Titre de l'histoire érotique : Une nuit à l'hotel
Récit érotique écrit par Raphaël le débauché [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2003 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une nuit à l'hotel
Je suis cadre de direction, frequemment en mission. Ce soir là, je descends dans un hotel de luxe. Il est tres tard, je suis fatigué. J'ai besoin de me relaxer. Je prends une douche chaude, j'enfile mon peignoir, j'allume le poste de TV. Une des chaines diffuse un film x, "confessions intimes" je crois. Deux superbes blondes font l'amour avec un black. C'est beau. Instinctivement, ma queue se tend et je me masturbe tranquillement.
Soudain, la sonnerie résonne. Une femme de chambre se presente et me demande si je n'ai besoin de rien. Je la fais entrer en pretextant des problemes de connexion informatique. Elle s'apercoit vite de la supercherie ... et de la taille de ma queue.
<< de quoi avez-vous reellement besoin? me dit-elle en souriant et regardant fixement mon sexe.
Avant même que je reponde, elle se met a genoux et commence à fourrer ma queue dans sa bouche. Je sens sa langue tourner autour de mon gland. Elle commence alors à bouger la tete. Elle est experte et je me sens tres bien.
Je ne veux pas ejaculer tout de suite. Je la releve, ote delicatement ses vetements. Je m'apercois qu'elle n'a aucun sous-vetement. Ses seins sont fermes et sentent bon la femme. Je joue un moment avec ses tetons puis descends ma langue vers sa chatte. Elle est a demi epilée, fraiche. J'ouvre ses levres avec mes doigts puis je la suce. J'entends des petits gemissements. Je la fais assoir sur le lit, en levrette et je commence a fourrer sa jolie chatte baveuse avec mon sexe. En meme temps, j'humecte bien son petit cul. Au moment ou mon foutre se deverse dans sa chatte, une nouvelle sonnerie retentit. J'abandonne ma compagne d'un soir et j'ouvre, sans preter attention a ma posture.
C'est une autre soubrette, la quarantaine. Pas genée du tout, elle me pousse et referme la porte. Elle voit sa collegue allongee, se masturbant.
<< Je te cherchais partout. Je comprends pourquoi je ne te trouvais pas.
En disant cela, elle ote ses vetements.
Me voila avec deux soubrettes, excitees, sucant chacune mon sexe brulant, ouvrant leurs cuisses à mes longs va-et-vient, ecartant leur cul pour laisser passer ma queue, acceptant que je me masturbe devant elle et crache tout mon foutre chaud sur leur visage.
La nuit est longue, il y a longtemps que le film x est terminé... j'aurai loupé la fin de l'histoire, sans regret.
Soudain, la sonnerie résonne. Une femme de chambre se presente et me demande si je n'ai besoin de rien. Je la fais entrer en pretextant des problemes de connexion informatique. Elle s'apercoit vite de la supercherie ... et de la taille de ma queue.
<< de quoi avez-vous reellement besoin? me dit-elle en souriant et regardant fixement mon sexe.
Avant même que je reponde, elle se met a genoux et commence à fourrer ma queue dans sa bouche. Je sens sa langue tourner autour de mon gland. Elle commence alors à bouger la tete. Elle est experte et je me sens tres bien.
Je ne veux pas ejaculer tout de suite. Je la releve, ote delicatement ses vetements. Je m'apercois qu'elle n'a aucun sous-vetement. Ses seins sont fermes et sentent bon la femme. Je joue un moment avec ses tetons puis descends ma langue vers sa chatte. Elle est a demi epilée, fraiche. J'ouvre ses levres avec mes doigts puis je la suce. J'entends des petits gemissements. Je la fais assoir sur le lit, en levrette et je commence a fourrer sa jolie chatte baveuse avec mon sexe. En meme temps, j'humecte bien son petit cul. Au moment ou mon foutre se deverse dans sa chatte, une nouvelle sonnerie retentit. J'abandonne ma compagne d'un soir et j'ouvre, sans preter attention a ma posture.
C'est une autre soubrette, la quarantaine. Pas genée du tout, elle me pousse et referme la porte. Elle voit sa collegue allongee, se masturbant.
<< Je te cherchais partout. Je comprends pourquoi je ne te trouvais pas.
En disant cela, elle ote ses vetements.
Me voila avec deux soubrettes, excitees, sucant chacune mon sexe brulant, ouvrant leurs cuisses à mes longs va-et-vient, ecartant leur cul pour laisser passer ma queue, acceptant que je me masturbe devant elle et crache tout mon foutre chaud sur leur visage.
La nuit est longue, il y a longtemps que le film x est terminé... j'aurai loupé la fin de l'histoire, sans regret.
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