Tout nu au cinéma

- Par l'auteur HDS Jolasuce -
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Tout nu au cinéma Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Tout nu au cinéma
Je m’étais engagé à raconter ma vie sexuelle d’une manière chronologique, mais je m’aperçois que ce sont mes souvenirs qui guident l’écriture de ces aventures. Par le passé, il y avait beaucoup de cinémas pornos qui ont fermé suite au développement des VideosK7 et DVD. Dans cette ville, il y avait une salle disparue depuis, où il y avait encore une ouvreuse qui vous plaçait, dans une salle en permanence obscure et où défilaient deux films successivement durant toute la journée qui débutait vers 10h. Ce n’était pas l’image que je venais chercher mais plutôt les rencontres sexuelles furtives et les plaisirs ainsi que les spermes partagés. Dans cette salle, où j’étais un habitué lors de mes déserts sexuels, j’ai beaucoup sucé mais j’ai été peu enculé (2 fois au maximum). Pourtant, il me reste un souvenir agréable, un jour, après une pêche à la quéquette infructueuse, je m’apprêtais à m’en aller et j’ai vu dans les rangées du fond, celle qui conduisait aux wc, une queue sortie, je me suis assis au côté de celle-ci pour lui faire son affaire. Je dégage mes fesses sans enlever le pantalon pour pouvoir couvrir mes outils de plaisir rapidement au passage de l’ouvreuse et pour ne pas me faire expulser. Mais le voisin, me m’ordonne de me mettre à nu, je baisse mon pantalon jusqu’aux chevilles, ce n’est pas suffisant, je dois l’enlever complètement. Mais il n’est toujours pas satisfait, il me dit d’ôter tous mes vêtements et de les jeter sur le siège arrière. Je n’avais jamais oser faire cela dans une salle de cinéma. De nos jours, dans les sex-shops il m’arrive de me promener nu sans aucun problème. Mais à cette époque ce n’était pas le cas, aussi très excité je me suis mis à nu et me suis débarrassé de mes fringues, le voisin a fait la même chose. Nous voila tous les deux à poils aux milieux des spectateurs. C’est alors que j’aperçois la lampe de l’ouvreuse, je veux me précipiter sur mes vêtements pour couvrir au moins mes parties génitales, mon maître du moment me l’empêche et me demande de ne pas cacher mon sexe avec mes mains, mais au contraire de l’exposer. Heureusement, l’ouvreuse n’est pas arrivée jusqu’à nous. L’esprit libre à nouveau, j’ai vu son engin fièrement dressé, je n’ai pas résisté à lui faire une fellation gourmande qu’il appréciait, tout en me caressant le dos et les fesses. Douce sensation que cette caresse. N’y tenant plus je me suis levé et empalé d’un coup sur son zob tendu au maximum. Et j’ai joué de la pompe avec une jouissance du cul phénoménale. Après cette séance du mouvement alternatif sans éjac, je me suis assis à ma place et je lui ai demandé de me prendre par devant, je levais mes jambes pour qu’il puisse prendre place et enfoncer sa queue dans mon anus exposé. C’était un de mes fantasme, me faire prendre par devant comme une fille, mes jambes se sont repliées autour de sa taille et il m’a longuement travaillé le cul. Moi assis, soumis entièrement à ses assauts, nos deux corps nus offerts en spectacle. Du porno live pour les spectateurs, nos voisins ne regardaient plus l’écran qui, avec la lampe de l’issue de secours jetaient une lumière faiblarde mais o combien érotique sur nos deux corps emboités. Pendant qu’il me pilonnait vigoureusement, mes mains accompagnaient ses fesses que je trouvais un peu molles. Lui, en même temps qu’il m’enculait, m’astiquait le poireau jusqu’à la jouissance, mais moi tellement pris par cette tige qui me pilonnait , je ne me suis pas rendu compte que je jouissais d’une manière puissante, mon sperme a giclé sur nos deux poitrines exposées. A ce moment, il m’a dit « moi aussi je viens » et m’a remplis de sa semence. Nous sommes restés quelques instant unis par sa queue en moi goûtant cet extase partagé. En ce moment, je me caresse la queue, tout en écrivant ce passage tellement il m’a donné du plaisir. Nous sommes séparés à regret chacun de son côté.

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