Toilette intime par une plantureuse infirmière
Récit érotique écrit par Bgp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Toilette intime par une plantureuse infirmière
Synopsis: Tout juste opéré de l’appendicite peu après mes 18 ans, une belle, grande et jeune infirmière, plutôt costaud, me demande si je veux qu’elle m’aide à me laver. Comment aurais pu refuser ?
J’en ai marre d’être dans ce lit juste vêtu de cette espèce de pyjama qui ne cache même pas mes fesses. J’ai besoin de bouger ! On m’a dit que ce serait possible ce soir et que je pourrai enfin me doucher avec de l’aide. L’idée de me faire laver par cette vieille infirmière avec des poils au menton ne m’enchante guère, mais je viens juste d’être opéré de l’appendicite et c’est vrai que ma cicatrice me tiraille encore. Il vaut mieux être prudent et que quelqu’un m’aide.
Alors que je parcours pour la centième fois le peu de chaînes disponibles à la recherche d’un programme intéressant, on toque à la porte de ma chambre. J’invite la personne à entrer et apparaît devant moi la plus belle créature qu’il m’a été donné de voir ! C’est une infirmière stagiaire que je ne connais pas. C’est une immense blonde qui doit bien faire 1m85. Elle est si grande et si solidement bâtie qu’elle a apparemment eu du mal à trouver une blouse à sa taille. Celle qu’elle a sur elle lui arrive une quinzaine de centimètre à peine en dessous du pubis. Elle est solide tout en étant pulpeuse, et ses hanches et sa poitrine généreuse sont à l’étroit dans ce vêtement. Ses énormes seins l’empêchent de fermer les boutons jusqu’en haut et forment un décolleté profond dont je n’arrive pas à décrocher le regard. Ses bras sont épais et ses biceps tendent le tissus de ses courtes manches. Ses longues jambes musclées sont parées de collants blancs. Elle a de beaux cheveux blonds bouclés qu’elle a du mal à discipliner. Ses yeux sont d’un noir profond et contrastent avec sa peau blanche parsemée de taches de rousseur. Sa bouche est plutôt grande et ses lèvres pulpeuses pourraient paraître vulgaires si elle ne les avaient pas maquillées d’un rouge à lèvres rose très discret. Il se dégage de cette immense silhouette à la fois force et sensualité, grâce et finesse, naïveté et expérience. Mon sang de jeune homme à peine sorti de l’adolescence ne fait qu’un tour face à cette beauté de 20 ans à peine. Je tressaute presque dans mon lit quand elle s’adresse à moi.
— Bonjour, je suis Karine, infirmière stagiaire. On m’a confié la tâche de t’aider à te laver si tu t’en sens capable ?
Je fixe la belle désespérément, tellement je suis incapable d’articuler le moindre mot, tétanisé par l’idée si excitante de me retrouver nu dans les bras de cette jeune amazone. Je finis toutefois par réussir à m’exprimer.
— Bonjour. Oui, je m’en sens capable et je pense même que ça me ferait beaucoup de bien !
— OK. C’est parti alors.
La belle s’approche du côté du lit et relève le drap, laissant apparaître mon petit corps presque nu.
— Je vais t’aider à pivoter sur le côté pour laisser tes jambes pendre sur le bord. N’hésite pas à t’appuyer sur moi, je suis solide.
La belle passe une main derrière mon dos, puis l’autre bras sous mes genoux, soulèvent légèrement mes jambes et me fait tourner comme si je ne pesais rien. Pendant la manœuvre, elle appuie sa poitrine comprimée par la blouse contre mon bras et la fermeté de cette énorme masse me fascine. Il faut dire que c’est la première fois de ma vie que j’ai la chance d’être percuté par un telle paire de seins ! Je me retrouve assis sur le bord du lit et l’amazone me fait face, mon visage se trouvant juste à hauteur de son profond et généreux décolleté. Elle se penche alors sur moi, laissant ses seins butés contre mon visage et entreprend de dénouer la sangle de mon pyjama, qu’elle m’arrache d’un mouvement rapide et fluide. On y est ! Je me retrouve nu face à la géante et forcément mon sexe quasiment imberbe se dresse vers le ciel. Karine rougit, mais son professionnalisme l’empêche de le relever. Elle doit sûrement connaître l’effet qu’elle a sur les hommes, surtout sur les jeunes encore boostés aux hormones comme moi !
— On va voir si tu peux tenir sur tes pieds. Je vais mettre mes mains sous tes bras et t’aider à rester debout.
La belle qui se tient face à moi, met ses mains sous mes aisselles et sans autre forme de procès, me soulève du lit pour maintenir tout mon poids en l’air par la seule force de ses bras.
— Oups ! Je crois que j’y suis allée un peu fort ! Je te croyais plus lourd. Combien pèses tu ?
Elle me tient encore en l’air et c’est à peine si je la sens forcer, même si ses imposants biceps se sont gonflés et menacent de déchirer ses manches !
— Je fais 50 kg pour 1m68. Ce n’est pas si léger ?
— Quand on fait 110kg pour 1m88, ce n’est quand même pas très lourd, et j’ai l’habitude d’aider mon père à charger des moutons qui doivent bien faire 60, 70 kg.
En effet, c’est une très belle plante qui est de plus une force de la nature ! Et je n’aurais jamais pensé que ça puisse autant me plaire d’être manipulé ainsi. La belle commence à me poser sur le sol, mais je n’en ai aucune envie. Je me sens si bien et si excité, maintenu en l’air par la seule force de ses bras puissants.
— Aï ! ça me fait mal !
A ces mots, la belle stoppe son mouvement et me suspend à nouveau en l’air.
— Ce n’est pas grave, je vais te porter.
Tout en me portant à bout de bras, elle se déplace gracieusement à la salle de bain où j’ai la chance de voir dans le miroir, mon petit corps maigre à l’érection perpétuelle, porté par cette géante pulpeuse. Elle me laisse descendre jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol et m’assoit délicatement sur la chaise prévue à cet effet, ouvre le robinet et laisse venir une eau suffisamment tiède sur sa main, avant de la laisser couler sur moi.
J’en ai marre d’être dans ce lit juste vêtu de cette espèce de pyjama qui ne cache même pas mes fesses. J’ai besoin de bouger ! On m’a dit que ce serait possible ce soir et que je pourrai enfin me doucher avec de l’aide. L’idée de me faire laver par cette vieille infirmière avec des poils au menton ne m’enchante guère, mais je viens juste d’être opéré de l’appendicite et c’est vrai que ma cicatrice me tiraille encore. Il vaut mieux être prudent et que quelqu’un m’aide.
Alors que je parcours pour la centième fois le peu de chaînes disponibles à la recherche d’un programme intéressant, on toque à la porte de ma chambre. J’invite la personne à entrer et apparaît devant moi la plus belle créature qu’il m’a été donné de voir ! C’est une infirmière stagiaire que je ne connais pas. C’est une immense blonde qui doit bien faire 1m85. Elle est si grande et si solidement bâtie qu’elle a apparemment eu du mal à trouver une blouse à sa taille. Celle qu’elle a sur elle lui arrive une quinzaine de centimètre à peine en dessous du pubis. Elle est solide tout en étant pulpeuse, et ses hanches et sa poitrine généreuse sont à l’étroit dans ce vêtement. Ses énormes seins l’empêchent de fermer les boutons jusqu’en haut et forment un décolleté profond dont je n’arrive pas à décrocher le regard. Ses bras sont épais et ses biceps tendent le tissus de ses courtes manches. Ses longues jambes musclées sont parées de collants blancs. Elle a de beaux cheveux blonds bouclés qu’elle a du mal à discipliner. Ses yeux sont d’un noir profond et contrastent avec sa peau blanche parsemée de taches de rousseur. Sa bouche est plutôt grande et ses lèvres pulpeuses pourraient paraître vulgaires si elle ne les avaient pas maquillées d’un rouge à lèvres rose très discret. Il se dégage de cette immense silhouette à la fois force et sensualité, grâce et finesse, naïveté et expérience. Mon sang de jeune homme à peine sorti de l’adolescence ne fait qu’un tour face à cette beauté de 20 ans à peine. Je tressaute presque dans mon lit quand elle s’adresse à moi.
— Bonjour, je suis Karine, infirmière stagiaire. On m’a confié la tâche de t’aider à te laver si tu t’en sens capable ?
Je fixe la belle désespérément, tellement je suis incapable d’articuler le moindre mot, tétanisé par l’idée si excitante de me retrouver nu dans les bras de cette jeune amazone. Je finis toutefois par réussir à m’exprimer.
— Bonjour. Oui, je m’en sens capable et je pense même que ça me ferait beaucoup de bien !
— OK. C’est parti alors.
La belle s’approche du côté du lit et relève le drap, laissant apparaître mon petit corps presque nu.
— Je vais t’aider à pivoter sur le côté pour laisser tes jambes pendre sur le bord. N’hésite pas à t’appuyer sur moi, je suis solide.
La belle passe une main derrière mon dos, puis l’autre bras sous mes genoux, soulèvent légèrement mes jambes et me fait tourner comme si je ne pesais rien. Pendant la manœuvre, elle appuie sa poitrine comprimée par la blouse contre mon bras et la fermeté de cette énorme masse me fascine. Il faut dire que c’est la première fois de ma vie que j’ai la chance d’être percuté par un telle paire de seins ! Je me retrouve assis sur le bord du lit et l’amazone me fait face, mon visage se trouvant juste à hauteur de son profond et généreux décolleté. Elle se penche alors sur moi, laissant ses seins butés contre mon visage et entreprend de dénouer la sangle de mon pyjama, qu’elle m’arrache d’un mouvement rapide et fluide. On y est ! Je me retrouve nu face à la géante et forcément mon sexe quasiment imberbe se dresse vers le ciel. Karine rougit, mais son professionnalisme l’empêche de le relever. Elle doit sûrement connaître l’effet qu’elle a sur les hommes, surtout sur les jeunes encore boostés aux hormones comme moi !
— On va voir si tu peux tenir sur tes pieds. Je vais mettre mes mains sous tes bras et t’aider à rester debout.
La belle qui se tient face à moi, met ses mains sous mes aisselles et sans autre forme de procès, me soulève du lit pour maintenir tout mon poids en l’air par la seule force de ses bras.
— Oups ! Je crois que j’y suis allée un peu fort ! Je te croyais plus lourd. Combien pèses tu ?
Elle me tient encore en l’air et c’est à peine si je la sens forcer, même si ses imposants biceps se sont gonflés et menacent de déchirer ses manches !
— Je fais 50 kg pour 1m68. Ce n’est pas si léger ?
— Quand on fait 110kg pour 1m88, ce n’est quand même pas très lourd, et j’ai l’habitude d’aider mon père à charger des moutons qui doivent bien faire 60, 70 kg.
En effet, c’est une très belle plante qui est de plus une force de la nature ! Et je n’aurais jamais pensé que ça puisse autant me plaire d’être manipulé ainsi. La belle commence à me poser sur le sol, mais je n’en ai aucune envie. Je me sens si bien et si excité, maintenu en l’air par la seule force de ses bras puissants.
— Aï ! ça me fait mal !
A ces mots, la belle stoppe son mouvement et me suspend à nouveau en l’air.
— Ce n’est pas grave, je vais te porter.
Tout en me portant à bout de bras, elle se déplace gracieusement à la salle de bain où j’ai la chance de voir dans le miroir, mon petit corps maigre à l’érection perpétuelle, porté par cette géante pulpeuse. Elle me laisse descendre jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol et m’assoit délicatement sur la chaise prévue à cet effet, ouvre le robinet et laisse venir une eau suffisamment tiède sur sa main, avant de la laisser couler sur moi.
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