Titre de l'histoire érotique : Une soirée "arrosée" - histoire érotique

Les semaines qui suivirent la branlette de Marc dans les toilettes ont été calme, Isabelle papillonnait, contente d’elle apparemment, elle sortait un peu accompagnée de Michelle mais c’est tout. Les conversations que j’avais pu entendre grâce au dictaphone caché dans le salon me laissait penser que cela n’allait pas durer. Philippe revenait sans cesse à la charge et Michelle se disait qu’après tout Isabelle devrait se laisser faire et que ça pouvait être marrant, excité comme il était ça la changerait de moi ! Je n’avais croisé Sylvie que deux ou trois fois en ville et pas au bar, sauf une fois ou elle était en conversation avec Michelle. J’espérais ce jour-là qu’elle n’avait rien dit à Michelle, elle aurait été trop contente de tout déballer à Isa. Les choses ont bougé un soir, Isabelle travaillait au bar où un concert avait lieu, elle rentrerait tard et moi je n’avais pas vraiment envie de passer ma soirée à voir Philippe et les autres baver devant son cul, quand on sonna à ma porte.
A ma surprise, Sylvie et Michelle étaient derrière quand j’ouvris. Je leur dis bêtement qu’Isabelle n’était pas là, sachant qu’elles étaient au courant.
Michelle : C’est toi qu’on vient voir, Sylvie m’a tout raconté, je veux savoir si c’est vrai !
Moi : Qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
Sylvie : je lui ai dit que tu aimes branler les mecs !
M : et même que tu adores ça !
Moi : qu’est que vous voulait ?
M : tu vas venir faire un tour avec nous pour que je vérifie ça sinon je déballe tout à Isa !
De tout façon il était trop tard, Michelle au courant je n’avais rien à perdre à les suivre, elle dirait surement tout à ma femme dès qu’elle en aurait l’occasion et moi je pourrais vider mon sac en disant que j’étais au courant de ses frasques. Je décidais de les suivre.
Sylvie : Prends tes clés de voiture on va faire un tour.
Moi : où ?
S : dans le petit bois à la sortie de la ville.
Le petit bois où Isabelle s’était faite sauter par Frank après le cinéma, généralement ce bois est fréquenté par les homos pour des rencontres discrètes et rapides. Michelle et Sylvie montent à l’arrière de la voiture et moi en « chauffeur » je me dirige vers le bois. En arrivant sur le parking, à l’entrée du bois Michelle me dit de garer au fond sous un lampadaire. Autour de nous il y a quelques véhicules éparpillés, malgré la nuit on peut voir des silhouettes à l’intérieur. Je me demande ce que je fais là, avec ses deux filles à l’arrière. En arrêtant le moteur je me tourne vers elles pour leur demander ce qu’elles veulent et je comprends pourquoi je ne les entendais plus depuis quelques minutes. Michelle embrasse goulument Sylvie tout en lui caressant les seins pendant que Sylvie promène une main entre ses cuisses. Michelle soulève le pull laissant apparaitre des seins blancs et fermes pendant que Sylvie relève la jupe et passe les doigts sous la culotte de Michelle qui écarte les cuisses sans gêne devant moi. Levant les yeux vers moi Michelle me dit « t’inquiètes pas tu vas avoir ta part, tu peux commencer à te branler ! » tout en écartant les cuisses en grand me laissant voir sa chatte ! Ne demandant pas mieux je baisse mon pantalon et commence à me caresser.
Trop occupé à regarder les filles je ne me suis pas aperçu que des hommes se sont approchés de la voiture, ils se sont penchés pour mieux voir à l’intérieur, ils matent les filles en train de s’envoyer en l’air et aussi la queue sortie de mon pantalon. Il se redressent et je vois qu’il s’agit de trois types, un noir et deux blancs d’environ quarante-cinq cinquante ans, le pantalon baissé ils se branlent le long de la voiture en matant le spectacle à l’intérieur. Michelle et Sylvie quasiment nue se caressent en rigolant, les doigts de Sylvie font des allers-retours dans la chatte de Michelle pendant qu’elle regarde les queues des types se frotter sur les vitres de ma voiture. « Tu voulais en profiter ? alors ouvre ta vitre et montre-nous ce que tu sais faire ! » dit Michelle. J’ai encore été piégé, c’est pas elles que j’allais baiser, c’est moi qui allait me faire baisé par ces types excités comme des chiens en rut. Dès que je baisse ma vitre, la queue toujours sortie, un des types s’approche et passe sa bite dans la voiture. Elle est épaisse est grasse, bien excitée. Sylvie lance un « vas-y suce-le t’en crève d’envie ! » pendant que Michelle éclate de rire. J’ouvre la bouche et la bite s’enfonce jusqu’au fond de ma gorge, faisant des va et vient à m’en étouffer, elle me distend les joues, je la retire juste avant que le type éjacule. J’en ai plein la chemise quand il se retire avant que l’autre prenne sa place. Je le branle par la portière et je lui lèche la queue avant de l’engloutir à son tour. Derrière les filles se caressent en rigolant et me traitent de petite pute. Il éjacule sur ma portière en me lance « merci ma petite salope » avant de se rhabiller. J’ai à peine le temps de souffler que le noir m’attrape la tête et m’enfourne son chibre dans la bouche, je vais étouffer c’est sûr ! il me baise la bouche, je sais l’effet que ma femme doit ressentir quand elle suce ses amants. Michelle et Sylvie ont arrêter de se branler pour regarder le spectacle. « T’as vu comment il aime ça, je te l’avais bien dit c’est une petite pute ! » lança Sylvie à Michelle qui lui répondit « je sens qu’on va bien s’amuser, maintenant ! ».
Se moquant des commentaires de mes « partenaires » le noir continue de s’activer dans ma bouche, puis se reculant un peu il se branle avant de jouir. Ma bouche entr’ouverte se remplit de son sperme chaud, ne pouvant pas tout recracher j’avale le liquide laiteux. J’en ai partout, les filles rigolent quand le type s’en va en me disant à bientôt !
« Allez maintenant on y va, il va être l’heure ! » dit Michelle.
- L’heure de quoi ? répondis-je après m’être essuyer tant bien que mal
- Tu vas voir on va te montrer quelque chose d’intéressant, il n’y a pas que toi qui a le droit de t’amuser !
Je démarre, les filles se rhabillent, je me demande ce que la suite me réserve.
« On va où ? »
« Si tu te dépêches tu vas voir ce que ta femme fait quand tu n’es pas là » m’envoya Sylvie, comme si je n’étais pas au courant !
On prend la direction du bar, en arrivant les filles me demandent de me garer à côté de la ruelle où j’ai vu Isabelle se faire mettre par Farid la première fois, je m’exécute sans rien dire. Le concert vient de terminer, on aperçoit Philippe qui attend à la sortie, quelques minutes plus tard Isabelle sort reconduite par son patron qui salue Philippe et rentre fermer son établissement. Isabelle se dirige vers sa voiture, Philippe la suit en l’entreprenant, très lourd comme à son habitude, elle commence à discuter avec lui. J’ouvre la vitre encore poisseuse de sperme pour entendre leur conversation, nous ne sommes pas très loin d’eux et dans le silence de la nuit on peut les écouter.
P : Tu viens chez moi prendre un verre ?
I : non je suis crevé je rentre
P : Allez sois sympa tu sais que j’ai envie de toi depuis longtemps ?
I : Je sais mais on reparlera plus tard, je suis fatigué !
« Pour l’instant il se passe rien ! » dis-je. « Attends un peu tu vas voir, elle va se laisser faire, depuis le temps qu’il attend de la baiser elle va pas louper un petit coup comme ça ! » répond Michelle.
Effectivement, Philippe se rapproche d’elle, la prend par le bras, elle se tourne il l’emballe comme un sauvage, elle le repousse puis quand il recommence elle se laisse faire. Il la pelote dans la rue et elle répond à ses baisers et ses doigts. C’est elle qui l’emmène en direction de la ruelle, un oui !!! se fait entendre dans la voiture, Sylvie et Michelle sont aux anges, moi je suis excité et dégouté, excité par le fait de voir ma femme se faire sauter dans une ruelle comme une pute et dégouté par son choix de partenaire. Isabelle se laisse peloter le long du mur, Philippe lui caresse les seins en prenant sa bouche puis il descend sa main sur sa chatte et commence à la fourrager sans ménagement. Je bande. Isa se tourne, il lève sa jupe et continue à la branler en se déboutonnant. Il sort sa bite et prend ma femme en levrette, c’est trop pour moi je me branle dans la voiture sous le regard des deux filles étonnées, elles devaient penser que j’allais être dépité ou énervé mais non je me masturbe devant le spectacle. Je jouis sur mon pantalon au moment où Philippe arrose le cul d’Isabelle, elle rabaisse sa jupe sans prendre le temps de s’essuyer et repart en le laissant dans la ruelle le pantalon aux genoux.
« Allez dépêche-toi de rentrer avant elle, il va falloir vous laver, tous les deux ! » lance Michelle en rigolant. Sans réfléchir je démarre, on verra les suites plus tard…mais la soirée a été pleine de (bons) imprévus…