Tou big tou cage 03 Le stage
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tou big tou cage 03 Le stage
Tou big tou cage 03Le stage
C'est toujours très impressionnant que d'être reçu pour la première fois dans un bureau de la PK. C'est toujours étonnant également, ils savent tout !
Bien sûr, ils demandent un CV mais ils ont aussi fait leur enquête et ils savent tout sur leur candidat. Il doit bien y avoir quelques petits trous au niveau de la vie privée mais ça doit être à peut près tout.
Alexandre arrivait à l'accueil, un secrétaire le recevait avec beaucoup de courtoisie. Alexandre n'avait même pas le temps de se présenter, le secrétaire l'attendait et savait qui il était. On ne le faisait pas attendre bien longtemps, il était reçu par un recruteur. Le recruteur était une recruteuse, une dame charmante.
Passé l'accueil Alexandre remarquait rapidement que nombre d'employés étaient des employées. Ce qui détonnait avec l'image de cette société. En effet dans les centres PK, dans la plupart des accueils dépendant de la PK on retrouve surtout un personnel masculin. Mais ce n'était qu'une apparence. Il y avait largement autant de femmes que d'hommes employés dans cette entreprise, et ce, à tous les postes …
La recruteuse était absolument charmante, avec Alexandre elle discutaient longuement, et Alexandre était recruté. Il commencerait son stage comme secrétaire dans un service administratif.
– C'est toujours comme ça, qu'on commence à la PK. La suite de votre carrière dépendra de vous jeune homme. Lui expliquait la dame.
Alexandre ressortait avec le sourire, il avait même oublié qu'il devrait garder son dispositif pendant encore au moins six mois. De retour chez lui il annonçait à tout le monde qu'il était recruté. Mais c'est sans rien dire à personne qu'il réfléchissait à sa situation.
Était-ce vraiment ce qu'il voulait ?
C'était là la question. Si le stage marchait bien il serait employé à l'année. C'était certes un très bon boulot, bien payé et qui offrait toutes les garanties de stabilité. Il avait la certitude de ne ramais connaître le chômage, une bonne retraite … Mais franchement à son âge ce n'était pas la retraite qui le préoccupait le plus.
Deux jours plus tard il se présentait au bureau de nouveau, il était beau comme un prince avec costume, cravate … Il était très bien reçu, c'est une tradition dans cette entreprise. On le présentait à l'équipe, il n'y avait que des hommes. Les services sont rarement mixtes dans cette entreprise, c'est pour éviter certaines tensions à ce qui se dit. Et on le mettait au travail.
La première semaine se passait tranquillement, il sympathisait rapidement avec ses collègues. Le week-end, plusieurs d'entre eux l'invitaient à une sortie dans un bar ou ils allaient souvent. C'était un bar très chic. On pouvait craindre que les tarif ne soient très élevés, et bien oui, c'était bien le cas. C'était vraiment très chic, c'était presque un bar privé mais pour les employés de la PK, comme on y acceptait la carte de réduction, les tarifs restaient tout à fait raisonnables. C'était aussi un endroit ou le personnel masculin et le personnel féminin pouvaient se rencontrer sans aucun protocole.
L'école ou il était allé était non mixte, les équipes de travail étaient non mixte, les lieux de sortie étaient non mixte. Alexandre ne se rendait même plus compte qu'il vivait dans un monde d'homme. Un monde d'homme qui portaient tous un dispositif de chasteté.
Un soir avant de s'endormir il réfléchissait à cette situation, elle lui avait parue normale jusqu'à à ce moment, pourtant c'était le quotidien et tout semblait normal, tout était normal.
'' Il doit y avoir une frustration terrible dans ce monde '' se disait Alexandre un matin en prenant son poste. La nuit n'avait pas été facile, et sa cage l'avait réveillé à plusieurs reprises. Les règles sportives qu'il avait connues dans son école autant que dans sa fac, n'étaient pas oubliées dans le monde du travail. Tous les jours, les employés étaient invités à pratiqué une activité sportive, il y avait des installations de très grandes qualité. Pour les jours de repos, il y avait des événements organisés. Tout le monde y était invité. Alexandre ne se faisait pas prier.
Tout comme dans son passé, il côtoyait tout le personnel masculin dans la salle de sport, puis sous les douches. Rien n'avait changé sur ce point par rapport à son école. C'était la norme, c'était normal. C'était chaud, c'était très chaud.
Dans le passé, dans son école, les élèves n'étaient pas dans la hiérarchie, ce n'était pas le cas dans cette entreprise. Sauf que sous la douche, la hiérarchie devait s'effacer. Il fallait s'y habituer c'est tout.
Au bout de quelques semaines Alexandre n'y faisait plus attention, il se douchait juste à côté d'un directeur régional sans même le remarquer.
– On me dit que vous avec un très bon revers au tennis jeune homme.
– Ah ! Monsieur le directeur, excusez-moi je ne vous avais pas remarqué, c'est vrai que je me défend bien …– Votre travail vous donne-t-il satisfaction parmi nous ?
– L'ambiance est bonne …
Les deux hommes discutaient un long moment. Ils sortaient de la douche, s'essuyaient et finalement …
– J'ai besoin d'un assistant, il me semble que vous en avez les qualités, voulez-vous rejoindre mon bureau ?
C'était une promotion ça. Pourtant il n'était là qu'en stage … Alexandre savait qu'il ne fallait pas réfléchir dans une telle situation et acceptait la proposition. Le lendemain on lui présentait son nouveau bureau.
C'est tous les jours qu'il croisait son nouveau patron sous la douche alors.
– Vous avez vingt trois ans jeune homme ?
– Bientôt vingt quatre …– Ce n'est pas trop dur pour vous ce dispositif, pas trop dur à supporter ?
– C'est pas facile tous les jours mais ça va …
Quelques jours plus tard, le boss faisait venir Alexandre dans son bureau pour l'inviter à se rendre au bureau des équipements.
– J'ai remarqué que vous portez un dispositif en résine, ce n'est pas à la hauteur de mon bureau. Je vous ai commandé un dispositif en titane. Il vous attend à l'équipement …
C'était clair, une heure après Alexandre portait son nouveau dispositif, un PK Sécure avec bouclier interchangeable … Un très beau modèle de luxe, c'est sûr se disait Alexandre devant le miroir : '' Là ça a de la gueule '' . Bien sûr il n'en avait pas la clé. L'échange s'était fait en quelques instants, Alexandre n'avait même pas eu le temps de bander, même pas eu le temps d'avoir la moindre réaction. C'est souvent le cas remarquer, au bout d'une longue période de chasteté, il faut un peu de temps pour tout remettre en route …
Alexandre avait le sourire, il était content en fait. Qu'on lui fasse ce genre de cadeau était bon signe, ça voulait dire qu'il était apprécié. Et ça, c'est toujours bon signe. Le nouveau dispositif était à la bonne taille, fait sur mesure, si vous vous souvenez vous savez qu'Alexandre portait une grande taille. La PK avait ses références et pouvait donc le fabriquer sans faire d'essayage ni de nouvelles mesures.
Quelques semaines plus tard, Alexandre était envoyé en mission avec un de ses collègue, une enquête sur la situation d'un chantier ou quelque chose de ce genre.
– Tu connais les salons de massage ?
Demandait dès le départ Malo, en s'installant au volant de la voiture.
– Je n'ai jamais fréquenté les salons de massage, mais le massage je connais bien, après les séances de sport, on y avait souvent droit à la fac …– C'est pas tout à fait à ça que je pensais. Répondait Malo en rigolant.
Ils roulaient … Plus de cent kilomètres plus tard.
– Tu t'est déjà fait enculé au moins ? Demandait Malo d'un ton directe et décontracté.
– Bein … Bafouillait Alexandre.
– Ne te billes pas bonhomme. Tu as vu comment nous vivons tous ! Tu crois que ça se passe comment dans la vie privée ?
– Comme à la fac ?
– Presque tous les couples mariés dont le mari porte un dispositif ne font pas chambre à part mais maison à part.
– Il m'avait semblé aussi … Rajoutait Alexandre.
– Allez , c'est moi qui t'invite ! Rajoutais Malo et prenant la bretelle d'autoroute, qui les faisaient changer totalement de route.
Alexandre ne comprenait pas ou n'était pas sûr de comprendre ce qui se passait.
Quelques kilomètre plus loin il garait la voiture dans un parking privé, marqué '' Réservé à la clientèle ''. Les deux hommes en sortaient, Alexandre ne connaissait pas l'endroit. Un grande porte de verre, un hall d'entrée large, lumineux et rempli de plantes vertes. Un homme en tenue très juste au corps venait les accueillir.
Alexandre à failli avoir une attaque en voyant l'entre jambe du monsieur. La tenue en lycra ne cachait rien de ses formes et on distinguait parfaitement une belle paire couilles et surtout une belle grosse queue qui n'était pas en cage. Ça c'était sûr. Elle était au repos , la queue du monsieur, mais elle était de belle taille. '' Lui aussi il doit porter une taille hors norme, comme moi '' se disait Alexandre, '' Mais là il n'en porte pas lui ''.
Alexandre avait comme le vertige, il sentait sa queue protester comme elle ne le faisait plus depuis bien longtemps. Rien ne se voyait, mais il bandait comme un fou. Son camarade passait commande à l'accueil et payait. On les faisait alors entrer dans un salon ou ils pouvaient se déshabiller. En fait c'était des vestiaires mais ça ressemblait à un salon privé …
Entièrement nus on les invitait à passer sous la douche. Un homme en tenue bien moulante s'occupait d'eux, je veux dire un homme pour chacun d'eux. Il les massait avec le baume pour la douche.
– Laisse toi faire ! Lançait Malo à Alexandre. Laisse le faire, il connaît son boulot !
Alexandre ne comprenait plus rien, mais c'était agréable. On lui massait le cou, le dos et en même temps on le caressait sur tout le corps avec une extrême douceur. Il bandait comme un malade, à cet instant il se serait damné pour pouvoir retirer son dispositif sans que ça se sache.
Le corps de son masseur était magnifique, on voyait parfaitement ses formes et Alexandre remarquait maintenant qu'il bandait, il bandait gros même. Sa tenue mouillée devenait presque transparente. On pouvait distinguer tous ses muscles et il en avait une grosse.
Alexandre ne savait plus quoi faire, il se laissait faire bien sûr et c'était très agréable. Sans même y penser il glissait une main sur la bite de son masseur qui ne l'écartait pas. Alexandre continuait plus clairement et la caressait fermement.
Il était satisfait de ce qu'il sentait, le gars en avait une grosse, mais elle était également bien ferme, bien large, bien longue. Alexandre se laissait aller et tentait d'embrasser son partenaire. Il lui rendait son baiser et continuait à le caresser, à le laver sur tout le corps. Il caressait les fesses d'Alexandre puis son cul, un doigt s'y glissait avec douceur. Alexandre souriait et continuait à se laisser faire.
Le masseur était toujours habillé, il se tenaient maintenant dans les bras l'un de l'autre, ce n'était plus un massage, c'était une étreinte. Ils se caressaient avec passion l'un l'autre.
– On continue ? Demandait le masseur .
Alexandre répondait oui d'un mouvement de la tête. Son partenaire fermait alors la douche, essuyait soigneusement Alexandre et l'allongeait sur une table de massage particulièrement confortable. Il retirait ensuite sa tenue très fine et s'essuyait à son tour.
Alexandre regardait ça, il voyait la queue de son masseur se relever avec force, elle le laissait pensif. Le masseur s'approchait, Alexandre avançait sa tête vers lui et prenait sa nuque dans la bouche. Le masseur le laissait faire mais n'oubliait pas pour autant son travail. Il commençait alors à masser Alexandre au mieux qu'il le pouvait compte tenue de la position que lui imposait son client en le suçant.
Le masseur n'encourageait absolument pas son client. Mais si le client à envie de le sucer, le client à le droit de le sucer. Au moment ou il avait besoin de changer de position, il retirait alors sa queue avec douceur, embrassait son client pour ne pas le frustrer et prenait position.
Alexandre tendait alors son bras pour pouvoir tripoter la queue de son masseur qui continuait son travail, il caressait de temps en temps le bras d'Alexandre. Tout n'était que douceur. Le masseur savait quelles parties du corps caresser et surtout comment les caresser pour prodiguer le plus de plaisir possible.
Quand Alexandre sentait un doigt se glisser dans son cul, il ne résistait pas. Il soupirait longuement pour exprimer son plaisir. Quand un deuxième doigt l'y retrouvait. Alexandre soupirait. Puis les deux doigt s'agitaient, doucement au début puis un peu plus vite. C'est avec une douceur que les deux doigt frappait la prostate d'Alexandre. En fait ils caressait plus qu'il frappait. Les coups donnés étaient d'une extrême douceur.
C'étaient des caresses intimes incroyablement agréable qu'Alexandre recevait là. Maintenant il était allongé inerte, il n'essayait plus de toucher son masseur, il le laissait faire, il se laissait aller, il s'abandonnait à son plaisir.
Avec son autre main le masseur caressait Alexandre sur tout le corps. Puis il le retournait sur le dos. Le mouvement était rapide et Alexandre s'amusait de se faire remuer de la sorte. Puis il recevait un baiser sur les lèvres. Et de nouveau le masseur lui caressait le corps, avec douceur, avec force, avec juste ce qu'il fallait pour que ce ne soit que très agréable. Au bout d'un moment qui semblait durer des heures il demandait à Alexandre …
– On continue ?
Alexandre répondait oui de la tête en riant.
Le masseur écartait alors les cuisses d'Alexandre, posait ses cheville sur ses épaules puis avec sa très belle queue pénétrait Alexandre avec douceur. Toujours avec douceur, les camarades d'Alexandre quelquefois et même souvent y allaient avec force. Là ce n'était que douceur. Le masseur s'enfonçait et ressortait, il accélérait, il ralentissait, il faisait une pause en se retirant totalement puis revenait.
A chaque fois le plaisir montait plus haut, toujours plus haut jusqu'au moment ou Alexandre ne pouvait plus retenir ses gémissements, puis ses cris de plaisir. Alexandre jouissait. Alexandre jutait. Il se tordait de plaisir dans tous les sens, il respirait à fond.
Il avait déjà éprouvé du plaisir avec ses copains, beaucoup de plaisir même mais là c'était un orgasme, un vrai, un grand et c'était le premier depuis qu'il portait ce dispositif. C'était le pied ! Il entendait également des cris de plaisir et reconnaissait la voie de Malo.
Alexandre était, comment dire, tout mou ! Il était allongé sur le dos et somnolait. Plus tard c'est Malo qui venait le réveiller.
– Alors tu en penses quoi de ces salons de massage ? Tu ne connaissait vraiment pas ?
– Il ne faudra pas le répéter surtout je suppose ? … Si jamais notre boss apprend ça … – Tu sais, précisément c'est le boss qui m'a demandé de t'emmener ici ! Lui répondait Malo avec un petit sourire farceur.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est toujours très impressionnant que d'être reçu pour la première fois dans un bureau de la PK. C'est toujours étonnant également, ils savent tout !
Bien sûr, ils demandent un CV mais ils ont aussi fait leur enquête et ils savent tout sur leur candidat. Il doit bien y avoir quelques petits trous au niveau de la vie privée mais ça doit être à peut près tout.
Alexandre arrivait à l'accueil, un secrétaire le recevait avec beaucoup de courtoisie. Alexandre n'avait même pas le temps de se présenter, le secrétaire l'attendait et savait qui il était. On ne le faisait pas attendre bien longtemps, il était reçu par un recruteur. Le recruteur était une recruteuse, une dame charmante.
Passé l'accueil Alexandre remarquait rapidement que nombre d'employés étaient des employées. Ce qui détonnait avec l'image de cette société. En effet dans les centres PK, dans la plupart des accueils dépendant de la PK on retrouve surtout un personnel masculin. Mais ce n'était qu'une apparence. Il y avait largement autant de femmes que d'hommes employés dans cette entreprise, et ce, à tous les postes …
La recruteuse était absolument charmante, avec Alexandre elle discutaient longuement, et Alexandre était recruté. Il commencerait son stage comme secrétaire dans un service administratif.
– C'est toujours comme ça, qu'on commence à la PK. La suite de votre carrière dépendra de vous jeune homme. Lui expliquait la dame.
Alexandre ressortait avec le sourire, il avait même oublié qu'il devrait garder son dispositif pendant encore au moins six mois. De retour chez lui il annonçait à tout le monde qu'il était recruté. Mais c'est sans rien dire à personne qu'il réfléchissait à sa situation.
Était-ce vraiment ce qu'il voulait ?
C'était là la question. Si le stage marchait bien il serait employé à l'année. C'était certes un très bon boulot, bien payé et qui offrait toutes les garanties de stabilité. Il avait la certitude de ne ramais connaître le chômage, une bonne retraite … Mais franchement à son âge ce n'était pas la retraite qui le préoccupait le plus.
Deux jours plus tard il se présentait au bureau de nouveau, il était beau comme un prince avec costume, cravate … Il était très bien reçu, c'est une tradition dans cette entreprise. On le présentait à l'équipe, il n'y avait que des hommes. Les services sont rarement mixtes dans cette entreprise, c'est pour éviter certaines tensions à ce qui se dit. Et on le mettait au travail.
La première semaine se passait tranquillement, il sympathisait rapidement avec ses collègues. Le week-end, plusieurs d'entre eux l'invitaient à une sortie dans un bar ou ils allaient souvent. C'était un bar très chic. On pouvait craindre que les tarif ne soient très élevés, et bien oui, c'était bien le cas. C'était vraiment très chic, c'était presque un bar privé mais pour les employés de la PK, comme on y acceptait la carte de réduction, les tarifs restaient tout à fait raisonnables. C'était aussi un endroit ou le personnel masculin et le personnel féminin pouvaient se rencontrer sans aucun protocole.
L'école ou il était allé était non mixte, les équipes de travail étaient non mixte, les lieux de sortie étaient non mixte. Alexandre ne se rendait même plus compte qu'il vivait dans un monde d'homme. Un monde d'homme qui portaient tous un dispositif de chasteté.
Un soir avant de s'endormir il réfléchissait à cette situation, elle lui avait parue normale jusqu'à à ce moment, pourtant c'était le quotidien et tout semblait normal, tout était normal.
'' Il doit y avoir une frustration terrible dans ce monde '' se disait Alexandre un matin en prenant son poste. La nuit n'avait pas été facile, et sa cage l'avait réveillé à plusieurs reprises. Les règles sportives qu'il avait connues dans son école autant que dans sa fac, n'étaient pas oubliées dans le monde du travail. Tous les jours, les employés étaient invités à pratiqué une activité sportive, il y avait des installations de très grandes qualité. Pour les jours de repos, il y avait des événements organisés. Tout le monde y était invité. Alexandre ne se faisait pas prier.
Tout comme dans son passé, il côtoyait tout le personnel masculin dans la salle de sport, puis sous les douches. Rien n'avait changé sur ce point par rapport à son école. C'était la norme, c'était normal. C'était chaud, c'était très chaud.
Dans le passé, dans son école, les élèves n'étaient pas dans la hiérarchie, ce n'était pas le cas dans cette entreprise. Sauf que sous la douche, la hiérarchie devait s'effacer. Il fallait s'y habituer c'est tout.
Au bout de quelques semaines Alexandre n'y faisait plus attention, il se douchait juste à côté d'un directeur régional sans même le remarquer.
– On me dit que vous avec un très bon revers au tennis jeune homme.
– Ah ! Monsieur le directeur, excusez-moi je ne vous avais pas remarqué, c'est vrai que je me défend bien …– Votre travail vous donne-t-il satisfaction parmi nous ?
– L'ambiance est bonne …
Les deux hommes discutaient un long moment. Ils sortaient de la douche, s'essuyaient et finalement …
– J'ai besoin d'un assistant, il me semble que vous en avez les qualités, voulez-vous rejoindre mon bureau ?
C'était une promotion ça. Pourtant il n'était là qu'en stage … Alexandre savait qu'il ne fallait pas réfléchir dans une telle situation et acceptait la proposition. Le lendemain on lui présentait son nouveau bureau.
C'est tous les jours qu'il croisait son nouveau patron sous la douche alors.
– Vous avez vingt trois ans jeune homme ?
– Bientôt vingt quatre …– Ce n'est pas trop dur pour vous ce dispositif, pas trop dur à supporter ?
– C'est pas facile tous les jours mais ça va …
Quelques jours plus tard, le boss faisait venir Alexandre dans son bureau pour l'inviter à se rendre au bureau des équipements.
– J'ai remarqué que vous portez un dispositif en résine, ce n'est pas à la hauteur de mon bureau. Je vous ai commandé un dispositif en titane. Il vous attend à l'équipement …
C'était clair, une heure après Alexandre portait son nouveau dispositif, un PK Sécure avec bouclier interchangeable … Un très beau modèle de luxe, c'est sûr se disait Alexandre devant le miroir : '' Là ça a de la gueule '' . Bien sûr il n'en avait pas la clé. L'échange s'était fait en quelques instants, Alexandre n'avait même pas eu le temps de bander, même pas eu le temps d'avoir la moindre réaction. C'est souvent le cas remarquer, au bout d'une longue période de chasteté, il faut un peu de temps pour tout remettre en route …
Alexandre avait le sourire, il était content en fait. Qu'on lui fasse ce genre de cadeau était bon signe, ça voulait dire qu'il était apprécié. Et ça, c'est toujours bon signe. Le nouveau dispositif était à la bonne taille, fait sur mesure, si vous vous souvenez vous savez qu'Alexandre portait une grande taille. La PK avait ses références et pouvait donc le fabriquer sans faire d'essayage ni de nouvelles mesures.
Quelques semaines plus tard, Alexandre était envoyé en mission avec un de ses collègue, une enquête sur la situation d'un chantier ou quelque chose de ce genre.
– Tu connais les salons de massage ?
Demandait dès le départ Malo, en s'installant au volant de la voiture.
– Je n'ai jamais fréquenté les salons de massage, mais le massage je connais bien, après les séances de sport, on y avait souvent droit à la fac …– C'est pas tout à fait à ça que je pensais. Répondait Malo en rigolant.
Ils roulaient … Plus de cent kilomètres plus tard.
– Tu t'est déjà fait enculé au moins ? Demandait Malo d'un ton directe et décontracté.
– Bein … Bafouillait Alexandre.
– Ne te billes pas bonhomme. Tu as vu comment nous vivons tous ! Tu crois que ça se passe comment dans la vie privée ?
– Comme à la fac ?
– Presque tous les couples mariés dont le mari porte un dispositif ne font pas chambre à part mais maison à part.
– Il m'avait semblé aussi … Rajoutait Alexandre.
– Allez , c'est moi qui t'invite ! Rajoutais Malo et prenant la bretelle d'autoroute, qui les faisaient changer totalement de route.
Alexandre ne comprenait pas ou n'était pas sûr de comprendre ce qui se passait.
Quelques kilomètre plus loin il garait la voiture dans un parking privé, marqué '' Réservé à la clientèle ''. Les deux hommes en sortaient, Alexandre ne connaissait pas l'endroit. Un grande porte de verre, un hall d'entrée large, lumineux et rempli de plantes vertes. Un homme en tenue très juste au corps venait les accueillir.
Alexandre à failli avoir une attaque en voyant l'entre jambe du monsieur. La tenue en lycra ne cachait rien de ses formes et on distinguait parfaitement une belle paire couilles et surtout une belle grosse queue qui n'était pas en cage. Ça c'était sûr. Elle était au repos , la queue du monsieur, mais elle était de belle taille. '' Lui aussi il doit porter une taille hors norme, comme moi '' se disait Alexandre, '' Mais là il n'en porte pas lui ''.
Alexandre avait comme le vertige, il sentait sa queue protester comme elle ne le faisait plus depuis bien longtemps. Rien ne se voyait, mais il bandait comme un fou. Son camarade passait commande à l'accueil et payait. On les faisait alors entrer dans un salon ou ils pouvaient se déshabiller. En fait c'était des vestiaires mais ça ressemblait à un salon privé …
Entièrement nus on les invitait à passer sous la douche. Un homme en tenue bien moulante s'occupait d'eux, je veux dire un homme pour chacun d'eux. Il les massait avec le baume pour la douche.
– Laisse toi faire ! Lançait Malo à Alexandre. Laisse le faire, il connaît son boulot !
Alexandre ne comprenait plus rien, mais c'était agréable. On lui massait le cou, le dos et en même temps on le caressait sur tout le corps avec une extrême douceur. Il bandait comme un malade, à cet instant il se serait damné pour pouvoir retirer son dispositif sans que ça se sache.
Le corps de son masseur était magnifique, on voyait parfaitement ses formes et Alexandre remarquait maintenant qu'il bandait, il bandait gros même. Sa tenue mouillée devenait presque transparente. On pouvait distinguer tous ses muscles et il en avait une grosse.
Alexandre ne savait plus quoi faire, il se laissait faire bien sûr et c'était très agréable. Sans même y penser il glissait une main sur la bite de son masseur qui ne l'écartait pas. Alexandre continuait plus clairement et la caressait fermement.
Il était satisfait de ce qu'il sentait, le gars en avait une grosse, mais elle était également bien ferme, bien large, bien longue. Alexandre se laissait aller et tentait d'embrasser son partenaire. Il lui rendait son baiser et continuait à le caresser, à le laver sur tout le corps. Il caressait les fesses d'Alexandre puis son cul, un doigt s'y glissait avec douceur. Alexandre souriait et continuait à se laisser faire.
Le masseur était toujours habillé, il se tenaient maintenant dans les bras l'un de l'autre, ce n'était plus un massage, c'était une étreinte. Ils se caressaient avec passion l'un l'autre.
– On continue ? Demandait le masseur .
Alexandre répondait oui d'un mouvement de la tête. Son partenaire fermait alors la douche, essuyait soigneusement Alexandre et l'allongeait sur une table de massage particulièrement confortable. Il retirait ensuite sa tenue très fine et s'essuyait à son tour.
Alexandre regardait ça, il voyait la queue de son masseur se relever avec force, elle le laissait pensif. Le masseur s'approchait, Alexandre avançait sa tête vers lui et prenait sa nuque dans la bouche. Le masseur le laissait faire mais n'oubliait pas pour autant son travail. Il commençait alors à masser Alexandre au mieux qu'il le pouvait compte tenue de la position que lui imposait son client en le suçant.
Le masseur n'encourageait absolument pas son client. Mais si le client à envie de le sucer, le client à le droit de le sucer. Au moment ou il avait besoin de changer de position, il retirait alors sa queue avec douceur, embrassait son client pour ne pas le frustrer et prenait position.
Alexandre tendait alors son bras pour pouvoir tripoter la queue de son masseur qui continuait son travail, il caressait de temps en temps le bras d'Alexandre. Tout n'était que douceur. Le masseur savait quelles parties du corps caresser et surtout comment les caresser pour prodiguer le plus de plaisir possible.
Quand Alexandre sentait un doigt se glisser dans son cul, il ne résistait pas. Il soupirait longuement pour exprimer son plaisir. Quand un deuxième doigt l'y retrouvait. Alexandre soupirait. Puis les deux doigt s'agitaient, doucement au début puis un peu plus vite. C'est avec une douceur que les deux doigt frappait la prostate d'Alexandre. En fait ils caressait plus qu'il frappait. Les coups donnés étaient d'une extrême douceur.
C'étaient des caresses intimes incroyablement agréable qu'Alexandre recevait là. Maintenant il était allongé inerte, il n'essayait plus de toucher son masseur, il le laissait faire, il se laissait aller, il s'abandonnait à son plaisir.
Avec son autre main le masseur caressait Alexandre sur tout le corps. Puis il le retournait sur le dos. Le mouvement était rapide et Alexandre s'amusait de se faire remuer de la sorte. Puis il recevait un baiser sur les lèvres. Et de nouveau le masseur lui caressait le corps, avec douceur, avec force, avec juste ce qu'il fallait pour que ce ne soit que très agréable. Au bout d'un moment qui semblait durer des heures il demandait à Alexandre …
– On continue ?
Alexandre répondait oui de la tête en riant.
Le masseur écartait alors les cuisses d'Alexandre, posait ses cheville sur ses épaules puis avec sa très belle queue pénétrait Alexandre avec douceur. Toujours avec douceur, les camarades d'Alexandre quelquefois et même souvent y allaient avec force. Là ce n'était que douceur. Le masseur s'enfonçait et ressortait, il accélérait, il ralentissait, il faisait une pause en se retirant totalement puis revenait.
A chaque fois le plaisir montait plus haut, toujours plus haut jusqu'au moment ou Alexandre ne pouvait plus retenir ses gémissements, puis ses cris de plaisir. Alexandre jouissait. Alexandre jutait. Il se tordait de plaisir dans tous les sens, il respirait à fond.
Il avait déjà éprouvé du plaisir avec ses copains, beaucoup de plaisir même mais là c'était un orgasme, un vrai, un grand et c'était le premier depuis qu'il portait ce dispositif. C'était le pied ! Il entendait également des cris de plaisir et reconnaissait la voie de Malo.
Alexandre était, comment dire, tout mou ! Il était allongé sur le dos et somnolait. Plus tard c'est Malo qui venait le réveiller.
– Alors tu en penses quoi de ces salons de massage ? Tu ne connaissait vraiment pas ?
– Il ne faudra pas le répéter surtout je suppose ? … Si jamais notre boss apprend ça … – Tu sais, précisément c'est le boss qui m'a demandé de t'emmener ici ! Lui répondait Malo avec un petit sourire farceur.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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