Titre de l'histoire érotique : Weekend surprise
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Weekend surprise
La semaine passée, je revenais de Paris en TGV pour passer un week-end tranquille loin de l'agitation parisienne en cette veille de rentrée. En fait, je regagnais mon domicile à proximité de ce que nous appelons « les trois frontières » puisque la Lorraine, la Belgique et le Luxembourg se côtoient à cet endroit. Le lendemain, des amis m’avaient invité pour le weekend et nous devions fêter un anniversaire le samedi soir. Je rentrerais définitivement chez moi le dimanche dans l’après-midi.
J'avais eu la chance au dernier moment de pouvoir changer mon billet pour un train en partance immédiate. Je suis monté dans la dernière voiture et en remontant vers la tête du train, je suis parti à la recherche de ma place.
J'ai eu l'agréable surprise de pouvoir m'asseoir en vis-à-vis avec une jolie fille, environ 30/35 ans, blonde comme les blés murs, avec des cheveux longs comme je les aime. D'après ce que je pouvais distinguer de sa silhouette, elle devait être grande, au moins entre 1.70m et 1.75m avec une jolie poitrine bien galbée.
Ses yeux marron étaient ombragés de longs cils qui ne devaient rien à une intervention extérieure. Ma compagne de voyage était vêtue avec une élégance raffinée d'un ensemble en lin de couleur brun clair. Dans l'encolure, je pouvais apercevoir un bandeau de dentelle marron également. La jupe, descendant au dessous du genou laissait voir des chevilles fines entourées d'une chaînette dorée et des escarpins à talon d'une hauteur moyenne.
Nous avons échangé quelques paroles au moment où je me suis installé en face d'elle. Nous avions un peu plus de deux heures à passer ensemble. L'un et l'autre nous avons sorti notre ordinateur. Lorsque j'ai eu terminé de préparer les réponses à mes courriels, j'ai rangé le mien et j'ai pu tout à loisir épier discrètement la belle blonde qui a fini par relever la tête en souriant :
- J'en ai terminé moi aussi !
Nous nous sommes mis à bavarder et c'est ainsi que j'ai appris que Carolina descendait à la même gare que moi, en fait le terminus du train à Luxembourg-Ville. Après avoir passé la semaine à Paris, elle regagnait son domicile dans la périphérie de la ville où elle travaillait habituellement comme juriste auprès des Institutions européennes. Quant à moi, jeune retraité, je passais mon temps en voyages divers, en train, en voiture ou en avion suivant les distances à parcourir. En plus d’une association de retraités, j’occupais mes loisirs à enrichir ma culture personnelle et à l'écriture de nouvelles érotiques.
Le reste de ce bref voyage en train s'est déroulé trop rapidement à mon goût. Lorsque le train s'est arrêté à son terminus, je voyais arriver avec regrets le moment où j'allais me séparer d'une belle fille, intelligente et cultivée que je ne reverrais sans doute jamais.
Ma voiture se trouvait au parking de la gare et vu l’heure tardive, il n’y avait plus que des taxis pour conduire Carolina jusque chez elle. Je lui offris de la conduire jusqu'à son domicile. Après tout, cela ne rallongerait mon trajet que d'une vingtaine de kilomètres d’autant que je pourrais reprendre l’autoroute qui me ramènerait à vingt minutes de chez moi. Elle a accepté. Nous nous sommes dirigés vers le parking où ma voiture avait passé les trois derniers jours. Aussitôt installés, nous avons pris la direction du plateau du Kirchberg au nord-est de la ville.
Nous avons continué de bavarder au cours de bref trajet et vers 23 heures 30, je m'arrêtais au pied de l'immeuble moderne où habitait Carolina.
- Viens, je vais t'offrir un verre pour te remercier. D'après ce que tu m'as dit, tu n’es pas pressé !
J'ai garé ma voiture et je l'ai suivie dans le hall de son immeuble. Nous avons pris l'ascendeur jusqu'à sixième et dernier étage. Je connaissais assez bien ce secteur au nord est de la ville de Luxembourg mais j'étais surpris du développement de l'urbanisme. L'Europe était passée par là !
L'appartement de Carolina était meublé d'une manière très fonctionnelle et faisait un véritable cocon douillet. Des lumières tamisées dissimulées un peu partout éclairaient la pièce à vivre. Dans un coin, un immense canapé d'angle en cuir côtoyait une table basse en métal et verre et deux immenses fauteuils assortis au canapé. Après avoir bu chacun un cocktail à base de jus de fruits exotiques, je me suis levé pour prendre congé.
C'est arrivé près de la porte palière que tout a basculé. Alors que j’avais seulement l'intention d'embrasser Carolina sur la joue, cette dernière m'a tendu ses lèvres pulpeuses en passant ses bras autour de mon cou :
- Je n'ai pas envie d'être seule cette nuit. Reste ! »
Qui aurait résisté à une telle invitation, d'autant que le belle s'était collée à moi et avait entrepris une danse lascive, ondulant du bassin contre le mien et bientôt, je me sentais à l'étroit dans mon boxer. Toujours enlacés, nous nous sommes retrouvés près du divan où nous nous sommes affalés, bras et jambes emmêlés.
Carolina a ôté prestement sa veste et dégrafé son soutien gorge. Waouhhhh ! Quelle paire de seins ! Des seins comme je les aime : ronds et généreux, doux à caresser mais fermes et naturels. Elle s'est relevée et m'a aidé à ôter mes vêtements. Veste légère, polo, pantalon, boxer, en moins de temps qu'il faut pour l'écrire, tout s'est retrouvé jeté n'importe où sur le sol.
Mon sexe était bien bandé déjà mais Carolina est venue le prendre en bouche et a entrepris une fellation profonde qui m'a amené au bord de l'explosion.
En faisant glisser sa jupe longue, Carolina m'a tendu un préservatif. Je ne sais pas à quel moment cette coquine s'était débarrassée de son string où s'il elle ne portait rien sous sa jupe. J'avais sous les yeux un triangle de Vénus dépourvu de pilosité. Elle me tendit les bras en ouvrant le compas de ses cuisses dans une invitation emprunte d'érotisme violent :
- Baise-moi !
Ces deux mots claquèrent sèchement comme un ordre. D'une seule poussée virile, je pénétrai sa chatte, chaude et humide. Ma belle ne démentait pas ses origines latines. Elle était chaude comme la braise. Elle noua ses bras autour de mon cou et ses jambes sur mes reins. Je l'aurais voulu, je ne pouvais pas m'échapper. Je commençai les mouvements de va-et-vient dans sa chatte, lentement puis, de plus en plus vite au fur et à mesure que je sentais son plaisir (et le mien) monter. Il ne fallut pas longtemps pour que la jouissance commune nous emporte...
Quelque peu essoufflés par cette joute amoureuse, nous sommes restés enlacés de longues minutes, mon sexe toujours profondément fiché dans celui de Carolina qui me dit :
- J'en avais besoin, j'ai eu une semaine d'enfer, cela me permet de décompresser !
J'étais tout à fait d'accord avec elle. Une bonne baise, il n'y a rien de mieux pour oublier les tracas de la vie. Nous nous sommes relevés et nous avons gagné la chambre où un grand lit nous attendait. J'ai enlacé Carolina et nous avons basculé sur les draps de satin. Après un 69 savoureux, Carolina s'est mise en levrette. J'avais sous les yeux ses globes fessiers largement ouverts, ses hanches rondes et sa taille fine que j'ai emprisonnée de mes mains.
Après quelques aller-retour dans le sillon, je me suis couvert à nouveau et je lui pris la chatte puis, ayant agacé un peu l'œillet plissé qui s’ouvrait facilement, j'ai sodomisé la belle. Lors de notre jouissance simultanée, je suis sorti, j’ai arraché le préservatif et j’ai craché de longs jets de sperme sur le bas des reins et dans son sillon. Carolina est allée en cueillir quelques gouttes du bout de ses doigts qu’elle a portés à sa bouche :
• Hummm ! C’est bon !
Je ne sais pas à quel moment nous avons sombré dans le sommeil. Au petit matin, nous avons de nouveau fait l'amour calmement, presque tendrement. Peu avant midi, nous nous sommes quittés.
Nous étions deux amants comblés. Moins de 45 minutes plus tard, j'étais chez mes amis. Je rentrerais chez moi plus tard….
J'avais eu la chance au dernier moment de pouvoir changer mon billet pour un train en partance immédiate. Je suis monté dans la dernière voiture et en remontant vers la tête du train, je suis parti à la recherche de ma place.
J'ai eu l'agréable surprise de pouvoir m'asseoir en vis-à-vis avec une jolie fille, environ 30/35 ans, blonde comme les blés murs, avec des cheveux longs comme je les aime. D'après ce que je pouvais distinguer de sa silhouette, elle devait être grande, au moins entre 1.70m et 1.75m avec une jolie poitrine bien galbée.
Ses yeux marron étaient ombragés de longs cils qui ne devaient rien à une intervention extérieure. Ma compagne de voyage était vêtue avec une élégance raffinée d'un ensemble en lin de couleur brun clair. Dans l'encolure, je pouvais apercevoir un bandeau de dentelle marron également. La jupe, descendant au dessous du genou laissait voir des chevilles fines entourées d'une chaînette dorée et des escarpins à talon d'une hauteur moyenne.
Nous avons échangé quelques paroles au moment où je me suis installé en face d'elle. Nous avions un peu plus de deux heures à passer ensemble. L'un et l'autre nous avons sorti notre ordinateur. Lorsque j'ai eu terminé de préparer les réponses à mes courriels, j'ai rangé le mien et j'ai pu tout à loisir épier discrètement la belle blonde qui a fini par relever la tête en souriant :
- J'en ai terminé moi aussi !
Nous nous sommes mis à bavarder et c'est ainsi que j'ai appris que Carolina descendait à la même gare que moi, en fait le terminus du train à Luxembourg-Ville. Après avoir passé la semaine à Paris, elle regagnait son domicile dans la périphérie de la ville où elle travaillait habituellement comme juriste auprès des Institutions européennes. Quant à moi, jeune retraité, je passais mon temps en voyages divers, en train, en voiture ou en avion suivant les distances à parcourir. En plus d’une association de retraités, j’occupais mes loisirs à enrichir ma culture personnelle et à l'écriture de nouvelles érotiques.
Le reste de ce bref voyage en train s'est déroulé trop rapidement à mon goût. Lorsque le train s'est arrêté à son terminus, je voyais arriver avec regrets le moment où j'allais me séparer d'une belle fille, intelligente et cultivée que je ne reverrais sans doute jamais.
Ma voiture se trouvait au parking de la gare et vu l’heure tardive, il n’y avait plus que des taxis pour conduire Carolina jusque chez elle. Je lui offris de la conduire jusqu'à son domicile. Après tout, cela ne rallongerait mon trajet que d'une vingtaine de kilomètres d’autant que je pourrais reprendre l’autoroute qui me ramènerait à vingt minutes de chez moi. Elle a accepté. Nous nous sommes dirigés vers le parking où ma voiture avait passé les trois derniers jours. Aussitôt installés, nous avons pris la direction du plateau du Kirchberg au nord-est de la ville.
Nous avons continué de bavarder au cours de bref trajet et vers 23 heures 30, je m'arrêtais au pied de l'immeuble moderne où habitait Carolina.
- Viens, je vais t'offrir un verre pour te remercier. D'après ce que tu m'as dit, tu n’es pas pressé !
J'ai garé ma voiture et je l'ai suivie dans le hall de son immeuble. Nous avons pris l'ascendeur jusqu'à sixième et dernier étage. Je connaissais assez bien ce secteur au nord est de la ville de Luxembourg mais j'étais surpris du développement de l'urbanisme. L'Europe était passée par là !
L'appartement de Carolina était meublé d'une manière très fonctionnelle et faisait un véritable cocon douillet. Des lumières tamisées dissimulées un peu partout éclairaient la pièce à vivre. Dans un coin, un immense canapé d'angle en cuir côtoyait une table basse en métal et verre et deux immenses fauteuils assortis au canapé. Après avoir bu chacun un cocktail à base de jus de fruits exotiques, je me suis levé pour prendre congé.
C'est arrivé près de la porte palière que tout a basculé. Alors que j’avais seulement l'intention d'embrasser Carolina sur la joue, cette dernière m'a tendu ses lèvres pulpeuses en passant ses bras autour de mon cou :
- Je n'ai pas envie d'être seule cette nuit. Reste ! »
Qui aurait résisté à une telle invitation, d'autant que le belle s'était collée à moi et avait entrepris une danse lascive, ondulant du bassin contre le mien et bientôt, je me sentais à l'étroit dans mon boxer. Toujours enlacés, nous nous sommes retrouvés près du divan où nous nous sommes affalés, bras et jambes emmêlés.
Carolina a ôté prestement sa veste et dégrafé son soutien gorge. Waouhhhh ! Quelle paire de seins ! Des seins comme je les aime : ronds et généreux, doux à caresser mais fermes et naturels. Elle s'est relevée et m'a aidé à ôter mes vêtements. Veste légère, polo, pantalon, boxer, en moins de temps qu'il faut pour l'écrire, tout s'est retrouvé jeté n'importe où sur le sol.
Mon sexe était bien bandé déjà mais Carolina est venue le prendre en bouche et a entrepris une fellation profonde qui m'a amené au bord de l'explosion.
En faisant glisser sa jupe longue, Carolina m'a tendu un préservatif. Je ne sais pas à quel moment cette coquine s'était débarrassée de son string où s'il elle ne portait rien sous sa jupe. J'avais sous les yeux un triangle de Vénus dépourvu de pilosité. Elle me tendit les bras en ouvrant le compas de ses cuisses dans une invitation emprunte d'érotisme violent :
- Baise-moi !
Ces deux mots claquèrent sèchement comme un ordre. D'une seule poussée virile, je pénétrai sa chatte, chaude et humide. Ma belle ne démentait pas ses origines latines. Elle était chaude comme la braise. Elle noua ses bras autour de mon cou et ses jambes sur mes reins. Je l'aurais voulu, je ne pouvais pas m'échapper. Je commençai les mouvements de va-et-vient dans sa chatte, lentement puis, de plus en plus vite au fur et à mesure que je sentais son plaisir (et le mien) monter. Il ne fallut pas longtemps pour que la jouissance commune nous emporte...
Quelque peu essoufflés par cette joute amoureuse, nous sommes restés enlacés de longues minutes, mon sexe toujours profondément fiché dans celui de Carolina qui me dit :
- J'en avais besoin, j'ai eu une semaine d'enfer, cela me permet de décompresser !
J'étais tout à fait d'accord avec elle. Une bonne baise, il n'y a rien de mieux pour oublier les tracas de la vie. Nous nous sommes relevés et nous avons gagné la chambre où un grand lit nous attendait. J'ai enlacé Carolina et nous avons basculé sur les draps de satin. Après un 69 savoureux, Carolina s'est mise en levrette. J'avais sous les yeux ses globes fessiers largement ouverts, ses hanches rondes et sa taille fine que j'ai emprisonnée de mes mains.
Après quelques aller-retour dans le sillon, je me suis couvert à nouveau et je lui pris la chatte puis, ayant agacé un peu l'œillet plissé qui s’ouvrait facilement, j'ai sodomisé la belle. Lors de notre jouissance simultanée, je suis sorti, j’ai arraché le préservatif et j’ai craché de longs jets de sperme sur le bas des reins et dans son sillon. Carolina est allée en cueillir quelques gouttes du bout de ses doigts qu’elle a portés à sa bouche :
• Hummm ! C’est bon !
Je ne sais pas à quel moment nous avons sombré dans le sommeil. Au petit matin, nous avons de nouveau fait l'amour calmement, presque tendrement. Peu avant midi, nous nous sommes quittés.
Nous étions deux amants comblés. Moins de 45 minutes plus tard, j'étais chez mes amis. Je rentrerais chez moi plus tard….
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Délicieux récit qui évoque une aventure vécue: L'inconnue du vol AF747