Tournante dans la tourmente d'une rivière
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2011 dans la catégorie Plus on est
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Tournante dans la tourmente d'une rivière
Le temps est superbe quoi que la température ne soit pas encore insupportable, une baignade dans les eaux fraîches de la rivière montagneuse qui descend, parfois violemment, de la montagne serait la bienvenue pour la journée.
J'emplis mon sac à dos de la quantité nécessaire de boisson et de nourriture pour la journée, ajoute crème solaire, citronnelle, lecture, casquette, sandales en plastique, plus les ingrédients habituels de mes sorties (cartes, appareil photo, ...), m'habille légèrement, enfile mes chaussures de randonnée, prends un bâton confectionné sur place, et me voilà parti.
Je sais parfaitement où aller : un endroit peu fréquenté car quasiment inaccessible à pied (et encore moins en voiture, le stationnement le plus proche devant se situer à 3 km, avec un dénivelé d'au moins 200 m), et encore à condition de le trouver ! Quant à le joindre par l'amont ou l'aval c'est totalement exclu du fait de la hauteur des chutes d'eau qui l'entourent. cela fait donc une zone d'environ 2 km parfaitement tranquille ... enfin presque. Elle est visible de la rue par endroits, dont au moins deux ponts, l'un passant par dessus l'une des chutes, l'autre longeant la rivière sur le côté et reliant les deux rives d'un de ses affluents ; c'est d'ailleurs ainsi que j'ai eu une fois envie de la rejoindre, mais il m'a fallu un certain nombre d'essais avant d'y parvenir. Les hélicoptères qui survolent de temps en temps la zone en troublent parfois la tranquillité.
Le trajet à pied pour parvenir dans la zone est un peu long, vers la fin je dois gravir une côte importante avant de trouver le chemin conduisant à l'endroit où le bâton et les chaussures de randonnées vont rapidement m'être indispensables.
En récompense avant d'arriver je cueille à volonté framboises, mûres et fraises et bois.
Le solide bâton est nécessaire pour m'ancrer dans le sol et passer d'un arbre à un autre, tout particulièrement en descente car par moments la pente - sans être verticale - est extrèmement importante et il est impossible de ne pas glisser. Plus bas, la difficulté est d'une autre nature : il faut trouver un passage parmi des ronces et des orties, que je me garde bien de coucher pour ne pas dévoiler le passage que j'ai découvert.
J'arrive à un sorte de clairière qui longe la rivière mais très au-dessus de son niveau. Cela ressemble à un chemin de ronde de chateau-fort. Avant de chercher l'endroit où descendre, je recommence à me gâver de fruits des bois.
Je longe une sorte de long muret de pierres jusqu'à un endroit où je peux descendre d'un niveau pour rechercher un autre endroit où poursuivre ma descente vers le lit de la rivière.
On pourrait dire "enfin arrivé !" ; les premières fois, il a fallu repérer l'endroit d'où repartir ...
Je suis en sueur après cet effort en pleine chaleur. Je m'arrête pour enlever chaussures de randonnées et tous mes habits, fourre ces derniers dans le sac à dos, et y accroche les premières. J'enfile les sandales en plastique à cause des rochers coupants par endroits et me dirige vers le lieu que j'ai déjà repéré comme étant pratique pour déposer sur un rocher émergeant suffisamment le sac à dos, et même plus ou moins m'allonger à moitié verticalement lorsque je veux me reposer, ainsi que pour y fixer le bâton sur lequel j'accroche un habit servant de point de repère pour retrouver mes affaires quand je remonte ou redescends la rivière ... enfin jusqu'à ces grandes chutes d'eau.
Le seul inconvénient de ce rocher est qu'il est parfaitement visible du pont qui longe la rivière, mais cela ne me dérange pas : il faudrait vraiment être de la région pour venir directement à cet endroit après avoir zoomé avec des jumelles ; d'ailleurs jusqu'à présent je n'y ai rencontré personne, en tous cas pas à cet endroit de la rivière. Et après tout ...
Après avoir posé mes affaires, mis de la crème solaire, enlevé mes sandales en plastique qui glissent dans l'eau, je pars faire un tour en amont de la rivière, prudemment car le courant est assez violent et on risque de se blesser fortement en retombant sur les rochers. Par endroits il y a de grands trous d'eau, mais on ne peut pas nager car la longueur est insuffisante entre deux rochers.
A mon retour je me fais sécher en me laissant dorer au soleil. Puis je prends mon déjeuner ; quelques guèpes s'incrustent, je m'enduis d'essence de citronnelle, eh oui ça les éloigne autant que les moustiques ; et je m'allonge comme je peux pour faire bronzette.
Je suis dérangé par des voix venant de la sorte de chemin de ronde qui longe la rivière juste à mon niveau, plus ou moins là où j'ai abouti en sortant des ronces et des orties : un groupe de femmes me fait signe, je descends de mon rocher et m'approche d'elles en me demandant comment elles ont pu aboutir à cet endroit. Dans un mauvais anglais elles me demandent comment faire pour accéder au lit de la rivière; je ne peux que le leur indiquer. Je constate qu'elles sont excitées de me voir nu et je m'efforce de ne pas y penser car je crois qu'il vaut mieux éviter que mon phallus se redresse. Je me concentre le plus possible sur les indications et les aide même dans la phase finale de leur descente en leur prenant la main une à une ; elles doivent être pas loin d'une vingtaine ! Elles me remercient et m'accompagnent naturellement, déposent leurs affaires sur la rive, se mettent en tenue plus légère (jupe, short, ou maillot pour celles qui en ont), se mettant à tour de rôle à plusieurs pour faire paravent ... et viennent m'entourer !
Rapidement je sens des frôlements le long de mon corps, de toutes façons je ne suis pas en état de me défendre. Des mains sur mes épaules, puis autour de la taille, sur les cuisses ; enfin mon sexe est manipulé sans que je réagisse. Mon sac et mon bâton sont transportés au milieu de leurs affaires et me voilà peloté par quantités de mains, embrassé, sucé. Je bande terriblement, l'une des jeunes femmes qui semble être la "chef de bande" m'attrape alors les testicules à pleine main, s'allonge le plus possible sur moi, et m'oblige à l'embrasser. Je suis gêné par le rocher, elle prend cela pour de la résistance et me gifle sans ménagement en m'insultant dans sa langue (en allemand) ; cela m'excite encore plus, je prends goulûment sa bouche, sa langue, la caresse de ma main libre, pendant que quantités de mains étrangères me tripotent. Elle arrête de m'embrasser, je lis sur sa bouche un mauvais sourire, et l'entends me dire : "ah c'est comme ça qu'il faut te prendre !" et elle me re-gifle de plus belle. Elle me redresse, m'entraîne vers le bord de l'eau et m'allonge par terre, sur le dos sans ménagement.
Elle retire son pantalon qu'elle avait conservé et son slip, me branle et dès que je suis de nouveau en état s'empale sur mon sexe ; j'ai envie de lui montrer que je reconnais sa domination et colle sa poitrine abondante contre la mienne pendant que je la fouille intérieurement de mon sexe. Elle apprécie et nous nous remettons à nous embrasser. Je prends mon temps et elle réussit à jouir plusieurs fois mais en bonne chef de bande elle pense à ses copines ; elle enlève son T-shirt, m'agrippe par les cheveux et m'oblige à lui sucer les seins pendant que je continue à la fouiller.
Avant que je n'aie joui moi-même, elle se retire, se tourne vers une de ses copines pour lui faire signe que la place est libre ; celle-ci est déjà prête, entièrement nue, très belle, et se rue à son tour sur moi. Elle n'est pas aussi violente, n'en a d'ailleurs pas besoin, je me prête au jeu sans aucune réserve, la retournant même à un moment donné pour plus de facilité dans l'action.
J'ai l'habitude de me retenir et de calmer un peu le jeu pour retarder le moment de ma jouissance avec mes copines, faisant ainsi durer plus longtemps le plaisir commun. Là devant le nombre de celles qui attendent leur tour, je comprends qu'il va falloir mettre en oeuvre cette technique plusieurs fois. Malgré tout seules 4 d'entre elles ont pu profiter de moi lorsque vient le moment de l'éjaculation. Je réussis à sortir de la fille qui se trouvait sur moi, elle m'en sait gré mais est déçue de n'avoir pas été maîtresse de la situation à la différence de celles qui l'ont précédée.
Intervient alors la chef de bande, qui n'entend pas me laisser souffler ; elle m'envoie me nettoyer à la rivière (gla-gla), et par la même occasion me fait faire un lavement par sa bande ; de l'eau quasi glacée dans l'anus, ouah ! Surtout avec l'activation de tas de mains féminines ! J'ai l'humiliation de devoir me vider sur place devant le groupe, après quoi elles me flanquent en entier dans l'eau pour être certaines que je sois bien propre !
Autant dire que quand la chef de bande entreprend de me raviver ... plutôt brutalement en me masturbant, je me colle à elle pour me réchauffer et ne ménage pas mon énergie !
Cette fois-ci, pendant que les filles s'empalent à tour de rôle sur moi des doigts me fouillent ... 2, 3, heureusement cela s'arrête là, peut-être à cause du nombre de candidates, car j'ai un anus plutôt étroit ; et ma bouche doit aussi se partager entre celle de la fille qui me baise, ses seins, et des sexes à sucer.
Au cours de cette seconde série, on me permet quand même de boire de temps en temps, y compris au cours des relations sexuelles, en me versant directement de l'eau de la bouche de l'une des filles dans la mienne. 6 autres femmes me sont passées dessus, mon sexe commence à me brûler, et à la fin je dois le soulager à la rivière ; j'arrive à peine à me relever pour m'y rendre, tout mon corps est endolori, principalement mon dos. Je m'aperçois que je dois vider ma vessie, c'est en public que cela a lieu.
L'après-midi est déjà bien entamée.
La chef de bande ne me laisse pas de répit ; elle rappelle tout le monde, me reflanque par terre, saisit mon sexe à pleine main pour me branler. Je ne sais pourquoi mais la seule sensation de SA main sur mon corps m'excite à nouveau ; elle le sent bien, la garce, et en abuse. Dépêche-toi, me fait-elle comprendre, tout le monde doit y passer.
Je fais de mon mieux pour lui obéir et satisfaire les femmes qui me passent dessus, je ne les compte même plus. Je suis un automate. Je lèche à tout va, bouches, sexes, seins, anus, pieds, au fur et à mesure qu'ils se présentent à moi ; je fais les plus gros efforts pour continuer à me déhancher sous les corps de mes violeuses afin de leur procurer le plus de plaisir possible. Je ne sens plus mon dos ni mes bras, ni mes cuisses, ni mes jambes, ni mes fesses. Les doigts se succèdent pour fouiller mon anus. Mes testicules sont agrippées, broyées, caressées, léchées parfois. On profite de mes mouvements - de si faible amplitude soient-ils - pour me peloter les fesses ...
Je ne sais si c'est l'eau quasi glacée ou les gifles qui me réveillent, j'ai dû perdre conscience. Aussitôt je suis remis debout par la chef de bande, reconduit par la foule jusqu'au lieu choisi par ces dames pour leur orgie, recouché sur le dos, et remasturbé. Comme c'est un peu lent à venir, une des participantes se fend spontanément d'une pipe magistrale, qui me réveille complètement.
Enfin la dernière femme a joui de moi ! Je sentais la tension monter tout autour de moi, et j'en ai confirmation en entendant les hurlements sauvages de toute la bande. Il était temps, je n'en peux plus, je ne sais pas comment je vais pouvoir rentrer.
A ma grande surprise, la chef de bande s'approche de moi, m'aide à me relever et me conduit à la rivière. Elle me fait comprendre qu'il faut que je me lave, je lui obéis ; elle me présente alors une sorte de pullover et s'en sert pour me sécher ; finalement elle a de bons côtés.
Puis elle m'aide à revenir sur la berge, où je sors mes habits de mon sac ; je suis incapable de me rhabiller seul, elle m'aide.
Elle me demande alors d'où je viens, je lui fais signe en lui montrant le haut de la montagne. C'est plus porté par le groupe que marchant par moi-même que je remonte la pente ; je découvre alors qu'il y avait une autre façon d'arriver à la rivière.
Lorsque nous arrivons à la route, le soleil a disparu bien qu'il fasse encore jour.
Le groupe m'accompagne jusqu'à la route principale où se trouve une de leurs voitures ; la plupart sont venues à pied, comme moi. La chef de bande me demande où j'habite. J'hésite à répondre, craignant d'avoir encore à subir de nouveaux viols de leur part ; d'un autre côté je me sens incapable de rentrer à pied, même soutenu ; alors je réponds. Et je me retrouve à l'arrière de la voiture ... à côté de la chef de bande qui me tripote pendant le trajet. Arrivés à destination, elle me demande mon numéro de téléphone et je le lui donne ; elle le vérifie, satisfaite elle sort avec moi et je la laisse pénétrer dans la location. Elle demande alors à ses copines de venir la rechercher le lendemain ... je referme la porte et l'embrasse tendrement pendant qu'elle me déshabille en me traitant de salope.
J'emplis mon sac à dos de la quantité nécessaire de boisson et de nourriture pour la journée, ajoute crème solaire, citronnelle, lecture, casquette, sandales en plastique, plus les ingrédients habituels de mes sorties (cartes, appareil photo, ...), m'habille légèrement, enfile mes chaussures de randonnée, prends un bâton confectionné sur place, et me voilà parti.
Je sais parfaitement où aller : un endroit peu fréquenté car quasiment inaccessible à pied (et encore moins en voiture, le stationnement le plus proche devant se situer à 3 km, avec un dénivelé d'au moins 200 m), et encore à condition de le trouver ! Quant à le joindre par l'amont ou l'aval c'est totalement exclu du fait de la hauteur des chutes d'eau qui l'entourent. cela fait donc une zone d'environ 2 km parfaitement tranquille ... enfin presque. Elle est visible de la rue par endroits, dont au moins deux ponts, l'un passant par dessus l'une des chutes, l'autre longeant la rivière sur le côté et reliant les deux rives d'un de ses affluents ; c'est d'ailleurs ainsi que j'ai eu une fois envie de la rejoindre, mais il m'a fallu un certain nombre d'essais avant d'y parvenir. Les hélicoptères qui survolent de temps en temps la zone en troublent parfois la tranquillité.
Le trajet à pied pour parvenir dans la zone est un peu long, vers la fin je dois gravir une côte importante avant de trouver le chemin conduisant à l'endroit où le bâton et les chaussures de randonnées vont rapidement m'être indispensables.
En récompense avant d'arriver je cueille à volonté framboises, mûres et fraises et bois.
Le solide bâton est nécessaire pour m'ancrer dans le sol et passer d'un arbre à un autre, tout particulièrement en descente car par moments la pente - sans être verticale - est extrèmement importante et il est impossible de ne pas glisser. Plus bas, la difficulté est d'une autre nature : il faut trouver un passage parmi des ronces et des orties, que je me garde bien de coucher pour ne pas dévoiler le passage que j'ai découvert.
J'arrive à un sorte de clairière qui longe la rivière mais très au-dessus de son niveau. Cela ressemble à un chemin de ronde de chateau-fort. Avant de chercher l'endroit où descendre, je recommence à me gâver de fruits des bois.
Je longe une sorte de long muret de pierres jusqu'à un endroit où je peux descendre d'un niveau pour rechercher un autre endroit où poursuivre ma descente vers le lit de la rivière.
On pourrait dire "enfin arrivé !" ; les premières fois, il a fallu repérer l'endroit d'où repartir ...
Je suis en sueur après cet effort en pleine chaleur. Je m'arrête pour enlever chaussures de randonnées et tous mes habits, fourre ces derniers dans le sac à dos, et y accroche les premières. J'enfile les sandales en plastique à cause des rochers coupants par endroits et me dirige vers le lieu que j'ai déjà repéré comme étant pratique pour déposer sur un rocher émergeant suffisamment le sac à dos, et même plus ou moins m'allonger à moitié verticalement lorsque je veux me reposer, ainsi que pour y fixer le bâton sur lequel j'accroche un habit servant de point de repère pour retrouver mes affaires quand je remonte ou redescends la rivière ... enfin jusqu'à ces grandes chutes d'eau.
Le seul inconvénient de ce rocher est qu'il est parfaitement visible du pont qui longe la rivière, mais cela ne me dérange pas : il faudrait vraiment être de la région pour venir directement à cet endroit après avoir zoomé avec des jumelles ; d'ailleurs jusqu'à présent je n'y ai rencontré personne, en tous cas pas à cet endroit de la rivière. Et après tout ...
Après avoir posé mes affaires, mis de la crème solaire, enlevé mes sandales en plastique qui glissent dans l'eau, je pars faire un tour en amont de la rivière, prudemment car le courant est assez violent et on risque de se blesser fortement en retombant sur les rochers. Par endroits il y a de grands trous d'eau, mais on ne peut pas nager car la longueur est insuffisante entre deux rochers.
A mon retour je me fais sécher en me laissant dorer au soleil. Puis je prends mon déjeuner ; quelques guèpes s'incrustent, je m'enduis d'essence de citronnelle, eh oui ça les éloigne autant que les moustiques ; et je m'allonge comme je peux pour faire bronzette.
Je suis dérangé par des voix venant de la sorte de chemin de ronde qui longe la rivière juste à mon niveau, plus ou moins là où j'ai abouti en sortant des ronces et des orties : un groupe de femmes me fait signe, je descends de mon rocher et m'approche d'elles en me demandant comment elles ont pu aboutir à cet endroit. Dans un mauvais anglais elles me demandent comment faire pour accéder au lit de la rivière; je ne peux que le leur indiquer. Je constate qu'elles sont excitées de me voir nu et je m'efforce de ne pas y penser car je crois qu'il vaut mieux éviter que mon phallus se redresse. Je me concentre le plus possible sur les indications et les aide même dans la phase finale de leur descente en leur prenant la main une à une ; elles doivent être pas loin d'une vingtaine ! Elles me remercient et m'accompagnent naturellement, déposent leurs affaires sur la rive, se mettent en tenue plus légère (jupe, short, ou maillot pour celles qui en ont), se mettant à tour de rôle à plusieurs pour faire paravent ... et viennent m'entourer !
Rapidement je sens des frôlements le long de mon corps, de toutes façons je ne suis pas en état de me défendre. Des mains sur mes épaules, puis autour de la taille, sur les cuisses ; enfin mon sexe est manipulé sans que je réagisse. Mon sac et mon bâton sont transportés au milieu de leurs affaires et me voilà peloté par quantités de mains, embrassé, sucé. Je bande terriblement, l'une des jeunes femmes qui semble être la "chef de bande" m'attrape alors les testicules à pleine main, s'allonge le plus possible sur moi, et m'oblige à l'embrasser. Je suis gêné par le rocher, elle prend cela pour de la résistance et me gifle sans ménagement en m'insultant dans sa langue (en allemand) ; cela m'excite encore plus, je prends goulûment sa bouche, sa langue, la caresse de ma main libre, pendant que quantités de mains étrangères me tripotent. Elle arrête de m'embrasser, je lis sur sa bouche un mauvais sourire, et l'entends me dire : "ah c'est comme ça qu'il faut te prendre !" et elle me re-gifle de plus belle. Elle me redresse, m'entraîne vers le bord de l'eau et m'allonge par terre, sur le dos sans ménagement.
Elle retire son pantalon qu'elle avait conservé et son slip, me branle et dès que je suis de nouveau en état s'empale sur mon sexe ; j'ai envie de lui montrer que je reconnais sa domination et colle sa poitrine abondante contre la mienne pendant que je la fouille intérieurement de mon sexe. Elle apprécie et nous nous remettons à nous embrasser. Je prends mon temps et elle réussit à jouir plusieurs fois mais en bonne chef de bande elle pense à ses copines ; elle enlève son T-shirt, m'agrippe par les cheveux et m'oblige à lui sucer les seins pendant que je continue à la fouiller.
Avant que je n'aie joui moi-même, elle se retire, se tourne vers une de ses copines pour lui faire signe que la place est libre ; celle-ci est déjà prête, entièrement nue, très belle, et se rue à son tour sur moi. Elle n'est pas aussi violente, n'en a d'ailleurs pas besoin, je me prête au jeu sans aucune réserve, la retournant même à un moment donné pour plus de facilité dans l'action.
J'ai l'habitude de me retenir et de calmer un peu le jeu pour retarder le moment de ma jouissance avec mes copines, faisant ainsi durer plus longtemps le plaisir commun. Là devant le nombre de celles qui attendent leur tour, je comprends qu'il va falloir mettre en oeuvre cette technique plusieurs fois. Malgré tout seules 4 d'entre elles ont pu profiter de moi lorsque vient le moment de l'éjaculation. Je réussis à sortir de la fille qui se trouvait sur moi, elle m'en sait gré mais est déçue de n'avoir pas été maîtresse de la situation à la différence de celles qui l'ont précédée.
Intervient alors la chef de bande, qui n'entend pas me laisser souffler ; elle m'envoie me nettoyer à la rivière (gla-gla), et par la même occasion me fait faire un lavement par sa bande ; de l'eau quasi glacée dans l'anus, ouah ! Surtout avec l'activation de tas de mains féminines ! J'ai l'humiliation de devoir me vider sur place devant le groupe, après quoi elles me flanquent en entier dans l'eau pour être certaines que je sois bien propre !
Autant dire que quand la chef de bande entreprend de me raviver ... plutôt brutalement en me masturbant, je me colle à elle pour me réchauffer et ne ménage pas mon énergie !
Cette fois-ci, pendant que les filles s'empalent à tour de rôle sur moi des doigts me fouillent ... 2, 3, heureusement cela s'arrête là, peut-être à cause du nombre de candidates, car j'ai un anus plutôt étroit ; et ma bouche doit aussi se partager entre celle de la fille qui me baise, ses seins, et des sexes à sucer.
Au cours de cette seconde série, on me permet quand même de boire de temps en temps, y compris au cours des relations sexuelles, en me versant directement de l'eau de la bouche de l'une des filles dans la mienne. 6 autres femmes me sont passées dessus, mon sexe commence à me brûler, et à la fin je dois le soulager à la rivière ; j'arrive à peine à me relever pour m'y rendre, tout mon corps est endolori, principalement mon dos. Je m'aperçois que je dois vider ma vessie, c'est en public que cela a lieu.
L'après-midi est déjà bien entamée.
La chef de bande ne me laisse pas de répit ; elle rappelle tout le monde, me reflanque par terre, saisit mon sexe à pleine main pour me branler. Je ne sais pourquoi mais la seule sensation de SA main sur mon corps m'excite à nouveau ; elle le sent bien, la garce, et en abuse. Dépêche-toi, me fait-elle comprendre, tout le monde doit y passer.
Je fais de mon mieux pour lui obéir et satisfaire les femmes qui me passent dessus, je ne les compte même plus. Je suis un automate. Je lèche à tout va, bouches, sexes, seins, anus, pieds, au fur et à mesure qu'ils se présentent à moi ; je fais les plus gros efforts pour continuer à me déhancher sous les corps de mes violeuses afin de leur procurer le plus de plaisir possible. Je ne sens plus mon dos ni mes bras, ni mes cuisses, ni mes jambes, ni mes fesses. Les doigts se succèdent pour fouiller mon anus. Mes testicules sont agrippées, broyées, caressées, léchées parfois. On profite de mes mouvements - de si faible amplitude soient-ils - pour me peloter les fesses ...
Je ne sais si c'est l'eau quasi glacée ou les gifles qui me réveillent, j'ai dû perdre conscience. Aussitôt je suis remis debout par la chef de bande, reconduit par la foule jusqu'au lieu choisi par ces dames pour leur orgie, recouché sur le dos, et remasturbé. Comme c'est un peu lent à venir, une des participantes se fend spontanément d'une pipe magistrale, qui me réveille complètement.
Enfin la dernière femme a joui de moi ! Je sentais la tension monter tout autour de moi, et j'en ai confirmation en entendant les hurlements sauvages de toute la bande. Il était temps, je n'en peux plus, je ne sais pas comment je vais pouvoir rentrer.
A ma grande surprise, la chef de bande s'approche de moi, m'aide à me relever et me conduit à la rivière. Elle me fait comprendre qu'il faut que je me lave, je lui obéis ; elle me présente alors une sorte de pullover et s'en sert pour me sécher ; finalement elle a de bons côtés.
Puis elle m'aide à revenir sur la berge, où je sors mes habits de mon sac ; je suis incapable de me rhabiller seul, elle m'aide.
Elle me demande alors d'où je viens, je lui fais signe en lui montrant le haut de la montagne. C'est plus porté par le groupe que marchant par moi-même que je remonte la pente ; je découvre alors qu'il y avait une autre façon d'arriver à la rivière.
Lorsque nous arrivons à la route, le soleil a disparu bien qu'il fasse encore jour.
Le groupe m'accompagne jusqu'à la route principale où se trouve une de leurs voitures ; la plupart sont venues à pied, comme moi. La chef de bande me demande où j'habite. J'hésite à répondre, craignant d'avoir encore à subir de nouveaux viols de leur part ; d'un autre côté je me sens incapable de rentrer à pied, même soutenu ; alors je réponds. Et je me retrouve à l'arrière de la voiture ... à côté de la chef de bande qui me tripote pendant le trajet. Arrivés à destination, elle me demande mon numéro de téléphone et je le lui donne ; elle le vérifie, satisfaite elle sort avec moi et je la laisse pénétrer dans la location. Elle demande alors à ses copines de venir la rechercher le lendemain ... je referme la porte et l'embrasse tendrement pendant qu'elle me déshabille en me traitant de salope.
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