Ton réveil, mon réveil
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ton réveil, mon réveil
Ton réveil...
A travers les lamelles du volet, je vois poindre le soleil. Il ne fait plus vraiment nuit, pas encore jour... Un instant bref.... fin de cette nuit avec toi... Nuit courte au demeurant.
Tu dors encore, couchée sur le ventre. Le drap blanc t’enveloppe négligemment. Il passe autour de ta taille, recouvre une partie de ton dos... Il laisse pointer ces deux magnifiques jambes, le bas de ton dos, tes épaules.
Je me redresse pour m'asseoir et te regarder dormir. Tu es si calme, si reposée... Il faut dire que nous ne nous sommes pas ménagés. Partagés entre tendresse et fougue, heureux d’être enfin ensemble, d’avoir notre nuit. Je n’ose pas bouger de crainte de te réveiller. Je repense à hier soir, à cette nuit... Ta peau que je découvre sous tes vêtements, tes mains qui me caressent. Tes yeux qui me dévorent, tes baisers tendres, audacieux... Tes attaques répétées, ton abandon à mes assauts... l’explosion de nos plaisirs... nos regards qui se croisent, tendres... nos câlins, nos baisers, nos caresses, cet éclat coquin dans tes yeux, nos sourires complices, nos gestes... plus précis, plus intimes, plus forts....
Je souris en y repensant. Cette peau, ces épaules, tout ce corps que j’ai embrassé, étreint, câliner hier soir, cette nuit, c’est bien toujours celui-là, celui se repose sous mes yeux... J’aimerais sentir ta peau, la toucher délicatement pour me dire que je n’ai pas rêver, pour me replonger dans ces moments....
La pénombre s’éclaircit, un minuscule rayon de soleil a réussi à percer l’intimité de notre chambre et à se poser sur tes épaules.
Je me penche vers toi pour à mon tour, y poser... un baiser... Tu ne réagis pas. Je passe doucement mes doigts sur ta peau, le long de ce bras qui émerge du draps. Il n’y a pas de doute : je reconnais bien là la douceur de cette peau qui m’a enivré toute cette nuit. A-t-elle toujours le même goût ? Hummm, il faut que je m’en assure....
D’abord un léger baiser... un autre... J’ose entrouvrir mes lèvres pour mieux savourer. Je me hasarde du bout de la langue. Huuuum. Mes doigts se perdent dans ta main.
Tu bouges un peu la tête : je me prostre, suspendu au moindre frémissement. Mais tu ne te réveilles pas. Ton sommeil est profond et réparateur.
Si j’étais raisonnable, je me contenterai du spectacle que tu m’offres. Mais, comment être raisonnable ?
Je reprends mon exploration. Je laisse glisser mes lèvres le long de tes molets, je remonte jusqu’au creux de tes genoux... Mauvais choix... La belle jambe que j’ai choisi est barré par ce foutu drap ! Qu’à cela ne tienne, il n’y aura pas de jalouse si je recommence par l’autre.... Cette fois-ci, je pourrai remonter jusqu’au creux de tes reins : il n’y aura aucun obstacle artificiel. Seules tes courbes viendront me ralentir en m’obligeant à m’y atarder.... Je ne suis pas contre une petite pause, si c’est pour ton plaisir....
Prudemment, je retire le drap qui couvre encore une partie de ton corps : il m’est désormais entièrement offert à mes yeux, à mon désir.
Je me lève doucement pour ne pas te réveiller. Je pose un genou au pied du lit pour m’approcher. J’avance l’autre en espérant ne pas trop faire bouger. Je suis à présent juste au dessus de toi. Je descends doucement, m’attendant à ce que tu sursautes au moindre contact. Nos peaux, nos membres commencent à s’effleurer. Il me tarde de te faire participer à mon petit jeu matinal. Je m’approche de ta nuque.
- Ah, tu en as mis du temps finalement... murmures-tuTel est pris qui croyait prendre.... Quoi que.... J’épouse tout ton corps, chaque courbe venant compléter la mienne..... Ton corps est tiède, adorablement.... Le mien est brulant, et pas seulement de l’extérieur... Tu t’en rends bien compte. Ton corps, jusque là passif, se fait le complice du mien, de mes envies.... Tu m’accompagnes, me guide, m’aide.
Tu m’accueilles enfin. Je devine à ta chaleur intérieure que mon désir est partagé....
et qu’il se transforme alors en notre … plaisir.
---Mon réveil...
Des images se bousculent dans ma tête, des sons, des parfums. Quelle heure est-il ? Je n’ose pas ouvrir les yeux : je suis trop bien.
Un bruissement de tissu, léger... Es-tu réveillé ou bouges-tu simplement ? J’entrouve les yeux et à travers les cils, je t’aperçois à demi assise à mes côtés. Tu me regardes, sans bouger, un sourire tendre aux lèvres. Que dois-je faire ? Rien : je préfère t’épier en train de me regarder... J’adore te plaire et savoir que tu me regardes avec ses yeux me fait tellement plaisir.
Tu bascules vers la gauche. Un dernier regard pour voir si je suis réveillé... et sur la pointe des pieds tu t’éclipses dans la salle de bain. Tout aussi discrètement, j’en profite pour te regarder. Mais que fait-elle ? Difficile de le savoir car tu poses chaque geste pour ne pas m’éveiller.
Tu reviens, les yeux fixés sur moi. Tu t’approches du pied du lit et, féline, tu me rejoins en avançant avec prudence. J’ai fermé les yeux... Non pas de peur que tu découvres que je sois réveillé. Juste pour savourer ta présence, ne pas briser le charme de ces instants... Je tends l’oreille, j’imagine, je devine, je fantasme... Mon coeur s’accélère. Je suis suspendu au moindre bruit.
Ta main effleure ma jambe. Du bout des doigts, tu remontes le long de ma cuisse. Elle passe sous le bout de drap qui couvre mes fesses. Mais ta main sait se frayer un chemin. Elle dessine leur contour.
Je ne peux pas te voir. Je guette chaque geste pour imaginer ce que tu veux faire...
Il est trop tard pour se réveiller... J’ai une terrible envie de savoir tes intentions.
Je feins un demi sommeil. Je bouge un peu les bras, je marmonne, je replis une jambe.
Tu t’arrêtes aussitôt. En ai-je trop fait ? J’attends.... Le drap a bougé, bien heureusement.... Je ne sens plus sa douceur dans mon dos... Mais en quelques secondes, elle est remplacée par une autre que je reconnais : tes lèvres... Puis, le bout de ta langue, chaude, humide, qui s’exerce à dessiner sur mes reins.... Hum.... Tu vas te douter de quelque chose si je ne bouge pas... Surtout avec autant de “précision” de ta part...
Les yeux toujours clos, je me tourne doucement sur le dos... J’essaye de garder un visage reposé, de garder pour moi toute l’excitation que tu as éveillé. Je crains que tu t’en rendes compte et que le charme soit rompu. Je te sens m’observer, vouloir anticiper la situation que tu as provoqué. Je suis là, à ta merci. Les secondes passent.... Durent....
Le lit s’enfonce légèrement à droite, puis à gauche. Je sens la chaleur de ton corps.
Ta jambe effleure la mienne. Je sens la douce chaleur de ta poitrine près de la mienne.
Je ne tiens plus. J’ouvre doucement les yeux pour découvrir ton visage souriant, coquin. Tu approches tes lèvres des miennes pour m’accueillir.
Je relève l’invitation. Je ne suis plus obligé de me cacher... Tu m’abandonnes, non sans sous-poudrer mon torse de quelques baisers. Tu te redresses sur tes cuisses. Je peux admirer tout ton corps, ta poitrine, ton visage. Le temps s’arrête un instant. Tu me regardes avec ce sourire et ce regard coquin qui me font craquer... Tu laisses innocemment promener tes doigts sur mon ventre. Mon excitation est à son comble, et tu le vois bien..... Satisfaite visiblement de l’effet, tu en souris. Tu plonges tes yeux dans les miens, complice. Ta main n’est finalement pas si innocente que cela....
Tu te penches vers moi à nouveau. Tu finis de … t’asseoir... et dans le creux de mon oreille tu glisses juste :- Bonjour, toi....
A travers les lamelles du volet, je vois poindre le soleil. Il ne fait plus vraiment nuit, pas encore jour... Un instant bref.... fin de cette nuit avec toi... Nuit courte au demeurant.
Tu dors encore, couchée sur le ventre. Le drap blanc t’enveloppe négligemment. Il passe autour de ta taille, recouvre une partie de ton dos... Il laisse pointer ces deux magnifiques jambes, le bas de ton dos, tes épaules.
Je me redresse pour m'asseoir et te regarder dormir. Tu es si calme, si reposée... Il faut dire que nous ne nous sommes pas ménagés. Partagés entre tendresse et fougue, heureux d’être enfin ensemble, d’avoir notre nuit. Je n’ose pas bouger de crainte de te réveiller. Je repense à hier soir, à cette nuit... Ta peau que je découvre sous tes vêtements, tes mains qui me caressent. Tes yeux qui me dévorent, tes baisers tendres, audacieux... Tes attaques répétées, ton abandon à mes assauts... l’explosion de nos plaisirs... nos regards qui se croisent, tendres... nos câlins, nos baisers, nos caresses, cet éclat coquin dans tes yeux, nos sourires complices, nos gestes... plus précis, plus intimes, plus forts....
Je souris en y repensant. Cette peau, ces épaules, tout ce corps que j’ai embrassé, étreint, câliner hier soir, cette nuit, c’est bien toujours celui-là, celui se repose sous mes yeux... J’aimerais sentir ta peau, la toucher délicatement pour me dire que je n’ai pas rêver, pour me replonger dans ces moments....
La pénombre s’éclaircit, un minuscule rayon de soleil a réussi à percer l’intimité de notre chambre et à se poser sur tes épaules.
Je me penche vers toi pour à mon tour, y poser... un baiser... Tu ne réagis pas. Je passe doucement mes doigts sur ta peau, le long de ce bras qui émerge du draps. Il n’y a pas de doute : je reconnais bien là la douceur de cette peau qui m’a enivré toute cette nuit. A-t-elle toujours le même goût ? Hummm, il faut que je m’en assure....
D’abord un léger baiser... un autre... J’ose entrouvrir mes lèvres pour mieux savourer. Je me hasarde du bout de la langue. Huuuum. Mes doigts se perdent dans ta main.
Tu bouges un peu la tête : je me prostre, suspendu au moindre frémissement. Mais tu ne te réveilles pas. Ton sommeil est profond et réparateur.
Si j’étais raisonnable, je me contenterai du spectacle que tu m’offres. Mais, comment être raisonnable ?
Je reprends mon exploration. Je laisse glisser mes lèvres le long de tes molets, je remonte jusqu’au creux de tes genoux... Mauvais choix... La belle jambe que j’ai choisi est barré par ce foutu drap ! Qu’à cela ne tienne, il n’y aura pas de jalouse si je recommence par l’autre.... Cette fois-ci, je pourrai remonter jusqu’au creux de tes reins : il n’y aura aucun obstacle artificiel. Seules tes courbes viendront me ralentir en m’obligeant à m’y atarder.... Je ne suis pas contre une petite pause, si c’est pour ton plaisir....
Prudemment, je retire le drap qui couvre encore une partie de ton corps : il m’est désormais entièrement offert à mes yeux, à mon désir.
Je me lève doucement pour ne pas te réveiller. Je pose un genou au pied du lit pour m’approcher. J’avance l’autre en espérant ne pas trop faire bouger. Je suis à présent juste au dessus de toi. Je descends doucement, m’attendant à ce que tu sursautes au moindre contact. Nos peaux, nos membres commencent à s’effleurer. Il me tarde de te faire participer à mon petit jeu matinal. Je m’approche de ta nuque.
- Ah, tu en as mis du temps finalement... murmures-tuTel est pris qui croyait prendre.... Quoi que.... J’épouse tout ton corps, chaque courbe venant compléter la mienne..... Ton corps est tiède, adorablement.... Le mien est brulant, et pas seulement de l’extérieur... Tu t’en rends bien compte. Ton corps, jusque là passif, se fait le complice du mien, de mes envies.... Tu m’accompagnes, me guide, m’aide.
Tu m’accueilles enfin. Je devine à ta chaleur intérieure que mon désir est partagé....
et qu’il se transforme alors en notre … plaisir.
---Mon réveil...
Des images se bousculent dans ma tête, des sons, des parfums. Quelle heure est-il ? Je n’ose pas ouvrir les yeux : je suis trop bien.
Un bruissement de tissu, léger... Es-tu réveillé ou bouges-tu simplement ? J’entrouve les yeux et à travers les cils, je t’aperçois à demi assise à mes côtés. Tu me regardes, sans bouger, un sourire tendre aux lèvres. Que dois-je faire ? Rien : je préfère t’épier en train de me regarder... J’adore te plaire et savoir que tu me regardes avec ses yeux me fait tellement plaisir.
Tu bascules vers la gauche. Un dernier regard pour voir si je suis réveillé... et sur la pointe des pieds tu t’éclipses dans la salle de bain. Tout aussi discrètement, j’en profite pour te regarder. Mais que fait-elle ? Difficile de le savoir car tu poses chaque geste pour ne pas m’éveiller.
Tu reviens, les yeux fixés sur moi. Tu t’approches du pied du lit et, féline, tu me rejoins en avançant avec prudence. J’ai fermé les yeux... Non pas de peur que tu découvres que je sois réveillé. Juste pour savourer ta présence, ne pas briser le charme de ces instants... Je tends l’oreille, j’imagine, je devine, je fantasme... Mon coeur s’accélère. Je suis suspendu au moindre bruit.
Ta main effleure ma jambe. Du bout des doigts, tu remontes le long de ma cuisse. Elle passe sous le bout de drap qui couvre mes fesses. Mais ta main sait se frayer un chemin. Elle dessine leur contour.
Je ne peux pas te voir. Je guette chaque geste pour imaginer ce que tu veux faire...
Il est trop tard pour se réveiller... J’ai une terrible envie de savoir tes intentions.
Je feins un demi sommeil. Je bouge un peu les bras, je marmonne, je replis une jambe.
Tu t’arrêtes aussitôt. En ai-je trop fait ? J’attends.... Le drap a bougé, bien heureusement.... Je ne sens plus sa douceur dans mon dos... Mais en quelques secondes, elle est remplacée par une autre que je reconnais : tes lèvres... Puis, le bout de ta langue, chaude, humide, qui s’exerce à dessiner sur mes reins.... Hum.... Tu vas te douter de quelque chose si je ne bouge pas... Surtout avec autant de “précision” de ta part...
Les yeux toujours clos, je me tourne doucement sur le dos... J’essaye de garder un visage reposé, de garder pour moi toute l’excitation que tu as éveillé. Je crains que tu t’en rendes compte et que le charme soit rompu. Je te sens m’observer, vouloir anticiper la situation que tu as provoqué. Je suis là, à ta merci. Les secondes passent.... Durent....
Le lit s’enfonce légèrement à droite, puis à gauche. Je sens la chaleur de ton corps.
Ta jambe effleure la mienne. Je sens la douce chaleur de ta poitrine près de la mienne.
Je ne tiens plus. J’ouvre doucement les yeux pour découvrir ton visage souriant, coquin. Tu approches tes lèvres des miennes pour m’accueillir.
Je relève l’invitation. Je ne suis plus obligé de me cacher... Tu m’abandonnes, non sans sous-poudrer mon torse de quelques baisers. Tu te redresses sur tes cuisses. Je peux admirer tout ton corps, ta poitrine, ton visage. Le temps s’arrête un instant. Tu me regardes avec ce sourire et ce regard coquin qui me font craquer... Tu laisses innocemment promener tes doigts sur mon ventre. Mon excitation est à son comble, et tu le vois bien..... Satisfaite visiblement de l’effet, tu en souris. Tu plonges tes yeux dans les miens, complice. Ta main n’est finalement pas si innocente que cela....
Tu te penches vers moi à nouveau. Tu finis de … t’asseoir... et dans le creux de mon oreille tu glisses juste :- Bonjour, toi....
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