Titre de l'histoire érotique : UN couple du NET
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : UN couple du NET
J’avais 54 ans 2016, quand cette histoire m’est arrivée. Depuis longtemps je surfe sur le net, à la recherche de sites, pour faire des rencontres avec des couples. J’ai eu la possibilité de faire 2 expériences. Une ratée (que je ne raconterai pas) et celle qui va suivre très agréable. Donc un soir de février 2016, vers 2h du matin, je tombe sur le pseudo suivant : HchercherHpoursaF Traduction : Homme cherche Homme pour sa Femme. J’entame le dialogue. Il s’appelle Denis, il vit à Lille, ou il est instituteur. Pendant plus d’une heure nous discutons de nous de nos vies, de nos familles, de nos femmes. Le courant passe. Denis : pourquoi tu es là Moi : je suis à la recherche de nouvelles expériences avec des femmes ou des couples. Et toi ? Denis : il se fait tard on en parle demain, même endroit Moi : OK mais plus tôt dans la soirée Denis : mais ma femme se couche tard, et je ne peux rien faire quand elle est levée. Moi : Ok vers minuit Le lendemain soir Moi : salut ça va ? Denis : oui Moi : tu n’as pas répondu à ma question hier soir
Denis : ok, pas facile à dire. Voilà j’ai eu, comme on dit une longue maladie au niveau des testicules, et maintenant j’ai beaucoup de mal à satisfaire Delphine, au lit. Sauf avec ma bouche et mes doigts. Mais je sens bien qu’elle commence à être frustrée et je pense qu’un bon coût lui ferait du bien. Je lui en ai déjà parlé, au début elle était réticente, mais je trouve que l’idée fait son chemin. L’autre jour, pendant que je la doigtais, je lui disais, qu’il y avait un beau jeune homme, à côté de moi, prêt à lui faire l’amour. Elle avait les yeux fermés et cette évocation, j’ai bien senti qu’elle s’est mise à mouiller beaucoup. (Petit silence) voilà tu sais tout.
Moi : ok et tu cherches quel type d’homme. Denis : je l’a connais, elle préfère un homme plus âgé, pas très grand, pas gros, mais pas maigre, pas chauve, peu poilu, voir imberbe. Moi (en rigolant) mais tu parles de moi Denis : pourquoi tu dis ça ?
Moi : 170, 72 kg, poivre et sel, peu poilu (je n’aime pas les poils)
Moi : 55 ans, marié, à la recherche de nouveautés, de douceur, de câlin, j’aime masser, caresser embrasser les corps de femmes.
Denis : tu pourrais correspondre, Delphine aime bien les hommes plus âgés. Moi j’ai 51 ans, elle 38 ans. Tu aurais une ou 2 photos ?
Moi : habillé ou nu ou intermédiaire ?
Denis : les 2 et surtout le visage
Moi : et ta femme elle est comment ?
Denis : 158, 60kg, bien proportionnée, de jolies jambes, fines et galbées, blonde, au carré, de grands yeux noirs, un petit nez, et des lèvres bien dessinées, qui donnent envie de l’embrasser. Ses seins 85B, fesses fermes et légèrement rebondies. Sexe étroit avec une toison entretenue. Mais comme elle est blonde on pourrait penser qu’elle est épilée. Elle est coquette, elle peut s’habiller classique ou sport, avec des jupes ou robes courtent voir très courtent ou logues. Des jeans moulants elle aime aussi beaucoup les sous-vêtements de marque ou pas.
Moi : tu aurais photos ? STP
Après échange de photos et encore plusieurs conversations en soirée sur internet, un soir de fin mars :
Denis : Alain, ça fait maintenant 1 bon mois que nous discutons, je pense que tu es la personne qu’il nous faut à moi et surtout à Delphine. Le problème, comment faire pour nous rencontrer ? toi à Lyon et nous à Lille. Moi : venez à Lyon. Tu m’as dit que tu voulais faire ça loin de chez vous, pour limiter les possibilités de rencontre avec l’homme choisit.
Denis : oui tu as raison c’est une bonne idée, je pourrais lui faire la surprise, de l’emmener visiter Lyon pour un long we du mois de mai. Nous n’avons jamais pris le temps de nous arrêter quand nous descendons sur la côte. Moi : excellente idée, et je te propose le 8 mai, je serai seul, ma femme va chez sa sœur et mes fils ne rentrent pas.
Denis : mais on ne vient pas chez toi, nous allons à l’hôtel
Moi : évidement, mais moi je serai plus libre au niveau horaire
Denis : ok
Moi : maintenant comment organisons-nous la rencontre ?
Denis : je ne sais pas il faut que ça ait l’air naturel, pas un coup monté.
Moi : deux copains d’armée qui se retrouvent par hasard.
Denis : je n’ai pas fait mon service militaire
Moi : ok on réfléchit, et on en reparle.
Quelques jours plus tard
Moi : salut ça va, vous venez toujours en mai, j’ai pensé tu n’es pas collectionneur de quelque chose. Moi : quand j’étais jeune je collectionnais les cartes postales de Marilyn Monroe et Raquel Welche. Denis : hélas non, mais j’ai pensé à un scénario. En plus c’est une situation que nous avons déjà vécu avec Delphine. Elle c’était faite draguer par un jeune (maxi 25 ans) au rayon lingerie d’un grand magasin. Il n’a pas insisté quand il a vu qu’elle était accompagné.
Moi : ok tu me donnes une idée.
Jusqu’au mois de mai, nous sommes restés en contact. A continuer de faire connaissance. La veille de leur départ (Denis avait tout très bien organisé) Delphine ne savait pas où elle allait. Et la seule chose que j’avais demandé à Denis, c’était d’aller dans mon sens, au moment de la rencontre. Nous avions convenu du jour, le samedi. L’heure environ 18h, au rayon lingerie d’un grand magasin, (le printemps de Lyon).
Le jour J, vers 17h45, je suis dans le magasin, le regard sur l’entrée. Heureusement il n’y a pas grand monde Je n’attends pas longtemps, Denis rentre le premier, m’aperçois, me fait un clin d’œil. Juste derrière, je découvre Delphine. Très jolie dans une robe en jean, moulante et courte, s’ouvrant sur le devant avec une fermeture éclair. Je les laisse faire un tour, j’attends qu’ils montent à l’étage pour les dames. Je ne me presse pas. Denis m’a prévenu, que je n’avais pas besoin de me presser, car dans ce genre de rayon elle prenait tout son temps. Je tourne, j’observe, Denis la suit la conseille, me jette des coups d’œil discrets. Elle se dirige vers les cabines d’essayages, les mains pleines de parures. J’ai à la main une petite nuisette noire en dentelle. Volontairement (mais sans que ça paraître), je la bouscule. Je laisse échapper la nuisette, elle laisse tomber une partie de cintres qu’elle tenait à la main. Moi : (me baissant pour ramasser) Oh je suis désolé mademoiselle, veuillez m’excuser, je suis navré,
Delphine : (un peu amusée par ma mal adresse) ce n’est rien, il n’y a rien de cassé
Moi : (l’aidant à se relever en lui tenant le coude) vous êtes sûre, je ne vous ai pas fait mal.
Et j’en profite pour lui caresser le bras, je la sens frissonner. Je lui tends les 2 soutient gorge que je venais de ramasser.
Delphine (prenant ses affaires et me rendant les miennes avec un sourire), merci, tenez votre nuisette. Si c’est pour vous je pense qu’elle vous est trop petite.
Moi (rigolant en mettant le cintre devant moi) vous trouvez ? Ce n’est pas ma taille ? Dommage, je voulais faire une surprise à mon amie
Denis i(intervenant) : bonjour, tu as un problème Delphine ?
Delphine : non non, mais ce monsieur, ma percuté, sans mal, m’a aidé à tout ramasser, et maintenant, je me moque de lui avec sa nuisette.
Moi (tendant la main aux 2) bonjour monsieur, Alain, je suis désolé d’être rentré dans votre femme. Bien qu’elle soit charmante
Denis : le principal c’est qu’il n’y ait pas plus de mal que ça. Je me présente Denis et la jolie dame que vous avez bousculée, c’est Delphine.
Moi : enchanté, Alain. D’où vient votre petit accent
Denis : nous sommes en we sur Lyon nous venons de Lille
Moi : vous êtes venus, pour la ville, la gastronomie ?
Denis : pour les deux, à ce propos vous ne connaîtriez pas un bon bouchon sympa et typique, ou nous pourrions aller ce soir ? on nous avait indiquer ‘le Bellecour’ (invention) mais il est complet pour tout le we. Moi : (avec un grand sourire), pour me faire pardonner, je peux vous arranger ça
Denis : et comment ? Vous nous invitez chez vous ? (Rentrant dans notre jeu) y aura-t-il une contrepartie ?
Moi : je ne sais pas c’est vous qui jugerez
Sous le regard amusé de mes 2 nouveaux amis, je prends mon téléphone, et j’app elle. Quelques instants plus tard
Moi (en raccrochant) : c’est bon vous avez une table pour 21h de réservée dans votre restaurant préféré, je n’ai pas pu faire mieux.
Delphine (avec un large sourire) : pas possible, mais comment avez-vous fait ?
Moi : c’est mon secret
Denis : comment faire pour vous remercier
Moi : il est 19h pour patienter jusqu’à l’heure du dîner, je vous propose un verre en terrasse
Delphine : (un peu gênée) mais on ne veut pas vous déranger
Denis : mais si Alain propose c’est que ça ne le dérange pas
Moi : mais si ça vous embête je vous laisse en amoureux.
Denis : après ce qu’il vient de faire on peut bien accepter de boire un verre avec lui Delphine.
Delphine (légèrement boudeuse) ok si tu veux mon chéri. On y va
Moi : mais on a 5 minutes vous pouvez faire vos essais
Delphine : non de toute façon j’en ai tellement que ce ne serait pas raisonnable.
Et nous voilà parti pour un apéritif. L’ambiance est très bonne, nous parlons de tout comme si nous étions amis depuis de longue date. Nous buvons aussi quelques mojitos. Vers 20h
Delphine : Denis nous devons rentrer à l’hôtel pour que je me change avant le dîner
Moi : bien je vais vous laisser
Denis : (en rigolant) dit Delph. Si on demandait à Alain de nous accompagner, comme il connaît le restaurant il pourra peut-être nous avoir les cafés gratuits.
Delphine : comme tu veux mon chéri. Au fait il faut aller chercher mes chaussures dans la voiture qui est au parking.
Denis (avant que je n’ai pu parler) : ok je vais au parking et je vous retrouve toi et Alain à l’hôtel
Delphine : tu crois ?
Denis (en partant d’un pas décidé) : j’en ai pour 20 minutes, comme ça tu auras le temps de te préparer. Allé à tout de suite.
Moi : (face à Delphine muette) : bien, faisons comme il dit, il est loin votre hôtel
Tout en marchant elle me dit qu’elle a chaud qu’elle a trop bu, mais qu’elle a passé un très bon début de soirée
Moi : et j’espère pour vous que ce n’est pas fini.
Delphine : je pense que toi et Denis ne serez pas déçus.
Moi : (surpris) il n’ y a pas de raison, pourquoi ?
Arrivé à l’hôtel, je la suis, dans l’ascenseur, sans es retourner en me regardant dans la glace
Delphine : je vous plais ?
Moi : (surpris) oui beaucoup mais pourquoi cette question ?
Elle commence a descendre la fermeture éclair de sa robe. Je vois ses seins apparaître. Je suis bouche bé . L’ascenseur s’arrête, elle se retourne, me bouscule pour sortir , en me prenant par la main, elle m’entraîne, vers l’escalier intérieur. Une fois la porte refermée elle me plaque au mur.
Delphine : alors qu’avez-vous combiné toi et mon mari ?
Je la repousse délicatement, nous nous regardons droit dans les yeux. Je souris, elle sourit
Je me décide de tout lui raconter, toujours les yeux dans les yeux, je la prends par les épaules, la fait pivoter, Je passe une main sur ses seins, de l’autre j’ouvre la robe en baissant la glissière, elle s’appuie contre moi. Je passe une main, je lui caresse le ventre, remonte sur sa poitrine.
J’ai fini mon récit, ma main est passée sous la dentelle du soutien-gorge, et pince doucement le téton tout gonflé. Elle soupir et gémi doucement. Ma deuxième main quitte son bras et vient se placer sur son nombril. Je la serre contre moi, pour qu’elle sente ma virilité. Elle ‘s’appuie contre le mur et se cambre (nous serions nu, je pourrais la baiser). La main descend, passe sous l’élastique de la culotte, je touche sa fine toison. Je prends un temps d’arrêt. Elle respire fort, elle se frotte contre moi. Je reprends mon exploration, quand je touche son petit bouton, elle se raidit, puis de détend sous la caresse. Je descends le long de ses lèvres humides, la pénètre avec mon majeur, ma paume de main sur son pubis, mon doigt qui rentre et qui sort de son sexe, très rapidement elle prend son plaisir. Au moment de jouir, elle tourne la tête pour que nos lèvres se soudent. Après un baiser brûlant, elle se détache de moi, et sans rien dire part en direction de la chambre en se rajustant.
Dans la suite :
Delphine : merci pour ce moment de plaisir, j’espère que tu as aimé
Moi : oui beaucoup
Delphine : moi j’ai fait semblant, et je ne pense pas recommencer.
Moi : même pour faire plaisir à ton mari, qui ne veut que ton bonheur, et ton plaisir
Delphine : et le sien
Moi : comme tu veux, c’est toi qui décide, je te suivrai
Delphine : Denis vas arriver je vais sous la douche, nous verrons bien, en attendant on ne lui dit rient
Moi : OK
J’attends assis dans un fauteuil, Denis arrive, me fait un petit, geste de la main, je lui réponds avec un sourire. Nous n’échangeons aucune parole, il interpelle sa femme, qui lui répond qu’elle est presque prête. Par signe il me demande si ça va, je réponds de la même manière. Il a l’air satisfait. Moi je suis un peu inquiet pour la suite de la soirée.
Delphine sort de la salle d’eau, très légèrement maquillée, une robe noire longue, moulante, portefeuille, avec un décolleté mettant sa poitrine en valeur, soutenue un soutient gorge balconnet, simplement fermée, par une cordelette qui faisait le tour de sa taille fine.
Delphine (en tournant sur elle-même) je suis prête messieurs.
La soirée se passe à merveille, mon ami le restaurateur nous reçoit, comme de VIP, repas typique, boissons (alcoolisées typiques), après un dernier verre de digestif, nous quittons le bouchon vers 23h30. Il fait chaud, et nous sommes bien imbibés, surtout Delphine, qui marche au milieu de nous en nous tenant par le bras très serrés. Nous traversons un petit parc, Denis se sépare du groupe prétextant une envie pressante. En me disant c’est maintenant ou jamais, je me rapproche de Delphine, qui me regarde, je me penche :
Moi : j’ai envie de toi, tu m’as laissé sur ma faim tout à l’heure
Delphine : je sais, moi aussi
Moi : alors laisses toi faire, en plus ton mari est ok
Denis (revenant) : qu’est-ce que vous complotez tous les deux ?
Delphine : Alain me disait qu’il avait envie de me sauter
Denis : il a bon goût, et toi en as-tu envie ? C’est ça le principal, ton envie et ton plaisir
Delphine : tu ne serais pas jaloux de me voir faire l’amour avec un autre homme, de me voir me frotter nue contre lui. De voir ses mains partout sur mon corps, me voir écarter les cuisses.me voir le sucer, me laisser lécher et prendre mon plaisir. En pleurant elle se jette dans ses bras : je ne peux pas même pour toi je ne peux pas.
Denis (au bord des larmes) : ok ma chérie n’en parlons plus, je pensais te faire plaisir, mais en fait je ne pensais qu’à moi, mes fantasmes. Viens rentrons oublions tout ça.
Je ne bouge pas, je regarde.
Il la serre dans ses bras. Elle sanglote la tête posée sur son épaule. Ils s’écartent délicatement, il l’embrasse sur le front, les yeux, glisse sous l’oreille, dans le cou. Plein de petits baisers. Elle se cramponne à lui, respire fort. Bientôt leurs bouches se rejoignent, pour un baiser langoureux ou les langues et la salive se mélangent.
Delphine (presque inaudible) : j’ai envie de jouir
Denis : ma langue ou mes doigts
Delphine : tes doigts
Je suis toujours à 2 mètres, je ne bouge toujours pas, par contre je bande très fort.
Denis toujours sans brusquer les choses, commence à caresser le dos de sa femme, les reins, les fesses. Ils s’embrassent. Il tire sur la cordelette qui tient la robe fermée, écarte le tissu, qui s’ouvre sur le corps bronzé de Delphine. Il passe une main entre eux et lui caresse le clitoris par-dessus sa culotte. Elle s’accroche toujours à lui. Sous les doigts agiles elle gémit. Elle se tourne légèrement, pour lui permettre de passer 2 doigts sous la fine dentelle et la pénétrer. Il me regarde, et m’interroge d’un signe de tête. Sans parler je lui fais comprendre mon état. De sa main libre il me demande d’avancer vers eux, et de sortir mon sexe.
Delphine les yeux fermés jouit doucement, il l’a tourne un peu plus dans ma direction, elle se laisse faire. Elle s’appuie contre lui, les jambes légèrement écartées. Elle se malaxe les seins, elle se lèche les lèvres, elle tient la main de Denis qui s’active dans son sexe, elle jouit en gémissant.
Elle ne m’a pas vu, je la touche presque, le sexe dans la main tendu vers son ventre. Elle a les yeux fermés, se mord les lèvres. Elle s’appuie de plus ne plus contre son mari, le bassin en avant les cuisses ouvertes. En me faisant signe de la tête, il écarte la culotte et ouvre le sexe mouillé. Je suis à quelques centimètres, je plie légèrement les genoux pour me placer juste en dessous, du bout des doigts de la main gauche, je maintiens la culotte ouverte. Denis la tient serrée dans ses bras, et lui fait des bisous dans le cou. Elle a toujours les yeux fermés, elle savoure sa jouissance. Je suis à l’entrée de son vagin, elle ouvre les yeux, au moment où mon gland bute sur son pubis avant de glisser dans son ventre chaud et humide. Nos regards se croisent, je lui prends les hanches, Denis, le maintien serré contre lui
Denis (lui murmurant dans l’oreille) : laisses toi faire mon amour, je sais que tu en a envie, tu en as besoin.
Elle semble pétrifiée, elle ne bouge pas. Je commence à la limer doucement. Elle ferme les yeux, elle pleure en silence.
Delphine : non, ne fait pas ça, je ne veux pas, Denis arrête le, S’il te plait, arrête
Denis a passé ses mains sous le soutient gorge, et lui masse les seins.
On entend le clapotis de son sexe trempé, labourer par ma bite. Je vais de plus en plus vite, tout à coup je glisse et sort de la chatte, c’est Delphine qui replace mon sexe, et d’un coup de reins s’empale dessus avec un soupir de bien-être.
Delphine (haletante) : va plus vite défonce moi, fais-moi du bien
Denis : vas-y ma chérie prend ton plaisir, vas-y Alain défonce là profond,
Delphine (au bord de l’orgasme) ouiiiiiiiiiiiii prends moi fort foooooorrtt
En sueur, le souffle court, les ongles plantés dans ses hanches, je suis au bord de l’explosion. Je vais de plus ne plus vite, a chaque coup de reins je sens mes couilles lui taper entre les cuisses. J’entends son râle grimper dans les aigus, elle va jouir. Dans un mouvement brusque elle se détache de son mari, pour m’agripper par le cou et s’empaler sur mon sexe, au moment où j’éjacule au plus profond de son intimité. Elle met sa tête dans mon épaule pour étouffer ses cris de plaisir, je sans ses cuisses me serrer les hanches. Nous restons quelques secondes sans bouger, je suis toujours en elle. Je sens sa mouille, et mon sperme qui coulent le long de ma tige. Elle relève la tête, me regarde, pose un baiser sur mes lèvres. Je la pose à terre, en la soutenant. Elle cherche son mari, qui nous regarde avec un grand sourire.
Denis : tu es superbe ma chérie, as-tu aimé ?
Delphine (l’air boudeur): je ne voulais pas faire ça, vous m’avez eu en traître tous les 2
Denis : et tu regrettes ?
Delphine (hésitante) oui car je ne voulais pas te tromper, je t’aime tellement. Et non car j’ai adoré sentir ton sexe (elle me regarde) dans mon ventre. Te sentir gicler en moi.
A ce moment-là elle passe sa main sous sa robe, se met deux doigts dans le vagin, puis les porte à sa bouche en fermant les yeux. Elle nettoie avec sa langue son index et son majeur enduit de nos sécrétions. Elle recommence son manège, et elle nous fait goûter ses doigts.
Delphine : (en souriant) si nous retournions à l’hôtel, ça me coule le long des jambes.
Nous nous réajustons et bras dessus, bras dessous nous rentrons à l’hôtel, sans parler. Dans le hall, toujours sans parler, elle nous entraîne vers les ascenseurs. Durant l’attente :
Denis : j’ai encore un fantasme, j’aimerais Alain, que tu embrasses et caresses Delphine durant la montée
Delphine : et si je ne veux pas
Denis : eh bien tu ne te laisses pas faire
Je ne dis rien, la porte s’ouvre, nous montons dans la cabine, toute en glaces. Delphine me tourne le dos en se regardant. Même si nous allons au 12 eme il n’y a pas de temps à perdre.
Denis regarde avec un léger sourire. Je m’approche, lui pose les mains sur les fesses. Elle se retourne.
Delphine : mais monsieur que faites-vous ?
Moi : j’ai envie de vous embrasser
Et sans lui laisser le temps de réagir, je la colle contre la paroi, lui bloquant les bras dans le dos, et je l’embrasse à pleine bouche. Elle se débat un peu, mais je ne lâche pas prise. Ma main libre passe sous la jupe qui s’ouvre, et va directement, entre ses cuisses, écarte sa culotte, et deux doigts la pénètre. Nous sommes presque arrivés. Je sens qu’elle se détend, sa langue vient à la rencontre de la mienne. Je libère ses bras, qu’elle enroule autour de mon cou. Mes doigts vont et viennent dans son sexe tout chaud et visqueux. L’ascenseur s’arrête.
Denis : c’est fini, vous avez été super.
Delphine (me retenant : non pas déjà, n’enlève pas tes doigts.
Denis : aller aller on sort
A contre cœur nous nous séparons. A peine dans la pièce, Delphine se précipite sous la douche.
Moi : alors Denis tu as aimé ? tu ne regrettes pas ?
Denis : oh oui c’était trop bien, mais ce n’est pas fini, tu vas rester encore un peu avec nous.
Moi : si tout le monde est ok, je reste
Elle sort de la salle de bain, juste enroulée dans une serviette qui la couvre des épaules, au raz des fesses. Elle s’allonge sur le lit.
Delphine : Alain vas prendre une douche. Je veux bien que tu restes. Mais tu devras assurer
moi : je te le prouve tout de suite après ma douche.
Denis : (me tendant un comprimé) tu devrais, ça. C’est juste un petit remontant, qui va te permettre de retrouver tes 20 ans.
Devant leurs sourires je m’exécutais et j’avalais la pilule, et m’engouffrais dans la salle de bain.
En sortant, j’ai une vision de rêve. Denis est allongé sur le lit, et Delphine et à genoux à côté de lui, ils s’embrassent, mais sa croupe est relevée, bien ronde est offerte. Instantanément je bande. Ils ne font pas attention à moi. Je m’approche, caresse délicatement les deux globes. Je vois entre ses cuisses, légèrement ouverte, les doigts de Denis qui lui frotte la chatte. Je vois son cul bouger comme un poisson qui frétille. Pour moi c’est une invitation, je lui prends la taille, présente mon sexe tendu et d’un violent coup de rein je la pénètre au plus profond de son ventre. Sous la poussée, et la surprise, elle sursaute, relève la tête, et se cambre, me permettant de m’enfoncer encore plus.
A chaque coup de reins elle sursaute et gémi. Elle présent ses seins à Denis qui les mordille et le tète comme un nouveau-né. Très vite elle jouit
Delphine : ouiiiiiiiiiiiiii, vas y défonce moi, ouii lime moi fort fort fort et elle tombe sur Denis dans un dernier soupir
Nous sommes en sueur, je n’ai pas jouit, je suis au bord de l’explosion, et je ne veux pas éjaculer dans le vide. Lestement je m’incruste entre eux et a genoux présente mon sexe à hauteur de leurs visages.
A ma grande surprise c’est Denis qui me gobe te reçoit mon sperme dans la gorge. Je sens sa langue s’enrouler autour de mon gland. Le lécher, le nettoyer. Le tout sous le regard amusé de Delphine.
Une foi fini, je me mets à plats ventre, et nos bouches se réunissent pour un baiser ou Denis nous fait savourer ma semence.
Nous nous caressons encore quelques minutes avant de sombrer enlacés dans un sommeil réparateur.
Je me réveille, la chambre est dans la pénombre, Denis dort sur le dos. Delphine est à moitié sur lui, offrant à mon regard son dos et son magnifique fessier.
Je me lève, je vais dans la salle de bain. Je ‘m’installe sous la douche, bien chaude. Je sursaute, je sens deux mains, qui passent sur mon ventre pour venir caresser ma verge, puis deux seins qui se collent à mon dos, une bouche qui me fait des bisous. DELPHINE ! Instantanément je bande.je la laisse me branler quelques instants. Je me retourne, la prend dans mes bras. Delphine : merci pour la soirée, j’ai beaucoup aimé et Denis aussi Moi : de rien, mais le plaisir à surtout été pour moi Les mains appuyées contre le mur je savoure
Elle prend du savon et me masse partout.
Je ne la sens plus, je me retourne, elle se savonne à son tour.
Moi (prenant le savon) laisse-moi faire. Et mes mains commencent à parcourir son corps. Elle prend la même position que moi, les mains ua mur, comme pour une fouille policière. Le cou, les épaules, le dos. Je me rapproche, pour pouvoir lui caresser les seins, mon sexe tendu, lui frotte le haut de la raie. Elle soupir. Je me serre un peu plus, mes mains attaquent le ventre, puis lentement le clitoris.
Une main passe derrière et caresse les fesses. S’insinue entre les deux globes, s’arrête sur la rosette. La main de devant, descend le long du sexe, et 2 doigts pénètrent son vagin. Elle se cambre légèrement. Je prends ce mouvement pour une invitation, et mon doigt toujours posé sur son petit trou s’enfonce sans effort dans son intimité anale.
Delphine (sursautant) : ah non pas ça
Mais au lieu de me retirer je mets un deuxième doigt
Delphine (essayant de s’échapper, se collant contre le mur) non arrête, je n’aime pas. Je ne l’ai jamais fait arrête
Moi : tu dis ça mais je sens à ta voix que tu en meurs d’envie
Et mes doigts commencent à coulisser lentement dans l’étroit conduit. Elle ne dit plus rien, ne bouge plus. Après quelques instants elle se recule légèrement, appuie sa tête sur un bras posé contre la faïence, écarte légèrement les jambes et soupir sous les caresses qu’elle se procure avec sa main libre.
N’y tenant plus, je retire mes doigts, me positionne derrière elle la bite pointée, lui prend la taille à deux mains, et avant qu’elle n’ait pu réagir, je la scotomise d’un coup sec
Delphine (collée contre le mur) salaud je ne veux pas lâche moi
Elle se débat mais je la tiens fermement planté dans son cul
Moi (la bouche vers son oreille) calme toi, tu vas adorer détends toi laisses toi faire
Et je l’embrasse dans le cou sous l’oreille. Je prends sa main pour la reposer sur son intimité. Je lui fais tourner la tête pour que nos bouches se rencontrent. Elle garde la sienne fermée. Elle boude. Je repose mes mains sur ses hanches et lentement je la lime. Je sors presque entièrement pour replonger au plus profond
Moi, : tu es bonne, très serrée j’adore
Delphine : salaud fini vite que je puisse me laver
Moi : ok mais continue de te caresser
Delphine : non
Moi : comme tu voudras
Et sans retenue je la besogne de plus en plus fort, peu après je vois sa main se diriger vers son sexe, puis sa respiration devient plus rapide, elle s’offre plus, j’ai gagné elle aime se faire enculer
Moi : tu aimes ça ma cochonne
Delphine ;(entre 2 gémissent) ne parles pas continue de me limer
Je la tiens fermement, je suis hypnotisé par le mouvement de ses fesses sous les coups de reins. On entend le claquement de mes cuisses tapant ses fesses. Je vais et viens dans son cul, bien ouvert maintenant.
Moi (au bord de l’explosion) dis-moi que tu aimes, que ça te fait du bien dis le salope
Delphine oui oui j’adore me faire limer le cul (criant) ça te va tu es content ouiiiiiiiiiiiiiii vas-y fort fort
Moi : je savais que tu aimais la bite ma cochonne
Delphine : oui j’aime sentir tes couilles taper entre mes cuisses, vas y fort plus fort
Moi : dis-moi ce que tu veux dis moi ce que tu ressens
Delphine : je vais jouir j’ai deux doigts dans la chatte, et ta grosse queue dans le cul, j’aime me sentir prise comme une pute c’est trop bon ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii encore encore défonce moi fort fort
Te nous jouissons tous les 2 ensembles dans des râles rauques. Après quelques instants, nous nous séparons, elle se retourne. Nous nous regardons et nous sous embrassons tendrement.
Nous nous lavons et retournons dans la chambre ou :
Denis : vous en faites du bruit
Delphine : il m’a sodomisé mais tu sais je ne voulais pas
Denis : mais vu les cris de plaisir que tu poussais il n’a pas dû trop te forcer, pour que tu ouvres ton cul
Et nous éclatons de rire tous les 3
Denis : ok, pas facile à dire. Voilà j’ai eu, comme on dit une longue maladie au niveau des testicules, et maintenant j’ai beaucoup de mal à satisfaire Delphine, au lit. Sauf avec ma bouche et mes doigts. Mais je sens bien qu’elle commence à être frustrée et je pense qu’un bon coût lui ferait du bien. Je lui en ai déjà parlé, au début elle était réticente, mais je trouve que l’idée fait son chemin. L’autre jour, pendant que je la doigtais, je lui disais, qu’il y avait un beau jeune homme, à côté de moi, prêt à lui faire l’amour. Elle avait les yeux fermés et cette évocation, j’ai bien senti qu’elle s’est mise à mouiller beaucoup. (Petit silence) voilà tu sais tout.
Moi : ok et tu cherches quel type d’homme. Denis : je l’a connais, elle préfère un homme plus âgé, pas très grand, pas gros, mais pas maigre, pas chauve, peu poilu, voir imberbe. Moi (en rigolant) mais tu parles de moi Denis : pourquoi tu dis ça ?
Moi : 170, 72 kg, poivre et sel, peu poilu (je n’aime pas les poils)
Moi : 55 ans, marié, à la recherche de nouveautés, de douceur, de câlin, j’aime masser, caresser embrasser les corps de femmes.
Denis : tu pourrais correspondre, Delphine aime bien les hommes plus âgés. Moi j’ai 51 ans, elle 38 ans. Tu aurais une ou 2 photos ?
Moi : habillé ou nu ou intermédiaire ?
Denis : les 2 et surtout le visage
Moi : et ta femme elle est comment ?
Denis : 158, 60kg, bien proportionnée, de jolies jambes, fines et galbées, blonde, au carré, de grands yeux noirs, un petit nez, et des lèvres bien dessinées, qui donnent envie de l’embrasser. Ses seins 85B, fesses fermes et légèrement rebondies. Sexe étroit avec une toison entretenue. Mais comme elle est blonde on pourrait penser qu’elle est épilée. Elle est coquette, elle peut s’habiller classique ou sport, avec des jupes ou robes courtent voir très courtent ou logues. Des jeans moulants elle aime aussi beaucoup les sous-vêtements de marque ou pas.
Moi : tu aurais photos ? STP
Après échange de photos et encore plusieurs conversations en soirée sur internet, un soir de fin mars :
Denis : Alain, ça fait maintenant 1 bon mois que nous discutons, je pense que tu es la personne qu’il nous faut à moi et surtout à Delphine. Le problème, comment faire pour nous rencontrer ? toi à Lyon et nous à Lille. Moi : venez à Lyon. Tu m’as dit que tu voulais faire ça loin de chez vous, pour limiter les possibilités de rencontre avec l’homme choisit.
Denis : oui tu as raison c’est une bonne idée, je pourrais lui faire la surprise, de l’emmener visiter Lyon pour un long we du mois de mai. Nous n’avons jamais pris le temps de nous arrêter quand nous descendons sur la côte. Moi : excellente idée, et je te propose le 8 mai, je serai seul, ma femme va chez sa sœur et mes fils ne rentrent pas.
Denis : mais on ne vient pas chez toi, nous allons à l’hôtel
Moi : évidement, mais moi je serai plus libre au niveau horaire
Denis : ok
Moi : maintenant comment organisons-nous la rencontre ?
Denis : je ne sais pas il faut que ça ait l’air naturel, pas un coup monté.
Moi : deux copains d’armée qui se retrouvent par hasard.
Denis : je n’ai pas fait mon service militaire
Moi : ok on réfléchit, et on en reparle.
Quelques jours plus tard
Moi : salut ça va, vous venez toujours en mai, j’ai pensé tu n’es pas collectionneur de quelque chose. Moi : quand j’étais jeune je collectionnais les cartes postales de Marilyn Monroe et Raquel Welche. Denis : hélas non, mais j’ai pensé à un scénario. En plus c’est une situation que nous avons déjà vécu avec Delphine. Elle c’était faite draguer par un jeune (maxi 25 ans) au rayon lingerie d’un grand magasin. Il n’a pas insisté quand il a vu qu’elle était accompagné.
Moi : ok tu me donnes une idée.
Jusqu’au mois de mai, nous sommes restés en contact. A continuer de faire connaissance. La veille de leur départ (Denis avait tout très bien organisé) Delphine ne savait pas où elle allait. Et la seule chose que j’avais demandé à Denis, c’était d’aller dans mon sens, au moment de la rencontre. Nous avions convenu du jour, le samedi. L’heure environ 18h, au rayon lingerie d’un grand magasin, (le printemps de Lyon).
Le jour J, vers 17h45, je suis dans le magasin, le regard sur l’entrée. Heureusement il n’y a pas grand monde Je n’attends pas longtemps, Denis rentre le premier, m’aperçois, me fait un clin d’œil. Juste derrière, je découvre Delphine. Très jolie dans une robe en jean, moulante et courte, s’ouvrant sur le devant avec une fermeture éclair. Je les laisse faire un tour, j’attends qu’ils montent à l’étage pour les dames. Je ne me presse pas. Denis m’a prévenu, que je n’avais pas besoin de me presser, car dans ce genre de rayon elle prenait tout son temps. Je tourne, j’observe, Denis la suit la conseille, me jette des coups d’œil discrets. Elle se dirige vers les cabines d’essayages, les mains pleines de parures. J’ai à la main une petite nuisette noire en dentelle. Volontairement (mais sans que ça paraître), je la bouscule. Je laisse échapper la nuisette, elle laisse tomber une partie de cintres qu’elle tenait à la main. Moi : (me baissant pour ramasser) Oh je suis désolé mademoiselle, veuillez m’excuser, je suis navré,
Delphine : (un peu amusée par ma mal adresse) ce n’est rien, il n’y a rien de cassé
Moi : (l’aidant à se relever en lui tenant le coude) vous êtes sûre, je ne vous ai pas fait mal.
Et j’en profite pour lui caresser le bras, je la sens frissonner. Je lui tends les 2 soutient gorge que je venais de ramasser.
Delphine (prenant ses affaires et me rendant les miennes avec un sourire), merci, tenez votre nuisette. Si c’est pour vous je pense qu’elle vous est trop petite.
Moi (rigolant en mettant le cintre devant moi) vous trouvez ? Ce n’est pas ma taille ? Dommage, je voulais faire une surprise à mon amie
Denis i(intervenant) : bonjour, tu as un problème Delphine ?
Delphine : non non, mais ce monsieur, ma percuté, sans mal, m’a aidé à tout ramasser, et maintenant, je me moque de lui avec sa nuisette.
Moi (tendant la main aux 2) bonjour monsieur, Alain, je suis désolé d’être rentré dans votre femme. Bien qu’elle soit charmante
Denis : le principal c’est qu’il n’y ait pas plus de mal que ça. Je me présente Denis et la jolie dame que vous avez bousculée, c’est Delphine.
Moi : enchanté, Alain. D’où vient votre petit accent
Denis : nous sommes en we sur Lyon nous venons de Lille
Moi : vous êtes venus, pour la ville, la gastronomie ?
Denis : pour les deux, à ce propos vous ne connaîtriez pas un bon bouchon sympa et typique, ou nous pourrions aller ce soir ? on nous avait indiquer ‘le Bellecour’ (invention) mais il est complet pour tout le we. Moi : (avec un grand sourire), pour me faire pardonner, je peux vous arranger ça
Denis : et comment ? Vous nous invitez chez vous ? (Rentrant dans notre jeu) y aura-t-il une contrepartie ?
Moi : je ne sais pas c’est vous qui jugerez
Sous le regard amusé de mes 2 nouveaux amis, je prends mon téléphone, et j’app elle. Quelques instants plus tard
Moi (en raccrochant) : c’est bon vous avez une table pour 21h de réservée dans votre restaurant préféré, je n’ai pas pu faire mieux.
Delphine (avec un large sourire) : pas possible, mais comment avez-vous fait ?
Moi : c’est mon secret
Denis : comment faire pour vous remercier
Moi : il est 19h pour patienter jusqu’à l’heure du dîner, je vous propose un verre en terrasse
Delphine : (un peu gênée) mais on ne veut pas vous déranger
Denis : mais si Alain propose c’est que ça ne le dérange pas
Moi : mais si ça vous embête je vous laisse en amoureux.
Denis : après ce qu’il vient de faire on peut bien accepter de boire un verre avec lui Delphine.
Delphine (légèrement boudeuse) ok si tu veux mon chéri. On y va
Moi : mais on a 5 minutes vous pouvez faire vos essais
Delphine : non de toute façon j’en ai tellement que ce ne serait pas raisonnable.
Et nous voilà parti pour un apéritif. L’ambiance est très bonne, nous parlons de tout comme si nous étions amis depuis de longue date. Nous buvons aussi quelques mojitos. Vers 20h
Delphine : Denis nous devons rentrer à l’hôtel pour que je me change avant le dîner
Moi : bien je vais vous laisser
Denis : (en rigolant) dit Delph. Si on demandait à Alain de nous accompagner, comme il connaît le restaurant il pourra peut-être nous avoir les cafés gratuits.
Delphine : comme tu veux mon chéri. Au fait il faut aller chercher mes chaussures dans la voiture qui est au parking.
Denis (avant que je n’ai pu parler) : ok je vais au parking et je vous retrouve toi et Alain à l’hôtel
Delphine : tu crois ?
Denis (en partant d’un pas décidé) : j’en ai pour 20 minutes, comme ça tu auras le temps de te préparer. Allé à tout de suite.
Moi : (face à Delphine muette) : bien, faisons comme il dit, il est loin votre hôtel
Tout en marchant elle me dit qu’elle a chaud qu’elle a trop bu, mais qu’elle a passé un très bon début de soirée
Moi : et j’espère pour vous que ce n’est pas fini.
Delphine : je pense que toi et Denis ne serez pas déçus.
Moi : (surpris) il n’ y a pas de raison, pourquoi ?
Arrivé à l’hôtel, je la suis, dans l’ascenseur, sans es retourner en me regardant dans la glace
Delphine : je vous plais ?
Moi : (surpris) oui beaucoup mais pourquoi cette question ?
Elle commence a descendre la fermeture éclair de sa robe. Je vois ses seins apparaître. Je suis bouche bé . L’ascenseur s’arrête, elle se retourne, me bouscule pour sortir , en me prenant par la main, elle m’entraîne, vers l’escalier intérieur. Une fois la porte refermée elle me plaque au mur.
Delphine : alors qu’avez-vous combiné toi et mon mari ?
Je la repousse délicatement, nous nous regardons droit dans les yeux. Je souris, elle sourit
Je me décide de tout lui raconter, toujours les yeux dans les yeux, je la prends par les épaules, la fait pivoter, Je passe une main sur ses seins, de l’autre j’ouvre la robe en baissant la glissière, elle s’appuie contre moi. Je passe une main, je lui caresse le ventre, remonte sur sa poitrine.
J’ai fini mon récit, ma main est passée sous la dentelle du soutien-gorge, et pince doucement le téton tout gonflé. Elle soupir et gémi doucement. Ma deuxième main quitte son bras et vient se placer sur son nombril. Je la serre contre moi, pour qu’elle sente ma virilité. Elle ‘s’appuie contre le mur et se cambre (nous serions nu, je pourrais la baiser). La main descend, passe sous l’élastique de la culotte, je touche sa fine toison. Je prends un temps d’arrêt. Elle respire fort, elle se frotte contre moi. Je reprends mon exploration, quand je touche son petit bouton, elle se raidit, puis de détend sous la caresse. Je descends le long de ses lèvres humides, la pénètre avec mon majeur, ma paume de main sur son pubis, mon doigt qui rentre et qui sort de son sexe, très rapidement elle prend son plaisir. Au moment de jouir, elle tourne la tête pour que nos lèvres se soudent. Après un baiser brûlant, elle se détache de moi, et sans rien dire part en direction de la chambre en se rajustant.
Dans la suite :
Delphine : merci pour ce moment de plaisir, j’espère que tu as aimé
Moi : oui beaucoup
Delphine : moi j’ai fait semblant, et je ne pense pas recommencer.
Moi : même pour faire plaisir à ton mari, qui ne veut que ton bonheur, et ton plaisir
Delphine : et le sien
Moi : comme tu veux, c’est toi qui décide, je te suivrai
Delphine : Denis vas arriver je vais sous la douche, nous verrons bien, en attendant on ne lui dit rient
Moi : OK
J’attends assis dans un fauteuil, Denis arrive, me fait un petit, geste de la main, je lui réponds avec un sourire. Nous n’échangeons aucune parole, il interpelle sa femme, qui lui répond qu’elle est presque prête. Par signe il me demande si ça va, je réponds de la même manière. Il a l’air satisfait. Moi je suis un peu inquiet pour la suite de la soirée.
Delphine sort de la salle d’eau, très légèrement maquillée, une robe noire longue, moulante, portefeuille, avec un décolleté mettant sa poitrine en valeur, soutenue un soutient gorge balconnet, simplement fermée, par une cordelette qui faisait le tour de sa taille fine.
Delphine (en tournant sur elle-même) je suis prête messieurs.
La soirée se passe à merveille, mon ami le restaurateur nous reçoit, comme de VIP, repas typique, boissons (alcoolisées typiques), après un dernier verre de digestif, nous quittons le bouchon vers 23h30. Il fait chaud, et nous sommes bien imbibés, surtout Delphine, qui marche au milieu de nous en nous tenant par le bras très serrés. Nous traversons un petit parc, Denis se sépare du groupe prétextant une envie pressante. En me disant c’est maintenant ou jamais, je me rapproche de Delphine, qui me regarde, je me penche :
Moi : j’ai envie de toi, tu m’as laissé sur ma faim tout à l’heure
Delphine : je sais, moi aussi
Moi : alors laisses toi faire, en plus ton mari est ok
Denis (revenant) : qu’est-ce que vous complotez tous les deux ?
Delphine : Alain me disait qu’il avait envie de me sauter
Denis : il a bon goût, et toi en as-tu envie ? C’est ça le principal, ton envie et ton plaisir
Delphine : tu ne serais pas jaloux de me voir faire l’amour avec un autre homme, de me voir me frotter nue contre lui. De voir ses mains partout sur mon corps, me voir écarter les cuisses.me voir le sucer, me laisser lécher et prendre mon plaisir. En pleurant elle se jette dans ses bras : je ne peux pas même pour toi je ne peux pas.
Denis (au bord des larmes) : ok ma chérie n’en parlons plus, je pensais te faire plaisir, mais en fait je ne pensais qu’à moi, mes fantasmes. Viens rentrons oublions tout ça.
Je ne bouge pas, je regarde.
Il la serre dans ses bras. Elle sanglote la tête posée sur son épaule. Ils s’écartent délicatement, il l’embrasse sur le front, les yeux, glisse sous l’oreille, dans le cou. Plein de petits baisers. Elle se cramponne à lui, respire fort. Bientôt leurs bouches se rejoignent, pour un baiser langoureux ou les langues et la salive se mélangent.
Delphine (presque inaudible) : j’ai envie de jouir
Denis : ma langue ou mes doigts
Delphine : tes doigts
Je suis toujours à 2 mètres, je ne bouge toujours pas, par contre je bande très fort.
Denis toujours sans brusquer les choses, commence à caresser le dos de sa femme, les reins, les fesses. Ils s’embrassent. Il tire sur la cordelette qui tient la robe fermée, écarte le tissu, qui s’ouvre sur le corps bronzé de Delphine. Il passe une main entre eux et lui caresse le clitoris par-dessus sa culotte. Elle s’accroche toujours à lui. Sous les doigts agiles elle gémit. Elle se tourne légèrement, pour lui permettre de passer 2 doigts sous la fine dentelle et la pénétrer. Il me regarde, et m’interroge d’un signe de tête. Sans parler je lui fais comprendre mon état. De sa main libre il me demande d’avancer vers eux, et de sortir mon sexe.
Delphine les yeux fermés jouit doucement, il l’a tourne un peu plus dans ma direction, elle se laisse faire. Elle s’appuie contre lui, les jambes légèrement écartées. Elle se malaxe les seins, elle se lèche les lèvres, elle tient la main de Denis qui s’active dans son sexe, elle jouit en gémissant.
Elle ne m’a pas vu, je la touche presque, le sexe dans la main tendu vers son ventre. Elle a les yeux fermés, se mord les lèvres. Elle s’appuie de plus ne plus contre son mari, le bassin en avant les cuisses ouvertes. En me faisant signe de la tête, il écarte la culotte et ouvre le sexe mouillé. Je suis à quelques centimètres, je plie légèrement les genoux pour me placer juste en dessous, du bout des doigts de la main gauche, je maintiens la culotte ouverte. Denis la tient serrée dans ses bras, et lui fait des bisous dans le cou. Elle a toujours les yeux fermés, elle savoure sa jouissance. Je suis à l’entrée de son vagin, elle ouvre les yeux, au moment où mon gland bute sur son pubis avant de glisser dans son ventre chaud et humide. Nos regards se croisent, je lui prends les hanches, Denis, le maintien serré contre lui
Denis (lui murmurant dans l’oreille) : laisses toi faire mon amour, je sais que tu en a envie, tu en as besoin.
Elle semble pétrifiée, elle ne bouge pas. Je commence à la limer doucement. Elle ferme les yeux, elle pleure en silence.
Delphine : non, ne fait pas ça, je ne veux pas, Denis arrête le, S’il te plait, arrête
Denis a passé ses mains sous le soutient gorge, et lui masse les seins.
On entend le clapotis de son sexe trempé, labourer par ma bite. Je vais de plus en plus vite, tout à coup je glisse et sort de la chatte, c’est Delphine qui replace mon sexe, et d’un coup de reins s’empale dessus avec un soupir de bien-être.
Delphine (haletante) : va plus vite défonce moi, fais-moi du bien
Denis : vas-y ma chérie prend ton plaisir, vas-y Alain défonce là profond,
Delphine (au bord de l’orgasme) ouiiiiiiiiiiiii prends moi fort foooooorrtt
En sueur, le souffle court, les ongles plantés dans ses hanches, je suis au bord de l’explosion. Je vais de plus ne plus vite, a chaque coup de reins je sens mes couilles lui taper entre les cuisses. J’entends son râle grimper dans les aigus, elle va jouir. Dans un mouvement brusque elle se détache de son mari, pour m’agripper par le cou et s’empaler sur mon sexe, au moment où j’éjacule au plus profond de son intimité. Elle met sa tête dans mon épaule pour étouffer ses cris de plaisir, je sans ses cuisses me serrer les hanches. Nous restons quelques secondes sans bouger, je suis toujours en elle. Je sens sa mouille, et mon sperme qui coulent le long de ma tige. Elle relève la tête, me regarde, pose un baiser sur mes lèvres. Je la pose à terre, en la soutenant. Elle cherche son mari, qui nous regarde avec un grand sourire.
Denis : tu es superbe ma chérie, as-tu aimé ?
Delphine (l’air boudeur): je ne voulais pas faire ça, vous m’avez eu en traître tous les 2
Denis : et tu regrettes ?
Delphine (hésitante) oui car je ne voulais pas te tromper, je t’aime tellement. Et non car j’ai adoré sentir ton sexe (elle me regarde) dans mon ventre. Te sentir gicler en moi.
A ce moment-là elle passe sa main sous sa robe, se met deux doigts dans le vagin, puis les porte à sa bouche en fermant les yeux. Elle nettoie avec sa langue son index et son majeur enduit de nos sécrétions. Elle recommence son manège, et elle nous fait goûter ses doigts.
Delphine : (en souriant) si nous retournions à l’hôtel, ça me coule le long des jambes.
Nous nous réajustons et bras dessus, bras dessous nous rentrons à l’hôtel, sans parler. Dans le hall, toujours sans parler, elle nous entraîne vers les ascenseurs. Durant l’attente :
Denis : j’ai encore un fantasme, j’aimerais Alain, que tu embrasses et caresses Delphine durant la montée
Delphine : et si je ne veux pas
Denis : eh bien tu ne te laisses pas faire
Je ne dis rien, la porte s’ouvre, nous montons dans la cabine, toute en glaces. Delphine me tourne le dos en se regardant. Même si nous allons au 12 eme il n’y a pas de temps à perdre.
Denis regarde avec un léger sourire. Je m’approche, lui pose les mains sur les fesses. Elle se retourne.
Delphine : mais monsieur que faites-vous ?
Moi : j’ai envie de vous embrasser
Et sans lui laisser le temps de réagir, je la colle contre la paroi, lui bloquant les bras dans le dos, et je l’embrasse à pleine bouche. Elle se débat un peu, mais je ne lâche pas prise. Ma main libre passe sous la jupe qui s’ouvre, et va directement, entre ses cuisses, écarte sa culotte, et deux doigts la pénètre. Nous sommes presque arrivés. Je sens qu’elle se détend, sa langue vient à la rencontre de la mienne. Je libère ses bras, qu’elle enroule autour de mon cou. Mes doigts vont et viennent dans son sexe tout chaud et visqueux. L’ascenseur s’arrête.
Denis : c’est fini, vous avez été super.
Delphine (me retenant : non pas déjà, n’enlève pas tes doigts.
Denis : aller aller on sort
A contre cœur nous nous séparons. A peine dans la pièce, Delphine se précipite sous la douche.
Moi : alors Denis tu as aimé ? tu ne regrettes pas ?
Denis : oh oui c’était trop bien, mais ce n’est pas fini, tu vas rester encore un peu avec nous.
Moi : si tout le monde est ok, je reste
Elle sort de la salle de bain, juste enroulée dans une serviette qui la couvre des épaules, au raz des fesses. Elle s’allonge sur le lit.
Delphine : Alain vas prendre une douche. Je veux bien que tu restes. Mais tu devras assurer
moi : je te le prouve tout de suite après ma douche.
Denis : (me tendant un comprimé) tu devrais, ça. C’est juste un petit remontant, qui va te permettre de retrouver tes 20 ans.
Devant leurs sourires je m’exécutais et j’avalais la pilule, et m’engouffrais dans la salle de bain.
En sortant, j’ai une vision de rêve. Denis est allongé sur le lit, et Delphine et à genoux à côté de lui, ils s’embrassent, mais sa croupe est relevée, bien ronde est offerte. Instantanément je bande. Ils ne font pas attention à moi. Je m’approche, caresse délicatement les deux globes. Je vois entre ses cuisses, légèrement ouverte, les doigts de Denis qui lui frotte la chatte. Je vois son cul bouger comme un poisson qui frétille. Pour moi c’est une invitation, je lui prends la taille, présente mon sexe tendu et d’un violent coup de rein je la pénètre au plus profond de son ventre. Sous la poussée, et la surprise, elle sursaute, relève la tête, et se cambre, me permettant de m’enfoncer encore plus.
A chaque coup de reins elle sursaute et gémi. Elle présent ses seins à Denis qui les mordille et le tète comme un nouveau-né. Très vite elle jouit
Delphine : ouiiiiiiiiiiiiii, vas y défonce moi, ouii lime moi fort fort fort et elle tombe sur Denis dans un dernier soupir
Nous sommes en sueur, je n’ai pas jouit, je suis au bord de l’explosion, et je ne veux pas éjaculer dans le vide. Lestement je m’incruste entre eux et a genoux présente mon sexe à hauteur de leurs visages.
A ma grande surprise c’est Denis qui me gobe te reçoit mon sperme dans la gorge. Je sens sa langue s’enrouler autour de mon gland. Le lécher, le nettoyer. Le tout sous le regard amusé de Delphine.
Une foi fini, je me mets à plats ventre, et nos bouches se réunissent pour un baiser ou Denis nous fait savourer ma semence.
Nous nous caressons encore quelques minutes avant de sombrer enlacés dans un sommeil réparateur.
Je me réveille, la chambre est dans la pénombre, Denis dort sur le dos. Delphine est à moitié sur lui, offrant à mon regard son dos et son magnifique fessier.
Je me lève, je vais dans la salle de bain. Je ‘m’installe sous la douche, bien chaude. Je sursaute, je sens deux mains, qui passent sur mon ventre pour venir caresser ma verge, puis deux seins qui se collent à mon dos, une bouche qui me fait des bisous. DELPHINE ! Instantanément je bande.je la laisse me branler quelques instants. Je me retourne, la prend dans mes bras. Delphine : merci pour la soirée, j’ai beaucoup aimé et Denis aussi Moi : de rien, mais le plaisir à surtout été pour moi Les mains appuyées contre le mur je savoure
Elle prend du savon et me masse partout.
Je ne la sens plus, je me retourne, elle se savonne à son tour.
Moi (prenant le savon) laisse-moi faire. Et mes mains commencent à parcourir son corps. Elle prend la même position que moi, les mains ua mur, comme pour une fouille policière. Le cou, les épaules, le dos. Je me rapproche, pour pouvoir lui caresser les seins, mon sexe tendu, lui frotte le haut de la raie. Elle soupir. Je me serre un peu plus, mes mains attaquent le ventre, puis lentement le clitoris.
Une main passe derrière et caresse les fesses. S’insinue entre les deux globes, s’arrête sur la rosette. La main de devant, descend le long du sexe, et 2 doigts pénètrent son vagin. Elle se cambre légèrement. Je prends ce mouvement pour une invitation, et mon doigt toujours posé sur son petit trou s’enfonce sans effort dans son intimité anale.
Delphine (sursautant) : ah non pas ça
Mais au lieu de me retirer je mets un deuxième doigt
Delphine (essayant de s’échapper, se collant contre le mur) non arrête, je n’aime pas. Je ne l’ai jamais fait arrête
Moi : tu dis ça mais je sens à ta voix que tu en meurs d’envie
Et mes doigts commencent à coulisser lentement dans l’étroit conduit. Elle ne dit plus rien, ne bouge plus. Après quelques instants elle se recule légèrement, appuie sa tête sur un bras posé contre la faïence, écarte légèrement les jambes et soupir sous les caresses qu’elle se procure avec sa main libre.
N’y tenant plus, je retire mes doigts, me positionne derrière elle la bite pointée, lui prend la taille à deux mains, et avant qu’elle n’ait pu réagir, je la scotomise d’un coup sec
Delphine (collée contre le mur) salaud je ne veux pas lâche moi
Elle se débat mais je la tiens fermement planté dans son cul
Moi (la bouche vers son oreille) calme toi, tu vas adorer détends toi laisses toi faire
Et je l’embrasse dans le cou sous l’oreille. Je prends sa main pour la reposer sur son intimité. Je lui fais tourner la tête pour que nos bouches se rencontrent. Elle garde la sienne fermée. Elle boude. Je repose mes mains sur ses hanches et lentement je la lime. Je sors presque entièrement pour replonger au plus profond
Moi, : tu es bonne, très serrée j’adore
Delphine : salaud fini vite que je puisse me laver
Moi : ok mais continue de te caresser
Delphine : non
Moi : comme tu voudras
Et sans retenue je la besogne de plus en plus fort, peu après je vois sa main se diriger vers son sexe, puis sa respiration devient plus rapide, elle s’offre plus, j’ai gagné elle aime se faire enculer
Moi : tu aimes ça ma cochonne
Delphine ;(entre 2 gémissent) ne parles pas continue de me limer
Je la tiens fermement, je suis hypnotisé par le mouvement de ses fesses sous les coups de reins. On entend le claquement de mes cuisses tapant ses fesses. Je vais et viens dans son cul, bien ouvert maintenant.
Moi (au bord de l’explosion) dis-moi que tu aimes, que ça te fait du bien dis le salope
Delphine oui oui j’adore me faire limer le cul (criant) ça te va tu es content ouiiiiiiiiiiiiiii vas-y fort fort
Moi : je savais que tu aimais la bite ma cochonne
Delphine : oui j’aime sentir tes couilles taper entre mes cuisses, vas y fort plus fort
Moi : dis-moi ce que tu veux dis moi ce que tu ressens
Delphine : je vais jouir j’ai deux doigts dans la chatte, et ta grosse queue dans le cul, j’aime me sentir prise comme une pute c’est trop bon ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii encore encore défonce moi fort fort
Te nous jouissons tous les 2 ensembles dans des râles rauques. Après quelques instants, nous nous séparons, elle se retourne. Nous nous regardons et nous sous embrassons tendrement.
Nous nous lavons et retournons dans la chambre ou :
Denis : vous en faites du bruit
Delphine : il m’a sodomisé mais tu sais je ne voulais pas
Denis : mais vu les cris de plaisir que tu poussais il n’a pas dû trop te forcer, pour que tu ouvres ton cul
Et nous éclatons de rire tous les 3
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Les avis des lecteurs
Tres tres jolie cette histoire
belle histoire que j ai vecue! vous m exite tous les 3