Toutes les chutes ne sont pas mauvaises

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Toutes les chutes ne sont pas mauvaises Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Toutes les chutes ne sont pas mauvaises
J’ai 24 ans, je m’appelle Léonie.



Jusqu’à il y a encore 1 an, ma vie était toute tracée. J’étais en couple depuis mes 17 ans avec mon amour de lycée. J’avais mon diplôme en poche et un poste dans une pharmacie où tous les collègues étaient sympathiques.



La vie à Paris n’est pas toujours rose mais on avait une bonne bande d’amis et mon fiancé avait hérité d’un joli petit appartement de sa grand-mère donc on était dans une situation confortable. Malgré tout, depuis un moment, j’avais trouvé que Franck avait un comportement un peu bizarre mais il venait de changer d’entreprise et je me disais que c’était ça qui le travaillait. Rien de bien méchant mais il était un peu plus fatigué, un peu moins attentif quand on parlait. Notre intimité en avait pâti un peu aussi.



Je crois que dans ces cas-là, c’est l’intéressé qui est le dernier au courant. En l’occurrence, tomber sur son fiancé au lit avec sa soi-disant meilleure amie, j’aurais aimé pouvoir l’éviter. Franck, habillé d’une serviette, m’a dit immédiatement qu’il ne savait pas comment me l’annoncer mais qu’il était amoureux d’elle, que c’était réciproque. L’appartement n’était pas à moi, mon nom n’apparaissait nulle part. Il a sorti des valises pour que je fasse mes affaires, juste comme ça.



Je pleurais comme une cruche, bien trop bouleversée pour réagir autrement que de remplir les valises. J’ai appelé une amie qui m’a proposé de m’héberger quelques nuits le temps que je retombe sur mes pieds.

Comme un malheur n’arrive jamais seul, j’ai appris le lendemain que sur notre bande d’amis qui compte 15 personnes, seuls 2 n’étaient pas au courant de leur liaison. J’ai compris immédiatement que leur amitié allait aller à Franck et sa nouvelle petite amie. Il est certain que c’étaient les 2 plus actifs à organiser les sorties entre amis et que l’appartement de Franck était l’un des points de chute les plus fréquents. Pourquoi s’embarrasser des états d’âmes de la pauvre Léonie ?



J’ai bien vu qu’ils étaient un peu honteux mais qu’ils n’allaient pas prendre mon parti. Ils disaient que ce sont des choses qui arrivent, que j’allais « rebondir » mais j’ai bien compris que ce serait sans eux. L’amie qui m’avait « généreusement » accueillie était en fait au courant depuis plus longtemps que tous les autres et Franck se doutait que c’est elle que j’allais appeler en premier. Il lui avait demandé de faciliter mon départ. Je me sentais trahie de toutes parts. C’était terrible. Je suis partie aussitôt de chez elle.



Heureusement, j’ai pu compter sur le soutien sans faille de mes parents, de mon frère aussi. J’ai réorganisé ma vie totalement. Je faisais une heure trente de transports en commun matin et soir et j’avais retrouvé ma chambre d’enfant. Les loyers étaient bien trop chers pour mon seul salaire.

Au bout de 10 mois comme ça, j’en ai eu marre. Sans loyer, ni participation à la nourriture que mes parents n’auraient jamais acceptée, je mettais beaucoup d’argent de côté. J’ai beaucoup discuté avec eux et ils m’ont convaincu que je devais quitter Paris. Ils avaient raison, évidemment, alors j’ai donné ma démission et j’ai fait une chose que je voulais faire depuis très longtemps mais qui n’avait jamais tenté Frank. J’ai loué un appartement pour tout le mois de septembre à la montagne. Le but était de me ressourcer et de faire des randonnées, réfléchir à l’avenir dans un cadre neutre.



Juste avant de partir, j’ai quand même eu la satisfaction de rencontrer l’un des 2 amis qui n’étaient pas au courant de l’affaire de Franck. Il m’a dit qu’il avait décidé de ne plus les voir très rapidement après notre rupture mais qu’il était quand même au courant que Franck et Marie avaient déjà rompu et que notre ancienne bande ne se voyait plus que très rarement et avec à chaque fois un certain malaise. Il était persuadé que la plupart des filles de la bande étaient jalouses de moi. Il m’a dit aussi que bizarrement, depuis notre rupture, les pneus de la voiture de Franck avaient souvent des fuites.

Il allait vraiment falloir que je dise à mon frère de se calmer avec ça. Il allait finir par se faire prendre… Mais j’allais en même temps lui faire un gros câlin…

Enfin, j’ai posé mes affaires dans un super petit appartement dans le centre-ville d’une jolie station à 1000m d’altitude d’où je pourrais partir en randonnée facilement.





ALEXIS



AIIIIEEE !!


Merde qu’est-ce que c’était que ça encore ?



Le cri venait d’un petit peu plus haut dans la montagne. Sans doute encore un touriste maladroit et mal préparé qui venait de se tordre la cheville. Ou pire, de se faire une fracture.



J’ai accéléré le pas.



J’ARRIVE ! NE BOUGEZ SURTOUT PAS !


Pas de réponse. Merde ! Je me suis mis à courir en me disant que finalement, je faisais bien de prendre mon nécessaire de secours dans mon sac à dos avec moi à chaque randonnée.





LEONIE



Mademoiselle !!


Hein ? quoi ? Je suis où là ?



Mademoiselle réveillez-vous ! restez avec moi !
Hein ? Que…
C’est ça ! regardez-moi !


J’ouvre enfin les yeux et je vois un homme penché sur moi. Il ne me regarde pas dans les yeux. Ses mains sont affairées sur ma jambe. OOOOOOHHH !

Tout revient d’un coup ! Une pierre s’est dérobée sous mon pied et je suis tombée, mais pas de bien haut !



Qu’est-ce que…


Je n’ai pas le temps de terminer ma question qu’il m’interrompt avec autorité.



Alex : Comment vous appelez-vous ?
Léonie
Votre nom de famille ?
Durand. AIEEE !!
Quel âge avez-vous ?
24 ans
Quel jour est-on ?
Jeudi 14… non 15 septembre
C’est bien… Excusez-moi, je devais m’assurer que vous étiez maître de votre esprit… Est-ce que vous vous êtes cogné la tête ?
Non je… Qui êtes-vous d’abord ? AIEEE ! Arrêtez de me faire mal !


J’ai essayé de me redresser mais il a aussitôt mis sa main sur mon épaule pour me maintenir allongée. J’ai vu qu’il portait des gants et qu’il y avait du sang dessus.





ALEXIS



Restez allongée ! Je suis médecin. Je m’appelle Alexis Margoux. Je vous ai entendu crier et je n’étais pas trop loin de vous… Une chance !

Est-ce que vous avez mal ailleurs qu’à votre jambe ?
Je… Non je ne crois pas non.
Tant mieux.
C’est grave ?


Bon sang, comment répondre à cette question-là ? Si je n’étais pas passé par ce sentier très peu fréquenté à cette période-là, ça aurait pu être très grave oui !



Vous vous êtes fait une belle entaille ! Heureusement bien nette.


J’avais pu m’assurer avant son réveil qu’aucune artère importante n’était touchée mais elle avait quand même perdu du sang dans les presque 2 minutes qu’il m’avait fallu pour la rejoindre.



Ça fait mal !
Oui, je sais Léonie et j’en suis désolé mais je dois refermer au mieux la plaie. Je peux vous appeler Léonie ?
Oui, oui.


J’ai bien serré les bandages et je me suis enfin redressé pour la regarder. Elle semblait bien répondre aux stimulis, était cohérente.



Comment vous êtes-vous fait ça ?
Je marchais tranquillement et j’ai senti une pierre se dérober sous mon pied. J’ai perdu l’équilibre et juste glissé jusqu’ici.


Elle avait glissé sur une pente raide mais heureusement sans pierre saillante. Par contre, j’ai vu ce qui avait causé sa blessure 1 mètre plus haut. Un morceau de bouteille cassée dépassait de presque 10 cm de la terre. « Putain de touristes qui prennent la montagne pour un dépotoir »

Sans ce déchet, elle serait juste remontée tranquillement sur le sentier.



J’ai ressenti une grosse douleur et quand j’ai voulu regarder, j’ai vu du sang et je crois que c’est là que j’ai perdu connaissance.


J’ai arraché le morceau de verre de la terre et je l’ai sécurisé dans mon sac à dos et j’ai donné un calmant pour la douleur à Léonie car l’adrénaline allait quitter son corps et la douleur serait vite vraiment très forte.



Bon, maintenant, on va faire en sorte de vous redescendre Léonie !


J’ai pris mon téléphone.



Allo ! Max ? C’est Alex !

Arrête ! J’ai une vraie urgence là ! Je viens de faire les premiers soins à un randonneur… Une bonne entaille à la cuisse. J’ai strappé avec ce que j’avais sur moi mais il faut la ramener à mon dispensaire. Je peux la redescendre jusqu’à la Garenne. Tu m’attends là avec l’ambulance d’accord ?

J’estime qu’on y sera dans… 20 bonnes minutes…

Ok à tout à l’heure.




LEONIE



J’ai regardé mon « sauveur ». Si je n’avais pas si mal, je me sentirais chanceuse de le rencontrer. Alex avait…. Tiens ! je l’appelle Alex moi ? Bon, Alex avait beaucoup d’autorité et un visage assez dur, très bronzé. Je lui donnais 30 ans mais c’était dur à dire avec sa barbe naissante. Il était grand et costaud. Sa tenue de randonnée me permettait de voir des jambes vraiment musclées, tout comme ses bras d’ailleurs et son teeshirt épousait un torse puissant.



Léonie, Je vais devoir vous emmener jusqu’au point de rendez-vous. On va devoir marcher un peu.


Je me suis relevée sur une jambe en me demandant comment j’allais faire mais la douleur semblait se calmer rapidement, bizarrement rapidement même. Je me sentais même très bien.



D’accord c’est par où ?


Il m’a regardé en souriant.



Désolé mais vous n’avez pas le droit de poser le pied.
Mais… Comment on va faire alors ?


J’ai vu Alex accrocher mon sac à dos au sien.



Laissez-moi au moins porter mon sac à dos !
Non, il va faire un peu contre poids.


Contre-poids ?



Et là, il m’a tout simplement porté dans ses bras. Il était vraiment fort car il ne me semblait pas forcer beaucoup. Je me tenais bien à lui avec mes bras pour alléger mon poids mais je ne devais pas l’aider beaucoup.



J’ai regardé Alex et je l’ai trouvé très beau, viril.



J’ai beaucoup de chance d’être tombé sur vous non ?
Un peu oui !
Vous êtes trop modeste. J’ai énormément de chance. Mon sauveur est médecin, a un physique d’athlète et est beau comme un dieu…


Mon dieu qu’est-ce que je venais de dire ?????





ALEXIS



Oh merde !!!

Je lui donne un calmant à base de morphine et il faut qu’elle y réagisse à vitesse grand V. Il faut que je me dépêche avant qu’elle ne fasse ou dise encore plus de bêtises.

Malheureusement je n’ai pas cette chance. Elle me sourit en permanence, relâche ses bras qui m’aidaient un tant soit peu.



Pire ! Voilà qu’elle se met à caresser mes pectoraux d’un doigt. Je n’ai vraiment pas besoin de ça. Cette fille est magnifique, des cheveux de la blondeur des blés avec des yeux d’un vert profond. Elle est fine et musclée juste comme il faut. Et pour un homme comme moi qui est amateur de jolis seins, cette fille semble tout droit sortie de mes fantasmes.



Je peux au moins me concentrer sur l’endroit où je pose les pieds. Ça y est, je vois le parking et je vois l’ambulance qui arrive au même moment. Plus que 500 mètres. Elle se met à chanter maintenant ! Elle régit vraiment très fort à la morphine celle-là ! Au moins, elle n’a pas mal !



Martine et Max sont en train de déplier le brancard. On arrive et je la dépose dessus. Elle regarde Martine et Max.



Léonie : Salut vous deux ! Lui, c’est Alex ! Mon héros… Et il est trop beau ! Ahahahah ça rime je suis trop forte ! Ah oui… Et quand j’irais mieux je l’emmènerai au pieu ! Ahahahah !


Martine et Max me regardent, morts de rire alors que j’étire mes muscles endoloris.



Alex : J’ai peut-être un peu surestimé son poids en lui donnant le calmant. Je la croyais moins fine… La morphine lui fait un sacré effet.
Max : En tous cas tu lui as tapé dans l’œil !
Alex : Bon y va ! Je dois refermer sa plaie le plus proprement possible !


Je sentais que j’allais en entendre parler longtemps de cette patiente !!!!





LEONIE



Quand j’ai ouvert les yeux, j’étais dans un lit. J’avais l’impression d’avoir fait un rêve bizarre. Il était question de héros et de pieu, et je chantais et rigolais sans arrêt.

Je me suis redressée et j’ai eu la tête qui tournait un peu. Ma jambe était proprement bandée mais je ne comprenais pas qu’elle soit immobilisée aussi au niveau du genou. La pièce ressemblait fortement à une chambre d’hôpital et mon accident m’es revenu d’un coup en mémoire.



A ce moment, la porte s’est ouverte et je me suis retrouvée face à une montagne au sein des montagnes. L’homme était impressionnant. Alex !

Seulement là, il portait un pantalon et une chemise mais ça ne le rendait pas moins attractif à mes yeux.



Bonjour Léonie ! Vous êtes réveillée, c’est bien ! Comment vous sentez vous ce matin ?
Ce matin ?
Oui, vous avez dormi toute la nuit. Votre corps en avait besoin je crois !


Je me suis regardée et j’ai réalisé que j’étais en blouse comme une patiente d’hôpital. Est-ce qu’Alex m’avait déshabillé ?

Il a tout de suite vu mon regard.



Ne vous inquiétez pas, c’est Martine, l’infirmière et occasionnellement ambulancière qui vous a mis dans cette tenue.
Oh, d’accord. Euh… Pourquoi je suis bandée jusqu’au genou ?
C’est pour que vous ne puissiez pas plier la jambe. Vu l’endroit où se trouve la plaie, il faut immobiliser au maximum pour que la cicatrice soit la plus fine possible pour garder votre jambe aussi belle qu’elle l’est.
Je comprends, merci.


Alors il trouve mes jambes jolies ? C’est un bon point.



On a alors parlé de mon séjour, de ce que j’allais faire. La randonnée, c’était exclu pour moi ! Il fallait au moins 2 semaines sans plier la jambe, la poisse me poursuivait !



J’avais aussi très envie d’aller aux toilettes. Je me suis appuyée sur lui pour y aller. Le contact de ma main sur son bras m’a donné des frissons sur tout le corps.



Ça va ? Vous frissonnez !
Je crois que c’est juste de me mettre debout. Ça va passer.


En fait, ça aller passer quand il ne me toucherait plus, pas avant. Il me faisait un effet de dingue.

On a parlé longuement car cette période était plutôt calme pour lui professionnellement. Il y avait moins de touristes donc moins d’urgences à traiter. J’ai en fait appris plus tard que c’était un jour de repos pour lui.



Alex m’a ramené à mon appartement, heureusement un rez-de-chaussée. On était passé par la pharmacie pour prendre tout le nécessaire : médicaments, bandages, béquilles… Martine avait déjà mis dans son planning les visites pour mes soins.



Au moment de partir, j’avais un peu comme une boule au ventre. Il n’y avait plus de raison que je revoie Alex par la suite. Je l’ai remercié pour tout ce qu’il avait fait pour moi. Je dois avouer que le soir, j’étais complètement vannée. J’ai mangé devant la télé et ensuite je me suis écroulée dans mon lit.



Martine est passée le surlendemain vers 14h00 pour mes soins. La plaie était à l’arrière de la cuisse donc j’avais du mal à voir ce que ça donnait mais elle a pris tout en photo et j’ai trouvé qu’Alex avait fait du bon boulot. En pharmacie on voit souvent des plaies suturées bien pires que celle-là. Pourtant, ma plaie faisait bien entre 10 et 15 cm.



Enfin, Martine m’a regardé en souriant franchement.



Alors Léonie, est-ce que tu as-tu a réussi à amener dans ton pieu ton beau héro ?
Hein ?
Oh ! Tu ne te rappelles donc rien ! ni de ce que tu as dit, ni de ce que tu as fait ?
Quoi ? Qu’est-ce que j’ai dit ou fait ?


Elle a rigolé franchement et m’a chanté ma chanson.



Pour info, tu réagis fort à la morphine. Tu as fait rougir plus d’une fois notre doux Alex, je peux te le dire… La morphine t’a drôlement désinhibé !

Je ne sais pas combien de fois tu as dit à Alex que c’était ton héro, Tu as essayé de lui enlever son teeshirt, tu as même voulu lui montrer ton décolleté !
Oh bordel ! Je n’ai pas fait ça quand même ?
Si… Et tu as cherché à l’embrasser plein de fois aussi.


Elle était morte de rire alors que j’étais morte de honte.



Je te dis tout ça pour que tu saches à quoi t’en tenir quand même.
Je crois que je n’oserai jamais le revoir !
Tu aurais tort… J’ai bien l’impression que quand on parle de lui, tu as le même rouge aux joues qu’avant-hier. Pourtant, la morphine ne te fait plus d’effets depuis longtemps.



Martine a rassemblé ses affaires et a commencé à partir.



Alex est un gentleman. Et pourtant… Vu la façon dont il regardait tes lèvres, je peux t’assurer qu’il n’avait qu’une envie.


Et elle est partie en me laissant gamberger. J’avais ressenti une attraction immédiate et chaque contact me rendait toute chose. Est-ce que c’était vraiment pareil pour lui ? J’avais bien compris dans les paroles de Martine qu’il n’avait personne dans sa vie. Quel mal y aurait-il à profiter de mes 2 dernières semaines de vacances en compagnie d’Alex ?

Il me fallait un plan pour le revoir…





ALEXIS



Après 2 jours à me demander comment allait ma patiente préférée, j’hésitais vraiment à l’appeler.

J’avais senti une attraction réciproque très forte. J’avais encore en tête la vision de ses seins pointant sous la blouse, la peau douce de ses jambes délicatement bronzées. Mon sexe commençait à prendre du volume rien qu’en y pensant mais mon téléphone a sonné.



Allo !
Bonjour Alex, c’est Léonie, je ne vous dérange pas ?
Non, pas du tout, je pensais justement à prendre de vos nouvelles.
Ah ? euh… Je suis désolée de vous demander ça mais je ne connais personne ici et… Mon frigo se vide. Je ne sais pas à qui demander pour me faire quelques courses ?


Je n’allais pas laisser passer cette occasion.



Eh bien, si ça vous va, on peut se retrouver à l’entrée de la superette et vous me dites ce que vous voulez en vous baladant dans les rayons… Sauf si vous avez du mal avec les béquilles.
Non, je gère plutôt pas mal…
Oui, j’ai pu voir que vous êtes sportive.
Mais vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas ?
Non, pas du tout. Je ferme le cabinet à 18h00. Si on se rejoint à 18h15, ça vous va ?
C’est parfait pour moi. Mon planning s’est beaucoup allégé ces jours-ci.


On s’est retrouvé à l’heure prévue et je l’ai trouvée magnifique dans une petite robe à fleurs. Elle moulait son corps partout où il faut tout en étant fluide au niveau des cuisses. On a parcouru les rayons et elle choisissait au fur et à mesure. J’ai ramené toutes les courses dans son appartement.



Léonie, je me suis dit que vous deviez peut-être vous ennuyer un peu. Est-ce que ça vous dirait de venir manger avec moi ce soir ? Il y a un petit concert qui est organisé à « La Timbale » ce soir. Rien d’exceptionnel mais ça passerait la soirée.
Je dois avouer que ce serait sympa oui. L’appartement est bien mais bon… Par contre, j’aurais voulu vous faire à manger pour vous remercier aussi.
Vous n’avez pas à me remercier. Je n’ai rien fait de si spécial… Je vais juste passer chez moi pour me changer après ma journée de travail et je repasse vous prendre vers 19h45.
D’accord.


Elle s’est approchée de moi à cloche pieds et m’a déposé un gros baiser sur la joue.

C’est vraiment très gentil Alex.




LEONIE



La soirée a été magique. J’avais mon prince charmant pour moi toute seule, aux petits soins. Le concert n’était pas fameux mais de toute façon, on parlait beaucoup trop pour vraiment écouter. Je n’ai pas tout raconté de ma vie ou de ma rupture mais je sais qu’il a compris que j’étais en période de break professionnel et privé.

J’en ai beaucoup appris sur lui aussi. Originaire d’ici, il était parti faire médecine avec la ferme intention de revenir. Il ne se voyait pas vivre ailleurs. Il compensait les périodes calmes que sont le printemps et l’automne en étant urgentiste dans l’hôpital régional 2 jours par semaines.



Quand il riait, c’était un rire franc. Sa voix grave résonnait en moi, pleine de virilité et de charme. Tout ce que je découvrais de lui augmentait le désir charnel que j’éprouvais déjà pour lui.



Je surprenais des regards sur mes lèvres, mon décolleté. A un moment, j’ai juste passé ma main dans mes cheveux, tête légèrement en arrière et j’ai vu son regard glisser depuis mes lèvres sur la peau de mon cou et finir sur ma poitrine plus offerte que jamais à sa vue. J’ai vu sa pomme d’Adam monter puis descendre difficilement dans sa gorge. Il avait envie de moi, c’était si évident ! Et j’avais dans le bas ventre une envie sourde presque douloureuse, besoin qu’on me touche ! Non ! Besoin qu’Alex me touche !!



Le concert s’est fini et Alex m’a raccompagné chez moi. J’avais juste une petite marche à monter à l’entrée de l’immeuble et j’ai failli perdre l’équilibre. Alex a juste posé sa main autour de ma taille pour me soutenir. Je me suis tournée et avec la différence de hauteur de la petite marche, nos yeux étaient exactement à la même hauteur. Sa main large et chaude était toujours sur ma taille. Son autre main a caressé ma joue, remis une mèche de cheveux derrière mon oreille. Nos lèvres étaient à quelques cm l’une de l’autre. J’ai lâché les béquilles pour passer mes bras autour de sa nuque et on s’est embrassé, là, sur le pas de la porte. Le baiser a été long, doux, magique en ce qui me concerne. Mon désir était plus fort que jamais. Je sentais ses bras rassurants autour de moi.



Quand on s’est enfin séparé, c’était pour trouver une dame de 60 ans à peu près, qui attendait patiemment de me rendre mes béquilles qu’elle avait ramassées. Elle avait un sourire jusqu’aux oreilles. J’ai pris les béquilles, affreusement gênée.



Allez donc faire ça à l’intérieur Docteur !


Alex m’a soulevé comme une plume.



A vos ordres Mme Reinard.


J’ai ouvert tant bien que mal et il m’a porté dans le salon.



Alex, la chambre est au bout du couloir ! J’ai trop envie !


Arrivé dans la chambre, il m’a déposé sur mon lit et a enlevé sa chemisette.



Tu sais qu’avec ta jambe, on ne va pas pouvoir faire l’amour ? Trop risqué.
Mais…
Mais je vais bien m’occuper de toi !


Là-dessus, Alex m’a déshabillé lentement, avec précaution, avec un désir qui augmentait à chaque fois qu’il découvrait une nouvelle partie de mon corps.

Il a enlevé son pantalon et son caleçon. J’ai eu le temps de voir Alex nu, dans toute sa splendeur. Quel Mec ! Musclé partout où il faut, juste ce qu’il faut de poils pour rajouter à son incroyable virilité.



Il bandait comme un âne, littéralement et avait un sexe à l’image de son corps, puissant, long et large. J’en avais la respiration coupée. Depuis 2 jours, je fantasmais sur son corps, mais il était bien plus sexy que tout ce que j’avais imaginé.



Ses mains ont pris possession de mon corps. Sa bouche s’est invitée aussi. Je respirais fort, gémissais parfois sous l’assaut de ses doigts si proches de mon sexe ou de mes tétons.



Alex !
Ton corps est si beau Léonie.
Mon dieu ! J’ai tellement envie de toi !
On ne peut pas ! Ta jambe ne doit pas bouger !
Tu en as envie aussi ! Je… Il faut…


Alex m’a embrassé, regardé intensément puis, il s’est glissé entre mes jambes et m’a souri avant de manger mon sexe. J’ai poussé un cri de soulagement, de plaisir. Enfin, il s’occupait de mon sexe. Mon corps était trop bien parti pour que je retienne quoi que ce soit. J’ai senti l’orgasme arriver, plus gros que tout ce que j’avais connu mais Alex a arrêté de me lécher, entraînant un cri de frustration de ma part.



Cette fois, il a recommencé mais en léchant mon clitoris alors qu’un doigt épais glissait en moi. J’ai crié de plaisir sous la violence de mon orgasme. J’ai mis un peu de temps à m’en remettre. Combien, je suis incapable de le dire mais ce que je sais, c’est que j’étais bien dans ses bras, la tête sur son torse, alors qu’il caressait mon dos tranquillement.



J’ai déposé des baisers sur ses pectoraux, ses côtes, son ventre. J’étais hypnotisée par le gland décollé de son ventre, énorme. Une goutte de son excitation perlait au bout. J’en étais si proche maintenant ! Ma main est passée sur ses bourses et son sexe a tressauté alors qu’Alex émettait un son rauque de désir. Ma petite main a saisi le braquemart et l’a branlé doucement.



Je me suis mise en appui sur un coude et j’ai léché son sexe, goûtant enfin son gland avant de le prendre dans ma bouche. Je ne voyais pas le visage d’Alex mais ses grognements de plaisir et les spasmes de son corps me montraient qu’il aimait ce que je faisais. J’ai branlé, léché, sucé, aussi bien que j’ai pu. Son sexe me fascinait. Pour la première fois de ma vie, je voulais sentir un homme jouir dans ma bouche. Si je ne pouvais pas l’avoir en moi, j’allais au moins le faire jouir !!! Une pensée bizarre m’est venue à l’esprit « si je lui donne suffisamment de plaisir, s’il jouit dans ma bouche, il sera à moi, il faut qu’il soit à moi ! » J’ai senti son sexe durcir, grossir, être pris de spasmes dans ma bouche alors j’ai branlé plus vite.



Léo… AAAHHH Léonie… C’est si bon ! Je vais jouir ! Arrêtes !
MMMH ! MMMH !
Léonie si tu n’arrêtes pas !!!!! AAAAHHHHH ! LEONIE ! MON DIEU !


J’ai obtenu ce que je voulais, une première giclée, puissante contre mon palais, suivie d’une autre, puis d’une autre avant de sentir que ça se calmait. J’ai sorti son gland de ma bouche. Son sperme a coulé dans ma gorge, récompense de mes efforts, alors qu’Alex gémissait encore. Il a poussé un cri plus fort quand je l’ai repris en bouche quelque secondes, comme pour m’assurer d’avoir tout eu.



Alex m’a attiré à lui pour m’embrasser très tendrement avant que je reprenne ma place sur son épaule et que je m’endorme. Vers 5h00 du matin, Alex m’a réveillé doucement.



Léonie, je suis désolé de te réveiller mais je dois aller travailler. Je suis de garde aux urgences pendant 2 jours. Je vais revenir tard demain soir. Je ne voulais pas partir sans te le dire.
Oh ! D’accord ! Merci !


Il a déposé un baiser sur mes lèvres qui avait un goût de trop peu.



Merci pour hier soir Alex !
Merci à toi aussi ! c’était incroyable !
Oui ! Tout à fait d’accord !
On se revoit quand je reviens d’accord ?
Oui.




ALEXIS



J’ai passé les 2 jours suivants à travailler. C’est très mal parlé pour les pauvres patients qui sont arrivés aux urgences en souffrant mais j’étais bien content d’avoir beaucoup d’occupation pendant ces 2 jours-là.



Sinon, je n’aurais fait que de penser à Léonie. Tout ce que j’avais découvert d’elle me troublait et m’attirait. Sa fellation m’avait laissé pantelant. Elle m’avait donné l’impression de me donner plus de plaisir avec sa bouche que toutes les femmes que j’avais pu connaître avant réunies.



Mon réel problème, c’est que je me voyais très bien tomber amoureux d’elle. C’était même probablement déjà le cas et elle repartait normalement à la fin de la semaine prochaine. Une fille m’avait déjà brisé le cœur à l’université. Je savais ce que ça faisait et la possibilité de revivre ça ne m’enchantait pas du tout.





LEONIE



Bravo ma petite !

J’étais venu dans une station reculée pour voir le moins de monde possible, me ressourcer en nature et réfléchir à mon avenir.



Résultat, je me retrouve en béquille, loin des sentiers que je voulais découvrir à penser sans arrêt à un homme, à vouloir être dans ses bras en permanence et le couvrir de baisers. Je voulais voir son sourire, entre son rire… Prendre du plaisir avec lui…



Je me baladais tranquillement dans le village et profitait de la douceur du temps. Les commerçants avaient dû se donner le mot car ils me saluaient et étaient gentils avec moi. J’aimais l’esprit de ce petit village qui devait grouiller de monde en plein été et en hiver mais où il faisait si bon vivre en arrière-saison.

Je me suis dit que je pouvais peut-être prolonger un peu mon séjour. De toutes façons, conduire 800km dans seulement une semaine était hors de question avec ma jambe.



Alex est rentré et m’a invité chez lui. Son chalet était parfait, douillet et moderne en même temps. Il manquait peut-être juste un peu de déco pour être tout à fait à mon goût mais j’aimais beaucoup le fait de ne pas voir de trace d’une main féminine.



On a mangé, rigolé, regardé la télé. On était lovés l’un contre l’autre et je me suis dit que c’était un chose que j’aimerais beaucoup faire tous les soirs.

Seulement, j’avais toujours dans un coin de la tête que tout allait se finir rapidement.



Alex…
Oui ?
Pourquoi tu es célibataire ?
Comment ça ?
Ben… Tu es bel homme, tu es drôle et intelligent… Médecin, et accessoirement héros de temps en temps… Tu ne veux pas de relations ?
Déjà, je ne pense pas mériter tous ces compliments. Ensuite, la dernière fille dont je suis tombé amoureux ne pensait pas ça apparemment.
Oh ! Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Dès le début, elle savait que je voulais vivre en montagne. Jamais elle ne m’a dit que ça la dérangeait, au contraire même… Seulement, à la fin de notre dernière année, elle m’a dit que la vie ici ne serait pas pour elle. Elle avait goûté à la ville et ne voulait plus me suivre…
Ça fait mal…
En fait, on s’est quitté en bons termes. Nos routes se sont tout simplement séparées. C’était compliqué au début, pour elle comme pour moi mais ça s’est arrangé avec le temps. Et toi, c’est quoi ton histoire sentimentale ?


Je lui ai tout raconté dans les moindres détails. Il a écouté patiemment.



Léonie, c’est bien pire que ce que j’ai vécu…
Depuis que je suis arrivée ici, je me sens bien… Et j’aime être avec toi Alex… Mon départ me fait peur !
Je sais. Moi aussi.


On est resté silencieux dans les bras l’un de l’autre longtemps mais ce n’était pas un silence pesant. On était bien comme ça. On profitait. Ça avait quand même cassé la dynamique érotique alors Alex m’a ramené à l’appartement. Je tombais amoureuse. Merde ! Chaque baiser me faisait voir des étoiles. Chaque fois qu’il me faisait rire, je craquais plus pour lui…



2 jours plus tard, j’ai pris mes béquilles pour aller le voir à son cabinet. J’ai eu beaucoup de mal à croire ce que je voyais. Alors qu’il sortait du cabinet, une jeune femme s’est accrochée à son bras en lui souriant et il l’a fait monter dans sa voiture.



J’ai alors entendu Martine parler à Max. « Ben dis donc, ça faisait longtemps qu’on ne les avait pas vu ensemble ces deux-là. Tu crois qu’ils vont se remettre ensemble ? »





ALEXIS



Bon sang mais pourquoi Léonie ne répondait pas ?



Elle devait partir dans 2 jours mais je sais qu’elle hésitait à rester plus longtemps. Je suis allée frapper à sa porte mais personne ne m’a répondu. En désespoir de cause, je suis allée voir Martine car elle devait encore lui faire quelques soins.



Tu sais où est Léonie ? Je n’arrive pas à la joindre.
Non, pas du tout. Je dois lui enlever les fils demain matin donc si tu veux, je lui dirais que tu veux la voir.
Je… D’accord. C’est vraiment important.
Il y a quelque chose entre vous ?
Je… Oui… En tous cas j’espère.
Dans ce cas-là, arrêtes de jouer sur les 2 tableaux. Ce n’est pourtant pas ton genre.
Hein ? comment ça ?
On a tous vu Marie hier soir. Vous aviez l’air de bien vous entendre, bras dessus, bras dessous même. Vous vous remettez ensemble ou pas ?
Mais non ! Enfin, si, mais pas sur ce plan-là. Ce n’est pas ce que tu crois. Oh merde ! Tu crois que Léonie nous a vu ?
Je n’en sais rien Alex… Mais j’aime bien cette petite. Bon, je vais te dire une chose que je sais. Ses parents sont arrivés… Je suppose pour pouvoir ramener sa voiture.
Il faut que je lui parle. Si elle m’a vu avec Marie et qu’elle a pensé comme toi…




LEONIE



Mes parents étaient à leur chambre d’hôtel quand Martine est arrivée pour les derniers soins et me rendre ma liberté. Je me suis allongée comme d’habitude.



Donc, ça y est, tu repars.
Oui. Demain matin.
Tu sais qu’Alex cherche à te voir depuis 2 jours.
Oui, je sais mais je ne veux plus le voir.
Est-ce que tu sais qu’il est très malheureux ?
Je suis persuadée qu’il va trouver quelqu’un pour le consoler très rapidement. C’est même apparemment déjà fait.
Tu l’as vu avec Marie, c’est ça ?
Oui. En tous cas, j’ai supposé que c’était elle.
C’est bien ce qu’on pensait. Tu devrais lui laisser une chance de s’expliquer.
Quel intérêt ? Je pars demain.
Au risque de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Il t’aime et tu l’aimes ! Pas la peine de le nier. Je t’aime beaucoup et je ne te dirais pas de lui laisser une chance de s’expliquer si je pensais qu’il te ferait du mal.

Bon, voilà, j’ai fini. Tu es libre de bouger comme tu veux mais vas doucement dans un premier temps d’accord ?
D’accord !


Environ un quart d’heure après que Martine soit partie, Alex a sonné. J’ai ouvert.



Est-ce que je peux entrer ?
Pourquoi faire ?
J’ai des explications à te donner. Tu dois me laisser une chance de te dire certaines choses.
D’accord.


Il s’est mis dans le canapé et a été déçu quand je me suis installée dans un fauteuil de l’autre côté de la table basse.



J’avais une bonne raison de voir Marie. Oui, c’est mon ex. Je t’ai dit qu’on était resté en bons termes. Le fait est qu’elle est très tactile comme fille. Je sais ce que tu as vécu et la dernière chose que je voulais, c’est que tu te sentes trahie.
C’est raté !
Il y a 3 jours, j’ai contacté Marie parce que je voulais demander quelque chose à ses parents. On est en bons termes et on se connait depuis toujours mais pour ce que je voulais leur demander, il valait mieux que leur fille soit présente et qu’ils sachent qu’elle n’avait pas de problème avec ce que je voulais leur demander. Surtout qu’il y avait un lien avec toi.
D’accord mais c’est quoi ce lien avec moi ?
Les parents de Marie tiennent la pharmacie où on a été ensemble. Dans quelques mois, la saison d’hiver va reprendre et comme tous les ans, ils vont galérer à trouver du personnel. Je voulais leur parler de toi… Je sais aussi qu’ils pensent vendre dans 2 ans maximum pour vivre près de leur fille. Ils sont prêts à t’embaucher dès que tu le souhaites.
Oh !
Je ne voulais pas t’en parler avant de savoir si c’était quelque chose d’envisageable.
Tu voudrais que je travaille ici ?
Je voulais juste essayer de faire en sorte de nous laisser une chance. Si tu pars…

J’aime passer du temps avec toi… Est-ce que… Est-ce que tu n’as pas eu l’impression qu’on pourrait être bien ensemble ? Plus que bien même ?


Je me suis levée, sans mes béquilles mais en boitillant un petit peu jusqu’à lui qui s’est levé aussi.



Je suis désolée d’avoir si mal réagi.
Après ce que tu as vécu, je comprends, je t’assure ! Mais je te jure que c’était juste une accolade amicale.
Donc… Tu cherchais un moyen de me faire rester ?
Oui, j’avoue ! Si tu préfères, on peut aller lentement mais je m’en voudrais de ne rien tenter.


On s’est embrassé longuement, et bien entendu, c’est ce moment-là que mes parents ont choisi pour entrer dans l’appartement.



Maman : OH ! Désolé !
Moi : Non, non ! Restez ! Maman, papa… Je vous présente Alexis.
Papa : Oh, c’est vous le médecin qui l’avez sauvée !
Alex : Sauvée, c’est un bien grand mot mais disons que j’étais au bon endroit et au bon moment pour lui venir en aide… Et faire sa connaissance.
Moi : Je… Je sais que c’est soudain et que vous avez fait beaucoup de route mais… Je crois que je vais rester encore un peu.
Maman : tu vas vivre où ?
Moi : Je n’ai pas encore tout planifié pour être honnête. Alexis vient de m’apprendre qu’un poste dans la pharmacie du village était disponible bientôt.
Alexis : Pour le logement, au pire, les propriétaires de la pharmacie ont toujours quelque chose de disponible pour les employés saisonniers. Ce sont des amis de longue date. Le logement est bien.
Papa : D’accord, si c’est ce que tu veux Léo.


Alexis s’est excusé et nous a laissé. Papa, qui avait commencé la veille à mettre des affaires à moi dans les voitures, est retourné les chercher. Maman et moi, on se raconte tout donc je m’attendais à un interrogatoire en règle.



Maman : Donc… Avec Alexis ?
Moi : Je dois voir si ça peut marcher entre nous maman mais… J’aimerais bien.
Maman : D’accord. Tu me racontes un peu ?


Je lui ai tout raconté. Enfin presque tout.



Maman : Il a l’air d’un type bien. Je suis contente pour toi… Est-ce que « tout » son physique est proportionné ?
Moi : Maman !
Maman : Ok, ok. Je ne dis plus rien.


Papa est revenu chercher maman pour une randonnée mais il était trop tôt pour moi pour les suivre. Juste avant qu’elle passe la porte, j’ai attrapé sa manche pour murmurer dans son oreille « Tout est proportionné maman ! » Elle a rougi, puis éclaté de rire.



Ils ont décidé de rester quelques jours dans la région pour visiter avant de repartir. Ce soir-là, j’ai mangé avec mes parents et Alex et ils ont fait connaissance tranquillement avant qu’Alex ne me raccompagne. Seulement, il est passé devant mon appartement sans s’arrêter et m’a emmené chez lui. Je n’ai pas posé de question. J’avais envie de lui comme une folle. Il n’aurait pas quitté mon appartement quoi qu’il arrive.



Il m’a porté jusqu’à sa chambre et nos vêtements se sont vite retrouvés au sol. Son corps chaud et puissant contre le mien me mettait dans un état pas possible. En quelques caresses, sont sexe était une barre de fer contre mon ventre. Mes mains n’en avaient jamais assez de caresser ses flancs, son dos ou ses fesses. Mes tétons étaient durs et tendus contre son torse.



Ton médecin a décidé que maintenant, tu pouvais reprendre une activité physique tant qu’elle reste modérément intense pour ta jambe.
OH ! Le médecin a décidé ça !


Il a passé un doigt sur mon sexe déjà trempé.



Oui… Et pour le reste de ton corps, l’intensité n’est pas seulement possible, elle est obligatoire.


Il m’a déposé tendrement sur le lit. Il était doux dans ses mouvements en s’installant entre mes jambes. Son gland me paraissait énorme à l’entrée de mon sexe mais il est entré lentement, écartant doucement les parois pour se frayer un chemin toujours plus profondément. Il était épais, doux, puissant. Il allait toujours plus loin. Je lisais dans ses yeux son amour. Et je me suis rendu compte que je disais son nom en gémissant, sans cesse, à chaque poussée plus profonde. Comment le sexe pouvait-il être si bon ? Si satisfaisant ?





ALEXIS



Il fallait que je sois doux, que je me retienne d’aller trop fort. Il y aura d’autres fois pour baiser et être plus bestial. Cette fois, je voulais voir son plaisir d’être possédée, qu’elle sente mon amour et ma tendresse. Quand elle a commencé à chanter mon nom, perdue dans son plaisir grandissant, j’ai su que c’était elle que je voulais pour toujours avec moi.



Sa chatte enveloppait mon sexe dans un fourreau doux et étroit. Les sensations étaient fantastiques mais le visage d’extase de Léonie était bien meilleur encore.

J’allais tout faire pour la faire jouir encore et encore et qu’elle veuille me faire l’amour jusqu’à ce qu’on soit vieux tous les deux. Elle était magnifique de sensualité. Son corps me rendait fou de désir. J’ai pris un téton en bouche et Léonie a plaqué ma tête contre sa poitrine, toujours plus demandeuse.



Enfin, j’étais entièrement en elle. Sa respiration était saccadée, ses yeux grands ouverts de surprise et de plaisir. J’ai fait quelques mouvements de pistons et j’ai été récompensé par ses cris de plaisir. J’ai pris un rythme et je me suis aperçu que je gémissais avec elle, prêt à exploser. Je ne me suis même pas posé la question de la contraception. Le plaisir était trop grand et les bras et la jambe valide de Léonie m’auraient de toute façon empêché de sortir d’elle. J’ai commencé à jouir au plus profond de sa chatte alors que Léonie jouissait plus fort encore. J’aurais cru que Léonie serait amorphe un moment mais elle se blottissait toujours plus contre moi, m’embrassait partout. En moins de 5 minutes de ce traitement, j’étais à nouveau dur.



Encore Alex ! Mon corps te veut encore mon amour. Tu es si bon en moi. Si gros !
J’ai joui en toi ! Il n’y a pas de problème ?
Non, je prends la pilule.
Parfait car il faut que je m’entraîne pour le jour où je te ferais un enfant.
OOOHHH ! OUIII !


Son désir avait augmenté d’un cran et elle frottait son clitoris sur mon gland.



Est-ce que c’est ce que tu veux ? Jouir en moi pour me faire une enfant ?
Oui. Bientôt mon amour. Je vais te donner le plus beau des bébés.
MMMMHHH !!!
Ou bien est-ce que tu voudras que je te prenne sauvagement en levrette ?
OOOOOHHH !!!
Ou comme maintenant, les yeux dans les yeux… Bien profond.


J’étais entré en elle d’une traite jusqu’au fond en la faisant crier de plaisir.



Comme ça ! Ce sera comme ça !
Mmmmmhh ! D’accord ma puce ! Tout ce que tu veux.


On a fait l’amour comme ça pendant un bon moment jusqu’à ce qu’elle me chuchote dans l’oreille entre deux gémissements de plaisir.



J’ai hâte mon amour !
De quoi ? Faire un enfant ?
Ça aussi oui… Mais j’ai hâte que ma jambe aille mieux.
Pourquoi ?
Pour pouvoir te chevaucher… Et m’assurer d’avoir tout ton sperme en moi…
OOOOHH ma puce je vais adorer.
Pour que tu me prennes en levrette ! Que tu me possèdes ! Que ta queue me fasse jouir encore et encore !
Mon dieu comment ton ex a-t-il pu te tromper ? Je t’aime.
Je t’aime Alex.


J’ai joui en elle et elle me regardait en souriant, fière de m’avoir excité à mort.





LEONIE



Je n’ai jamais dormi ailleurs que dans son chalet par la suite et j’ai tenu promesse… Dès que ma jambe a été complètement guérie.

Aujourd’hui, je gère la pharmacie avec l’optique de racheter l’officine bientôt. Mais je vais attendre un peu car mon ventre qui s’arrondit fièrement commence à me peser un peu…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci pour cette belle histoire ! Bien écrite, bien amenée, simple et cohérente. On vient ici pour l'excitation, mais l'amener aussi lentement et tendrement est magnifique. Encore !

Histoire Erotique
Jolie histoire emplie de romantisme et d’érotisme lors de la description de la première filiation je ressentais les succions et après tout le reste du texte j’ai vécu leur rapprochement jusqu’aux penetrations
Merci à l’auteur dans l’attente d’autres textes aussi agréable. D

Belle histoire, un peu de romantisme dans ce monde !
Pas facile à suivre les changements de personnages mais on s’y fait. J’ai commencé une histoire comme ça avec 2 points de vue.
Je cherche d’ailleurs une femme pour l’écrire à 4 mains, celle pour qui c’était prévu a décliné…
Partante ?
Jef



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