Titre de l'histoire érotique : Une rencontre inattendue - histoire érotique

Comme souvent pendant mes jours de repos, je vais m'allonger au bord du lac. Je suis cuisinier dans un hôtel restaurant dans le sud de la France et les touristes ne manquent pas. Il y a quelques familles avec enfants qui jouent, d'autres s'activent à courrir ou à se prélasser sur leur serviette. Il est bientôt 16 heures, le soleil tape fort alors je décide d'aller faire une petite trempette. Je passe à proximité de plusieurs personnes dont une femme que je trouve ravissante. Elle doit avoir dans les cinquante ans, aux cheveux grisonnants ramenés en chignon, elle est allongée sur le ventre ce qui me laisser voir son fessier qui semble ferme et rond. Le maillot bleu une pièce qu'elle porte est glissé entre ses deux parties charnues qui sont ainsi exposées au rayons du soleil, ce qui est une invitation à une caresse, et peut-être bien plus encore. Lorsque je passe à ses côtés elle lève la tête de son livre et lance un bonjour aux intonations allemandes en souriant.
- " Bonjour " répondis-je simplement, et je me dirige vers le lac. Je nage quelques minutes tout en gardant un oeil et restant à proximité de cette dame. Je sors de l'eau, elle est maintenant allongée sur le dos lorsque je retourne à ma serviette. Sa poitrine est assez volumineuse aux seins lourds et ronds, le tissu du maillot est prêt à éclater. Je ne peux en détacher mon regard. Je récupère ma serviette et me dirige sous les arbres et m'installe à l'ombre, allongé. Je garde de vue cette femme qui se tient à nouveau sur le ventre en regardant dans ma direction. Je la trouve exitante, je sens des picotements dans mon ventre, alors je m'imagine en train de caresser ses fesses, de les embrasser. Je glisse une main dans mon caleçon et me caresse les couilles, le sexe, je le sers, le tire, le décalotte, en même temps je pince mes tétons qui commencent à durcir. Lorsque j'ouvre les yeux, elle s'est levée et se dirige sur le chemin pour se rendre au parking, ce chemin qui passe à quelques mètres de moi. D'un naturel plutôt exhibitionniste je décide de retirer mon caleçon et de m'asseoir les jambes écartées face au chemin. Dans la position où je suis elle ne peut pas passer sans me voir. Je suis excité et je sens mon sexe se durcir. Elle s'avance en tournant la tête vers moi avec un large sourire sur ses lèvres mais sans s'arrêter. Elle me fait signe de la main et disparait. Mon excitation retombe rapidement, je remet mon caleçon ne sachant quoi faire ni quoi penser de cette situation.
- " Moins chaud ici " résonne une voix derrière moi, la même voix que cette femme au maillot bleu.
Je me retourne, je reste sans pouvoir bouger ni dire quelque chose, elle est en appuis contre un arbre, les bras croisés, elle a roulé son maillot à la taille dévoilant ainsi sa poitrine aux gros seins ronds et lourds. Elle me fait signe de m'approcher, je me lève et déjà je sens ma bite durcir dans mon caleçon, les couilles se gonfler. Elle sourit lorsque je suis près d'elle en baissant son regard sur mon entrecuisse. Je prends ses seins en main d'abord avant de porter ma bouche à ses tétons érigés avec de larges auréoles brunes. Je les sucent, les aspirent, les pincent entre les dents, elle pousse de petits gémissements de plaisirs. Je presse ses seins l'un contre l'autre et enfouis mon visage au milieu, elle rit. Je la plaque contre l'arbre, nos corps se frottent, se caressent l'un contre l'autre, ma bite glisse entre ses cuisses pour venir s'y frotter. Mes mains, mes doigts écrasent ses seins, ses mains ne restent pas inactivent, elles tirent sur mon caleçon faisant ainsi jaillir ma bite maintenant dressée au gland décalotté. Sa respiration devient plus rapide lorsque à mon tour je glisse mes doigts entre ses cuisses, c'est chaud, c'est humide. On s'embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent. Après quelques minutes de cette danse sexuelle je glisse à genoux devant elle, tire sur son maillot pour lui enlever. Son sexe m'apparait dans toute sa splendeur et dans sa plus simple beauté, totalement épilé. Les lèvres sont fines, le clitoris est dur alors j'approche ma bouche vers cet organe de tous les plaisirs. Je l'aspire, le fait tourner sous la langue, le pince entre les lèvres ou les dents, je le sens qui durcit encore sous mes caresses. Elle m'agrippe la tête et m'attire plus fort vers elle. Je soulève une de ses jambes pour la passer sur mon épaule pour faciliter l'accés à son sexe et l'ouvrir un peu plus à ce cuni savoureux. Avec sa main libre elle tire sur ses tétons, presse un sein puis l'autre, son bassin remue d'avant en arrière, son sexe se frotte sur mon visage qui se couvre de son jus intime. Je profite de ma position pour glisser un doigt dans son sexe. Elle gémit à cette intrusion volontaire de ma part, un second ne tarde pas à suivre. Sa respiration est maintenant rapide, hâchée, je sens son sexe se contracter sur mes doigts, son jus coule avec abondance sur mon visage et dans un dernier coup de langue sur son clitoris elle cri, écrase son sexe sur mon visage. Je me relève pour la maintenir debout tout en gardant les doigts en elle. Ma main est écrasée presque broyée entre ses cuisses et elle jouit en tremblant de tout son corps. Elle mets plusieurs minutes avant de retrouver une respiration normale. Elle ouvre les yeux et me sourit.
- " Danke !" me dit-elle " Merci" ajoute-t-elle en souriant.
Nous restons collés l'un à l'autre contre l'arbre. Mon sexe est encore tendu. Elle baisse les yeux et me sourit. Sa main le caresse, ses doigts s'enroulent autour de ma bite dressée et commencent à la branler. Son geste est lent et appuyé. Elle se déplace et m'invite à prendre sa place dos à l'arbre. Une main sur mon sexe, l'autre sur ma poitrine, elle m'embrasse puis s'agenouille, elle me lèche les couilles, puis remonte avec le bout de la langue jusqu'au gland qu'elle prend entre ses lèvres. Nos regards ne se quittent plus, je vois de l'envie de ses yeux, de l'excitation. Je tends le bras et prends ses seins en mains, tire sur les tétons. Sa langue tourne sur le gland avant d'enfoncer ma bite toute entière dans sa bouche. Elle creuse les joues, aspire, salive. Les mouvements de sa tête sont plus rapides, elle me pompe la queue comme une affamée, je gémit de plaisir. Je pose les mains sur sa tête et imprime un mouvement rapide de ma bite dans sa bouche que j'utilise comme si c'était son sexe. Elle me caresse les couilles couvertent de salive. Je suis prêt à exploser au fond de sa gorge mais je me retiens. Je sors ma bite de sa bouche, frappe son visage. Elle se relève et se place à nouveau dos à l'arbre, pliant et écartant légèrement les jambes. C'est une invitation à la baiser qu'elle me propose. Je m'avance vers elle, pointant ma bite entre ses cuisses. Je frotte le gland sur son petit bouton tendu, dur et sensible. Elle gémit, puis le frottement se fait plus insistant contre son sexe humide et gorgé de sang, j'exerce une pression et pousse mon bassin en avant, je m'introduit en elle, notre respiration est comme à l'arrêt pendant que je m'enfonce en elle. Son sexe s'ouvre, les lèvres s'écartent, nous ne formons plus qu'une seule personne. Lorsque je suis enfin tout entier en elle, on s'embrasse, puis je commence à bouger mon bassin. Alors que je m'enfonce encore une fois d'une façon plus rapide et plus forte, elle remonte ses jambes autour de ma taille, je l'attrape sous les fesses pour la maintenir. Nous gémissons presque ensemble. Je m'enfonce de plus en plus rapidement en elle, nos pubis claquent l'un contre l'autre. Mes doigts écrasent ses fesses, les écartent de telle façon que je peux parfois sentir l'un d'eux cogner contre son anus et même s'y introduire. Elle pousse un cri de plaisir à ce contact en rejetant la tête en arrière. Elle relâche son emprise autour de ma taille. On s'embrasse puis elle se tourne face à l'arbre. Elle se penche un peu, écarte les jambes. Son regard se pose sur mon sexe luisant de son jus puis pose ses mains sur ses fesses pour les écarter.
- " Encore...plus fort ! " dit-elle en plaquant une main sur son sexe comme pour me faire comprendre que cette entrée est bouchée mais en pointant un doigt sur son anus.
Je m'avance alors vers ce trou luisant de mouille. Elle prend ma bite en main et la frotte entre ses fesses, puis place le gland sur cet orifice. Elle remue du bassin, avance et recule les fesses, je ne bouge pas, c'est elle qui fait entrer le gland selon son envie et comme elle le souhaite. Une fois en elle, elle pousse un soupir puis un gémissement. Je reste sans bouger avant qu'elle décide de reculer pour que je glisse en elle. Je respire fort tout comme elle. J'écarte ses fesses, je les caresses, je tire sur la pointe de ses seins maintenant dures. Puis je ressort lentement ma bite d'entre ses fesses pour m'y enfoncer à nouveau de façon plus rapide. Je m'agrippe à ses hanches et accélère les rythme, mes coups de reins sont plus forts, chacun pousse un cri à chaque fois, je sens ses doigts qui caressent mes boules lorsque je suis entier en elle, elle me les griffent même. Je vais de plus en plus fort et vite en elle, je sens mes boules qui se contractent. Je sens aussi son anus qui se resserre sur ma bite, nous allons jouir ensemble. Dans un mouvement rapide et soudain elle se retourne, m'attrape par la bite et la glisse dans son sexe largement ouvert. Je me sens comme aspire et dans un violent coup de rein j'explose au fond de son sexe. Nous crions ensemble notre jouissance, elle me mord l'épaule, j'enfonce mes doigts dans ses fesses, nos corps tremblent, ensembles. Nous restons collés l'un à l'autre plusieurs minutes avant de nous allonger sur l'herbe. Nous assistons ensemble au coucher de soleil de l'autre côté du lac. Nous décidons de passer la dernière soirée de ses vacances ensembles avant qu'elle ne reparte chez elle.