Titre de l'histoire érotique : Une visite médical contraignante

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Une visite médical contraignante Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : Une visite médical contraignante
J’ai 30 ans, je vie en concubinage avec une copine depuis 9 ans, et comme chaque année pour mon travail je dois subir une visite médicale le médecin, me signera une attestation comme quoi je suis apte pour mon boulot.
Le médecin est une femme proche de la quarantaine. Après m’avoir fait retirer ma culotte, Je me mets en place, je la vois qui passe un peu de vaseline sur le bout de son majeur et qui commence à me palper, d’abord les grandes lèvres puis les petites, elle le fait assez doucement maintenant, j’essaye de me détendre autant que je peux.
Elle m’introduit le doigt et je la sens explorer mon intimité, elle a posé son pouce sur mon clitoris et le masse doucement, je commence à ressentir une douche chaleur m’envahir, c’est plutôt agréable, j’écarte un peu plus les cuisses. Je commençais à y prendre du plaisir dommage, car elle me dit :
- Bon, c’est bon de ce côté-là, tout est normal. Maintenant mettez-vous à genoux mademoiselle, je vais devoir vous faire un toucher rectal, pour voir si tout est normal.

- Quoi ? Non mais ce n’était pas prévu ! Je n’ai aucune envie de me retrouver ici avec cette femme qui me met son doigt dans le cul !

- Et bien je ne vais pas vous le demander 10 fois mademoiselle, à genoux sur la table et baissez-vous !
Je me lève et descends de la table, elle est légèrement plus grande que moi.

- Vous n’avez pas à me faire cette année un examen si poussé, c’est trop, d'ailleurs je vais parti et me plaindre.

A peine ma phrase finie je reçois une magistrale gifle, j’en reste sans voix, elle a osé me frapper ! En temps normal elle en prendrait une aussi mais là l’étrangeté de la situation me laisse paralysée, incroyable ! Je me tourne vaincue et remonte sur la table, je me mets à genoux et me penche en avant, ma joue est brûlante, mes seins pourtant petits pointent vers le bas.

Je l’entends marcher derrière moi, elle dirige une lampe vers mes fesses, je la sens passer son doigt sur mon petit trou, elle remet une noix de vaseline, me masse doucement, puis pousse, j’essaye de me détendre au maximum, son majeur rentre doucement mais sûrement. Elle commence à palper mon intimité je la sens bouger en moi, malgré moi je pousse un petit gémissement, je sens que je commence à mouiller, hum, délicieuse sensation. Soudain on frappe à la porte :
- Oui ! Entrez.



Quoi ! Une personne va entrer alors que je suis là genoux en train de me faire enculer par cette femme ? La porte s’ouvre, je me tourne la tête et je vois la petite assistante.
- Docteur, les personnes suivantes commencent à s’impatienter.

J’ai tourné la tête je la vois qui est sûrement aussi gênée que moi, elle me regarde, ses yeux se posent sur mes petites fesses entre lesquelles disparaît un doigt du médecin, doigt qui continue ses allers et venues.
- J’en ai encore pour un moment, ils attendront, vous-aller m’aider. Vous avez vu cette petite cochonne, est complètement épilée ! Je suis sure qu’elle est lesbienne, regardez comme ça lui plaît qu’on lui mette un doigt dans le cul !

Elle s’approche doucement de moi et me demande :
- Ça va ?

Elle est juste devant mon visage, elle est très jolie peut être 22 23 ans, elle a l’air désolée pour moi.
- Oui ça va, il faut bien.
J’essaye de répondre sans gémir en serrant les dents. Je sens que derrière moi ça s’active, un second doigt est venu se joindre au premier. Là cela commence vraiment à me faire de l’effet ! Je suis trempée, je ferme les yeux doucement et mon bassin accompagne les mouvements de ma tortionnaire.
- Non mais regardez bien comme elle prend son pied !

La petite assistante me dit à l’oreille :
- Moi aussi j’y suis passée surtout, ne t’inquiètes pas.
Elle m’éponge le front puis m’embrasse tendrement. Je la vois devant moi qui passe la main sous sa jupe et baisse sa culotte, elle la pose sur la mienne sur le dossier de la chaise et relève sa jupe. Je découvre son petit minou, mais... C’est quoi cette petite cordelette pend de son intimité.

Derrière moi cela commence sérieusement à chauffer, je sens que le plaisir commence à monter. Je la vois qui prend ma main et la dirige vers elle, elle veut que je prenne la cordelette. J’ai peur de lui faire mal, elle serre ma main et m’oblige à tirer doucement, elle ferme les yeux et doucement sort de son intimité une boule puis une seconde, de la taille de balles de ping-pong mais assez lourdes, elles sont toutes gluantes, tenant toujours ma main elle la remonte puis la dirige vers ma bouche, je comprends ce qu’elle veut et porte ces deux boules à mes lèvres et les lèche, hum quelle délicieux parfum.

Mes mouvements de bassins s’accélèrent, je sens que je vais jouir... humm, mes yeux se ferment, je gémis. Mais non, elle cesse ses mouvements, je sens ses doigts qui sortent de mon petit trou tout dilaté. Je l’entends venir vers moi, j’ai gardé la position, essoufflée et frustrée, espérant qu’elle finisse ce qu'elle a commencé. Elle parle à son assistante en me collant ses doigts gantés sur la bouche d’un air dédaignant, elle force le barrage de mes dents et parvient à introduire ses deux doigts dans ma bouche, je les suce découvrant mon propre goût. Elle me dit :
- Tu vas rester encore un peu avec moi d’accord ?
Je ne sais plus quoi dire, je suis toujours là à genoux devant ces deux femmes.
- Lèves toi maintenant.
Je descends de la table, mes jambes tremblent. Elle passe derrière moi et me prend par les cheveux, me tirant en arrière.
- Écarte bien les jambes !
J’obéis, j’écarte les jambes la tête toujours tirée en arrière, puis elle dit à son assistante :
- Allez, maintenant, c’est à vous !
Je vois la petite assistante qui récupère les boules de geisha, les porte à sa bouche, se met à genoux devant moi et me les introduit doucement, je vois bien qu’elle essaye de faire de son mieux pour être douce avec moi, je comprends ce qu’elle a voulu dire maintenant par "je suis passée par là".
Une puis l’autre, je me sens étrangement remplie, je baisse doucement la tête, l’autre m’ayant libérée je ne vois plus que cette cordelette qui dépasse.
Elle fait 2 pas en arrière l’air satisfait, me détaillants, puis elle s’avance vers moi et porte sa main toujours gantée, elle me caresse doucement je sens les boules qui bougent en moi c’est loin d’être désagréable. Elle repasse derrière moi, me reprend par les cheveux et me pousse en avant m’obligeant à m’appuyer contre la table, ce brusque mouvement fait bouger les boules créant une très agréable sensation dans mon ventre, elle me plaque la tête contre la table et se déplace sur le côté.
Apparemment l’assistante sait exactement ce qu’elle veut, elle se remet à genoux mais cette fois derrière moi, sa bouche s’approche de mon petit trou encore douloureux et elle entreprend de me lécher doucement du bout de la langue comme le ferait une amante douce et attentionnée. Je sens sa langue s’immiscer dans mon anus et le caresser, je ferme les yeux et me laisse aller, hum c’est bon, elle prend son temps semblant prendre autant de plaisir que moi à cette caresse.
Elle se relève et je l’entends ouvrir un tiroir, je ne vois rien, ma tortionnaire me tenant toujours plaquée contre la table. Je sens quelque chose rentrer dans mon anus, pas un doigt, c’est plus gros, elle pousse doucement, cela me remplit complètement, elle recule et me laisse comme ça. Apparemment ça tient tout seul, j’ose à peine bouger, je sens qu’elle m’a lâché les cheveux, elle recule pour me contempler.

Quel spectacle je dois offrir dans cette position, je suis rouge de honte mais aussi très excitée, elle se rapproche et pousse d’un coup sec le plug pour le rentrer au maximum. Maintenant, l’assistante se rapproche de moi, m’essuie le front, je suis en sueur.
- Tu vas bien ? Tu n’as pas trop mal ? Ne t’inquiète pas c’est bientôt fini.

Je sens qu’elle me reprend par les cheveux, elle m’oblige à me remettre debout, je suis obligée de marcher les jambes écartées.
- Viens par là.

Elle m’entraine vers le bureau. Elle me pousse violemment dessous, m’obligeant à me mettre à genoux sous son bureau, je disparais complètement.
- Ne bouge pas de là !

J’entends les deux femmes discuter :
- Laissez la partir, vous avez eu ce que vous vouliez, elle est totalement soumise c’est ce que vous aimez non ? Laissez-moi l’aider à se rhabiller.

- Dites à la personne suivante de se déshabiller et appelez-la dans 5 minutes.
Je suis toujours là sous le bureau, je tremble violemment, une autre personne va venir ? Elle va faire passer sa visite avec moi ici ? Non pas ça !
Je l’entends qui se rapproche, elle s’assoit à son bureau, elle me coince entre ses deux jambes.
- Bon ! Ça va là-dessous ? me demande-t-elle d’un ton vicieux. Cela te plairais qu’on te découvre comme ça ici ?

- Non… non... pitié.
- Alors dégrafe ma jupe.

Je cherche les boutons, mes mains tremblent, elle ne porte qu’une paire de bas sous sa jupe.
- Voilà, maintenant tu sais ce qu’il te reste à faire n’est-ce pas ?

En disant ça, je sens son pied qui se glisse sous moi. Il vient caresser mon entrejambe, faisant bouger le plug et les boules ce qui déclenche des sensations dans tout mon bassin, et quelles sensations ! J’ai devant moi son minou, je sens qu’elle est très excitée, son odeur est presque la même que celle de mon amie.
- Entrez !
Quoi ? Elle va vraiment faire entrer quelqu’un ? J’entends des pas et une personne vient s’asseoir en face d’elle.
- Je termine mon dossier, c’est mon assistante va s’occuper de vous !

Je suis pétrifiée, je n’ose bouger de peur qu’on m’entende, ça n’a pas l’air de lui plaire, et elle me balance un coup de pied. Je comprends tout de suite le message et me met à la lécher. Elle reprend ses caresses du bout du pied, je fais de mon mieux, y prenant un plaisir certain vu la situation. Je vais même jusqu'à attraper son pied de ma main pour le guider. J’écarte ses lèvres de mes mains, je sens son clitoris brûlant sur ma langue, j’ai le visage dégoulinant de ses sécrétions, son pied bouge de plus en plus vite, m’enculant à chaque fois un peu plus. Je n’entends plus rien, je ne vois plus rien, plus que les sensations, je sens que je vais exploser et elle aussi, son bassin ondule sous mes coups de langue, le mien sous ses caresses.
Je me mets a gémir très légèrement n’y tenant plus, elle passe la main sous le bureau et me plaque la bouche sur son sexe pour me réduire au silence, je la sens qui se raidit tout d’un coup, elle jouit, m’inondant la bouche et ne laissant pas même échapper un soupir. Je jouis aussi à mon tour, autant pas le cul que par le sexe, et m’écroule à ses pieds, elle me tend sa main que je lèche comme le ferait un chien.

- Voilà madame c’est terminé vous voyez ça n’a pas été long.

J’entends des pas qui repartent puis une porte qui se ferme. Elle se lève et se reboutonne et dit à sons assistante :
- Allez ! Elle est à vous !

Je vois ma gentille assistante qui tend une main vers moi, m’aide à sortir de sous le bureau, je tiens à peine sur mes jambes, elle m’aide à me relever, le plug et les boules sont toujours en moi. Elle m’essuie tendrement de ma transpiration et tend une main pour m’enlever ce qu’elle m’a mis tout à l’heure.

- Non elle les garde ! Je suis sure que cela devrait plaire à son amie.

Elle m’aide à me rhabiller, je ne peux pas serrer les jambes je suis sure que le plug doit se voir sous ma jupe moulante !
- Ça ira ? Vous voulez que je vous appelle un taxi ?

- Oui, oui merci !
Je ressors dans état second les jambes en coton soutenu par l’assistante.

- Eh bien mademoiselle... à l’année prochaine me dit le médecin en souriant.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je fantasme sur ce genre de récits ou Jouissance et Souffrance s'entre-mêle.

personnellement, j 'ai comme l 'impression que cette histoire a été vécu. Me dire si je me trompe ... En tant qu'homme, ce genre de soumission est bonne. La limite de la violence. C 'est bien écrit, on en veut plus, des détails croustillants sur le pied qui sous la table agacerait le bouton ou entrerait dans le vagin humide !!!!
Ton texte m'a plu.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Une visite médical contraignante
Histoire sexe : Une rose rouge
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