Titre de l'histoire érotique : Une semaine à oublier 1/3

- Par l'auteur HDS Laure60 -
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Une semaine à oublier 1/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Une semaine à oublier 1/3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Pierre mon mari est excédé par mon comportement du moment: je rentre très tard depuis plusieurs jours et une nuit j'ai découché alors qu'actuellement il n'est pas en déplacement donc disponible pour satisfaire mes besoins sexuels. Accroc au sexe j'ai pris de mauvaises habitudes.

<<tu ne vas pas t'en tirer comme ça et puisque actuellement tu n'en fais qu'à ta tête tu vas subir la pire des punitions afin que tu te souviennes qu'il y a des limites à ne pas dépasser>>.
<<que vas tu me faire, tu ne vas pas me renvoyer chez Mamadou le black à l'énorme sexe, il va finir par faire de ma chatte une bouche de métro ni chez Mathieu qui m'a séquestrée et enchaînée pendant un weekend, être attachée en permanence c'est trop dur à supporter>>.
<<je vais être sympa avec toi, ce n'est pas parce que tu crains de retourner les voir que je vais me laisser fléchir, je te laisse choisir entre les deux>>.
<<pas pour un weekend, c'est trop>>.
<<non, ce sera pour une semaine complète>>.
<<ne fais pas ça, je te demande pardon et je vais améliorer ma conduite>>. J'ai peur de retourner là-bas.
<<je t'ai demandé de choisir, c'est ma décision>>.
<<je vais t'obéir à contre-coeur, je préfère aller chez Mathieu>>.
<<appelles le et prends rendez vous pour lundi matin en suivant les instructions que je vais t'écrire au cours de votre conversation>>.

Je téléphone à Mathieu chez qui j'ai déjà passé un weekend prisonnière et enchaînée me soumettant à toutes ses volontés (VOIR CAPTIVITE 1/2 et 2/2).
Obéissant aux instructions que Pierre me note sur un papier au fur et à mesure de la conversation je lui demande d'être très sévère avec moi et lui dis que les quelques journées que j'ai passées en captivité chez lui cela avait été de la rigolade et qu'il devait et pouvait faire beaucoup mieux.
Il me répond qu'il va faire preuve d'imagination et que je vais en baver puisque c'est ce que je souhaite.
Je dois donc rester une semaine entière prisonnière et esclave bien qu'en semaine Mathieu ne soit pas là pendant la journée.

Le lundi matin de bonne heure Pierre me conduit jusqu'à la demeure de mon tortionnaire.
Très inquiète pour ce qui va m'arriver je traverse le parc arborisé et je frissonne en sonnant à la porte, Mathieu m'ouvre et se montre tout de suite très désagréable.
<<tu te moques de moi sale putain, tu n'es pas encore nue, je n'ai pas de temps à perdre avec une truie comme toi>>.
Je me déshabille devant la porte en restant silencieuse mais je suis décontenancée et vexée, je ne m'attendais pas à un tel accueil. Le rouge me monte aux joues.
Il me met un collier clouté pour chien autour du cou et y accroche une laisse puis tire dessus violemment pour me faire entrer dans la maison avant que je ne puisse ramasser mes vêtements.
Je dois presque courir pour le suivre pendant qu'il m'amène rapidement dans le sous-sol ou des chaînes munies de bracelets en cuir sont fixées sur un mur.
Il m'attache les chevilles et fixe les chaînes à des crochets pour que mes jambes restent écartées, il attache mes poignets et tire sur les chaînes qu'il fixe à des crochets pour que mes bras se retrouvent tirés vers le haut à me faire mal, mes pieds touchent à peine le sol.
Il me bâillonne en introduisant dans ma bouche une boule qui gonfle écartelant ma mâchoire quand il serre la vis.
Il sort sa grosse queue de son pantalon car il est bien monté, se colle contre moi et dirige son membre bien érigé contre l'entrée de mon intimité, il exerce une forte poussée qui me plaque contre le mur granuleux.
Je ressens fortement en moi le coulissement de son pieu qui repousse les chairs sans ménagement, il bute au fond de mon vagin puis mon geôlier commence les va-et-vient à grands et rapides coups de reins.
Il triture mes seins et maltraite les tétons, c'est douloureux.
Après quelques minutes sa verge augmente encore de volume en moi et agitée de soubresauts envoie des giclées de sperme qui frappent le fond de ma grotte.
Il se retire et s'essuie avec une serviette puis rajuste sa tenue.
<<je ne peux pas m'occuper plus longtemps de toi, je dois partir travailler, ne compte pas manger à midi car je ne rentre qu'à 18 heures et je pense que vu ce qui va se passer tu pourras nettoyer le sol ce soir>>.
Il part en éteignant la lumière, je reste dans le noir.
Ma position est inconfortable, le sperme qui sort de ma chatte coule sur mes cuisses, mes jambes et sur le sol.

La journée me parait interminable, mon corps est douloureux vu que je ne peux pratiquement pas bouger.
La faim tenaille mon ventre provoquant des gargouillis dans mes intestins.
A un moment j'ai terriblement mal au ventre à force de me retenir car ma vessie est pleine, j'ai beau résister je finis par uriner arrosant mes jambes et le sol. Des heures plus tard je me laisse encore aller.
Quand Mathieu revient il m'insulte copieusement et me dit qu'on n'est pas dans une porcherie.
A genoux je dois nettoyer le sol puis me tenant en laisse il m'amène me laver.
Je sors de la salle de bain, il remet le collier à mon cou et me tire pour m'amener dans le salon.
Il s'assoit sur un fauteuil et à genoux je dois sortir sa queue de son pantalon.
Puis il m'attache les mains dans le dos, je lèche longuement son membre et suçote le gland avant de lui faire une fellation. Il a une grosse envie et comme ma bouche fait des aller-retour rapides sur sa queue qui cogne au fond de ma gorge rapidement il se raidit et éjacule, je m'étrangle en avalant son sperme.

Il prend deux paires de menottes, reliées entre-elles par une courte chaînette, il me les met aux poignets et aux chevilles et après m'avoir mise à genoux attache ma laisse à un pied de table
il met mon dîner sur le sol.
<<manges espèce de chienne, ce sera ta place tous les jours>>.
Il se sert et s'assoit sur une chaise pour se restaurer.
Le repas terminé il me bâillonne puis m'amène au salon ou il regarde la télé pendant que je patiente couchée et recroquevillée à ses pieds.

Avant d'aller se coucher il me tire à l'extérieur de l'habitation, je trottine pour le suivre à cause de mes chevilles entravées. C'est l'été il fait très chaud. Il attache mon collier à une chaîne fixée à un piquet planté dans le sol et me dit d'attendre.
Un ballot de paille se trouve à proximité, il l'étale sur le sol.
Il ne va pas me laisser dormir sur la paille??? et bien si!!! quelle honte je ressens, il me prend vraiment pour un animal.
Je dois dormir nue sur la litière jambes repliées, le poignet gauche attaché à la cheville gauche, le poignet droit attaché à la cheville droite. heureusement que la végétation me cache.
Il écarte mes cuisses et s'allonge sur moi, sa grosse queue s'enfonce dans mon ventre et il me défonce pendant un bon moment avant d'arroser ma chatte de sa semence.
<<bonne nuit la truie, les animaux c'est fait pour vivre dehors>>.
Il part se coucher mais revient dans la nuit s'éclairant avec une torche électrique pour se soulager encore dans mon vagin.
Je dors mal et j'ai la chair de poule car j'ai un peu froid, en plus les bruits dans la nuit m'effraient.

Le mardi:
Je déjeune à genoux ma laisse attachée à un pied de table sur laquelle il boit un bol de café et mange des croissants.
Je lui fais une fellation et avale sa "liqueur" comme il dit avant qu'il n'aille se raser et se laver.

Je comprends que comme pour les autres jours de la semaine je vais rester seule toute la journée dans une position inconfortable et avec le supplice de la faim qui va tenailler mon ventre car je ne suis pas nourrie le midi pendant que mon bourreau est à son travail.
Mathieu est bien décidé à varier les supplices et à m'en faire baver.

Avant de partir il me traîne à l'extérieur de l'habitation, dans l'herbe il me couche sur le ventre entre deux chevalets (utilisés pour scier les bûches de bois) positionnés devant ma tête et à mes pieds.
Il m'entrave les chevilles et poignets avec des sangles, il passe un long tube metallique sous les liens, il pose les extrémités du rondin sur les chevalets, en faisant ça il a tendance à me soulever en étirant mes bras et jambes vers le haut. C'est douloureux car mon ventre et ma poitrine ne reposent pas bien sur le sol.

Il sort de sa poche un tube, il appuie dessus pour faire sortir de la crème qu'il met en grande quantité sur ses doigts et en enduit mes tétons, mon clitoris et l'intérieur de ma chatte.
<<je trouve que tu es très confortablement installée pour la journée et ici tu ne dérangeras pas la femme de ménage qui vient ce matin quoi que tu aurais pu la remplacer si j'avais eu quelqu'un pour te surveiller>>.

Le produit dont il m'a enduit fait agit rapidement sur mes organes et c'est la torture: ça chauffe, pique et me démange. C'est très désagréable et difficilement supportable.
Longtemps je me trémousse avant que l'effet de la crème ne s'estompe progressivement.
Dans la journée je ne me retiens pas quand j'ai envie d'uriner.

La douleur due à ma position ne quitte pas mon corps et je suis ankylosée, cette journée est un calvaire.
En rentrant le soir il retire le tube, libère mes chevilles et me positionne à genoux pour me prendre en levrette.
Après avoir dînée je me comporte comme une chienne et me couche à ses pieds pendant qu'il regarde la télé ensuite je passe la nuit à la belle étoile sur la paille, enchaînée, bâillonnée et entravée (avec autour de la taille une ceinture munie de menottes qui emprisonnent mes poignets). Pendant la nuit il vient se soulager dans ma bouche ensuite comme il bande encore il s'allonge sur moi et défonce ma chatte puis au bout d'un moment arrose mon intimité.
Avant de retourner se coucher il me dit:
<<toi la pute tu me fatigues avec ton cul, je ne peux pas me reposer correctement la nuit avec tes envies permanentes de bite>>.
Avec ce que j'ai dans la bouche je ne peux pas lui répondre que vu ma position le sexe ce n'est pas ma priorité.

Le mercredi:
C'est le rituel habituel du petit déjeuner, de la fellation et de la toilette.
Avant de partir il m'attache les bras vers l'arrière avec une corde passée autour d'un gros tronc d'arbre mais laisse de la liberté de mouvements à mes jambes qu'il entrave de la même manière.
<<aujourd'hui le jardinier doit venir, je lui ai dis que s'il en a envie il peut se servir de toi et que tu seras ravie de lui servir de vide-couilles, tu ne réponds pas c'est que tu es d'accord>>.
Comment répondre avec la mâchoire déformée par la boule bâillon.
Effectivement les heures passent et un homme maigre, assez agé et aux cheveux rares s'approche de moi.
<<c'est toi la putain dont monsieur Mathieu m'a parlé, tu es belle je ne comprends pas que tu sois tombée aussi bas>>.
Il caresse mon corps, insiste sur les seins et entre mes cuisses, il me doigte un peu.
<<ton maître m'a dit que je peux te sauter, c'est vrai>>.
En bougeant la tête je lui confirme>>.
Il déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds suivi par son slip d'un blanc douteux.
J'écarte les jambes et il s'escrime à faire pénétrer sa queue dont l'érection n'est pas fameuse dans mon sexe. Il y arrive enfin et cramponné à mes hanches il donne des coups de reins pour que son membre fasse des aller-retour dans ma grotte.
Il est long à venir et je ne peux pas l'aider, il s'énerve, ses ongles pénètrent dans ma peau, il souffle beaucoup. Enfin le calvaire s'arrête quand il éjacule dans mon ventre.
Il se retire chancelant après l'effort qu'il a du fournir puis se rhabille.
Cet homme a été très bien choisi par mon maître pour me montrer que je ne suis rien.
<<c'est dommage j'aurais voulu que tu me suces mais je n'ai pas le droit de te détacher ni d'enlever ce que tu as dans la bouche>>.
Il s'en va et je retrouve ma solitude.
En me faisant sauter par un homme diminué mon maître s'amuse à me mettre plus bas que terre et c'est vrai que je ne me sens pas fière après ce genre d'accouplement.

Le soir Mathieu me couche sur la litière de paille étalée sur l'herbe avec uniquement la chaîne accrochée à mon collier de chien.
Je comprends pourquoi, il reçoit deux de ses amis qu'il autorise à venir faire l'amour à sa chienne: pendant qu'à genoux je fais une pipe à l'un l'autre me prend en levrette, quand ils ont éjaculé dans ma bouche et mon vagin ils inversent leur position et arrosent encore l'orifice occupé par leur pénis puis après les avoir masturbés pour les faire rebander ils s'allongent sur moi et se relaient pour me défoncer le vagin et y laisser leur sperme, je commence à bien mouiller mais ils jouissent sans se préoccuper de mon plaisir.
Quand ils sont calmés ils aident Mathieu à planter quatre piquets pour entraver mes poignets et mes chevilles afin que mes bras restent à l'équerre et mes jambes écartées.
<<tu vas la laisser dormir dehors>>.
<<les animaux passent leur vie dehors alors pourquoi pas elle elle ne vaut pas mieux et elle est heureuse comme ça.>>.
Il s'adresse à moi:
<<dis leur ce que tu en penses la putain>>.
<<Mon maître vous avez raison je suis bien couchée sur la paille et je ne mérite pas d'être traitée mieux qu'un autre animal>>.
<<vous voyez qu'elle est satisfaite de son sort>>.
Quand ils sont partis mon maître se couche sur moi la queue au dessus de ma figure. Il enfonce son membre dans ma bouche et fait des mouvements de va-et-vient rapides, le gland tape dans le fond de ma gorge et j'essaie de réprimer la nausée qui me gagne. Je suis heureuse quand enfin il éjacule dans ma bouche. Il ne perd pas de temps, il se retire et le bâillon remplace rapidement son pénis.
Je reste seule pour la nuit avec mes angoisses.

Le jeudi:
Il pleut, je pense que je vais passer la journée enchaînée dans le cachot mais je me trompe.
Après avoir revêtu un imper et chaussé des bottes car il ne veut pas se mouiller pour "une salope comme moi" il me sort nue à l'extérieur.
Il me met les bras dans le dos et attache mes poignets à la colonne d'un lampadaire au bord de l'allée qui mène à son habitation.
Mathieu sort sa voiture pour aller travailler et s'arrête à ma hauteur.
<<tu as l'air de te plaire là, au moins tu seras bien lavée aujourd'hui, je te souhaite une bonne journée>>. Il démarre en riant aux éclats.
J'ai la chair de poule et bien qu'il ne fasse pas froid je frissonne à cause de la pluie qui cingle mon corps et des bourrasques de vent.
La pluie ne cesse pas, au contraire elle est de plus en plus abondante, le temps me paraît bien long et je me sens mal.

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