Tour Italie, Paris XIIIème
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tour Italie, Paris XIIIème
Christiane
Jpj, Paris, août 1972
Une tour ronde, une tour noire
Haute, très haute.
Qui marquait une sorte de no man’s land de banlieue sur la belle avenue d’Italie, Maison Blanche, Tolbiac.
En ces temps-là Paris était en chantier dantesque et ce quartier vivait dans la nuit des projecteurs la valse des scrapers Liebherr jaune sale hurlant leurs diesels bodybuldés qui défonçaient sol et murailles des vieux immeubles.
Christiane était petite Lorraine exilée en la capitale avec ses deux frères, loin de sa famille loin de son père de sa mère loin de son village.
Christiane était petite comptable dans une grosse boîte parisienne, d’équity.
Christiane habitait un gros immeuble moderne rue Gandon derrière la grande Tour, à l’ombre d’icelle.
Le soir, quand le soleil de l’été parisien tombait sur l’ouest, la tour se dressait, gigantesque devant sa fenêtre, devant l’unique fenêtre de son petit home, de son studio cabine, de sa piaule salon salle à manger cuisine de fille seule.
Elle me disait, c’est le moment triste de ma vie tous les soirs, quand le ciel est rouge pour tout le monde sauf pour moi.
Christiane alors se blottissait dans mes bras. Elle était chaude de corps et moi j’aimais ça. Vachement. Et le soleil disparu derrière la grande tour n’avait pas prise sur moi.
Christiane avait ce que l’on appelle un corps replet. Elle était bonne à toucher. Surtout quand elle était toute nue dans son lit dans mes bras. enfin, moi j’aimais ça et mes mains tripotaient ses bras, sa taille, son thorax, ses cuisses.
Ses cuisses étaient pleines, fortes, charnues et elle avait souplesse de danseuse pour les ouvrir et m’offrir havre entre elles, au creux d’elles.
Ses seins étaient modestes, je dirais même un peu décevants. Une jolie fille potelée comme elle était eût dû porter de beaux nibars. Comme on dit entre nous les gars, une forte poitrine…
Mais ce n’était pas le cas, Christiane avait de petits seins de gamine auxquels elle ne portait guère attention. Elle n’avait ni brassière ni soutien-gorge et quand elle circulait en civil, au bureau, dans la rue, à sa maison, personne n’avait yeux sur ceux-ci tout simplement parce qu’ils n’existaient pas ou presque.
Pourtant, moi qui les connaissais bien, je puis vous dire que les petits seins de Christiane étaient fort intéressants. D’abord leur consistance était agréable à la paume et je me régalais de les prendre à deux mains et de les serrer fort tout en bisant la bouche de Christiane de mes lèvres et de ma langue incursive.
Ces seins plutôt plats, étaient durs, faits de chairs fermes qui vivaient sous mes doigts. Je pensais, en la tripotant, quel bonheur que de sentir cette dureté de son corps qui emplit mes paumes et résiste à mes empoignades.
J’avais eu de ces copines aux gros seins mous, fluides sous la main, qui, quand elles étaient allongées sur le dos, filaient de part et d’autre de leur poitrine, ne laissant sur le dessus que de maigres collines au téton à peine marqué.
Tout ça pour vous dire que Christiane avait, elle, un thorax bien sympa à caresser d’autant qu’à peine on y mettait la main, ses deux pointus pointaient tendres roses saillants doux et bandés. Et qu’elle arborait en synchro un bon sourire de fille contente, bien contente.
Thérèse, qui rit quand on la baise. Enfin une fille BAB, bonne à baiser, qui fait le bonheur des gars en amitié, en simple amitié.
Le seul vrai problème de cette fille était cette Tour Italie devant sa fenêtre qui faisait ombre à ses crépuscules de fin mai à début octobre.
Elle me disait, ce soleil pourrait changer sa course d’une année sur l’autre, mais non, c’est chaque fois pareil arrivé le printemps et les beaux embrasements de soirée rouge flamboyants tout se passe derrière la tour et moi je manque tout.
Elle me serrait dans ses bras et me disait, viens donc chez moi plutôt en hiver.
Et moi je trouvais que ses hanches de petite Lorraine taille fine et cuisses musclées n’en n’avaient rien à faire du soleil derrière la tour et que j’allais bientôt sans retenue aucune offrir à son ventre ma moisson de semaine printanière.
Alors, vie parisienne, j’arrivais chez elle après le boulot, parquant tant bien que mal ma caisse dans la rue Candon au départ des employés du quartier et je grimpais à ses étages, snobant l’ascenseur. Son petit loft moderne était baigné du soleil de crépuscule et elle m’amenait à son balcon pour, disait-elle, voir la tour.
On s’asseyait ensemble dans un grand Airborne rouge et on matait, elle sur mes genoux, moi les mains à sa taille à ses seins, le coucher du soleil derrière la tour.
Quand l’ombre était tombée, je la retournais et la serrait dans mes bras pour l’embrasser et l’aimer. Elle me disait, le soleil, lui, est parti derrière la tour mais toi tu es là tu es bien là et, j’en suis bien aise, tu vas me prendre.
Christiane me disait, fais-toi couler un bain et je te rejoins. Moi qui n’avais chez moi qu’une modeste douche, je me régalais de l’idée de sa baignoire. En sus garnie d’elle la baignoire, pensez le bonheur que c’était...
On traînait face à face emmêlés dans l’eau chaude, chacun adossé au fond de plastique blanc de la baignoire, les robinets entre nous au milieu qui crachaient l’eau bouillonnante brûlante.
Je matais sa frimousse rieuse, menton au ras de l’eau, et son petit corps immergé, thorax plat à peine ourlé de ses petits nibars larges aux aréoles roses, cuisses épaisses enroulées dans les miennes et sa touffe sombre trouble dans les remous des eaux jaillissant du robinet.
Elle, avait yeux baissés braqués sur mon organe. Mon organe qui flottait entre deux eaux. Moment elle a tendu la main pour toucher. C’était bon. Bon, bon, bon. Pouvez pas savoir combien c’était bon.
Au retour dans son salon, face à sa fenêtre, la tour était toujours là obscurcissant la soirée et nous on était tout nus main dans la main à regarder les lueurs rouges de part et d’autre du bâtiment immense devant nous.
Christiane aimait l’amour et me serrait dans ses bras, son ventre collé au mien et son grand lit king size de petite fille lorraine amoureuse était baigné des lueurs rougeâtres de crépuscule.
J’ai aimé tout cela et si je vous parle ce soir de ces souvenirs c’est que Christiane a été importante pour moi.
Et la Tour Italie aussi.
Putain de tour.
Jpj, Paris, août 1972
Une tour ronde, une tour noire
Haute, très haute.
Qui marquait une sorte de no man’s land de banlieue sur la belle avenue d’Italie, Maison Blanche, Tolbiac.
En ces temps-là Paris était en chantier dantesque et ce quartier vivait dans la nuit des projecteurs la valse des scrapers Liebherr jaune sale hurlant leurs diesels bodybuldés qui défonçaient sol et murailles des vieux immeubles.
Christiane était petite Lorraine exilée en la capitale avec ses deux frères, loin de sa famille loin de son père de sa mère loin de son village.
Christiane était petite comptable dans une grosse boîte parisienne, d’équity.
Christiane habitait un gros immeuble moderne rue Gandon derrière la grande Tour, à l’ombre d’icelle.
Le soir, quand le soleil de l’été parisien tombait sur l’ouest, la tour se dressait, gigantesque devant sa fenêtre, devant l’unique fenêtre de son petit home, de son studio cabine, de sa piaule salon salle à manger cuisine de fille seule.
Elle me disait, c’est le moment triste de ma vie tous les soirs, quand le ciel est rouge pour tout le monde sauf pour moi.
Christiane alors se blottissait dans mes bras. Elle était chaude de corps et moi j’aimais ça. Vachement. Et le soleil disparu derrière la grande tour n’avait pas prise sur moi.
Christiane avait ce que l’on appelle un corps replet. Elle était bonne à toucher. Surtout quand elle était toute nue dans son lit dans mes bras. enfin, moi j’aimais ça et mes mains tripotaient ses bras, sa taille, son thorax, ses cuisses.
Ses cuisses étaient pleines, fortes, charnues et elle avait souplesse de danseuse pour les ouvrir et m’offrir havre entre elles, au creux d’elles.
Ses seins étaient modestes, je dirais même un peu décevants. Une jolie fille potelée comme elle était eût dû porter de beaux nibars. Comme on dit entre nous les gars, une forte poitrine…
Mais ce n’était pas le cas, Christiane avait de petits seins de gamine auxquels elle ne portait guère attention. Elle n’avait ni brassière ni soutien-gorge et quand elle circulait en civil, au bureau, dans la rue, à sa maison, personne n’avait yeux sur ceux-ci tout simplement parce qu’ils n’existaient pas ou presque.
Pourtant, moi qui les connaissais bien, je puis vous dire que les petits seins de Christiane étaient fort intéressants. D’abord leur consistance était agréable à la paume et je me régalais de les prendre à deux mains et de les serrer fort tout en bisant la bouche de Christiane de mes lèvres et de ma langue incursive.
Ces seins plutôt plats, étaient durs, faits de chairs fermes qui vivaient sous mes doigts. Je pensais, en la tripotant, quel bonheur que de sentir cette dureté de son corps qui emplit mes paumes et résiste à mes empoignades.
J’avais eu de ces copines aux gros seins mous, fluides sous la main, qui, quand elles étaient allongées sur le dos, filaient de part et d’autre de leur poitrine, ne laissant sur le dessus que de maigres collines au téton à peine marqué.
Tout ça pour vous dire que Christiane avait, elle, un thorax bien sympa à caresser d’autant qu’à peine on y mettait la main, ses deux pointus pointaient tendres roses saillants doux et bandés. Et qu’elle arborait en synchro un bon sourire de fille contente, bien contente.
Thérèse, qui rit quand on la baise. Enfin une fille BAB, bonne à baiser, qui fait le bonheur des gars en amitié, en simple amitié.
Le seul vrai problème de cette fille était cette Tour Italie devant sa fenêtre qui faisait ombre à ses crépuscules de fin mai à début octobre.
Elle me disait, ce soleil pourrait changer sa course d’une année sur l’autre, mais non, c’est chaque fois pareil arrivé le printemps et les beaux embrasements de soirée rouge flamboyants tout se passe derrière la tour et moi je manque tout.
Elle me serrait dans ses bras et me disait, viens donc chez moi plutôt en hiver.
Et moi je trouvais que ses hanches de petite Lorraine taille fine et cuisses musclées n’en n’avaient rien à faire du soleil derrière la tour et que j’allais bientôt sans retenue aucune offrir à son ventre ma moisson de semaine printanière.
Alors, vie parisienne, j’arrivais chez elle après le boulot, parquant tant bien que mal ma caisse dans la rue Candon au départ des employés du quartier et je grimpais à ses étages, snobant l’ascenseur. Son petit loft moderne était baigné du soleil de crépuscule et elle m’amenait à son balcon pour, disait-elle, voir la tour.
On s’asseyait ensemble dans un grand Airborne rouge et on matait, elle sur mes genoux, moi les mains à sa taille à ses seins, le coucher du soleil derrière la tour.
Quand l’ombre était tombée, je la retournais et la serrait dans mes bras pour l’embrasser et l’aimer. Elle me disait, le soleil, lui, est parti derrière la tour mais toi tu es là tu es bien là et, j’en suis bien aise, tu vas me prendre.
Christiane me disait, fais-toi couler un bain et je te rejoins. Moi qui n’avais chez moi qu’une modeste douche, je me régalais de l’idée de sa baignoire. En sus garnie d’elle la baignoire, pensez le bonheur que c’était...
On traînait face à face emmêlés dans l’eau chaude, chacun adossé au fond de plastique blanc de la baignoire, les robinets entre nous au milieu qui crachaient l’eau bouillonnante brûlante.
Je matais sa frimousse rieuse, menton au ras de l’eau, et son petit corps immergé, thorax plat à peine ourlé de ses petits nibars larges aux aréoles roses, cuisses épaisses enroulées dans les miennes et sa touffe sombre trouble dans les remous des eaux jaillissant du robinet.
Elle, avait yeux baissés braqués sur mon organe. Mon organe qui flottait entre deux eaux. Moment elle a tendu la main pour toucher. C’était bon. Bon, bon, bon. Pouvez pas savoir combien c’était bon.
Au retour dans son salon, face à sa fenêtre, la tour était toujours là obscurcissant la soirée et nous on était tout nus main dans la main à regarder les lueurs rouges de part et d’autre du bâtiment immense devant nous.
Christiane aimait l’amour et me serrait dans ses bras, son ventre collé au mien et son grand lit king size de petite fille lorraine amoureuse était baigné des lueurs rougeâtres de crépuscule.
J’ai aimé tout cela et si je vous parle ce soir de ces souvenirs c’est que Christiane a été importante pour moi.
Et la Tour Italie aussi.
Putain de tour.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de me rappeler au travers de cette histoire sympa une période de ma vie !
Cette année là j'habitais entre les Gobelins et la place d'Italie, alors la Tour je connaissais ....
Cette année là j'habitais entre les Gobelins et la place d'Italie, alors la Tour je connaissais ....