Tour de chauffe pour Marie-Paule - histoire érotique

Nous sommes début des années 1990, un dimanche après-midi, par une journée de forte chaleur. Recherchant un endroit plus frais, je suis installé dans le salon, regardant le grand prix de F1. Ma femme, une inconditionnelle du bronzage, descend sur la terrasse de notre appartement pour améliorer le hâle de sa peau. Elle se prépare, installe sa chaise longue et la recouvre d'un drap de bain. Notre terrasse est en contrebas des appartements voisins et chacun est séparé d'une haie de thuyas. Marie- Paule très courtement vêtue, dégrafe son corsage, se met les seins nus, descend sa jupette, et préfère garder son string blanc en dentelles que le maillot de bains. Il est vrai que ce string cache vraiment le minimum, la finesse de la dentelle, rend parfaitement visible son sexe, quand au derrière la ficelle, se perd dans la fente de son cul bien rond, ce qui lui promet un bronzage quasi intégral. Après s'être enduite les seins et sa face d'huile de bronzage, mon épouse s'installe sur le dos, sur la chaise longue. Bien allongée, les cuisses légèrement écartées, le soleil la saisit. Les tours de circuits défilent, arrive l'heure d'une page de pub, c'est le moment choisi pour descendre prendre un verre. Je jette un coup d’œil sur la terrasse et demande à ma compagne si éventuellement, elle a besoin de quelques choses. Là, elle me demande de lui appliquer de la crème, ce que je fais immédiatement. Je lui passe l'huile dans le dos, reviens un peu devant sur ses seins, qui fermissent à chaque passage de mes mains, redescends entre ses cuisses, où également je profite de passer un doigt sous son string et je l'abandonne ainsi un peu sur sa faim. Elle reprend sa position sur la chaise et continue ainsi à parfaire son bronzage. Je remonte et termine de regarder le grand prix, pour redescendre environ une heure plus tard. Je rejoints Marie-Paule qui m'annonce que le fils de nos voisins âgé de dix-neuf ans, la mâte derrière les persiennes d'une chambre située à l'étage. Sachant cela et apercevant très vite l'ombre du jeune homme, je commence à exciter ma femme, qui à ma surprise ne me repousse pas dans mes ardeurs. Assis à ces côtés, mes deux doigts de ma main droite lui écartent la fine dentelle de son string et me mets à lui sucer les lèvres de sa vulve à température. Ma langue plonger dans son sexe, lui procure de telles sensations qu'elle se cabre sur la chaise longue en empoignant mes cheveux de ses deux mains et laisse échapper des gémissements, en se retenant avec un minimum de discrétion. De l'étage nous entendons quelques bruits, le garçon essaie certainement de trouver le meilleur endroit possible pour nous contempler. C'est le moment que je choisi pour lui enfiler un doigt humide dans son derrière. Savoir que nous sommes observer, me fais bander comme un cerf. J'offre ma bite bien juteuse à la bouche de ma partenaire, qui se précipite comme une chienne affamée. La gloutonne avale mon membre jusqu'aux couilles dans sa gorge profonde et quand il réapparaît, me le retrousse fermement faisant ressortir le gland qu'elle m'aspire avec maturité entre ses lèvres pulpeuses. La cadence infernale qu'elle inflige à ma queue m'oblige à changer de position, si je ne veux pas déjà lui lâcher tout mon jus. Marie-Paule s'allonge sur le côté en s'appuyant sur son coude, je lui passe sa jambe droite entre mes cuisses, et lui lève très haut la jambe gauche qui repose sur mon épaule droite, sans difficulté je lui écarte le string et m'apprête à la baiser. Nos regards complices, nous jetons un coup d’œil à la fenêtre de l'étage et nous positionnons afin que notre jeune spectateur puisse profiter pleinement de nos ébats. Les lèvres de sa vulve s'écartent généreusement au premier passage de mon coups de butoir. Ce mouvement répétitif, enflamme le pourtour de ma queue au contact de la dentelle de son string qu'elle a gardée. Ne se souciant plus de notre entourage, tous les deux, nous baisons et s'offrons du plaisir que nous partageons avec ceux qui désirent nous observer. Cette position avantage une profonde pénétration, permettant de sentir l'entrecuisse de chacun et de jouir intensément. Je me retire, la bite brûlante et saignante et m'étends sur le dos, ma femme me rejoints en me chevauchant, une jambe de chaque côté de la chaise, s'empale sur mon gros cigare et impose sa cadence. Chaussée de ses nu-pieds à hauts talons, et prenant appuis sur le sol, son gros cul claque à chaque descente sur ma bite. Elle m'en demande plus , je me raidis alors, faisant ainsi ressortir les formes de mon gland, lui remplissant pleinement l'intérieur de son vagin. Très concentré par le désir de bien la remplir, j'enchaîne les positions et la prends en levrette. Son gros cul bien rond s'offrant à moi, au bout de quelques minutes dans une débauche totale de cris de gémissements et de plaisirs intenses, je sens la crème qui monte, demande à Marie-Paule de se retourner et lui lâche tout mon jus sur ses seins bien dorés. Elle se masse le corps de mon précieux nectar et se laisse à nouveau saisir par les rayons du soleil, quand soudain nous entendons notre jeune voyeur qui s'abandonne au plaisir d'une bonne masturbation. Avec un petit clin d’œil complice, j'abandonne mon épouse à son bronzage dont son corps recouvert de sperme protége sa peau. Je reviens un peu plus tard, vers 18 H et demande à ma femme si elle a besoin d'une nouvelle application. Sa réponse est celle que j'espérais:

"- Oui."

Nous partons pour la salle de bains, elle me précéde revêtue de son string et chaussée de ses mules à hauts talons, dans une démarche ultra bandante. Arrivés prés de la baignoire elle se penche pour ouvrir les robinets, son gros pétard m'invite à la prendre, je lui descends son string et lui enfile ma queue dans son derrière, le passage est délicat avec les restants de sperme séché, mais mes deux mains posés sur ses fesses écartent largement le passage. Je la pénétre doucement avec quelques hurlements, je lui enfonce ma queue en totalité, une fois son cul bien rempli, nous nous retournons, m'assieds sur le rebord de la baignoire, toujours empalée sur mon cierge, Marie-Paule s'envoie en l'air, ses cris déchirent le silence des appartements voisins, mes mains pétrissent le bout de ses seins, et masturbent sa moule dans des:

" - Vas y! Bourre moi mon salaud! Ouii! J'en veux encore! Oh qu'elle est bonne! Oh qu'elle est bonne ta queuuue!!! Ouiii!!!!"

Tous les deux dans une grande jouissance, j'éjacule et inonde son gros cul de mon sperme.

Nous nous embrassons, se donnons un baiser pour remerciements et plongeons dans un bon bain.