Titre de l'histoire érotique : Un simple controle routier...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Un simple controle routier...
Il était une fois dans un pays imaginaire sur une route imaginaire avec des personnages imaginaires…
Il est seize heures, il fait très chaud dans ma voiture malgré toutes les vitres ouvertes, et ma sensation de chaleur est accentuée par le fait que je reviens de passer deux heures torrides dans la forêt voisine avec mon amant, j’ai déboutonné ma robe en haut et en bas, sous laquelle je suis nue, il ne reste que deux boutons, ce n’est plus un décolleté c’est une vallée ouverte entre mes seins, l’entrecuisse encore trempé de sécrétions mêlées qui agglomère mes poils pubiens, je n’ai volontairement pas voulu faire de toilette, même sommaire, afin de garder le plus longtemps possible le souvenir des pénétrations fougueuses de Guillaume et son ami qui me changent de celles insignifiantes de mon mari
Quand soudain, c’est la cata … au détour d’un virage une voiture est garée sur le bas-côté, au milieu de la route l’un des militaire lève le bras et ne fait signe de stopper … heureusement ce n’est pas mon mari mais ses collègues …
- Bonjour messieurs, comment allez-vous ?
- Bonjour madame contrôle routier, veuillez couper le contact et présenter les papiers et du véhicule
- Mais vous me connaissez ? je suis la femme du cap….
- Permis de conduire et assurance …tu vas les vérifier à la radio Didier ? vous rouliez un peu vite...
- Mais vous n’êtes pas là pour un contrôle de vitesse ?
- Avez-vous bu de l’alcool ?
- En plein après-midi ? vous plaisantez !
- Il n’y a pas d’heure pour ça ! comme pour le reste apparemment…avez-vous consommé de la drogue ?
- Appelez donc mon mari, le capitaine Roland
- Vous êtes sûre de le vouloir ? nous pourrions lui décrire votre tenue qui frise l’exhibitionnisme
- Mais jeeeeee, il fait chaud …et puis ma voiture est un endroit privé
- Vous faites quoi ? un quatre-vingt-cinq B ?
- Oui et alors ?
- Il se dégage de l’habitacle une certaine odeur de ….
- CUL ! dites-le !
- Je suppose que vous êtes nue en dessous ?
- Tenez... rincez-vous l’œil et laissez-moi repartir personne n’en sauras rien
- Pouah ! toison très amidonnée mais je vois bien que vous êtes blonde naturelle
- C’est bon ? vous ne voulez pas toucher aussi ?
- Descendez du véhicule
- Quoi ? !
- Descendez du véhicule et montez dans le fourgon pour une fouille corporelle
- Mais je suis à poil je ne peux rien dissimuler !
- Ça ne veut rien dire, une femme peut aisément cacher certains objets
- Si je dois être doigtée ce sera par une femme
- Encore une fois, désirez-vous que nous appelions votre mari ?
- Non-non … je vous suis
- Finissez de déboutonner votre robe et penchez-vous sur le siège avant
- Comme ça ? la vue vous satisfait ?
- Toussez... encore... encore
- A part du foutre rien ne sortira de ma chatte !
- Je vois ça … elle en a pris un sacré coup !
- Plusieurs coups si vous voulez tout savoir !
- Qui-est l’auteur de ce marécage ?
- Un ami à mon mari !
- Qui-est-ce ??
- Il est de la maison …
- QUOI ? son nom ou je te fourre une matraque dans le cul
- L’adjudant …
- L’adjudant ? il est en patrouille avec un équipier, ne vous foutez pas de nous ou ça va barder
- Il était avec son équipier …ils m’ont prise a deux
- J’le crois pas … ne vous relevez pas, gardez la position je vais introduire deux doigts dans vos cavités par sécurité
- Tout va bien Laurent, pas de problèmes de papier, ça va pour toi ?
- Regarde par toi-même
- Effectivement, beau châssis, veut-tu que je t’aide pour la fouille ?
- Choisi ton trou …
- Le petit, détendez-vous madame…
- Aiiiiiiiiieeeeeeee !
- A part une substance liquide il n’y a rien d’autre
- Vous ne pouvez trouver que du sperme !
- A moi … écartez les pieds au maximum … le vagin est très poisseux … et vraiment distendu...
- C’est qu’il est drôlement bien monté l’ami de l’adjudant … il se régale de me voir prise
- C’est les seuls de la brigade ou vous avez baisé avec d’autres ?
- Le commandant et son aide de camp …
- Ma parole nous sommes les seuls à ne pas vous être passés dessus ?
- Exact, à part les deux caporaux … Hooouuuua ! ne retirez pas vos doigts fouillez encore… mmmmmuuuuuuuuuu OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii c’est boooooooonnnnnnn
- La salope elle repart déjà ! baisons-là !
- Tu crois ? on la menotte aux sièges ?
- Non ! je veux participer ! baisez moi messieurs, je vous en prie, vous m’avez allumée vous devez éteindre l’incendie
- Vous n’allez pas nous dénoncer après ?
- Si vous ne me dénoncez pas à mon mari je ne dirais rien !
- Gare le fourgon dans le chemin nous allons la satisfaire comme elle le mérite
Pendant la manœuvre Laurent défait son pantalon et baisse son slip pour libérer une verge de bon calibre qu’il décalotte à fond sous mon nez, je tends la main et me baisse pour accueillir le membre qui sent la pisse dans ma bouche, Didier qui vient nous rejoindre imite son collègue et me saisit a la taille pour m’amener de façon à ce qu’il puisse me pénétrer sans interrompre la fellation, je m’agrippe aux hanches de l’homme car le véhicule tangue sérieusement sous les coups de reins virils
- Quelle chaudasse la femme du capitaine !
- Il a raison de se méfier, elle se fait sauter par tout ce qui porte un uniforme !
- Dire qu’il nous a envoyé pour surveiller ses ballades
- Nous lui dirons qu’il a tort de se méfier, que nous n’avons rien décelé d’inquiétant
- Le pauvre bougre, mais ainsi nous aurons encore l’occasion de la sauter !
- Oh putain je vais lui cracher dans la bouche !
- Et moi dans son con
- Ensemble ??? ….. HHHHOOOOOUUUUUAAAAAAAAAA qu’elle suce bieeeeeeennnnnnnnnnnnn !
- HHHOOOOOOOOOOOOOOOOO …….. OOOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIII elle est boooooooonnnnnnne !
- AHHHHHHH que c’est bon les gars, vous m’avez envoyée voir les étoiles ! à présent je vais aller me reposer
- Pas encore ! nous échangeons nos places
- Mais je suis vannée ?
- Tu te laisses faire ou c’est la matraque dans le cul ?
- Alors je préfère la bite, la matraque est trop dure
- T’as déjà testé ?
- Avec l’aide de camp du commandant, pendant qu’ils me prenaient la chatte a deux
- Quelle grosse salope… J’ai une idée, appelons les deux seuls à ne pas l’avoir baisée
- Les caporaux ? je leur signale un code 69, ils comprendront
- Vient t’assoir sur ma queue et suce mon collègue, je vais préparer ton cul avec mes doigts, ils sont là dans deux minutes
- Mettez moi une cagoule je ne veux pas qu’ils me reconnaissent
- Faveur accordée, empale- toi bien profond
Je ne suis plus moi-même, j’ai envie d’être souillée et avilie par ces hommes que mon mari à dépeché à mes trousses pour épier mes sorties, tant pis pour lui, il sera triplement cocu, un de ces jours je demanderais à être la reine d’une soirée ou leur capitaine sera envoyé déplacement par le commandant, en sueur sous cette cagoule de commando je monte et descend sur ce mat raide, lorsqu’une voiture arrive sirène hurlante, la porte s’ouvre, des clameurs et des mots orduriers accompagne l’arrivée de mes prochains amants
- Vous l’avez chopée où cette donzelle ? quel cul, y’a longtemps que vous la baisaient ?
- Pose pas de questions et vient l’enfiler par derrière
- Et moi ?
- Attend ton tour
- J’ai rêvé ou j’ai aperçu la voiture de la femme du capitaine sur la route ?
- T’as rêvé, profite de l’aubaine qui t’es accordée
J’ai à peine crié lorsque la bite m’a ouvert les entrailles, les deux verges coulissent a merveille dans mes orifices désormais dilatés, par les trous de la cagoule j’aperçois un beau membre se balancer près de mon visage, je délaisse la verge trop minus à mon goût pour happer le nouveau venu qui guide son gland joufflu par l’orifice de la bouche, des giclées de foutre fusent sur mes yeux, celui que j’ai rejeté était sur le point de décharger …
Combien de fois se sont-ils relayés dans mes trous devenus insensibles ? combien de temps ai-je servi de poupée gonflable ? subitement la voix de mon mari a la radio de bord a fait cesser instantanément cette orgie …
- Alors les deux nase, où êtes vous ? que faites-vous ? avez-vous pisté discrètement ma femme ? qu’a-t-elle fait cet après-midi ?
- C’est vous mon capitaine ? rassurez-vous, votre épouse a fait ses courses habituelles avant de se balader seule dans le parc
- Bien ! rappelez-moi de vous inviter à un apéro avant que je ne parte en mission pour un mois !
- Merci mon capitaine ! à ce soir pour un débriefing
Il est seize heures, il fait très chaud dans ma voiture malgré toutes les vitres ouvertes, et ma sensation de chaleur est accentuée par le fait que je reviens de passer deux heures torrides dans la forêt voisine avec mon amant, j’ai déboutonné ma robe en haut et en bas, sous laquelle je suis nue, il ne reste que deux boutons, ce n’est plus un décolleté c’est une vallée ouverte entre mes seins, l’entrecuisse encore trempé de sécrétions mêlées qui agglomère mes poils pubiens, je n’ai volontairement pas voulu faire de toilette, même sommaire, afin de garder le plus longtemps possible le souvenir des pénétrations fougueuses de Guillaume et son ami qui me changent de celles insignifiantes de mon mari
Quand soudain, c’est la cata … au détour d’un virage une voiture est garée sur le bas-côté, au milieu de la route l’un des militaire lève le bras et ne fait signe de stopper … heureusement ce n’est pas mon mari mais ses collègues …
- Bonjour messieurs, comment allez-vous ?
- Bonjour madame contrôle routier, veuillez couper le contact et présenter les papiers et du véhicule
- Mais vous me connaissez ? je suis la femme du cap….
- Permis de conduire et assurance …tu vas les vérifier à la radio Didier ? vous rouliez un peu vite...
- Mais vous n’êtes pas là pour un contrôle de vitesse ?
- Avez-vous bu de l’alcool ?
- En plein après-midi ? vous plaisantez !
- Il n’y a pas d’heure pour ça ! comme pour le reste apparemment…avez-vous consommé de la drogue ?
- Appelez donc mon mari, le capitaine Roland
- Vous êtes sûre de le vouloir ? nous pourrions lui décrire votre tenue qui frise l’exhibitionnisme
- Mais jeeeeee, il fait chaud …et puis ma voiture est un endroit privé
- Vous faites quoi ? un quatre-vingt-cinq B ?
- Oui et alors ?
- Il se dégage de l’habitacle une certaine odeur de ….
- CUL ! dites-le !
- Je suppose que vous êtes nue en dessous ?
- Tenez... rincez-vous l’œil et laissez-moi repartir personne n’en sauras rien
- Pouah ! toison très amidonnée mais je vois bien que vous êtes blonde naturelle
- C’est bon ? vous ne voulez pas toucher aussi ?
- Descendez du véhicule
- Quoi ? !
- Descendez du véhicule et montez dans le fourgon pour une fouille corporelle
- Mais je suis à poil je ne peux rien dissimuler !
- Ça ne veut rien dire, une femme peut aisément cacher certains objets
- Si je dois être doigtée ce sera par une femme
- Encore une fois, désirez-vous que nous appelions votre mari ?
- Non-non … je vous suis
- Finissez de déboutonner votre robe et penchez-vous sur le siège avant
- Comme ça ? la vue vous satisfait ?
- Toussez... encore... encore
- A part du foutre rien ne sortira de ma chatte !
- Je vois ça … elle en a pris un sacré coup !
- Plusieurs coups si vous voulez tout savoir !
- Qui-est l’auteur de ce marécage ?
- Un ami à mon mari !
- Qui-est-ce ??
- Il est de la maison …
- QUOI ? son nom ou je te fourre une matraque dans le cul
- L’adjudant …
- L’adjudant ? il est en patrouille avec un équipier, ne vous foutez pas de nous ou ça va barder
- Il était avec son équipier …ils m’ont prise a deux
- J’le crois pas … ne vous relevez pas, gardez la position je vais introduire deux doigts dans vos cavités par sécurité
- Tout va bien Laurent, pas de problèmes de papier, ça va pour toi ?
- Regarde par toi-même
- Effectivement, beau châssis, veut-tu que je t’aide pour la fouille ?
- Choisi ton trou …
- Le petit, détendez-vous madame…
- Aiiiiiiiiieeeeeeee !
- A part une substance liquide il n’y a rien d’autre
- Vous ne pouvez trouver que du sperme !
- A moi … écartez les pieds au maximum … le vagin est très poisseux … et vraiment distendu...
- C’est qu’il est drôlement bien monté l’ami de l’adjudant … il se régale de me voir prise
- C’est les seuls de la brigade ou vous avez baisé avec d’autres ?
- Le commandant et son aide de camp …
- Ma parole nous sommes les seuls à ne pas vous être passés dessus ?
- Exact, à part les deux caporaux … Hooouuuua ! ne retirez pas vos doigts fouillez encore… mmmmmuuuuuuuuuu OOOOOOOOuuuuuuuiiiiiiiii c’est boooooooonnnnnnn
- La salope elle repart déjà ! baisons-là !
- Tu crois ? on la menotte aux sièges ?
- Non ! je veux participer ! baisez moi messieurs, je vous en prie, vous m’avez allumée vous devez éteindre l’incendie
- Vous n’allez pas nous dénoncer après ?
- Si vous ne me dénoncez pas à mon mari je ne dirais rien !
- Gare le fourgon dans le chemin nous allons la satisfaire comme elle le mérite
Pendant la manœuvre Laurent défait son pantalon et baisse son slip pour libérer une verge de bon calibre qu’il décalotte à fond sous mon nez, je tends la main et me baisse pour accueillir le membre qui sent la pisse dans ma bouche, Didier qui vient nous rejoindre imite son collègue et me saisit a la taille pour m’amener de façon à ce qu’il puisse me pénétrer sans interrompre la fellation, je m’agrippe aux hanches de l’homme car le véhicule tangue sérieusement sous les coups de reins virils
- Quelle chaudasse la femme du capitaine !
- Il a raison de se méfier, elle se fait sauter par tout ce qui porte un uniforme !
- Dire qu’il nous a envoyé pour surveiller ses ballades
- Nous lui dirons qu’il a tort de se méfier, que nous n’avons rien décelé d’inquiétant
- Le pauvre bougre, mais ainsi nous aurons encore l’occasion de la sauter !
- Oh putain je vais lui cracher dans la bouche !
- Et moi dans son con
- Ensemble ??? ….. HHHHOOOOOUUUUUAAAAAAAAAA qu’elle suce bieeeeeeennnnnnnnnnnnn !
- HHHOOOOOOOOOOOOOOOOO …….. OOOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIIIIII elle est boooooooonnnnnnne !
- AHHHHHHH que c’est bon les gars, vous m’avez envoyée voir les étoiles ! à présent je vais aller me reposer
- Pas encore ! nous échangeons nos places
- Mais je suis vannée ?
- Tu te laisses faire ou c’est la matraque dans le cul ?
- Alors je préfère la bite, la matraque est trop dure
- T’as déjà testé ?
- Avec l’aide de camp du commandant, pendant qu’ils me prenaient la chatte a deux
- Quelle grosse salope… J’ai une idée, appelons les deux seuls à ne pas l’avoir baisée
- Les caporaux ? je leur signale un code 69, ils comprendront
- Vient t’assoir sur ma queue et suce mon collègue, je vais préparer ton cul avec mes doigts, ils sont là dans deux minutes
- Mettez moi une cagoule je ne veux pas qu’ils me reconnaissent
- Faveur accordée, empale- toi bien profond
Je ne suis plus moi-même, j’ai envie d’être souillée et avilie par ces hommes que mon mari à dépeché à mes trousses pour épier mes sorties, tant pis pour lui, il sera triplement cocu, un de ces jours je demanderais à être la reine d’une soirée ou leur capitaine sera envoyé déplacement par le commandant, en sueur sous cette cagoule de commando je monte et descend sur ce mat raide, lorsqu’une voiture arrive sirène hurlante, la porte s’ouvre, des clameurs et des mots orduriers accompagne l’arrivée de mes prochains amants
- Vous l’avez chopée où cette donzelle ? quel cul, y’a longtemps que vous la baisaient ?
- Pose pas de questions et vient l’enfiler par derrière
- Et moi ?
- Attend ton tour
- J’ai rêvé ou j’ai aperçu la voiture de la femme du capitaine sur la route ?
- T’as rêvé, profite de l’aubaine qui t’es accordée
J’ai à peine crié lorsque la bite m’a ouvert les entrailles, les deux verges coulissent a merveille dans mes orifices désormais dilatés, par les trous de la cagoule j’aperçois un beau membre se balancer près de mon visage, je délaisse la verge trop minus à mon goût pour happer le nouveau venu qui guide son gland joufflu par l’orifice de la bouche, des giclées de foutre fusent sur mes yeux, celui que j’ai rejeté était sur le point de décharger …
Combien de fois se sont-ils relayés dans mes trous devenus insensibles ? combien de temps ai-je servi de poupée gonflable ? subitement la voix de mon mari a la radio de bord a fait cesser instantanément cette orgie …
- Alors les deux nase, où êtes vous ? que faites-vous ? avez-vous pisté discrètement ma femme ? qu’a-t-elle fait cet après-midi ?
- C’est vous mon capitaine ? rassurez-vous, votre épouse a fait ses courses habituelles avant de se balader seule dans le parc
- Bien ! rappelez-moi de vous inviter à un apéro avant que je ne parte en mission pour un mois !
- Merci mon capitaine ! à ce soir pour un débriefing
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi j'adorerai que la femme se fasse sauter, mais je voudrais assister à la scène, tant qu'à être cocu autant en profiter Z
pendant un mois ça va etre la fete a la brigade
belle histoire
merci
belle histoire
merci