Titre de l'histoire érotique : Une exhibitionniste par webcam passe à l'action - histoire érotique

C’est une femme mariée, jeune de vingt huit ans, heureuse avec son mari qui doit se rendre de temps en temps en voyages professionnels de plusieurs semaines, il est monteur de machines compliquées qu’il doit alors monter à l’étranger ou en assurer la maintenance.
Et madame, que fait madame pendant ce temps là.
Quand elle ne fait pas de shopping avec ses amies, elle s’ennuie de lui, alors elle se saisit d’objets érotiques, très érotiques pour se faire jouir en pensant à lui.
Mais depuis quelques temps, elle a découvert les joies d’internet et de la webcam.
S’est ainsi qu’elle aime se dénuder devant un ou des inconnus qu’elle ne désire même pas voir
Des images magnifiques pour montrer son corps éblouissant : une jolie frimousse d’ange, une poitrine voluptueuse, une taille fine dont elle aime accentuer la finesse en portant un corset (en satin ou en cuir, même aussi en latex), des hanches majestueuses et de longues jambes fines qui se terminent par des pieds enfermés dans des chaussures, bottines ou bottes très hautes à talons fins très élevés.
Elle aime aussi à montrer ses reins cambrés au dessus de fesses somptueuses et bien rondes.
Ces images ne lui suffissent plus, rapidement, elle les agrémente de ses jeux :
Elle aime caresser sa poitrine, pincer ses mamelons entre ses doigts en se tortillant de plaisir évident.
Elle prend un plaisir intense à caresser son sexe absolument épilé et lisse comme une peau de pêche avec des godes de toutes les couleurs, de toutes les formes et à les introduire dans sa chatte mouillée puis d’aller et venir jusqu’à l’explosion de bonheur.
Avec une grâce immense, elle suce ces godes à pleines bouche dans des grimaces qui démontrent qu’elle aime ça.
Elle n’oublie pas non plus son derrière : ses doigts qui caressent sa rosette avant d’y introduire des boules de geisha, des Plugs plus ou moins gros et de se prendre le cul avec les godes qui entrent complètement en elle.
Dans un blog, elle fait part de ses jouissances à faire de tels jeux…. Pour ma part je pratique plutôt l’auto bondage… un jeu également solitaire.
Un jour, poussé par la curiosité, je lui envoie un courriel lui demandant pourquoi elle ne s’exhibe que devant une webcam.
Sa réponse est simple et logique, s’est elle qui fixe les règles du jeu.
Alors, je lui propose un nouveau jeu : aimerais-tu t’exhiber devant un homme attaché, qui n’est pas forcément nu, mais incapable de la déranger dans ses exaltations.
Elle me confie ne pas être très emballées par cette proposition d’autant plus qu’elle est maladroite et ne sait pas faire un nœud quelconque qui tienne et qu’elle a lue sut le web que la plupart des cordes avaient tendance glisser.
Je l’informe que je connais une méthode infaillible mais pas encore répandue de rendre un nœud ferme et indétachable pour l’attaché… seul la personne ayant sécurisé le nœud peut l’ouvrir rapidement.
Après maints courriels, elle se laisse séduire par une expérience.
Son mari est de nouveau absent, pour trois semaines. Je reçois un courriel d’elle ne demandant si je voulais toujours faire l’expérience d’être attaché devant elle pendant qu’elle s’exhiberait…
Bien sur que je suis d’accord. Par courriel nous prenons rendez-vous sur un parking de supermarché ou elle vient me chercher. Elle me demande de porter des lunettes pour regarder les éclipses solaire : par discrétion, pour ne pas que je sache où elle habite, ce que je fais volontiers.
Chez elle, nous discutons de la meilleure manière de m’attacher.
Elle veut que je sois habillé, les mains attachées dans le dos après un tube de chauffage le long d’un mur, les chevilles devront également attachées ensemble.
Je lui explique qu’elle peut simplement enrouler une corde autour de mes poignets, sans qu’ils se touchent, puis qu’elle peut faire un double nœud sommaire car c’est ensuite que ce nœud qui est facile à réaliser va être sécurisé et mes poignets fortement serrés ensemble.
Je lui demande alors de sortir du sac que j’ai avec moi deux serres câbles ainsi qu’un outil spécial pour serrer les serres câbles et la pince coupante pour sectionner les serres câbles et ainsi me libérer.
Je lui propose alors de placer un serres câbles de chaque coté du nœud et de serrer les serres câbles avec l’outil se serrage… de serrer jusqu’à ce que l’outil de serrage sectionne de lui-même le trop de serre câble.
Elle s’applique à suivre mes instructions et constate alors elle-même que mes poignets sont bien serrés et surtout que le nœud très simple qu’elle a fait est indétachable car les cordes sont maintenues par les serres câbles et ne glissent plus du tout.
Elle trouve cela vraiment rudimentaire mais solide, elle qui avait peur de faire le premier pas…
Elle s’emploie à faire la même chose avec mes chevilles.
Pour pimenter la chose, je lui propose de passer une corde autour de mes coudes pour les rapprocher l’un de l’autre, lui faisant remarquer que ce qui est le plus efficace c’est de faire cela sur mes bras nus et que cela ne devrait pas trop la gêner de me regarder le torse nu.
Elle n’est pas obligée d’ouvrir la corde qu’elle a passée autour de mes poignets, seulement de couper les serre câbles, la corde forme un bracelet autour de mes poignets qui est facile à retirer et à remettre en place.
Après m’avoir retirée ma chemise, elle ligote de nouveau solidement mes poignets.
Je lui explique qu’elle peut faire un tel bracelet sur mes avant-bras, que mes coudes vont se resserrer automatiquement.
Bien sur que mes coudes ne se touchent pas, elle peut régler l’espace entre mes coudes en remontant alors le bracelet plus haut sur mes avant-bras vers mes coudes…
Elle remonte lentement le bracelet de corde jusqu’au dessus de mes coudes, cela me fait légèrement mal mais je ne vais pas me plaindre, surtout qu’elle trouve cela joli et me demande si elle peut y mettre un serre câble.
Bien entendu qu’elle peut y placer un serre câble bien que je n’aie jamais essayé, premièrement ce n’est pas facile à placer tout seul et surtout, si un jour je fais cela, je ne pourrais pas me détacher out seul.
Elle place le serre câbles et le serre avec l’outil, je sens mes coudes s’écraser l’un contre l’autre, je dois faire une grimace grotesque. Une grimace de douleur ou une grimace de plaisir : ma verge se durci dans mon pantalon et se fait d’autant plus remarquée que je ne porte pas de slip comme d’habitude.
Elle me fait sautiller contre le mur près d’un tuyau de chauffage et y fixe mes poignets avec un serre câbles.
- Tu es mignon comme ça, tu ressembles à un légionnaire au garde à vous.
- Tu les aimes les légionnaires ?
- Il m’arrive de me caresser devant ma webcam en pensant à des légionnaires. Imagine-toi, la nuit vient de tomber. Je rentre dans une chambrée de légionnaires, tous de beaux garçons bien musclés et costauds. Lorsqu’ils m’aperçoivent il ne faut pas longtemps pour qu’ils se saisissent de moi et me foutent à poil. « Attention, elle va crier » L’un d’entre eux me prend par les cheveux, m’oblige à me mettre à genoux et de suite, je sens une bitte s’enfoncer enter mes lèvres. Il appuie ma tête et empale son truc dans ma bouche. J’essaye de ne rien faire mais rapidement je me prends au jeu et suce et aspire de toutes mes forces, du sperme coule au fond de ma gorge, puis une autre bitte suit, et encore une autre, je les suce tous au moins une fois, certain deux fois, d’autre trois fois ou plus, je ne compte pas « elle aime ça la salope, on va la servir ». Ils me plaquent alors de force sur un lit de camp me tiennent les poignets ensemble mais les jambes largement écartées. Je n’ai plus envie de crier. L’un d’entre eux passe sa main entre mes cuisses, ma chatte est complètement mouillée. Une queue s’introduit dans ma chatte… je sens des va et vient effrénés puis une chaleur au fond de mon trou qui n’indique qu’il vient de se vider mais déjà une autre queue prend la place puis une autre, ils me prennent tous autant de fois qu’ils en ont envie. « J’ai envie de son cul » Je me débats, mais rapidement je me retrouve à genoux au bord du lit, le cul grand ouvert et une verge vigoureuse s’enfonce sans ménagement dans ma rosette qui s’ouvre il m’encule puis un autre, tous m’encule, j’en suis certaine… L’un d’ente eux se glisse sous mon ventre pour que je m’empale sur lui pendant qu’un m’encule toujours, un troisième se place devant moi, je le suce avidement. Trois à la fois… le reste de la nuit jusqu’à ce que le clairon retentisse au loin… d’un coup la chambrée se vide, je suis seule. Ma bouche est peine de sperme qui coule sur mes joues. Mon cul et ma chatte sont pleins de sauce d’hommes forts qui ruisselle le long de mes jambes. Je m’habille et rentre chez moi… rompue mais comblée.
- Tu rêves de drôle de chose ?
- Ce n’est pas un rêve, c’est uniquement un stimulant pour mieux m’exciter… et pouvoir jouir fortement… hum…. J’aime ça…
Elle me regarde avec des yeux de chatte en chaleur, me fait un striptease magnifique ne cachant rien de son corps.
Elle s’installe dans un fauteuil en face de moi, passe ses longues jambes par-dessus les accoudoirs, elle offre à mon regard son sexe.
Elle m’observe de longues minutes en effleurant son sexe… elle se relève, s’approche de moi en caressant ses seins, en titillant ses tétons.
- Tu aimerais bien m’aider espèce de salop ?
- Pourquoi suis-je un salop ? Je ne fais rien.
- Menteur, regarde ta queue, tu bandes et là aussi tu bandes…
Et de me montrer mes tétons bien durs eux aussi…
Elle s’approche d’avantage et caresse mes tétons avec les siens, je tends mon torse encore plus en avant pour mieux la sentir.
- Salopard, tu aimes ça.
Ses doigts glissent de sa poitrine sur la mienne, elle s’empare de mes deux tétons et les triture fortement entre ses doigts… elle me fait mal mais c’est vrai que cela me picote et ma queue réagit en bandant plus fort.
Elle écrase maintenant mes tétons entre l’ongle de son pouce et son index, je cherche à échapper à sa pression mais il n’y a rien à faire, sa prise est forte et elle accompagne tous mes mouvements.
- Tu vas voir, je vais te faire encore plus de bien.
Elle s’en va me montrant un fessier magnifique et revient en me montrant deux pinces à linge.
- C’est pour toi mon chou. Tu vas voir, cela va te faire bander encore plus.
Je ne peux pas échapper à ses doigts habiles qui me saisissent un téton et posent une pince à linge puis, l’autre téton subit le même traitement. Elle joue avec les pinces, appuie sur le bout des pinces pour que la pression soit plus forte, elle les tourne dans tous les sens. Je me contorsionne et pousse des cris.
Elle retourne s’installer dans son fauteuil armée de ses godes et se prend devant moi pudeur.
- Cela m’excite plus de voir que tu me regardes, je mouille pus que devant ma webcam. Tu vas me le payer.
Elle vient près de moi, ouvre la ceinture de mon pantalon et dégrafe les boutons qui le retienne.
- Eh, ce n’est comme ça que nous avions convenus.
- Je ne pense pas que tu aies quelque chose à redire si je te mets à poil…
Elle glisse mon pantalon sur mes cuisses, se mets à genoux devant moi et le baisse jusqu’à mes chevilles.
Ma verge est au garde à vous, comme peuvent l’être les légionnaires.
Sans un regard, elle retourne s’exhiber devant moi, je ne sais pas comment cela va se terminer mais vous mesdames que feriez-vous à sa place.