Tonton Raymond m'a invité ! 1. - histoire érotique

Allez ! Je termine avec Tonton Raymond !
Mais, il me faudra au moins deux récits pour ça !

La deuxième année, je l'appelle d'une cabine !

"Tonton ? C'est Pascal ! Ton neveu ! Le fils de ...".
"Orhhh ! Mon p'tit chéri ! Ma p'tite salope ! T'as reçu ma lettre ? Alors ? Tu viens ?".

"Euh... ben, je sais pas ! J'ai envie, mais j'ai peur que ça fasse trop !".
"T'as pas de congés ?".

"Si, je bosse en intérim jusque début Juillet, et la boite ne va me rembaucher qu'en Septembre ! Et j'aurai le chômage qui va prendre la suite des congés ! Mais j'ai une copine ! Donc, je pourrai venir que pendant ses vacances, avec ses parents !".
"Pas de souci ! Combien de temps ?".

"Ben, ça dépend de toi ! Maximum un mois !".
"C'est bon ! Je prends tout ! J'préviens mes potes ! On va bien s'amuser ! Prépares ta p'tite chatte ! Elle me manque ! Bisous ! Ma p'tite salope ! J'ai pas beaucoup de temps ! Je vais bosser là !".
"Bisous ! Tonton !".

Dans la semaine qui précède, je le rappelle, pour lui donner l'horaire de mon train !

"J'y serais ! Mais prépares ta chatte ! Ca fait loin de chez moi ! J'vais pas résister longtemps ! Avec les couilles bien pleines comme je les ai ! Tu vas y passer sur la route ! Ma chérie ! Faudra pas m'en vouloir !".
"Si tu veux, Tonton ! Tu fais ce que tu veux ! Tu le sais !".

"Oui, j'le sais ! C'est comme ça, que j't'aime ! Mon neveu ! Bien obéissant ! A samedi ! Bisous, où tu sais !".
"Pareil pour moi, Tonton ! Mais pas au même endroit !".
"Arrives vite ! Tu me fais bander ! Clic ! ...".

Moi aussi, je bande !
J'ai envie de me soulager au cinéma porno, mais, c'est pas raisonnable !

Allez ! J'y vais ! Il est pas encore 19 h, j'aurais peut être le temps de sucer une bite, ou deux, voir me faire enculer !
C'est ce qui s'est passé ! Trois hommes m'ont donné du plaisir analement !
J'en ai sucé quatre autres !

Ce fut bref, mais, ça m'a un peu calmé ! Juste assez pour jouir deux fois, avec ma chatte anale, et avaler de bonnes doses de foutre !
Avec beaucoup d'hommes, le plaisir est dans la multitude ! Sinon, c'est frustrant ! Peu, sont endurants !

J'ai hâte de retrouver Tonton Raymond, et ses potes ! Mes autres nouveaux Tontons de cœur !
En remplissant ma petite valise, j'y mets peu de vêtements !

Il fait très chaud, cette année là !
On va atteindre plus de 45 degrés, par endroit !

J'y ajoute quelques tubes, d'un gel anal que je viens de connaitre !
Le silicone ! C'est beaucoup plus agréable, que la vaseline, qui est grasse !

D'ailleurs, je pense que certains d'entre nous, ont du avoir des accidents de capotes, à cause de ça !
Ca m'arrivera plusieurs fois, dont une avec du beurre !
Il m'a fallu lire la notice, pour savoir que la graisse fait péter les préservatifs !

Personne ne savait ! A l'époque ! On utilisait rarement ces trucs en latex !
On lisait pas la notice, c'est pas un médicament !

Du coup ! J'ai fais gaffe ! Mais je repense à tous ces hommes, qui m'ont éjaculé dans la chatte !
Avec la capote éclatée, et repoussée à la base de leur grosse bite !

Je revois encore leurs spermes, qui coulent encore de leur glands !
Notre gêne, et notre étonnement commun !
Merde ! C'est pour ça, que c'était aussi bon !
Certains s'en sont rendus compte avant de jouir !
Mais, que pouvaient ils y changer !
C'était trop tard ! Et tellement bon !

"Arghhhhhhhhh ! Putain, c'est bon ! Jouis ! J'te sens bien ! J'ai l'impression que tu me remplis de foutre !".

Le type finissait d'éjaculer en râlant, mais sans rien dire !
Je le verrai bien assez tôt ! Il a bien fait, de me laisser jouir du cul !

Bref ! Vive le silicone !
Et le gel à l'eau ! Qui est très bon aussi, mais tient moins longtemps !
Ou à défaut ! Quelques crachats de salive !

A la gare, Tonton est là !
Toujours égal à lui même ! Sale sur lui ! Dans sa tenue de maçon !
Il arbore un grand sourire, qui fait plaisir à voir !

C'est fini, la peur qu'il m'inspirait dans mon enfance !
Il a eu ce qu'il voulait de moi ! J'ai plus rien à craindre, tant que je lui obéis !

Il me soulève, en me collant contre lui !

"Vin dieu ! Mon chéri ! Tu m'as manqué !".
"Tonton, les gens nous regardent !".

"Laisses faire ! C'est que des vieilles bigotes ! Elles savent pas, ce qui est bon !".

Il me coince le visage entre ses mains.
Là ! Franchement ! J'ai crains qu'il m'embrasse sur la bouche !

Mais finalement, il m'a donné deux baisers très appuyés, sur les joues ! Ouff !

Rapidement, dès les premiers kilomètres, il attaque !

"Ouvres ma braguette ! Sors ma bite ! Ca me fait mal ! Elle est trop serrée !".
"Tonton ! Déjà ?".

"J't'avais prévenu ! Allez suces moi, pendant que je trouve un endroit ! Faut que j'te défonces la chatte ! T'as pas envie ?".
"Euh, si tonton ! Moi aussi, je suis excité !".

"Allez, suces moi ! Voilà ! Comme ça ! Orhhhhh ! Putain ! Cette bouche de salope ! Elle m'a manqué ! Orhhhh ! Commences à te foutre à poil ! J'veux voir ta chatte ! J'vais te mettre un doigt ! En attendant !".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmmm ! Tonton, fais attention ! Tu conduis ! Mmmmmm ! Mmmmm ! Orghhhhh ! doucement ! Ahrhhhhhhhh ! Attends ! J'te donnes du gel !".

Je sors le tube que j'ai dans une poche, et lui dépose une grosse noix sur les doigts.
Ca me rentre comme dans du beurre ! Trois doigts d'un coup !

"Arghhhhhhhhh ! Mmmmmm ! Mmmmmm ! Mmmmmm ! Tonton, c'est bon ! Mmmmmm ! Mmmmm ! Orghhhhh ! doucement ! Ahrhhhhhhhh ! tu m'excites !".
"Vin dieu ! Ya rien dans le coin ? J'en peux plus ! Ahh ! Peut-être la-bas ! Vers ...! J'connais un endroit ! C'est un blockhaus de la guerre ! Orhhhhh ! La vache, tu me suces toujours aussi bien ! Ma chérie ! Continues !".

Ca me change tellement des queues "normales", ou un peu épaisses du cinéma, que je m'en régale comme jamais, de sa grosse bite !

Je ressens du plaisir anal, avec ses doigts, lui lèche le gland, lui pompe la verge avec la gorge.
Puis, je lui lape encore le bout de la queue, et sa protubérance, en lui branlant la bite énergiquement !

Je replonge sur elle, profondément.

"Orhhhhhhhhhhh ! Ca, c'est trop bon ! Encore salope !".

Je recommence plusieurs fois !

"Arhhh ! Stop ! J'veux pas juter maintenant !".
"Vite ! Tonton Raymond ! J'ai trop envie que tu m'encules !".
"Je le vois bien ! Tu mouilles du cul ! Ma p'tite salope !".

Il se gare derrière le blockhaus, et me sort de la fourgonnette pour me coller sur le capot avant !
Je titube avec mon short aux pieds, et le cul à l'air !

Me voilà plaqué sur le capot !
Il s'enfonce d'une traite ! En me déchirant l'anus !

"Vin dieu ! C'est pratique ton gel !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Tonton ! T'es grooooos ! J'ai plus l'habitude ! Arghhhhhhhhhhhh !".

"Ca r'viendra ! T'inquiètes pas ! Vin dieu, j'avais oublié comme elle est bonne, ta p'tite chatte !".

Très rapidement, je sens sa grosse verge qui trouve son chemin, et prend sa place dans ma chatte, en me faisant jouir une première fois !

"Arggggggggggggggggggggggggg ! Tonton ! Ca y est ! Tu m'fais jouir ! Urghhhhhhhhhhhhhhhhhhh".

Quand l'orgasme retombe, je me sens bien !
j'avais tellement fantasmé ce moment !

Alors qu'il s'affaire toujours en moi, je profite de cette lucidité pour lui dire qu'il m'a manqué !

"Orhhhh ! Tonton ! J'ai bien joui ! Arhhhhhhhhhh ! Putain, ce que j'aime ta grosse queue ! J'en avais marre de me branler en pensant à toi ! Orhhh ! Tu vas encore me baiser longtemps, hein ? Arghhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Oui ! Mon n'veu ! Moi aussi, j'me suis branlé ! J'avais hâte que tu r'viennes !".

Il me plaque le visage contre le capot, et se déchaine dans ma chatte !

"Tiens ! Salope ! J't'avais dit que je tiendrais pas jusqu'à la maison ! C'est la faute de ta chatte ! Tout ça ! Ca te plait ! P'tite fiotte ! T'es venu m'voir pour te faire démonter comme une chienne ! Tu vas être ma pute, pendant un mois ! Tu le sais ça ?".

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii ! Tonton ! Je jouiiii ! Ca s'arrête plus ! Arghhhhhhhhh ! ...".

"J'vais en faire profiter mes potes ! Tu l'sais, ça aussi ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Tout ce que veux ! Tonton ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! ...".
"C'est bien ! C'est comme ça que j't'aime ! T'es mon neveu préféré ! Arhhhhh ! La vache ! Ca m'excite de t'enculer comme ça ! Merde ! T'es le fils de ma soeur ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".

"Arghhhhhhh ! Oui, Tonton ! Laches toi ! Orhhhh ! J'aiiimmmme ! Orhhhhh ! Encore, Tonton ! Mets moi tout ! Ca fait tellement longtemps que j'en ai envie !".
"Ourhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Pascal ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! ...".

Chacun de ses râles est accompagné d'un puissant spasme dans sa grosse verge.
Je suis aux anges !

Je sais ! C'est immoral, mais c'est trop tard, pour revenir en arrière, et puis, on est entre adultes !
C'est surement l'interdit qui décuple notre désir !

On a du rester plus de dix minutes, à faire durer le plaisir !

Pendant lequel, il entrait, sortait, revenait sans cesse dans ma chatte, pleine de son sperme.

Ca ressemblait à de la sensualité, mais je dirai plutôt que c'était doux et voluptueux !
De temps en temps, il me faisait lécher ses doigts, après un raclement sur ma chatte !

Puis, je lavais sa verge, quelques secondes, et il me transperçait à nouveau !
J'ai adoré !

Quand il a estimé que ma chatte, ne rejetait plus de foutre, il m'a léché profondément l'anus.
C'était énorme ! Il me baisait avec sa langue !

Il s'est excité à nouveau, et m'a entrainé dans le blockhaus !

Il m'a transpercé debout, contre un mur couvert d'inscriptions vulgaires !

Il n'arrivait plus à jouir ! Tu m'étonnes !
Mon foutre est sorti en grosses saccades, et a surement rejoint d'autres taches, contre le mur !

Ensuite, j'ai pissé comme une petite pute !
La petite chienne à son Tonton !

Il a grogné comme un ours, quand il est parvenu a éjaculer !
Il m'a libéré ! Moi, j'en pouvais plus !

Mais j'étais heureux quand même ! J'avais retrouvé mon Tonton pervers !
Celui qui me connait plus qu'aucun autre, dans ma famille !

Il m'a remonté le short, sur mes fesses pleines de foutre !

"Tonton ? J'en ai plein le cul !".
"Arrêtes avec ça ! C'est une chatte ! Tu le sais pas encore ?".

Ca ! C'est pas la première fois, qu'on me fait cette remarque !

"Oui ! La chatte ! J'ai le c.. Euh ! Pardon ! La chatte qui colle ! Maintenant !".
"On s'en fout ! Montes dans la voiture ! On rentre !".

Avant de démarrer, il lance:

"Ahhhhhhhhhhhh ! C'était bon ! J'me suis bien vidé les couilles, moi ! C'est bien ! T'es un bon neveu !".

Il démarre !

"Tonton ! Depuis quand, tu baises des garçons ?".
"Ouhhhh ! Là ! Là ! Ca fait un bail ! J'crois que j'avais 15 ou 16 ans ! J'étais précoce, tu sais ! La première fois ! C'est un garçon "fille" qui m'a attiré !".

"Un garçon "fille" ?".
"Oui ! Comment on dit aujourd'hui ?".

"Effeminé ?".
"Oui, c'est ça ! Je crois qu'aujourd'hui, il vit avec un homme ! Mais ça m'a plu ! Et quand j'ai gouté les filles ! C'était bien aussi ! Mais moins excitant qu'un jeune mec !".

"Donc, t'as toujours trompé tata ?".
"Oui !".

"Mais ! Dis-moi, les garçons que tu baisais ? Tu les choisissais, à partir de quel âge ?
"Le mien, au départ ! Après, un peu plus jeune ! Mais jamais moins de 16 ou 17 ans ! Ensuite, plus âgés, par la force des choses !".

"Mais ? Et moi alors ? Pourquoi, tu m'as abordé ? J'étais plus jeune !".
"Je sais ! Mon p'tit ! J'te demande pardon ! J'ai failli faire la connerie de ma vie, ce jour là ! Excuses-moi ! T'avais quelque chose de plus ! Tu m'excitais ! T'avais ce regard !".

"Comment ça ? Tu savais que j'avais ça en moi ? Quel regard ?".
"Tiens ! Rien que le jour, où on rentrait de la chasse, on était une dizaine ! Avec ton père, et la bande de potes ! On s'est mis à pisser en rang d'oignons ! L'un à coté de l'autre ! On devait plus être que 4 ou 5, ton père était plus là ! Ben, je t'ai vu ! Tu nous matais les queues, mon p'tit vicieux ! Tiens ! J'me souviens ! Y avait Auguste ! Et t'avais les yeux grands ouverts, sur sa grosse bite ! T'avais déjà le vice en toi ! Tu t'en rappelles pas ? Et il y a pas eu que ça !".

Je suis estomaqué !

"Non ! Je te le promets ! Je m'en souviens plus ! Je devais être trop petit !".
"Et toi, t'as commencé quand ?".

"Euh ! A cette époque, je crois ! Je sais plus quel âge, j'avais ! Un jour, je me suis enfoncé quelque chose dans le.. la chatte ! Et j'ai jamais arrêté ! Je me faisais déjà pisser, en jouant avec ma chatte, avant de me faire enculer pour la première fois ! Mais t'as raison ! Heureusement, qu'on a rien fait ! Ca m'aurait détruit, je crois ! C'est plus assumé aujourd'hui !".

Un silence règne, je repense à ce qu'il m'a révélé !
Alors, c'était en moi depuis si longtemps ?
Cette attirance pour les hommes plus âgés !

Donc, si je n'avais pas eu une passion pour l'image de la femme, j'aurai été la parfaite pédale !

Bon, allez ! Je regrette rien !
Je me plais dans cette double vie !

On est rentrés chez lui.
Il a ôté ses vêtements !

"Il fait trop chaud ! Moi, je reste à poil, quand je suis chez moi ! Et tu vas faire pareil ! Ma salope ! Comme ça, tu seras toujours prête !".

C'était étrange ! Mais j'ai obéis ! Et j'y ai pris gout !

"Bon, j'appelle Auguste ! Je lui confirme que t'es là ! Et à d'autres potes ! Aussi ! Ca te fera d'autres "Tontons" !".

Je ramasse mes fringues, et lave mon short taché de foutre, dans l'évier.

La maison est grande ! je ne vois pas arriver Auguste, à poil !
Il m'empale sans me prévenir !

"Bonjour, mon neveu ! Tu reconnais Tonton Auguste ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui, Bonjour Tonton ! Orhhhh ! T'es toujours aussi gros !".

"Alors ? Il t'a bien baisé, Tonton Raymond ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiii ! Deux fois ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! ...".

"C'est bien ! Vin dieu, elle est toujours aussi bonne, ta p'tite chatte !".

Il interpelle mon oncle, en parlant plus fort !

"Oh ! Raymond ! Elle est toujours aussi salope ! Ta p'tite pute de neveu ! Elle nous avait bien manqué ! Pas vrai ?".
"Ca, c'est sûr !".

Ce vieux salaud arrive à me faire couler encore, avec les mains, dans l'eau savonneuse !
Je tire la bonde, et il me colle le visage dans le vieil évier, pour terminer sa saillie anale.

J'arrête pas de lui dire que je joui du cul ! Que j'en peux plus !
Mais, quand il retire sa bite énorme.

"Non ! Tonton ! Encore ! Je veux que jouisses !".

Il m'entraine vers le salon, Raymond regarde la télé !

Par moment, il nous regarde !

"C'est bien ! Ma chérie ! Tu dois faire plaisir à Tonton Auguste ! Lui aussi, il a les couilles pleines !".

Je me fais défoncer à un mètre de lui, sur le vieux canapé troué et malodorant !

Auguste me fait pivoter dans tous les sens, pour me défoncer la chatte.
Il me traite de salope, sans cesse !

J'ai encore le foutre de Tonton Raymond dans la chatte ! C'est ma faute !

Il y ajoute le sien, sans considération pour mon plaisir !
Pas la peine, je prends un pied énorme !

Il me couvre la face de sperme, avec ce qu'il lui reste dans la bite, et en râlant.

J'ai plus de réaction !
Et je vais m'endormir comme ça ! Alors qu'il n'est pas encore midi !