pubis glabre… Ses hanches sont en rapport avec l’ensemble… très accueillantes certainement…
Elle est agenouillée et caresse doucement ses seins, manipulant les tétons pour les faire sortir puis elle en porte un à la hauteur de sa bouche et titille l’extrémité sensible du bout de sa langue…
Avec Céline, nous sommes attirés par le spectacle… Comment laisser ainsi, seule, une femme qui semble ardente ?
Depuis le temps écoulé, il est certain qu’elle n’a pas failli à la réputation que Bruno a bien voulu décrire et elle a certainement du se faire baiser plus d’une fois au cours de la soirée… mais il semble qu’elle n’en a pas eu assez en se livrant ainsi.
Ses mains descendent ensuite au niveau du pubis puis elle ouvre largement les lèvres intimes et glisse une paire de doigts à l’intérieur… Elle les fait aller et venir quelques minutes puis Corinne saisit un gode qui se trouve à proximité…
Waouh… quel engin… presque plus gros que mon sexe en plein développement… et c’est peu dire ! Un gode de couleur noire qui tranche sur la peau laiteuse qui entre, avalé littéralement par la chatte ruisselante de cyprine (et certainement de foutre…)… Elle le fait aller et venir et son regard en dit beaucoup sur le plaisir qu’elle se donne…
Mais elle n’en a pas encore assez… Elle saisit un autre gode, moins volumineux cette fois mais muni d’une paire de couilles factices d’une taille impressionnante !
Elle en lèche le gland puis elle se penche vers l’avant et l’introduit dans son anus où il entre avec la même facilité que l’autre est entré dans sa chatte…
D’autres voyeurs nous ont rejoints…
Corinne bascule en arrière, les cuisses largement ouvertes, les deux godes enfilés au plus profond qu’elle fait aller et venir d’une main pendant qu’elle pelote ses seins, pinçant les tétons…
Quel spectacle !
Les hommes qui la regardent bandent comme des taureaux en rut… et certainement que les femmes sont elles aussi excitées par cette scène à l’érotisme torride !
Soudain plusieurs jets de liquide s’échappent de son sexe et giclent à plus d’un mètre sur le carrelage !
Corinne vient de se faire jouir et je découvre ce qu’est une femme fontaine…
Mais il semble qu’elle n’est pas encore satisfaite. Elle retire les deux godes et nous tourne le dos, nous offrant la vision de la courbe de ses reins et ses hanches qui semblent appeler le Mâle !
Mais ce n’est pas un Mâle qui va la saillir… Elle place le gode noir à l’entrée de se son sphincter et s’assoit dessus jusqu’à ce qu’il soit fiché au plus profond de « son antre interdit » avant de recommencer des mouvements alternatifs comme si elle était sodomisée par un mâle bien monté…
Effectivement… Il ne faut pas lui en promettre… et c’est dans un rugissement de plaisir qu’elle laisse à nouveau éclater sa jouissance !
À ce moment Ingrid et Bruno rejoignent notre petit groupe de voyeurs… et s’adressent à moi :
• Tu viens de découvrir la particularité de certaines femmes… qui lorsqu’elles éprouvent beaucoup de plaisir déclenchent cette éruption… Ce sont des femmes fontaine… Ne sois pas surpris lorsque tu en rencontreras une…
• Quand je te disais qu’il ne fallait pas en promettre à Corinne… Je pense qu’elle n’avait personne pour s’occuper d’elle… et elle s’est satisfaite elle-même !
• C’est vrai qu’elle nous a offert un beau spectacle… presque plus torride que la double pénétration de tout à l’heure !
• Oh oui… mais là, ce n’est rien… je l’ai vue avoir une bite dans chaque orifice et cela ne lui suffisait pas encore… elle glissait un gode en plus dans sa chatte…. C’est un véritable garage à bites si bien qu’il ya quelques temps, je l’ai sautée avec son mari… Nous étions à deux dans sa chatte !
La soirée s’est poursuivie tard dans la nuit…
J’ai baisé chacune des femmes présentes y compris Corinne qui m’a gratifié d’une cravate de notaire (je découvrais à la fois la pratique et son nom…) et inondé sa poitrine de quelques jets de sperme…
Mais le TOP, c’est avec Ingrid que je l’ai eu…
Elle m’a attiré dans sa chambre en disant que nous y serions plus tranquilles.
Après avoir débuté une fellation sur toutes les parties de mon « service trois pièces » pour me faire dresser, elle m’a fait allonger sur son lit. Comme on se met en selle, elle m’a enfourché et se mettant à califourchon elle a écrasé son sexe sur le mien.
Puis elle s’est mise à bouger légèrement d’avant en arrière, se masturbant sur ma bite raide, à la limite douloureuse tellement elle était encore gonflée après ce que j’avais déjà vécu...
Je voulais la pénétrer mais visiblement, ce n’est pas ce qu’elle voulait.
Tranquillement, elle continuait à se masturber ainsi, effleurant de ses ongles pointus la pointe de mes seins pour faire dresser le mamelon… C’était bon et je découvrais que j’étais sensible à cet endroit !
Elle me dit :
• Prends mes fesses dans tes mains…
Elle se balança encore plus vite… je sentais le plaisir monter dans mon bas ventre… comme pour le lui signifier, je serrai fermement ses globes de la croupe… et Ingrid dit qu’elle aimait bien être tenue ainsi.
Je cherchais à la soulever pour m’enfoncer dans son ventre mais soudainement je jouis sans pouvoir me retenir plus longtemps, inondant mon ventre de mon sperme !
Toujours à califourchon, Ingrid avança son sexe nu jusqu’à mon visage où elle l’écrasa en disant :
• Et si tu t’occupais de moi ?
Bien calée au dessus de moi, le buste droit, je la sentis frémir lorsque je commençai à explorer les replis de son sexe. Elle bougeait imperceptiblement en poussant de petits cris lorsque ma langue entrait en elle comme pour m’encourager !
Ingrid avait pris ses seins entre ses mains et jouait avec eux en effleurant les pointes turgescentes.
Je me sentais pris par cette manière de faire que je découvrais… Je laissai mes mains courir sur ses flancs, je saisis à nouveau ses fesses dans mes mains et je la sentais sursauter lorsque ma langue atteignait un point sensible.
Mais elle se laissait emporter par le plaisir alors que j’avais introduit un doigt dans son anus… Elle écrasa encore plus son sexe sur ma bouche et jouit !
J’avais retrouvé une belle érection mais lorsque j’ai voulu empaler Ingrid sur mon sexe, elle m’a dit gentiment :
Non, ça suffit pour ce soir… je voulais simplement te faire découvrir cela ! Je ne savais pas que tu savais si bien te servir de ta langue. Tu rendras les femmes heureuses…
Je n’en pouvais plus…
J’avais joué mon rôle d’étalon…
Les mois ont passé… Une fois par mois, je suis invité par l’un ou l’autre des couples pour une soirée libertine… mais jusqu’à présent, je ne suis jamais allé dans une boîte échangiste…Ce que je vis me, suffit !
Ce que je vais vous raconter s’étale sur quelques mois…
Comme dans toutes les filières technologiques, j’ai effectué plusieurs stages au cours desquels j’alternais les cours au lycée et les semaines en entreprise…
Je dois avouer que la semaine au lycée me pesait pas mal et vous comprendrez que j’appréciais bien plus l’autre facette de ma formation.
Je rencontrais des personnes de tous âges et de toutes origines…
Au cours de la dernière année, j’ai eu la chance de décrocher un stage de trois mois qui, bien que ne correspondant pas strictement à ma formation, m’apporté beaucoup de choses…
En effet, le stage se déroulait au sein de la plateforme logistique d’une enseigne bien connue de la grande distribution.
Nous recevions les camions de marchandises diverses qui, pour les non périssables, étaient stockées sur place et redistribuées vers les magasins en fonction de leur besoins… Seuls les fruits et les légumes étaient absorbés dans un circuit court qui partant du Marché d’intérêt national du secteur les distribuait directement…
L’année précédente, j’avais effectué également un stage de trois mois prolongé par un CDD de deux mois pendant les vacances d’été dans une grande surface de la région…
Ainsi, j’avais une vue sur l’ensemble de la filière.
Le travail s’effectuait en deux postes… Le matin de 6 h à 13 heures nous recevions les marchandises et de 13 à 20 heures, les remorques des camions étaient chargées pour être acheminée en cours de nuit vers leur destination.
Je ne faisais pas de manutention mais je devais relever sur les diverses palettes, les dates de péremption des produits, le lieu de stockage et bien évidement la nature des denrées ou produits.
J’entrais les données dans une tablette et elles étaient transmises directement au service informatique de la plateforme…
Donc, tout se passait pour le mieux…
La dernière semaine de stage venait de commencer…
Ce soir la, nous n’étions plus que deux sur la plateforme : Ingrid, la directrice adjointe qui allait se charger de la fermeture et de la mise en sécurité et moi…
Lorsqu’elle est sortie par la porte de service, j’étais en train de fourrager dans le moteur de ma vieille voiture, qui une fois encore ne voulait pas démarrer !
J’avais consacré la majeure partie de mes économies pour passer mon permis de conduire et il ne me restait pas beaucoup d’argent pour acheter une voiture potable.
Ainé d’une fratrie de six enfants, mes parents ne pouvaient pas m’aider d’autant que deux de mes jeunes sœurs étaient internes dans un lycée pro à plus de 150 km de la maison.
Ingrid s’est approchée en disant :
• Laisse tomber… On va déposer tes clés avec un mot pour le chef mécano… Il regardera à ta voiture demain matin.
• Ok… C’est sympa… Je vais faire du stop pour renter chez moi…
• Non, viens te laver les mains qui sont pleines de cambouis et je te déposerai avant de revenir chez moi. Demain, tu prendras un taxi et je m’arrangerai pour payer la course.
• Oh, vous êtes vraiment sympa…
En cours de route, j’observais Ingrid du coin de l’œil… Cette dernière parlait peu, toute concentrée sur la conduite de son bolide, un Clio RS flambant neuve qu’elle avait depuis une semaine…
En moi-même je pensais que je voudrais bien avoir une telle voiture… les minettes me tomberaient toutes crues dans les bras…
Mais en fait de minette, c’est moi qui suis tombé dans les filets d’Ingrid !
Alors que nous approchions de chez elle, elle m’a dit :
• J’habite au bout de cette rue… Tu vois, nous n’habitons pas loin l’un de l’autre… As-tu quelque chose de prévu ce soir ?
• Non, j’ai juste envie de manger un morceau en écoutant de la musique. Pourquoi ?
• Si tu veux, nous allons partager ce que j’ai dans le réfrigérateur… Mon homme est absent pour la semaine et il ne rentrera que dans la nuit de vendredi à samedi. Je n’ai pas envie d’être seule… La journée a été difficile avec ce camion accidenté dont il a fallu récupérer la cargaison ! Cela ne fera du bien de bavarder avec quelqu’un de jeune.
• Décidément vous êtes une patronne vraiment TOP !
Après avoir ouvert la porte avec la télécommande, Ingrid a rentré sa voiture directement dans le garage et m’a dit :
• Je te montre le chemin… Installe-toi au salon, j’arrive dans deux minutes.
J’avais déjà observé Ingrid à la dérobée à plusieurs reprises et là, dans cet escalier montant au rez-de-chaussée, je la regardais et me disais qu’elle était bien belle !
A un peu plus de 40 ans, elle était une grande femme blonde (je pense un bon mètre soixante dix) aux cheveux toujours impeccablement relevés en chignon haut sur la nuque dégagée pour montrer un cou fin…
Ce soir là, elle porte une jupe un peu longue en tissu épais qui arrive à mi mollet avec une veste unie dont la taille est prise dans une large ceinture de cuir fauve.
Je ne sais pas si elle le fait exprès ou si ce sont ses chaussures à talon qui lui font cette démarche, toujours est-il que j’ai le regard attiré par le balancement des ses hanches au point qu’il me vient des idées salaces !
Quand Ingrid revient au salon, les bras chargé d’un plateau avec plein de victuailles et boissons diverses, je vois qu’elle a posé sa veste… Elle portait en dessous un chemisier en soie de couleur fauve qui lui va bien au teint… Les premiers boutons étaient défaits et j’apercevais le sillon mammaire… Waouh… elle est vraiment belle et je lui en fais le compliment.
• Vil flatteur… Tu pourrais être le fils que je n’ai jamais eu…
• Non… c’est sincère, je vous trouve belle… Ce soir je peux vous regarder sans avoir peur d’être surpris par quelqu’un d’autre !
• Serais-tu un peu coquin à regarder les femmes sans qu’elles s’en doutent ?
• Non, je vous le dis, vous êtes belle ! Pourquoi ne pas vous le dire ?
• Trêve de balivernes, mangeons… j’ai une faim de louve !
En fait nous mangeons tout en bavardant de choses et d’autres mais Ingrid se montre très curieuse quant à ma sexualité de jeune homme… et je lui confie volontiers mes secrets :
• Oh, il n’y a pas grand-chose à en dire… Certes, je ne suis plus puceau… mais les deux filles avec lesquelles j’ai fait l’amour un peu à la sauvette après une boum étaient un peu coincées… D’ailleurs, la première était vierge elle aussi !
• Dis donc, c’est la disette ! Cela te suffit ?
• Bien sur que non, je me masturbe mais ce n’est pas facile car un de mes frères couche dans la même chambre que moi !
Je dois reconnaitre qu’à ce moment là, toutes mes inhibitions étaient tombées, un peu aidées par le bon vin que nous dégustions verre après verre au point que j’avais chaud les oreilles et les yeux d’Ingrid brillaient… La bouteille était VIDE !
Lorsqu’elle est venue près de moi sur le divan, elle m’a tendu ses lèvres en me disant de l’embrasser… qu’elle avait envie de moi…
Je n’osais pas l’enlacer… c’était quand même un des cadres de l’entreprise… mais quand elle a posé sa main sur mon entrejambe où mon érection montait, j’ai perdu toute retenue.
J’ai répondu à son invitation et aussitôt nos langues se sont mêlées dans un baiser torride !
Je me suis enhardi en posant une main sur un de ses seins, c’était chaud et doux…
Ingrid s’est dégagée et elle a ôté son chemisier en disant :
• Nous serons plus à l’aise ainsi…
Puis elle a fait sauter l’agrafe de son soutien gorge laissant apparaitre une belle paire de seins haut placés avec une aréole bistre qui tranchait sur la peau laiteuse de blonde…
Certes, ce n’était pas les premiers seins que je voyais ainsi… Il y avait assez de filles ou de femmes qui sur la plage avaient opté pour le monokini !
Nous nous embrassions à en perdre le souffle… D’une main distraite Ingrid caressait mon entrejambes par-dessus le tissu du jean et mon sexe ne cessait de grandir… J’avais de plus en plus envie de cette femme, oubliant son statut par rapport au mien…
Mais n’est-ce pas elle qui en quelque sorte avait fait les premiers pas ?
Soudain (pour autant que je m’en souvienne exactement), elle me dit :
• Viens… Allons dans la chambre… Nous y serons mieux… Je vais te faire découvrir ce que c’est que de faire l’amour à une femme !
Par contre, ce dont je me souviens c’est comment elle s’est mise nue et m’a ensuite déshabillé.
Elle a fait glisser sa jupe qui s’est étalée à ses pieds, elle a retiré ses chaussures et elle ne portait plus qu’un tanga assorti au soutien gorge resté sur le tapis du salon !
Lorsque j’ai été nu, elle a fait glisser son dernier vêtement et elle m’est apparue dans la splendide maturité de la femme de 40 ans…
• Je vais t’apprendre comment faire monter le désir chez une femme… Un homme ne doit pas se comporter en hussard mais amener la femme au point où c’est elle qui désire faire l’amour.
Je n’avais jamais envisagé cela…
Je pensais naïvement : tu me plais… on se plait… on baise ensemble…
Ingrid s’est allongée sur le lit et m’a tendu les bras.
• Tout d’abord, je vais te faire découvrir le sexe d’une femme… Je suppose que tes copines se sont contentées de relever leur jupe et de baisser leur culotte !
• Oui… Effectivement… Elles ne se sont pas déshabillées. On a même baisé debout dans un coin de porte.
• Je m’en doutais… Franchement, à plus de 18 ans, tu es encore bien naïf !
C’est ainsi que j’ai découvert le sexe féminin et ses différentes parties. Ingrid m’expliquait comment être caressée avec les doigts, avec la langue… avant de m’inviter aux travaux pratiques. Là encore elle m’a guidé pendant que je léchais sa fente qui suintait doucement.
• Le clitoris est sorti de son capuchon, mordille-le doucement… Il est très sensible... Je suis excitée…
• Mais moi aussi, je suis excité… Regardez mon sexe ! Il est dur et bandé !
• C’est pour mieux me pénétrer… Plus ton désir sera fort, plus tu vas bander… Maintenant, glisse ta langue entre mes lèvres vaginales… Elles vont s’ouvrir… Darde ta langue dans l’entrée… Tu vois, je mouille… cela signifie que tu me fais du bien et je suis bien excitée ! Maintenant tu vas me baiser… Enfile d’abord une capote…
Ingrid a fouillé dans un tiroir de sa table de nuit et m’a tendu un chapelet de préservatifs… J’en ai déroulé un sur mon sexe qui était dressé devant mon pubis… J’avais un peu honte de me montrer ainsi !
• Oh… La nature t’a bien servi… Je sens que nous allons nous régaler ! Viens, place-toi entre mes jambes et enlace moi… Pour une première, tu vas me baiser à la missionnaire ! Je vais te guider…
Mon sexe est entré dans le sien… C’était bon… Je sentais la chaleur au travers du latex… Je n’osais me coller contre Ingrid et je restais en appui sur mes bras…
• Vas doucement nous ne sommes pas pressés ! Arrête-toi en restant en moi… Laisse retomber la pression !
C’est que j’étais particulièrement chaud et si Ingrid ne m’avait pas freiné dans mes élans, je serais parti après quelques va-et-vient !
D’elle-même elle m’a incité après quelques minutes à recommencer… Elle basculait son bassin pour me faire aller et venir dans son sexe si bien que je me suis lâché sans qu’elle ne jouisse !
• Ce n’est pas grave… Tu m’as dit que tu te masturbais de temps en temps… Je vais te montrer comment fait une femme.
• Oui… Montrez-moi !
• Arrête de me vouvoyer… Dans ma chambre c’est incongru ! Regarde, on peut se caresser avec les mains comme tu le fais mais il y a mieux… J’ai plusieurs jouets pour me faire plaisir quand je suis en manque mais rassure-toi… ce soir je n’avais pas envie d’un jouet : JE VOULAIS UNE VRAIE BITE !
Ingrid sort de sa table de nuit qui décidément recèle bien des secrets tout un assortiment de godes de formes et de couleurs diverses… Il y en a même un noir de taille que je juge gigantesque par rapport à mon sexe pourtant bien dimensionné d’après ce que j’ai su par la suite…
Elle caresse ses lèvres vaginales avec deux doigts qui entrent de temps en temps dans sa chatte puis elle revient sur le clitoris qu’elle fait rouler…
Elle saisit un gode très réaliste et après avoir mis en route le mécanisme vibratoire, elle me montre comment elle s’en sert en l’introduisant dans son vagin puis dans son sphincter dans lequel il entre sans peine.
Mais elle se garde bien de se caresser jusqu’à la jouissance !
Je bande à nouveau comme un cerf en rut… et lorsqu’Ingrid se met à quatre pattes, comme prosternée, m’offrant la vision de ses fesses ouvertes, je me couvre à nouveau et elle me dit :
• Baise-moi en levrette… J’adore…
Je connaissais cette position que j’avais découverte dans un film X que nous avions regardé chez un copain avec plusieurs camarades de classe… Mais là, j’allais l’expérimenter moi-même…
La bite dressée devant mon pubis, j’ai tâtonné quelques secondes à l’orée du vagin d’Ingrid puis, quand j’ai senti que j’étais bien placé, je me suis introduit vivement en faisant claquer mon ventre contre les fesses de ma maîtresse qui s’est écriée !
• Ooouuuuiiiiiii ! Comme çà ! Fort !
Les mains cramponnées autour de sa taille, je me suis mis à aller et venir en elle, sortant à chaque fois pour mieux la pénétrer à nouveau en force… sous des encouragements répétés…
En même temps j’observais l’entrée de son sphincter qui palpitait doucement… Erotisme terriblement fascinant !
Puis Ingrid s’est libérée dans un grand cri… jouissant avec force, ruant comme une cavale empalée sur mon sexe… qui a jailli à son tour !
Nous nous sommes affalés sur le lit, mon sexe encore fiché dans le sien dont je ressentais les contractions… J’avais l’impression qu’Ingrid se servait de ses muscles intimes pour extraire le maximum de mon jus…
J’étais bien…
Ingrid m’a désarçonné et nous nous sommes retrouvés dans les bras l’un de l’autre… Je contemplais sans gêne son beau visage et sa jolie poitrine que je caressais d’une main distraite. Je voyais les tétons s’ériger et imaginant qu’ils m’appelaient, j’ai descendu mes lèvres jusqu’à eux pour les embrasser et les sucer…
Cela devait faire du bien à Ingrid car elle a collé son pubis contre le mien et elle a entrepris une sorte de danse lubrique et frottant son sexe contre le mien…
Puis nous nous sommes endormis… ivres de la fatigue de la journée, un peu partis à cause de la bouteille de vin vidée et de nos joutes ardentes.
Il faisait déjà jour quand nous nous sommes éveillés… Nous avons pris une douche ensemble et Ingrid m’a congédié en disant :
• Nous nous reverrons bientôt…
Les jours puis les semaines ont passé…
Le bac en poche, je cherchais à nouveau du travail…
Ingrid avait rédigé une appréciation élogieuse à mon égard, qui jointe à mon dossier de stage, m’avait valu une très bonne note.
En dehors de deux nuits torrides pour avait-elle dit, pour « fêter ma réussite » je n’avais plus de nouvelles d’elle… car elle pensait m’avoir tout appris… y compris une sodomie très érotique…
J’attendais… car à chaque séparation, elle me disait que l’on se reverrait !
Le lendemain de ma dernière avec elle, je recevais de sa part un message dans lequel elle me demandait de faire un test HIV et nous n’aurions plus besoin de préservatifs !
La fin juillet arrivait quand j’ai reçu de sa part un nouveau message sur mon portable. Elle m’invitait à la retrouver le samedi suivant chez elle et me promettait une surprise.
Curieux… Le samedi, son mari est là… Quelle pouvait être cette surprise ?
Samedi 20 heures, vêtu d’un pantalon de toile et d’un polo, je sonnai à la grille d’entrée de la villa et c’est le mari d’Ingrid qui m’a accueilli :
• Entre vite… Nous n’attendions plus que toi...Mais avant, laisse-moi te dire que je sais tout… Mais ce n’est pas grave… je sais qu’Ingrid est comme moi, une fieffée coquine… Nous sommes échangistes… Nous nous racontons toutes nos frasques coquines quand nous nous retrouvons après une séparation aussi courte soit-elle et il nous arrive de participer à des soirées comme celle de ce soir…
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• Nous allons tous partir en vacances… alors nous en profitons une dernière fois… Reste ou pars si tu ne veux pas participer… mais Ingrid et d’autres femmes seront déçues… Ma coquine de femme n’a pas pu s’empêcher de décrire ton bel organe…
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• Décide-toi…
• Je reste…
• Viens faisons le tour de la maison, nous prenons l’apéritif autour de la piscine.
Je ne connaissais de la maison que l’immense garage en sous-sol, les escaliers qui montaient au rez-de-chaussée, le salon et la chambre…
Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant une immense pelouse arborée avec une vaste piscine à l’eau bleutée et une demi-douzaine de convives qui bavardaient un verre à la main… et en maillots de bain… les femmes pour la plupart, les seins nus…
Elles étaient toutes plus belles l’une que l’autre, toutes à première vue entre 30 et 40 ans…
Les hommes eux, étaient disons le franchement, très différents, certains avaient une petite brioche, d’autres étaient minces et sveltes… sauf le dernier qui était accaparé par quatre des femmes… certainement un adepte des salles de sports… une musculature finement dessinée, des épaules larges et des hanches étroites… et le visage hâlé éclairé par un sourire ravageur !
Je ne me trompais pas… Ingrid me prenant par le bras m’a fait faire le tour des convives en disant :
• Voici ma dernière conquête… un bel étalon qui ne demande qu’à nous satisfaire ! Et voici Bruno, notre coach de fitness…
Sur le coup, j’étais un peu gêné de me retrouver dans cette compagnie mais c’est là que je me suis souvenu de cet interview vu quelques semaines auparavant dans une émission animée par Néphaël et dans laquelle un homme d’environ 25 ans racontait comment il participait à des soirée échangistes privées ou servait d’étalon dans les clubs libertins du secteur.
C’est donc pour cela qu’Ingrid m’a invité car je vois que nous sommes deux hommes de plus que les femmes… et en plus jeunes et certainement performants…
Ingrid m’interroge :
• Qu’as-tu en dessous de ton pantalon ?
• Un boxer…
• C’est bon, çà ira ! Viens poser tes autres vêtements !
C’est ainsi que nous regagnons ensemble l’assemblée qui continue à deviser autour de la piscine et dans l’eau…
Je jette un coup d’œil rapide et ce que je vois ne m’étonne pas… Hervé, le mari d’Ingrid est dans l’eau avec une brune très typée aux cheveux coupés en carré, genre eurasienne…
Elle est appuyée contre le rebord, seul son buste émerge de l’eau et Hervé est en train de la baiser en la prenant par derrière, les mains posées sur les seins de la fille… qui a une poitrine plutôt menue.
La soirée commence fort !
La maitresse de maison revient vers nous et frappe dans ses mains :
• Entrez… le buffet n’attend plus que vous… Les choses sérieuses commenceront après… Mangez mais gardez le corps léger ! Choisissez qui vous voulez comme partenaire ! Bruno, montre les usages à notre jeune ami !
• D’accord… je vais achever les présentations. Voici Catherine et Noëlle, comme tu peux le voir, elles se ressemblent beaucoup… Ce sont deux sœurs et… complètement bisexuelles… Donc ne t’étonne pas si tu vois l’une ou l’autre s’éclipser avec une autre femme. Ensuite, tu as Caroline, elle est très exhibitionniste, parfois dominatrice, mais elle aime les gros calibres…
• Un peu comme Ingrid alors ?
• Oh… elle… elle fait feu de tout bois… je crois que tous les hommes qui sont là ce soir se la sont tapée une fois au moins… Je sais que tu as passé trois nuits avec elle et qu’elle t’a en quelque sorte fait faire ton apprentissage !
• Oui… Dans la boîte où elle travaille, elle cache bien son jeu !
• Oh, ce n’est pas parce que nous nous retrouvons pour partouzer que nous devons étaler notre vie… mais elle ne sait pas tenir sa langue quand elle a trouvé un jeune mâle comme toi… Toutes les femmes présentes ce soir ont entendu parler de toi ! J’espère que tu es en forme ?
• Je pense… Depuis ma dernière nuit avec Ingrid, je ne me suis masturbé qu’une fois en pensant à elle !
• C’est bon… à nos âges, on a de la ressource ! L’asiatique, c’est Céline… c’est la femme de Ludovic, celui qui s’occupe du barbecue… et Corinne, elle est un peu ronde mais je dois te prévenir… il ne faut pas lui en promettre… c’est une chaude et son pécher mignon, c’est d’offrir son cul…
• C’est vrai qu’elle a une paire de seins de folie et un cul… Mais comment rassembler autant de jolies femmes… Elles sont toutes belles bien que différentes…
• Cela se fait au hasard des soirées en clubs… Quand un couple plait, il est rapidement intégré parmi les invités d’Ingrid qui joue la rabatteuse ! C’est le cas de Corinne et de Christian son mari. C’est la première fois qu’ils sont invités… Ils ont fait une partie à quatre avec Ingrid et son homme il y va y avoir deux mois… lors d’une sortie dans le club où j’étais ce soir là.
• Et alors ?
• Après s’être fait baiser par les deux hommes, elle est venue me trouver : Elle voulait que je la prenne en double avec un mec qu’elle avait remarqué !
• Ce devait être chaud !
• Tu ne crois pas si bien dire… Lorsqu’elle a été prise par l’autre mec, il ne me restait que son cul à honorer… et je dois te dire que j’y suis entré sans aucune difficulté malgré mon calibre !
• Çà a du être génial !
• Tu ne crois pas si bien dire mais comme nous étions en club, je devais porter un préservatif… Je compte bien me rattraper ce soir et lui en mettre plein son cul ! Ensuite tu as respectivement Henri le mari de Catherine et Charles, celui de Noëlle. Viens, je te présente à la « bande des quatre » comme nous les appelons… Ils ne vont pas en club mais ils font souvent des parties carrées…
Lorsque Bruno m’a présenté, les filles se sont écriées en chœur :
• Un nouvel étalon… Nous allons en profiter !
Henri a ajouté :
• Ne l’épuisez quand même pas… il en faut pour tout le monde…
Nous sommes restés à bavarder et à plaisanter tous les six… Si les deux filles étaient très jolies et spirituelles dans leurs réparties, à double sens parfois, leur maris étaient plus effacés…
Soudain Catherine a passé son bras sous le mien en me disant :
• Viens me montrer ce dont tu es capable… il parait que tu étais presque puceau quand Ingrid a commencé ton éducation !
• Oh… tu sais cela ?
• Oui… et quelles sont tes performances… qui sont comment dire… prometteuses !
• C’est comme tu veux… Montre-moi le chemin !
• Viens… Il y a un bosquet près de la piscine nous y serons à l’abri des regards…
Tout en bavardant nous arrivons derrière ce bosquet où sont rassemblés quelques matelas de plage… Waouh… Tout est prévu !
Rapidement Catherine se débarrasse de son bas de maillot pendant que j’en fais autant.
• Effectivement… Ingrid ne nous avais pas trompées… Je vais achever de te faire bander… Une bonne pipe goulue… çà va te faire du bien… Ensuite, tu me baiseras en amazone… J’aime bien, comme cela je peux me pénétrer au rythme qui me convient et faire monter la pression !
• C’est toi qui vois ce qui te plait ! Puisque je suis là comme étalon…
• Oh… mais tu vas nous satisfaire mais tu prendras ton pied aussi !
• C’est sur… Il y a une belle brochette de filles qui n’attendent que cela : se faire embrocher !
• Je vois que tu as de l’esprit… Allez… à moi !
Après la fellation savante de Catherine, qui plusieurs fois arrive à me faire entrer jusqu’au fond de sa gorge, je m’allonge sur le dos, affichant une érection qui se dresse sur mon pubis…
Ma compagne du moment m’enjambe, se saisit de ma bite et la place à l’entrée de son sexe…
Quand elle sent qu’elle est en place, elle se laisse glisser et mon vit disparait peu à peu…
Les yeux de Catherine brillent, sa bouche est entrouverte comme si elle cherchait son souffle…
Sa chatte est chaude et humide… ce qui explique peut-être que je suis entré facilement…
Lorsqu’elle se sent bien en place, Catherine entreprend les mouvements sur mon sexe… Tantôt lents, tantôt rapides, c’est elle qui d’une certaine façon même la danse… et elle danse bien !
Elle s’est déjà amenée à deux reprises au bord de la jouissance puis elle s’est calmée…
De mon côté, je me retiens de jouir… Ingrid m’a expliqué comment…
Mais soudain Catherine qui a repris sa chevauchée n’en peut plus… Elle se lâche et jouit en s’abattant sur mon torse… et j’inonde sa chatte de quelques belles giclées de foutre au moment où sa sœur Noëlle arrive près de nous.
• Alors… Il tient ses promesses ?
• Oh oui… Une bite bien formée et endurante ! J’ai manqué de partir à deux reprises et je peux te dire qu’il est généreux !
• Tu en as encore ?
• Oui… Bien sur… Allez, cède la place à ta frangine puisqu’elle a envie d’y goûter elle aussi !
Là-dessus Catherine nous quitte et Noëlle s’allonge tête bèche près de moi sur les matelas de plage.
Sa bouche est à la hauteur de mon bassin et moi, j’ai une vue rapprochée sur le sexe de Noëlle : un sexe bien fendu, avec des lèvres gorgées de sang et percées de deux anneaux dorés.
Puis elle se place au dessus de moi pour que je débute un cunni’ pendant qu’elle fait renaitre ma bandaison…
Waouh… elle aussi m’avale entièrement dans une gorge profonde… mon pubis (rasé depuis ma dernière nuit avec Ingrid…) arrivant au contact de sa bouche ! Elle m’a englouti d’un seul trait… Quelle gourmande… Çà promet !
Je bande à nouveau comme un animal en rut et Noëlle se relève en disant :
• Moi… ce que j’adore, c’est me faire baiser en levrette…
• Ok… Je suis à ton service ! N’est-ce pas ce que toutes vous attendez des étalons qui sont là ce soir ?
• Si bien sur… Mais je connais déjà Bruno… avec toi ce sera une nouveauté !
• Alors… en selle !
Noëlle s’agenouille sur un des matelas et se prosterne, les bras allongés devant elle, le cul dressé bien haut s’offre à moi… les fesses bien fendues prêtes à m’accueillir.
Cette coquine porte dans son sphincter un Plug orné d’un prisme coloré du plus bel effet.
• La porte arrière est ouverte elle aussi ?
• Oouuuiiii ! Mon homme m’a promis une double pénétration… C’est Hervé et sa bite longue et fine qui va me sodomiser pendant que Charles me baisera la chatte !
• Tout est organisé alors ?
• Tu ne crois pas si bien dire… c’est d’ailleurs un peu pour cela qu’Ingrid a invité ce couple et aussi le faire entrer dans notre cercle ! Bon assez parlé ! Baise-moi maintenant !
Je saisis Noëlle en plaçant mes mains au niveau de sa taille… et je glisse mon vit le long de ses lèvres intimes puis, j’entre doucement dans son sexe… D’une ruade, elle me fait entrer au plus profond de son vagin et entreprend aussitôt de masser mon membre avec ses muscles intimes…
Elle est aussi chaude que sa sœur !
Dans les faits, c’est bien plus elle qui se baise sur ma bite que moi… On dirait qu’elle me prend pour un gode à ventouse fixé sur un mur ou pour une machine à baiser…
Je suis le mouvement me contentant de rester fiché dans sa chatte qui bave de plus en plus… Les contractions de ses muscles intimes pressent mon gland et je sens que si cela continue, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps…
Je ne sais combien de temps s’est écoulé depuis que je suis passé derrière ce bosquet avec Catherine mais la nuit tombe doucement ! Mais finalement nous jouissons pratiquement en même temps…
Quelques temps après, nous nous désunissons et Noëlle m’entraine dans la piscine où deux autres couples s’ébattent joyeusement !
Désormais tout le monde est nu…
Peu de temps après, Ingrid s’approche de la margelle et interpelle tout le monde :
• Mes amis, c’est l’heure d’une première ! Nous allons avoir un trio très sensuel… Noëlle qui rêve depuis longtemps d’avoir une véritable double pénétration avec deux hommes va l’avoir ce soir… Rassemblons-nous autour du lit rond placé sous les projecteurs !
En fait de lit rond, il s’agit plutôt d’une estrade d’environ deux mètres de diamètre et surélevée à plus de 80 cm… avec certainement une couche de mousse en dessous du tissus qui la recouvre.
Tout le monde s’approche…
Noëlle arrive toute fraiche, sortant de l’eau mais les cheveux séchés et noués sur sa nuque, juste vêtue d’un paréo aux couleurs vives.
Hervé et Charles sont de part et d’autre d’Ingrid qui prend la parole :
• Mes amis… Ce soir et à sa demande Noëlle va nous offrir un spectacle... une première pour elle… C’est une adepte de la double pénétration mais jusqu’à présent, elle n’avait utilisé qu’un gode pour satisfaire cette envie, ce soir ce sont Herve et Charles son mari qui vont la baiser en double sous nos yeux et nos encouragements.
Cette annonce est suivie d’une salve d’applaudissements au moment où Noëlle monte sur le podium où elle danse lascivement en défaisant son paréo pendant qu’Ingrid invite deux autres femmes à mettre en forme les deux hommes qui vont baiser Noëlle…
• Ne soyez pas trop gourmandes… faites juste monter la pression…
Il ne faut pas plus de deux minutes pour qu’Hervé et Charles arborent une belle érection et montent rejoindre Noëlle qui les attend.
Charles se couche immédiatement sur le dos, la bite dressée comme un « I » vers le ciel et il tendant les bras à sa femme qui se place en amazone face à lui avant de laisser glisser le sexe masculin dans le sien…
Après quelques mouvements pour trouver le meilleur angle de pénétration, les deux partenaires invitent Hervé à les rejoindre.
Effectivement, Hervé a un appendice long et fin… et comme Noëlle s’est préparée à la recevoir dans son sphincter (qu’elle m’a dit avoir copieusement enduit de gel avant d’y placer le Plug), je pense que l’introduction va bien se dérouler…
L’ambiance sur le podium et autour est de plus en plus chaude…
Les deux amants ont arrêté leurs mouvements et Hervé vient de s’agenouiller entre leurs jambes…
Il prend son sexe d’une main et de l’autre il écarte les globes charnus de Noëlle et retire le Plug qui y était encore fiché !
Et… lentement, il s’introduit dans le pertuis étroit où son sexe trouve rapidement sa place sous une nouvelle salve d’applaudissements.
La copulation à trois commence…
Noëlle est prise en sandwich entre les deux hommes qui coordonnent leurs mouvements pour sortir et entrer alternativement de l’orifice qu’ils ont choisi d’honorer…
Les curieux regardent quelques temps puis s‘éclipsent…
C’est à ce moment-là que Céline s’approche de moi et dit :
• Je prends une option sur toi dès qu’ils auront terminé !
• Pas besoin d’attendre… J’en ai assez vu pour savoir comment cela se passe ! Je suis à ta disposition ! Tu me diras où aller !
• On va aller au sous-sol… Ingrid m’a dit avoir fait installer récemment un jacuzzi… j’ai envie de l’essayer… Tu es Ok ?
• Oui… je savais que c’était en projet… Oui pour l’essayer… ce sera une première pour moi…
• Moi, j’aime l’eau… D’ailleurs tu n’es pas sans avoir remarqué comment je me suis fait baiser dans la piscine !
• Oui… Tu semblais bien occupée quand je suis arrivé !
• Oui… Mais je n’ai pas pris le pied que j’attendais… Hervé avait envie de me sauter depuis plusieurs semaines mais il n’a pas su attendre que je jouisse… Il a joui et il est sorti de l’eau, me laissant à ma frustration !
• Dommage pour toi !
• Oh… je me suis rattrapée… avec Catherine qui sortait de tes bras ! Après une joute sévère m’a-telle dit, elle avait envie d’une femme… et visiblement ce n’était pas une première… Nous nous sommes envoyées en l’air comme deux garces que nous sommes !
• Ne vous traitez pas de garces… vous êtes des femmes et nous, des hommes qui aiment jouir…
• Tu es gentil. C’est vrai… nous partouzons mais en dehors de notre cercle, nous sommes sérieuses ! Nous nous assumons toutes professionnellement… Nos parties fines sont un dérivatif !
• Je ne voyais pas les relations homme-femme comme cela ! Mais cela me convient !
C’est tout en bavardant que nous entrons dans la maison, nous traversons les pièces à vivre pour nous engager dans cet escalier que je connais bien désormais…
Au moment d’entrer dans la pièce où se trouve le jacuzzi, Bruno et Corinne en sortent vêtus tous les deux d’un peignoir de bains… Ils devaient être là depuis un certain temps car effectivement ils n’étaient pas présents lorsque le spectacle de la double pénétration a commencé !
Bruno me dit rapidement :
• Tu as tiré le bon lot… Céline, c’est le TOP !
• Malin… c’est elle qui m’a tiré !
• Alors bravo !
Nous entrons dans une vaste pièce aux murs carrelés et ornés de gravures licencieuses avec le bassin du jacuzzi à demi enfoncé et une immense cabine de douche dans un angle. Céline s’écrie :
• C’est TOP… je suis sure qu’on peut y tenir facilement à quatre ! Viens je vais te nettoyer… Tes deux précédentes partenaires t’ont fait transpirer…
• Ok, je te rejoins dans l’eau…
• Oh oui… viens vite !
Aussitôt Céline me recouvre de mousse odorante et me frotte l’ensemble du corps, n’oubliant aucune partie, même la plus intime car elle introduit deux doigts dans mon sphincter ce qui me crispe car je ne suis pas habitué…
Elle cesse rapidement pour s’intéresser à ce qui m’a fait entrer dans ce cercle coquin : mon « services trois pièces » qu’elle manipule en douceur… Ses mains douces encore enduite de mousse partent de la base et remontent jusqu’au gland qui sort du prépuce puis elle s’intéresse à mes bourses en faisant rouler les testicules dans leur loge…
Hummm… Elle sait y faire…
Céline se frotte lascivement contre mon corps… Elle fait rouler mon sexe bandé entre ses fesses menues et achève de m’exciter.
Je ne montre aucune impatience… C’est elle qui, là encore, d’une certaine manière mène la danse !
Elle s’empare d’une douchette et ôte la mousse qui nous recouvre encore et m’invite à la suivre hors de l’eau.
• Viens… avant de me faire l’amour, je vais t’offrir un massage comme tu n’en as jamais eu !
• Je demande à voir ! Tu n’es pas kiné que je sache !
• Oh… ce n’est pas ce genre de massage… Allonge-toi sur ce matelas… Ferme les yeux et laisse toi faire. Tu m’en diras de nouvelles !
J’obéis donc aux directives de Céline… et ferme les yeux.
Je sens un liquide onctueux et parfumé couler sur mon corps, le buste, le bas ventre, les cuisses mais j’obéis et n’ouvre pas les yeux…
Je sens que Céline enjambe mon corps et deux mains douces répandent ce liquide partout…
Puis elle s’allonge sur moi et entreprend de me masser de tout son corps qui s’imprègne lui aussi de ce liquide… Nous glissons l’un sur l’autre… je sens les seins menus s’écraser contre les miens… nos pubis glabres entrer en contact et ma bite dressée, dure comme du bois, frotter l’entrejambe de Céline…
J’ouvre enfin les yeux…
Quel massage… et elle le fait durer…
• N’est-ce pas bon… et relaxant ?
• Oh oui… J’avais entendu parler de ce genre de massage… c’est très sensuel !
• Tu n’as encore rien vu ! J’ai appris à les faire dans mon pays d’origine avant de rencontrer mon homme qui y voyageait !
Céline entreprend une savante reptation et elle place mon sceptre de chair à l’entrée de sa vulve où je glisse lentement quand elle s’abaisse… Ses seins menus balancent devant moi…, les tétons sont sortis comme des pois…
Puis elle se redresse et se retourne…
Je suis toujours en elle…
Elle s’allonge le dos contre mon buste et commence à s’agiter sur ma bite, la faisant aller et venir dans sa chatte…
Je ne peux m’empêcher de placer mes mains sur ses seins et je fais rouler les tétons entre mes doigts… puis elle s’empare de ma main droite qu’elle fait descendre jusqu’à son pubis :
• Caresse-moi le bourgeon…
De deux doigts je titille le clitoris de Céline qui continue de monter et descendre sur mon sexe…C’est chaud mais tellement bon… Ne suis-je pas l’étalon avec lequel Céline prend son plaisir…
Je sens que je vais partir… Ce massage sensuel est tellement bon… Je ne peux pas me retenir… Je sens que je gicle abondamment au fond du vagin de ma compagne qui s’éclate à son tour dans un rugissement…
• Waaooouhhhhh ! T’es sacrément généreux !
• Grâce à toi ! T’es géniale… on ne m’avait jamais fait cela !
• Tu n’es pas au bout de tes surprises !
En disant cela, Céline se penche sur ma bite encore à moitié turgescente, l’embouche et entreprend une fellation qui a vite fait de me redonner toute ma superbe…
• Viens sous la douche… on va se débarrasser de cet onguent…
• Je te suis !
A peine sous le jet tiède, Céline reprend sa fellation pendant quelques instants avant de passer ses bras autour de mon cou et de hisser son bassin à hauteur du mien…
Je ne tâtonne pas… Mon sexe entre aussitôt dans le sien et c’est elle à nouveau qui mène la danse… Elle ondule du bassin et fait bouger ma bite dans son sexe…
Heureusement, Céline ne doit guère peser plus de 50 kilos… et je la porte facilement… Nous nous embrassons, mêlant nos langues dans des baisers de plus en plus chauds…
• Oh oui… Baise-moi bien… Tu ne remplis jusqu’au fond… C’est bon… Baise… Baise… Baise !
Alors que j’allais jouir, elle se dégage de mon étreinte et me tournant le dos elle me dit d’un air vicieux :
• Saute-moi comme une salope… prends moi par l’arrière… regarde comme j’écarte mes fesses pour bien dégager l’entrée de mon vagin !
Elle se penche à moitié vers l’avant en prenant appui contre une cloison vitrée et m’offre une merveilleuse vision sur sa raie où palpite son sphincter… mais ce n’est pas lui que je veux ! Elle a une telle chaleur dans son vagin et elle sait si bien jouer de ses muscles intimes que c’est là que je veux m’y épancher encore une fois.
Je fléchis légèrement les genoux et je glisse mon sceptre dans cette ouverture bouillante où il retrouve sa place.
Les mains agrippées à la taille de Céline, je copule de plus en plus vite… sous ses encouragements de plus en plus salaces :
• Défonce-moi la chatte… Mets m’en plein… Baise la salope… Vide tes couilles en moi… Envoie-moi en l’air…
Ce qui d’ailleurs ne tarde pas… Céline s’ébroue comme un cabri sur le membre qui la pénètre jusqu’à ce que je me libère également dans un nouveau jaillissement de foutre…
Lorsque je sors du sexe de Céline, cette dernière y passe la main et constate :
• Je coule comme une source… Allons-nous nettoyer !
Nous entrons une nouvelle fois dans le jacuzzi où, collés l’un contre l’autre, nous profitons des remous et des senteurs qui montent de l’eau… Nous y restons jusqu’à ce qu’un nouveau couple arrive… Ingrid et Bruno… auquel nous cédons la place.
Lorsque nous remontons dans les pièces à vivre, il ya a des couples un peu partout qui baisent ou se caressent…
Corinne est seule sur uns de divans…
C’est une splendide quadra, blonde comme les blés avec de longs cheveux tombant entre les épaules, des lèvres étroites qui lui font une bouche mutine et des yeux de biche, elle a des formes voluptueuses… Sa poitrine très généreuse tombe un peu mais avec une telle masse, n’est-ce pas normal ? Sa taille étroite est ceinte d’une chainette en or avec un cœur qui pend à quelques centimètres du haut de son pubis glabre… Ses hanches sont en rapport avec l’ensemble… très accueillantes certainement…
Elle est agenouillée et caresse doucement ses seins, manipulant les tétons pour les faire sortir puis elle en porte un à la hauteur de sa bouche et titille l’extrémité sensible du bout de sa langue…
Avec Céline, nous sommes attirés par le spectacle… Comment laisser ainsi, seule, une femme qui semble ardente ?
Depuis le temps écoulé, il est certain qu’elle n’a pas failli à la réputation que Bruno a bien voulu décrire et elle a certainement du se faire baiser plus d’une fois au cours de la soirée… mais il semble qu’elle n’en a pas eu assez en se livrant ainsi.
Ses mains descendent ensuite au niveau du pubis puis elle ouvre largement les lèvres intimes et glisse une paire de doigts à l’intérieur… Elle les fait aller et venir quelques minutes puis Corinne saisit un gode qui se trouve à proximité…
Waouh… quel engin… presque plus gros que mon sexe en plein développement… et c’est peu dire ! Un gode de couleur noire qui tranche sur la peau laiteuse qui entre, avalé littéralement par la chatte ruisselante de cyprine (et certainement de foutre…)… Elle le fait aller et venir et son regard en dit beaucoup sur le plaisir qu’elle se donne…
Mais elle n’en a pas encore assez… Elle saisit un autre gode, moins volumineux cette fois mais muni d’une paire de couilles factices d’une taille impressionnante !
Elle en lèche le gland puis elle se penche vers l’avant et l’introduit dans son anus où il entre avec la même facilité que l’autre est entré dans sa chatte…
D’autres voyeurs nous ont rejoints…
Corinne bascule en arrière, les cuisses largement ouvertes, les deux godes enfilés au plus profond qu’elle fait aller et venir d’une main pendant qu’elle pelote ses seins, pinçant les tétons…
Quel spectacle !
Les hommes qui la regardent bandent comme des taureaux en rut… et certainement que les femmes sont elles aussi excitées par cette scène à l’érotisme torride !
Soudain plusieurs jets de liquide s’échappent de son sexe et giclent à plus d’un mètre sur le carrelage !
Corinne vient de se faire jouir et je découvre ce qu’est une femme fontaine…
Mais il semble qu’elle n’est pas encore satisfaite. Elle retire les deux godes et nous tourne le dos, nous offrant la vision de la courbe de ses reins et ses hanches qui semblent appeler le Mâle !
Mais ce n’est pas un Mâle qui va la saillir… Elle place le gode noir à l’entrée de se son sphincter et s’assoit dessus jusqu’à ce qu’il soit fiché au plus profond de « son antre interdit » avant de recommencer des mouvements alternatifs comme si elle était sodomisée par un mâle bien monté…
Effectivement… Il ne faut pas lui en promettre… et c’est dans un rugissement de plaisir qu’elle laisse à nouveau éclater sa jouissance !
À ce moment Ingrid et Bruno rejoignent notre petit groupe de voyeurs… et s’adressent à moi :
• Tu viens de découvrir la particularité de certaines femmes… qui lorsqu’elles éprouvent beaucoup de plaisir déclenchent cette éruption… Ce sont des femmes fontaine… Ne sois pas surpris lorsque tu en rencontreras une…
• Quand je te disais qu’il ne fallait pas en promettre à Corinne… Je pense qu’elle n’avait personne pour s’occuper d’elle… et elle s’est satisfaite elle-même !
• C’est vrai qu’elle nous a offert un beau spectacle… presque plus torride que la double pénétration de tout à l’heure !
• Oh oui… mais là, ce n’est rien… je l’ai vue avoir une bite dans chaque orifice et cela ne lui suffisait pas encore… elle glissait un gode en plus dans sa chatte…. C’est un véritable garage à bites si bien qu’il ya quelques temps, je l’ai sautée avec son mari… Nous étions à deux dans sa chatte !
La soirée s’est poursuivie tard dans la nuit…
J’ai baisé chacune des femmes présentes y compris Corinne qui m’a gratifié d’une cravate de notaire (je découvrais à la fois la pratique et son nom…) et inondé sa poitrine de quelques jets de sperme…
Mais le TOP, c’est avec Ingrid que je l’ai eu…
Elle m’a attiré dans sa chambre en disant que nous y serions plus tranquilles.
Après avoir débuté une fellation sur toutes les parties de mon « service trois pièces » pour me faire dresser, elle m’a fait allonger sur son lit. Comme on se met en selle, elle m’a enfourché et se mettant à califourchon elle a écrasé son sexe sur le mien.
Puis elle s’est mise à bouger légèrement d’avant en arrière, se masturbant sur ma bite raide, à la limite douloureuse tellement elle était encore gonflée après ce que j’avais déjà vécu...
Je voulais la pénétrer mais visiblement, ce n’est pas ce qu’elle voulait.
Tranquillement, elle continuait à se masturber ainsi, effleurant de ses ongles pointus la pointe de mes seins pour faire dresser le mamelon… C’était bon et je découvrais que j’étais sensible à cet endroit !
Elle me dit :
• Prends mes fesses dans tes mains…
Elle se balança encore plus vite… je sentais le plaisir monter dans mon bas ventre… comme pour le lui signifier, je serrai fermement ses globes de la croupe… et Ingrid dit qu’elle aimait bien être tenue ainsi.
Je cherchais à la soulever pour m’enfoncer dans son ventre mais soudainement je jouis sans pouvoir me retenir plus longtemps, inondant mon ventre de mon sperme !
Toujours à califourchon, Ingrid avança son sexe nu jusqu’à mon visage où elle l’écrasa en disant :
• Et si tu t’occupais de moi ?
Bien calée au dessus de moi, le buste droit, je la sentis frémir lorsque je commençai à explorer les replis de son sexe. Elle bougeait imperceptiblement en poussant de petits cris lorsque ma langue entrait en elle comme pour m’encourager !
Ingrid avait pris ses seins entre ses mains et jouait avec eux en effleurant les pointes turgescentes.
Je me sentais pris par cette manière de faire que je découvrais… Je laissai mes mains courir sur ses flancs, je saisis à nouveau ses fesses dans mes mains et je la sentais sursauter lorsque ma langue atteignait un point sensible.
Mais elle se laissait emporter par le plaisir alors que j’avais introduit un doigt dans son anus… Elle écrasa encore plus son sexe sur ma bouche et jouit !
J’avais retrouvé une belle érection mais lorsque j’ai voulu empaler Ingrid sur mon sexe, elle m’a dit gentiment :
Non, ça suffit pour ce soir… je voulais simplement te faire découvrir cela ! Je ne savais pas que tu savais si bien te servir de ta langue. Tu rendras les femmes heureuses…
Je n’en pouvais plus…
J’avais joué mon rôle d’étalon…
Les mois ont passé… Une fois par mois, je suis invité par l’un ou l’autre des couples pour une soirée libertine… mais jusqu’à présent, je ne suis jamais allé dans une boîte échangiste…Ce que je vis me, suffit !
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