Titre de l'histoire érotique : Une semaine d'audit
Récit érotique écrit par Laetitia sapho [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Une semaine d'audit
VENDREDI APRES MIDI
« Ah non !! Pourquoi moi ?
La réplique a jaillit du plus profond de moi.
- Parce qu’on est fin août, entre les vacances et le reste, il n’y a que toi qui es disponible
- Pffff, tu sais bien que j’ai horreur de ça !
J’étais dans le bureau de mon patron, il venait de m’annoncer une nouvelle qui ne me faisait pas vraiment plaisir :
- Ecoute Laetitia, ce n’est pas vraiment une mission d’audit. Il s’agit juste de faire un bilan de leur manière de rédiger leur contrat et de voir qui pourrait les rendre plus performants. Peut-être rajouter quelques paragraphes et alinéas par ci par là, pour bien balayer tous les cas de figure
- Oui, enfin, c’est tout comme !
- Oui, bien sûr, c’est un ami qui dirige un cabinet d’audit qui n’est pas disponible, qui me le demande comme un service personnel. Je ne vais pas lui faire faux bond !
- Oui et c’est moi qui m’y colle ! Ce n’est pas comme si je n’avais que ça à faire. Pas comme si je n’avais pas plein d’autres dossiers en souffrance. Mois d’août ou pas, je n’ai vraiment pas que ça à faire !
- Oui, je sais, c’est à mon tour de te le demander comme un service personnel
- Ben voyons ! de toute façon, je n’ai pas trop le choix, donc … On va dire oui ! Mais je t’assure que ça me saoule !
LUNDI
Le taxi me dépose devant une tour de verre dans le quartier des affaires. J’aurais pu prendre ma voiture ou les transports en commun, mais non, j’ai pris le taxi et ça fera une belle note de frais pour la boite. Non mais ho, mission de m….. Pas de cadeaux ! Et puis quoi encore.
Je pénètre dans un hall ultra-chic et design, et me dirige vers l’accueil.
La belle plante assise derrière le comptoir semble paniquer lorsque je lui demande Mr Dumont de la société GMO. C’est surement un emploi saisonnier qui débute. Surement sa première journée seule sans sa tutrice, lâchée dans le grand bain. « Dumont Patrick » je précise. Elle tape fébrilement sur son clavier, cherche, semble passer de page en page, ses joues s’empourprent. Amélie (c’est ce qui est marqué sur le badge de belle plante agrafé sur son uniforme bleu marine) semble d’un seul coup se reprendre. Le vent de panique semble refluer :
- C’est au 4ème, me dit-elle avec un soupir de soulagement et un sourire qui me ravage.
Il faut avouer qu’elle est tout mignonne, l’étudiante saisonnière. Petit blondinette sexy en diable, joli minois, formes à priori avantageuses, d’après ce que j’ai pu voir derrière le comptoir. J’ai vu surtout, ce qui ressemble à une poitrine généreuse qui tend son chemisier blanc sous sa veste bleue et puis aussi un bout de cuisse croisée sur l’autre disparaissant sous le comptoir ;
- Merci Amélie, lui dis-je en lui faisant une œillade appuyée. Vous avez été efficace. Ca mérite d’être noté. D’autant plus que vous êtes très jolie. D’ailleurs à ce sujet, je suis là en principe pour la semaine …. Si un soir, après le travail, vous êtes disponible pour boire un verre, ça sera avec plaisir pour ma part !
Je vois la pauvre Amélie rougir de partout et se liquéfier derrière son comptoir. Si elle pouvait se faire toute petite et disparaitre complétement …. Bon, je me suis un peu amusée à ses dépens. Mais ça n’a rien de méchant et puis ça lui fera une anecdote à raconter à ses copines pour sa première journée de boulot. « Je me suis faite draguer par une meuf ! Siiii j’te jure que si … »
Je la laisse bafouiller et m’éloigne en tortillant exagérément des fesses en direction des ascenseurs...
4ème étage, je suis soulagée. En voyant la tour, je m’imaginais au quarantième. Moi qui est le vertige et ne supporte pas trop de prendre les ascenseurs, je m’imaginais difficilement faire quarante étages, quatre fois par jour, avec le vide sous mes pieds. Le fantasme de l’amour dans l’ascenseur, c’est pas pour moi.
J’arrive dans les locaux de la société GMO, repère la porte du secrétariat du fameux Dumont, directeur commercial de son état, entre et suis accueillie par une autre magnifique plante, brunette cette fois, à priori la secrétaire personnelle de Dumont.
- Ah mademoiselle Marsac, oui ! Monsieur Dumont va vous recevoir, il termine son rendez-vous précédant. Je le préviens de votre arrivée. Asseyez-vous, je vous en prie, me dit-elle en me désignant un fauteuil.
Elle est franchement superbe. Je suis dans la place depuis un quart d’heure, mais j’ai déjà eu affaire à deux superbes filles. Finalement cette mission risque d’avoir aussi de bons côtés. La jolie secrétaire brune porte une minijupe qui laisse voir ses longues cuisses bronzées derrière son bureau au plateau de verre. De là où je suis placée, j’ai une vue directe sur le spectacle. Et pour du spectacle, c’est du grand spectacle. Elle a aussi un joli visage, les cheveux tirés en arrière et deux tresses qui retombent sur ses épaules.
Bon, pas de vagues, cette fois, je suis dans les locaux du client, on va rester sérieuse.
- Vous désirez un café ?
- Avec plaisir, oui
- Sucre ?
- Merci, sans !
La secrétaire s’approche de mon fauteuil la tasse à la main. Au lieu de me la donner, elle la pose et s’approche de moi. Elle se penche et sans avertissement me roule un patin d’enfer. Sa langue fouille ma bouche. D’abord surprise je me laisse aller. Elle s’accroupie devant moi, remonte ma robe, agrippe mes cuisses et les pose sur les deux accoudoirs du fauteuil de manière à me les écarter au maximum. Sa main glisse sur mon entre-jambes et me caresse à travers le tissu de ma petite culotte déjà bien humidifiée
- Est-ce que je peux vous manger le sexe pour vous faire patienter ? me demande-t-elle en se penchant sur moi, la bouche entrouverte, la langue sortie et en mouvement déjà.
- Oui, euh …. Je …. bafouillais-je
Je sens deux mains qui agrippent mes seins. Je me retourne. C’est Amélie, l’hôtesse du rez- de chaussée qui est derrière le fauteuil. Elle glisse à son tour sa langue dans ma bouche, puis lâche ma bouche pour me glisser à l’oreille :
- Je vais m’occuper de toi aussi, attends …
- Mouiiii ?
- Monsieur Dumont vous attend !!
En fait, c’est la secrétaire qui s’adressait à moi, j’émerge de mon doux rêve :
- Euh oui, excusez-moi … j’étais dans mes pensées …
- Ce n’est aps grave, il vous attend !
Je me retourne quand même pour vérifier que Amélie n’était pas derrière le fauteuil et que c’était bien un rêve et suit la secrétaire vers la porte du bureau de Dumont. Je peux ainsi lorgner sur son postérieur bien rebondit. Superbe ! A tomber. Cet immeuble est vraiment un repaire de bombes sexuelles, comme aurait dit un ami à moi !
J’entre dans le bureau de Dumont. Il se lève pour m’accueillir, m’invite à m’assoir à une table ovale de réunion :
- Pénélope, s’il vous plait apportez nous donc deux cafés s’il vous plaît ! (Oui il a dit deux fois s’il vous plait ! soit il est très poli, soit il répète tout deux fois. Là on n’a pas fini !)
Ainsi la jolie secrétaire se prénomme Pénélope ! C’est noté, au cas où, on ne sait jamais ! J’accepte le café. C’est déjà le deuxième, j’en bois en général peu, mais ça me donnera l’occasion de lorgner les jolies formes de Pénélope une fois de plus … Hummm Pénélope et moi dans un lit …. Bon revenons à nos moutons et concentrons-nous !
Dumont est partit dans ses explications que j’écoute à peine (il a arrêté de répéter deux fois les choses, ça va on s’en sort bien):
- Blablabla procédures blablabla contrats internationaux blablabla audit blablabla
Il ne s’interrompt que lorsque la jolie Pénélope revient avec nos cafés. Je suis à nouveau subjuguée, emportée, bousculée lorsque Pénélope se penche vers moi pour poser ma tasse sur la table devant moi. Je mate son décolleté … Et l’autre qui repart …
- Blablabla feuille de route blablabla avocats blablabla clients blablabla
Je préférai quand il répétait les choses deux fois finalement !
Je me remets à penser à Pénélope … De quelle couleur sont ses dessous ? Surement blancs ! Son tour de poitrine ? Je dirais 90b, à vue de nez … Pénélope ça rime avec sal… Oups, Pardon ! Si en plus elle est sal… (Excusez-moi !), cette fille est un véritable cadeau du ciel !
-Bien, je vais appeler Sandra, la cheffe du service où vous allez intervenir chère Laetitia. Je peux vous appelez Laetitia, n’est-ce pas ?
- Oui oui bien sûr !
- Pénélope, s’il vous plait pouvez-vous appeler Sandra s’il vous plaît dit-il dans son téléphone (le voilà qui recommence ! Il est rigolo ce type).
Aie, c’est là où ça va se gâter ! La cheffe de service. Autant avec le dirlo, les relations étaient cordiales. Autant lui, je pouvais l’emberlificoter … C’est lui qui a commandé l’audit. Autant avec la cheffe de service, ça va être tendue, elle elle subit l’audit. En plus si elle en fait une affaire de rivalité féminine, on n’est pas sorties de l’auberge, elle et moi.
On frappe à la porte, c’est Pénélope, qui maintenant j’en suis sure à une culotte blanche (et le sexe épilé, c’est certain aussi !) :
- Mademoiselle Campana est là
- Ah Sandra entrez donc, dit Dumont
Une femme brune, coiffée avec une queue de cheval, les cheveux tirés en arrière. 45 ans à peu près, 47 peut être entre. Elle est grande, 1m80 quasiment, elle a des talons c’est sûr, mais quand même. Elle marche droit comme un I en se dirigeant vers la table de réunion. Elle tend la main à son directeur sans un regard pour moi … Ambiance !
- Je vous présente Laetitia Marsac, qui vient pour …
- Pour m’auditer, oui … rétorque Mademoiselle Sandra Campana d’une voix glaciale
Elle me tend la main. Je la prends. Nos bracelets tintent l’un contre l’autre quand nous secouons nos poignets de haut en bas.
Je garde sa main dans la mienne juste un peu plus que nécessaire, avant de la lâcher. Juste histoire de dire que c’est moi qui lâche, moi qui dirige, moi qui décide, pas toi ma grande. Le tout en ne la lâchant pas du regard. Elle non plus d’ailleurs. Je suis assise elle debout et elle me toise. Genre, je reprends l’ascendant sur toi ma cocotte.
Son regard ! Profond, noir, transperçant … Cette femme est belle, très belle. Le hic, c’est qu’elle ne doit pas sourire souvent. Dommage, avec un sourire, elle ne serait pas seulement belle, mais superbe !
Sandra Campana ! Campana, nom d’origine italienne. Mademoiselle, pas mariée donc !
Sandra s’assoit à notre table. Je la détaille du regard. Elle porte un tailleur pantalon gris. Le pantalon lui moule bien les fesses. Put être un peu proéminentes, mais surement pas grosses. Elle à plus de 45 ans, ça reste un très beau cul pour cet âge-là. Sa poitrine, je la devine également généreuse dans son chemisier blanc. Sa veste de tailleur grise empêche d’en prendre toute la mesure. Dommage. Quelle belle femme ! Glaciale, mais belle.
Et l’autre qui est repartit :
- Blablabla blablabla, voilà la lettre de mission de Laetitia, dit-il en tendant une feuille à Sandra
Celle-ci y jette un coup d’œil distant et la repose sur la table.
- Très chère Laetitia, si vous avez besoin de quoi que ce soit …
- Ne vous inquiétez pas, cher Patrick, Je peux vous appelez Patrick ?
- Oui oui bien sûr !
- Si j’ai besoin de quoi que ce soit, je suis persuadée que Sandra saura me le procurer, dis-je le regard rivé sur la femme brune.
Un silence fait suite, je ne la lâche pas du regard, attendant une réponse. L’obligeant à me répondre même.
- Oui bien sûr, je ferai en sorte que vous ne manquiez de rien Mademoiselle Marsac.
- Vous pouvez m’appeler Laetitia, Sandra ! lui rétorquais-je avec un grand sourire
Voilà, un nouveau point pour moi. Je lui ai fait dire qu’elle était à ma disposition. Bien joué Laeti !
Nous avons quitté le bureau de Dumont avec Sandra. En passant devant Pénélope, je lui fis un petit signe de la main. Elle me répondit de la même façon, avec un grand sourire.
Dans le couloir, je suivais Sandra en matant son cul rebondi qui ondulait serré dans son pantalon gris. Cette femme me considérait comme une rivale, moi elle me donnait d’autres idées …
Elle a appelé l’ascenseur. Lorsque la porte s’est ouverte, elle m’a dit sans me regarder :
- C’est au deuxième
Ce seront les seules paroles qu’elle prononcera durant le trajet. Dans l’ascenseur, son regard restera rivé aux boutons d’appel et aux numéros d’étages. Le mien de regard, restera rivé à sa poitrine légèrement retombante, mais surement magnifique et sur son entre-jambes. Son cul était bien moulé dans son pantalon, devant aussi le pantalon la moulait.
Bon, elle ne sera surement jamais mon amante, la Campana. Je vais déjà essayer de ne pas trop la provoquer et d’en faire une ennemie.
Le ding de la sonnerie de l’ascenseur me sort de mes pensées. Sandra me passe devant et s’éloigne, toujours sans un mot dans le couloir. Vue à nouveau sur son cul !
Elle entre dans un open-space où travaille une dizaine de personnes. Sur la gauche il y a deux bureaux vitrés fermés. Celui de Sandra et un autre qui sera le mien, me dit-elle. C’est celui d’un de ses collaborateurs absent.
Devant la porte de son bureau est installée une belle fille aux cheveux châtains, d’environ 25 ans :
- Valentine, mon assistante, me dit Sandra. Si vous avez besoin de quelque chose, c’est à elle qu’il faut demander.
En clair, ne vient pas m’emmerder, parle à ma secrétaire ….
Valentine, se lève et me tend la main en souriant. La bretelle de sa robe estivale fleurie lui tombe sur l’épaule. Ca me laisse deviner une petite poitrine, surement à croquer !
Elle est toute mignonne Valentine, sa robe découvre à moitié de belle et fines cuisses biens bronzées. Et surtout ce sourire rayonnant qui tranche avec la froideur de Sandra.
Sandra justement :
- Je vous laisse vous installer Mademoiselle Marsac. Valentine va vous sortir les dossiers de cette année.
- Laetitia !
- Quoi ?
- Laetitia, vous pouvez m’appeler Laetitia. Nous allons travailler ensemble une semaine, c’est mieux que mademoiselle Marsac !
- Oui oui
- Et vous aussi Valentine, vous pouvez m’appeler Laetitia, dis-je en me tournant vers la secrétaire
- C’est d’accord Laetitia !
Après m’être installée dans le bureau qui m’était alloué, après avoir pris connaissance des dossiers que Valentine m’avait apporté, je soupirais. Pffff le temps allait être long … Quelle ennui cette mission. Moi qui aime les rapports humains dans mon métier, là le nez dans la paperasse toute la journée. Question rapports humains, avec Sandra, je vais être servie en plus. Heureusement, il y a Valentine.
J’avais laissé la porte du bureau ouverte. Dans l’open-space on entendait les mouches voler. Surement que Sandra ne tolérait pas les bavardages entre collègues. C’est son genre !
J’entendais seulement Sandra donner des ordres à Valentine :
- Valentine, apportez moi …. Tout de suite Sandra … Valentine où sont les …. Dans l’armoire, étagère du haut Sandra … Valentine….. Sa secrétaire était sa bonniche !! Sans blagues, elle ne faisait rien elle-même ?
10h30, je vais aller me boire un café à la machine dans le couloir, ça passera un quart d’heure ! Je m’étais détendue un peu une demi-heure avant, lorsque j’avais demandé à Valentine, où je pouvais brancher mon ordinateur portable pour avoir accès à internet. J’avais eu le plaisir de voir Valentine se mettre à quatre pattes sous mon bureau pour brancher le câble dans la prise. Je vous laisse imaginer les pensées lubriques qui m’ont envahie !
Coincée entre la machine et une plante verte, j’aperçois Sandra et Valentine partir dans le couloir. Devant une porte plus loin, Valentine se penche et introduit une clé dans la serrure. La porte s’ouvre et elle pénètre toutes les deux dans la pièce. Sandra jette un regard à droite et à gauche avant de refermer derrière elle.
Bizarre ! Qu’est ce qu’elles font ?
Je me dirige vers la porte. Il y a marqué « archives » dessus.
J’essaie d’ouvrir. C’est fermé ! Elles ont verrouillé la porte derrière elles. Bon, les archives souvent dans une entreprise sont des lieux clos, où sont stockées parfois des documents confidentiels. Mais là les normes de sécurité sont sévères ! Sévères comme Sandra !
Je colle mon oreille à la porte. Je n’entends rien. Bon, allez, je retourne bosser moi. Pas envie de faire plus d’une semaine dans cette boite …
Une demi-heure plus tard, Sandra et Valentine reviennent à leur place aussi.
Valentine s’assied derrière son bureau, passe ses cheveux derrière son oreille gauche et se penche sur son ordinateur. Bientôt ses doigts dansent sur le clavier. Si ses doigts pouvaient danser ailleurs (sur moi par exemple).
Sandra quant à elle, s’est enfermée dans son bureau et téléphone à quelqu’un.
La journée se passe lentement, mais lentement ….
MARDI
Je suis arrivée vers 8h30. Valentine est déjà là. Aujourd’hui, elle porte un jean bien moulant. Jolie petit cul, y’a pas à dire ! Surtout qu’elle est penchée en avant en train d’arroser une plante dans le bureau de Sandra. Je profite du spectacle avant d’aller la saluer et je me dirige vers mon bureau.
Sandra arrive vers 9h15, elle porte un tailleur jupe cette fois …. Gris …. Tailleur-pantalon gris, tailleur-jupe gris, quelle variété, quelle fantaisie. La jupe au-dessus du genou lui enserre les fesses autant que son pantalon de la veille. Dommage, pas assez courte pour voir ses cuisses. Je suis persuadée qu’elle a un début de cellulite sur les cuisses et les fesses. Ce n’est pas pour me rebuter. Je trouve ça mignon, chez les femmes qui murissent. Enfin quand c’est juste un début de cellulite bien sûr !
Elle s’installe dans son bureau. Valentine lui apporte un café dans un gobelet en plastique. Je n’entends pas trop ce qui se dit dans le bureau, mais je vois Valentine penchée dans l’armoire. Surement que Sandra a besoin d’un dossier dedans et qu’elle ne peut pas lever son cul pour le prendre elle-même. Puis je la vois sortir du bureau et y retourner avec un parafeur qu’elle tend à Sandra. Celle-ci, tourne les pages, chausse ses lunettes, signe de temps en temps. La bouche pincée, elle semble faire quelques remarques à Valentine, debout derrière elle. Enfin, elle tend le parafeur à Valentine, qui quitte le bureau pour aller s’installer à sa place.
Ce n’est pas la boss rêvée !! Je plains Valentine.
Pas un sourire, le ton cassant, pas un merci …
Je me replonge dans mes dossiers, prends quelques notes sur mon ordi portable. Une demi-heure plus tard, Sandra sort de son bureau se dirige vers Valentine, pose ses mains sur le plateau du bureau, se penche vers elle et lui glisse un mot doucement. Elle qui d’habitude beugle ses ordres, là elle est discrète.
Valentine hoche la tête, fouille dans le tiroir de son bureau et se lève. Elles partent toutes les deux.
Je suis intriguée. J’ai juste le temps de retourner à mon point de vue derrière la plante verte pour voir Valentine et Sandra entrer dans le local des archives.
Comme la veille, Sandra jette un regard dans le couloir avant d’entrer à la suite de Valentine. Par contre, aujourd’hui elle lui met la main aux fesses avant de refermer derrière elles.
Je suis estomaquée. Sandra à peloté les fesses de Valentine !
Mais qu’est-ce qu’elles font tous les jours à à peu près la même heure tous les matins enfermées là-dedans ?
On ne met pas la main aux fesses de son assistante comme ça. Ce n’était pas un geste involontaire ! La main de Sandra a belle et bien caressé le cul de Valentine serré dans le jean. Elle a suivi la raie pour se glisser entre les jambes. Ce n’était pas un geste anodin …
Sandra s’envoie sa secrétaire tous les jours dans les archives ? Ah la garce ! Elle cache bien son jeu celle-là ; avec ses airs pas aimable ! Je suis sure que c’est une chaudasse la Sandra !
Sandra et Valentine des lesbiennes ? D’emblée, ce n’était pas évident ! Et pourtant ! Tout concorde !
Par acquis de conscience, je me dirige vers la porte. C’est verrouillé comme hier.
Je retourne à mon bureau et je cogite. Il faut que j’en sache plus. Oui, bon d’accord, mais savoir quoi. Qu’elles se léchouillent mutuellement le minou ? Et après ? Elles sont toutes les deux magnifiques, différentes mais magnifiques… Si je pouvais …. Non, non oublie !! Tu es chez des clients, pas de vagues. Mais la situation est cocasse tout de même.
Et l’idée me vint … Je savais ce que j’allais faire !
Elles sont revenues comme la veille au bout d’une demi-heure. Je remarquai que Valentine avait légèrement le rouge aux joues en s’asseyant derrière son bureau.
Sandra a pris son sac à main, son cartable et a indiqué qu’elle était en réunion à l’extérieur qu’elle ne rentrerait pas. Elle toujours impeccable, j’ai trouvé qu’elle avait l’air légèrement décoiffée. Ca a dû être chaud dans les archives !!
L’après-midi, je me suis dirigée vers Valentine :
-Valentine, j’aurais besoin de dossiers des années 2012 et 2013
- Euh, oui, ça doit être aux archives, je vais vous montrer.
Elle sort un trousseau avec un porte-clés en forme de fleur, se lève et se dirige vers le couloir. Je la suis jusqu’au local.
Des allées avec des rangées d’étagères où sont entassés des dossiers partent sur la droite et sur la gauche.
- Alors 2012 et 2013, ça doit être dans cette allée-là, de dit Valentine,
- Je vais me débrouiller toute seule Valentine, ne vous cassez pas la tête. Je crois que je vais consulter les dossiers sur place. Je pourrais les remettre en place, ça évitera de les sortir et de les replacer après.
- D’accord Laetitia, prévenez moi quand vous aurez terminé que je vienne refermer le local
Valentine partie, je me lance dans l’exploration de la pièce des archives, à la recherche d’indices. Vers le fond près d’une fenêtre qui est la seule source de lumière de la pièce se trouve un bureau.
Rien dessus. J’ouvre le tiroir de gauche. Rien dedans, hormis un ou deux trombones des post-it, un vieux stylo. Celui d’en dessous, c’est pareil, rien d’intéressant.
Le tiroir de droite par contre est fermé à clé. Ah zut, je n’ai pas la clé. Bizarre de fermer un tiroir où a priori il n’y a rien !
Je me penche vers le plateau du bureau et découvre …. Un poil pubien !!! Brun ! A Sandra ou bien à Valentine ? Je penche pour Sandra. J’imagine Valentine épilée plutôt. Et là un autre et un autre encore. Je déplie un mouchoir en papier que j’avais dans ma poche, dépose mes preuves dedans le repli et le glisse dans la poche de mon jean. Je ne sais pas ce que je vais en faire, mais bon ! Quand on mène une enquête, c’est comme ça, on rassemble des indices.
Dommage, La porte n’est pas verrouillée et Valentine peut revenir à n’importe quelle moment, sinon, j’aurais bien baissé mon pantalon et je me serai bien touchée un peu, me dis-je en passant ma main sur mon entre-jambes. Par contre, dans les toilettes !
Je préviens Valentine que j’ai terminé et je me dirige vers les toilettes des dames. Je m’enferme dans la cabine, m’installe sur la cuvette, en ayant déboutonné mon jean et en l’ayant baissé jusqu’à mes chevilles en même temps que mon string rose bonbon. Avant de glisser ma main entre mes cuisses, je remonte min t-shirt et fait jaillir les tétons tout durs du soutien-gorge. Je les pince un peu avant de m’attaquer à mon sexe. J’imagine Sandra et Valentine en train de faire des cochonneries dans les archives, dans des positions indécentes. Je suis tellement excitée, que l’orgasme me prend tout de suite. Je me mords les lèvres afin de ne pas émettre le moindre bruit. Jouir en silence, c’est tout un art.
Une fois que les vagues de plaisir m’ont submergée, je reprends doucement ma respiration. Je suce mes doigts les uns après les autres. Je me réajuste. Je quitte les WC sans me laver les mains, je tiens à garder l’odeur et le goût un maximum de temps de façon à les renifler en regardant Valentine tout à l’heure.
Bon voilà, ça c’est fait. Et je fais quoi maintenant ? Rien ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse ! La situation est cocasse certes, mais bon !!!On va en rire ce soir, quand je vais raconter toute l’histoire à Maelenn, et après rien. Et hop, l’inspiration me vint au milieu du couloir.
Je regarde l’heure : 17h30, je rejoins le bureau espérant voir Valentine avant qu’elle ne parte.
Je m’approche de son bureau par derrière et lui pose la main sur l’épaule. Ca a pour effet de la faire sursauter.
- Ah Valentine, je crois que vous allez bientôt partir. Je vais peut-être rester un peu tard ce soir, j’ai envie d’avancer un peu …
- Pas de problème Laetitia, en effet, je vais partir d’ici un quart d’heure !
Je retire ma main de son épaule, non sans avoir bien appuyé mon index et mon majeur de la chair au-dessus de la clavicule, de manière à bien l’imprégner de l’odeur de mon sexe encore présente sur mes doigts. Je voulais la marquer en quelque sorte sans qu’elle ne s’en aperçoive. J’ai senti sa peau frissonner légèrement quand j’ai posé ma main sur elle et un peu plus quand j’ai fait pression avec mes doigts. Les femmes lui font de l’effet, c’est sûr. Elle ne fait pas ça avec Sandra pour la promotion canapé, mais par plaisir. Ou alors c’est un peu des deux !
Au bout d’une dizaine de minutes, je la vois prendre son sac à main, se lever. Elle part :
- A demain Laetitia
- Oui c’est ça à demain Valentine.
Je laisse passer un quart d’heure, et après avoir vérifié que l’open-space était déserté, j’ouvre le tiroir du bureau de Valentine, trouve le trousseau avec le porte-clés à fleur. Je m’en empare. Il y a deux clés, celle de la porte des archives et une autre plus petite. Surement celle du tiroir du bureau fermé. Encore un mystère qui va être résolu !
Mon plan c’est de faire un double des clés chez le serrurier minute que j’ai repéré dans le quartier, de remettre le trousseau ni vu ni connu dans le tiroir de Valentine avant de rentrer chez moi. Si je fais vite, j’en ai pour une demi-heure.
MERCREDI
Je suis arrivée tôt. 7h30, il n’y a que moi à l’étage. Je peux essayer mes nouvelles clés. La porte s’ouvre. Parfait. Je me dirige vers le bureau. La seconde clé ouvre bien le tiroir qui était fermé. Surprise, il renferme … un gode-ceinture ! Ah carrément ! Les cochonnes, je n’y crois pas ! Je ricane ! La Sandra et son genre ! Et l’autre petite saint-nitouche de Valentine ! Laquelle se fait prendre par l’autre ? Voilà ce que je me demande en plaçant le gode en position devant mon pubis. Je ricane à nouveau. Surement Sandra à la baguette. Oui c’est Sandra qui officie ! A moins qu’elles n’alternent !
.Je prends le gode et l’enfonce dans ma bouche. Je crois reconnaitre un goût de cyprine dessus.
Bon, il est temps de tout refermer et de retourner à ma place avant que les autres n’arrivent.
Ce matin, je vais mettre la suite de mon plan à exécution.
10 heures 30, Valentine m’a dit que Sandra est en réunion, qu’elle sera là vers 11 heures et qu’elle partira pour l’après midi en rendez-vous extérieur. Cet emploi du temps est parfait en termes de timing pour mon plan soigneusement préparé.
10h45, Sandra est arrivée. Elle s’est enfermée dans son bureau et est au téléphone depuis dix minutes. Il est temps pour moi de m’éclipser discrètement.
Je me dirige vers les archives et ouvre la porte avec ma clé fraichement refaite. Je m’engage dans l’allée et me place derrière une étagère que j’ai repérée le matin même lors de ma précédente exploration. Je m’accroupie et écarte les dossiers sur les étagères inférieures. Je vérifie … oui j’ai une bonne vue d’ensemble sur le bureau au fond. Là où je me trouve, je suis invisible, dans la pénombre, mais je vois tout.
.J’ai prévu de porter une robe ample ce matin, je vais même jusqu’à enlever ma culotte et remonter le bas de ma robe sur le haut de mes cuisses. Me voilà fin prête. Je n’ai plus qu’à attendre les deux gourgandines, qui si elles respectent leur horaire, ne vont pas tarder.
Je n’ai pas à attendre trop longtemps. Cinq minutes plus tard, j’entends des bruits de clé qui ouvre la porte. Puis les mêmes bruits qui referment la porte et la verrouille. Des bruits de talons qui claquent sur le sol et je vois passer à hauteur d’yeux une paires de mollets devant moi. Ceux de Sandra, qui porte … un tailleur-jupe … gris (la jupe est plus courte qu’hier). Elle va directement s’appuyer contre le bureau. Une deuxième paire de mollets passent devant moi, ceux de Valentine :
- Viens approche toi ! J’ai tant attendu ce moment, dépêche-toi, j’ai trop envie !
C’est la voix de Sandra ;
- Que cette réunion a été longue, j’ai pensé à toi tout le temps. Enfin à ton corps !
Valentine a rejoint Sandra près du bureau. Les deux femmes s’enlacent et leurs bouches se joignent.
J’ai merveilleusement bien choisit mon endroit. Je suis invisible et je vois tout.
Je vois leurs langues se mêler, les mains de Sandra descendre dans le dos de Valentine et se plaquer sur ses fesses, les bras de Valentine autour des épaules de Sandra.
Les bouches des amantes se sont détachées l’une de l’autre. Sandra lèche et embrasse le cou de Valentine.
Sandra repousse légèrement Valentine vers l’arrière et lui dit :
- Déshabille moi, enlève tout, mets moi entièrement à poil
De mon côté, ma main droite s’est glissée sous ma robe et je me masturbe avec application Ma main gauche pétrie ma poitrine à travers le tissu.
Valentine a fait tomber la veste de tailleur de Sandra, elle s’est attaquée aux boutons du chemisier blanc, découvrant un soutien-gorge noir. Le chemisier tombe à son tour. Valentine passe ses mains dans le dos de Sandra pour dégrafer le soutien-gorge et faire jaillir une belle et grosse poitrine. Je distingue nettement deux grandes auréoles brunes et deux tétons bien dressés. Le soutien-gorge rejoint les autres vêtements aux pieds des deux femmes.
Valentine se penche et embrasse chaque sein puis prend les tétons dans sa bouche pour les sucer. Sa bouche prolonge la descente sur le ventre, s’attarde sur le nombril. Sandra a quelques petits bourrelets sur le ventre. C’est vraiment très mignon. J’adore les femmes de cet âge et leur pudeur à masquer leur formes pourtant si sexy ! Vivement que Valentine lui enlève sa jupe, pour voir si elle a le fameux début de cellulite que je suppose sur les cuisses et le fessier.
D’ailleurs les mains de Valentine ont fait le tour des hanches de Sandra et s’active à déboulonner la jupe et à faire descendre la fermeture éclair. Elle accompagne la jupe jusqu’aux chevilles de Sandra. Elle découvre un joli tanga noir et me conforte dans mon idée. Il y a un début de cellulite sur les cuisses de Sandra. Pas trop sur ses fesses apparemment, mais sur les cuisses, ça commence. Mademoiselle la coquette, assumes un peu ton âge et ton corps, que diable !!
Il va falloir que je me calme, on en est qu’aux prémices et je suis déjà prête à me faire jouir. Je ralentis, le mouvement de mon doigt dans mon vagin.
Valentine a fait tomber le tanga de Sandra qui maintenant est toute nue, comme elle le souhaitait. Son pubis s’orne d’un très mignon triangle noir. Les poils pubiens étaient surement les siens !
Valentine s’est agenouillée devant Sandra et à fourré son visage sur son entre-jambes. Sandra a écarté les cuisses et Valentine s’active maintenant sur le sexe de Sandra.
Sandra pétrit les cheveux de Valentine et l’encourage :
- Oui vas-y, vas-y, vas-y, lèche moi
De où je suis, je ne vois pas la langue de Valentine s’activer, mais j’entends parfaitement les bruits de sussions et de léchouille. Elle a l’air de savoir s’y prendre !
Sandra la relève et lui dit :
- Je vais venir trop vite si tu continues comme ça, attends !!
Elle entreprend de déshabiller Valentine à son tour. Les vêtements tombent les uns après les autres et rejoignent le tas de ceux de Sandra sur le sol.
Sandra s’allonge sur le bureau et attire Valentine vers elle :
- Viens sur moi
Les deux femmes sont maintenant en 69. Les langues s’activent. Les gémissements deviennent de plus en plus passionnés.
Je vais essayer de coordonner mon orgasme avec le leur. Deux de mes doigts s’agitent en moi.
- Oh oui, oui oui !!! Vas-y ma petite salope adorée, je vais jouir …
Ça c’est Sandra …
- Hummm ouiiiii ohhhh Sandra …
Ça c’est Valentine.
- _ _ _ _
Ça c’est moi, qui arrive à rester à peu près silencieuse.
Je me laisse aller et manque de chuter en arrière, les jambes en l’air, Je me retiens à l’étagère devant moi. Je suis en sueur, le sexe dégoulinant, les doigts encore à l’intérieur.
Je reporte mon attention sur mes deux copines. Elles sont maintenant redressées en train de s’embrasser :
- Ah qu’est-ce que c’était bon, je ne pourrais plus me passer de nos petites escapades quotidiennes Tu as pris du plaisir aussi ?
- Oui, tu m’as du bien aussi !
- Il faut que j’y aille, reprend Sandra en se penchant pour ramasser ses sous-vêtements sur le sol. J’aurais bien remis ça avec toi, mais j’ai mon rendez-vous..
- Dommage ! Attends, je t’ai déshabillée, je vais te rhabiller, lui répondit Valentine en passant sa culotte aux chevilles de Sandra
Je les laisse se rhabiller, s’embrasser une dernière fois et quitter la pièce. J’attends quelques minutes et je sors à mon tour, après avoir pris soins qu’il n’y ai personne dans le couloir.
14 heures 30 : Sandra est partie et ne reviendra pas de l’après-midi. J’ai Valentine pour moi toute seule et j’ai bien l’intention d’en profiter.
Je m’approche de son bureau, elle est concentrée sur son clavier et son écran.
- Valentine ?
- Oui Laetitia
- Pour les archives …
- Vous avez encore besoin de dossiers ?
- Non, non, c’est juste que … Je sais ce que vous y faites avec Sandra tous les matins !
- .Qu … quoi ?
- Oui, je suis intriguée par votre manège à toutes les deux depuis le début de la semaine. Ce matin, j’étais dans les archives planquée et j’ai tout vu !
- Mais … mais …
- Chuttt, pas de panique, je n’ai pas l’intention de raconter ça à qui que ce soit. Je sais garder les secrets.
- J’ai trop honte … Ce n’est pas possible !
- Bon, écoute ! J’ai repéré un hôtel au bout de la rue. Ce genre d’hôtel de chaine, ce n’est pas le grand luxe, mais pour passer un après-midi coquin toutes les deux, ça peut le faire. Si tu me dis non, n’ai pas peur, on en reste là, il n’y aura pas de suite. Si tu dis oui, on va se faire plaisir toi et moi, sans prise de tête et sans suite aussi. Ma mission terminée, je disparais. Alors ?
- Je … je ne sais pas … je n’ai jamais fait ça moi !
- Ben si, je t’ai vu faire avec Sandra …
- Oui, mais non, à l’hôtel je veux dire …
- T’inquiète pas, je m’occupe de tout. Alors, c’est oui ou c’est non ?
- C’est … c’est oui …
- Bon, j’y vais, je réserve une chambre. Je t’appelle pour te donner le numéro et tu me rejoins. Pour toi, c’est complètement anonyme. Incognito !
17heures 30 : Valentine est nue sur le lit allongée sur le ventre. Nous avons fait l’amour tout l’après-midi. Mon doigt court aérien le long de son épine dorsale. Puis glisse sur la raie de ses fesses. Elle frissonne quand je l’embrasse entre les omoplates.
- Hummm, c’était vraiment trop bon Laetitia ! On recommencera toutes les deux à l’hôtel ?
- Oui, pourquoi pas, mais j’ai une autre idée, voilà ce qu’on va faire ….
Je lui explique le fond de ma pensée.
- Sandra ne voudra jamais !
- Sandra j’en fais mon affaire, laisse-moi faire, lui rétorquais-je avant de glisser ma langue entre ses fesses
JEUDI
N’ayant pas trop avance dans ma mission, je me suis concentrée sur mes dossiers. C’est tout juste si je levais la tête et c’était pour apercevoir les regards que me lançait Valentine.
Vers 11 heures Sandra, comme tous les matins, est venue la chercher. Elle portait un tailleur-jupe … gris ? Non ! Bleu marine, quelle originalité !
Quand elle s’est levée pour suivre son amante, Valentine m’a regardé avec insistance. Mes lèvres ont formé un bisou que j’ai fait claquer à distance. Ses joues sont devenues toutes rouges.
Rouges, elles l’étaient encore, quand elles sont revenues et qu’elle s’est installée derrière son bureau.
Je me suis dirigée vers elle et lui ai dit discrètement :
- Alors c’était bon ?
- Euh … oui ….
- Je m’occupe de Sandra demain matin. Elle était en forme aujourd’hui ?
- Euh … oui …. Elle a conservé ma culotte, elle n’a pas voulu me la rendre !
- Tu veux dire que sous ta jupe, là, tu n’as pas de culotte ?
- Oui …
- Hummm intéressant ! Masi bon, je dois retourner bosser, je veux en avoir terminé ce soir. J’ai un plan à mettre à exécution demain matin. Mais tu ne perds rien pour attendre, petite cochonne sans culotte ….
L’après-midi, je continuais mon dur labeur, ne levant la tête que pour envoyer des SMS coquins à Valentine. Je me faisais un plaisir de la voir rougir en les consultant.
Le soir, en rentrant à la maison, je racontais toute l’histoire à Maelenn et surtout je n’omettais pas la suite de mon plan. Ça l’a fait beaucoup rire.
VENDREDI
Je suis arrivée de bonne heure ce vendredi matin, histoire de peaufiner le pré-rapport de ma semaine d’audit.
Comme je l’avais incitée à le faire, Valentine a posé une journée de RTT. Il n’y aura, ainsi, aucune interférence de Sandra concernant la suite et la fin de mon plan.
Sandra est arrivée vers 9 heures. Elle est allée directement s’installer dans son bureau sans me saluer (comme les autres jours de la semaine).
Vers 9h30, je vais toquer à sa porte :
- Bonjour Sandra, je peux entrer ?
- Euh oui
- Voilà, ma mission tire à sa fin, je vais faire mon rapport à Dumont en fin de matinée. Par contre, il me semble normal que je vous en parle avant.
- Euh oui, bien sûr, me répond-elle soudain intéressée mais aussi anxieuse de connaitre mes conclusions
- Bien, d’abord, je n’ai vraiment pas trouvé grand-chose. Vos contrats tiennent la route. Voilà mon pré-rapport, le définitif vous parviendra d’ici une semaine ou deux.
J’évoque bien sur quelques pistes de progrès, mais vous vous rendrez compte qu’il n’y a rien de méchant et que je n’ai vraiment pas grand choses à dire.
Je lui tends les feuillets qui viennent tout juste de sortir de l’imprimante.
Elle chausse ses lunettes à monture noire pour les parcourir.
- Eh bien oui, en effet, c’est même plutôt élogieux pour mon service …
- Complétement !
- Et pour les pistes de progrès, vous avez raison …
- Un œil extérieur c’est toujours utile
- Je crois que je vous ai plutôt mal jugée Laetitia, me dit-elle avec un sourire timide
Bon sang, qu’est-ce qu’elle est belle quand elle sourit !!! C’est la première fois de la semaine que je la vois sourire !
- Je crains même d’avoir été limite incorrecte ! Ecoutez, je m’en excuse !
- Ce n’est vraiment pas grave Sandra. Pour ma part, cette mission m’aura apporté certaines satisfactions tout de même …
- Ah oui ?
- Oui notamment vos petites sauteries avec votre assistante dans les archives !
- Quoi ?
- Oui, ne niez pas, je sais tout, je vous ai vues, observées même. Valentine m’a tout avoué en plus
- Mais …
- Ecoutez, n’ayez pas peur, je n’ai vraiment pas l’intention d’ébruiter tout ça. Ça restera notre secret à toutes les trois. Comme je vous le disais, vous m’avez plutôt offert un joli spectacle. Vous Sandra, je vous trouve, comment dire …. Plutôt … chaude ! Brulante même. Une vraie italienne volcanique ! Un volcan ! Le Vésuve, l’Etna, Vulcano, le Stromboli, les quatre réunis …
- Mais, je je ….
- J’ai une proposition à vous faire, tout à fait honnête en plus. Vous avez bien sur le droit de refuser, on en restera là, comme je viens de vous le dire. Mon but n’est pas de faire du chantage. Pour vous permettre de réfléchir et de prendre votre décision en votre âme et conscience, je peux rajouter que Valentine est d’accord ….
Une fois mon entretien terminé avec Sandra, je monte voir Dumont, pour lui faire mon rapport. A midi, j’en avais terminé, il ne me restait qu’à quitter les locaux de GMO.
Un après-midi à faire du shopping. Un petit resto avant (italien pour penser à Sandra) et les boutiques. Pastas, Bardolino rosé et Panna Cotta !
Avant toute chose, il va falloir que j’appelle Maelenn pour lui raconter les dernières évolutions de notre affaire.
Dans le hall au rez de chaussée, je m’approche de l’accueil. C’est Amélie qui est là ce vendredi.
- Au revoir Amélie, lui dis-je, je pars, j’ai terminé ma mission, vous rencontrer aura été un plaisir
La pauvre fille se met aussitôt à rougir de partout
- Vous avez un papier s’il vous plaît ?
- Euh, oui oui voilà
- Et un stylo ?
- Oui
Je griffonne vite fait sur le papier quelques caractères
- C’est mon numéro de portable, mon invitation de lundi tient toujours. N’hésitez pas, si ça vous tente !
Amélie passe du rouge au cramoisi. Elle me regarde la bouche ouverte. Son regard passe de mon visage au papier.
Au moins, elle ne le jette pas directement à la corbeille. Je m’éloigne en dandinant des fesses comme lundi dernier. Peut-être qu’il y a une chance qu’elle me rappelle après tout ! Qui ne tente rien n’a rien.
18 heures 30, je rentre chez nous, quelques paquets à la main.
Je m’approche de Maelenn et dépose un baiser sur ses lèvres.
- Je vois que tu es déjà en tenue de combat ! Je file me préparer, nos invitées arrive dans une heure.
La tenue de combat de Maelenn, c’est une petite robe noire, très décolletée et très courte. Enfin courte, c’est un euphémisme, je dirais raz du cul plutôt. Je suis sure qu’elle n’a rien dessous. Un soutien-gorge ou même un string ça se verrait, tellement la robe lui moule les formes. Elle est magnifique. Elle a rajouté de beaux escarpins à talons démesurés (la marque avec une semelle rouge, si vous voyez, ah la les goûts de luxe …).
Je file sous la douche. J’en ressors une serviette autour du corps, pour préparer ma tenue pour la soirée. Mon choix se porte sur une jupe en tulle noire au-dessus du genou, en haut un bustier blanc. En dessous, juste un string noir et des bas noirs aussi.
Je redescends au salon. Maelenn a préparé la collation. Des toasts, du saumon, une bouteille de champagne dans un seau à glace, quatre flutes sur un plateau.
- Tout ça me semble parfait ma chérie, lui dis-je en lui flattant la croupe. Ah on sonne, surement nos invitées.
J’ouvre, c’est Sandra et Valentine, sur leur trente et un aussi. Elles sont belles et sexy
Je fais les présentations :
- Sandra, Valentine et Maelenn ma compagne.
L’atmosphère semble tendue. Sandra et Valentine semble sur la réserve, légèrement stressées.
Maelenn, s’approche de Sandra et lui prend la bouche. Je vois sa langue se frayer un chemin entre les lèvres de Sandra. Elle fait de même avec Valentine.
- Enchantée ! Laeti m’avait dit que vous étiez ravissantes toutes les deux, mais c‘est peu dire ! Mais je vous en prie asseyez-vous, dit-elle en désignant le canapé d’angle.
Elle prend Valentine par le bras et l’invite à s’assoir sur le côté gauche, avant de s’installer à côté d’elle. Tout à côté même.
Je fais de même avec Sandra sur le côté droit.
L’intervention de ma chérie aura au moins eu le mérite de dégeler l’atmosphère. Sandra et Valentine semble se détendre.
J’avais convenu avec Maelenn qu’elle s’occupe de Valentine et moi de Sandra. Valentine je connaissais et Sandra me faisait très envie.
Maelenn se pencha pour ouvrir la bouteille de champagne et remplir les flutes en cristal.
- Un Ruinart blanc de blanc, ça vous convient ?
J’espère bien que ça leur convient, elles seraient difficiles en disant non ! Au prix que ça coute en plus ! On ne se moque pas d’elles …
Nous trinquons et commençons à déguster le divin breuvage. Il est frappé à point. Quel délice. Mes fines bulles du Ruinart explosent dans mon gosier.
Maelenn qui ne perd pas de temps, non seulement se colle à Valentine, mais pour bien marque le coup, lui pose la main sur la cuisse. Leur lèvres se rapprochent et se joignent. Maelenn alterne entre une gorgée de champagne et la langue de Valentine. Elle prend la flute des mains de Valentine et la pose sur la table basse. Elle lui repousse le buste sur le dossier du canapé et l’embrasse à nouveau. Sa main se glisse maintenant sous la jupe de Valentine. Celle-ci sous la caresse écarte les jambes. J’aperçois le liséré d’un bas sur le haut de la cuisse, sous la jupe. Maelenn malaxe l’intérieur de la cuisse.
De mon côté, j’ai décidé de prendre mon temps avec Sandra. Je me suis rapprochée d’elle. Sandra et moi ne perdons pas une miette du spectacle que nous offrent Maelenn et Valentine.
Je fais glisser mon doigt sur le bras de Sandra. Puis remplace mon index par ma bouche puis par ma langue, qui remonte sur le biceps pour atteindre l’épaule. J’écarte du bout des doigts la fine bretelle de la robe de Sandra, pour laisser le passage à ma langue qui parcourt maintenant la clavicule, puis le cou. La main de Sandra c’est posée sur mon genou. J’écarte les mèches brunes et ma langue rejoint le lobe de l’oreille de Sandra. Je le gobe (boucle d’oreille incluse) et le suce. Ma langue poursuit son chemin sur la joue, elle atteint enfin la bouche et se glisse dedans. Enfin, je goute la langue de Sandra. Une semaine que je ne pense qu’à ça ! La main de Sandra est maintenant sous ma jupe et ses doigts caressent ma culotte qui s’humidifie au fur et à mesure des caresses. Je me penche en arrière pour m’allonger sur le dos et attire Sandra sur moi. Je sers mes mollets autour de ses hanches.
Un regard vers Maelenn et Valentine pour m’apercevoir qu’elles sont passées à la vitesse supérieure. Valentine est à moitié dénudée. Maelenn s’est levée et tend son dos à Valentine pour que celle-ci baisse la fermeture éclair de la mini robe de Maelenn. La robe tombe à ses pieds. Gagné ! Elle n’avait rien dessous. Ma chérie est toute nue. Les mains de Valentine lui caressent les fesses.
Sandra vient de faire jaillir mes seins de mon bustier. Moi je m’attaque à sa robe.
J’avoue avoir perdu le fil des évènements et du temps. J’émerge alors que Sandra est entre mes cuisses la langue autour de mon clitoris. Je n’»ai plus qu’un seul escarpin, l’autre est je ne sais où. Il ne me reste que mes bas noirs. Sandra a aussi conservé ses bas et sa culotte. Mais elle pend autour de sa cheville gauche. Je repère mon string qui a atterrit dans le plateau sur la table basse avec le saumon.
Maelenn et Valentine sont tête bêche l’une sur l’autre en train de se gouter le sexe.
- Et si nous allions dans la chambre ? Nous serions plus à l’aise ! Notre lit est king size, on y logera bien à quatre !
Dans l’escalier qui monte à l’étage, je prends la main de Sandra dans la mienne et de l’autre je caresse les fesses de Maelenn et de Valentine qui nous précèdent.
Arrivées dans la chambre, Maelenn et Valentine, reprennent leur 69, là où elles l’avaient laissé en bas.
- Zut, on a oublié le champagne et les flutes, dis-je à Sandra. Je redescends les chercher. Je reviens tout de suite.
Quand je remonte, les deux nouvelles amies, sont toujours en train de se manger le sexe. Sandra pour sa part est agenouillée près d’elles sur le lit et se caresse en les regardant.
Je pose le champagne sur une table de nuit, m’approche du postérieur de Valentine qui est au-dessus, glisse ma langue dans son intimité à la rencontre de celle de Maelenn qui s’active juste en dessous. Nos langues se rejoignent sur les lèvres intimes de Valentine. Le cocktail entre la salive de mon amie te la cyprine de Valentine est délicieux.
Je laisse les deux belles à leurs affaires et me colle dans le dos de Sandra toujours agenouillée. J’agrippe ses gros seins à pleines paumes et ondule du bassin contre les fesses de Sandra, comme si je mimais une pénétration. Puis je m’allonge sur le dos, écarte mes cuisses en les relevant et invite Sandra à un 69. Double 69 ! Nous nous activons toutes les quatre. Un 138 en quelque sorte !
- On change ?
C’est la voix de Maelenn. Je me retrouve avec Valentine et elle avec Sandra.
Les orgasmes nous prennent et se succèdent. Enfin, satisfaites et repues nous nous allongeons serrées les unes contre les autres. Je suis au milieu avec Maelenn. Ma bouche alterne avec celle de Maelenn et celle de Sandra serrée contre moi.
- On termine le champagne, et on file toutes les quatre sous la douche ! Ça vous dit ? Notre douche à l’italienne est parfaite pour deux. A quatre on va être serrées surement, mais ça doit rentrer !
En effet, nous sommes serrées dans la douche. Nos quatre corps sont les uns contre les autres. Quelques mains baladeuses vagabondent, flattent un postérieur un sein, ou un pubis. L’eau nous coule sur le visage et le corps. Alors que j’ai les yeux fermés à cause du shampoing, une bouche prend la mienne. C’était la langue de Valentine qui s’aventure.
J’ai sorti des serviettes pour tout le monde, c’est donc une serviette autour du corps et une autour des cheveux chacune que nous avons séché et que nous avons rejoint le salon pour terminer le saumon et le champagne. Ça ouvre l’appétit le stupre et la luxure !
Un peu fatiguées, nous sommes allées nous coucher dans notre grand lit. Comme pour me récompenser d’avoir été l’instigatrice et l’organisatrice de cette soirée de luxure, mes trois amantes conviennent de me donner un dernier plaisir. Maelenn m’installe sur le dos, un oreiller calant mon cou. Elle écarte mes cuisses et s’attaque à mon sexe. Je reconnais bien sa technique unique (la technique de la langue fureteuse) pour me faire monter au 7ème ciel. Sandra me lèche les seins, pendant que Valentine m’embrasse à pleine bouche. Valentine remplace Maelenn, puis ce fut le tour de Sandra. C’est elle qui déclenchera mon orgasme (au moins le troisième de la soirée, il me semble, enfin j’ai perdu le fil depuis un moment déjà !)
Enfin, nous nous sommes endormies serrées les unes contre les autres.
Je me suis réveillée tôt le lendemain matin. J’étais en chien de fusil collée dans le dos de Sandra, qui avait posé la tête sur l’épaule de Maelenn, elle-même tout contre Valentine couchée sur le ventre, une main sur son postérieur. La couette était descendue jusqu’à nos mollets.
Je m’extirpe du lit sans réveiller les autres, pour préparer du café pour tout le monde à leur réveil.
Quelle superbe soirée ! Quelle semaine … amusante ! Je ne change pas d’avis concernant les missions d’audit, mais celle-là c’était de la bombe !
En ouvrant mon portable, j’eu la surprise de découvrir un message de la jolie Amélie :
« J’ai bcp réfléchi, on peut se voir demain soir si vous voulez toujours pour un verre voir pour plus. Je suis décidée à tenter ma première expérience avec femme ».
Je lui ai répondu en lui indiquant que je serai son initiatrice des plaisirs saphiques avec énormément de plaisir, en joignant en pièce jointe une photo de moi dénudée.
Amélie sera la cerise sur le gâteau.
De la bombe cette semaine, je vous dis !!!
« Ah non !! Pourquoi moi ?
La réplique a jaillit du plus profond de moi.
- Parce qu’on est fin août, entre les vacances et le reste, il n’y a que toi qui es disponible
- Pffff, tu sais bien que j’ai horreur de ça !
J’étais dans le bureau de mon patron, il venait de m’annoncer une nouvelle qui ne me faisait pas vraiment plaisir :
- Ecoute Laetitia, ce n’est pas vraiment une mission d’audit. Il s’agit juste de faire un bilan de leur manière de rédiger leur contrat et de voir qui pourrait les rendre plus performants. Peut-être rajouter quelques paragraphes et alinéas par ci par là, pour bien balayer tous les cas de figure
- Oui, enfin, c’est tout comme !
- Oui, bien sûr, c’est un ami qui dirige un cabinet d’audit qui n’est pas disponible, qui me le demande comme un service personnel. Je ne vais pas lui faire faux bond !
- Oui et c’est moi qui m’y colle ! Ce n’est pas comme si je n’avais que ça à faire. Pas comme si je n’avais pas plein d’autres dossiers en souffrance. Mois d’août ou pas, je n’ai vraiment pas que ça à faire !
- Oui, je sais, c’est à mon tour de te le demander comme un service personnel
- Ben voyons ! de toute façon, je n’ai pas trop le choix, donc … On va dire oui ! Mais je t’assure que ça me saoule !
LUNDI
Le taxi me dépose devant une tour de verre dans le quartier des affaires. J’aurais pu prendre ma voiture ou les transports en commun, mais non, j’ai pris le taxi et ça fera une belle note de frais pour la boite. Non mais ho, mission de m….. Pas de cadeaux ! Et puis quoi encore.
Je pénètre dans un hall ultra-chic et design, et me dirige vers l’accueil.
La belle plante assise derrière le comptoir semble paniquer lorsque je lui demande Mr Dumont de la société GMO. C’est surement un emploi saisonnier qui débute. Surement sa première journée seule sans sa tutrice, lâchée dans le grand bain. « Dumont Patrick » je précise. Elle tape fébrilement sur son clavier, cherche, semble passer de page en page, ses joues s’empourprent. Amélie (c’est ce qui est marqué sur le badge de belle plante agrafé sur son uniforme bleu marine) semble d’un seul coup se reprendre. Le vent de panique semble refluer :
- C’est au 4ème, me dit-elle avec un soupir de soulagement et un sourire qui me ravage.
Il faut avouer qu’elle est tout mignonne, l’étudiante saisonnière. Petit blondinette sexy en diable, joli minois, formes à priori avantageuses, d’après ce que j’ai pu voir derrière le comptoir. J’ai vu surtout, ce qui ressemble à une poitrine généreuse qui tend son chemisier blanc sous sa veste bleue et puis aussi un bout de cuisse croisée sur l’autre disparaissant sous le comptoir ;
- Merci Amélie, lui dis-je en lui faisant une œillade appuyée. Vous avez été efficace. Ca mérite d’être noté. D’autant plus que vous êtes très jolie. D’ailleurs à ce sujet, je suis là en principe pour la semaine …. Si un soir, après le travail, vous êtes disponible pour boire un verre, ça sera avec plaisir pour ma part !
Je vois la pauvre Amélie rougir de partout et se liquéfier derrière son comptoir. Si elle pouvait se faire toute petite et disparaitre complétement …. Bon, je me suis un peu amusée à ses dépens. Mais ça n’a rien de méchant et puis ça lui fera une anecdote à raconter à ses copines pour sa première journée de boulot. « Je me suis faite draguer par une meuf ! Siiii j’te jure que si … »
Je la laisse bafouiller et m’éloigne en tortillant exagérément des fesses en direction des ascenseurs...
4ème étage, je suis soulagée. En voyant la tour, je m’imaginais au quarantième. Moi qui est le vertige et ne supporte pas trop de prendre les ascenseurs, je m’imaginais difficilement faire quarante étages, quatre fois par jour, avec le vide sous mes pieds. Le fantasme de l’amour dans l’ascenseur, c’est pas pour moi.
J’arrive dans les locaux de la société GMO, repère la porte du secrétariat du fameux Dumont, directeur commercial de son état, entre et suis accueillie par une autre magnifique plante, brunette cette fois, à priori la secrétaire personnelle de Dumont.
- Ah mademoiselle Marsac, oui ! Monsieur Dumont va vous recevoir, il termine son rendez-vous précédant. Je le préviens de votre arrivée. Asseyez-vous, je vous en prie, me dit-elle en me désignant un fauteuil.
Elle est franchement superbe. Je suis dans la place depuis un quart d’heure, mais j’ai déjà eu affaire à deux superbes filles. Finalement cette mission risque d’avoir aussi de bons côtés. La jolie secrétaire brune porte une minijupe qui laisse voir ses longues cuisses bronzées derrière son bureau au plateau de verre. De là où je suis placée, j’ai une vue directe sur le spectacle. Et pour du spectacle, c’est du grand spectacle. Elle a aussi un joli visage, les cheveux tirés en arrière et deux tresses qui retombent sur ses épaules.
Bon, pas de vagues, cette fois, je suis dans les locaux du client, on va rester sérieuse.
- Vous désirez un café ?
- Avec plaisir, oui
- Sucre ?
- Merci, sans !
La secrétaire s’approche de mon fauteuil la tasse à la main. Au lieu de me la donner, elle la pose et s’approche de moi. Elle se penche et sans avertissement me roule un patin d’enfer. Sa langue fouille ma bouche. D’abord surprise je me laisse aller. Elle s’accroupie devant moi, remonte ma robe, agrippe mes cuisses et les pose sur les deux accoudoirs du fauteuil de manière à me les écarter au maximum. Sa main glisse sur mon entre-jambes et me caresse à travers le tissu de ma petite culotte déjà bien humidifiée
- Est-ce que je peux vous manger le sexe pour vous faire patienter ? me demande-t-elle en se penchant sur moi, la bouche entrouverte, la langue sortie et en mouvement déjà.
- Oui, euh …. Je …. bafouillais-je
Je sens deux mains qui agrippent mes seins. Je me retourne. C’est Amélie, l’hôtesse du rez- de chaussée qui est derrière le fauteuil. Elle glisse à son tour sa langue dans ma bouche, puis lâche ma bouche pour me glisser à l’oreille :
- Je vais m’occuper de toi aussi, attends …
- Mouiiii ?
- Monsieur Dumont vous attend !!
En fait, c’est la secrétaire qui s’adressait à moi, j’émerge de mon doux rêve :
- Euh oui, excusez-moi … j’étais dans mes pensées …
- Ce n’est aps grave, il vous attend !
Je me retourne quand même pour vérifier que Amélie n’était pas derrière le fauteuil et que c’était bien un rêve et suit la secrétaire vers la porte du bureau de Dumont. Je peux ainsi lorgner sur son postérieur bien rebondit. Superbe ! A tomber. Cet immeuble est vraiment un repaire de bombes sexuelles, comme aurait dit un ami à moi !
J’entre dans le bureau de Dumont. Il se lève pour m’accueillir, m’invite à m’assoir à une table ovale de réunion :
- Pénélope, s’il vous plait apportez nous donc deux cafés s’il vous plaît ! (Oui il a dit deux fois s’il vous plait ! soit il est très poli, soit il répète tout deux fois. Là on n’a pas fini !)
Ainsi la jolie secrétaire se prénomme Pénélope ! C’est noté, au cas où, on ne sait jamais ! J’accepte le café. C’est déjà le deuxième, j’en bois en général peu, mais ça me donnera l’occasion de lorgner les jolies formes de Pénélope une fois de plus … Hummm Pénélope et moi dans un lit …. Bon revenons à nos moutons et concentrons-nous !
Dumont est partit dans ses explications que j’écoute à peine (il a arrêté de répéter deux fois les choses, ça va on s’en sort bien):
- Blablabla procédures blablabla contrats internationaux blablabla audit blablabla
Il ne s’interrompt que lorsque la jolie Pénélope revient avec nos cafés. Je suis à nouveau subjuguée, emportée, bousculée lorsque Pénélope se penche vers moi pour poser ma tasse sur la table devant moi. Je mate son décolleté … Et l’autre qui repart …
- Blablabla feuille de route blablabla avocats blablabla clients blablabla
Je préférai quand il répétait les choses deux fois finalement !
Je me remets à penser à Pénélope … De quelle couleur sont ses dessous ? Surement blancs ! Son tour de poitrine ? Je dirais 90b, à vue de nez … Pénélope ça rime avec sal… Oups, Pardon ! Si en plus elle est sal… (Excusez-moi !), cette fille est un véritable cadeau du ciel !
-Bien, je vais appeler Sandra, la cheffe du service où vous allez intervenir chère Laetitia. Je peux vous appelez Laetitia, n’est-ce pas ?
- Oui oui bien sûr !
- Pénélope, s’il vous plait pouvez-vous appeler Sandra s’il vous plaît dit-il dans son téléphone (le voilà qui recommence ! Il est rigolo ce type).
Aie, c’est là où ça va se gâter ! La cheffe de service. Autant avec le dirlo, les relations étaient cordiales. Autant lui, je pouvais l’emberlificoter … C’est lui qui a commandé l’audit. Autant avec la cheffe de service, ça va être tendue, elle elle subit l’audit. En plus si elle en fait une affaire de rivalité féminine, on n’est pas sorties de l’auberge, elle et moi.
On frappe à la porte, c’est Pénélope, qui maintenant j’en suis sure à une culotte blanche (et le sexe épilé, c’est certain aussi !) :
- Mademoiselle Campana est là
- Ah Sandra entrez donc, dit Dumont
Une femme brune, coiffée avec une queue de cheval, les cheveux tirés en arrière. 45 ans à peu près, 47 peut être entre. Elle est grande, 1m80 quasiment, elle a des talons c’est sûr, mais quand même. Elle marche droit comme un I en se dirigeant vers la table de réunion. Elle tend la main à son directeur sans un regard pour moi … Ambiance !
- Je vous présente Laetitia Marsac, qui vient pour …
- Pour m’auditer, oui … rétorque Mademoiselle Sandra Campana d’une voix glaciale
Elle me tend la main. Je la prends. Nos bracelets tintent l’un contre l’autre quand nous secouons nos poignets de haut en bas.
Je garde sa main dans la mienne juste un peu plus que nécessaire, avant de la lâcher. Juste histoire de dire que c’est moi qui lâche, moi qui dirige, moi qui décide, pas toi ma grande. Le tout en ne la lâchant pas du regard. Elle non plus d’ailleurs. Je suis assise elle debout et elle me toise. Genre, je reprends l’ascendant sur toi ma cocotte.
Son regard ! Profond, noir, transperçant … Cette femme est belle, très belle. Le hic, c’est qu’elle ne doit pas sourire souvent. Dommage, avec un sourire, elle ne serait pas seulement belle, mais superbe !
Sandra Campana ! Campana, nom d’origine italienne. Mademoiselle, pas mariée donc !
Sandra s’assoit à notre table. Je la détaille du regard. Elle porte un tailleur pantalon gris. Le pantalon lui moule bien les fesses. Put être un peu proéminentes, mais surement pas grosses. Elle à plus de 45 ans, ça reste un très beau cul pour cet âge-là. Sa poitrine, je la devine également généreuse dans son chemisier blanc. Sa veste de tailleur grise empêche d’en prendre toute la mesure. Dommage. Quelle belle femme ! Glaciale, mais belle.
Et l’autre qui est repartit :
- Blablabla blablabla, voilà la lettre de mission de Laetitia, dit-il en tendant une feuille à Sandra
Celle-ci y jette un coup d’œil distant et la repose sur la table.
- Très chère Laetitia, si vous avez besoin de quoi que ce soit …
- Ne vous inquiétez pas, cher Patrick, Je peux vous appelez Patrick ?
- Oui oui bien sûr !
- Si j’ai besoin de quoi que ce soit, je suis persuadée que Sandra saura me le procurer, dis-je le regard rivé sur la femme brune.
Un silence fait suite, je ne la lâche pas du regard, attendant une réponse. L’obligeant à me répondre même.
- Oui bien sûr, je ferai en sorte que vous ne manquiez de rien Mademoiselle Marsac.
- Vous pouvez m’appeler Laetitia, Sandra ! lui rétorquais-je avec un grand sourire
Voilà, un nouveau point pour moi. Je lui ai fait dire qu’elle était à ma disposition. Bien joué Laeti !
Nous avons quitté le bureau de Dumont avec Sandra. En passant devant Pénélope, je lui fis un petit signe de la main. Elle me répondit de la même façon, avec un grand sourire.
Dans le couloir, je suivais Sandra en matant son cul rebondi qui ondulait serré dans son pantalon gris. Cette femme me considérait comme une rivale, moi elle me donnait d’autres idées …
Elle a appelé l’ascenseur. Lorsque la porte s’est ouverte, elle m’a dit sans me regarder :
- C’est au deuxième
Ce seront les seules paroles qu’elle prononcera durant le trajet. Dans l’ascenseur, son regard restera rivé aux boutons d’appel et aux numéros d’étages. Le mien de regard, restera rivé à sa poitrine légèrement retombante, mais surement magnifique et sur son entre-jambes. Son cul était bien moulé dans son pantalon, devant aussi le pantalon la moulait.
Bon, elle ne sera surement jamais mon amante, la Campana. Je vais déjà essayer de ne pas trop la provoquer et d’en faire une ennemie.
Le ding de la sonnerie de l’ascenseur me sort de mes pensées. Sandra me passe devant et s’éloigne, toujours sans un mot dans le couloir. Vue à nouveau sur son cul !
Elle entre dans un open-space où travaille une dizaine de personnes. Sur la gauche il y a deux bureaux vitrés fermés. Celui de Sandra et un autre qui sera le mien, me dit-elle. C’est celui d’un de ses collaborateurs absent.
Devant la porte de son bureau est installée une belle fille aux cheveux châtains, d’environ 25 ans :
- Valentine, mon assistante, me dit Sandra. Si vous avez besoin de quelque chose, c’est à elle qu’il faut demander.
En clair, ne vient pas m’emmerder, parle à ma secrétaire ….
Valentine, se lève et me tend la main en souriant. La bretelle de sa robe estivale fleurie lui tombe sur l’épaule. Ca me laisse deviner une petite poitrine, surement à croquer !
Elle est toute mignonne Valentine, sa robe découvre à moitié de belle et fines cuisses biens bronzées. Et surtout ce sourire rayonnant qui tranche avec la froideur de Sandra.
Sandra justement :
- Je vous laisse vous installer Mademoiselle Marsac. Valentine va vous sortir les dossiers de cette année.
- Laetitia !
- Quoi ?
- Laetitia, vous pouvez m’appeler Laetitia. Nous allons travailler ensemble une semaine, c’est mieux que mademoiselle Marsac !
- Oui oui
- Et vous aussi Valentine, vous pouvez m’appeler Laetitia, dis-je en me tournant vers la secrétaire
- C’est d’accord Laetitia !
Après m’être installée dans le bureau qui m’était alloué, après avoir pris connaissance des dossiers que Valentine m’avait apporté, je soupirais. Pffff le temps allait être long … Quelle ennui cette mission. Moi qui aime les rapports humains dans mon métier, là le nez dans la paperasse toute la journée. Question rapports humains, avec Sandra, je vais être servie en plus. Heureusement, il y a Valentine.
J’avais laissé la porte du bureau ouverte. Dans l’open-space on entendait les mouches voler. Surement que Sandra ne tolérait pas les bavardages entre collègues. C’est son genre !
J’entendais seulement Sandra donner des ordres à Valentine :
- Valentine, apportez moi …. Tout de suite Sandra … Valentine où sont les …. Dans l’armoire, étagère du haut Sandra … Valentine….. Sa secrétaire était sa bonniche !! Sans blagues, elle ne faisait rien elle-même ?
10h30, je vais aller me boire un café à la machine dans le couloir, ça passera un quart d’heure ! Je m’étais détendue un peu une demi-heure avant, lorsque j’avais demandé à Valentine, où je pouvais brancher mon ordinateur portable pour avoir accès à internet. J’avais eu le plaisir de voir Valentine se mettre à quatre pattes sous mon bureau pour brancher le câble dans la prise. Je vous laisse imaginer les pensées lubriques qui m’ont envahie !
Coincée entre la machine et une plante verte, j’aperçois Sandra et Valentine partir dans le couloir. Devant une porte plus loin, Valentine se penche et introduit une clé dans la serrure. La porte s’ouvre et elle pénètre toutes les deux dans la pièce. Sandra jette un regard à droite et à gauche avant de refermer derrière elle.
Bizarre ! Qu’est ce qu’elles font ?
Je me dirige vers la porte. Il y a marqué « archives » dessus.
J’essaie d’ouvrir. C’est fermé ! Elles ont verrouillé la porte derrière elles. Bon, les archives souvent dans une entreprise sont des lieux clos, où sont stockées parfois des documents confidentiels. Mais là les normes de sécurité sont sévères ! Sévères comme Sandra !
Je colle mon oreille à la porte. Je n’entends rien. Bon, allez, je retourne bosser moi. Pas envie de faire plus d’une semaine dans cette boite …
Une demi-heure plus tard, Sandra et Valentine reviennent à leur place aussi.
Valentine s’assied derrière son bureau, passe ses cheveux derrière son oreille gauche et se penche sur son ordinateur. Bientôt ses doigts dansent sur le clavier. Si ses doigts pouvaient danser ailleurs (sur moi par exemple).
Sandra quant à elle, s’est enfermée dans son bureau et téléphone à quelqu’un.
La journée se passe lentement, mais lentement ….
MARDI
Je suis arrivée vers 8h30. Valentine est déjà là. Aujourd’hui, elle porte un jean bien moulant. Jolie petit cul, y’a pas à dire ! Surtout qu’elle est penchée en avant en train d’arroser une plante dans le bureau de Sandra. Je profite du spectacle avant d’aller la saluer et je me dirige vers mon bureau.
Sandra arrive vers 9h15, elle porte un tailleur jupe cette fois …. Gris …. Tailleur-pantalon gris, tailleur-jupe gris, quelle variété, quelle fantaisie. La jupe au-dessus du genou lui enserre les fesses autant que son pantalon de la veille. Dommage, pas assez courte pour voir ses cuisses. Je suis persuadée qu’elle a un début de cellulite sur les cuisses et les fesses. Ce n’est pas pour me rebuter. Je trouve ça mignon, chez les femmes qui murissent. Enfin quand c’est juste un début de cellulite bien sûr !
Elle s’installe dans son bureau. Valentine lui apporte un café dans un gobelet en plastique. Je n’entends pas trop ce qui se dit dans le bureau, mais je vois Valentine penchée dans l’armoire. Surement que Sandra a besoin d’un dossier dedans et qu’elle ne peut pas lever son cul pour le prendre elle-même. Puis je la vois sortir du bureau et y retourner avec un parafeur qu’elle tend à Sandra. Celle-ci, tourne les pages, chausse ses lunettes, signe de temps en temps. La bouche pincée, elle semble faire quelques remarques à Valentine, debout derrière elle. Enfin, elle tend le parafeur à Valentine, qui quitte le bureau pour aller s’installer à sa place.
Ce n’est pas la boss rêvée !! Je plains Valentine.
Pas un sourire, le ton cassant, pas un merci …
Je me replonge dans mes dossiers, prends quelques notes sur mon ordi portable. Une demi-heure plus tard, Sandra sort de son bureau se dirige vers Valentine, pose ses mains sur le plateau du bureau, se penche vers elle et lui glisse un mot doucement. Elle qui d’habitude beugle ses ordres, là elle est discrète.
Valentine hoche la tête, fouille dans le tiroir de son bureau et se lève. Elles partent toutes les deux.
Je suis intriguée. J’ai juste le temps de retourner à mon point de vue derrière la plante verte pour voir Valentine et Sandra entrer dans le local des archives.
Comme la veille, Sandra jette un regard dans le couloir avant d’entrer à la suite de Valentine. Par contre, aujourd’hui elle lui met la main aux fesses avant de refermer derrière elles.
Je suis estomaquée. Sandra à peloté les fesses de Valentine !
Mais qu’est-ce qu’elles font tous les jours à à peu près la même heure tous les matins enfermées là-dedans ?
On ne met pas la main aux fesses de son assistante comme ça. Ce n’était pas un geste involontaire ! La main de Sandra a belle et bien caressé le cul de Valentine serré dans le jean. Elle a suivi la raie pour se glisser entre les jambes. Ce n’était pas un geste anodin …
Sandra s’envoie sa secrétaire tous les jours dans les archives ? Ah la garce ! Elle cache bien son jeu celle-là ; avec ses airs pas aimable ! Je suis sure que c’est une chaudasse la Sandra !
Sandra et Valentine des lesbiennes ? D’emblée, ce n’était pas évident ! Et pourtant ! Tout concorde !
Par acquis de conscience, je me dirige vers la porte. C’est verrouillé comme hier.
Je retourne à mon bureau et je cogite. Il faut que j’en sache plus. Oui, bon d’accord, mais savoir quoi. Qu’elles se léchouillent mutuellement le minou ? Et après ? Elles sont toutes les deux magnifiques, différentes mais magnifiques… Si je pouvais …. Non, non oublie !! Tu es chez des clients, pas de vagues. Mais la situation est cocasse tout de même.
Et l’idée me vint … Je savais ce que j’allais faire !
Elles sont revenues comme la veille au bout d’une demi-heure. Je remarquai que Valentine avait légèrement le rouge aux joues en s’asseyant derrière son bureau.
Sandra a pris son sac à main, son cartable et a indiqué qu’elle était en réunion à l’extérieur qu’elle ne rentrerait pas. Elle toujours impeccable, j’ai trouvé qu’elle avait l’air légèrement décoiffée. Ca a dû être chaud dans les archives !!
L’après-midi, je me suis dirigée vers Valentine :
-Valentine, j’aurais besoin de dossiers des années 2012 et 2013
- Euh, oui, ça doit être aux archives, je vais vous montrer.
Elle sort un trousseau avec un porte-clés en forme de fleur, se lève et se dirige vers le couloir. Je la suis jusqu’au local.
Des allées avec des rangées d’étagères où sont entassés des dossiers partent sur la droite et sur la gauche.
- Alors 2012 et 2013, ça doit être dans cette allée-là, de dit Valentine,
- Je vais me débrouiller toute seule Valentine, ne vous cassez pas la tête. Je crois que je vais consulter les dossiers sur place. Je pourrais les remettre en place, ça évitera de les sortir et de les replacer après.
- D’accord Laetitia, prévenez moi quand vous aurez terminé que je vienne refermer le local
Valentine partie, je me lance dans l’exploration de la pièce des archives, à la recherche d’indices. Vers le fond près d’une fenêtre qui est la seule source de lumière de la pièce se trouve un bureau.
Rien dessus. J’ouvre le tiroir de gauche. Rien dedans, hormis un ou deux trombones des post-it, un vieux stylo. Celui d’en dessous, c’est pareil, rien d’intéressant.
Le tiroir de droite par contre est fermé à clé. Ah zut, je n’ai pas la clé. Bizarre de fermer un tiroir où a priori il n’y a rien !
Je me penche vers le plateau du bureau et découvre …. Un poil pubien !!! Brun ! A Sandra ou bien à Valentine ? Je penche pour Sandra. J’imagine Valentine épilée plutôt. Et là un autre et un autre encore. Je déplie un mouchoir en papier que j’avais dans ma poche, dépose mes preuves dedans le repli et le glisse dans la poche de mon jean. Je ne sais pas ce que je vais en faire, mais bon ! Quand on mène une enquête, c’est comme ça, on rassemble des indices.
Dommage, La porte n’est pas verrouillée et Valentine peut revenir à n’importe quelle moment, sinon, j’aurais bien baissé mon pantalon et je me serai bien touchée un peu, me dis-je en passant ma main sur mon entre-jambes. Par contre, dans les toilettes !
Je préviens Valentine que j’ai terminé et je me dirige vers les toilettes des dames. Je m’enferme dans la cabine, m’installe sur la cuvette, en ayant déboutonné mon jean et en l’ayant baissé jusqu’à mes chevilles en même temps que mon string rose bonbon. Avant de glisser ma main entre mes cuisses, je remonte min t-shirt et fait jaillir les tétons tout durs du soutien-gorge. Je les pince un peu avant de m’attaquer à mon sexe. J’imagine Sandra et Valentine en train de faire des cochonneries dans les archives, dans des positions indécentes. Je suis tellement excitée, que l’orgasme me prend tout de suite. Je me mords les lèvres afin de ne pas émettre le moindre bruit. Jouir en silence, c’est tout un art.
Une fois que les vagues de plaisir m’ont submergée, je reprends doucement ma respiration. Je suce mes doigts les uns après les autres. Je me réajuste. Je quitte les WC sans me laver les mains, je tiens à garder l’odeur et le goût un maximum de temps de façon à les renifler en regardant Valentine tout à l’heure.
Bon voilà, ça c’est fait. Et je fais quoi maintenant ? Rien ! Qu’est-ce que tu veux que je fasse ! La situation est cocasse certes, mais bon !!!On va en rire ce soir, quand je vais raconter toute l’histoire à Maelenn, et après rien. Et hop, l’inspiration me vint au milieu du couloir.
Je regarde l’heure : 17h30, je rejoins le bureau espérant voir Valentine avant qu’elle ne parte.
Je m’approche de son bureau par derrière et lui pose la main sur l’épaule. Ca a pour effet de la faire sursauter.
- Ah Valentine, je crois que vous allez bientôt partir. Je vais peut-être rester un peu tard ce soir, j’ai envie d’avancer un peu …
- Pas de problème Laetitia, en effet, je vais partir d’ici un quart d’heure !
Je retire ma main de son épaule, non sans avoir bien appuyé mon index et mon majeur de la chair au-dessus de la clavicule, de manière à bien l’imprégner de l’odeur de mon sexe encore présente sur mes doigts. Je voulais la marquer en quelque sorte sans qu’elle ne s’en aperçoive. J’ai senti sa peau frissonner légèrement quand j’ai posé ma main sur elle et un peu plus quand j’ai fait pression avec mes doigts. Les femmes lui font de l’effet, c’est sûr. Elle ne fait pas ça avec Sandra pour la promotion canapé, mais par plaisir. Ou alors c’est un peu des deux !
Au bout d’une dizaine de minutes, je la vois prendre son sac à main, se lever. Elle part :
- A demain Laetitia
- Oui c’est ça à demain Valentine.
Je laisse passer un quart d’heure, et après avoir vérifié que l’open-space était déserté, j’ouvre le tiroir du bureau de Valentine, trouve le trousseau avec le porte-clés à fleur. Je m’en empare. Il y a deux clés, celle de la porte des archives et une autre plus petite. Surement celle du tiroir du bureau fermé. Encore un mystère qui va être résolu !
Mon plan c’est de faire un double des clés chez le serrurier minute que j’ai repéré dans le quartier, de remettre le trousseau ni vu ni connu dans le tiroir de Valentine avant de rentrer chez moi. Si je fais vite, j’en ai pour une demi-heure.
MERCREDI
Je suis arrivée tôt. 7h30, il n’y a que moi à l’étage. Je peux essayer mes nouvelles clés. La porte s’ouvre. Parfait. Je me dirige vers le bureau. La seconde clé ouvre bien le tiroir qui était fermé. Surprise, il renferme … un gode-ceinture ! Ah carrément ! Les cochonnes, je n’y crois pas ! Je ricane ! La Sandra et son genre ! Et l’autre petite saint-nitouche de Valentine ! Laquelle se fait prendre par l’autre ? Voilà ce que je me demande en plaçant le gode en position devant mon pubis. Je ricane à nouveau. Surement Sandra à la baguette. Oui c’est Sandra qui officie ! A moins qu’elles n’alternent !
.Je prends le gode et l’enfonce dans ma bouche. Je crois reconnaitre un goût de cyprine dessus.
Bon, il est temps de tout refermer et de retourner à ma place avant que les autres n’arrivent.
Ce matin, je vais mettre la suite de mon plan à exécution.
10 heures 30, Valentine m’a dit que Sandra est en réunion, qu’elle sera là vers 11 heures et qu’elle partira pour l’après midi en rendez-vous extérieur. Cet emploi du temps est parfait en termes de timing pour mon plan soigneusement préparé.
10h45, Sandra est arrivée. Elle s’est enfermée dans son bureau et est au téléphone depuis dix minutes. Il est temps pour moi de m’éclipser discrètement.
Je me dirige vers les archives et ouvre la porte avec ma clé fraichement refaite. Je m’engage dans l’allée et me place derrière une étagère que j’ai repérée le matin même lors de ma précédente exploration. Je m’accroupie et écarte les dossiers sur les étagères inférieures. Je vérifie … oui j’ai une bonne vue d’ensemble sur le bureau au fond. Là où je me trouve, je suis invisible, dans la pénombre, mais je vois tout.
.J’ai prévu de porter une robe ample ce matin, je vais même jusqu’à enlever ma culotte et remonter le bas de ma robe sur le haut de mes cuisses. Me voilà fin prête. Je n’ai plus qu’à attendre les deux gourgandines, qui si elles respectent leur horaire, ne vont pas tarder.
Je n’ai pas à attendre trop longtemps. Cinq minutes plus tard, j’entends des bruits de clé qui ouvre la porte. Puis les mêmes bruits qui referment la porte et la verrouille. Des bruits de talons qui claquent sur le sol et je vois passer à hauteur d’yeux une paires de mollets devant moi. Ceux de Sandra, qui porte … un tailleur-jupe … gris (la jupe est plus courte qu’hier). Elle va directement s’appuyer contre le bureau. Une deuxième paire de mollets passent devant moi, ceux de Valentine :
- Viens approche toi ! J’ai tant attendu ce moment, dépêche-toi, j’ai trop envie !
C’est la voix de Sandra ;
- Que cette réunion a été longue, j’ai pensé à toi tout le temps. Enfin à ton corps !
Valentine a rejoint Sandra près du bureau. Les deux femmes s’enlacent et leurs bouches se joignent.
J’ai merveilleusement bien choisit mon endroit. Je suis invisible et je vois tout.
Je vois leurs langues se mêler, les mains de Sandra descendre dans le dos de Valentine et se plaquer sur ses fesses, les bras de Valentine autour des épaules de Sandra.
Les bouches des amantes se sont détachées l’une de l’autre. Sandra lèche et embrasse le cou de Valentine.
Sandra repousse légèrement Valentine vers l’arrière et lui dit :
- Déshabille moi, enlève tout, mets moi entièrement à poil
De mon côté, ma main droite s’est glissée sous ma robe et je me masturbe avec application Ma main gauche pétrie ma poitrine à travers le tissu.
Valentine a fait tomber la veste de tailleur de Sandra, elle s’est attaquée aux boutons du chemisier blanc, découvrant un soutien-gorge noir. Le chemisier tombe à son tour. Valentine passe ses mains dans le dos de Sandra pour dégrafer le soutien-gorge et faire jaillir une belle et grosse poitrine. Je distingue nettement deux grandes auréoles brunes et deux tétons bien dressés. Le soutien-gorge rejoint les autres vêtements aux pieds des deux femmes.
Valentine se penche et embrasse chaque sein puis prend les tétons dans sa bouche pour les sucer. Sa bouche prolonge la descente sur le ventre, s’attarde sur le nombril. Sandra a quelques petits bourrelets sur le ventre. C’est vraiment très mignon. J’adore les femmes de cet âge et leur pudeur à masquer leur formes pourtant si sexy ! Vivement que Valentine lui enlève sa jupe, pour voir si elle a le fameux début de cellulite que je suppose sur les cuisses et le fessier.
D’ailleurs les mains de Valentine ont fait le tour des hanches de Sandra et s’active à déboulonner la jupe et à faire descendre la fermeture éclair. Elle accompagne la jupe jusqu’aux chevilles de Sandra. Elle découvre un joli tanga noir et me conforte dans mon idée. Il y a un début de cellulite sur les cuisses de Sandra. Pas trop sur ses fesses apparemment, mais sur les cuisses, ça commence. Mademoiselle la coquette, assumes un peu ton âge et ton corps, que diable !!
Il va falloir que je me calme, on en est qu’aux prémices et je suis déjà prête à me faire jouir. Je ralentis, le mouvement de mon doigt dans mon vagin.
Valentine a fait tomber le tanga de Sandra qui maintenant est toute nue, comme elle le souhaitait. Son pubis s’orne d’un très mignon triangle noir. Les poils pubiens étaient surement les siens !
Valentine s’est agenouillée devant Sandra et à fourré son visage sur son entre-jambes. Sandra a écarté les cuisses et Valentine s’active maintenant sur le sexe de Sandra.
Sandra pétrit les cheveux de Valentine et l’encourage :
- Oui vas-y, vas-y, vas-y, lèche moi
De où je suis, je ne vois pas la langue de Valentine s’activer, mais j’entends parfaitement les bruits de sussions et de léchouille. Elle a l’air de savoir s’y prendre !
Sandra la relève et lui dit :
- Je vais venir trop vite si tu continues comme ça, attends !!
Elle entreprend de déshabiller Valentine à son tour. Les vêtements tombent les uns après les autres et rejoignent le tas de ceux de Sandra sur le sol.
Sandra s’allonge sur le bureau et attire Valentine vers elle :
- Viens sur moi
Les deux femmes sont maintenant en 69. Les langues s’activent. Les gémissements deviennent de plus en plus passionnés.
Je vais essayer de coordonner mon orgasme avec le leur. Deux de mes doigts s’agitent en moi.
- Oh oui, oui oui !!! Vas-y ma petite salope adorée, je vais jouir …
Ça c’est Sandra …
- Hummm ouiiiii ohhhh Sandra …
Ça c’est Valentine.
- _ _ _ _
Ça c’est moi, qui arrive à rester à peu près silencieuse.
Je me laisse aller et manque de chuter en arrière, les jambes en l’air, Je me retiens à l’étagère devant moi. Je suis en sueur, le sexe dégoulinant, les doigts encore à l’intérieur.
Je reporte mon attention sur mes deux copines. Elles sont maintenant redressées en train de s’embrasser :
- Ah qu’est-ce que c’était bon, je ne pourrais plus me passer de nos petites escapades quotidiennes Tu as pris du plaisir aussi ?
- Oui, tu m’as du bien aussi !
- Il faut que j’y aille, reprend Sandra en se penchant pour ramasser ses sous-vêtements sur le sol. J’aurais bien remis ça avec toi, mais j’ai mon rendez-vous..
- Dommage ! Attends, je t’ai déshabillée, je vais te rhabiller, lui répondit Valentine en passant sa culotte aux chevilles de Sandra
Je les laisse se rhabiller, s’embrasser une dernière fois et quitter la pièce. J’attends quelques minutes et je sors à mon tour, après avoir pris soins qu’il n’y ai personne dans le couloir.
14 heures 30 : Sandra est partie et ne reviendra pas de l’après-midi. J’ai Valentine pour moi toute seule et j’ai bien l’intention d’en profiter.
Je m’approche de son bureau, elle est concentrée sur son clavier et son écran.
- Valentine ?
- Oui Laetitia
- Pour les archives …
- Vous avez encore besoin de dossiers ?
- Non, non, c’est juste que … Je sais ce que vous y faites avec Sandra tous les matins !
- .Qu … quoi ?
- Oui, je suis intriguée par votre manège à toutes les deux depuis le début de la semaine. Ce matin, j’étais dans les archives planquée et j’ai tout vu !
- Mais … mais …
- Chuttt, pas de panique, je n’ai pas l’intention de raconter ça à qui que ce soit. Je sais garder les secrets.
- J’ai trop honte … Ce n’est pas possible !
- Bon, écoute ! J’ai repéré un hôtel au bout de la rue. Ce genre d’hôtel de chaine, ce n’est pas le grand luxe, mais pour passer un après-midi coquin toutes les deux, ça peut le faire. Si tu me dis non, n’ai pas peur, on en reste là, il n’y aura pas de suite. Si tu dis oui, on va se faire plaisir toi et moi, sans prise de tête et sans suite aussi. Ma mission terminée, je disparais. Alors ?
- Je … je ne sais pas … je n’ai jamais fait ça moi !
- Ben si, je t’ai vu faire avec Sandra …
- Oui, mais non, à l’hôtel je veux dire …
- T’inquiète pas, je m’occupe de tout. Alors, c’est oui ou c’est non ?
- C’est … c’est oui …
- Bon, j’y vais, je réserve une chambre. Je t’appelle pour te donner le numéro et tu me rejoins. Pour toi, c’est complètement anonyme. Incognito !
17heures 30 : Valentine est nue sur le lit allongée sur le ventre. Nous avons fait l’amour tout l’après-midi. Mon doigt court aérien le long de son épine dorsale. Puis glisse sur la raie de ses fesses. Elle frissonne quand je l’embrasse entre les omoplates.
- Hummm, c’était vraiment trop bon Laetitia ! On recommencera toutes les deux à l’hôtel ?
- Oui, pourquoi pas, mais j’ai une autre idée, voilà ce qu’on va faire ….
Je lui explique le fond de ma pensée.
- Sandra ne voudra jamais !
- Sandra j’en fais mon affaire, laisse-moi faire, lui rétorquais-je avant de glisser ma langue entre ses fesses
JEUDI
N’ayant pas trop avance dans ma mission, je me suis concentrée sur mes dossiers. C’est tout juste si je levais la tête et c’était pour apercevoir les regards que me lançait Valentine.
Vers 11 heures Sandra, comme tous les matins, est venue la chercher. Elle portait un tailleur-jupe … gris ? Non ! Bleu marine, quelle originalité !
Quand elle s’est levée pour suivre son amante, Valentine m’a regardé avec insistance. Mes lèvres ont formé un bisou que j’ai fait claquer à distance. Ses joues sont devenues toutes rouges.
Rouges, elles l’étaient encore, quand elles sont revenues et qu’elle s’est installée derrière son bureau.
Je me suis dirigée vers elle et lui ai dit discrètement :
- Alors c’était bon ?
- Euh … oui ….
- Je m’occupe de Sandra demain matin. Elle était en forme aujourd’hui ?
- Euh … oui …. Elle a conservé ma culotte, elle n’a pas voulu me la rendre !
- Tu veux dire que sous ta jupe, là, tu n’as pas de culotte ?
- Oui …
- Hummm intéressant ! Masi bon, je dois retourner bosser, je veux en avoir terminé ce soir. J’ai un plan à mettre à exécution demain matin. Mais tu ne perds rien pour attendre, petite cochonne sans culotte ….
L’après-midi, je continuais mon dur labeur, ne levant la tête que pour envoyer des SMS coquins à Valentine. Je me faisais un plaisir de la voir rougir en les consultant.
Le soir, en rentrant à la maison, je racontais toute l’histoire à Maelenn et surtout je n’omettais pas la suite de mon plan. Ça l’a fait beaucoup rire.
VENDREDI
Je suis arrivée de bonne heure ce vendredi matin, histoire de peaufiner le pré-rapport de ma semaine d’audit.
Comme je l’avais incitée à le faire, Valentine a posé une journée de RTT. Il n’y aura, ainsi, aucune interférence de Sandra concernant la suite et la fin de mon plan.
Sandra est arrivée vers 9 heures. Elle est allée directement s’installer dans son bureau sans me saluer (comme les autres jours de la semaine).
Vers 9h30, je vais toquer à sa porte :
- Bonjour Sandra, je peux entrer ?
- Euh oui
- Voilà, ma mission tire à sa fin, je vais faire mon rapport à Dumont en fin de matinée. Par contre, il me semble normal que je vous en parle avant.
- Euh oui, bien sûr, me répond-elle soudain intéressée mais aussi anxieuse de connaitre mes conclusions
- Bien, d’abord, je n’ai vraiment pas trouvé grand-chose. Vos contrats tiennent la route. Voilà mon pré-rapport, le définitif vous parviendra d’ici une semaine ou deux.
J’évoque bien sur quelques pistes de progrès, mais vous vous rendrez compte qu’il n’y a rien de méchant et que je n’ai vraiment pas grand choses à dire.
Je lui tends les feuillets qui viennent tout juste de sortir de l’imprimante.
Elle chausse ses lunettes à monture noire pour les parcourir.
- Eh bien oui, en effet, c’est même plutôt élogieux pour mon service …
- Complétement !
- Et pour les pistes de progrès, vous avez raison …
- Un œil extérieur c’est toujours utile
- Je crois que je vous ai plutôt mal jugée Laetitia, me dit-elle avec un sourire timide
Bon sang, qu’est-ce qu’elle est belle quand elle sourit !!! C’est la première fois de la semaine que je la vois sourire !
- Je crains même d’avoir été limite incorrecte ! Ecoutez, je m’en excuse !
- Ce n’est vraiment pas grave Sandra. Pour ma part, cette mission m’aura apporté certaines satisfactions tout de même …
- Ah oui ?
- Oui notamment vos petites sauteries avec votre assistante dans les archives !
- Quoi ?
- Oui, ne niez pas, je sais tout, je vous ai vues, observées même. Valentine m’a tout avoué en plus
- Mais …
- Ecoutez, n’ayez pas peur, je n’ai vraiment pas l’intention d’ébruiter tout ça. Ça restera notre secret à toutes les trois. Comme je vous le disais, vous m’avez plutôt offert un joli spectacle. Vous Sandra, je vous trouve, comment dire …. Plutôt … chaude ! Brulante même. Une vraie italienne volcanique ! Un volcan ! Le Vésuve, l’Etna, Vulcano, le Stromboli, les quatre réunis …
- Mais, je je ….
- J’ai une proposition à vous faire, tout à fait honnête en plus. Vous avez bien sur le droit de refuser, on en restera là, comme je viens de vous le dire. Mon but n’est pas de faire du chantage. Pour vous permettre de réfléchir et de prendre votre décision en votre âme et conscience, je peux rajouter que Valentine est d’accord ….
Une fois mon entretien terminé avec Sandra, je monte voir Dumont, pour lui faire mon rapport. A midi, j’en avais terminé, il ne me restait qu’à quitter les locaux de GMO.
Un après-midi à faire du shopping. Un petit resto avant (italien pour penser à Sandra) et les boutiques. Pastas, Bardolino rosé et Panna Cotta !
Avant toute chose, il va falloir que j’appelle Maelenn pour lui raconter les dernières évolutions de notre affaire.
Dans le hall au rez de chaussée, je m’approche de l’accueil. C’est Amélie qui est là ce vendredi.
- Au revoir Amélie, lui dis-je, je pars, j’ai terminé ma mission, vous rencontrer aura été un plaisir
La pauvre fille se met aussitôt à rougir de partout
- Vous avez un papier s’il vous plaît ?
- Euh, oui oui voilà
- Et un stylo ?
- Oui
Je griffonne vite fait sur le papier quelques caractères
- C’est mon numéro de portable, mon invitation de lundi tient toujours. N’hésitez pas, si ça vous tente !
Amélie passe du rouge au cramoisi. Elle me regarde la bouche ouverte. Son regard passe de mon visage au papier.
Au moins, elle ne le jette pas directement à la corbeille. Je m’éloigne en dandinant des fesses comme lundi dernier. Peut-être qu’il y a une chance qu’elle me rappelle après tout ! Qui ne tente rien n’a rien.
18 heures 30, je rentre chez nous, quelques paquets à la main.
Je m’approche de Maelenn et dépose un baiser sur ses lèvres.
- Je vois que tu es déjà en tenue de combat ! Je file me préparer, nos invitées arrive dans une heure.
La tenue de combat de Maelenn, c’est une petite robe noire, très décolletée et très courte. Enfin courte, c’est un euphémisme, je dirais raz du cul plutôt. Je suis sure qu’elle n’a rien dessous. Un soutien-gorge ou même un string ça se verrait, tellement la robe lui moule les formes. Elle est magnifique. Elle a rajouté de beaux escarpins à talons démesurés (la marque avec une semelle rouge, si vous voyez, ah la les goûts de luxe …).
Je file sous la douche. J’en ressors une serviette autour du corps, pour préparer ma tenue pour la soirée. Mon choix se porte sur une jupe en tulle noire au-dessus du genou, en haut un bustier blanc. En dessous, juste un string noir et des bas noirs aussi.
Je redescends au salon. Maelenn a préparé la collation. Des toasts, du saumon, une bouteille de champagne dans un seau à glace, quatre flutes sur un plateau.
- Tout ça me semble parfait ma chérie, lui dis-je en lui flattant la croupe. Ah on sonne, surement nos invitées.
J’ouvre, c’est Sandra et Valentine, sur leur trente et un aussi. Elles sont belles et sexy
Je fais les présentations :
- Sandra, Valentine et Maelenn ma compagne.
L’atmosphère semble tendue. Sandra et Valentine semble sur la réserve, légèrement stressées.
Maelenn, s’approche de Sandra et lui prend la bouche. Je vois sa langue se frayer un chemin entre les lèvres de Sandra. Elle fait de même avec Valentine.
- Enchantée ! Laeti m’avait dit que vous étiez ravissantes toutes les deux, mais c‘est peu dire ! Mais je vous en prie asseyez-vous, dit-elle en désignant le canapé d’angle.
Elle prend Valentine par le bras et l’invite à s’assoir sur le côté gauche, avant de s’installer à côté d’elle. Tout à côté même.
Je fais de même avec Sandra sur le côté droit.
L’intervention de ma chérie aura au moins eu le mérite de dégeler l’atmosphère. Sandra et Valentine semble se détendre.
J’avais convenu avec Maelenn qu’elle s’occupe de Valentine et moi de Sandra. Valentine je connaissais et Sandra me faisait très envie.
Maelenn se pencha pour ouvrir la bouteille de champagne et remplir les flutes en cristal.
- Un Ruinart blanc de blanc, ça vous convient ?
J’espère bien que ça leur convient, elles seraient difficiles en disant non ! Au prix que ça coute en plus ! On ne se moque pas d’elles …
Nous trinquons et commençons à déguster le divin breuvage. Il est frappé à point. Quel délice. Mes fines bulles du Ruinart explosent dans mon gosier.
Maelenn qui ne perd pas de temps, non seulement se colle à Valentine, mais pour bien marque le coup, lui pose la main sur la cuisse. Leur lèvres se rapprochent et se joignent. Maelenn alterne entre une gorgée de champagne et la langue de Valentine. Elle prend la flute des mains de Valentine et la pose sur la table basse. Elle lui repousse le buste sur le dossier du canapé et l’embrasse à nouveau. Sa main se glisse maintenant sous la jupe de Valentine. Celle-ci sous la caresse écarte les jambes. J’aperçois le liséré d’un bas sur le haut de la cuisse, sous la jupe. Maelenn malaxe l’intérieur de la cuisse.
De mon côté, j’ai décidé de prendre mon temps avec Sandra. Je me suis rapprochée d’elle. Sandra et moi ne perdons pas une miette du spectacle que nous offrent Maelenn et Valentine.
Je fais glisser mon doigt sur le bras de Sandra. Puis remplace mon index par ma bouche puis par ma langue, qui remonte sur le biceps pour atteindre l’épaule. J’écarte du bout des doigts la fine bretelle de la robe de Sandra, pour laisser le passage à ma langue qui parcourt maintenant la clavicule, puis le cou. La main de Sandra c’est posée sur mon genou. J’écarte les mèches brunes et ma langue rejoint le lobe de l’oreille de Sandra. Je le gobe (boucle d’oreille incluse) et le suce. Ma langue poursuit son chemin sur la joue, elle atteint enfin la bouche et se glisse dedans. Enfin, je goute la langue de Sandra. Une semaine que je ne pense qu’à ça ! La main de Sandra est maintenant sous ma jupe et ses doigts caressent ma culotte qui s’humidifie au fur et à mesure des caresses. Je me penche en arrière pour m’allonger sur le dos et attire Sandra sur moi. Je sers mes mollets autour de ses hanches.
Un regard vers Maelenn et Valentine pour m’apercevoir qu’elles sont passées à la vitesse supérieure. Valentine est à moitié dénudée. Maelenn s’est levée et tend son dos à Valentine pour que celle-ci baisse la fermeture éclair de la mini robe de Maelenn. La robe tombe à ses pieds. Gagné ! Elle n’avait rien dessous. Ma chérie est toute nue. Les mains de Valentine lui caressent les fesses.
Sandra vient de faire jaillir mes seins de mon bustier. Moi je m’attaque à sa robe.
J’avoue avoir perdu le fil des évènements et du temps. J’émerge alors que Sandra est entre mes cuisses la langue autour de mon clitoris. Je n’»ai plus qu’un seul escarpin, l’autre est je ne sais où. Il ne me reste que mes bas noirs. Sandra a aussi conservé ses bas et sa culotte. Mais elle pend autour de sa cheville gauche. Je repère mon string qui a atterrit dans le plateau sur la table basse avec le saumon.
Maelenn et Valentine sont tête bêche l’une sur l’autre en train de se gouter le sexe.
- Et si nous allions dans la chambre ? Nous serions plus à l’aise ! Notre lit est king size, on y logera bien à quatre !
Dans l’escalier qui monte à l’étage, je prends la main de Sandra dans la mienne et de l’autre je caresse les fesses de Maelenn et de Valentine qui nous précèdent.
Arrivées dans la chambre, Maelenn et Valentine, reprennent leur 69, là où elles l’avaient laissé en bas.
- Zut, on a oublié le champagne et les flutes, dis-je à Sandra. Je redescends les chercher. Je reviens tout de suite.
Quand je remonte, les deux nouvelles amies, sont toujours en train de se manger le sexe. Sandra pour sa part est agenouillée près d’elles sur le lit et se caresse en les regardant.
Je pose le champagne sur une table de nuit, m’approche du postérieur de Valentine qui est au-dessus, glisse ma langue dans son intimité à la rencontre de celle de Maelenn qui s’active juste en dessous. Nos langues se rejoignent sur les lèvres intimes de Valentine. Le cocktail entre la salive de mon amie te la cyprine de Valentine est délicieux.
Je laisse les deux belles à leurs affaires et me colle dans le dos de Sandra toujours agenouillée. J’agrippe ses gros seins à pleines paumes et ondule du bassin contre les fesses de Sandra, comme si je mimais une pénétration. Puis je m’allonge sur le dos, écarte mes cuisses en les relevant et invite Sandra à un 69. Double 69 ! Nous nous activons toutes les quatre. Un 138 en quelque sorte !
- On change ?
C’est la voix de Maelenn. Je me retrouve avec Valentine et elle avec Sandra.
Les orgasmes nous prennent et se succèdent. Enfin, satisfaites et repues nous nous allongeons serrées les unes contre les autres. Je suis au milieu avec Maelenn. Ma bouche alterne avec celle de Maelenn et celle de Sandra serrée contre moi.
- On termine le champagne, et on file toutes les quatre sous la douche ! Ça vous dit ? Notre douche à l’italienne est parfaite pour deux. A quatre on va être serrées surement, mais ça doit rentrer !
En effet, nous sommes serrées dans la douche. Nos quatre corps sont les uns contre les autres. Quelques mains baladeuses vagabondent, flattent un postérieur un sein, ou un pubis. L’eau nous coule sur le visage et le corps. Alors que j’ai les yeux fermés à cause du shampoing, une bouche prend la mienne. C’était la langue de Valentine qui s’aventure.
J’ai sorti des serviettes pour tout le monde, c’est donc une serviette autour du corps et une autour des cheveux chacune que nous avons séché et que nous avons rejoint le salon pour terminer le saumon et le champagne. Ça ouvre l’appétit le stupre et la luxure !
Un peu fatiguées, nous sommes allées nous coucher dans notre grand lit. Comme pour me récompenser d’avoir été l’instigatrice et l’organisatrice de cette soirée de luxure, mes trois amantes conviennent de me donner un dernier plaisir. Maelenn m’installe sur le dos, un oreiller calant mon cou. Elle écarte mes cuisses et s’attaque à mon sexe. Je reconnais bien sa technique unique (la technique de la langue fureteuse) pour me faire monter au 7ème ciel. Sandra me lèche les seins, pendant que Valentine m’embrasse à pleine bouche. Valentine remplace Maelenn, puis ce fut le tour de Sandra. C’est elle qui déclenchera mon orgasme (au moins le troisième de la soirée, il me semble, enfin j’ai perdu le fil depuis un moment déjà !)
Enfin, nous nous sommes endormies serrées les unes contre les autres.
Je me suis réveillée tôt le lendemain matin. J’étais en chien de fusil collée dans le dos de Sandra, qui avait posé la tête sur l’épaule de Maelenn, elle-même tout contre Valentine couchée sur le ventre, une main sur son postérieur. La couette était descendue jusqu’à nos mollets.
Je m’extirpe du lit sans réveiller les autres, pour préparer du café pour tout le monde à leur réveil.
Quelle superbe soirée ! Quelle semaine … amusante ! Je ne change pas d’avis concernant les missions d’audit, mais celle-là c’était de la bombe !
En ouvrant mon portable, j’eu la surprise de découvrir un message de la jolie Amélie :
« J’ai bcp réfléchi, on peut se voir demain soir si vous voulez toujours pour un verre voir pour plus. Je suis décidée à tenter ma première expérience avec femme ».
Je lui ai répondu en lui indiquant que je serai son initiatrice des plaisirs saphiques avec énormément de plaisir, en joignant en pièce jointe une photo de moi dénudée.
Amélie sera la cerise sur le gâteau.
De la bombe cette semaine, je vous dis !!!
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel plaisir, une histoire écrite en français! Et du bon... autant que l'est cette histoire, un peu invraisemblable, c'est sûr, mais palpitante ! C'est un trèsbonmoment, du pur plaisir, merci.
Sept. 13, 2017. Que de plaisir John La Semelle a eu en lisant ce récit, qui de plus, bien écrit.
Merci, c'est un plaisir pour moi
Quel plaisir à lire un récit superbement écrit!!!
Je pense que vous méritez amplement d'être membre Premium et si vous êtes d'accord je vais demander qu'il vous soit donné comme je l'ai fait pour d'autres auteurs. Merci des superbes moments de lecture.
Bises coquine si tu le permets.
Je pense que vous méritez amplement d'être membre Premium et si vous êtes d'accord je vais demander qu'il vous soit donné comme je l'ai fait pour d'autres auteurs. Merci des superbes moments de lecture.
Bises coquine si tu le permets.