Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 10

- Par l'auteur HDS Maceron -
Récit érotique écrit par Maceron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : UNE TRANCHE DE VIE 10
Réponse brutale
Mardi 29 juillet 1980 – AL raconte
Le Mardi B s’arrangea me rencontrer au supermarché, c’était facile. Il n’y en avait qu’un seul et le mardi après-midi était le jour d’arrivée des produits frais, tout le monde s’y retrouvé.
Il m’aborda un peu brutalement à mon goût avec :
« Où étais-tu ? On ne vous a pas vu samedi soir, je t’attendais avec impatience »
Je n’ai pas aimé son ton et sa façon de faire et je lui répondis vertement :
« Mon mari est monté dans le nord le WE et je l’ai accompagné »
B : « Tu aurais pu me prévenir »
Moi : « Attends, que les choses soient bien précises. Première chose, j’ai un mari que je tiens au courant de ce que je fais si c’est nécessaire, je ne veux pas d‘un deuxième mari. Deuxième chose, je m’aperçois que je t’ai cédé trop rapidement, j’aurai du faire preuve de plus de réserves avant de me trouver au lit avec toi. On a couché ensemble, soit, tu as pris du plaisir, moi aussi mais cela ne fait pas de moi ta maîtresse attitrée et obligée. Ce n’est qu’une histoire de sexe. Rien de plus et rien ne t’empêche d’aller draguer ailleurs.
Si tu veux que l’on reprenne nos relations il faudra que tu me dragues, que tu me dragues avec intensité, car j’aime être draguée. Si tu fais quelques efforts on pourra se retrouver chez moi.
Dans la mesure où tu respectes cet accord, on pourra se revoir. Bonne journée.» et je lui tournais le dos.
Les deux semaines suivantes furent calmes, les uns et les autres, étions occupés ailleurs. Cependant, je n’avais pas oublié la réflexion de Jean et attendais le moment de remettre la question sur le tapis.
Un deal
Jeudi 7 aout 1980– AL raconte
Un jour de semaine, alors que nous étions en voiture, j’ai demandé à Jean : « Que voulais tu dire exactement : « Je regrette de n’avoir pas prévu de prendre des photos entre autres pendant que tu jouissais, tu étais très excitante. La prochaine fois, je m’équiperais »
Moi : « Pour pouvoir prendre des photos tu aimerais que je me retrouve au lit avec B pour baiser ? »
Jean : « Ce n’est pas tout à fait ça que j’ai dit »
Moi « Soyons sérieux, en pensant à ce que nous avions fait après la visite de B, je t’avais demandé si cela t’avait plu et c’est ce que tu m’as répondu »
Jean : « Bon c’est vrai, je regrettais de ne pas avoir prévu de faire des photos, tu étais tellement excitante »
Moi : « Tu sais pourtant que je n’aime pas beaucoup être prise nue en photos. Rappelles toi quand tu as voulu me prendre en photo alors que je portais cette nuisette noire, qui m’arrivait juste au niveau de mon minou, absolument transparente, on voyait mes seins et de plus j’avais un porte jarretelle et des bas ou alors quand j’étais allongée sur le lit, tu voulais photographier ma chatte et que j’avais les jambes largement ouvertes. J’ai toujours cédé pour te faire plaisir, mais être prise en photo en train de baiser ? Tu ne penses pas que tu pousses un peu loin »
Jean : « Ce n’était qu’une idée qui m’était passée par la tête et qui expliquait mon regret ».
Moi « : « En résumé, tu serais d’accord pour que je revois B et qu’on baise pour prendre des photos ? Tu prêterais ta femme pour une série de photos un peu porno ?»
Jean : « Je ne veux pas t’obliger »
Moi : « D’accord, mais tu aimerais que je te fasses plaisir, ça te ferait bander ? »
Jean : « Je ne pense pas que ce serait, pour toi, un grand sacrifice, dans la mesure où je te rappelle que j’étais présent lors de vos ébats et je t’ai entendu que tu as apprécié ta séance avec B »
Moi : « On verra ce que fera B, la prochaine fois qu’on le rencontrera et on en discutera »
Jean : « Laisse le venir, je suis sur qu’il t’a apprécié et qu’il aura envi de recommencer, plus tu le fais attendre, espérer, plus il voudra.»

Le samedi 23 aout 1980 – Jean raconte
Avec ma femme
Après avoir dîné chez un ménage ami, nous sommes partis, comme d’habitude, au club. AL avait mis une robe noire épousant ses formes et mettant en valeur sa poitrine. Le haut, le corsage, et le bas, la jupe, étaient reliés par un voile noir transparent et elle me dit :
« Ma robe te plait. Tu es content et comme tu aimes je suis nue sous ma robe ? Du moment que ça te fait plaisir je ne porte rien. Il faudra me dire ou te conduis ton imagination. »
Nous entrâmes dans le club et nous allâmes à notre table, enfin la table du groupe. Je l’invitais à danser. Elle était déchainée, elle se colla à moi et joua du bassin, elle sentit l’effet qu’elle me faisait.
Collant sa bouche à mon oreille, elle dit « Tu bandes, qu’est ce qu’on fait ? Je continue ?»
Heureusement la série de danses finissait, mais le problème restait entier. Si j’invitais une autre femme elle serait surprise de mon état … Je restais à décompresser.
B et sa Femme arrivèrent avec d’autres couples et s’installèrent à la table voisine. Ils firent 3 danses et B invita AL. Je me demandais comment aller évoluer la situation et je me plaçais de façon à surveiller la piste. B ne serrait pas de trop prés AL. Les cavalières tournaient comme à l’habitude. Lors d’une danse avec AL, je lui fis remarquer que B semblait se tenir tranquille ?
LA : « Il ne s’est pas calmé, dès la première danse il m’a joué du violon, on devait se revoir, …, je lui ai dit qu’il fallait qu’on se méfie car je craignais que tu ais des soupçons, et depuis il ne se tient pas trop près du haut, mais frotte du bas. C’est amusant et excitant. Qu’est ce que je fais ?»
Moi : « C’est toi, qui le veux ? Tu connais la condition, mais je pense que tu devrais le faire languir un peu »
LA : « D’accord, je vais voir l’évolution »
Ma cavalière
J’étais un peu dépité de n’avoir rien vu. Du coup, je me suis dit, il drague ma femme, je vais draguer la sienne. Juste retour des choses. En fait, je connaissais peu Véro. Je ne l’avais jamais spécialement observée. C’était une jeune femme discrète, à la limite effacée. En groupe elle parlait peu, écoutait regardait, observait. Je l’avais invité à danser plusieurs fois, elle dansait bien, un peu raide, mais bien. Au cours d’échange, il m’avait semblé qu’elle avait toujours était très agréable avec moi alors que pour certain elle était juste courtoise, sans plus. Mais ???
Cette soirée, elle portait une robe beige clair en issu qui paraissait souple. On aurait dit une blouse portefeuille, tenue fermée par un gros bouton à l’arrière.
Alors qu’elle dansait, j’observais, elle ne collait pas trop à son cavalier et suivait sans plus, elle ne semblait pas s’amuser follement.
J’attendis que son dernier cavalier la raccompagne pour l’inviter. À peine sur la piste, je la serrais de près, un peu surpris elle se colla à moi sans hésitations. C’étaient des tangos. Je glissais une jambe entre ses cuisses elle ne broncha pas. Surprise, elle était souple et suivait très bien.
La série de tangos terminée, je voulus la raccompagner. Elle ne bougea pas et me dit : « J’ai apprécié ces tangos, j’ai bien droit à un 2ème tour de manège », et c’était parti pour une série de slow. On se rapprocha, non on se recolla. Elle m’entoura de ses bras. J’avais posé mes mains sur ses hanches et je me décidais à la serrer un plus fort, et elle me dit : « Tiens, depuis le temps, tu t’aperçois enfin que j’existe »
Moi : « Pardon »
Véro : « Chut, profitons de ces danses » et elle se colla encore plus à moi, mais, et surtout elle se mit à rouler doucement des hanches. L’effet ne tarda pas à se faire sentir. J’essayais de l’éloigner légèrement d’elle. Elle dit : « Ne bouge pas, toi aussi tu existes maintenant, je le sens »
J’étais sacrément gêné. La série terminée, je la raccompagnais à nos tables et nous avons blagasse. En fait, au bout d’un moment elle me dit : « J’avais prévu de mettre une jupe droite et au dernier moment j’ai mis cette robe portefeuille, c’est quand même plus pratique pour danser le tango, n’est-ce pas ? »
Une série de valses passa et une nouvelle série de slow. Un copain de la bande vint inviter Véro, je n’avais pas réagi assez vite. Elle lui dit : « Désolée j’avais promis cette série à Jean ». Direction la piste. Collée contre moi, elle se remit à rouler doucement des hanches. Quand je pense que je l’avais trouvée peu souple. Le résultat ne se fit pas attendre, elle me murmura à l’oreille : « J’aime te sentir, Tu en as envie, moi aussi. Dis moi que tu as envie de moi».
Moi : « Si tu continues comme ça je vais te prendre sur la piste. »
Véro : « Enfin une phrase que j’aime. Tu as vraiment envie de moi ? Dis le moi, je voudrais l’entendre »
Moi : « Tu ne sens pas la bosse contre ton ventre »
Véro : « Si, mais je ne crois que ce que je vois ou quand je ne vois pas que je veux toucher »
Moi : « Essayes ! »
Sans hésiter, elle s’éloigna un peu de moi et glissa sa main droite entre nous deux et appuya sa paume sur ma tige et elle fit 2 ou 3 aller retour. Ce qui ne fit qu’augmenter ma gène et le reste, et elle me murmura à l’oreille :
« Intéressant. Cela devrait pouvoir satisfaire une honnête femme. Dis moi ce que tu as envie de faire, de me faire. Prépares moi. Penses que je peux me conduire comme une salope ou que je suis peut-être une salope. »
Je ne m’attendais pas à de telles réactions de cette jolie femme, toujours bien élevée, toujours réservée. Je me demandais si elle n’était pas en train de me faire monter, me faire rêver ou espérer et que ensuite, elle se foutrait de moi en disant qu’elle s’était bien amusée. Rapidement j’ai pesé le pour et le contre. Je pourrais toujours me défendre. Enfin j’espérais, qu’est-ce que je risquais ? Je me jetais à l’eau …
Moi : « Tu veux sortir ? »
Elle : « Sur le parking, comme les filles qui y sont et attendent le client ? »
Moi : » Oui bien sur, pourquoi pas »
Elle eut quelques secondes d’hésitation et :
Elle du ton décidé : « On va sur le parking. Tu as envie de me prendre comme une de ces filles. Alors dis moi ce que tu me feras ».
Je m’attendais à ce qu’elle m’envoie dans les roses. Mais, non, ses réponses étaient glissées dans l’oreille et avec ce qui me semblait un souffle qui s’accélérait.
Moi : « D’abord, je veux que tu viennes nue sous ta robe, juste ta robe »
Elle : « Oh oui, dis moi ? »
Comme elle était de plus en plus scotchée contre moi et qu’à chaque demande elle acquiesçait, je décidais d’aller de l’avant dans mes suggestions, …
Moi : « Tu écarteras les cuisses et je vais te bouffer la chatte »
Elle se sera un peu plus contre moi, le jeu des hanches s’amplifia et la pression montait d’un gros cran.
Véro : « Oui, je m’ouvre à toi, continues, ça m’excite, je commence à mouiller »
Moi : « Et je vais te prendre avec ma langue puis enfoncer ta chatte avec mes doigts, pour te faire jouir »
Véro : « C’est un bon début, j’aime t’entendre, ça me rend toute chose, ça m’excite. Et quoi encore ? Fais moi rêver»
J’hésitais, j’avais bien envie de lui dire ce que j’avais envie de lui faire, mais, … avec son style et sa classe, je pensais déjà avoir passé, très nettement les bornes de la bien séance, mais la sentant collé à moi, je décidais de me lancer quitte à me faire renvoyer dans mes 22 mètres. C’était quitte ou double,
Moi : « Dans le parking, tu relèves ta jupe bien haut et je te prends debout contre mon 4*4 »
Véro : « Oh oui, comme les filles. Je veux voir si les faits sont à la hauteur des paroles, … On se retrouve au fond du parking. On sera tranquille ta femme est en train de se faire draguer par mon mari. »
J’étais absolument estomaqué, entendre ces paroles sortir de la si jolie bouche de cette jolie femme. Honnêtement j’étais inquiet m’attendant à une blague, me voyant l’attendant et ayant rameuter les autres, se payer ma bobine.
Malgré tout, je sortais et allais me balader, discrètement vers le fond du parking qui serait l’endroit le plus sombre et tranquille et évitais de me faire remarquer par les demoiselles qui étaient en faction à essayer de récupérer le client.
Quelques dix minutes après, je commençais à sentir le lapin, mais je la voyais qui se dirigeait vers le fond du parking, je me signalais. Elle arriva.
« Désolée, il a fallu que et que je puisse m’échapper discrètement et que je me prépare pour toi. Comme tu le voulais.»
Elle me tendit les bras, je la retenais à bout de bras et la regardais avec attention et je lui disais « Tu es vraiment très belle et élégante, cette robe te va à ravir, mais elle cache tes charmes »
« Elle est très pratique et il ne tient qu’à toi de les découvrir »
Elle se retourna et déboutonna un gros bouton à l’arrière, puis se retourna vers moi. Dans le mouvement qu’elle fit pour se retourner, la robe s’entrouvrit.
Elle se jeta alors dans mes bras, se colla et me tendit ses lèvres, s’ensuivit un long baiser, et elle se mit à rouler des hanches. Elle s’éloigna un peu de moi et j’en profitais pour glisser mes mains dans la robe, cela me permit de la caresser et de sentir qu’elle ne portait pas de SG. Je baissais le haut de sa robe ses seins étaient libérés, je les caressais, les léchais, les suçais.
Véro : « Oui, occupes toi de mes seins, j’ai les mamelons très sensibles et j’aime que tu les prennes dans la bouche et que tu me têtes, ça me grise »
Elle haletait doucement au rythme de ses hanches. Le résultat ne se fit pas attendre, elle put se rendre compte que j’avais envie d’elle.
Véro : « Dis moi que tu me veux, que tu as envie de moi, que tu veux me faire l’amour, non que tu veux me baiser comme la salope que je veux être pour toi. N’oublies pas ce que tu as dit que tu t’occuperais de ma chatte, j’en ai très envie»
Moi : « Remontes ta jupe. Comme promis, je vais te bouffer la chatte»
Sans l’ombre d’une hésitation elle ouvrit complètement sa robe, elle était entièrement nue. Je la pris par la taille et l’aidais à asseoir sur le capot de la voiture. Elle ouvrit largement les cuisses et me dit :
Véro : « Tu vois je me suis préparée pour toi. Oui, viens, ma chatte t’attend, prends moi avec ta langue ».
Je plongeais entre ses cuisses. Ses grosses lèvres saillaient. C’était une belle chatte déjà légèrement ouverte et bien humide et je commençais à sucer ses grosses lèvres à aspirer son jus, puis ma langue suivi le sillon mouillé de son minou, et brutalement je l‘enfonçais en elle. Elle se cambra avec « Oui » et je m’enfonçais un peu plus, ce qui ouvrit le passage à mes doigts et je commençais à l’astiquer ce qui entraîna un « Continues, oui, continues ». Puis rapidement, elle resserra ses cuisses sur ma tête et me dit :
« Viens, prends moi vite, baise moi, je te veux dedans, te sentir en moi, si tu continues je vais jouir et je te veux en moi. Je veux que tu me baises. Baises moi fort, je veux être ta salope».
Elle se laissa glisser du capot parterre et soulevant une jambe, elle me guida en elle et soulevant l’autre jambe, elle m’enserra dans le ciseau de ses cuisses. Elle s’était empalée sur moi, je la prie debout, appuyée contre le capot de la voiture. Elle était trempée et largement ouverte. Je m’enfonçais en elle facilement.
Pour s’empaler sur ma queue, elle s’était collée à moi, et j’avais pu pénétrer son fourreau chaud et humide puis elle s’était laissée en arrière à bout de bras, ce qui m’avait permit de m’enfoncer au plus profond d’elle et je l’investissais à grands coups de reins. Elle était déchaînée, elle encaissait mes coups de rein avec des grognements de plaisir et des « Oui, continues, encore, plus fort, … », puis quelques moments après elle me dit : « Ne t’arrêtes pas, je sens que ça vient, continues, défonces moi fort, … je vais jouir, …Oui, c’est bon, ... OHHHH, ….je jouis ».
Comme nous étions très excités, le jeu ne dura pas très longtemps, elle se mit à jouir. Elle me cramponna, ses jambes se serrèrent autour de ma taille, elle eut un très bel orgasme qui la secoua. Elle repartie en arrière, comme pour accueillir ma semence que je déversais brutalement en elle.
Ce fut rapide, mais intense. Je la reposais sur terre un peu essoufflés et reprenant nos esprits, nous nous sommes embrassés goulument, elle me dit : « Je savais que ce serait bon. Je veux te revoir, la prochaine fois ce sera mieux, mais filons, avant que certains s’aperçoivent de notre disparition ».
Chacun repartit par son propre chemin pour réintégrer le club. Je m’arrêtais au bar pour prendre de nouvelles boissons et surtout, pour voir le moment au Véro arriverait.
Elle était installée, quand j’apportais les boissons. AL étant à la table, je l’invitais à danser et lui demandais comment évoluée la situation avec B.
AL : « Je maîtrise la situation »
Moi : « Je veux bien te croire, mais fais quand même attention. Moi, je fais de mon mieux pour contrôler Véro, mais alors que je n’étais pas visible, un de nos chers amis, a fait la remarque à un autre, « B drague sérieux AL et Jean n’y voit rien ». Donc fais attention, nous en reparlerons à la maison. Si tu es d’accord, on fait encore quelques tours et nous rentrons »
J’invitais donc Véro et sur la piste, elle me poussa, en dansant, assez loin de la bande, de façon à ne pas être trop surveillé.
Moi : « Quand peut on se revoir ? »
Elle se remit à rouler des hanches, elle faisait cela lentement et je ne pensais pas que cela puisse être visible à moins d’y faire très attention.
Véro : « T’as encore envie de la poupée ? Dis moi que t’as aimé me baiser, que tu veux recommencer, dis moi tout ce que tu veux me faire … J’aime entendre tes envies, tes désirs pour me préparer à te recevoir, à m’ouvrir à toi »
Moi : « Qu’as-tu ? Oui j’ai aimé et j’aimerais recommencer et si tu continues tes mouvements de hanches cela va être grave, tu vas y passer maintenant. »
Véro : « Je vois que tu as encore de la réserve. Je te contacte cette semaine pour qu’on puisse se voir et réfléchis au programme, il faudra me dire ce que tu veux de moi, me faire ou que je te fasse. Savoir c’est le début du plaisir et ça l’augmente. C’est des tangos, mets ta jambe entre les miennes »
Moi : « Que fais-tu ? »
Véro : « C’est bien comme ça que tu as commencé, non ? Laisses moi faire, Tu m’as excité et j’ai le ventre en feu, je vais me frotter contre toi, contre ta queue. Ça te choque ? Comme tu ne peux rien faire. Comme ça je vais jouir contre toi et avec toi. Ta main sur mes reins, sers moi fort »
Tout en dansant chaque fois son entrejambe venait se frotter sur ma jambe, son bas ventre contre le mien. Très rapidement je me mis à bander et je la sentis qui se contractait et se bloquait sur ma jambe. À un certain moment, elle m’a dit « sers moi fort, je suis en train de partir, je vais jouir, sers moi fort ».
Elle a joui en silence je l’ai senti au changement de rythme de sa respiration et elle m’a dit : « Je suis trempée et c’était bon, je sens que tu as de la réserve, j’en connais qui vont pouvoir en profiter». Elle s’est serrée contre moi c’était bon, et on a rejoint la bande pour se séparer. Si elle avait pris son pied, pour ma part, j’avais une sérieuse trique, il fallait trouver une solution.
J’avais du mal à comprendre cette femme. Quand on la fréquentée, en public, une classe certain à tous points de vue, en privé, enfin comme cela avait été le cas elle était déchainée, prête à tout pour du sexe, et comme elle disait une salope. Surprenant.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une vraie belle histoire bandante!!!
A bientôt!

Histoire Libertine
Il y a certaines femmes comme cela. Si sage mais aussi très salopes.
Une femme comme cela

Histoire Erotique
Quelle dévoreuse....



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