Titre de l'histoire érotique : Voyeur par accident.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2017 dans la catégorie En solitaire
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Titre de l'histoire érotique : Voyeur par accident.
A un peu plus de 30 ans, je me retrouve seul, en instance de divorce, lassé des incartades de ma chère et tendre dont j’ai découvert le manège il y a quelques semaines lorsque j’ai trouvé sur l’ordinateur des messages qui étaient sans équivoque.
Je n’utilise presque jamais cet ordinateur dont Blandine se sert pour faire ses achats sur les sites de vente en ligne. Cette fois-ci, cette garce a pour amant un de ses collègues de bureau. Et cela dure déjà depuis quelques mois.
Après une explication orageuse, je quitte le domicile conjugal dont je lui laisse la jouissance avec nos deux jeunes enfants et je m’installe provisoirement dans un hôtel bon marché en proche banlieue.
Quelques jours plus tard, je vais trouver la chef du personnel de la société pour laquelle je travaille pour lui demander conseil sur les démarches à entreprendre. J’ai une totale confiance en elle comme la plupart des employés de la boite. Elle est aussi conseiller juridique de formation, donc ses avis seront les bienvenus.
Lorsqu’elle me demande où je loge, elle me dit que cela ne pourra pas durer très longtemps vu le prix des chambres d’hôtel :
- Si cela peut vous convenir, je vais proposer au directeur de vous prêter le temps de trouver un logement, le studio aménagé au dernier étage de l’immeuble.
Elle décroche le téléphone et après une brève conversation, elle me dit :
- C’est d’accord pour trois mois. On verra ensuite.
Suit un nouveau coup de fil au responsable des moyens généraux pour le prévenir et lui dire que nous allons passer chercher les clés. Nous nous retrouvons tous les deux au sixième étage sous les toits pour la visite et l’inventaire des lieux.
Je ne manquerai de rien car le studio est complètement équipé et je serai au calme car la fenêtre principale et une lucarne donnent dans la cour intérieure de l’immeuble.
Le soir même, j’emménage dans le studio auquel je peux accéder directement par l’escalier de service. Mes deux valises de vêtements et objets divers sont vite rangées dans les placards aménagés.
Après un diner rapide d’un plat réchauffé au four à micro-ondes, je m’allonge sur mon lit où je repense à nos années de bonheur déçu. Que s’est t’il passé ? Comment en sommes nous arrivés à cette situation ? Mais je ne tarde pas à m’endormir tout habillé, fatigué de la journée et des soucis…
Le lendemain, après une nuit de cauchemars où je vois en rêve ma femme participer à une bacchanale, je me réveille avec la bouche amère comme si j’avais pris une cuite. Je prends une longue douche, alternant le chaud et le froid pour me donner un coup de fouet puis je vais au café du coin prendre mon petit déjeuner avant de rejoindre le bureau.
En arrivant, je trouve à ma place une enveloppe contenant un petit carton :
- Voici les coordonnées d’un avocat. Il vous attend à 14 h 30 cet après midi. Vous êtes libre.
La matinée s’écoule lentement en activités diverses et à l’heure de la pause de midi, je monte jusqu’au studio prendre divers documents personnels. En attendant l’heure d’aller à mon rendez-vous avec l’avocat, j’en profite pour jeter quelques regards dans la cour intérieure dont je ne connais que le bas où nous garons quelques véhicules de la société.
Au même niveau que moi, il n’y a que des fenêtres de toit qui doivent servir à éclairer les combles. Par contre mon regard plonge vers les étages inférieurs où certaines fenêtres sont uniquement pourvues de rideaux de voilages. L’une d’elle attire plus particulièrement mon attention au 5ème étage.
Derrière le voilage transparent, je distingue un grand lit mais il semble n’y avoir personne dans cet appartement dont au moins deux fenêtres donnent sur la cour car rien ne bouge. Peut-être aurais-je l’occasion de jouer les voyeurs si les occupants ne ferment pas d’autres rideaux devant les baies vitrées…
En fin d’après-midi, je repasse par le bureau où depuis mon ordinateur je laisse un message à la chef du personnel et je prépare les documents que l’avocat m’a demandé de lui procurer rapidement. Puis, je regagne le studio…
Il fait déjà presque nuit et le 5ème étage n’est toujours pas éclairé. Ce n’est que vers 22 h 00 passées que je remarque des lumières atténuées (un éclairage indirect et des bougies certainement) qui éclairent les deux fenêtres qui sont grandes ouvertes, justes masquées par le voilage des rideaux : C’est l’été et il doit faire chaud dans l’appartement ! Pour mieux distinguer les deux ombres que je vois se déplacer dans les pièces, j’éteins toutes les lumières et je vais me poster derrière la petite fenêtre du coin cuisine.
Après un certain temps, je distingue mieux ce que je vois : un couple dont je ne peux déterminer l’âge mais il me semble qu’ils sont tous les deux en tenue légère. La femme ne porte certainement que son soutien gorge et un string et l’homme simplement un boxer et un T-shirt.
Les silhouettes bougent avec des mouvements très suspects, s’enlaçant pour s’embrasser puis se quittant brièvement pour mieux recommencer. Bien que ce soit évident qu’ils préparent quelque chose, comme s’ils se faisaient une cour plus que sexuelle, je ne réalise pas vraiment ce qu’ils font. Ou plutôt si mais je prends mon temps pour compléter avec mon imagination ce que je ne peux pas voir directement à cause de la pénombre.
Très sûr de ma cachette, j’ouvre un peu plus le volet de la cuisine pour me pencher un peu plus en avant dans la cour intérieure. J’entends comme un murmure venant de leur fenêtre que j’imagine être des gémissements, mais très lointains…
C’est elle qui gémit, la coquine, oui c’est bien elle. Ils sont debout là, je vois les deux corps confondus et j’ai du mal à distinguer les courbes féminines qui me permettent de deviner le reste. Le mec vient de plaquer sa compagne contre un mur, elle est soulevée et appuie ses bras sur les épaules de son camarade dont elle chevauche la taille…
La bouche ouverte et la respiration haletante, j’essaye de me placer encore plus près de la cour mais si je me penche plus en avant ils pourraient me voir. Là je réalise que j’ai la trique, une bosse qui palpite au rythme de mon cœur.
Après quelques secondes d’hésitation je sors ma queue pour me régaler, caché dans l’ombre de ma pièce. Levant lentement le regard pour constater qu’ils sont toujours là, je laisse ma main faire son travail pendant que mon regard suit les évolutions de ces deux corps presque impossibles à distinguer lorsqu’ils se frottent l’un contre l’autre.
Mes voisins ne sont plus debout, je crois qu’elle est assise sur lui à la fois appuyé contre un meuble. Je les vois de face maintenant mais leurs visages m’échappent toujours. Leurs petits cris sourds sont plus clairs et je vois bien que c’est la nana qui gémit.
Je ferme les yeux pendant une seconde pour mieux profiter des sensations jouissives que cette branlette dans le noir me provoque et ensuite je les rouvre afin de continuer d’épier ces deux inconnus voisins de palier.
Mais ils ne sont plus là…je me demande s’ils m’ont peut-être découvert, la main sur la verge et le torse nu…quoi qu’il en soit, je suis resté dans l’appartement pour le reste de la soirée sans oser sortir de peur de les croiser dans l’ascenseur.
****************************************************
Au bout de quelques jours, j’ai pris mes marques dans ce studio prêté par la société au sixième étage au dessus des bureaux. Chaque jour j’épie par la lucarne du coin cuisine les fenêtres de l’appartement du cinquième et je commence à connaitre les horaires du couple qui l’habite.
Il ne faut pas compter voir quelque chose avant 22 heures, c’est sans doute l’horaire habituel de retour à la maison. L’appartement doit être bien confortable car les occupants se baladent toujours en tenue légère dès qu’ils rentrent, sans se soucier de fermer les doubles rideaux ou les stores, laissant très souvent une fenêtre grande ouverte. Mon regard peut ainsi plonger sans vergogne dans leur intimité sans qu’ils s’en doutent. Ils n’imaginent certainement pas que le studio est utilisé à plein temps. C’est ainsi que par plusieurs séquences d’une dizaine de minutes au cours de la soirée, je les vois aller et venir sans qu’ils s’en doutent.
A les voir ainsi, je pense qu’il s’agit d’un couple assez jeune car lorsqu’ils se croisent devant l’une ou l’autre des fenêtres, ils échangent, comme le premier soir, des baisers plus ou moins longs et ardents et des caresses. Pour autant que je puisse voir, l’homme est assez grand, brun aux cheveux mi-longs, sa silhouette est athlétique, la fille me semble un peu plus petite avec de longs cheveux blonds qu’elle dénoue rapidement. Sa poitrine ne me parait pas très grosse.
Profitant que je ne travaille pas le samedi, je suis allé faire l’emplette d’une longue vue et d’un support tripode. Cela me permet une meilleure approche visuelle. Mais le weekend, il n’y a rien eu à observer.
Ce soir lundi, ce doit être un jour particulier car le couple n’arrive que vers 23 heures passées. Comme d’habitude, ils se mettent rapidement en petite tenue et je vois désormais assez distinctement ce qui se passe dans leur intimité. Dans leur pièce à vivre, ils ouvrent une bouteille (certainement du champagne) et trinquent ensemble. Un anniversaire peut-être ? Une promotion ? Que sais-je !
Puis, la flute à la main, ils gagnent la chambre et s’installent sur le lit où ils commencent à flirter tout en finissant leur verre. Seul le lit est éclairé brillamment comme si des spots étaient braqués dans cette direction. Je suis désormais certain que je vais avoir droit à un beau spectacle car les baisers et les caresses sont de plus en plus chauds. J’ai le lit en plein visuel de ma longue vue.
Et là, le petit show commence ! La fille quitte les bras de son homme et je vois sa tête descendre au niveau du pubis. Elle embrasse au passage le nombril avant d’aller emboucher la bite de son compagnon qu’elle a sortie du boxer.
Je vois sa tête qui monte et descend alternativement mais les longs cheveux blonds ne me permettent pas d’en voir plus. Mon imagination complète la scène, que je trouve être une pipe profonde et goulue, aspirant le gland comme on l’aime.
Cela suffit amplement pour m’exciter, au point que mon sexe se dresse peu à peu dans mon slip. Mon imagination galope… Elle galope d’autant plus que la fille est tournée de telle sorte que j’ai une vue directe sur ses fesses largement fendues et barrées par le cordon d’un string noir. Elle doit aimer la lingerie foncée car elle en portait l’autre jour et aussi maintenant. Que cela lui va bien !
Mais je n’ai pas encore tout vu. Son homme vient de glisser une main dans le string et il doit lui chauffer la foufoune en attendant mieux. Peu à peu, il fait pivoter la fille jusqu’à ce qu’elle l’enjambe et lui présente sa fourche au dessus de la bouche. Le string glisse rapidement et va atterrir au pied du lit.
J’ai mon membre à l’étroit dans mon boxer, complètement fou, devant ce spectacle incroyable. Je me demande s’ils savent que je suis là, posté comme un pervers, épiant chaque geste et chaque mouvement de leurs corps entrelacés.
Abandonnant quelques secondes sa fellation, la fille ôte son soutif avant de replonger sur le sexe de son copain. Waouh ! Que c’est chaud ! Leur 69 dure mais j’ai complètement perdu la notion du temps qui s’écoule. Et ce que j’épie me fait de plus en plus d’effet…
Soudain, la fille se redresse, prend ses seins à pleine main et semble ouvrir la bouche comme si elle exhalait sa jouissance. J’augmente le grossissement de ma lorgnette pour la diriger vers la bite du mec ! Oulla ! Quel pieu ! Un sexe qui ferait pâlir un acteur de porno !
Le couple change une nouvelle fois de position. La fille s’agenouille sur le lit, pose sa tête et le haut de son buste sur les oreillers et présente son fessier haut levé à son homme. Oh ! Une levrette ! Je n’en demandais pas tant moi qui adore cette posture animale de la femme qui s’offre ainsi.
Le mec s’approche entre les jambes de sa copine, la bite dressée devant lui. Il la prend en main et … d’une lente poussée, s’introduit dans un des orifices ! Lequel ? Je ne le distingue pas !
Il prend la taille de la fille entre ses mains et il commence les va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Je n’entends rien, tout se déroule comme dans un film muet mais c’est terriblement excitant car j’imagine les bruits et les mots sans suite que les amants doivent prononcer.
Pour finir, le mec éperonne vivement la fille plusieurs fois. Il doit être sur le point de jouir lui aussi ! Oui ! C’est çà ! Il se retire et prenant sa bite dans la main droite, il se masturbe pour finir de se vider entre les fesses de sa copine.
Puis tous les deux basculent sur le côté en me tournant le dos. Je n’ai plus rien à voir mais je viens d’avoir un beau spectacle.
Lorsque je reviens dans la pièce principale, je jette un dernier coup d’œil vers le cinquième étage. La fille est encore allongée sur le lit en chien de fusil et les lumières s’éteignent un à une jusqu’à ce que l’obscurité soit totale dans l’appartement d’en face. Et moi, la bite dans la main, je reste sur ma faim encore une fois…
***********************************************************
Pendant toute la semaine qui suit la partie de jambes en l’air que j’ai épiée avec ma lorgnette, rien de particulier ne se passe dans l’appartement du cinquième étage qui fait face à mon studio.
Comme tous les soirs, le couple rentre à la même heure et pendant presque une heure, je vois leurs silhouettes aller et venir dans les deux pièces dont les fenêtres donnant dans la cour intérieure de l’immeuble.
Les weekends, il semble qu’il n’y ait personne. En plus, deux samedis de suite, je suis allé à mon ancien domicile pour déménager le reste de mes affaires et le stocker dans un entrepôt sécurisé en attendant de retrouver un logement.
Plus le temps passe plus je suis accro à ces séances de voyeurisme qui occupent une partie de mes soirées. J’ai toujours aimé mater les jolies filles et imaginer ce que je leur ferais de bon…
Ce soir, je suis à mon poste d’observation depuis une dizaine de minutes. Comme chaque soir, je vois mes voisins déambuler en petite tenue dans leur appartement et il semble que rien de particulier ne doive se produire quand la femme entrouvre les rideaux de leur pièce à vivre et semble me faire signe de la main comme pour m’indiquer de regarder l’autre fenêtre.
Auraient-ils découvert mon observation ? Après tout, s’ils sont gênés, ils n’ont qu’à fermer les stores et je ne verrai plus ce qui se passe chez eux !
Mais ce n’est pas du tout le cas puisque dès qu’elle arrive dans la chambre, la femme ouvre en grand les rideaux en voile de la fenêtre. C’est une véritable invitation… Ce qui est bizarre, c’est que la pièce est éclairée comme le lundi où ils ont semblé fêter quelque chose. Je vais donc pouvoir regarder tout mon saoul.
Aussitôt, je vois arriver l’homme qui ne porte que son habituel boxer. Devant la fenêtre, il enlace sa copine, se colle à elle de tout son corps et fait sauter l’agrafe du soutif qui glisse à terre. Il se met à genoux devant elle, fait glisser le string et plonge la tête dans la fourche de ses cuisses.
Oulla ! C’est parti pour une séance bien chaude !
Doucement il repousse sa compagne vers le lit où elle se couche sur le dos. Le mec a toujours la tête au creux de la fourche pour un cunnilingus bien appliqué. Pour le retenir dans cette position, la fille a passé ses jambes par-dessus ses épaules… et de ses deux mains elle masse sa poitrine.
Je règle ma lorgnette de façon à avoir un vue plus rapprochée sur le visage de la fille dont la tête va de droite à gauche et inversement au fur et à mesure que son plaisir monte. Ayant contenté sa copine une première fois le mec se relève. Rien qu’avec l’excitation de la caresse faite à sa femme, il a la bite dressée comme un mat.
Il s’allonge sur le lit et la femme vient s’empaler en amazone face à lui. Ils sont de profil et pour la première fois, je peux voir distinctement la poitrine menue de la fille. C’est elle qui assure la baise. Elle monte et descend sur l’épieu qui doit remonter bien haut dans son intimité, l’homme assure son équilibre en la maintenant par la taille.
Tantôt elle se penche sur sa bouche pour l’embrasser, tantôt elle se redresse, rejetant la tête en arrière, secouant sa longue chevelure blonde alors qu’elle s’empale de plus en plus vite et de plus en plus fort sur cette bite qui la fouille.
Les petits cris entrecoupés sont très clairs et j’ai l’impression qu’elle fait ça exprès pour être remarquée, de toute façon je ne le saurai jamais. Je vois sa poitrine rebondir à chaque fois qu’elle monte et redescend et cela me met la gaule.
Soudain, elle jouit ! Elle rejette la tête en arrière et je vois qu’elle brame son plaisir la bouche grande ouverte avant de s’affaler sur le torse de son homme qui, je le pense n’a pas encore eu son plaisir.
Oui, il n’a pas encore joui ! Il désarçonne la fille, il la fait basculer sur le dos, remonte ses jambes par-dessus ses épaules et d’une seule poussée, il pénètre la chatte offerte, sans doute déjà pleine de cyprine.
J’ai vu des femmes se tordre de plaisir car leurs sexes sont plus sensibles que les nôtres mais cette fois-ci c’est le mec qui se tortille avec des spasmes violents, et je reste là, bouche bée en les regardant.
Les mouvements de va-et-vient sont amples malgré la frénésie des partenaires. Mon voisin doit sortir à chaque fois de la chatte de la fille pour mieux y rentrer ensuite. Ce mec est sacrément endurant car je peux voir qu’il fait jouir la fille deux fois avant de se libérer à son tour. Mais là, il reste fiché dans le sexe, crachant son sperme tout au fond.
Je vois son corps se secouer et je bande grave, même si je reste sans bouger de peur de manquer une seule seconde de ce spectacle fascinant.
Ils restent ainsi enlacés quelques minutes avant de basculer sur le côté et de se désunir. Tous les deux se lèvent. La fille, intégralement nue vient fermer les rideaux en faisant à nouveau un petit signe de la main pendant que les lumières s’éteignent. Il n’y a plus de doute : Ils se savaient observés.
Quelques jours passent quand un soir en revenant d’être allé diner au resto avec des collègues de travail célibataires ou vivant seuls, je trouve une enveloppe en papier kraft sans aucune inscription dans ma boite aux lettres. Elle contient un DVD et une carte portant les mots suivants : « J’espère que tu t’es bien rincé l’œil ! »
Je monte rapidement jusqu’au sixième étage et je glisse le DVD dans le lecteur. Surprise ! C’est un montage vidéo où je vois mon couple de voisins s’ébattre sur leur lit. Je comprends mieux pourquoi à chaque fois l’éclairage était aussi puissant.
Ils se filmaient en train de faire l’amour avec au moins trois caméras ! Ils savaient donc bien que je les épiais et ces coquins m’en ont fait profiter.
Depuis j’ai quitté le studio mais je garde précieusement le DVD…
Je n’utilise presque jamais cet ordinateur dont Blandine se sert pour faire ses achats sur les sites de vente en ligne. Cette fois-ci, cette garce a pour amant un de ses collègues de bureau. Et cela dure déjà depuis quelques mois.
Après une explication orageuse, je quitte le domicile conjugal dont je lui laisse la jouissance avec nos deux jeunes enfants et je m’installe provisoirement dans un hôtel bon marché en proche banlieue.
Quelques jours plus tard, je vais trouver la chef du personnel de la société pour laquelle je travaille pour lui demander conseil sur les démarches à entreprendre. J’ai une totale confiance en elle comme la plupart des employés de la boite. Elle est aussi conseiller juridique de formation, donc ses avis seront les bienvenus.
Lorsqu’elle me demande où je loge, elle me dit que cela ne pourra pas durer très longtemps vu le prix des chambres d’hôtel :
- Si cela peut vous convenir, je vais proposer au directeur de vous prêter le temps de trouver un logement, le studio aménagé au dernier étage de l’immeuble.
Elle décroche le téléphone et après une brève conversation, elle me dit :
- C’est d’accord pour trois mois. On verra ensuite.
Suit un nouveau coup de fil au responsable des moyens généraux pour le prévenir et lui dire que nous allons passer chercher les clés. Nous nous retrouvons tous les deux au sixième étage sous les toits pour la visite et l’inventaire des lieux.
Je ne manquerai de rien car le studio est complètement équipé et je serai au calme car la fenêtre principale et une lucarne donnent dans la cour intérieure de l’immeuble.
Le soir même, j’emménage dans le studio auquel je peux accéder directement par l’escalier de service. Mes deux valises de vêtements et objets divers sont vite rangées dans les placards aménagés.
Après un diner rapide d’un plat réchauffé au four à micro-ondes, je m’allonge sur mon lit où je repense à nos années de bonheur déçu. Que s’est t’il passé ? Comment en sommes nous arrivés à cette situation ? Mais je ne tarde pas à m’endormir tout habillé, fatigué de la journée et des soucis…
Le lendemain, après une nuit de cauchemars où je vois en rêve ma femme participer à une bacchanale, je me réveille avec la bouche amère comme si j’avais pris une cuite. Je prends une longue douche, alternant le chaud et le froid pour me donner un coup de fouet puis je vais au café du coin prendre mon petit déjeuner avant de rejoindre le bureau.
En arrivant, je trouve à ma place une enveloppe contenant un petit carton :
- Voici les coordonnées d’un avocat. Il vous attend à 14 h 30 cet après midi. Vous êtes libre.
La matinée s’écoule lentement en activités diverses et à l’heure de la pause de midi, je monte jusqu’au studio prendre divers documents personnels. En attendant l’heure d’aller à mon rendez-vous avec l’avocat, j’en profite pour jeter quelques regards dans la cour intérieure dont je ne connais que le bas où nous garons quelques véhicules de la société.
Au même niveau que moi, il n’y a que des fenêtres de toit qui doivent servir à éclairer les combles. Par contre mon regard plonge vers les étages inférieurs où certaines fenêtres sont uniquement pourvues de rideaux de voilages. L’une d’elle attire plus particulièrement mon attention au 5ème étage.
Derrière le voilage transparent, je distingue un grand lit mais il semble n’y avoir personne dans cet appartement dont au moins deux fenêtres donnent sur la cour car rien ne bouge. Peut-être aurais-je l’occasion de jouer les voyeurs si les occupants ne ferment pas d’autres rideaux devant les baies vitrées…
En fin d’après-midi, je repasse par le bureau où depuis mon ordinateur je laisse un message à la chef du personnel et je prépare les documents que l’avocat m’a demandé de lui procurer rapidement. Puis, je regagne le studio…
Il fait déjà presque nuit et le 5ème étage n’est toujours pas éclairé. Ce n’est que vers 22 h 00 passées que je remarque des lumières atténuées (un éclairage indirect et des bougies certainement) qui éclairent les deux fenêtres qui sont grandes ouvertes, justes masquées par le voilage des rideaux : C’est l’été et il doit faire chaud dans l’appartement ! Pour mieux distinguer les deux ombres que je vois se déplacer dans les pièces, j’éteins toutes les lumières et je vais me poster derrière la petite fenêtre du coin cuisine.
Après un certain temps, je distingue mieux ce que je vois : un couple dont je ne peux déterminer l’âge mais il me semble qu’ils sont tous les deux en tenue légère. La femme ne porte certainement que son soutien gorge et un string et l’homme simplement un boxer et un T-shirt.
Les silhouettes bougent avec des mouvements très suspects, s’enlaçant pour s’embrasser puis se quittant brièvement pour mieux recommencer. Bien que ce soit évident qu’ils préparent quelque chose, comme s’ils se faisaient une cour plus que sexuelle, je ne réalise pas vraiment ce qu’ils font. Ou plutôt si mais je prends mon temps pour compléter avec mon imagination ce que je ne peux pas voir directement à cause de la pénombre.
Très sûr de ma cachette, j’ouvre un peu plus le volet de la cuisine pour me pencher un peu plus en avant dans la cour intérieure. J’entends comme un murmure venant de leur fenêtre que j’imagine être des gémissements, mais très lointains…
C’est elle qui gémit, la coquine, oui c’est bien elle. Ils sont debout là, je vois les deux corps confondus et j’ai du mal à distinguer les courbes féminines qui me permettent de deviner le reste. Le mec vient de plaquer sa compagne contre un mur, elle est soulevée et appuie ses bras sur les épaules de son camarade dont elle chevauche la taille…
La bouche ouverte et la respiration haletante, j’essaye de me placer encore plus près de la cour mais si je me penche plus en avant ils pourraient me voir. Là je réalise que j’ai la trique, une bosse qui palpite au rythme de mon cœur.
Après quelques secondes d’hésitation je sors ma queue pour me régaler, caché dans l’ombre de ma pièce. Levant lentement le regard pour constater qu’ils sont toujours là, je laisse ma main faire son travail pendant que mon regard suit les évolutions de ces deux corps presque impossibles à distinguer lorsqu’ils se frottent l’un contre l’autre.
Mes voisins ne sont plus debout, je crois qu’elle est assise sur lui à la fois appuyé contre un meuble. Je les vois de face maintenant mais leurs visages m’échappent toujours. Leurs petits cris sourds sont plus clairs et je vois bien que c’est la nana qui gémit.
Je ferme les yeux pendant une seconde pour mieux profiter des sensations jouissives que cette branlette dans le noir me provoque et ensuite je les rouvre afin de continuer d’épier ces deux inconnus voisins de palier.
Mais ils ne sont plus là…je me demande s’ils m’ont peut-être découvert, la main sur la verge et le torse nu…quoi qu’il en soit, je suis resté dans l’appartement pour le reste de la soirée sans oser sortir de peur de les croiser dans l’ascenseur.
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Au bout de quelques jours, j’ai pris mes marques dans ce studio prêté par la société au sixième étage au dessus des bureaux. Chaque jour j’épie par la lucarne du coin cuisine les fenêtres de l’appartement du cinquième et je commence à connaitre les horaires du couple qui l’habite.
Il ne faut pas compter voir quelque chose avant 22 heures, c’est sans doute l’horaire habituel de retour à la maison. L’appartement doit être bien confortable car les occupants se baladent toujours en tenue légère dès qu’ils rentrent, sans se soucier de fermer les doubles rideaux ou les stores, laissant très souvent une fenêtre grande ouverte. Mon regard peut ainsi plonger sans vergogne dans leur intimité sans qu’ils s’en doutent. Ils n’imaginent certainement pas que le studio est utilisé à plein temps. C’est ainsi que par plusieurs séquences d’une dizaine de minutes au cours de la soirée, je les vois aller et venir sans qu’ils s’en doutent.
A les voir ainsi, je pense qu’il s’agit d’un couple assez jeune car lorsqu’ils se croisent devant l’une ou l’autre des fenêtres, ils échangent, comme le premier soir, des baisers plus ou moins longs et ardents et des caresses. Pour autant que je puisse voir, l’homme est assez grand, brun aux cheveux mi-longs, sa silhouette est athlétique, la fille me semble un peu plus petite avec de longs cheveux blonds qu’elle dénoue rapidement. Sa poitrine ne me parait pas très grosse.
Profitant que je ne travaille pas le samedi, je suis allé faire l’emplette d’une longue vue et d’un support tripode. Cela me permet une meilleure approche visuelle. Mais le weekend, il n’y a rien eu à observer.
Ce soir lundi, ce doit être un jour particulier car le couple n’arrive que vers 23 heures passées. Comme d’habitude, ils se mettent rapidement en petite tenue et je vois désormais assez distinctement ce qui se passe dans leur intimité. Dans leur pièce à vivre, ils ouvrent une bouteille (certainement du champagne) et trinquent ensemble. Un anniversaire peut-être ? Une promotion ? Que sais-je !
Puis, la flute à la main, ils gagnent la chambre et s’installent sur le lit où ils commencent à flirter tout en finissant leur verre. Seul le lit est éclairé brillamment comme si des spots étaient braqués dans cette direction. Je suis désormais certain que je vais avoir droit à un beau spectacle car les baisers et les caresses sont de plus en plus chauds. J’ai le lit en plein visuel de ma longue vue.
Et là, le petit show commence ! La fille quitte les bras de son homme et je vois sa tête descendre au niveau du pubis. Elle embrasse au passage le nombril avant d’aller emboucher la bite de son compagnon qu’elle a sortie du boxer.
Je vois sa tête qui monte et descend alternativement mais les longs cheveux blonds ne me permettent pas d’en voir plus. Mon imagination complète la scène, que je trouve être une pipe profonde et goulue, aspirant le gland comme on l’aime.
Cela suffit amplement pour m’exciter, au point que mon sexe se dresse peu à peu dans mon slip. Mon imagination galope… Elle galope d’autant plus que la fille est tournée de telle sorte que j’ai une vue directe sur ses fesses largement fendues et barrées par le cordon d’un string noir. Elle doit aimer la lingerie foncée car elle en portait l’autre jour et aussi maintenant. Que cela lui va bien !
Mais je n’ai pas encore tout vu. Son homme vient de glisser une main dans le string et il doit lui chauffer la foufoune en attendant mieux. Peu à peu, il fait pivoter la fille jusqu’à ce qu’elle l’enjambe et lui présente sa fourche au dessus de la bouche. Le string glisse rapidement et va atterrir au pied du lit.
J’ai mon membre à l’étroit dans mon boxer, complètement fou, devant ce spectacle incroyable. Je me demande s’ils savent que je suis là, posté comme un pervers, épiant chaque geste et chaque mouvement de leurs corps entrelacés.
Abandonnant quelques secondes sa fellation, la fille ôte son soutif avant de replonger sur le sexe de son copain. Waouh ! Que c’est chaud ! Leur 69 dure mais j’ai complètement perdu la notion du temps qui s’écoule. Et ce que j’épie me fait de plus en plus d’effet…
Soudain, la fille se redresse, prend ses seins à pleine main et semble ouvrir la bouche comme si elle exhalait sa jouissance. J’augmente le grossissement de ma lorgnette pour la diriger vers la bite du mec ! Oulla ! Quel pieu ! Un sexe qui ferait pâlir un acteur de porno !
Le couple change une nouvelle fois de position. La fille s’agenouille sur le lit, pose sa tête et le haut de son buste sur les oreillers et présente son fessier haut levé à son homme. Oh ! Une levrette ! Je n’en demandais pas tant moi qui adore cette posture animale de la femme qui s’offre ainsi.
Le mec s’approche entre les jambes de sa copine, la bite dressée devant lui. Il la prend en main et … d’une lente poussée, s’introduit dans un des orifices ! Lequel ? Je ne le distingue pas !
Il prend la taille de la fille entre ses mains et il commence les va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Je n’entends rien, tout se déroule comme dans un film muet mais c’est terriblement excitant car j’imagine les bruits et les mots sans suite que les amants doivent prononcer.
Pour finir, le mec éperonne vivement la fille plusieurs fois. Il doit être sur le point de jouir lui aussi ! Oui ! C’est çà ! Il se retire et prenant sa bite dans la main droite, il se masturbe pour finir de se vider entre les fesses de sa copine.
Puis tous les deux basculent sur le côté en me tournant le dos. Je n’ai plus rien à voir mais je viens d’avoir un beau spectacle.
Lorsque je reviens dans la pièce principale, je jette un dernier coup d’œil vers le cinquième étage. La fille est encore allongée sur le lit en chien de fusil et les lumières s’éteignent un à une jusqu’à ce que l’obscurité soit totale dans l’appartement d’en face. Et moi, la bite dans la main, je reste sur ma faim encore une fois…
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Pendant toute la semaine qui suit la partie de jambes en l’air que j’ai épiée avec ma lorgnette, rien de particulier ne se passe dans l’appartement du cinquième étage qui fait face à mon studio.
Comme tous les soirs, le couple rentre à la même heure et pendant presque une heure, je vois leurs silhouettes aller et venir dans les deux pièces dont les fenêtres donnant dans la cour intérieure de l’immeuble.
Les weekends, il semble qu’il n’y ait personne. En plus, deux samedis de suite, je suis allé à mon ancien domicile pour déménager le reste de mes affaires et le stocker dans un entrepôt sécurisé en attendant de retrouver un logement.
Plus le temps passe plus je suis accro à ces séances de voyeurisme qui occupent une partie de mes soirées. J’ai toujours aimé mater les jolies filles et imaginer ce que je leur ferais de bon…
Ce soir, je suis à mon poste d’observation depuis une dizaine de minutes. Comme chaque soir, je vois mes voisins déambuler en petite tenue dans leur appartement et il semble que rien de particulier ne doive se produire quand la femme entrouvre les rideaux de leur pièce à vivre et semble me faire signe de la main comme pour m’indiquer de regarder l’autre fenêtre.
Auraient-ils découvert mon observation ? Après tout, s’ils sont gênés, ils n’ont qu’à fermer les stores et je ne verrai plus ce qui se passe chez eux !
Mais ce n’est pas du tout le cas puisque dès qu’elle arrive dans la chambre, la femme ouvre en grand les rideaux en voile de la fenêtre. C’est une véritable invitation… Ce qui est bizarre, c’est que la pièce est éclairée comme le lundi où ils ont semblé fêter quelque chose. Je vais donc pouvoir regarder tout mon saoul.
Aussitôt, je vois arriver l’homme qui ne porte que son habituel boxer. Devant la fenêtre, il enlace sa copine, se colle à elle de tout son corps et fait sauter l’agrafe du soutif qui glisse à terre. Il se met à genoux devant elle, fait glisser le string et plonge la tête dans la fourche de ses cuisses.
Oulla ! C’est parti pour une séance bien chaude !
Doucement il repousse sa compagne vers le lit où elle se couche sur le dos. Le mec a toujours la tête au creux de la fourche pour un cunnilingus bien appliqué. Pour le retenir dans cette position, la fille a passé ses jambes par-dessus ses épaules… et de ses deux mains elle masse sa poitrine.
Je règle ma lorgnette de façon à avoir un vue plus rapprochée sur le visage de la fille dont la tête va de droite à gauche et inversement au fur et à mesure que son plaisir monte. Ayant contenté sa copine une première fois le mec se relève. Rien qu’avec l’excitation de la caresse faite à sa femme, il a la bite dressée comme un mat.
Il s’allonge sur le lit et la femme vient s’empaler en amazone face à lui. Ils sont de profil et pour la première fois, je peux voir distinctement la poitrine menue de la fille. C’est elle qui assure la baise. Elle monte et descend sur l’épieu qui doit remonter bien haut dans son intimité, l’homme assure son équilibre en la maintenant par la taille.
Tantôt elle se penche sur sa bouche pour l’embrasser, tantôt elle se redresse, rejetant la tête en arrière, secouant sa longue chevelure blonde alors qu’elle s’empale de plus en plus vite et de plus en plus fort sur cette bite qui la fouille.
Les petits cris entrecoupés sont très clairs et j’ai l’impression qu’elle fait ça exprès pour être remarquée, de toute façon je ne le saurai jamais. Je vois sa poitrine rebondir à chaque fois qu’elle monte et redescend et cela me met la gaule.
Soudain, elle jouit ! Elle rejette la tête en arrière et je vois qu’elle brame son plaisir la bouche grande ouverte avant de s’affaler sur le torse de son homme qui, je le pense n’a pas encore eu son plaisir.
Oui, il n’a pas encore joui ! Il désarçonne la fille, il la fait basculer sur le dos, remonte ses jambes par-dessus ses épaules et d’une seule poussée, il pénètre la chatte offerte, sans doute déjà pleine de cyprine.
J’ai vu des femmes se tordre de plaisir car leurs sexes sont plus sensibles que les nôtres mais cette fois-ci c’est le mec qui se tortille avec des spasmes violents, et je reste là, bouche bée en les regardant.
Les mouvements de va-et-vient sont amples malgré la frénésie des partenaires. Mon voisin doit sortir à chaque fois de la chatte de la fille pour mieux y rentrer ensuite. Ce mec est sacrément endurant car je peux voir qu’il fait jouir la fille deux fois avant de se libérer à son tour. Mais là, il reste fiché dans le sexe, crachant son sperme tout au fond.
Je vois son corps se secouer et je bande grave, même si je reste sans bouger de peur de manquer une seule seconde de ce spectacle fascinant.
Ils restent ainsi enlacés quelques minutes avant de basculer sur le côté et de se désunir. Tous les deux se lèvent. La fille, intégralement nue vient fermer les rideaux en faisant à nouveau un petit signe de la main pendant que les lumières s’éteignent. Il n’y a plus de doute : Ils se savaient observés.
Quelques jours passent quand un soir en revenant d’être allé diner au resto avec des collègues de travail célibataires ou vivant seuls, je trouve une enveloppe en papier kraft sans aucune inscription dans ma boite aux lettres. Elle contient un DVD et une carte portant les mots suivants : « J’espère que tu t’es bien rincé l’œil ! »
Je monte rapidement jusqu’au sixième étage et je glisse le DVD dans le lecteur. Surprise ! C’est un montage vidéo où je vois mon couple de voisins s’ébattre sur leur lit. Je comprends mieux pourquoi à chaque fois l’éclairage était aussi puissant.
Ils se filmaient en train de faire l’amour avec au moins trois caméras ! Ils savaient donc bien que je les épiais et ces coquins m’en ont fait profiter.
Depuis j’ai quitté le studio mais je garde précieusement le DVD…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour le lecteur qui vient de laisser un commentaire... cette histoire n'est qu'une fiction....
Il y en a quelques unes qui sont véridiques, d'autres le sont partiellement...
Il y en a quelques unes qui sont véridiques, d'autres le sont partiellement...
navrée de votre infortune.
votre description est tellement précise que l'on s'y croyait (moi en tous cas...)
Le voyeurisme et la masturbation permettent de ne pas tromper son conjoint .......
votre description est tellement précise que l'on s'y croyait (moi en tous cas...)
Le voyeurisme et la masturbation permettent de ne pas tromper son conjoint .......
Histoire agréable!