Titre de l'histoire érotique : Vierge Quinqua…
Récit érotique écrit par Mondoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Vierge Quinqua…
J'avais la trentaine à l'époque, un poste à responsabilités dans une entreprise de fret pour l'étranger, mon chef direct était une femme de la cinquantaine, une semi-intello branchée par l'Art, elle se tapait toutes les expos et musés qu'elle pouvait, les vernissages aussi, mais là c'était pour rencontrer des célébrités et se taper la cloche en picolant gratos, une grande femme d'un mètre quatre vingt, cheveux mi-longs châtains clair, belle de visage, poitrine ferme et haute, le ventre plat mais après ça ce gâtait, hanches larges et popotin d'Africaine, jambes à gros mollés, de plus, elle se sapait façon vieille France, jupe longue plissée bleu marine, chemisier blanc sous cardigan bleu marine, imper bleu marine, collants opaques et grandes pompes vernies, faut dire aussi que du côté des pinglos, elle avait de quoi marcher sur l'eau sans couler, bref, le genre de femme dont tu as envie qu'à moitié, à cause de l'autre moitié…
J'avais pas de vues sur elle, plutôt sur ses deux filles qui étaient choucarde comme tout, jeunes majeures, belles et bonnes à fourrer avec leurs yeux qui criaient braguette, mais bon, c'étaient les gueuses de ma chef, donc je n'y touchais pas, malgré le rentre dedans qu'elles me faisaient chacune leur tours, me chopant pour fumer un pétard et juste parler sexe en rigolant, dans des recoins isolés du bâtiment, comme par hasard, mais le plus hard de cette histoire, c'est que leur mère est venue me brancher un jour, je ne l'ai pas vus venir de suite, elle me parlait des sculptures de Maillol, Rodin et d'autres encore, et c'est en me remémorant celles, magnifiques, que j'avais pus voir aux jardins des Tuileries que je percutais tout à coup, surtout pour celles de Maillol, ses sculptures de femmes nues lui ressemblaient physiquement, bustes étroits aux seins fermes et croupes charolaises, en fait, elle me parlait de son corps au travers de ce moment de bavardage voué à l'art…
Elle a embrayée petit à petit sur sa vie, sa famille, son mari et là, sans aucune gêne, m'a dit qu'il n'y avait plus rien entre elle et lui, j'ai demandé innocemment, - Plus d'Amour…? (avec du poil autour), elle m'a dit - Si… de l'affection…mais pas le reste…, j'ai continué à jouer au con en lui demandant ce qu'était "le reste", elle m'a dit énervée, - Mais au lit quoi…!!!, vous ne comprenez rien…?!, je me suis excusé de ne pas avoir suivis le fil de ses propos, j'étais emmerdé qu'elle me parle de ça sans aucune raison, à moins que, et là je commençais à voir ce pointer le spectre de la tentation sexuelle, elle me branchait cul, carrément, et moi je l'écoutais au lieu de trouver un échappatoire discret, elle regardait par terre, gênée de m'avoir fait cette confession intime, ou elle regardait ma braguette, car chauffé depuis le matin par le passage d'une de ses filles, qui m'avait encore branchée avec un top échancré qui laissait voir qu'elle n'avait pas de soutif, puis par la dessus, les sculptures de femmes à poils et ma chef qui cherchait une bite pour pallier au manque, je commençais à bander dans le pantalon…
Je ne suis pas de bois, il faut savoir aider son prochain, la chair est faible, se faire sucer n'est pas tromper et dans le cul ça ne compte pas, je trouvais de suite de bonnes raisons pour lui céder si elle insistait un peu, ce qu'elle fit en parlant de moi, j'avais de la chance d'être encore jeune et beau, je plaisais aux femmes, aux collègues, qui le lui avaient dit, des clientes aussi, d'ailleurs une d'entre-elles pensait que j'étais un "bon coup", me dit-elle en ricanant bêtement et rougissant un peu, comme si ces mots la gênait, elle pensait que j'avais eu et avais encore, beaucoup d'aventures extraconjugales, je tentais hypocritement de la dissuader de croire que je trompais ma compagne mais à son sourire en coin, je voyais bien qu'elle avait une idée fixe et un avis définitif sur ma personne, elle ajouta, sans me regarder en face, cherchant ses mots au plafond, que je devais surement être bien "équipé", c'est le mot qu'elle avait le plus de mal à prononcer, quand elle posait son regard sur moi, il glissait invariablement vers ma braguette déformée par mon érection, que je ne cherchais même plus à dissimuler d'ailleurs, m'amusant du trouble que je provoquais en elle, j'imaginais sa vulve chaude et dégoulinante de désir, mouillant abondement sa culotte…
J'ai sortis ma queue sans la prévenir, pour qu'elle puisse vérifier qu'elle pensait juste, pendant une poignée de secondes, elle est restée sans voie, les yeux écarquillés, c'est pas que je sois monté comme un âne non, mais c'est mon geste impudique, provocateur, exhibitionniste, qui l'a scotchée en premier, depuis combien de temps n'avait-elle pas vue une verge bandée, allez savoir, elle n'a fait aucun commentaires, après un moment d'observation de ma verge, elle a reprit conscience qu'on étaient au boulot et s'est mise à paniquer(ça ne changeait pas de d'habitude)…
- Mais vous êtes fou…!!! Rangez ça…!!! Si quelqu'un arrive…! Elle éructait, prise à son propre jeu de demandes déguisées…
- Heu… pardon… ce n'est pas cela que vous vouliez…?!
- Mais pas ici…! Ailleurs…! Je ne sais pas… Vous êtes fou…!
- Pas fou…Disponible… Si ça vous dis d'y goutter… lui dis-je en me la secouant de la main.
- Pas ici…Ailleurs… à t'elle juste répondue, sans nier son désir pour moi et mon engin.
J'ai rangé l'objet comme j'ai pus, la tête en l'air, et je l'ai prise par le bras pour l'emmener dans une réserve qui ferme à clef, là où justement, ses filles aiment bien venir me voir, je lui ai roulé une grosse pelle pour la détendre, elle y a bien répondue, me suçant avidement la langue, en chemin, je me demandais quand même si elle, était un bon coup, vu ses fringues nulles et le fait que son mari ne lui montait plus dedans(expression Brestoise), en cheminant vers la réserve, je lui ai mis une main au cul, pas la simple main posée non, la main fouillante, les doigts entre les fesses, touchants son anus en allant vers sa fente, elle a eu un sursaut, je lui ai dis que je faisais "tout", elle m'a demandée, subitement apeurée, - c'est quoi "tout…?, j'ai dis, - les truc sales…elle m'a jetée un regard interrogatif, je lui ai dis que je lui mangerais la chatte, elle m'a dit que la sienne était propre mais ça la rassurée, je voyais bien qu'elle était pas finie au niveau cul, j'ai pas parlé de sodomie, j'allais bien voir si elle pratiquait ou pas, elle y passerai de toutes façons…
Arrivés dans la réserve, j'ai refermé le verrou de suite, j'ai ressortis ma verge en m'approchant d'elle, je lui ai demandé de me faire voir ce qu'elle savait faire, elle était hésitante, j'ai déboutonné son chemisier pour lui toucher les seins, elle se collait à moi, lascive mais inopérante, elle se frottait sur ma queue mais n'y touchait pas avec les mains, je lui ai relevé le soutif sous le cou et j'ai sucé ses tétons, ils étaient turgessant, de belle tétines, je lui massais la poitrine à pleines paumes, elle poussait des petits, - Hou…hou…hou…, comme si c'était sa première fois, apparemment, elle souhaitait que je prenne toutes les initiatives, je l'ai donc poussé vers une table qui servait à trier les documents, en lui troussant sa jupe plissée bleu marine, elle portait une grande culotte blanche ordinaire que j'ai baissé de suite en n'en inspectant le gousset, il était propre, à part la tâche de mouille et quelques gouttes de pipi, je l'ai allongée sur la table et lui ai mangé la chatte, elle était peu poilue, un peu comme un oisillon, elle sentait la femme chaude mais sans plus.
Elle était du genre propre sur elle, une vulve à très grosses lèvres et nymphes brunes minuscules, j'ai lapé le tout à grands coups de baveuse, j'ai enfoncé ma langue dans son vestibule et lui ai sucé son clito qui dépassait du capuchon, elle poussait des soupirs en me disant que j'étais fou, je lui ai relevé les jambes en continuant de la brouter, je suis allé visiter sa raie et son anus, elle m'a dit, - mais qu'est-ce que vous faites…?, je lui ai redis,
- moi…? - je fais tout…, elle a encore dis que j'étais fou, sa raie était propre et sans poils, sans parfums aussi, son anus plissé et serré comme celui d'une vierge anale, je le lui ai embrassé avec mes lèvres en anneau, pour le sucer aussi, j'ai tenté un petit coup de langue dedans mais elle restait hermétique à mes caresses, me disant qu'elle n'avait jamais fait ça, je lui ai dis que c'était pour aujourd'hui, j'ai mouillé mon index de salive pour un massage plus pénétrant, quand la première phalange a passée le sphincter, elle s'est crispée sur mon doigt en disant, - Ho non…!!! - pas ça…! Pas de doute, c'était une pucelle de l'œillet, je le lui ai dis…
Pour la détendre et lui donner ce qu'elle voulait, je l'ai prise vaginalement, dans la même position, avec son cul ramené au bord de la table, de devant aussi elle était serrée, mais sa mouille abondante me lubrifiait à souhait et je l'ai ramoné comme un sauvage, mes doigts étaient partout, seins pincés, clito titillé, anus massé, elle ne protestait plus pour cet attouchement d'ailleurs, il devenait souple et mon doigt investissait la place, à grands renfort de sa mouille et de ma salive, j'ai pu commencer à lui doigter le rectum plus profondément, elle relevait la tête vers moi pour me regarder la saillir, disait, - Ho mon dieu…mon dieu…mon dieu, puis s'affalait en gémissant, à un moment, je me suis retiré d'elle et l'ai laissée pantelante, elle m'a regardée, interrogative, j'ai juste dis, - Viens me sucer maintenant…!, le tutoiement soudain la surprise et mon exigence aussi, elle ne croyait tout de même pas que j'allais juste la besogner comme un bourricot sans goutter aux autres plaisirs qu'elle pouvait me donner, je le lui ai dis aussi, sans parler de mon envie de l'enculer…
Elle a finie par descendre de la table, frustrée par le "coïtus Interruptus", je l'ai attrapé par les cheveux pour amener sa bouche sur ma verge, elle a un peu râlée mais s'est pliée à mon désir, elle n'était pas douée pour la fellation non plus, il a fallu que je lui apprennes tout, que je lui dises là où ça faisait du bien, quoi faire avec sa langue, avec ses lèvres, avec ses mains, une vraie leçon sur la pipe, au bout de dix minutes, j'en ai eu marre et je lui ai dis de se relever, je l'ai poussé de nouveau vers la table, mais pour qu'elle se couche en avant sur son buste cette fois, paniquée, elle m'a demandée,
- Vous n'allez pas…?! Heu… Me faire ça…?!
- Si…Je vais faire "ça"…! Lui ai-je répondu froidement.
- Ha non…!!! Pas ça…?! Je ne l'ai jamais fais…!
- Avec moi…On fait tout… Tu vas aimer… La première fois par derrière…C'est une de mes spécialités… Tu en redemanderas…
Comme elle ne cherchais pas à s'en aller et restait dans la position demandée, je me suis baissé pour lui manger le cul, en même temps, entre deux succions ou coups de langue sur sa rondelle, je lui donnais des conseils pour qu'elle soit détendue et accueillante, je ne lui cachais pas qu'elle allait la sentir passer mais aussi que la jouissance par l'anus était supérieure à d'autres, je me suis relevé pour tremper mon sexe dans sa mouille, en déposer aussi sur son petit trou, puis j'ai posé mon gland dessus en lui disant de pousser sur son sphincter, dès qu'elle l'a fait, je l'ai pénétré, elle à gueulée, un râle monstrueux, mais j'étais en elle, à moitié mais dedans, j'ai arrêté de bouger le temps qu'elle s'adapte à cette présence envahissante et contre nature, - Salaud…! Salaud…! Salaud…! qu'elle me disait, la plupart disent cela la première fois par derrière, mais j'étais bien dedans, serrée telle une vierge, étroite et chaude, ses chairs comprimaient ma verge, je lui caressais la vulve d'une main attentionnée et la poitrine de l'autre, pour qu'elle retrouve de bonnes sensations et son désir à mon égard.
- C'est trop gros…! M'a-t-elle dit larmoyante
- Mais non…mais non… Suis mes conseils et tu vas prendre un super pied…
Je me suis enfoncé de nouveau, elle me disait d'aller doucement, j'allais doucement, une fois toute ma pine rentrée, j'ai fais marche arrière au ralentis, elle m'a dit que c'était mieux comme ça, je lui ai dit que c'était normal, cet endroit est fait pour des choses qui sortent, pas qui y entrent, elle à comprit l'allusion et m'a dis que j'étais un cochon, c'est la nature ai-je ajouté, comme mon gland arrivait à la sortie, je me suis renfoncé dans son rectum en douceur, elle m'a encore dit que c'étais gros, mais sans râler, les choses s'arrangeaient, j'ai pris mon temps pour ne pas la blesser, elle s'est remise à me parler gentiment, sa croupe commençait à venir à la rencontre de mon dard, je suis passé à la vitesse supérieure, la vache, qu'est-ce qu'elle était bonne du cul ma chef, je l'ai baisée, ramonée, fourrée, limée, pendant presque vingt minutes, puis j'ai sentis que je venais, je lui ai demandé si je pouvais "lui faire dedans", j'aime bien cette expression pendant la sodo, j'ai vu qu'elle allait jouir aussi, elle ahanais des mots incompréhensibles en secouant son fessier sur ma verge, s'empalant elle-même par moments, j'ai continué à lui frotter le bouton, elle m'a giclée dans la main et pas qu'un peu, un vrai geyser, ça dégoulinait sur ses cuisses et par terre, cela a finit de faire monter ma jouissance et j'ai lâché ma semence dans son ventre, bien au fond, un orgasme terrible…
Quand je me suis retiré de ses fesses, j'ai vus qu'elle m'avait légèrement souillée le sexe, je n'ai rien dis, quand on va jouer de ce côté-là, faut pas faire le dégoutté et être blessant avec les dames, mais comme elle se retournait pour remettre de l'ordre dans sa tenue, elle a vue la chose et a été très gênée, attrapant un mouchoir dans son sac, elle a voulue me nettoyer, je n'ai pas refusé, espérant qu'elle le fasse aussi avec la bouche, c'est crade mais excitant à regarder, j'ai attendus qu'il n'y ai plus aucune traces pour le lui demander, elle m'a traitée de porc mais l'a fait quand même, peu après, pendant qu'elle se penchait pour remettre sa culotte, j'ai vu mon sperme lui couler de l'anus et je n'ai rien dis, je pensais à l'état de son sous-vêtement une fois le soir arrivé, nous avons parlés aussi, de ce qu'il venait de ce passer, de ce qu'elle avait ressentie, sa première sodomie, ce n'était pas rien, même à cinquante plaques, à part la douleur du début, elle avait aimée après, elle n'avait pas jouis comme cela depuis longtemps, elle avait honte d'avoir pissée sous elle, je la rassurais, c'en était pas, elle m'a demandée si j'étais content de l'avoir enculée, j'ai dis oui, merci…
Elle m'a évitée pendant le reste de la semaine, mais après le w.e, elle est revenue vers moi pimpante et demandeuse, elle m'a parlée de sa culotte et des effets de mon sperme dans son transit, puis retour à la réserve sodomite, mais là, j'ai demandé une fellation intégrale, avec en plus, un doigt dans l'anus, elle était sidérée qu'un homme lui demande cela, je lui ai dis que beaucoup aiment ça et le cachent à leurs épouses, elle m'a sucée, un peu mieux que l'autre fois et m'a mis un doigt hésitant au début mais vigoureux sur la fin, je l'ai prévenus que j'allais éjaculer, elle m'a gardée en bouche et a tout avalée, après je lui ai fais un cunni sur la table en lui mettant deux doigts dans le petit, elle m'a jouis dessus et dans la bouche, moi aussi j'ai avalé, mais la chose que nous avons le plus pratiqués par la suite reste la sodomie, elle la réclamait même, devenue une adepte du lavement pour être propre, elle avait sa poire rangée dans un tiroir de son bureau, parfois elle me demandait de lui en faire un, par la suite, elle m'en a proposée un, puis un autre, c'était devenu un rituel avant la sodo, d'elle par moi ou de moi par elle…
Elle avait achetée un vibromasseur pour ses plaisirs mais aussi pour mon trou de balle, en tous cas, elle était maintenant une suçeuse confirmée et son anus était devenu accueillant au point de ne nécessiter que très peu de préliminaires pour être visité, je l'enculais presque tous les jours à sa demande, je lui ai fait connaître les jeux de pipi en lui faisant me la tenir aux wc puis en l'essuyant avec ma langue après ses mictions, réticente au début, ma chef en est devenue une adepte aussi, elle devenait une vraie cochonne, toujours prête à goutter à tout, elle a finie par aller dans une boîte pour femme et en a ramenée une pour jouer à trois, mais cela est une autre histoire…
Fin
J'avais pas de vues sur elle, plutôt sur ses deux filles qui étaient choucarde comme tout, jeunes majeures, belles et bonnes à fourrer avec leurs yeux qui criaient braguette, mais bon, c'étaient les gueuses de ma chef, donc je n'y touchais pas, malgré le rentre dedans qu'elles me faisaient chacune leur tours, me chopant pour fumer un pétard et juste parler sexe en rigolant, dans des recoins isolés du bâtiment, comme par hasard, mais le plus hard de cette histoire, c'est que leur mère est venue me brancher un jour, je ne l'ai pas vus venir de suite, elle me parlait des sculptures de Maillol, Rodin et d'autres encore, et c'est en me remémorant celles, magnifiques, que j'avais pus voir aux jardins des Tuileries que je percutais tout à coup, surtout pour celles de Maillol, ses sculptures de femmes nues lui ressemblaient physiquement, bustes étroits aux seins fermes et croupes charolaises, en fait, elle me parlait de son corps au travers de ce moment de bavardage voué à l'art…
Elle a embrayée petit à petit sur sa vie, sa famille, son mari et là, sans aucune gêne, m'a dit qu'il n'y avait plus rien entre elle et lui, j'ai demandé innocemment, - Plus d'Amour…? (avec du poil autour), elle m'a dit - Si… de l'affection…mais pas le reste…, j'ai continué à jouer au con en lui demandant ce qu'était "le reste", elle m'a dit énervée, - Mais au lit quoi…!!!, vous ne comprenez rien…?!, je me suis excusé de ne pas avoir suivis le fil de ses propos, j'étais emmerdé qu'elle me parle de ça sans aucune raison, à moins que, et là je commençais à voir ce pointer le spectre de la tentation sexuelle, elle me branchait cul, carrément, et moi je l'écoutais au lieu de trouver un échappatoire discret, elle regardait par terre, gênée de m'avoir fait cette confession intime, ou elle regardait ma braguette, car chauffé depuis le matin par le passage d'une de ses filles, qui m'avait encore branchée avec un top échancré qui laissait voir qu'elle n'avait pas de soutif, puis par la dessus, les sculptures de femmes à poils et ma chef qui cherchait une bite pour pallier au manque, je commençais à bander dans le pantalon…
Je ne suis pas de bois, il faut savoir aider son prochain, la chair est faible, se faire sucer n'est pas tromper et dans le cul ça ne compte pas, je trouvais de suite de bonnes raisons pour lui céder si elle insistait un peu, ce qu'elle fit en parlant de moi, j'avais de la chance d'être encore jeune et beau, je plaisais aux femmes, aux collègues, qui le lui avaient dit, des clientes aussi, d'ailleurs une d'entre-elles pensait que j'étais un "bon coup", me dit-elle en ricanant bêtement et rougissant un peu, comme si ces mots la gênait, elle pensait que j'avais eu et avais encore, beaucoup d'aventures extraconjugales, je tentais hypocritement de la dissuader de croire que je trompais ma compagne mais à son sourire en coin, je voyais bien qu'elle avait une idée fixe et un avis définitif sur ma personne, elle ajouta, sans me regarder en face, cherchant ses mots au plafond, que je devais surement être bien "équipé", c'est le mot qu'elle avait le plus de mal à prononcer, quand elle posait son regard sur moi, il glissait invariablement vers ma braguette déformée par mon érection, que je ne cherchais même plus à dissimuler d'ailleurs, m'amusant du trouble que je provoquais en elle, j'imaginais sa vulve chaude et dégoulinante de désir, mouillant abondement sa culotte…
J'ai sortis ma queue sans la prévenir, pour qu'elle puisse vérifier qu'elle pensait juste, pendant une poignée de secondes, elle est restée sans voie, les yeux écarquillés, c'est pas que je sois monté comme un âne non, mais c'est mon geste impudique, provocateur, exhibitionniste, qui l'a scotchée en premier, depuis combien de temps n'avait-elle pas vue une verge bandée, allez savoir, elle n'a fait aucun commentaires, après un moment d'observation de ma verge, elle a reprit conscience qu'on étaient au boulot et s'est mise à paniquer(ça ne changeait pas de d'habitude)…
- Mais vous êtes fou…!!! Rangez ça…!!! Si quelqu'un arrive…! Elle éructait, prise à son propre jeu de demandes déguisées…
- Heu… pardon… ce n'est pas cela que vous vouliez…?!
- Mais pas ici…! Ailleurs…! Je ne sais pas… Vous êtes fou…!
- Pas fou…Disponible… Si ça vous dis d'y goutter… lui dis-je en me la secouant de la main.
- Pas ici…Ailleurs… à t'elle juste répondue, sans nier son désir pour moi et mon engin.
J'ai rangé l'objet comme j'ai pus, la tête en l'air, et je l'ai prise par le bras pour l'emmener dans une réserve qui ferme à clef, là où justement, ses filles aiment bien venir me voir, je lui ai roulé une grosse pelle pour la détendre, elle y a bien répondue, me suçant avidement la langue, en chemin, je me demandais quand même si elle, était un bon coup, vu ses fringues nulles et le fait que son mari ne lui montait plus dedans(expression Brestoise), en cheminant vers la réserve, je lui ai mis une main au cul, pas la simple main posée non, la main fouillante, les doigts entre les fesses, touchants son anus en allant vers sa fente, elle a eu un sursaut, je lui ai dis que je faisais "tout", elle m'a demandée, subitement apeurée, - c'est quoi "tout…?, j'ai dis, - les truc sales…elle m'a jetée un regard interrogatif, je lui ai dis que je lui mangerais la chatte, elle m'a dit que la sienne était propre mais ça la rassurée, je voyais bien qu'elle était pas finie au niveau cul, j'ai pas parlé de sodomie, j'allais bien voir si elle pratiquait ou pas, elle y passerai de toutes façons…
Arrivés dans la réserve, j'ai refermé le verrou de suite, j'ai ressortis ma verge en m'approchant d'elle, je lui ai demandé de me faire voir ce qu'elle savait faire, elle était hésitante, j'ai déboutonné son chemisier pour lui toucher les seins, elle se collait à moi, lascive mais inopérante, elle se frottait sur ma queue mais n'y touchait pas avec les mains, je lui ai relevé le soutif sous le cou et j'ai sucé ses tétons, ils étaient turgessant, de belle tétines, je lui massais la poitrine à pleines paumes, elle poussait des petits, - Hou…hou…hou…, comme si c'était sa première fois, apparemment, elle souhaitait que je prenne toutes les initiatives, je l'ai donc poussé vers une table qui servait à trier les documents, en lui troussant sa jupe plissée bleu marine, elle portait une grande culotte blanche ordinaire que j'ai baissé de suite en n'en inspectant le gousset, il était propre, à part la tâche de mouille et quelques gouttes de pipi, je l'ai allongée sur la table et lui ai mangé la chatte, elle était peu poilue, un peu comme un oisillon, elle sentait la femme chaude mais sans plus.
Elle était du genre propre sur elle, une vulve à très grosses lèvres et nymphes brunes minuscules, j'ai lapé le tout à grands coups de baveuse, j'ai enfoncé ma langue dans son vestibule et lui ai sucé son clito qui dépassait du capuchon, elle poussait des soupirs en me disant que j'étais fou, je lui ai relevé les jambes en continuant de la brouter, je suis allé visiter sa raie et son anus, elle m'a dit, - mais qu'est-ce que vous faites…?, je lui ai redis,
- moi…? - je fais tout…, elle a encore dis que j'étais fou, sa raie était propre et sans poils, sans parfums aussi, son anus plissé et serré comme celui d'une vierge anale, je le lui ai embrassé avec mes lèvres en anneau, pour le sucer aussi, j'ai tenté un petit coup de langue dedans mais elle restait hermétique à mes caresses, me disant qu'elle n'avait jamais fait ça, je lui ai dis que c'était pour aujourd'hui, j'ai mouillé mon index de salive pour un massage plus pénétrant, quand la première phalange a passée le sphincter, elle s'est crispée sur mon doigt en disant, - Ho non…!!! - pas ça…! Pas de doute, c'était une pucelle de l'œillet, je le lui ai dis…
Pour la détendre et lui donner ce qu'elle voulait, je l'ai prise vaginalement, dans la même position, avec son cul ramené au bord de la table, de devant aussi elle était serrée, mais sa mouille abondante me lubrifiait à souhait et je l'ai ramoné comme un sauvage, mes doigts étaient partout, seins pincés, clito titillé, anus massé, elle ne protestait plus pour cet attouchement d'ailleurs, il devenait souple et mon doigt investissait la place, à grands renfort de sa mouille et de ma salive, j'ai pu commencer à lui doigter le rectum plus profondément, elle relevait la tête vers moi pour me regarder la saillir, disait, - Ho mon dieu…mon dieu…mon dieu, puis s'affalait en gémissant, à un moment, je me suis retiré d'elle et l'ai laissée pantelante, elle m'a regardée, interrogative, j'ai juste dis, - Viens me sucer maintenant…!, le tutoiement soudain la surprise et mon exigence aussi, elle ne croyait tout de même pas que j'allais juste la besogner comme un bourricot sans goutter aux autres plaisirs qu'elle pouvait me donner, je le lui ai dis aussi, sans parler de mon envie de l'enculer…
Elle a finie par descendre de la table, frustrée par le "coïtus Interruptus", je l'ai attrapé par les cheveux pour amener sa bouche sur ma verge, elle a un peu râlée mais s'est pliée à mon désir, elle n'était pas douée pour la fellation non plus, il a fallu que je lui apprennes tout, que je lui dises là où ça faisait du bien, quoi faire avec sa langue, avec ses lèvres, avec ses mains, une vraie leçon sur la pipe, au bout de dix minutes, j'en ai eu marre et je lui ai dis de se relever, je l'ai poussé de nouveau vers la table, mais pour qu'elle se couche en avant sur son buste cette fois, paniquée, elle m'a demandée,
- Vous n'allez pas…?! Heu… Me faire ça…?!
- Si…Je vais faire "ça"…! Lui ai-je répondu froidement.
- Ha non…!!! Pas ça…?! Je ne l'ai jamais fais…!
- Avec moi…On fait tout… Tu vas aimer… La première fois par derrière…C'est une de mes spécialités… Tu en redemanderas…
Comme elle ne cherchais pas à s'en aller et restait dans la position demandée, je me suis baissé pour lui manger le cul, en même temps, entre deux succions ou coups de langue sur sa rondelle, je lui donnais des conseils pour qu'elle soit détendue et accueillante, je ne lui cachais pas qu'elle allait la sentir passer mais aussi que la jouissance par l'anus était supérieure à d'autres, je me suis relevé pour tremper mon sexe dans sa mouille, en déposer aussi sur son petit trou, puis j'ai posé mon gland dessus en lui disant de pousser sur son sphincter, dès qu'elle l'a fait, je l'ai pénétré, elle à gueulée, un râle monstrueux, mais j'étais en elle, à moitié mais dedans, j'ai arrêté de bouger le temps qu'elle s'adapte à cette présence envahissante et contre nature, - Salaud…! Salaud…! Salaud…! qu'elle me disait, la plupart disent cela la première fois par derrière, mais j'étais bien dedans, serrée telle une vierge, étroite et chaude, ses chairs comprimaient ma verge, je lui caressais la vulve d'une main attentionnée et la poitrine de l'autre, pour qu'elle retrouve de bonnes sensations et son désir à mon égard.
- C'est trop gros…! M'a-t-elle dit larmoyante
- Mais non…mais non… Suis mes conseils et tu vas prendre un super pied…
Je me suis enfoncé de nouveau, elle me disait d'aller doucement, j'allais doucement, une fois toute ma pine rentrée, j'ai fais marche arrière au ralentis, elle m'a dit que c'était mieux comme ça, je lui ai dit que c'était normal, cet endroit est fait pour des choses qui sortent, pas qui y entrent, elle à comprit l'allusion et m'a dis que j'étais un cochon, c'est la nature ai-je ajouté, comme mon gland arrivait à la sortie, je me suis renfoncé dans son rectum en douceur, elle m'a encore dit que c'étais gros, mais sans râler, les choses s'arrangeaient, j'ai pris mon temps pour ne pas la blesser, elle s'est remise à me parler gentiment, sa croupe commençait à venir à la rencontre de mon dard, je suis passé à la vitesse supérieure, la vache, qu'est-ce qu'elle était bonne du cul ma chef, je l'ai baisée, ramonée, fourrée, limée, pendant presque vingt minutes, puis j'ai sentis que je venais, je lui ai demandé si je pouvais "lui faire dedans", j'aime bien cette expression pendant la sodo, j'ai vu qu'elle allait jouir aussi, elle ahanais des mots incompréhensibles en secouant son fessier sur ma verge, s'empalant elle-même par moments, j'ai continué à lui frotter le bouton, elle m'a giclée dans la main et pas qu'un peu, un vrai geyser, ça dégoulinait sur ses cuisses et par terre, cela a finit de faire monter ma jouissance et j'ai lâché ma semence dans son ventre, bien au fond, un orgasme terrible…
Quand je me suis retiré de ses fesses, j'ai vus qu'elle m'avait légèrement souillée le sexe, je n'ai rien dis, quand on va jouer de ce côté-là, faut pas faire le dégoutté et être blessant avec les dames, mais comme elle se retournait pour remettre de l'ordre dans sa tenue, elle a vue la chose et a été très gênée, attrapant un mouchoir dans son sac, elle a voulue me nettoyer, je n'ai pas refusé, espérant qu'elle le fasse aussi avec la bouche, c'est crade mais excitant à regarder, j'ai attendus qu'il n'y ai plus aucune traces pour le lui demander, elle m'a traitée de porc mais l'a fait quand même, peu après, pendant qu'elle se penchait pour remettre sa culotte, j'ai vu mon sperme lui couler de l'anus et je n'ai rien dis, je pensais à l'état de son sous-vêtement une fois le soir arrivé, nous avons parlés aussi, de ce qu'il venait de ce passer, de ce qu'elle avait ressentie, sa première sodomie, ce n'était pas rien, même à cinquante plaques, à part la douleur du début, elle avait aimée après, elle n'avait pas jouis comme cela depuis longtemps, elle avait honte d'avoir pissée sous elle, je la rassurais, c'en était pas, elle m'a demandée si j'étais content de l'avoir enculée, j'ai dis oui, merci…
Elle m'a évitée pendant le reste de la semaine, mais après le w.e, elle est revenue vers moi pimpante et demandeuse, elle m'a parlée de sa culotte et des effets de mon sperme dans son transit, puis retour à la réserve sodomite, mais là, j'ai demandé une fellation intégrale, avec en plus, un doigt dans l'anus, elle était sidérée qu'un homme lui demande cela, je lui ai dis que beaucoup aiment ça et le cachent à leurs épouses, elle m'a sucée, un peu mieux que l'autre fois et m'a mis un doigt hésitant au début mais vigoureux sur la fin, je l'ai prévenus que j'allais éjaculer, elle m'a gardée en bouche et a tout avalée, après je lui ai fais un cunni sur la table en lui mettant deux doigts dans le petit, elle m'a jouis dessus et dans la bouche, moi aussi j'ai avalé, mais la chose que nous avons le plus pratiqués par la suite reste la sodomie, elle la réclamait même, devenue une adepte du lavement pour être propre, elle avait sa poire rangée dans un tiroir de son bureau, parfois elle me demandait de lui en faire un, par la suite, elle m'en a proposée un, puis un autre, c'était devenu un rituel avant la sodo, d'elle par moi ou de moi par elle…
Elle avait achetée un vibromasseur pour ses plaisirs mais aussi pour mon trou de balle, en tous cas, elle était maintenant une suçeuse confirmée et son anus était devenu accueillant au point de ne nécessiter que très peu de préliminaires pour être visité, je l'enculais presque tous les jours à sa demande, je lui ai fait connaître les jeux de pipi en lui faisant me la tenir aux wc puis en l'essuyant avec ma langue après ses mictions, réticente au début, ma chef en est devenue une adepte aussi, elle devenait une vraie cochonne, toujours prête à goutter à tout, elle a finie par aller dans une boîte pour femme et en a ramenée une pour jouer à trois, mais cela est une autre histoire…
Fin
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