Titre de l'histoire érotique : Voiture de collection
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Voiture de collection
Je vais souvent rendre différents services a Eugénie notre voisine âgée d’environ quarante cinq ans, veuve depuis dix ans elle est très discrète, voire effacée, toujours en pantalon et veste en jean comme pour cacher sa féminité, je ne lui connais pas d’amants, son visage exprime la tristesse depuis la disparition soudaine de son époux, et pourtant vue du haut de mes vingt ans elle est encore très désirable
Cependant une chose m’intrigue, mais par respect et politesse je n’ai jamais osé lui parler de cette voiture protégée par une bâche que le garagiste vient mettre en route une fois par mois, je m’y connais assez pour deviner de quelle marque et type il s’agit, ‘Mercédès cabriolet 190 SL’ blanche, intérieur en cuir rouge, une voiture de légende ! aujourd’hui de collection vu son âge mais bizarrement très bien entretenue, un jour après le départ du mécano j’ai pris mon courage a deux mains …
- Eugénie ? je peux vous poser une question ?
- Oui Mathias ?
- Cette voiture ? qu’est-ce qu’elle fait là ? vous ne vous en servez jamais ?
- Mon petit, tu ne peux pas comprendre …
Et là elle éclate en sanglots …
- EUGÉNIE !! ?
- Pardon, excuse-moi Mathias cette voiture représente toute l’histoire de ma vie …
- Racontez-moi …
- Je ne peux pas, tu es trop jeune
- Moi trop jeune Eugénie ? j’ai vingt ans, je suis un homme !
- C’est vrai ! je ne me rends pas compte du temps qui passe
- Alors ?
- Viens, je vais te faire un café
Un peu plus tard, assis face à face elle hésite encore puis, d’un air décidé se lance …
- Mathias ce que je vais te confier ne doit jamais sortir d’ici
- Juré Eugénie !
- Cette voiture, du temps de mon regretté Yvan, c’était notre ‘lit conjugal’ !
- Lit conjugal ?
- Oui, Yvan ne supportait pas de me faire l’amour ‘platonique’ dans notre lit alors nos effusions se passaient dans la Mercédès
- Huuooooouuuuuuaaaaa ?
- Quand nous prenions la route j’étais vêtue de façon bien différente que maintenant
- Ha bon ?
- Si tu m’avais vue en mini robe, la voiture découverte, la tête protégée par un foulard, lunettes de soleil pour préserver mon intimité et identité car je laissais le vent dénuder mon corps au gré de la vitesse
- Vous ? vous aviez ...
- Si j’avais une petite culotte ? parfois oui parfois non ! mais jamais de soutien-gorge ! si tu avais vu la tête du pompiste lord des pleins d’essence, car a cette époque un gars nous servait, et Yvan insistait pour faire nettoyer le pare-brise …et aussi dans ce temps là les péages d’autoroutes étaient tenus par des employés, Yvan passait des minutes à trouver sa monnaie !
- Laissez moi deviner... vous écartiez les genoux ?
- Exactement ! je peux t’assurer que la vitre était nickel et que le gars de la cabine de péage était pleinement satisfait !
- Le pied !
- Sur la route lorsque nous dépassions les camions j’avais le pied droit sur le tableau de bords et l’autre bien éloigné
- Je me doute du spectacle … et ça finissait comment ?
- Ça c’est mon jardin secret …
- Excusez moi Eugénie ma question est stupide, je me doute que vous vous arrêtiez quelque part pour faire l’amour tous les deux ?
- Pas toujours rien que nous deux …
- NON ????
- Si …et ça me manque terriblement
- Pourquoi ne vous baladez vous pas seule en voiture ? je suis certain que vous feriez des ravages !
- Pour la simple raison que je n’ai pas le permis
- Moi je l’ai …
- Tu as ton permis de conduire ?
- Bien sûr !
- … NON … je ne peux pas te demander ça …
- Mais si ! OSEZ Eugénie ! je serais complice de vos déplacements clandestins
- Tu es sûr de pouvoir garder un tel secret sans chercher à profiter de la situation ?
- Allez vous changer, ressortez vos petites robes, je vais faire tourner la Mercédès !
- Mon dieu ! tu es fou, je suis folle ! voici les clés, baisse la capote, j’arrive !
Lorsque j’ai vu arriver cette nana habillée ‘ras la moule’ dans une robe entièrement boutonnée devant, certes démodée mais hoooo combien sensuelle j’ai eu du mal à reconnaitre ma voisine cachée derrière des lunettes sombre foulard sur la tête ! galant homme je lui ai ouvert la portière, elle s’est laissée tomber sur le cuir sans chercher à savoir si sa robe cachait ou non ses cuisses dépourvues de cellulites ! la seule question… slip ou non ??? en tous cas ça ne laissait pas ma queue indifférente !
- Prend l’autoroute...
- A vos ordres madame la baronne !
- Regarde la route s’il te plait !
- Vos jambes sont sublimes
- Mes cuisses tu veux dire ? regarde la route te dis-je !
- Pas facile d’être zen !
- Je ne me fais pas d’illusion, dés que nous prenions la route Yvan était en érection
- Bien vu... je le suis aussi …
- Petit cochon, accélère un peu que diable !
- Je vais faire voler votre robe !
- Wwwwoouuuuuuuuh c’est paaaaaaaaarrrrrrrrtttti !
Eugénie porte un string bleu …callée dans son siège protégé par un plaid, sans doute a cause des taches probables…cachée derrière ses lunettes de soleil elle ne fait rien pour dissimuler ses jambes dénudées, je me retiens pour ne pas poser une main sur sa cuisse ouverte vers moi ... offerte …aussitôt le péage, sans personnel, dommage ! j’accélère encore pour faire remonter le tissu au-delà du ventre parfaitement plat
Eugénie se cramponne au siège, sa main gauche est tout prés du levier de vitesse …je l’effleure a chaque changement de régime
- Ralentis Mathias voici des camions …
- J’allais le faire... dépattez le haut de votre robe...
- Petit chenapan ! tu es exactement comme Yvan, il m’encourageait pour que je m’exhibe de plus en plus effrontément ! ça va comme ça ? tu vois mes seins ?
- Je vais avoir une apoplexie !
- Pour exciter le chauffeur je t’autorise à poser une main sur ma cuisse
- HHHoooooo merci !!!
- Stop ! pas plus haut !
Le chauffeur a fait une embardée sous la surprise, il klaxonne comme un malade, je décide d’accélérer afin d’éviter l’accident
- Rattrape le prochain camion
- Cette fois déboutonne tout
- Tu me tutoie à présent ?
- Tu vas m’obéir petite chienne en chaleur
- Ooouuuuiiiii Yvan me parlais ainsi ! ça me faisait mouiller comme une salope
- Parce que ce n’est pas le cas ?
- Je suis une salope qui a complètement inondée sa petite culotte…
- Donne-la-moi
- Voilà …
- Huuuuummmmm tout l’iode de l’océan est là-dedans ! met ton siège en couchette
- Oui bonne idée !
- Tire sur ta toison bouclée afin d’ouvrir ta moule, je veux que le routier voit ta craquette
- Demain je me raserais entièrement l’entrejambe comme au bon vieux temps
- Allonge-toi on arrive sur lui …soulève ton bassin …
- Regarde ma chatte vicieux de chauffeur !!
- Salllooooopppppe !! enfonce tes doigts dans ton con !
- Tu entends ce qu’il me dit ?
- Qu’attends-tu pour lui faire plaisir ?
- Tieeeeennnnnt en voilà trois dans mon ventre, satisfait gros porc ? !!
- Fait les moi sucer Eugénie …
- Mais ce n’est pas prévu dans nos ‘accords’ Mathias ?
- Ma queue doit être violette depuis le temps qu’elle est comprimée dans mon boxer
- Mon pauvre petit… arrête-toi à la prochaine aire de repos
- Que veux-tu faire ?
- Me faire baiser par des routiers pardi ! j’ai la choune qui réclame du boudin
- Ce n’est pas dangereux ?
- Pas si tu m’aide
- Comment ?
- Je te suis dans les WC des hommes …tu jugeras quand il sera temps d’arrêter car lorsque je suis lancée je perds la notion du convenable
- Compte sur moi Eugénie, je pourrais me masturber en te regardant te faire démonter ?
- Bien sûr mon grand, soulage-toi
- Gare-toi ici, j’ai la trouille ça fait tellement longtemps …
- Repatte quand même quelques boutons pour traverser
- Y’en a deux qui nous ont repérés...
- Entre là vite, je garde la porte… salut ! vous venez pour ma femme ?
- Elle suce ?
- Si vous êtes clean oui, elle accepte même plus
- Elle se fait prendre ?
- Si tu es bien monté, oui
- Regarde cette gaule de cheval…
- Ça te va Eugénie ?
- Je suis trop en manque pour faire la fine bouche, je m’appuie sur la cloison, baise moi par derrière
Eugénie se fait prendre avec un naturel déconcertant, elle accompagne les coups de reins violents en projetant son cul vers son amant qui n’en croit pas sa bite, moi, je me contente de décalotter mon gland et de le masser délicatement au creux de ma paume, ayant éjaculé l’homme laisse sa place au deuxième qui ne perd pas une seconde pour enfiler ma voisine
- ‘Curva’ ! ‘tarta’ ! !!
Il m’a fallût un long moment pour comprendre qu’Eugénie se fait saillir par un polonais qui ne la ménage pas ! depuis le temps qu’elle n’a pas ‘pratiqué’ elle donne des signes de fatigue, un troisième routier vient de forcer la porte, j’ai tout le mal du monde a lui faire comprendre que c’est finit et a le refouler, le polonais s’essuie la bite a la robe a moitié tombée avant de repartir en se félicitant de la bonne aubaine dans sa langue maternelle
- Ça suffit Eugénie, nous rentrons
- Déjà ?
- Tu es complètement folle ? ça suffit ! rhabille-toi et suis-moi ou je te laisse ici
- Booon ça va ne te fâche pas …
La voiture re-capotée, ma voisine à moitié endormie, avachie sur le siège les jambes ouvertes, sa chatte recrache le trop plein de foutre sur le plaid, une odeur acre de sexe règne dans l’habitacle, je fonce vers son domicile, j’appuie sur la télécommande qui ouvre le garage et m’y engouffre …
- Où somment-nous ?
- Nous arrivons chez toi, va vite prendre une douche et couche-toi
- Wouuuuuuuh j’ai pris un pied monstre ! et toi Mathias ? tu as jouis ?
- Ce que j’ai vu était trop écœurant …
- Mon pauvre biquet… vient vite me rejoindre sur la banquette arrière !
- Mais que fais-tu ?
- Vient me baiser mon chéri …
- Eugénie …
- Dorénavant tu m’emmèneras en promenade une fois par semaine !
J’ai plus arrachés qu’enlevés mes vêtements avant de plonger sur le siège arrière et d’enfoncer ma queue dans cet antre marécageux dans un gargouillis immonde, j’ai baisé ma voisine trois fois avant de m’endormir entre ses bras
Cependant une chose m’intrigue, mais par respect et politesse je n’ai jamais osé lui parler de cette voiture protégée par une bâche que le garagiste vient mettre en route une fois par mois, je m’y connais assez pour deviner de quelle marque et type il s’agit, ‘Mercédès cabriolet 190 SL’ blanche, intérieur en cuir rouge, une voiture de légende ! aujourd’hui de collection vu son âge mais bizarrement très bien entretenue, un jour après le départ du mécano j’ai pris mon courage a deux mains …
- Eugénie ? je peux vous poser une question ?
- Oui Mathias ?
- Cette voiture ? qu’est-ce qu’elle fait là ? vous ne vous en servez jamais ?
- Mon petit, tu ne peux pas comprendre …
Et là elle éclate en sanglots …
- EUGÉNIE !! ?
- Pardon, excuse-moi Mathias cette voiture représente toute l’histoire de ma vie …
- Racontez-moi …
- Je ne peux pas, tu es trop jeune
- Moi trop jeune Eugénie ? j’ai vingt ans, je suis un homme !
- C’est vrai ! je ne me rends pas compte du temps qui passe
- Alors ?
- Viens, je vais te faire un café
Un peu plus tard, assis face à face elle hésite encore puis, d’un air décidé se lance …
- Mathias ce que je vais te confier ne doit jamais sortir d’ici
- Juré Eugénie !
- Cette voiture, du temps de mon regretté Yvan, c’était notre ‘lit conjugal’ !
- Lit conjugal ?
- Oui, Yvan ne supportait pas de me faire l’amour ‘platonique’ dans notre lit alors nos effusions se passaient dans la Mercédès
- Huuooooouuuuuuaaaaa ?
- Quand nous prenions la route j’étais vêtue de façon bien différente que maintenant
- Ha bon ?
- Si tu m’avais vue en mini robe, la voiture découverte, la tête protégée par un foulard, lunettes de soleil pour préserver mon intimité et identité car je laissais le vent dénuder mon corps au gré de la vitesse
- Vous ? vous aviez ...
- Si j’avais une petite culotte ? parfois oui parfois non ! mais jamais de soutien-gorge ! si tu avais vu la tête du pompiste lord des pleins d’essence, car a cette époque un gars nous servait, et Yvan insistait pour faire nettoyer le pare-brise …et aussi dans ce temps là les péages d’autoroutes étaient tenus par des employés, Yvan passait des minutes à trouver sa monnaie !
- Laissez moi deviner... vous écartiez les genoux ?
- Exactement ! je peux t’assurer que la vitre était nickel et que le gars de la cabine de péage était pleinement satisfait !
- Le pied !
- Sur la route lorsque nous dépassions les camions j’avais le pied droit sur le tableau de bords et l’autre bien éloigné
- Je me doute du spectacle … et ça finissait comment ?
- Ça c’est mon jardin secret …
- Excusez moi Eugénie ma question est stupide, je me doute que vous vous arrêtiez quelque part pour faire l’amour tous les deux ?
- Pas toujours rien que nous deux …
- NON ????
- Si …et ça me manque terriblement
- Pourquoi ne vous baladez vous pas seule en voiture ? je suis certain que vous feriez des ravages !
- Pour la simple raison que je n’ai pas le permis
- Moi je l’ai …
- Tu as ton permis de conduire ?
- Bien sûr !
- … NON … je ne peux pas te demander ça …
- Mais si ! OSEZ Eugénie ! je serais complice de vos déplacements clandestins
- Tu es sûr de pouvoir garder un tel secret sans chercher à profiter de la situation ?
- Allez vous changer, ressortez vos petites robes, je vais faire tourner la Mercédès !
- Mon dieu ! tu es fou, je suis folle ! voici les clés, baisse la capote, j’arrive !
Lorsque j’ai vu arriver cette nana habillée ‘ras la moule’ dans une robe entièrement boutonnée devant, certes démodée mais hoooo combien sensuelle j’ai eu du mal à reconnaitre ma voisine cachée derrière des lunettes sombre foulard sur la tête ! galant homme je lui ai ouvert la portière, elle s’est laissée tomber sur le cuir sans chercher à savoir si sa robe cachait ou non ses cuisses dépourvues de cellulites ! la seule question… slip ou non ??? en tous cas ça ne laissait pas ma queue indifférente !
- Prend l’autoroute...
- A vos ordres madame la baronne !
- Regarde la route s’il te plait !
- Vos jambes sont sublimes
- Mes cuisses tu veux dire ? regarde la route te dis-je !
- Pas facile d’être zen !
- Je ne me fais pas d’illusion, dés que nous prenions la route Yvan était en érection
- Bien vu... je le suis aussi …
- Petit cochon, accélère un peu que diable !
- Je vais faire voler votre robe !
- Wwwwoouuuuuuuuh c’est paaaaaaaaarrrrrrrrtttti !
Eugénie porte un string bleu …callée dans son siège protégé par un plaid, sans doute a cause des taches probables…cachée derrière ses lunettes de soleil elle ne fait rien pour dissimuler ses jambes dénudées, je me retiens pour ne pas poser une main sur sa cuisse ouverte vers moi ... offerte …aussitôt le péage, sans personnel, dommage ! j’accélère encore pour faire remonter le tissu au-delà du ventre parfaitement plat
Eugénie se cramponne au siège, sa main gauche est tout prés du levier de vitesse …je l’effleure a chaque changement de régime
- Ralentis Mathias voici des camions …
- J’allais le faire... dépattez le haut de votre robe...
- Petit chenapan ! tu es exactement comme Yvan, il m’encourageait pour que je m’exhibe de plus en plus effrontément ! ça va comme ça ? tu vois mes seins ?
- Je vais avoir une apoplexie !
- Pour exciter le chauffeur je t’autorise à poser une main sur ma cuisse
- HHHoooooo merci !!!
- Stop ! pas plus haut !
Le chauffeur a fait une embardée sous la surprise, il klaxonne comme un malade, je décide d’accélérer afin d’éviter l’accident
- Rattrape le prochain camion
- Cette fois déboutonne tout
- Tu me tutoie à présent ?
- Tu vas m’obéir petite chienne en chaleur
- Ooouuuuiiiii Yvan me parlais ainsi ! ça me faisait mouiller comme une salope
- Parce que ce n’est pas le cas ?
- Je suis une salope qui a complètement inondée sa petite culotte…
- Donne-la-moi
- Voilà …
- Huuuuummmmm tout l’iode de l’océan est là-dedans ! met ton siège en couchette
- Oui bonne idée !
- Tire sur ta toison bouclée afin d’ouvrir ta moule, je veux que le routier voit ta craquette
- Demain je me raserais entièrement l’entrejambe comme au bon vieux temps
- Allonge-toi on arrive sur lui …soulève ton bassin …
- Regarde ma chatte vicieux de chauffeur !!
- Salllooooopppppe !! enfonce tes doigts dans ton con !
- Tu entends ce qu’il me dit ?
- Qu’attends-tu pour lui faire plaisir ?
- Tieeeeennnnnt en voilà trois dans mon ventre, satisfait gros porc ? !!
- Fait les moi sucer Eugénie …
- Mais ce n’est pas prévu dans nos ‘accords’ Mathias ?
- Ma queue doit être violette depuis le temps qu’elle est comprimée dans mon boxer
- Mon pauvre petit… arrête-toi à la prochaine aire de repos
- Que veux-tu faire ?
- Me faire baiser par des routiers pardi ! j’ai la choune qui réclame du boudin
- Ce n’est pas dangereux ?
- Pas si tu m’aide
- Comment ?
- Je te suis dans les WC des hommes …tu jugeras quand il sera temps d’arrêter car lorsque je suis lancée je perds la notion du convenable
- Compte sur moi Eugénie, je pourrais me masturber en te regardant te faire démonter ?
- Bien sûr mon grand, soulage-toi
- Gare-toi ici, j’ai la trouille ça fait tellement longtemps …
- Repatte quand même quelques boutons pour traverser
- Y’en a deux qui nous ont repérés...
- Entre là vite, je garde la porte… salut ! vous venez pour ma femme ?
- Elle suce ?
- Si vous êtes clean oui, elle accepte même plus
- Elle se fait prendre ?
- Si tu es bien monté, oui
- Regarde cette gaule de cheval…
- Ça te va Eugénie ?
- Je suis trop en manque pour faire la fine bouche, je m’appuie sur la cloison, baise moi par derrière
Eugénie se fait prendre avec un naturel déconcertant, elle accompagne les coups de reins violents en projetant son cul vers son amant qui n’en croit pas sa bite, moi, je me contente de décalotter mon gland et de le masser délicatement au creux de ma paume, ayant éjaculé l’homme laisse sa place au deuxième qui ne perd pas une seconde pour enfiler ma voisine
- ‘Curva’ ! ‘tarta’ ! !!
Il m’a fallût un long moment pour comprendre qu’Eugénie se fait saillir par un polonais qui ne la ménage pas ! depuis le temps qu’elle n’a pas ‘pratiqué’ elle donne des signes de fatigue, un troisième routier vient de forcer la porte, j’ai tout le mal du monde a lui faire comprendre que c’est finit et a le refouler, le polonais s’essuie la bite a la robe a moitié tombée avant de repartir en se félicitant de la bonne aubaine dans sa langue maternelle
- Ça suffit Eugénie, nous rentrons
- Déjà ?
- Tu es complètement folle ? ça suffit ! rhabille-toi et suis-moi ou je te laisse ici
- Booon ça va ne te fâche pas …
La voiture re-capotée, ma voisine à moitié endormie, avachie sur le siège les jambes ouvertes, sa chatte recrache le trop plein de foutre sur le plaid, une odeur acre de sexe règne dans l’habitacle, je fonce vers son domicile, j’appuie sur la télécommande qui ouvre le garage et m’y engouffre …
- Où somment-nous ?
- Nous arrivons chez toi, va vite prendre une douche et couche-toi
- Wouuuuuuuh j’ai pris un pied monstre ! et toi Mathias ? tu as jouis ?
- Ce que j’ai vu était trop écœurant …
- Mon pauvre biquet… vient vite me rejoindre sur la banquette arrière !
- Mais que fais-tu ?
- Vient me baiser mon chéri …
- Eugénie …
- Dorénavant tu m’emmèneras en promenade une fois par semaine !
J’ai plus arrachés qu’enlevés mes vêtements avant de plonger sur le siège arrière et d’enfoncer ma queue dans cet antre marécageux dans un gargouillis immonde, j’ai baisé ma voisine trois fois avant de m’endormir entre ses bras
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