Titre de l'histoire érotique : Une commomération mémorable
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une commomération mémorable
Journées de commémoration
Notre commune est engagée dans la commémoration pour la dernière guerre et afin de limiter ses frais, le maire a sollicité ses administrés, afin qu’ils hébergent dans la mesure de leurs moyens, des soldats canadiens. Pour nous ce sera deux soldats, plus deux autres le midi car leurs hébergeants ne sont pas dispo en journée. Pas de problème pour nous, car je suis en retraite et ma miss a pu poser cinq jours de congés.
A l’arrivée du contingent la répartition se fait au hasard, et nous héritons de deux solides gaillards, parlant parfaitement le français, ce qui m’arrange bien car mon anglais est anecdotique ; récupération du barda, réception, et nous voilà chez nous ; soirée très simple, fraternelle, pleine d’anecdotes de nos invités et nous voila couchés. Ma miss me fait part de son plaisir d’accueillir ces deux jeunes hommes, courtois, sympathiques et cerise sur le gâteau, bien foutus. En effet ce sont des hommes de commando, bien charpentés, et très certainement très réactifs ; bien entendu, l’évocation de leurs atouts nous donnent des idées et cela se termine par une partie de jambes, très coquine.
Le lendemain matin, ils nous quittent de bonne heure pour les répétitions et pour ma part je me rends à la mairie avec les autres bénévoles. Quand je reviens à la maison, je suis étonné de trouver ma douce, dansant un rock endiablé avec l’un des soldats, encouragés par les trois autres. C’est vrai, deux autres viennent manger le midi. Cependant, je constate qu’ils profitent aussi du spectacle, car je ne sais si Béa l’a fait exprès mais sa jupe est très courte et ses admirateurs peuvent régulièrement découvrir ses fesses et la couleur de son slip, lorsque sa jupe virevolte au rythme de la musique. Mon arrivée interrompt la séance et le repas se déroule normalement ou presque car je peux constater que les regards vers Béa sont bien appuyés ; il faut reconnaitre que c’est une belle femme, une jolie poitrine bien formée, de jolies jambes sous un joli fessier, bien rebondi et surtout un très joli visage, toujours très souriant, bref une femme qui fait envie et je suis le premier à le reconnaitre et à en profiter, car en plus de sa beauté, c’est une amante très gourmande.
Un bon repas et nous terminons la soirée en regardant des photos de mon père et de ma famille, alors que je prépare le café quand soudain, je vois Béa rougir et fermer rapidement l’ordi ; les deux hommes cependant ont le sourire, et joyeusement l’un des deux s’esclaffe » très belles images, dommage que cela s’arrête » ; je comprends alors que certaines photos doivent être plus privées ; mais il est trop tard. Gênée, Béa s’est échappée ; je m’excuse auprès deux, mais cela n’a pas eu l’air de leur déplaire si j’en crois la bosse qui s’est formée chez l’un des deux. Au contraire, il me félicite d’avoir une si belle femme et qu’il aimerait bien que sa femme accepte de faire la même chose ; je réalise alors que les images en question sont en réalité un petit film très coquin, que nous venions de faire quelques jours auparavant. Et c’est avec un grand sourire qu’ils me quittent et me demandant de saluer ma miss.
En arrivant dans notre chambre, je découvre une Béa sur le lit, nue, un masque sur les yeux et surtout très offerte, les cuisses bien écartées, dévoilant sa fente, déjà ouverte d’où perle des gouttes de cyprine. J’en déduis que loin d’être choquée, elle est au contraire très excitée d’avoir été vue me faisant une pipe, avant de se faire prendre. Inutile de préciser qu’en un instant j’étais nu, et la queue bien bandée, je lui ai fait l’amour, la possèdant furieusement, encouragé par ses demandes de la défoncer et de la faire jouir. La jouissance est venue, puissante, fulgurante et accompagnée de puissants cris qui à n’en pas douter, ont dû être entendus de nos invités.
Béa.
Lorsque je me réveille, jean n’est plus à côté de moi ; il a l’habitude de se lever tôt, de prendre son café en lisant ses mails. Pour moi, je suis une peu plus tardive, surtout ce matin ; je suis encore moulue de nos exploits de cette nuit ; j’ai la chatte engluée de semence et les adducteurs douloureux d’avoir été écartelée. J’ai envie de lui faire une surprise et j’enfile un combiné de nuit, très coquin ; un simple voile recouvre le haut, alors que mon bas est un shorty, très ample et très transparent ; pour accentuer la provocation, je le remonte le plus possible, ce qui fait que ma chatte est écrasée sur le tissu. Quand je déboule dans le salon, il reste un moment éberlué, puis rapidement, il retrouve ses esprits ou plutôt ses envies ; ce que j’espérais. Me plaquant sur le bras du canapé, il a tôt fait de me prendre, écartant simplement le tissu ; me traitant de sale petite coquine, il me pourfend, prenant son plaisir, fortement, à grand coup de queue ; il ne faut pas longtemps pour que ma jouissance arrive, d’autant plus que je découvre que nous sommes épies ; en effet John, dans l’entrebâillement de la porte assiste à notre ébat ; je ne sais pas depuis quand, mais sa main dans son survêtement prouve qu’il a du bien en profiter ; nos regards se croisent et m’invitant au silence en posant un doigt sur sa bouche, il se retire, à mon grand regret ; quand jean éjacule, je ne peux retenir un long cri .
Mon homme vient de partir, mais je suis toujours dans la cuisine, espérant l’arrivée de John ; des bruits de pas, mais je ne me retourne pas ; deux mains se plaquent sur le tissu qui recouvre mes seins ; mes tétons sont vite triturés ; appuyé contre moi, je sens très bien son gros bâton qui s’écrase sur mon fessier. Puis me soulevant, il me dépose sur la table, posant mes jambes sur ses épaules ; , après m’avoir arraché le shorty ; les cuisses ouvertes, je lui offre la pleine vue sur mon intimité, les lèvres encore pleines de semence ; en une poussée , il a investi ma grotte, sans aucune difficulté ; sa queue , pourtant grosse et longue glisse facilement dans le conduit bien lubrifié et quand il ressort, un bruit indécent s’échappe de mes petites lèvres ; la deuxième pénétration est tout aussi violente et m’agrippant les seins , il me baise frénétiquement, m’avouant qu’hier soir , mes cris lui avait donné beaucoup d’envie et que mon silence de ce matin lui avait donné l’envie furieuse de me prendre..
Pour me prendre, il m’a pris, me baisant longuement, me retournant à plat ventre pour me prendre en levrette ; à chaque fois que son gland frappait le fond de mon vagin, une décharge me transperçait, pour finir quand ses jets, chauds et nombreux m’ont fécondé, en un feulement de plaisir ; me prenant dans ses bras, il m’a tendrement embrassé fouillant ma bouche avec sa langue ; puis s’écartant, il m’a dit « je sais que tu as toujours envie ; j’ai envie te faire jouir, tout au long de mon séjour » me fixant intensément, il attendait ma réponse ; l’embrassant à mon tour, je me suis échappée ,le laissant dans l’interrogation.
Une fois dans ma chambre, j’ai laissé un message à mon homme, pour ne pas le déranger « john vient de me faire jouir, et j’en ai encore très envie » ; quelque temps plus tard la réponse « j’espère qu’il a été bon, t’ es une vraie coquine et je crois que leur séjour va être riche en événements ; je t’aime »
Notre commune est engagée dans la commémoration pour la dernière guerre et afin de limiter ses frais, le maire a sollicité ses administrés, afin qu’ils hébergent dans la mesure de leurs moyens, des soldats canadiens. Pour nous ce sera deux soldats, plus deux autres le midi car leurs hébergeants ne sont pas dispo en journée. Pas de problème pour nous, car je suis en retraite et ma miss a pu poser cinq jours de congés.
A l’arrivée du contingent la répartition se fait au hasard, et nous héritons de deux solides gaillards, parlant parfaitement le français, ce qui m’arrange bien car mon anglais est anecdotique ; récupération du barda, réception, et nous voilà chez nous ; soirée très simple, fraternelle, pleine d’anecdotes de nos invités et nous voila couchés. Ma miss me fait part de son plaisir d’accueillir ces deux jeunes hommes, courtois, sympathiques et cerise sur le gâteau, bien foutus. En effet ce sont des hommes de commando, bien charpentés, et très certainement très réactifs ; bien entendu, l’évocation de leurs atouts nous donnent des idées et cela se termine par une partie de jambes, très coquine.
Le lendemain matin, ils nous quittent de bonne heure pour les répétitions et pour ma part je me rends à la mairie avec les autres bénévoles. Quand je reviens à la maison, je suis étonné de trouver ma douce, dansant un rock endiablé avec l’un des soldats, encouragés par les trois autres. C’est vrai, deux autres viennent manger le midi. Cependant, je constate qu’ils profitent aussi du spectacle, car je ne sais si Béa l’a fait exprès mais sa jupe est très courte et ses admirateurs peuvent régulièrement découvrir ses fesses et la couleur de son slip, lorsque sa jupe virevolte au rythme de la musique. Mon arrivée interrompt la séance et le repas se déroule normalement ou presque car je peux constater que les regards vers Béa sont bien appuyés ; il faut reconnaitre que c’est une belle femme, une jolie poitrine bien formée, de jolies jambes sous un joli fessier, bien rebondi et surtout un très joli visage, toujours très souriant, bref une femme qui fait envie et je suis le premier à le reconnaitre et à en profiter, car en plus de sa beauté, c’est une amante très gourmande.
Un bon repas et nous terminons la soirée en regardant des photos de mon père et de ma famille, alors que je prépare le café quand soudain, je vois Béa rougir et fermer rapidement l’ordi ; les deux hommes cependant ont le sourire, et joyeusement l’un des deux s’esclaffe » très belles images, dommage que cela s’arrête » ; je comprends alors que certaines photos doivent être plus privées ; mais il est trop tard. Gênée, Béa s’est échappée ; je m’excuse auprès deux, mais cela n’a pas eu l’air de leur déplaire si j’en crois la bosse qui s’est formée chez l’un des deux. Au contraire, il me félicite d’avoir une si belle femme et qu’il aimerait bien que sa femme accepte de faire la même chose ; je réalise alors que les images en question sont en réalité un petit film très coquin, que nous venions de faire quelques jours auparavant. Et c’est avec un grand sourire qu’ils me quittent et me demandant de saluer ma miss.
En arrivant dans notre chambre, je découvre une Béa sur le lit, nue, un masque sur les yeux et surtout très offerte, les cuisses bien écartées, dévoilant sa fente, déjà ouverte d’où perle des gouttes de cyprine. J’en déduis que loin d’être choquée, elle est au contraire très excitée d’avoir été vue me faisant une pipe, avant de se faire prendre. Inutile de préciser qu’en un instant j’étais nu, et la queue bien bandée, je lui ai fait l’amour, la possèdant furieusement, encouragé par ses demandes de la défoncer et de la faire jouir. La jouissance est venue, puissante, fulgurante et accompagnée de puissants cris qui à n’en pas douter, ont dû être entendus de nos invités.
Béa.
Lorsque je me réveille, jean n’est plus à côté de moi ; il a l’habitude de se lever tôt, de prendre son café en lisant ses mails. Pour moi, je suis une peu plus tardive, surtout ce matin ; je suis encore moulue de nos exploits de cette nuit ; j’ai la chatte engluée de semence et les adducteurs douloureux d’avoir été écartelée. J’ai envie de lui faire une surprise et j’enfile un combiné de nuit, très coquin ; un simple voile recouvre le haut, alors que mon bas est un shorty, très ample et très transparent ; pour accentuer la provocation, je le remonte le plus possible, ce qui fait que ma chatte est écrasée sur le tissu. Quand je déboule dans le salon, il reste un moment éberlué, puis rapidement, il retrouve ses esprits ou plutôt ses envies ; ce que j’espérais. Me plaquant sur le bras du canapé, il a tôt fait de me prendre, écartant simplement le tissu ; me traitant de sale petite coquine, il me pourfend, prenant son plaisir, fortement, à grand coup de queue ; il ne faut pas longtemps pour que ma jouissance arrive, d’autant plus que je découvre que nous sommes épies ; en effet John, dans l’entrebâillement de la porte assiste à notre ébat ; je ne sais pas depuis quand, mais sa main dans son survêtement prouve qu’il a du bien en profiter ; nos regards se croisent et m’invitant au silence en posant un doigt sur sa bouche, il se retire, à mon grand regret ; quand jean éjacule, je ne peux retenir un long cri .
Mon homme vient de partir, mais je suis toujours dans la cuisine, espérant l’arrivée de John ; des bruits de pas, mais je ne me retourne pas ; deux mains se plaquent sur le tissu qui recouvre mes seins ; mes tétons sont vite triturés ; appuyé contre moi, je sens très bien son gros bâton qui s’écrase sur mon fessier. Puis me soulevant, il me dépose sur la table, posant mes jambes sur ses épaules ; , après m’avoir arraché le shorty ; les cuisses ouvertes, je lui offre la pleine vue sur mon intimité, les lèvres encore pleines de semence ; en une poussée , il a investi ma grotte, sans aucune difficulté ; sa queue , pourtant grosse et longue glisse facilement dans le conduit bien lubrifié et quand il ressort, un bruit indécent s’échappe de mes petites lèvres ; la deuxième pénétration est tout aussi violente et m’agrippant les seins , il me baise frénétiquement, m’avouant qu’hier soir , mes cris lui avait donné beaucoup d’envie et que mon silence de ce matin lui avait donné l’envie furieuse de me prendre..
Pour me prendre, il m’a pris, me baisant longuement, me retournant à plat ventre pour me prendre en levrette ; à chaque fois que son gland frappait le fond de mon vagin, une décharge me transperçait, pour finir quand ses jets, chauds et nombreux m’ont fécondé, en un feulement de plaisir ; me prenant dans ses bras, il m’a tendrement embrassé fouillant ma bouche avec sa langue ; puis s’écartant, il m’a dit « je sais que tu as toujours envie ; j’ai envie te faire jouir, tout au long de mon séjour » me fixant intensément, il attendait ma réponse ; l’embrassant à mon tour, je me suis échappée ,le laissant dans l’interrogation.
Une fois dans ma chambre, j’ai laissé un message à mon homme, pour ne pas le déranger « john vient de me faire jouir, et j’en ai encore très envie » ; quelque temps plus tard la réponse « j’espère qu’il a été bon, t’ es une vraie coquine et je crois que leur séjour va être riche en événements ; je t’aime »
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Dommage texte pas assez aéré...