Titre de l'histoire érotique : Une adorable coquine
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Une adorable coquine
Ma femme est une très jolie coquine...
Elle aime beaucoup les hommes et surtout leur sexe : elle n’arrête pas de " courir " après. C’est une façon de parler, certes, mais c’est quand même la vérité ! Il y a quelques années alors que je travaillais dans beaucoup d’endroits en France et même à l’étranger, elle m’accompagnait dans mes déplacements. Tandis que j’étais au travail, n’ayant rien à faire de ses journées, elle se promenait en ville. Et là, il lui est souvent arrivé de rencontrer fortuitement des hommes, que ce soit à Paris où nous étions souvent, ou dans d’autres villes de province, et d’accepter d’aller prendre un verre avec eux, et même d’accepter d’aller à l’hôtel. Parfois il s’agit de l’hôtel où nous étions descendus. Ainsi, et je l’ai su plus tard, que lors de mes déplacements où elle m’accompagnait elle se faisait baiser pour occuper ses matinées ou ses après-midis…
Je n’en ai rien su tout d’abord. Je veux dire cela s’est sans doute produit un certain nombre de fois, plusieurs années, sans que je le sache. Jusqu’au jour où un de mes collègues avec qui je travaillais et qui ne connaissait pas mon épouse, me tint un discours pour le moins étonnant. Il habitait Lyon où je le retrouvais pour nos réunions régulières de travail. Un jour, lors d’une pause, il m’informa qu’il avait quelques mois auparavant, rencontré une femme superbe avec qui il avait couché tout un après-midi, sans même connaitre son nom. Mais me dit-il, elle était un " excellent coup" . Justement ce soir, comme elle était ici de passage, il devait la retrouver dès la fin de notre réunion, dans un café non loin d’ici.
J’étais à cent lieues de me douter de quoi que ce soit, évidemment. A la fin de la réunion il me demanda de l’accompagner à son rendez-vous. Ce que je fis volontiers. Arrivé près du café, depuis la rue, je vis à l’intérieur mon épouse attablée, seule qui semblait attendre. Je fus saisi d’un étrange pressentiment : et si c’était elle " l’excellent coup " dont m’avait parlé mon collègue ? Aussi je déclinais son invitation à entrer. Il insistait pourtant pour me faire connaitre sa conquête, mais je m’échappais avant d’atteindre la porte, en proie à un affreux doute… Je m’éloignais et me mis en faction à quelques dizaines de mètres du café…
Je n’eus pas longtemps à attendre. A peine cinq minutes plus tard, ils ressortirent tous les deux. Ils allèrent dans la direction de l’hôtel où nous logions, ma femme et moi. Mon intuition était bonne et mon attente fut récompensée : Ils y entrèrent… Non, me dis-je alors, elle ne va pas quand même l’emmener dans notre chambre… D’autant qu’à l’heure qu’il était, 17 h 45, j’étais censé y être ! Il me revint alors à l’esprit que Frédéric, mon collègue donc, m’avait dit y être lui aussi descendu cette fois-ci… Je les laissais entrer et prendre un peu d’avance. Puis au bout de cinq minutes, j’entrais à mon tour. Mais au lieu de monter directement à ma chambre, je demandais à l’accueil le n° de la chambre de mon collègue, prétextant la nécessité de le voir.
- " Mais ce monsieur n’est pas monté seul, me dit la réceptionniste, il était accompagné… d’une dame…" ajouta-t-elle après un temps d’hésitation. Je ne sais pas si elle avait reconnu mon épouse, qui d’ordinaire allait et venait dans l’hôtel toute la journée, et qu’elle voulait éviter un drame. Je lui répondis :
- " Je sais, je sais… Je dois les rejoindre… " Et je montais…
Arrivé sur le palier je marquais un temps d’arrêt cherchant le N° de la chambre de Frédéric et surtout prenant garde à ne pas me faire surprendre par quelques clients sortant de leur chambre.
J’avançais doucement dans le couloir et avec précautions pour ne pas faire de bruit. Heureusement un épais tapis absorbait le bruit de mes semelles. La chambre était à l’étage au-dessus de la nôtre, à peu près au même niveau du couloir. J’arrivais ainsi devant le n° 25. Doucement j’avançais ma tête vers la porte jusqu’à y coller mon oreille. J’entendis distinctement de petits bruits comme ceux d’une succion et un léger feulement. Ils devaient s’embrasser à bouche que veux-tu, comme ma femme sait le faire… Elle devait lui rouler des patins d’enfer…, et réciproquement. Cela dura un temps qui me parut fort long. Peut-être une, deux minutes, peut-être plus ?...
Puis j’entendis un murmure, dont je ne compris pas les paroles. La voix de ma femme me sembla-t-il, puis celle de Frédéric, plus grave… Elle ria juste après de façon très nette et je compris qu’elle lui demandait si il aimait ses baisers et le goût de ses lèvres… De nouveau quelques succions… Puis j’entendis qu’elle lui dit :
- Déshabille-moi, j’ai envie de toi "… Et de petits bruits de vêtements que l’on enlève. Je savais ce qu’elle portait, car non seulement je l’avais aperçue dans le café, mais je connais aussi ses goûts et ce qu’elle aime mettre lorsqu’elle est en rut. Elle devait avoir sa jupe croisée, des bas Dim-up auto-fixant et un string très mini. A moins qu’elle n’en ait pas mis du tout comme cela lui arrivait quelques fois lors de nos sorties coquines… Elle avait aussi un corsage léger à boutons faciles à ouvrir et un soutien-gorge pigeonnant à balconnets pour soutenir ses magnifiques seins. La salope sait qu’elle plait aux hommes et qu’elle attire leurs regards. Pas seulement par sa toilette et son port altier un tantinet provoquant, mais aussi par ce que l’on devine d’elle et de sa personnalité de coquine un peu effrontée. Nous les hommes, nous sentons quand une femme est ̏ disponible " et qu’elle est attirée par les hommes, leur compagnie et leur sexe…
Je l’entendis de nouveau murmurer doucement à Frédéric :
- " Chéri, laisse-moi défaire ton pantalon, je vais te déshabiller à mon tour…" A cet instant je savais qu’elle devait être debout contre l’homme et qu’elle lui desserrait la ceinture, passait sa main dans le pantalon et l’avançait dans le slip, comme je lui avais vu faire tant de fois. J’entendais de nouveau les baisers mouillés et profonds qu’ils se donnaient.
Je l’imaginais debout contre Frédéric, s’étant saisi de sa bite de l’homme tandis qu’il branlait de sa main. Quand elle se faisait branler comme ça debout, elle fléchissait légèrement les genoux pour écarter un peu plus son entrejambes et faciliter la pénétration des doigts dans sa chatte. Je commençais à bander. La coquine tout en embrassant son amant devait lui astiquer le membre… Peut-être même se l’était-elle mis entre les cuisses, comme elle aimait le faire dans ses situations, et passer la pointe de la bite dans sa fente et sur son clito… J’avais de plus en plus en plus envie de me branler…
La garce devait faire bander Frédéric ; comme elle me faisait bander moi quand nous faisions l’amour ! Une fraction de seconde, je devins jaloux…. Mais cela s’estompa rapidement, pour me reconcentrer sur l’écoute à travers la porte. Je l’entendis lui dire :
- " Oh, mon chéri, j’aime ta belle bite… Tu es gros et tu bandes bien… J’ai très envie de toi…Viens que je te suce…" Il lui répondit quelque chose comme :
- " Et toi, tu es superbe ma chérie… Tu branles bien et je vois que tu mouilles déjà beaucoup…"
- " Oh, oui chéri, c’est toi qui me fais mouiller… Oh quelle bite ! ", ajouta-elle admirative du membre de mon collègue. A cet instant elle dut l’enfourner car de nouveaux bruits de succion se firent entendre. Des bruits différents et surtout la petite mélodie en " huuuummm ", venue du fond de sa gorge dont elle accompagnait en général ses turlutes… J’entendis Frédéric soupirer :
- " Ah, putain que c’est bon ! C’est divin… T’es une suceuse de première, toi "
Elle devait sucer comme toujours avec passion, ne ménageant pas sa peine, en aspirant le gland, en détaillant le bout de sa langue agile dont elle titillant la papille… La jolie coquine adore ça : sucer une bite bien bandée. Elle devait aussi de sa main droite branler la hampe du vit tout en le suçant et, de son autre main, se branler elle-même la fente et le trou… Je me disais que la belle salope devait déjà mouiller abondamment.
Moi, je tenais mon membre tendu à travers mon pantalon ; j’allais le sortir de la braguette pour me branler plus à l’aise, quand j’entendis un bruit dans l’escalier.
Quelqu’un montait. Je fis mine de quitter une chambre et je me dirigeais vers le palier. En effet un couple arrivait. Il entra dans la chambre la plus proche de l’escalier alors que je faisais semblant de descendre. J’attendis une demi-minute, puis je revenais avec d’infinies précautions jusqu’à la porte de la chambre de Frédéric à laquelle je collais immédiatement mon oreille.
Le bruit avait changé. La coquine soupirait, sans doute maintenant allongée sur le lit :
- " Ah oui, vas-y, passe bien ta langue là… sur le clito…, dans ta fente… Oui, c’est bon !... C’est bon !... " Elle devait maintenant être en train de se faire sucer.
Il faut dire que ma divine épouse non seulement est une baiseuse infernale, mais aussi elle parle énormément pendant l’amour. Même lorsqu’elle a la bouche pleine d’une langue ou d’une ou plusieurs bites, elle trouve toujours le moyen de dire ce qu’elle ressent ou ce dont elle a envie.
- " Oui chéri, continue !... J’aime ça ! C’est bon tu suces bien... Viens sur moi que je te branle et que je te suce, mon amour… Oh c’est bon, c’est bon ! "
Ils étaient donc sans doute maintenant partis en 69… De temps à autre elle quittait la queue de son amant pour pousser de petits cris de plaisirs jouissifs et des :
" hummmm… c’est bon… " De même parfois Frédéric devait relever la tête pour soupirer de plaisir à son tour. Il faut dire que quand ma belle épouse suce, il est difficile de se concentrer sur autre chose ! La turlute est totale et vous prend complètement la tête, aux deux sens du mot ! En tout cas, la mienne de tête était en feu. Ainsi que ma bite d’ailleurs. Je n’osais pas la sortir pour me branler. J’avais pourtant passé ma main dans ma poche et je m’astiquais quand même tant bien que mal, mais la bite me faisait mal tant elle était tendue…
Toujours l’oreille collée à la porte, mais surveillant quand même le couloir, j’entendis ma coquine hurler :
- " Je jouis, chéri !... Oh lala tu me fais du bien !... Je jouis !! Oh oui, je déchaaaaarrge… Ça y est chéri…, baise-moi ! Baise-moi !! " J’entendis le lit craquer et ma femme prendre sans doute la bite de mon collègue dans son trou de pute. Elle poussait des cris énormes :
- "Oh ouiiii… Oh ouiiiiiii…. Je jouis. !... Baise-moi bien à fond ! A fond… Oui, je suis morte !!.... Oh vas-y, vas-y !! "
La jolie garce devait en prendre plein le con pour gueuler aussi fort… Je ne tenais plus mon membre tant je bandais avec une envie folle de décharger à mon tour… Pensez, entendre ça ! Mettez-vous à ma place : entendre, derrière une porte, sa femme jouir alors qu’elle se fait baiser à fond par un mec que vous connaissez, et sans être présent, cela ne vous exciterait pas ? Eh bien moi, si !
Tout à coup, j’entendis une clé dans la serrure d’une chambre à côté ; peut-être la même que celle de tout à l’heure. Et maintenant que faire ? Mon sang ne fit qu’un tour. Je ne peux quand même pas reprendre la même stratégie et faire semblant de ressortir d’une chambre ! Et si j’entrai dans la chambre ? Prêt à toute éventualité, je fis doucement tourner la poignée. La porte s’entrouvrit. J’entendais maintenant à pleines oreilles et beaucoup plus proches de moi les soupirs de jouissance de ma femme et les ahanements de mon collègue. Il n’a même pas fermé sa porte, pensais-je.
Une femme sortit de la chambre juste à côté de celle de Frédéric. Elle regarda un petit temps dans ma direction. Peut-être avait-elle entendu les cris de jouissance de ma femme ? Puis elle fit demi-tour et se dirigea vers l’escalier. Je pris une décision rapide : je réenclenchais la porte sans bruit et fit mine de sortir de la chambre. La femme partit devant moi. Je la suivis à distance et descendis les escaliers derrière elle…
Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les toilettes où je m’enfermais un instant. Je défis lentement mon pantalon, mis mon membre toujours terriblement bandé à l’air et je me masturbais un bon coup, avec encore dans les oreilles, les cris de jouissance de ma jolie coquine, qu’elle devait, là-haut, deux étages au-dessus de ma tête, continuer à prodiguer... Ce ne fut pas long. En quelques aller-et-retours, j’aspergeais le mur d’une décharge chaude et longtemps contenue. Soulagé, je pris mon temps pour nettoyer et laisser tout bien propre. Puis je filais à ma chambre, pour être sûr d’arriver avant elle.
Je me mis au travail comme si de rien était. Elle arriva une bonne demi-heure après, éreintée avoua-t-elle d’avoir couru tout l’après-midi dans les magasins… Je ne dis rien de ce que je savais. Je lui fis simplement remarquer qu’elle n’avait rien acheté.
- " Je n’ai rien trouvé d’intéressant, me dit-elle avec aplomb, rien pour toi, comme pour moi… "
- " Rien d’intéressant chérie, même pas pour toi ? " insistais-je, pourtant sûr du contraire.
- " Non, je t’assure. " me répondit-elle distraitement…
Les choses en restèrent là pour le moment. Mais vous verrez cet épisode aura une suite…
Elle aime beaucoup les hommes et surtout leur sexe : elle n’arrête pas de " courir " après. C’est une façon de parler, certes, mais c’est quand même la vérité ! Il y a quelques années alors que je travaillais dans beaucoup d’endroits en France et même à l’étranger, elle m’accompagnait dans mes déplacements. Tandis que j’étais au travail, n’ayant rien à faire de ses journées, elle se promenait en ville. Et là, il lui est souvent arrivé de rencontrer fortuitement des hommes, que ce soit à Paris où nous étions souvent, ou dans d’autres villes de province, et d’accepter d’aller prendre un verre avec eux, et même d’accepter d’aller à l’hôtel. Parfois il s’agit de l’hôtel où nous étions descendus. Ainsi, et je l’ai su plus tard, que lors de mes déplacements où elle m’accompagnait elle se faisait baiser pour occuper ses matinées ou ses après-midis…
Je n’en ai rien su tout d’abord. Je veux dire cela s’est sans doute produit un certain nombre de fois, plusieurs années, sans que je le sache. Jusqu’au jour où un de mes collègues avec qui je travaillais et qui ne connaissait pas mon épouse, me tint un discours pour le moins étonnant. Il habitait Lyon où je le retrouvais pour nos réunions régulières de travail. Un jour, lors d’une pause, il m’informa qu’il avait quelques mois auparavant, rencontré une femme superbe avec qui il avait couché tout un après-midi, sans même connaitre son nom. Mais me dit-il, elle était un " excellent coup" . Justement ce soir, comme elle était ici de passage, il devait la retrouver dès la fin de notre réunion, dans un café non loin d’ici.
J’étais à cent lieues de me douter de quoi que ce soit, évidemment. A la fin de la réunion il me demanda de l’accompagner à son rendez-vous. Ce que je fis volontiers. Arrivé près du café, depuis la rue, je vis à l’intérieur mon épouse attablée, seule qui semblait attendre. Je fus saisi d’un étrange pressentiment : et si c’était elle " l’excellent coup " dont m’avait parlé mon collègue ? Aussi je déclinais son invitation à entrer. Il insistait pourtant pour me faire connaitre sa conquête, mais je m’échappais avant d’atteindre la porte, en proie à un affreux doute… Je m’éloignais et me mis en faction à quelques dizaines de mètres du café…
Je n’eus pas longtemps à attendre. A peine cinq minutes plus tard, ils ressortirent tous les deux. Ils allèrent dans la direction de l’hôtel où nous logions, ma femme et moi. Mon intuition était bonne et mon attente fut récompensée : Ils y entrèrent… Non, me dis-je alors, elle ne va pas quand même l’emmener dans notre chambre… D’autant qu’à l’heure qu’il était, 17 h 45, j’étais censé y être ! Il me revint alors à l’esprit que Frédéric, mon collègue donc, m’avait dit y être lui aussi descendu cette fois-ci… Je les laissais entrer et prendre un peu d’avance. Puis au bout de cinq minutes, j’entrais à mon tour. Mais au lieu de monter directement à ma chambre, je demandais à l’accueil le n° de la chambre de mon collègue, prétextant la nécessité de le voir.
- " Mais ce monsieur n’est pas monté seul, me dit la réceptionniste, il était accompagné… d’une dame…" ajouta-t-elle après un temps d’hésitation. Je ne sais pas si elle avait reconnu mon épouse, qui d’ordinaire allait et venait dans l’hôtel toute la journée, et qu’elle voulait éviter un drame. Je lui répondis :
- " Je sais, je sais… Je dois les rejoindre… " Et je montais…
Arrivé sur le palier je marquais un temps d’arrêt cherchant le N° de la chambre de Frédéric et surtout prenant garde à ne pas me faire surprendre par quelques clients sortant de leur chambre.
J’avançais doucement dans le couloir et avec précautions pour ne pas faire de bruit. Heureusement un épais tapis absorbait le bruit de mes semelles. La chambre était à l’étage au-dessus de la nôtre, à peu près au même niveau du couloir. J’arrivais ainsi devant le n° 25. Doucement j’avançais ma tête vers la porte jusqu’à y coller mon oreille. J’entendis distinctement de petits bruits comme ceux d’une succion et un léger feulement. Ils devaient s’embrasser à bouche que veux-tu, comme ma femme sait le faire… Elle devait lui rouler des patins d’enfer…, et réciproquement. Cela dura un temps qui me parut fort long. Peut-être une, deux minutes, peut-être plus ?...
Puis j’entendis un murmure, dont je ne compris pas les paroles. La voix de ma femme me sembla-t-il, puis celle de Frédéric, plus grave… Elle ria juste après de façon très nette et je compris qu’elle lui demandait si il aimait ses baisers et le goût de ses lèvres… De nouveau quelques succions… Puis j’entendis qu’elle lui dit :
- Déshabille-moi, j’ai envie de toi "… Et de petits bruits de vêtements que l’on enlève. Je savais ce qu’elle portait, car non seulement je l’avais aperçue dans le café, mais je connais aussi ses goûts et ce qu’elle aime mettre lorsqu’elle est en rut. Elle devait avoir sa jupe croisée, des bas Dim-up auto-fixant et un string très mini. A moins qu’elle n’en ait pas mis du tout comme cela lui arrivait quelques fois lors de nos sorties coquines… Elle avait aussi un corsage léger à boutons faciles à ouvrir et un soutien-gorge pigeonnant à balconnets pour soutenir ses magnifiques seins. La salope sait qu’elle plait aux hommes et qu’elle attire leurs regards. Pas seulement par sa toilette et son port altier un tantinet provoquant, mais aussi par ce que l’on devine d’elle et de sa personnalité de coquine un peu effrontée. Nous les hommes, nous sentons quand une femme est ̏ disponible " et qu’elle est attirée par les hommes, leur compagnie et leur sexe…
Je l’entendis de nouveau murmurer doucement à Frédéric :
- " Chéri, laisse-moi défaire ton pantalon, je vais te déshabiller à mon tour…" A cet instant je savais qu’elle devait être debout contre l’homme et qu’elle lui desserrait la ceinture, passait sa main dans le pantalon et l’avançait dans le slip, comme je lui avais vu faire tant de fois. J’entendais de nouveau les baisers mouillés et profonds qu’ils se donnaient.
Je l’imaginais debout contre Frédéric, s’étant saisi de sa bite de l’homme tandis qu’il branlait de sa main. Quand elle se faisait branler comme ça debout, elle fléchissait légèrement les genoux pour écarter un peu plus son entrejambes et faciliter la pénétration des doigts dans sa chatte. Je commençais à bander. La coquine tout en embrassant son amant devait lui astiquer le membre… Peut-être même se l’était-elle mis entre les cuisses, comme elle aimait le faire dans ses situations, et passer la pointe de la bite dans sa fente et sur son clito… J’avais de plus en plus en plus envie de me branler…
La garce devait faire bander Frédéric ; comme elle me faisait bander moi quand nous faisions l’amour ! Une fraction de seconde, je devins jaloux…. Mais cela s’estompa rapidement, pour me reconcentrer sur l’écoute à travers la porte. Je l’entendis lui dire :
- " Oh, mon chéri, j’aime ta belle bite… Tu es gros et tu bandes bien… J’ai très envie de toi…Viens que je te suce…" Il lui répondit quelque chose comme :
- " Et toi, tu es superbe ma chérie… Tu branles bien et je vois que tu mouilles déjà beaucoup…"
- " Oh, oui chéri, c’est toi qui me fais mouiller… Oh quelle bite ! ", ajouta-elle admirative du membre de mon collègue. A cet instant elle dut l’enfourner car de nouveaux bruits de succion se firent entendre. Des bruits différents et surtout la petite mélodie en " huuuummm ", venue du fond de sa gorge dont elle accompagnait en général ses turlutes… J’entendis Frédéric soupirer :
- " Ah, putain que c’est bon ! C’est divin… T’es une suceuse de première, toi "
Elle devait sucer comme toujours avec passion, ne ménageant pas sa peine, en aspirant le gland, en détaillant le bout de sa langue agile dont elle titillant la papille… La jolie coquine adore ça : sucer une bite bien bandée. Elle devait aussi de sa main droite branler la hampe du vit tout en le suçant et, de son autre main, se branler elle-même la fente et le trou… Je me disais que la belle salope devait déjà mouiller abondamment.
Moi, je tenais mon membre tendu à travers mon pantalon ; j’allais le sortir de la braguette pour me branler plus à l’aise, quand j’entendis un bruit dans l’escalier.
Quelqu’un montait. Je fis mine de quitter une chambre et je me dirigeais vers le palier. En effet un couple arrivait. Il entra dans la chambre la plus proche de l’escalier alors que je faisais semblant de descendre. J’attendis une demi-minute, puis je revenais avec d’infinies précautions jusqu’à la porte de la chambre de Frédéric à laquelle je collais immédiatement mon oreille.
Le bruit avait changé. La coquine soupirait, sans doute maintenant allongée sur le lit :
- " Ah oui, vas-y, passe bien ta langue là… sur le clito…, dans ta fente… Oui, c’est bon !... C’est bon !... " Elle devait maintenant être en train de se faire sucer.
Il faut dire que ma divine épouse non seulement est une baiseuse infernale, mais aussi elle parle énormément pendant l’amour. Même lorsqu’elle a la bouche pleine d’une langue ou d’une ou plusieurs bites, elle trouve toujours le moyen de dire ce qu’elle ressent ou ce dont elle a envie.
- " Oui chéri, continue !... J’aime ça ! C’est bon tu suces bien... Viens sur moi que je te branle et que je te suce, mon amour… Oh c’est bon, c’est bon ! "
Ils étaient donc sans doute maintenant partis en 69… De temps à autre elle quittait la queue de son amant pour pousser de petits cris de plaisirs jouissifs et des :
" hummmm… c’est bon… " De même parfois Frédéric devait relever la tête pour soupirer de plaisir à son tour. Il faut dire que quand ma belle épouse suce, il est difficile de se concentrer sur autre chose ! La turlute est totale et vous prend complètement la tête, aux deux sens du mot ! En tout cas, la mienne de tête était en feu. Ainsi que ma bite d’ailleurs. Je n’osais pas la sortir pour me branler. J’avais pourtant passé ma main dans ma poche et je m’astiquais quand même tant bien que mal, mais la bite me faisait mal tant elle était tendue…
Toujours l’oreille collée à la porte, mais surveillant quand même le couloir, j’entendis ma coquine hurler :
- " Je jouis, chéri !... Oh lala tu me fais du bien !... Je jouis !! Oh oui, je déchaaaaarrge… Ça y est chéri…, baise-moi ! Baise-moi !! " J’entendis le lit craquer et ma femme prendre sans doute la bite de mon collègue dans son trou de pute. Elle poussait des cris énormes :
- "Oh ouiiii… Oh ouiiiiiii…. Je jouis. !... Baise-moi bien à fond ! A fond… Oui, je suis morte !!.... Oh vas-y, vas-y !! "
La jolie garce devait en prendre plein le con pour gueuler aussi fort… Je ne tenais plus mon membre tant je bandais avec une envie folle de décharger à mon tour… Pensez, entendre ça ! Mettez-vous à ma place : entendre, derrière une porte, sa femme jouir alors qu’elle se fait baiser à fond par un mec que vous connaissez, et sans être présent, cela ne vous exciterait pas ? Eh bien moi, si !
Tout à coup, j’entendis une clé dans la serrure d’une chambre à côté ; peut-être la même que celle de tout à l’heure. Et maintenant que faire ? Mon sang ne fit qu’un tour. Je ne peux quand même pas reprendre la même stratégie et faire semblant de ressortir d’une chambre ! Et si j’entrai dans la chambre ? Prêt à toute éventualité, je fis doucement tourner la poignée. La porte s’entrouvrit. J’entendais maintenant à pleines oreilles et beaucoup plus proches de moi les soupirs de jouissance de ma femme et les ahanements de mon collègue. Il n’a même pas fermé sa porte, pensais-je.
Une femme sortit de la chambre juste à côté de celle de Frédéric. Elle regarda un petit temps dans ma direction. Peut-être avait-elle entendu les cris de jouissance de ma femme ? Puis elle fit demi-tour et se dirigea vers l’escalier. Je pris une décision rapide : je réenclenchais la porte sans bruit et fit mine de sortir de la chambre. La femme partit devant moi. Je la suivis à distance et descendis les escaliers derrière elle…
Arrivé dans le hall, je me dirigeais vers les toilettes où je m’enfermais un instant. Je défis lentement mon pantalon, mis mon membre toujours terriblement bandé à l’air et je me masturbais un bon coup, avec encore dans les oreilles, les cris de jouissance de ma jolie coquine, qu’elle devait, là-haut, deux étages au-dessus de ma tête, continuer à prodiguer... Ce ne fut pas long. En quelques aller-et-retours, j’aspergeais le mur d’une décharge chaude et longtemps contenue. Soulagé, je pris mon temps pour nettoyer et laisser tout bien propre. Puis je filais à ma chambre, pour être sûr d’arriver avant elle.
Je me mis au travail comme si de rien était. Elle arriva une bonne demi-heure après, éreintée avoua-t-elle d’avoir couru tout l’après-midi dans les magasins… Je ne dis rien de ce que je savais. Je lui fis simplement remarquer qu’elle n’avait rien acheté.
- " Je n’ai rien trouvé d’intéressant, me dit-elle avec aplomb, rien pour toi, comme pour moi… "
- " Rien d’intéressant chérie, même pas pour toi ? " insistais-je, pourtant sûr du contraire.
- " Non, je t’assure. " me répondit-elle distraitement…
Les choses en restèrent là pour le moment. Mais vous verrez cet épisode aura une suite…
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