Titre de l'histoire érotique : Une partie carrée
Récit érotique écrit par Le fou de sexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 9 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2009 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Une partie carrée
Le repas se terminait quand Marc revint dans la salle à manger.
- On passe au salon ?
- Allons
Nous avions fait la connaissance de Frédérique et Simon lors de nos dernières vacances sur la côte. Ils bronzaient à deux
serviettes de là et nos enfants s’étaient mis à jouer ensemble. De fil en aiguille, nous avions discuté, nous nous étions
invité à diner et avions promis de nous revoir. C’était chose faite.
Frédérique était toute menue avec une paire de seins tout petits, mais avec des mamelons très proéminents. Simon était
un bel homme, musclé comme il fallait, ni trop, ni trop peu. Je ne m’étais pas préparé à ce qu’il me suive à la cuisine pour
m’aider à rapporter les cafés. C’est en retournant que je me trouvais face à lui. Il me prit par les hanches et se mit à me
rouler une pelle. Surprise, je me laissais aller à ses lèvres et à sa langue.
- Laisse toi faire, Fred va s’occuper de Marc. A moins que tu veuilles les rejoindre.
Je ne lui répondis pas et retournait au salon, avec mon plateau. Le chemisier de Frédérique avait deux boutons ouverts et
sa jupe était retroussée, dévoilant sa chatte que ne cachait aucune culotte.
- Vous avez déjà fait l’amour à plusieurs, demanda alors Simon.
- Non, répondis-je.
- Ça vous tente, demanda Frédérique.
- Pourquoi pas, me surpris-je à répondre. Marc ?
- Il ne faut pas mourir idiot. On prend le café…
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase. Je posai mes lèvres entrouvertes sur les siennes et ma langue investissait
sa bouche. Simon pris la direction de la chatte de Frédérique et se mit à la lécher avec sensualité. Une main se posa sur
ses seins et l’autre vint se glisser sous ma jupe. Je le laissais faire. Ce fut alors que Marc entreprit de dégrafer le chemisier
de Frédérique.
En l’espace de quelques minutes, nous étions nus tous les quatre et la situation parti complètement en vrille. Marc léchait
Frédérique qui me léchait et flattait mes seins, pendant que je suçais la bite de Simon. Puis nous tournions et je suçais
Marc pendant qu’il caressait Frédérique et et que Simon me doigtait.
Puis nos mélanges prirent une autre tournure quand Frédérique attrapa son sac, en sortit deux capotes et en revêtit les
bites des deux hommes. Elle écarta les cuisses et attira son mari qui se mit à la baiser avec vigueur. La vue de ce couple
qui baisait là en face de moi me fit un électrochoc. Je pris la bite de Marc, me mis à quatre pattes sur la table basse et me
fourra cette queue dans la chatte. À peine pénétrée, je fus saisi d’un orgasme violent. Marc s’agrippât à mes hanches et se
mit à me baiser presque violemment.
Pris dans le tourbillon de nos corps et dans les odeurs de stupres, les deux hommes jouirent quasiment au même moment.
Marc se retira de ma chatte. Je lui enlevai le préservatif et lui léchai la queue pour finir de lui vider les couilles. Frédérique
fit de même, puis sans dire un mot, nos lèvres se joignirent et nous échangèrent les goûts de nos maris. Il était temps de
prendre le café.
- On passe au salon ?
- Allons
Nous avions fait la connaissance de Frédérique et Simon lors de nos dernières vacances sur la côte. Ils bronzaient à deux
serviettes de là et nos enfants s’étaient mis à jouer ensemble. De fil en aiguille, nous avions discuté, nous nous étions
invité à diner et avions promis de nous revoir. C’était chose faite.
Frédérique était toute menue avec une paire de seins tout petits, mais avec des mamelons très proéminents. Simon était
un bel homme, musclé comme il fallait, ni trop, ni trop peu. Je ne m’étais pas préparé à ce qu’il me suive à la cuisine pour
m’aider à rapporter les cafés. C’est en retournant que je me trouvais face à lui. Il me prit par les hanches et se mit à me
rouler une pelle. Surprise, je me laissais aller à ses lèvres et à sa langue.
- Laisse toi faire, Fred va s’occuper de Marc. A moins que tu veuilles les rejoindre.
Je ne lui répondis pas et retournait au salon, avec mon plateau. Le chemisier de Frédérique avait deux boutons ouverts et
sa jupe était retroussée, dévoilant sa chatte que ne cachait aucune culotte.
- Vous avez déjà fait l’amour à plusieurs, demanda alors Simon.
- Non, répondis-je.
- Ça vous tente, demanda Frédérique.
- Pourquoi pas, me surpris-je à répondre. Marc ?
- Il ne faut pas mourir idiot. On prend le café…
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase. Je posai mes lèvres entrouvertes sur les siennes et ma langue investissait
sa bouche. Simon pris la direction de la chatte de Frédérique et se mit à la lécher avec sensualité. Une main se posa sur
ses seins et l’autre vint se glisser sous ma jupe. Je le laissais faire. Ce fut alors que Marc entreprit de dégrafer le chemisier
de Frédérique.
En l’espace de quelques minutes, nous étions nus tous les quatre et la situation parti complètement en vrille. Marc léchait
Frédérique qui me léchait et flattait mes seins, pendant que je suçais la bite de Simon. Puis nous tournions et je suçais
Marc pendant qu’il caressait Frédérique et et que Simon me doigtait.
Puis nos mélanges prirent une autre tournure quand Frédérique attrapa son sac, en sortit deux capotes et en revêtit les
bites des deux hommes. Elle écarta les cuisses et attira son mari qui se mit à la baiser avec vigueur. La vue de ce couple
qui baisait là en face de moi me fit un électrochoc. Je pris la bite de Marc, me mis à quatre pattes sur la table basse et me
fourra cette queue dans la chatte. À peine pénétrée, je fus saisi d’un orgasme violent. Marc s’agrippât à mes hanches et se
mit à me baiser presque violemment.
Pris dans le tourbillon de nos corps et dans les odeurs de stupres, les deux hommes jouirent quasiment au même moment.
Marc se retira de ma chatte. Je lui enlevai le préservatif et lui léchai la queue pour finir de lui vider les couilles. Frédérique
fit de même, puis sans dire un mot, nos lèvres se joignirent et nous échangèrent les goûts de nos maris. Il était temps de
prendre le café.
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