Titre de l'histoire érotique : Vietnamienne et godemiché.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Titre de l'histoire érotique : Vietnamienne et godemiché.
Revenant de Tunisie, où j’ai pu sans trop forcer faire l’amour avec une tunisienne plutôt chaude, je reviens chez moi en avion. Satolas, pas loin de Lyon me laisse le temps suffisant pour faire une connaissance du genre bizarre. Rencontrer une vietnamienne, n’est pas insolite. Ce qui l’est plus c'est son allure, l’air presque hautain, elle toise tous les hommes qui osent la regarder.
Je la détaille : un corps élancé, petite poitrine, des cheveux très longs jusqu’au niveau des fesses, et un visage de fée asiatique, du moins je les imagine ainsi. Elle est assise au bar, dégustant je ne sais quoi. Je vais près d’elle sans intention particulière, sinon de boire une bière en attendant un bus. Je suis à quoi, un mètre de la « chinoise ». Je rêvasse un instant, je la regarde sans arrêt. S’en est trop pour elle et elle me gifle. Pour moi recevoir une beigne d’une fille quand je le mérite, c’est normal, mais quand je n’ai rien fait : attention je risque de répondre.
Là j’hésite beaucoup, simplement je demande des explications :
- Mais qu’est-ce que j’ai fait pour ça ?
- Vous me regardez.
- D’un ce n’est pas vrai, ensuite la politesse aurait voulue que vous soyez courtoise.
- C’est quoi être courtoise ?
- Je ne sais pas. Par exemple si je vous offre un verre.
- Pas question.
- Alors là vous n’êtes pas courtoise.
Elle très étonnée. Son air courroucé disparait. Elle commence à me sourire. Ses yeux bridés semblent avoir été faits pour le sourire. Elle en est encore plus belle. D’un geste machinal elle arrange ses cheveux.
Elle n’accepte aucune consommation, elle a trop bu un soda made in america (berk)
Nous papotons de son pays d’origine, que finalement elle ne connait pas tellement, de son travail d’hôtesse d’accueil dans une grosse boite et du mien. L’avion qu’elle attend arrive, les personnes qu’elle devait escorter de sont pas sur le vol. Tant pis. Elle me propose de m’emmener en ville. Pourquoi pas, en plus du transport j’ai une jolie jeune vietnamienne. Ce n’est qu’en court de route que je me rends compte que sa jupe est très haut sur ses cuisses. Ses jambes me semblent parfaites, comme la fille. Elle bavarde en se tournant quelque fois vers moi, comme pour surveiller mon regard, elle semble être contente quand elle vois que je zieute ses jambes, elle le fait exprès quand elle profite de changer une vitesse pour remonter encore sa jupette.
- Vous êtes de Lyon ?.
- Non du tout, je m’arrête seulement pour affaire, j’ai retenu une chambre en pleine ville.
Elle connait l’adresse et m’y mène.
- J’ai fini ma journée, je peux vous emmener où vous voulez.
- Vous êtes gentille à coté de tout à l’heure.
- Excusez moi, j’étais énervée.
- Pour vous faire pardonner nous allons diner ensemble.
Elle connait des endroits, elle voudrait que nous sortions ensembles pour aller voir un concert de musique folk. Bref elle est la fille parfaite en apparence. J’ai pourtant vu son jeu de jambes dans le voiture. Ou elle a cherché à me provoquer ou elle cache bien son jeu.
Je vais bien voir... nous arrivons à l’hôtel, je lui demande de m’accompagner, ce qu’elle accepte facilement.
Nous sommes dans la chambre, je pose ma valise, elle profite de cet arrêt pour mettre en route la télé comme si elle allait rester là. Elle s’assoit sur un des deux fauteuil pour regarder le programme. Ses cuisses sont plus dénudées que dans la voiture. Je suis certain quand me mettant en face d’elle je verrai sa culotte.
Elle se lève pour aller dans la salle de bain, j’entends de l’eau couler. Elle appelle. Je vais voir ce qu’elle veux, je frappe à la porte :
- Entrez c’est ouvert.
J’entre voir et je jouis d’un spectacle rare : une fille jolie comme tout, les cheveux longs remmenés en un chignon énorme sur la tête, une serviette autour des reins, la poitrine nue. Je ne sais pas ce qu’elle a fait avec l’eau.
Par contre la voir ainsi me donne envie d’elle. Elle m’a appelé, je suis là, je suis même de plus en plus près. Je suis contre elle pour l’embrasser. Je trouve que ses lèvres sont douces. Sa langue vient dans ma bouche sans gêne. Elle tourne le dos à un grand miroir qui permet de se voir en entier. Je défais la serviette qui tombe à terre. Je vois son dos et surtout le reste, ses fesses et ses jambes. La voir ainsi me fait bander. Je la prend dans les bras pour la porter sur le lit, elle est un poids plume. Nos bouches sont toujours unies.
Je ne la jette pas, je la pose délicatement, j’ai impression qu’elle est fragile. Quelqu’un frappe à la porte, c’est un serveur, j’avais commandé deux repas juste avant de monter, je l’avais oublié.
Elle se cache sous les draps pour ne pas être vue nue. Dès que le service est fini elle se lève, s’assoit à mes cotés pour partager le repas. Nous partageons la nourriture à sa façon, une bouchée pour toi, une pour moi. Comme entre chaque bouchée nous nous embrassons, j’ai l’impression que nous commençons un autre genre de repas.
Je vois ses seins qui m’attirent. Je pose mes lèvres sur le premier venu, elle ne dit rien, elle se laisse faire en tenant ensuite ma tête pour que je ne parte pas. Aucun risque, ma bouche cherche à bien faire les choses. Je la suce longuement. Je change de sein pour recommencer. Je profite lâchement de sa nudité pour descendre lentement avec mes ongles vers sa chatte. Sa touffe naturelle n’est pas très importante. J’y passe mes doigts avant d’aller sur son paradis. Je trouve une chatte trempée. Je la caresse à deux doigts. Je ne sais comment j’arrive à la faire jouir si vite.
- C’est bon, je t’en parlerai après, continu.
- Je vais continuer, raconte.
- Voilà, tu es le premier hommes depuis que je couche avec des filles, je n’aime pas les hommes par ce qu’ils sont brutaux, qu’ils ne pensent qu’à leur quéquette. Tu n’es pas comme ça. Baises moi.
Je ne dit rien, je la caresse comme toutes les filles que j’ai connu. Je vais la lui mettre comme dans toutes les filles avec le but d’en jouir et de la faire jouir par devant et par derrière, si elle accepte la sodomie.
Elle s’est couchée dans l’attente. Quand je viens sur elle, elle écarte les cuisses. Je sens qu’elle se méfie. Comme je viens de la faire jouir, je sais qu’elle va se laisser faire pour avoir un autre orgasme. J’entre en elle, son vagin est resserré. Ca doit venir de ses origines. Je me sens à l’aise dans son ventre. Je vais et viens pas longtemps car elle jouit en salve d’orgasme.
- Merci, tu m’a faite beaucoup jouir .
- Tu veux que je te sodomise ?
- Oui.
Réponse rapide : je vais en profiter, je n’ai heureusement pas encore craché mon venin. Elle a déjà du se faire mettre par le cul, elle mouille son anus avec sa cyprine. Elle m’attend maintenant.
Toujours sur le dos, elle doit aimer cette position alors que j’aime sodomiser en levrette. Elle se tourne, je ne sais pourquoi, la voici sur le coté, elle farfouille dans son sac. Elle sort je ne sais quoi. Enfin elle est en position. Je pose ma bite sur son cul. S’il est aussi étroit que son vagin je vais me régaler. Il est étroit, je m’en aperçois dès l’entrée. J’entre par millimètres, très lentement. J’arrête quand je sens que mon gland à passé son sphincter. Je craignais qu’elle se crispe, au contraire elle est totalement détendue. Par contre, je suis à peine mes poils sur ses fesses quand je la sens jouir. Quand un tel cul jouit, la bite est sur le point d’éclater, ce qui arrive.
- Restes dans le cul, n’en sors pas.
Je force pour ne pas sortir, de toute façon je le ne pourrais pas tellement son anus est fermé pour m’emprisonner.
Je la vois prendre ce qu’elle a sorti de son sac : un joli godemiché de taille normale, adapté à son anatomie. Elle le met elle-même dans le vagin et entame des vas et viens qui ont double effet, sur moi qui bande et sur elle qui se retrouve en doublé pénétration.
Pour une fille devenue adepte du saphisme elle est étonnante. Elle nous fait jouir, je ne sais combien de fois. Je sors enfin de son cul. Je bande encore, elle me veux encore dans son ventre, par devant.
Je la baise encore en prenant toujours le même plaisir dans cette grotte. Je sens sur mon anus, le gode.
- Tu ne vas pas m’enculer ?
- Si, j’aime faire ça en baisant.
De toute façon je n’ai plus rien à dire, j’ai le gode dans le cul. Elle le manie de main de maitre, elle arrive à me décontracter et me donner un début de plaisir anal. Je commence à sentir un drôle de plaisir qui mêlé à celui de la bite est plus qu’agréable.
Je ne me souviens que de la fin quand je jouis comme jamais. La nuit est longue. Très longue. Trop pour elle qui toujours devant moi, sans pudeur se masturbe l’anus avec deux doigts avant d’y mettre le gode. Finalement j’ai encore envie d’elle. Elle me veut bien, mais en 69. L’intérieur de sa bouche est aussi chaude que son sexe ou son cul. J’ai subtilisé le gode, à moi de m’en servir: je la lèche et lui entre le gode dans le cul, comme elle a fait devant moi, je sais comment elle s’encule j’en fait autant.
Au matin nous sommes réveillés par une femme de chambre qui porte les petits déjeuners. Nous sommes nus sur le lit, totalement découverts. Ni elle ni moi ne faisons l’effort de nous cacher un peu. J’en bande un peu. La jeune femme nous regarde intéressée, si nous insistions elle se joindrait à nous. Pas question de partie ce matin, par contre ce soir si elle veux nous serons encore là. Elle accepte sans problème.
Ce sera pour la suite.
Je la détaille : un corps élancé, petite poitrine, des cheveux très longs jusqu’au niveau des fesses, et un visage de fée asiatique, du moins je les imagine ainsi. Elle est assise au bar, dégustant je ne sais quoi. Je vais près d’elle sans intention particulière, sinon de boire une bière en attendant un bus. Je suis à quoi, un mètre de la « chinoise ». Je rêvasse un instant, je la regarde sans arrêt. S’en est trop pour elle et elle me gifle. Pour moi recevoir une beigne d’une fille quand je le mérite, c’est normal, mais quand je n’ai rien fait : attention je risque de répondre.
Là j’hésite beaucoup, simplement je demande des explications :
- Mais qu’est-ce que j’ai fait pour ça ?
- Vous me regardez.
- D’un ce n’est pas vrai, ensuite la politesse aurait voulue que vous soyez courtoise.
- C’est quoi être courtoise ?
- Je ne sais pas. Par exemple si je vous offre un verre.
- Pas question.
- Alors là vous n’êtes pas courtoise.
Elle très étonnée. Son air courroucé disparait. Elle commence à me sourire. Ses yeux bridés semblent avoir été faits pour le sourire. Elle en est encore plus belle. D’un geste machinal elle arrange ses cheveux.
Elle n’accepte aucune consommation, elle a trop bu un soda made in america (berk)
Nous papotons de son pays d’origine, que finalement elle ne connait pas tellement, de son travail d’hôtesse d’accueil dans une grosse boite et du mien. L’avion qu’elle attend arrive, les personnes qu’elle devait escorter de sont pas sur le vol. Tant pis. Elle me propose de m’emmener en ville. Pourquoi pas, en plus du transport j’ai une jolie jeune vietnamienne. Ce n’est qu’en court de route que je me rends compte que sa jupe est très haut sur ses cuisses. Ses jambes me semblent parfaites, comme la fille. Elle bavarde en se tournant quelque fois vers moi, comme pour surveiller mon regard, elle semble être contente quand elle vois que je zieute ses jambes, elle le fait exprès quand elle profite de changer une vitesse pour remonter encore sa jupette.
- Vous êtes de Lyon ?.
- Non du tout, je m’arrête seulement pour affaire, j’ai retenu une chambre en pleine ville.
Elle connait l’adresse et m’y mène.
- J’ai fini ma journée, je peux vous emmener où vous voulez.
- Vous êtes gentille à coté de tout à l’heure.
- Excusez moi, j’étais énervée.
- Pour vous faire pardonner nous allons diner ensemble.
Elle connait des endroits, elle voudrait que nous sortions ensembles pour aller voir un concert de musique folk. Bref elle est la fille parfaite en apparence. J’ai pourtant vu son jeu de jambes dans le voiture. Ou elle a cherché à me provoquer ou elle cache bien son jeu.
Je vais bien voir... nous arrivons à l’hôtel, je lui demande de m’accompagner, ce qu’elle accepte facilement.
Nous sommes dans la chambre, je pose ma valise, elle profite de cet arrêt pour mettre en route la télé comme si elle allait rester là. Elle s’assoit sur un des deux fauteuil pour regarder le programme. Ses cuisses sont plus dénudées que dans la voiture. Je suis certain quand me mettant en face d’elle je verrai sa culotte.
Elle se lève pour aller dans la salle de bain, j’entends de l’eau couler. Elle appelle. Je vais voir ce qu’elle veux, je frappe à la porte :
- Entrez c’est ouvert.
J’entre voir et je jouis d’un spectacle rare : une fille jolie comme tout, les cheveux longs remmenés en un chignon énorme sur la tête, une serviette autour des reins, la poitrine nue. Je ne sais pas ce qu’elle a fait avec l’eau.
Par contre la voir ainsi me donne envie d’elle. Elle m’a appelé, je suis là, je suis même de plus en plus près. Je suis contre elle pour l’embrasser. Je trouve que ses lèvres sont douces. Sa langue vient dans ma bouche sans gêne. Elle tourne le dos à un grand miroir qui permet de se voir en entier. Je défais la serviette qui tombe à terre. Je vois son dos et surtout le reste, ses fesses et ses jambes. La voir ainsi me fait bander. Je la prend dans les bras pour la porter sur le lit, elle est un poids plume. Nos bouches sont toujours unies.
Je ne la jette pas, je la pose délicatement, j’ai impression qu’elle est fragile. Quelqu’un frappe à la porte, c’est un serveur, j’avais commandé deux repas juste avant de monter, je l’avais oublié.
Elle se cache sous les draps pour ne pas être vue nue. Dès que le service est fini elle se lève, s’assoit à mes cotés pour partager le repas. Nous partageons la nourriture à sa façon, une bouchée pour toi, une pour moi. Comme entre chaque bouchée nous nous embrassons, j’ai l’impression que nous commençons un autre genre de repas.
Je vois ses seins qui m’attirent. Je pose mes lèvres sur le premier venu, elle ne dit rien, elle se laisse faire en tenant ensuite ma tête pour que je ne parte pas. Aucun risque, ma bouche cherche à bien faire les choses. Je la suce longuement. Je change de sein pour recommencer. Je profite lâchement de sa nudité pour descendre lentement avec mes ongles vers sa chatte. Sa touffe naturelle n’est pas très importante. J’y passe mes doigts avant d’aller sur son paradis. Je trouve une chatte trempée. Je la caresse à deux doigts. Je ne sais comment j’arrive à la faire jouir si vite.
- C’est bon, je t’en parlerai après, continu.
- Je vais continuer, raconte.
- Voilà, tu es le premier hommes depuis que je couche avec des filles, je n’aime pas les hommes par ce qu’ils sont brutaux, qu’ils ne pensent qu’à leur quéquette. Tu n’es pas comme ça. Baises moi.
Je ne dit rien, je la caresse comme toutes les filles que j’ai connu. Je vais la lui mettre comme dans toutes les filles avec le but d’en jouir et de la faire jouir par devant et par derrière, si elle accepte la sodomie.
Elle s’est couchée dans l’attente. Quand je viens sur elle, elle écarte les cuisses. Je sens qu’elle se méfie. Comme je viens de la faire jouir, je sais qu’elle va se laisser faire pour avoir un autre orgasme. J’entre en elle, son vagin est resserré. Ca doit venir de ses origines. Je me sens à l’aise dans son ventre. Je vais et viens pas longtemps car elle jouit en salve d’orgasme.
- Merci, tu m’a faite beaucoup jouir .
- Tu veux que je te sodomise ?
- Oui.
Réponse rapide : je vais en profiter, je n’ai heureusement pas encore craché mon venin. Elle a déjà du se faire mettre par le cul, elle mouille son anus avec sa cyprine. Elle m’attend maintenant.
Toujours sur le dos, elle doit aimer cette position alors que j’aime sodomiser en levrette. Elle se tourne, je ne sais pourquoi, la voici sur le coté, elle farfouille dans son sac. Elle sort je ne sais quoi. Enfin elle est en position. Je pose ma bite sur son cul. S’il est aussi étroit que son vagin je vais me régaler. Il est étroit, je m’en aperçois dès l’entrée. J’entre par millimètres, très lentement. J’arrête quand je sens que mon gland à passé son sphincter. Je craignais qu’elle se crispe, au contraire elle est totalement détendue. Par contre, je suis à peine mes poils sur ses fesses quand je la sens jouir. Quand un tel cul jouit, la bite est sur le point d’éclater, ce qui arrive.
- Restes dans le cul, n’en sors pas.
Je force pour ne pas sortir, de toute façon je le ne pourrais pas tellement son anus est fermé pour m’emprisonner.
Je la vois prendre ce qu’elle a sorti de son sac : un joli godemiché de taille normale, adapté à son anatomie. Elle le met elle-même dans le vagin et entame des vas et viens qui ont double effet, sur moi qui bande et sur elle qui se retrouve en doublé pénétration.
Pour une fille devenue adepte du saphisme elle est étonnante. Elle nous fait jouir, je ne sais combien de fois. Je sors enfin de son cul. Je bande encore, elle me veux encore dans son ventre, par devant.
Je la baise encore en prenant toujours le même plaisir dans cette grotte. Je sens sur mon anus, le gode.
- Tu ne vas pas m’enculer ?
- Si, j’aime faire ça en baisant.
De toute façon je n’ai plus rien à dire, j’ai le gode dans le cul. Elle le manie de main de maitre, elle arrive à me décontracter et me donner un début de plaisir anal. Je commence à sentir un drôle de plaisir qui mêlé à celui de la bite est plus qu’agréable.
Je ne me souviens que de la fin quand je jouis comme jamais. La nuit est longue. Très longue. Trop pour elle qui toujours devant moi, sans pudeur se masturbe l’anus avec deux doigts avant d’y mettre le gode. Finalement j’ai encore envie d’elle. Elle me veut bien, mais en 69. L’intérieur de sa bouche est aussi chaude que son sexe ou son cul. J’ai subtilisé le gode, à moi de m’en servir: je la lèche et lui entre le gode dans le cul, comme elle a fait devant moi, je sais comment elle s’encule j’en fait autant.
Au matin nous sommes réveillés par une femme de chambre qui porte les petits déjeuners. Nous sommes nus sur le lit, totalement découverts. Ni elle ni moi ne faisons l’effort de nous cacher un peu. J’en bande un peu. La jeune femme nous regarde intéressée, si nous insistions elle se joindrait à nous. Pas question de partie ce matin, par contre ce soir si elle veux nous serons encore là. Elle accepte sans problème.
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