Toujours chez Monsieur le Comte
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Toujours chez Monsieur le Comte
Compelled au Château - Suite de l'épisode N°473 - Toujours chez Monsieur le Comte -
Les deux esclaves furent installés et harnachés dans les hampes des sulkys, leur dressage allait pouvoir débuter. D’abord ce fut pour soumis compelled MDE et Maïko, une première mise en jambes, ils durent tourner dans la carrière selon le rythme imposé par Monsieur le Comte et sa longe de cuir au bout de la chambrière. Elle venait caresser leurs culs ou leurs épaules, afin d’accélérer ou ralentir leur déplacement. Elle les touchait simplement pour créer l’impulsion et sans doute les décontracter. Mais les deux esclaves n’étaient pas dupes, cet instrument pouvait également les châtier sévèrement. Monsieur le Comte maniait la chambrière d’une façon naturelle et décontractée, il la faisait vibrer par des gestes courts et rapides juste pour attirer l’attention des deux esclaves tournant en rond. L’objectif de cette première leçon était de leur faire comprendre que par ces légers attouchements, l’instrument n’était pas forcément une agression mais plus une aide pour leur dressage. Ce n’est qu’après une trentaine de minutes, que Monsieur le Comte prit place dans le sulky tiré par soumis compelled MDE. Il invitait son Très Cher Ami Monsieur le Marquis à s’installer sur celui tiré par Maïko.
- Nous allons enseigner à ces deux esclaves quelques figures, sans le moindre mot, juste en tirant sur leurs mors. Vous qui êtes un cavalier accompli mon Cher Marquis vous ne devriez pas avoir de problème particulier.
- Je vous suis Cher Ami avec un grand plaisir !
- Commençons par le cercle et la volte !
- Entendu
soumis compelled MDE comprit très vite, la volte était un petit cercle de dix mètres de diamètre, alors que le cercle était une figure de plus grande taille. Puis on enseigna aux deux esclaves le huit de chiffre, une figure comportant deux voltes de diamètre identique, ceux-ci étant tangents au milieu du huit. Monsieur le Comte savait redresser celui transformé en cheval, un instant en tirant sur le mors avant de lui imposer la direction au milieu de la figure. Puis on enseigna aux deux esclaves le reculer, un mouvement rétrograde et symétrique. A plusieurs reprises l’esclave MDE reçut la cravache sur le cul pour le conditionner et le faire travailler comme l’entendait Monsieur le Comte. Un dressage dur, précis, finement mené mais éreintant.
- Ce n’est pas trop mal pour une première, nous pourrons poursuivre l’éducation de ses deux esclaves demain, pour l’heure je vous propose Cher Marquis de les faire se défouler un peu. Pour ce faire, une petite balade sur mes terres, me semble propice, Qu’en pensez-vous ?
- Oui vous avez raison, Très Cher.
Alors les deux esclaves sortirent de la carrière, trainant derrière eux les sulkys sur lesquels étaient assis les Maîtres. Ils reçurent l’ordre d’avancer au pas, puis ils durent trotter un peu, dans les chemins rocailleux, et lorsqu’ils arrivèrent sur une petite route bitumée et ombragée, ils eurent l’autorisation de galoper…. Bien qu’épuisé, l’esclave MDE était quelque peu grisé par ce galop. Les rênes lui claquèrent le dos, pour le motiver encore. Une course effrénée s’engageait, les deux sulkys côte à côte, se défiaient. soumis compelled MDE prit rapidement une longueur d’avance sur Maïko. Il entendait ses pieds claquer le sol et les grelots attachés à ses couilles tintinnabuler. Quel spectacle !
- Votre ‘’esclave-cheval’’ Monsieur le Marquis est bien plus résistant et bien plus rapide que le mien !
- En effet Monsieur le Comte, il a su prouver sa motivation, je suis fier de lui ! Reprit le Maître.
- Dommage toutefois qu’il ait perdu son plug au cours de cette longue chevauchée !
- Oui, effectivement !, Il devra être puni pour cela !
Suants, transpirants, haletants, les deux esclaves reprirent au pas, le chemin de l’écurie. Alberto les débarrassa des accessoires et de leur attelage, puis les entraina juste à côté, dans un petit local, les fit mettre à genoux face à un abreuvoir empli d’eau fraiche. Ils purent boire à volonté, ayant été autorisés à se désaltérer. Puis tournant le dos à l’abreuvoir mais toujours agenouillés et mains sur la tête, Alberto les lava en leur déversant deux grands seaux d’eau tiède sur chacun d’eux. Ruisselants et encore très essoufflés, les deux esclaves regagnèrent la cour du bâtiment agricole pour le rapport du soir. Ils étaient les premiers arrivés. Ils s’installèrent en dog face à l’estrade et séchèrent au soleil couchant en attendant leurs congénères.
Le rapport fut de courte durée ce soir, et seuls deux esclaves durent quitter les rangs pour être punis : Maïko et soumis compelled MDE ! Monsieur le Comte reprocha à Son esclave, son manque de ténacité lors de la course effrénée, et à soumis compelled MDE de n’avoir su retenir son plug pendant cette course. Tous deux furent attachés en croix, dos à dos sous le portique métallique, Alberto leur ôta leur cage de chasteté, puis il désigna un esclave à quatre pattes. Le chien soumis dominé s’approcha près du garde, lui baisa les pieds, puis se redressa et se positionna en attente. Alberto lui fixa un ordre, en espagnol que soumis compelled MDE ne comprit pas. L’esclave quitta les lieux et revint au bout de cinq minutes, tenant dans chacune de ses mains, un gros bouquet d’orties.
Messieurs les Marquis et Comte s’étaient approchés. Ils avaient tous deux chaussés une paire de gants. Chacun d’eux, attrapèrent une brassé d’orties en les montrant ostensiblement aux deux chiens punis.
- Tu comprends bien que tu dois être puni Mon chien ! s’exclama Monsieur le Marquis- Oui Maître Vénéré.
- Tu connais les bienfaits de l’urtication sur la peau, Mon chien.
- Non Maître Vénéré- Alors je vais t’en faire découvrir l’efficacité.
Le Maître glissa alors sous les cuisses écartées de soumis compelled MDE, la poignée d’orties, jusqu’à ses couilles. Dès le contact sur sa peau, le chien MDE sentit naître une vive démangeaison suivie d’une chaleur mordicante. De petites vésicules rougirent ses attributs mâles et l’irritation fut vive et douloureuse. Le Maître frappa plus vivement encore et en tous sens sur le bas ventre de Son chien jusqu’à ce qu’une cuisson brûlante s’y développe. Bizarrement, soumis compelled MDE sentit sa nouille s’échauffer, s’exciter, se redresser à en devenir turgescente et bien raide. L’afflux de sang dilatait les corps caverneux de sa queue au point d’une forte érection, mais aussi mentalement l’esclave éprouvait forte une excitation masochiste à cette douleur urticante.
- Que t’avais-je prédit mon chien… Cette merveilleuse plante est faite pour lutter contre l’impuissance et l’atonie. Tu vois chien, l’ortie restitue la fonction érectile, fonction certes point trop utile pour ta condition de chien, j’en conviens.
Les orties caressèrent encore le corps des deux esclaves, essentiellement sur les zones les plus érogènes ; leurs raies anales et leurs seins, puis les Maîtres abandonnèrent leurs bouquets en les plaçant entre les dos accolés des deux chiens.
- Vous attendrez ainsi, pendant que vos congénères se doucheront. Je vous préviens, si je retrouvais la moindre branche d’orties à terre, il vous en cuirait !
Les deux esclaves furent abandonnés à cette situation, certes pénible mais ô combien excitante de plaisirs maso et ils restèrent là sans bouger, leurs dos bien plaqués, écrasant ces plantes urticantes : de bien douloureuses brûlures éveillant toutefois les sens de ces deux chiens excités. Ce n’est qu’au moment du repas, qu’ils furent libérés, et leur sexe de nouveau encagé. Ils regagnèrent la meute et prirent leur repas à quatre pattes au milieu de leurs congénères. Le repas fut copieux avec des grosses pates et de la viande bouillie. Une fois rassasié, soumis compelled fut enfermé seul, à l’écart, dans une grande cage. Qu’allait-on lui réservé pour cette soirée ? Il resta là longtemps, très longtemps jusqu’au moment où il entendit la porte du bâtiment s’ouvrir. Monsieur le Comte lui-même venait vers lui.
- Prosterne-toi à mes pieds chien, je veux te voir coucher à même le sol, membres en croix.
L’esclave MDE s’offrit dans l’instant. Sans attendre, Monsieur le Comte dégrafa sa braguette, sortit son membre et pissa longuement sur le corps offert de soumis compelled MDE. Une fois sa miction terminée, il ordonna à l’esclave de se positionner en levrette et de laper la pisse au sol et de tout ingurgiter.
- Allez suis moi chien, selon la volonté de Monsieur le Marquis d’Evans, tu es à ma disposition ce soir.
Sitôt arrivés dans une grande pièce s’apparentant à un donjon, soumis compelled reçut l’ordre de se coucher à plat dos sur le sol. Monsieur le Comte sortit plusieurs cordes puis commença à tisser des entrelacs sur le corps offert du soumis MDE. Très vite il s’aperçut que Monsieur le Comte était un expert en Shibari (art japonais), très vite il perçut une forme de déconditionnement. Monsieur le Comte voulait mettre fin aux postures et aux faux-semblants, il voulait voir soumis compelled MDE ne se cachant plus derrière un arsenal d’attitudes qui lui donnaient l’impression d’exister en tant que personne. Il voulait que son bondage vise à briser les défenses du chien MDE, que ce ne soit pas une sorte d’art décoratif visant à sublimer son corps. Il voulait enseigner à l’esclave MDE la beauté. Et la beauté se trouvait lorsque le corps adoptait des postures non-naturelles, c’était quand on lui faisait prendre, grâce à la corde, des poses étranges et contrefaites. Encordé d’une manière méthodique, immobilisé et ainsi humilié soumis compelled MDE, le corps tordu et déformé, sentit toutes sortes de sentiments l’envahir mais son esprit au fil du temps, se libérait de choses contradictoires et se pacifiait. Il glissait doucement, perdant pied et s’abandonnait, privé de tous moyens vers une étrange énergie, l’énergie du désir…
(A suivre…)
Les deux esclaves furent installés et harnachés dans les hampes des sulkys, leur dressage allait pouvoir débuter. D’abord ce fut pour soumis compelled MDE et Maïko, une première mise en jambes, ils durent tourner dans la carrière selon le rythme imposé par Monsieur le Comte et sa longe de cuir au bout de la chambrière. Elle venait caresser leurs culs ou leurs épaules, afin d’accélérer ou ralentir leur déplacement. Elle les touchait simplement pour créer l’impulsion et sans doute les décontracter. Mais les deux esclaves n’étaient pas dupes, cet instrument pouvait également les châtier sévèrement. Monsieur le Comte maniait la chambrière d’une façon naturelle et décontractée, il la faisait vibrer par des gestes courts et rapides juste pour attirer l’attention des deux esclaves tournant en rond. L’objectif de cette première leçon était de leur faire comprendre que par ces légers attouchements, l’instrument n’était pas forcément une agression mais plus une aide pour leur dressage. Ce n’est qu’après une trentaine de minutes, que Monsieur le Comte prit place dans le sulky tiré par soumis compelled MDE. Il invitait son Très Cher Ami Monsieur le Marquis à s’installer sur celui tiré par Maïko.
- Nous allons enseigner à ces deux esclaves quelques figures, sans le moindre mot, juste en tirant sur leurs mors. Vous qui êtes un cavalier accompli mon Cher Marquis vous ne devriez pas avoir de problème particulier.
- Je vous suis Cher Ami avec un grand plaisir !
- Commençons par le cercle et la volte !
- Entendu
soumis compelled MDE comprit très vite, la volte était un petit cercle de dix mètres de diamètre, alors que le cercle était une figure de plus grande taille. Puis on enseigna aux deux esclaves le huit de chiffre, une figure comportant deux voltes de diamètre identique, ceux-ci étant tangents au milieu du huit. Monsieur le Comte savait redresser celui transformé en cheval, un instant en tirant sur le mors avant de lui imposer la direction au milieu de la figure. Puis on enseigna aux deux esclaves le reculer, un mouvement rétrograde et symétrique. A plusieurs reprises l’esclave MDE reçut la cravache sur le cul pour le conditionner et le faire travailler comme l’entendait Monsieur le Comte. Un dressage dur, précis, finement mené mais éreintant.
- Ce n’est pas trop mal pour une première, nous pourrons poursuivre l’éducation de ses deux esclaves demain, pour l’heure je vous propose Cher Marquis de les faire se défouler un peu. Pour ce faire, une petite balade sur mes terres, me semble propice, Qu’en pensez-vous ?
- Oui vous avez raison, Très Cher.
Alors les deux esclaves sortirent de la carrière, trainant derrière eux les sulkys sur lesquels étaient assis les Maîtres. Ils reçurent l’ordre d’avancer au pas, puis ils durent trotter un peu, dans les chemins rocailleux, et lorsqu’ils arrivèrent sur une petite route bitumée et ombragée, ils eurent l’autorisation de galoper…. Bien qu’épuisé, l’esclave MDE était quelque peu grisé par ce galop. Les rênes lui claquèrent le dos, pour le motiver encore. Une course effrénée s’engageait, les deux sulkys côte à côte, se défiaient. soumis compelled MDE prit rapidement une longueur d’avance sur Maïko. Il entendait ses pieds claquer le sol et les grelots attachés à ses couilles tintinnabuler. Quel spectacle !
- Votre ‘’esclave-cheval’’ Monsieur le Marquis est bien plus résistant et bien plus rapide que le mien !
- En effet Monsieur le Comte, il a su prouver sa motivation, je suis fier de lui ! Reprit le Maître.
- Dommage toutefois qu’il ait perdu son plug au cours de cette longue chevauchée !
- Oui, effectivement !, Il devra être puni pour cela !
Suants, transpirants, haletants, les deux esclaves reprirent au pas, le chemin de l’écurie. Alberto les débarrassa des accessoires et de leur attelage, puis les entraina juste à côté, dans un petit local, les fit mettre à genoux face à un abreuvoir empli d’eau fraiche. Ils purent boire à volonté, ayant été autorisés à se désaltérer. Puis tournant le dos à l’abreuvoir mais toujours agenouillés et mains sur la tête, Alberto les lava en leur déversant deux grands seaux d’eau tiède sur chacun d’eux. Ruisselants et encore très essoufflés, les deux esclaves regagnèrent la cour du bâtiment agricole pour le rapport du soir. Ils étaient les premiers arrivés. Ils s’installèrent en dog face à l’estrade et séchèrent au soleil couchant en attendant leurs congénères.
Le rapport fut de courte durée ce soir, et seuls deux esclaves durent quitter les rangs pour être punis : Maïko et soumis compelled MDE ! Monsieur le Comte reprocha à Son esclave, son manque de ténacité lors de la course effrénée, et à soumis compelled MDE de n’avoir su retenir son plug pendant cette course. Tous deux furent attachés en croix, dos à dos sous le portique métallique, Alberto leur ôta leur cage de chasteté, puis il désigna un esclave à quatre pattes. Le chien soumis dominé s’approcha près du garde, lui baisa les pieds, puis se redressa et se positionna en attente. Alberto lui fixa un ordre, en espagnol que soumis compelled MDE ne comprit pas. L’esclave quitta les lieux et revint au bout de cinq minutes, tenant dans chacune de ses mains, un gros bouquet d’orties.
Messieurs les Marquis et Comte s’étaient approchés. Ils avaient tous deux chaussés une paire de gants. Chacun d’eux, attrapèrent une brassé d’orties en les montrant ostensiblement aux deux chiens punis.
- Tu comprends bien que tu dois être puni Mon chien ! s’exclama Monsieur le Marquis- Oui Maître Vénéré.
- Tu connais les bienfaits de l’urtication sur la peau, Mon chien.
- Non Maître Vénéré- Alors je vais t’en faire découvrir l’efficacité.
Le Maître glissa alors sous les cuisses écartées de soumis compelled MDE, la poignée d’orties, jusqu’à ses couilles. Dès le contact sur sa peau, le chien MDE sentit naître une vive démangeaison suivie d’une chaleur mordicante. De petites vésicules rougirent ses attributs mâles et l’irritation fut vive et douloureuse. Le Maître frappa plus vivement encore et en tous sens sur le bas ventre de Son chien jusqu’à ce qu’une cuisson brûlante s’y développe. Bizarrement, soumis compelled MDE sentit sa nouille s’échauffer, s’exciter, se redresser à en devenir turgescente et bien raide. L’afflux de sang dilatait les corps caverneux de sa queue au point d’une forte érection, mais aussi mentalement l’esclave éprouvait forte une excitation masochiste à cette douleur urticante.
- Que t’avais-je prédit mon chien… Cette merveilleuse plante est faite pour lutter contre l’impuissance et l’atonie. Tu vois chien, l’ortie restitue la fonction érectile, fonction certes point trop utile pour ta condition de chien, j’en conviens.
Les orties caressèrent encore le corps des deux esclaves, essentiellement sur les zones les plus érogènes ; leurs raies anales et leurs seins, puis les Maîtres abandonnèrent leurs bouquets en les plaçant entre les dos accolés des deux chiens.
- Vous attendrez ainsi, pendant que vos congénères se doucheront. Je vous préviens, si je retrouvais la moindre branche d’orties à terre, il vous en cuirait !
Les deux esclaves furent abandonnés à cette situation, certes pénible mais ô combien excitante de plaisirs maso et ils restèrent là sans bouger, leurs dos bien plaqués, écrasant ces plantes urticantes : de bien douloureuses brûlures éveillant toutefois les sens de ces deux chiens excités. Ce n’est qu’au moment du repas, qu’ils furent libérés, et leur sexe de nouveau encagé. Ils regagnèrent la meute et prirent leur repas à quatre pattes au milieu de leurs congénères. Le repas fut copieux avec des grosses pates et de la viande bouillie. Une fois rassasié, soumis compelled fut enfermé seul, à l’écart, dans une grande cage. Qu’allait-on lui réservé pour cette soirée ? Il resta là longtemps, très longtemps jusqu’au moment où il entendit la porte du bâtiment s’ouvrir. Monsieur le Comte lui-même venait vers lui.
- Prosterne-toi à mes pieds chien, je veux te voir coucher à même le sol, membres en croix.
L’esclave MDE s’offrit dans l’instant. Sans attendre, Monsieur le Comte dégrafa sa braguette, sortit son membre et pissa longuement sur le corps offert de soumis compelled MDE. Une fois sa miction terminée, il ordonna à l’esclave de se positionner en levrette et de laper la pisse au sol et de tout ingurgiter.
- Allez suis moi chien, selon la volonté de Monsieur le Marquis d’Evans, tu es à ma disposition ce soir.
Sitôt arrivés dans une grande pièce s’apparentant à un donjon, soumis compelled reçut l’ordre de se coucher à plat dos sur le sol. Monsieur le Comte sortit plusieurs cordes puis commença à tisser des entrelacs sur le corps offert du soumis MDE. Très vite il s’aperçut que Monsieur le Comte était un expert en Shibari (art japonais), très vite il perçut une forme de déconditionnement. Monsieur le Comte voulait mettre fin aux postures et aux faux-semblants, il voulait voir soumis compelled MDE ne se cachant plus derrière un arsenal d’attitudes qui lui donnaient l’impression d’exister en tant que personne. Il voulait que son bondage vise à briser les défenses du chien MDE, que ce ne soit pas une sorte d’art décoratif visant à sublimer son corps. Il voulait enseigner à l’esclave MDE la beauté. Et la beauté se trouvait lorsque le corps adoptait des postures non-naturelles, c’était quand on lui faisait prendre, grâce à la corde, des poses étranges et contrefaites. Encordé d’une manière méthodique, immobilisé et ainsi humilié soumis compelled MDE, le corps tordu et déformé, sentit toutes sortes de sentiments l’envahir mais son esprit au fil du temps, se libérait de choses contradictoires et se pacifiait. Il glissait doucement, perdant pied et s’abandonnait, privé de tous moyens vers une étrange énergie, l’énergie du désir…
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