Titre de l'histoire érotique : Vacances en Bretagne 2 - histoire érotique

Le lendemain matin, le soleil se montra timidement, puis laissa place à une pluie diluvienne au bout de quelques heures. Les deux anglaises prirent le petit déjeuner avec nous, non sans quelques regards emplis de sous entendus ou quelques sourires gênés.
On apprit d'elles qu'elles étaient étudiantes à Oxford, qu'elles avaient 18 et 17 ans, mais qu'elles passaient deux semaines en France. Elles avaient remis leur vêtements de la veille, secs cette fois-ci. Mais ils ne restèrent pas secs longtemps, lorsqu'en début d'après midi, elles durent aller chercher un colis à la réception du camping. Elles furent de nouveau trempées et donc elles finirent en sous-vêtements pour le reste de la journée. Le repas fut plutôt morne, chacun s'occupant de son assiette. J’allai me coucher tôt mais je sais qu'Iris et les deux anglaises ont parlé jusque tard dans la nuit autour d'une bouteille de vodka qu'elles ont vidée. Je vais donc lui passer les commandes à partir de maintenant.
Je m'appelle donc Iris j'ai vingt ans. Je fais 1m66 et je suis en couple avec Tom depuis plus de 2 ans. Même si au lit il est formidable, je ne peux m'empêcher d'avoir comme fantasme de le voir faire l'amour à quelqu'un d'autre
J'imagine donc régulièrement des plans à trois avec une autre fille mais il l'avait toujours refusé. Il n'avait pourtant pas connu d'autres filles avant moi, ce qui ne lui permettait de voir à quel point il était incroyable au lit. Ce fut aussi mon premier vrai copain avec qui je fis ma 1ère fois. Une opportunité immense se présenta donc avec ces deux Anglaises à peine sorties de l'adolescence mais dont elles avaient encore le corps. Le coup des sous vêtements, j'avoue que c'était pour provoquer un peu Tom mais surtout pour voir les réactions de chacun. Il réagissait comme tout homme, il n'était pas insensible à leurs corps à peine formées, leurs courbes plus ou moins généreuses, mais surtout leur naïveté. Il les observait le moins possible, les regardant dans les yeux pour leur parler. Je n'étais aucunement jalouse de ces coups d'œil, au contraire, je trouvais ça terriblement excitant de voir mon copain se rincer l'œil.
Quant à la réaction des deux Anglaises, elles semblaient parfaitement conscientes de leurs atouts et semblaient ravies à l'idée de s'exhiber devant un homme en couple. D'ailleurs laissez-moi-vous les décrire rapidement. Lucy est un peu plus grande que moi, est blonde et c'est la plus jeune des deux. Elle n'a encore que 17 ans et cela se voit, elle a peu de poitrine, juste assez pour que ses seins pointent sous son soutien gorge. Elle a une peau blanche et semble très souple. Ses avantages physiques sont nombreux ; elle a un ventre plat, un visage très joli, des yeux bleus, une petite moue adorable ou un grand sourire éclatant et un fessier parfait, pas trop musclé, mais assez généreux pour attirer tous les regards. Mary a elle 18 ans et son corps est plus développé que celui de Lucy. Une peau bronzée, des cheveux noirs et des yeux marrons, seul son accent me fait croire qu'elle est anglaise.
Niveau taille elle est tout juste plus grande moi, mais elle a une poitrine un peu plus développée que Lucy, mais pas autant que la mienne. Elle a aussi un ventre plat et un sourire agréable, bien que quand elle sourie, dans ses yeux brille un éclat de malice sensuel inhabituel chez les filles inexpérimentées. Comme Lucy, son fessier attire tous les regards, surtout qu'elle porte des sous vêtements qui ne cachent que le strict minimum, laissant ses fesses bronzées à la vue de tous. Je me fis toutes ces remarques plus tard dans la semaine, lorsqu'il eut arrêté de pleuvoir et que je les vis à la plage, faisant tourner les têtes masculines et chauffer les têtes féminines. Elles étaient donc parfaitement conscientes de l'attirance qu'elles pouvaient provoquer chez les hommes. Revenons en à nos moutons et laissez moi vous raconter la soirée où Tom partit se coucher à seulement 22h.
C'était le 2ème soir et je pense qu'il en avait assez de voir la pluie et des Anglaises sexys qui se promenaient chez lui. Bref nous restâmes toutes les trois et je sortis une bouteille de vodka. Mary sourit tandis que Lucy fit sa petite moue qui la rendait encore plus belle. Nous parlâmes de tout et de rien, mais au bout de quelques verres j'appris qu'elles étaient encore vierges qu'elles étaient venues en France pour trouver un homme pour être dépucelées. Quel heureux hasard... Je leur dit que côté sexe, j'étais chanceuse, Tom était formidable au lit. Elles me répondirent qu'elles avaient bien entendu la nuit dernière et qu'elles trouvaient toutes deux Tom très beau et attirant. Elles dirent cela en gloussant mais je leur dis en rigolant qu'il était encore plus beau nu. Mary comprit tout de suite l'allusion mais Lucy eut un regard interrogateur auquel Mary répondit crûment "he has got a big cock !'" Avant d'éclater de rire.
L'alcool aidant nous rîmes toutes les trois, mais Lucy demanda : "that's true ?" Auquel je répondis "yes, it is !" Elles me posèrent plein de questions sur lui, pour voir s'il était si formidable que ça. Je n'eus qu'une réponse : - Tomorrow, when he wills takes his shower, I will go in the bathroom with him and we will make sex in the shower, he loves that. Puis je leur expliquai que je laisserais la fenêtre de la salle de bain ouverte pour qu'elles puissent voir ce qu’il s’y passait. D'abord surprises, elles acceptèrent de venir voir discrètement derrière le bungalow par la fenêtre qui donnait sur la forêt qui était à côté du camping. Puis nous continuâmes nos bavardages sur plein de sujets avant d'aller se coucher vers 4h. Tom ne fut évidemment pas mis au courant de cette conversation.
Je me réveilla le lendemain vers 11h, juste quand Tom rentrait trempé de son jogging. Après un rapide baiser sur les lèvres, il fila dans la salle et je frappa à la porte de la chambre des Anglaises. "Come in" me répondit la voix ensommeillée de Mary. J’entrai et leur dit tout bas : "shower time !" Elles ouvrirent toutes deux grand les yeux, se levèrent et s'habillèrent en vitesse avant de sortir du bungalow où la pluie avait cessée temporairement. Quant à moi je passai dans la chambre, me déshabilla et enfila une robe blanche et transparente que Tom adorait m'enlever. J’allai dans la salle de bain, attendit qu'il me reconnut avec le nuage de vapeur présent dans la pièce, puis il ouvrit la porte vitrée de la douche en me faisant un grand sourire. J'ouvris la fenêtre, prétextant qu'il faisait trop chaud, ce qui était le cas et laissa tomber ma robe blanche à mes pieds.
Tom
Sa robe blanche contraste avec sa peau d'ébène, la rendant terriblement attirante. Lorsque celle-ci tomba à ses pieds, mes yeux regardèrent son corps avec insistance : ses beaux seins durcis par l'envie, ses petites lèvres déjà trempés et ses yeux où brillait un éclat sensuel, achevant de réveiller mon sexe. Elle s'avança dans la douche et m'embrassa. Mes mains se promenèrent d'abord dans son dos, puis descendirent jusqu'au bas de celui-ci puis caressèrent la peau douce des fesses. M'arrachant à son baiser, je me penchai en avant pour embrasser la peau tendre de son cou puis je descendis pour continuer mes baisers autour de ses seins, entre ses seins et pour finir je suçai chacun des tétons érigés. Je descendis encore le long de son ventre pour arriver au siège de ses plaisirs.
Je posai doucement mes lèvres dessus, les saisit avec elles et le tira gentiment. J’embrassai tendrement ses petites lèvres puis je commençai à donner de petits coups de langues sur son petit bouton rose, la faisant gémir. Mes coups de langue s'accélérèrent jusqu'à ce qu'elle soit haletante. Elle jouit en gémissant, laissant sa cyprine s'écouler dans ma bouche, mélangé à l'eau chaude qui coulait sur sa peau foncée. Je me redressai en contemplant ses yeux clos et sa bouche entre ouverte de plaisir. Elle ouvrir ses yeux et me sourit. Elle écarta ses cuisses, que je saisis pour la soulever. J'avais donc les mains sous ses fesses et je la tenais à ma hauteur. Elle passa un bras autour de mon cou, m'embrassa et prit mon sexe de sa main libre pour le guider vers sa fente. Je la pénétrai doucement, de légers coups de hanche. Puis mes allers-retours s'intensifièrent et ses soupirs devinrent de vrais cris. Elle jouit longtemps, son visage déformé par le plaisir à quelques centimètres du mien. Je l’embrassai rapidement, me retira d'elle et la reposa sur le sol. Je coupai l'eau en disant, amusé :
- Je crois qu'on s'est assez lavé pour ce matin.
Nous sortîmes donc de la douche, elle en première, moi contemplant son fessier parfait. Elle vit mon regard dans le miroir du lavabo en face de nous et comprit. Elle s'appuya sur le lavabo et courba son dos pour faire ressortir son fessier tentant. Prenant mon sexe encore dur d'une main je le guidai entre ses deux fesses parfaites et appuya doucement sur la rondelle.
- Non pas la sodomie, j'ai encore mal de l'autre nuit, dit elle en grimaçant dans la glace.
Je redirigeai donc mon sexe vers ses petites lèvres et la pénétra d'un coup de hanche. Mes coups de hanche devinrent rapides et puissants, soulevant à chaque fois ses seins et faisant retentir le claquement entre nos deux peaux. Elle ne tarda pas à jouir une seconde fois, me laissant moi aussi aux portes du 7ème ciel. Je me retirai, me branla un peu et lâcha toute ma semence sur le bas de son dos. De longues giclées copieuses y atterrirent et Iris me sourit dans la glace en disant :
- Zut je vais devoir me relaver.
Puis nous sommes partis dans un fou rire. Iris Ce que Tom ne pouvait voir et heureusement, c'est les deux têtes qui étaient apparues à la fenêtre lorsqu'il me prenait contre la paroi de douche après m'avoir si bien léchée. En effet, il tournait le dos à la fenêtre mais moi non. Je vis, tout le long de notre coït, les regards des anglaises où se mélangeaient désir, envie et admiration. Elles avaient en effet vue sur mon visage et surtout le dos musclé et les fesses de Tom, qui sont, avouons le, pas mal.