Tourisme sexuel de ma femme dans les dolomites
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2009 dans la catégorie Plus on est
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Tourisme sexuel de ma femme dans les dolomites
Cette fois nous campions en caravane toujours en camping sauvage à coté du logo négro, en plein massif des Dolomites. Nous étions très à l'écart du monde et mon épouse à son habitude, toujours en tête des envie se sexe était intenable. Le godemiché dès le réveil, à croire que ma bite ne lui suffisait pas. Un après-midi, j'étais allé faire des provisions et à mon retour, j'entre dans la caravane et trouve ma femme affalée sur le lit, le godemiché enfilé dans son cul et sa main droite sur son clitoris. Elle avait simplement soulevé sa robe et enlevé son slip pour se faire l'amour. Ma arrivée ne la dérangeait pas, au contraire, elle m'accueillait avec pas et un large sourire.
Elle se mettait à jouir seule. Nous avons baisé aussitôt après, elle avait besoin de ^ma bite dans le con. Comme j'aimais énormément la baiser, je ne rechignais pour la satisfaire. Elle me demandait mets moi la dans le con, et je la lui mettais. Après avoir bien jouit elle arrangeait sa robe et remettait son slip en place.
La nuit venue, nous nous mettions en tenue vespérale: c'est à dire entièrement nus. Nous avons recommencé à baiser une bonne partie de la nuit. J'avais envie qu'elle m'encule un peu
pendant un 69. Elle savait le faire très bien. Pour ma part en la suçant je lui mettait deux ou trois doigts dans le rectum. Comme c'était les vacances, elle voulait que je la suce à nouveau mais sa tête en bas. C'était difficile mais finalement je suis arrivé à lui mettre la bouche sur le con. Elle disait des gros mots sur elle: c'était une grosse vache, une truie, une putain de bas étage. Bref elle était la lie de la société.
Le matin au réveil, comme chaque jour, elle se branlait et me donnait envie d'en faire autant. Nous formions un couple sans pudeur. Nous nous regardions nous faire du bien l'un l'autre. D'une part c'était excitant et d'autre part nous éprouvions encore plus de jouissance. En nous levant nous sortions pour une promenade en pleine montagne. Mais à notre surprise une autre caravane était venue se garer pas très loin de la nôtre. C'était un couple d'allemands de notre age. Elle était très fine de traits et surtout son corps rayonnait de sensualité. Lui était aussi grand que moi. Nous les avons salués alors que nous les aurions envoyés au diable. Ils s'approchaient de nous et dans un italien incompréhensible ou presque s'excusait de s'être installé si près de nous. Nous comprenions vaguement que la jeune femme avait peur d'être trop isolée. Enfin que faire ? Ma femme regardait la fille et me disait qu'elle était bien belle et qu'elle se la ferait bien. J'avoue que de mon coté je n'étais pas insensible aux charmes de sa poitrine qui visiblement ne devait pas porter des dessous bien épais. L'homme aussi ne déplaisait pas à mon épouse. J'en ferais bien mon 4 heures disait-elle.
Pour se faire pardonner leur incursion dans notre "domaine", la fille nous invitait dans leur caravane pour partager leur repas. Connaissant les capacité culinaire des germains, ma femme insistait et ils acceptaient de venir chez nous. Nous possédions quelques boites de conserve française et ferions avec. Les voisins sortaient leur tables de camping et nous étions installés en plein soleil.
Au bon d'un moment le soleil tapait et ma femme, soir disant pour brunir, ôtait son soutient gorge.L'allemande l'imitait et nous pouvions voir enfin une poitrine en forme de poire d'un maintien extraordinaire. Les tétons saillaient: c'était une invitation au crime. de mon coté je me mettait torse nu, imité par l'allemand qui du coup était plus musclé que prévu. Ma femme me disait qu'il ferait bien l'affaire lui aussi. Pour épisser un peu le repas, mon épouse enlevais le slip de bain et nue, servait nos hôtes.elle frôlait souvent, trop souvent les seins de l'allemande qui commençait à lui jeter des regard troublant: elle avait compris que ma femme voulait lui faire l'amour. Elle elle devant en parler avec son mari, qui d'un signe de tête semblait lui dire d'accepter. Enfin c'est ce que je pensais comprendre. Je ne me trompais pas, la fille elle aussi se débarrassait de son slip et nous pouvons voir son sexe blond, comme ses cheveux. A un moment ma femme en passant près d'elle le frôlait, mais cette fois, la fille répondais en prenant un sein entre ses mains et l'embrassait. Ma femme se laisser faire. elle aimait qu'une autre femme prenne l'initiative des choses de l'amour. Je bandais et ma pine dépassait du slip, vers le haut. Je n'était pas le seul l'homme bandait aussi: il devait être bien monté puisque la bite dépassait encore du slip. Enfin les deux filles étaient nues et s'embrassaient déjà comme si elle se connaissaient depuis longtemps. Elles se frottaient et on pouvait voir leur poitrine se froler. Les mains sur les fesses cherchaient la raie pour y renter un ou deux doigts. L'homme rentrait chercher une grande couverture qu'il installait dans l'herbe. Les deux femmes enlacées se couchaient et commençaient à se branler. A ma surprise ce n'était pas ma femme qui jouissait la première, mais cette gretchen qui se tordait pendant l'orgasme. Je n'y tenait plus et à mon tour je ne déshabillais, suivi par l'allemand. je pouvait voir que sa pine était plus grosse que la mienne
Elle faisaient un 69, suivit d'un con à con où elles prenaient leur plaisir du con de l'autre directement. Elle se refaisaient encore un 69 et enfin nous invitaient à venir leur faire l'amour. Je demandais bêtement à ma femme si sa compagne baisait bien, sa réponse positive venait;
Tu en jouira beaucoup parce que moi je l'ai fais.
L'allemand allait vers ma femme pendant que je commençait à lutiner la sienne. je l'embrassait profondément et je lui pelotait les seins que je trouvait parfait à caresser. Elle me prenait la bite dans une main et me branlait déjà. Je l'arrêtait non pas parce qu'elle me branlait mal mais parce que je voulais la baiser. Mais avant je la suçais et je trouvais un gout très agréable à sa cyprine.
Je prenais entre mes lèvres son clitoris comme ma femme venait de lui faire et je lui mettait deux doigts au cul: elle ouvrait les fesses. Elle jouissait très vite, à tel point que je la suçais deux fois de suite. Enfin je la mettait sur le dos en en missionnaire, je la lui mettais dans le con. Là encore, elle jouissait rapidement. Je continuais et elle jouissant encore. Enfin je la faisait mettre en levrette et elle écartait d'elle même ses fesse, elle mettait de son jus sur son trou et je pouvait enfin l'enculer. Pour moi qui aime bien enculer les filles j'étais tomber sur un bon numéro. Elle acceptait ma bite dans le cul, mais elle aimait se faire branler. J'ai jouis dans ce magnifique cul offert.
Ma femme elle, était aux prises avec l'allemand et semblait jouir comme une petite folle. Il lui avait sucer le con , baiser enculer, et ils faisaient un 69 à l'instant. je voyait qu'elle aussi avait mis des doigts dans le cul de son amant d'un jour. Ils jouissait et je voyait mon épouse avaler le sperme comme d'habitude.
Nous nous sommes arrêter pour nous reposer un peu. Ma femme me disait que pour une fois elle avait eu un peu mal au début en se faisant mettre dans le cul: il était trop bien monté. Je lui disait que pour ma part j'avais beaucoup jouis avec le blonde et elle me disait qu'elle aussi, surtout con à con: c'était rare les filles qui le faisait aussi bien qu'elle.
Nous avons recommencé une séance de baise le soir, mais nous étions réèllement crevés. Le lendemain matin le couple était parti. Nous les regrettions un peu: ils baisaient très bien.
Elle se mettait à jouir seule. Nous avons baisé aussitôt après, elle avait besoin de ^ma bite dans le con. Comme j'aimais énormément la baiser, je ne rechignais pour la satisfaire. Elle me demandait mets moi la dans le con, et je la lui mettais. Après avoir bien jouit elle arrangeait sa robe et remettait son slip en place.
La nuit venue, nous nous mettions en tenue vespérale: c'est à dire entièrement nus. Nous avons recommencé à baiser une bonne partie de la nuit. J'avais envie qu'elle m'encule un peu
pendant un 69. Elle savait le faire très bien. Pour ma part en la suçant je lui mettait deux ou trois doigts dans le rectum. Comme c'était les vacances, elle voulait que je la suce à nouveau mais sa tête en bas. C'était difficile mais finalement je suis arrivé à lui mettre la bouche sur le con. Elle disait des gros mots sur elle: c'était une grosse vache, une truie, une putain de bas étage. Bref elle était la lie de la société.
Le matin au réveil, comme chaque jour, elle se branlait et me donnait envie d'en faire autant. Nous formions un couple sans pudeur. Nous nous regardions nous faire du bien l'un l'autre. D'une part c'était excitant et d'autre part nous éprouvions encore plus de jouissance. En nous levant nous sortions pour une promenade en pleine montagne. Mais à notre surprise une autre caravane était venue se garer pas très loin de la nôtre. C'était un couple d'allemands de notre age. Elle était très fine de traits et surtout son corps rayonnait de sensualité. Lui était aussi grand que moi. Nous les avons salués alors que nous les aurions envoyés au diable. Ils s'approchaient de nous et dans un italien incompréhensible ou presque s'excusait de s'être installé si près de nous. Nous comprenions vaguement que la jeune femme avait peur d'être trop isolée. Enfin que faire ? Ma femme regardait la fille et me disait qu'elle était bien belle et qu'elle se la ferait bien. J'avoue que de mon coté je n'étais pas insensible aux charmes de sa poitrine qui visiblement ne devait pas porter des dessous bien épais. L'homme aussi ne déplaisait pas à mon épouse. J'en ferais bien mon 4 heures disait-elle.
Pour se faire pardonner leur incursion dans notre "domaine", la fille nous invitait dans leur caravane pour partager leur repas. Connaissant les capacité culinaire des germains, ma femme insistait et ils acceptaient de venir chez nous. Nous possédions quelques boites de conserve française et ferions avec. Les voisins sortaient leur tables de camping et nous étions installés en plein soleil.
Au bon d'un moment le soleil tapait et ma femme, soir disant pour brunir, ôtait son soutient gorge.L'allemande l'imitait et nous pouvions voir enfin une poitrine en forme de poire d'un maintien extraordinaire. Les tétons saillaient: c'était une invitation au crime. de mon coté je me mettait torse nu, imité par l'allemand qui du coup était plus musclé que prévu. Ma femme me disait qu'il ferait bien l'affaire lui aussi. Pour épisser un peu le repas, mon épouse enlevais le slip de bain et nue, servait nos hôtes.elle frôlait souvent, trop souvent les seins de l'allemande qui commençait à lui jeter des regard troublant: elle avait compris que ma femme voulait lui faire l'amour. Elle elle devant en parler avec son mari, qui d'un signe de tête semblait lui dire d'accepter. Enfin c'est ce que je pensais comprendre. Je ne me trompais pas, la fille elle aussi se débarrassait de son slip et nous pouvons voir son sexe blond, comme ses cheveux. A un moment ma femme en passant près d'elle le frôlait, mais cette fois, la fille répondais en prenant un sein entre ses mains et l'embrassait. Ma femme se laisser faire. elle aimait qu'une autre femme prenne l'initiative des choses de l'amour. Je bandais et ma pine dépassait du slip, vers le haut. Je n'était pas le seul l'homme bandait aussi: il devait être bien monté puisque la bite dépassait encore du slip. Enfin les deux filles étaient nues et s'embrassaient déjà comme si elle se connaissaient depuis longtemps. Elles se frottaient et on pouvait voir leur poitrine se froler. Les mains sur les fesses cherchaient la raie pour y renter un ou deux doigts. L'homme rentrait chercher une grande couverture qu'il installait dans l'herbe. Les deux femmes enlacées se couchaient et commençaient à se branler. A ma surprise ce n'était pas ma femme qui jouissait la première, mais cette gretchen qui se tordait pendant l'orgasme. Je n'y tenait plus et à mon tour je ne déshabillais, suivi par l'allemand. je pouvait voir que sa pine était plus grosse que la mienne
Elle faisaient un 69, suivit d'un con à con où elles prenaient leur plaisir du con de l'autre directement. Elle se refaisaient encore un 69 et enfin nous invitaient à venir leur faire l'amour. Je demandais bêtement à ma femme si sa compagne baisait bien, sa réponse positive venait;
Tu en jouira beaucoup parce que moi je l'ai fais.
L'allemand allait vers ma femme pendant que je commençait à lutiner la sienne. je l'embrassait profondément et je lui pelotait les seins que je trouvait parfait à caresser. Elle me prenait la bite dans une main et me branlait déjà. Je l'arrêtait non pas parce qu'elle me branlait mal mais parce que je voulais la baiser. Mais avant je la suçais et je trouvais un gout très agréable à sa cyprine.
Je prenais entre mes lèvres son clitoris comme ma femme venait de lui faire et je lui mettait deux doigts au cul: elle ouvrait les fesses. Elle jouissait très vite, à tel point que je la suçais deux fois de suite. Enfin je la mettait sur le dos en en missionnaire, je la lui mettais dans le con. Là encore, elle jouissait rapidement. Je continuais et elle jouissant encore. Enfin je la faisait mettre en levrette et elle écartait d'elle même ses fesse, elle mettait de son jus sur son trou et je pouvait enfin l'enculer. Pour moi qui aime bien enculer les filles j'étais tomber sur un bon numéro. Elle acceptait ma bite dans le cul, mais elle aimait se faire branler. J'ai jouis dans ce magnifique cul offert.
Ma femme elle, était aux prises avec l'allemand et semblait jouir comme une petite folle. Il lui avait sucer le con , baiser enculer, et ils faisaient un 69 à l'instant. je voyait qu'elle aussi avait mis des doigts dans le cul de son amant d'un jour. Ils jouissait et je voyait mon épouse avaler le sperme comme d'habitude.
Nous nous sommes arrêter pour nous reposer un peu. Ma femme me disait que pour une fois elle avait eu un peu mal au début en se faisant mettre dans le cul: il était trop bien monté. Je lui disait que pour ma part j'avais beaucoup jouis avec le blonde et elle me disait qu'elle aussi, surtout con à con: c'était rare les filles qui le faisait aussi bien qu'elle.
Nous avons recommencé une séance de baise le soir, mais nous étions réèllement crevés. Le lendemain matin le couple était parti. Nous les regrettions un peu: ils baisaient très bien.
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