Toc 05 : Toc Contremaitre
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Toc 05 : Toc Contremaitre
Toc 05
Toc contremaître
ou
Mr Durand assujetti social
Oui je sais pour le titre j'ai plagié, mais je vous jure que j'ai honte !
Tout n'allait pas si bien qu'on pouvait le croire, Mr Durant était tombé malade et se retrouvait pour quelque temps à l’hôpital. C'était sérieux mais sa vie n'était pas en danger. Le problème était de savoir qui allait le remplacer.
Deux de ses employés étaient venus avec Toc pour savoir, et surtout pour postuler. Toc ne disait jamais rien comme vous le savez tous, mais il pourrait témoigner et confirmer … par un ' Oui ' … s'étaient dit les deux employés. Un mot, une syllabe, ça devait être jouable. On l'avait déjà vu faire des discours qui allaient jusqu'à cinq mots et donc un nombre incalculable de syllabes. Enfin c'était Toc quoi, il ne parlait jamais pour ne rien dire et comme il n'avait rien à dire …
Par contre maintenant il assurait bien au niveau travail.
Mr Durand était sur son lit et avait surtout envie qu'on lui foute la paix, il n'était pas en forme le pauvre, énervé il finissait par déclarer .
– C'est Toc qui me remplacera, j'ai confiance en lui !
Les deux hommes semblaient sonné par cette phrase, Toc ne bronchait pas une oreille.
– Approche toi Toc, rajoutait Mr Durand et il donnait à Toc la clé qu'il portait autour du cou. C'est la clé de ton dispositif de chasteté, si tu commandes tu ne dois pas porter un tel dispositif. Tu retires ton dispositif et tu prends ma place pendant mon absence.
Toc prenait la clé, baissait son pantalon et retirait son dispositif. Tout le monde le regardait faire.
– Tu aurais peut être pu attendre d'être rentré à la maison ! Rajoutais Mr Durand.
Toc regardait les visages autour de lui et rajoutait seulement …
– Bein oui !
Pendant que Mr Durand commençait déjà à regretter son choix tout le monde repartait, il ne fallait pas louper l'aérotrain. C'était le moyen de transport le plus rapide mais il lui faudrait tout de même trois heures.
Toc restait imperturbable, son pantalon moulait maintenant une grosse forme arrondie, les marque de la cage de chasteté avaient disparues. Un peu plus tard dans le train, c'est une forme de matraque qui se dessinait contre sa cuisse. Il la caressait distraitement.
Les deux hommes le regardaient faire.
– C'est un branleur ! Disait l'un.
– Durand à confié sa ferme à un branleur. Rajoutait l'autre.
– C'est vrai qu'ils couchent ensemble, mais franchement c'est pas une raison.
– Au moins on sera tranquille, on fera notre boulot et lui il se branlera.
– Et puis il suffira d'avertir Durand, quand il verra ça en vidéo, il remettra de l'ordre.
Ne vous méprenez pas sur le sens profond de ces commentaires. La moitié du personnel portait un dispositif de chasteté, l'autre moitié non. Les hommes étaient logés à deux par chambre, un qui portait, un qui ne portait pas. Et celui qui ne portait pas se faisait défoncer le cul régulièrement. C'était moralement permis dans ce monde étrange. Tant qu'un des deux hommes portait une cage, ce n'était ni cochon ni répréhensible.
Le reste du voyage se passait sans problème.
Mais Toc avait pris de bonne initiatives, ça faisait dix ans qu'il était arrivé là, avec un balluchon sur l'épaule, il avait déjà son pantalon moule boule, son T-shirt, son téléphone dans la poche et son allure de ' grosse nouille '. Il n'avait pas vraiment changé en dix ans, à l'époque il ne devait pas avoir vingt ans, il en aurait bientôt trente.
Dès leur retour à la ferme, Toc se rendait au bureau de son patron et amant et prenait connaissance du plan de travail. Ça ne lui prenait pas bien longtemps, il était souvent avec Mr Durand et savait ce qu'il y avait à faire.
Le lendemain matin il réunissait tout le monde, et il y en avait, la ferme avait grandi depuis son arrivée. Puis devant les employés médusés il donnait les consignes.
– Toi, toi, toi et toi secteur vingt moissonner . Toi, toi, ranger foin … etc …
Il n'oubliait personne et chacun était avait une fonction attribuée. C'est comme ça que procédait Mr Durand mais avec lui ça prenait plus de temps, avec Toc il n'y avait pas un mot de trop.
Un peu plus tard il passait dans la serre, il repérait un des gars qui ne portait pas de dispositif de chasteté et l'appelait, il lui faisait signe de le suivre. Sans rien dire, il n'est décidément pas bavard, il l'entraînait dans un coin tranquille, il était torse nue, il baissait son pantalon et se penchait en avant devant le gars qu'il avait appelé.
– Cule moi !
– C'est ça que tu veux mon petit gars, tu vas voir je vais te combler.
Sans attendre l'employé se mettait lui aussi à poil, prenait position et avec une certaine violence, lui enfonçait sa queue dans le cul. Toc à gémi, il semblait dire : ' Oui vas y ! ' . Mais ça devait être une illusion, Toc ne dit jamais rien même quand il se fait enculer.
Il gémissait de plaisir, il ne se laissait pas seulement faire, il participait, il s'empalait sur la queue de son partenaire, queue qui était pourtant énorme. Toc aussi en avait une énorme, et malgré les années pendant lesquelles il ne s'en était pas servi elle n'avait pas diminuée.
Au début c'était une grosse molle qui se balançait entre ses cuisses, puis elle se redressait. L'employé se lâchait et défonçait sans ménagement le cul de Toc qui reculait enfonçant bien à fond la queue de son partenaire qui restait un peu surpris.
On racontait des choses, sur Toc, finalement c'était vrai. Enfin personne n'en avait jamais douté. Il était chaud le petit Toc, il était chaud. On disait qu'il s'était fait défoncé par tous les hommes qui en avait une grosse, rien ne lui faisait peur.
Les coups de bassin tombaient avec régularité, de plus en plus vite. L'employé poussait un cri de plaisir au moment ou il à joui dans le cul de Toc. Peu après il se retirait. Toc s'essuyait le cul, l'autre s'essuyait la bite qui maintenant pendait lourdement …
– Bien … Très bien ! Disait Toc, et on pouvait deviner qu'il s'était forcé pour rajouter les deux derniers mots.
Toc repartait et continuait sa tournée. Il avait une grosse forme de matraque le long de sa cuisse. Mr Durant n'aurait pas apprécié ! C'est vrai que ça ne fait pas sérieux.
Un peu plus tard, il arrivait dans un champ. Il y avait un groupe d'homme qui s'affairaient, un glandait sous un arbre. Toc s'approchait, lui faisait signe de le suivre en disant juste : '' Parler … ''.
Le gars c'était Martin, une des plus grosse bite de la ferme. Bien sûr lui ne portait pas non plus de dispositif de chasteté. Comme avec le premier Toc laissait tomber son pantalon et, entièrement nu, il se plaçait devant son camarade, se penchait en avant et lui disait seulement … '' Cule moi ! ''.
Martin pensait se faire engueuler par ce petit chef, il le prenait pour un con alors que Toc est seulement … Heu … bizarre ! Un court instant il avait du mal à y croire, mais il se ressaisissait vite, lui aussi laissait tomber son pantalon, il bandait déjà, Toc aussi à ce moment. Martin lui enfonçait alors sa grosse queue dans le cul. Il y allait directe, il l'enfonçait d'un coup, bien à fond.
Toc a crié, comme je vous disait Martin était une des plus grosses bites de la ferme, remarquez Toc aussi mais jusque là ça ne se voyait pas vraiment. Sans attendre Martin s'est mis à limer de toutes ses forces le cul de Toc qui gémissait et faisait une grimace terrible. Il dégustait le petit Toc, il se régalait. Il aimait vraiment bien se faire défoncer le cul.
Ça n'a pas duré des heures. Les coups étaient violents et un clac raisonnait à chaque fois que le ventre de Martin frappait les fesses de Toc, Toc lui, poussait un gémissement à chaque fois et respirait fort.
Martin tenait fermement Toc par les hanches et le tirait vers lui quand il avançait son bassin. Toc ne résistait pas, au contraire il bougeait lui aussi, il se reculait volontairement quand Martin avançait.
Les deux hommes se donnaient l'un à l'autre et gémissaient de plus en plus fort. C'est un cri qui mettait fin à la petite sauterie, Martin poussait un cri au moment ou il a joui, il a craché quatre ou cinq giclées de sperme dans le cul de Toc. Il s'est arrête, il ne bougeait plus puis se retirait.
Ils se sont rhabillé, se sont rendu présentable et juste avant de repartir Toc regardait le travail et déclarait …
– Retard, doit être fini ce soir !
Les hommes sont resté tétanisé, aucun d'entre eux n'avait jamais entendu Toc prononcer autant de mot en une fois. Ils ont préféré ne pas répondre, en effet Toc avait raison, ils avaient traîné et ils le savaient.
Il n'était pas encore midi.
Toc se rendait au réfectoire, d'habitude il y arrivait quatre minutes avant l'ouverture mais là il devait vérifier si tout se passait bien. Il inspectait les cuisines, tout était parfait, il n'y avait rien à redire, il n'a rien dit. Il regardait un moment ce jeune homme qui travaillait là, il était beau mais il avait une petite bite et portait une cage …
Tout le monde arrivait un peu plus tard pour manger, Toc était déjà à table, il avait du travail prévu. En fait il avait fait le tour de la ferme, ou presque, mais il ne s'était arrêté que là ou il y avait à redire, et il avait profité de ses arrêts forcés.
Il sortait de table en premier, et terminait son contrôle. Vers quinze heures il passait à la comptabilité. Alexandre, le comptable l'attendait mais ne se faisait pas d'illusion. Pour lui Toc était idiot !
Il faisait alors un résumé de la situation à Toc sans penser une seconde que ce brave garçon allait comprendre. Toc écoutait attentivement sans rien dire. Puis le comptable s'arrêtait en s'exclamant …
– Je crois que c'est pas la peine d'aller plus loi …
– Continue ! Répondait Toc.
– Pour quoi faire ? Tu ne comprend rien à ce que je dis !
Sans se laisser impressionner Toc reprenait tout ce que venait de lui dire le comptable avec des commentaires très pertinents … Alexandre le regardait la bouche ouverte, là c'est lui qui avait l'air con. Puis Toc terminait.
– Tu as une bite de vingt deux centimètres de long sur six de large, je voudrais que tu m'encule.
Toc baissait son pantalon, se retournait et prenait position … Le comptable regardait, incrédule.
– S'il te plaît. Rajoutais Toc.
Alexandre s'est exécuté, il en avait une grosse en effet mais elle est entrée sans difficultés, Toc avait du toujours du gel sur lui. La encore le comptable voulait en découdre, il défonçait le cul Toc sans ménagement, il portait les coups de toutes ses forces. Son ventre s'écrasait bruyamment sur les fesses de Toc qui gémissait et en redemandait. Il remuait du cul, c'était évident il aimait, il en tirait un grand plaisir. Il bandait ferme, il avait retiré son dispositif de chasteté la veille et c'est seulement maintenant qu'il retrouvait sa capacité d'érection. Il se branlait pendant que le comptable glissait dans son cul.
Il a joui, je veux dire le comptable à joui, les derniers coups qu'il portait devenaient particulièrement violents et les gémissements de Toc devenaient forts.
Toc se rhabillait …
– Donc si je ne me trompe , nous pouvons espérer une augmentation du chiffre d'affaire d'environ 15 % ? Faisait remarquer Toc.
– Heu ???
– 16,48 % pour être exacte !
– Comment tu fais ? S'exclamait le comptable.
Le soir Toc se prélassait dans le bain à remous. Tout le monde parlait de lui, tout le monde le connaissait mais là il avait surpris toute l'équipe. Le petit jeune qui travaillait aux cuisines arrivait. Il s'installait à côté de Toc. Toc bandait ferme il se masturbait mais il ne tentait pas de jouir, il n'essayait pas de conclure. Il regardait le petit jeune. Et lui lançait.
– Retourne toi, je vais t'enculer .
En fait le petit jeune n'attendait que ça, depuis un moment il regardait l'autre nouille, depuis un moment et se posait beaucoup de questions à son sujet. Toc portait toujours un pantalon moule boules, et on distinguait parfaitement une cage à bite. La moitié des hommes en portait une ici mais Toc était le seul à le montrer au travers d'un pantalon très moulant. Depuis plusieurs semaines ça l'excitait de voir Toc qui se baladait toujours torse nue.
Il n'a pas fait de manière, il s'est retourné et quelques minutes plus tard, il gueulait mais s'était surtout de plaisir …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Toc contremaître
ou
Mr Durand assujetti social
Oui je sais pour le titre j'ai plagié, mais je vous jure que j'ai honte !
Tout n'allait pas si bien qu'on pouvait le croire, Mr Durant était tombé malade et se retrouvait pour quelque temps à l’hôpital. C'était sérieux mais sa vie n'était pas en danger. Le problème était de savoir qui allait le remplacer.
Deux de ses employés étaient venus avec Toc pour savoir, et surtout pour postuler. Toc ne disait jamais rien comme vous le savez tous, mais il pourrait témoigner et confirmer … par un ' Oui ' … s'étaient dit les deux employés. Un mot, une syllabe, ça devait être jouable. On l'avait déjà vu faire des discours qui allaient jusqu'à cinq mots et donc un nombre incalculable de syllabes. Enfin c'était Toc quoi, il ne parlait jamais pour ne rien dire et comme il n'avait rien à dire …
Par contre maintenant il assurait bien au niveau travail.
Mr Durand était sur son lit et avait surtout envie qu'on lui foute la paix, il n'était pas en forme le pauvre, énervé il finissait par déclarer .
– C'est Toc qui me remplacera, j'ai confiance en lui !
Les deux hommes semblaient sonné par cette phrase, Toc ne bronchait pas une oreille.
– Approche toi Toc, rajoutait Mr Durand et il donnait à Toc la clé qu'il portait autour du cou. C'est la clé de ton dispositif de chasteté, si tu commandes tu ne dois pas porter un tel dispositif. Tu retires ton dispositif et tu prends ma place pendant mon absence.
Toc prenait la clé, baissait son pantalon et retirait son dispositif. Tout le monde le regardait faire.
– Tu aurais peut être pu attendre d'être rentré à la maison ! Rajoutais Mr Durand.
Toc regardait les visages autour de lui et rajoutait seulement …
– Bein oui !
Pendant que Mr Durand commençait déjà à regretter son choix tout le monde repartait, il ne fallait pas louper l'aérotrain. C'était le moyen de transport le plus rapide mais il lui faudrait tout de même trois heures.
Toc restait imperturbable, son pantalon moulait maintenant une grosse forme arrondie, les marque de la cage de chasteté avaient disparues. Un peu plus tard dans le train, c'est une forme de matraque qui se dessinait contre sa cuisse. Il la caressait distraitement.
Les deux hommes le regardaient faire.
– C'est un branleur ! Disait l'un.
– Durand à confié sa ferme à un branleur. Rajoutait l'autre.
– C'est vrai qu'ils couchent ensemble, mais franchement c'est pas une raison.
– Au moins on sera tranquille, on fera notre boulot et lui il se branlera.
– Et puis il suffira d'avertir Durand, quand il verra ça en vidéo, il remettra de l'ordre.
Ne vous méprenez pas sur le sens profond de ces commentaires. La moitié du personnel portait un dispositif de chasteté, l'autre moitié non. Les hommes étaient logés à deux par chambre, un qui portait, un qui ne portait pas. Et celui qui ne portait pas se faisait défoncer le cul régulièrement. C'était moralement permis dans ce monde étrange. Tant qu'un des deux hommes portait une cage, ce n'était ni cochon ni répréhensible.
Le reste du voyage se passait sans problème.
Mais Toc avait pris de bonne initiatives, ça faisait dix ans qu'il était arrivé là, avec un balluchon sur l'épaule, il avait déjà son pantalon moule boule, son T-shirt, son téléphone dans la poche et son allure de ' grosse nouille '. Il n'avait pas vraiment changé en dix ans, à l'époque il ne devait pas avoir vingt ans, il en aurait bientôt trente.
Dès leur retour à la ferme, Toc se rendait au bureau de son patron et amant et prenait connaissance du plan de travail. Ça ne lui prenait pas bien longtemps, il était souvent avec Mr Durand et savait ce qu'il y avait à faire.
Le lendemain matin il réunissait tout le monde, et il y en avait, la ferme avait grandi depuis son arrivée. Puis devant les employés médusés il donnait les consignes.
– Toi, toi, toi et toi secteur vingt moissonner . Toi, toi, ranger foin … etc …
Il n'oubliait personne et chacun était avait une fonction attribuée. C'est comme ça que procédait Mr Durand mais avec lui ça prenait plus de temps, avec Toc il n'y avait pas un mot de trop.
Un peu plus tard il passait dans la serre, il repérait un des gars qui ne portait pas de dispositif de chasteté et l'appelait, il lui faisait signe de le suivre. Sans rien dire, il n'est décidément pas bavard, il l'entraînait dans un coin tranquille, il était torse nue, il baissait son pantalon et se penchait en avant devant le gars qu'il avait appelé.
– Cule moi !
– C'est ça que tu veux mon petit gars, tu vas voir je vais te combler.
Sans attendre l'employé se mettait lui aussi à poil, prenait position et avec une certaine violence, lui enfonçait sa queue dans le cul. Toc à gémi, il semblait dire : ' Oui vas y ! ' . Mais ça devait être une illusion, Toc ne dit jamais rien même quand il se fait enculer.
Il gémissait de plaisir, il ne se laissait pas seulement faire, il participait, il s'empalait sur la queue de son partenaire, queue qui était pourtant énorme. Toc aussi en avait une énorme, et malgré les années pendant lesquelles il ne s'en était pas servi elle n'avait pas diminuée.
Au début c'était une grosse molle qui se balançait entre ses cuisses, puis elle se redressait. L'employé se lâchait et défonçait sans ménagement le cul de Toc qui reculait enfonçant bien à fond la queue de son partenaire qui restait un peu surpris.
On racontait des choses, sur Toc, finalement c'était vrai. Enfin personne n'en avait jamais douté. Il était chaud le petit Toc, il était chaud. On disait qu'il s'était fait défoncé par tous les hommes qui en avait une grosse, rien ne lui faisait peur.
Les coups de bassin tombaient avec régularité, de plus en plus vite. L'employé poussait un cri de plaisir au moment ou il à joui dans le cul de Toc. Peu après il se retirait. Toc s'essuyait le cul, l'autre s'essuyait la bite qui maintenant pendait lourdement …
– Bien … Très bien ! Disait Toc, et on pouvait deviner qu'il s'était forcé pour rajouter les deux derniers mots.
Toc repartait et continuait sa tournée. Il avait une grosse forme de matraque le long de sa cuisse. Mr Durant n'aurait pas apprécié ! C'est vrai que ça ne fait pas sérieux.
Un peu plus tard, il arrivait dans un champ. Il y avait un groupe d'homme qui s'affairaient, un glandait sous un arbre. Toc s'approchait, lui faisait signe de le suivre en disant juste : '' Parler … ''.
Le gars c'était Martin, une des plus grosse bite de la ferme. Bien sûr lui ne portait pas non plus de dispositif de chasteté. Comme avec le premier Toc laissait tomber son pantalon et, entièrement nu, il se plaçait devant son camarade, se penchait en avant et lui disait seulement … '' Cule moi ! ''.
Martin pensait se faire engueuler par ce petit chef, il le prenait pour un con alors que Toc est seulement … Heu … bizarre ! Un court instant il avait du mal à y croire, mais il se ressaisissait vite, lui aussi laissait tomber son pantalon, il bandait déjà, Toc aussi à ce moment. Martin lui enfonçait alors sa grosse queue dans le cul. Il y allait directe, il l'enfonçait d'un coup, bien à fond.
Toc a crié, comme je vous disait Martin était une des plus grosses bites de la ferme, remarquez Toc aussi mais jusque là ça ne se voyait pas vraiment. Sans attendre Martin s'est mis à limer de toutes ses forces le cul de Toc qui gémissait et faisait une grimace terrible. Il dégustait le petit Toc, il se régalait. Il aimait vraiment bien se faire défoncer le cul.
Ça n'a pas duré des heures. Les coups étaient violents et un clac raisonnait à chaque fois que le ventre de Martin frappait les fesses de Toc, Toc lui, poussait un gémissement à chaque fois et respirait fort.
Martin tenait fermement Toc par les hanches et le tirait vers lui quand il avançait son bassin. Toc ne résistait pas, au contraire il bougeait lui aussi, il se reculait volontairement quand Martin avançait.
Les deux hommes se donnaient l'un à l'autre et gémissaient de plus en plus fort. C'est un cri qui mettait fin à la petite sauterie, Martin poussait un cri au moment ou il a joui, il a craché quatre ou cinq giclées de sperme dans le cul de Toc. Il s'est arrête, il ne bougeait plus puis se retirait.
Ils se sont rhabillé, se sont rendu présentable et juste avant de repartir Toc regardait le travail et déclarait …
– Retard, doit être fini ce soir !
Les hommes sont resté tétanisé, aucun d'entre eux n'avait jamais entendu Toc prononcer autant de mot en une fois. Ils ont préféré ne pas répondre, en effet Toc avait raison, ils avaient traîné et ils le savaient.
Il n'était pas encore midi.
Toc se rendait au réfectoire, d'habitude il y arrivait quatre minutes avant l'ouverture mais là il devait vérifier si tout se passait bien. Il inspectait les cuisines, tout était parfait, il n'y avait rien à redire, il n'a rien dit. Il regardait un moment ce jeune homme qui travaillait là, il était beau mais il avait une petite bite et portait une cage …
Tout le monde arrivait un peu plus tard pour manger, Toc était déjà à table, il avait du travail prévu. En fait il avait fait le tour de la ferme, ou presque, mais il ne s'était arrêté que là ou il y avait à redire, et il avait profité de ses arrêts forcés.
Il sortait de table en premier, et terminait son contrôle. Vers quinze heures il passait à la comptabilité. Alexandre, le comptable l'attendait mais ne se faisait pas d'illusion. Pour lui Toc était idiot !
Il faisait alors un résumé de la situation à Toc sans penser une seconde que ce brave garçon allait comprendre. Toc écoutait attentivement sans rien dire. Puis le comptable s'arrêtait en s'exclamant …
– Je crois que c'est pas la peine d'aller plus loi …
– Continue ! Répondait Toc.
– Pour quoi faire ? Tu ne comprend rien à ce que je dis !
Sans se laisser impressionner Toc reprenait tout ce que venait de lui dire le comptable avec des commentaires très pertinents … Alexandre le regardait la bouche ouverte, là c'est lui qui avait l'air con. Puis Toc terminait.
– Tu as une bite de vingt deux centimètres de long sur six de large, je voudrais que tu m'encule.
Toc baissait son pantalon, se retournait et prenait position … Le comptable regardait, incrédule.
– S'il te plaît. Rajoutais Toc.
Alexandre s'est exécuté, il en avait une grosse en effet mais elle est entrée sans difficultés, Toc avait du toujours du gel sur lui. La encore le comptable voulait en découdre, il défonçait le cul Toc sans ménagement, il portait les coups de toutes ses forces. Son ventre s'écrasait bruyamment sur les fesses de Toc qui gémissait et en redemandait. Il remuait du cul, c'était évident il aimait, il en tirait un grand plaisir. Il bandait ferme, il avait retiré son dispositif de chasteté la veille et c'est seulement maintenant qu'il retrouvait sa capacité d'érection. Il se branlait pendant que le comptable glissait dans son cul.
Il a joui, je veux dire le comptable à joui, les derniers coups qu'il portait devenaient particulièrement violents et les gémissements de Toc devenaient forts.
Toc se rhabillait …
– Donc si je ne me trompe , nous pouvons espérer une augmentation du chiffre d'affaire d'environ 15 % ? Faisait remarquer Toc.
– Heu ???
– 16,48 % pour être exacte !
– Comment tu fais ? S'exclamait le comptable.
Le soir Toc se prélassait dans le bain à remous. Tout le monde parlait de lui, tout le monde le connaissait mais là il avait surpris toute l'équipe. Le petit jeune qui travaillait aux cuisines arrivait. Il s'installait à côté de Toc. Toc bandait ferme il se masturbait mais il ne tentait pas de jouir, il n'essayait pas de conclure. Il regardait le petit jeune. Et lui lançait.
– Retourne toi, je vais t'enculer .
En fait le petit jeune n'attendait que ça, depuis un moment il regardait l'autre nouille, depuis un moment et se posait beaucoup de questions à son sujet. Toc portait toujours un pantalon moule boules, et on distinguait parfaitement une cage à bite. La moitié des hommes en portait une ici mais Toc était le seul à le montrer au travers d'un pantalon très moulant. Depuis plusieurs semaines ça l'excitait de voir Toc qui se baladait toujours torse nue.
Il n'a pas fait de manière, il s'est retourné et quelques minutes plus tard, il gueulait mais s'était surtout de plaisir …
A suivre
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