Traditions géniales 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Traditions géniales 2
Les deux femmes reviennent, Guth et Magritte se mettent à quatre pattes, Olav dit à Roger :
-Il ne faut pas qu'elles jouissent sinon le charme est rompu, donc soit rapide, il faut que tu alternes avec les deux orifices !
Roger se place derrière Guth et frotte son engin contre la chatte pour le remonter à l'anus. Il s'accroche à elle et pousse fortement l'anneau rectal, cède et avale le membre sur toute sa longueur. Roger donne de violents coups de reins, ses couilles frappent les fesses de la jeune soumise qui souffle comme un bœuf. Rapidement, il retire sa queue du cul et la plante dans la chatte très humide de Guth qui n'ose pas trop s'agiter par crainte de jouir. Roger change souvent d'orifice, la tension monte dans son corps. Soudain, il pousse un gémissement plus fort que les autres et jouit dans le ventre de Guth qui se tend comme un arc. Il se retire du corps de Guth. Quant à Olav, il jouit dans le cul de sa femme. Les hommes se regardent en souriant, Roger pose des questions sur cette tradition qu'il ne connait pas, Olav répond :
- Comme la vie est dure dans cette région reculée, c'est une tradition régionale méconnue d'ailleurs, lorsqu'elle est appliquée, on offre le gite et le couvert, à un inconnu dans le besoin, mon grand-père voyeur offrait en plus sa femme, mais avec certaine règle de pénétration. Mais sa femme ne pouvait pas jouir, c'était sa règle, si elle jouissait, il aurait eu l'impression d'être cocu. Quant à moi, pendant que tu t'occupais de ma fille, moi, je faisais la même chose à ma femme, je jouais l'invité !
Roger réplique :
-Mais elles sont frustrées, si elles ne jouissent pas !
Olav répond :
-Oui, mais rien n'interdit de le faire maintenant !
Roger regarde les deux femmes, Olav dit :
- Prends celle que tu veux, fais la grimper aux rideaux !
C'est Magritte qui devance sa fille, elle saisit la queue de Roger qui commencer à baisser la tête, et la branle doucement, Guth résignée, lui attrape les couilles et les malaxe à la limite de la douleur. Roger grimace, sa queue se redresse, elle palpite dans la main experte de Magritte, qui sent battre le sang dans la hampe, Guth se penche et gobe un testicule, elle suce avec gourmandise, pour Roger, c'est le bonheur total. Olav regarde en disant :
-Je crois qu'elles te veulent toutes les deux, ce n'est que rarement qu'elles ont un étranger à disposition, elles en profitent !
Roger bande comme un poney, il bascule Magritte sur le banc, lui ouvre les cuisses et plaque se bouche sur son abricot. Il suce et lèche comme un vorace, la femme ne retient as ses gémissements, elle appuie sur la tête de son amant en grognant de plaisir. Guth en attendant son tour, caresse les seins de sa maman, elle joue avec les boutons sensibles, les étire, les pince, les mordille, pour enfin les aspirer fortement. Magritte souffle comme un dragon, elle agite son bassin. Son clito est devenu énorme tellement Roger le malmène, elle se cabre et en poussant un long gémissement jouit fortement. Olav s'esclaffe :
-Ouah, comme tu fais jouir ma femme Roger, bravo !
Pendant que Magritte et encore sous le choc de la jouissance, Guth attire sur elle Roger. Elle lui offre son fruit juteux pour avoir les mêmes faveurs linguales que sa maman. Roger se démène comme un beau diable, il prouve qu'il est un bon amant. S langue agile s'enfonce profondément dans le cratère du volcan qui crache sa lave. Guth souffle, en même temps qu'elle gémit. Olav regarde émerveiller l'ébat, il s'approche de sa femme, et lui plante son glaive dans le ventre, elle pousse un gémissement de bête blessée pendant la pénétration brutale. La verge puissante voyage dans le ventre en prenant de la vitesse, cela n'est pas pour déplaire à Magritte qui agite son bassin en grognant de plaisir.
La chatte de Guth est une fournaise, elle rejette sa cyprine en continu, Roger se gave de jus en faisant un bruit étrange en déglutissant. Magritte subit les assauts de son mari en couinant fortement.
Guth se cabre en appuyant fermement sur la tête de Roger. Elle pousse un cri monstrueux, qu'elle étouffe en se mordant le poignet, sa jouissance est terrible. Elle se laisse retomber sur le banc en haletant. Roger agilement prend place entre ses cuisses restées ouvertes, et enfonce sa verge dans la vulve dégoulinante de cyprine. Il saisit les hanches de la jouisseuse et commence une violente défonce. Sa bite entre et ressort du ventre de Guth en la faisant gémir. Elle enlace la taille de Roger avec ses jambes et serre très fort. Prisonnier, il ne peut plus donner des coups de reins, il ne peut que subir. Mais que cela ne tienne, Guth entre en action, elle râle en donnant des coups de reins puissants. Sa chatte n'est qu'un brasier, elle grogne en donnant des coups de bélier rageurs. Soudain, dans un long gémissement, elle jouit une nouvelle fois en se cambrant fortement. Enfin, elle desserre son étau, Roger reprend le contrôle des coups de reins. Sa bite dure comme du béton envoie plusieurs décharges de sperme au fond du vagin brûlant. Il retire sa verge gluante du ventre accueillant. Guth comme une vorace se jette dessus et la suce comme une affamée, ses aspirations font geindre Roger, elle presse la hampe pour en recueillir la semence qui s'y cache encore. Sa langue agile monte et descend sur le mât de chair, pour récupérer le liquide visqueux qui le recouvre.
Olav défonce sa femme comme un soudard, elle jouit en s'accrochant à son mâle comme une pieuvre sur son rocher. Enfin, le bougre envoie la sauce. La chatte en sur-charge de sperme déborde. Olav retire son engin du ventre de sa femme qui continue de geindre.
-Il ne faut pas qu'elles jouissent sinon le charme est rompu, donc soit rapide, il faut que tu alternes avec les deux orifices !
Roger se place derrière Guth et frotte son engin contre la chatte pour le remonter à l'anus. Il s'accroche à elle et pousse fortement l'anneau rectal, cède et avale le membre sur toute sa longueur. Roger donne de violents coups de reins, ses couilles frappent les fesses de la jeune soumise qui souffle comme un bœuf. Rapidement, il retire sa queue du cul et la plante dans la chatte très humide de Guth qui n'ose pas trop s'agiter par crainte de jouir. Roger change souvent d'orifice, la tension monte dans son corps. Soudain, il pousse un gémissement plus fort que les autres et jouit dans le ventre de Guth qui se tend comme un arc. Il se retire du corps de Guth. Quant à Olav, il jouit dans le cul de sa femme. Les hommes se regardent en souriant, Roger pose des questions sur cette tradition qu'il ne connait pas, Olav répond :
- Comme la vie est dure dans cette région reculée, c'est une tradition régionale méconnue d'ailleurs, lorsqu'elle est appliquée, on offre le gite et le couvert, à un inconnu dans le besoin, mon grand-père voyeur offrait en plus sa femme, mais avec certaine règle de pénétration. Mais sa femme ne pouvait pas jouir, c'était sa règle, si elle jouissait, il aurait eu l'impression d'être cocu. Quant à moi, pendant que tu t'occupais de ma fille, moi, je faisais la même chose à ma femme, je jouais l'invité !
Roger réplique :
-Mais elles sont frustrées, si elles ne jouissent pas !
Olav répond :
-Oui, mais rien n'interdit de le faire maintenant !
Roger regarde les deux femmes, Olav dit :
- Prends celle que tu veux, fais la grimper aux rideaux !
C'est Magritte qui devance sa fille, elle saisit la queue de Roger qui commencer à baisser la tête, et la branle doucement, Guth résignée, lui attrape les couilles et les malaxe à la limite de la douleur. Roger grimace, sa queue se redresse, elle palpite dans la main experte de Magritte, qui sent battre le sang dans la hampe, Guth se penche et gobe un testicule, elle suce avec gourmandise, pour Roger, c'est le bonheur total. Olav regarde en disant :
-Je crois qu'elles te veulent toutes les deux, ce n'est que rarement qu'elles ont un étranger à disposition, elles en profitent !
Roger bande comme un poney, il bascule Magritte sur le banc, lui ouvre les cuisses et plaque se bouche sur son abricot. Il suce et lèche comme un vorace, la femme ne retient as ses gémissements, elle appuie sur la tête de son amant en grognant de plaisir. Guth en attendant son tour, caresse les seins de sa maman, elle joue avec les boutons sensibles, les étire, les pince, les mordille, pour enfin les aspirer fortement. Magritte souffle comme un dragon, elle agite son bassin. Son clito est devenu énorme tellement Roger le malmène, elle se cabre et en poussant un long gémissement jouit fortement. Olav s'esclaffe :
-Ouah, comme tu fais jouir ma femme Roger, bravo !
Pendant que Magritte et encore sous le choc de la jouissance, Guth attire sur elle Roger. Elle lui offre son fruit juteux pour avoir les mêmes faveurs linguales que sa maman. Roger se démène comme un beau diable, il prouve qu'il est un bon amant. S langue agile s'enfonce profondément dans le cratère du volcan qui crache sa lave. Guth souffle, en même temps qu'elle gémit. Olav regarde émerveiller l'ébat, il s'approche de sa femme, et lui plante son glaive dans le ventre, elle pousse un gémissement de bête blessée pendant la pénétration brutale. La verge puissante voyage dans le ventre en prenant de la vitesse, cela n'est pas pour déplaire à Magritte qui agite son bassin en grognant de plaisir.
La chatte de Guth est une fournaise, elle rejette sa cyprine en continu, Roger se gave de jus en faisant un bruit étrange en déglutissant. Magritte subit les assauts de son mari en couinant fortement.
Guth se cabre en appuyant fermement sur la tête de Roger. Elle pousse un cri monstrueux, qu'elle étouffe en se mordant le poignet, sa jouissance est terrible. Elle se laisse retomber sur le banc en haletant. Roger agilement prend place entre ses cuisses restées ouvertes, et enfonce sa verge dans la vulve dégoulinante de cyprine. Il saisit les hanches de la jouisseuse et commence une violente défonce. Sa bite entre et ressort du ventre de Guth en la faisant gémir. Elle enlace la taille de Roger avec ses jambes et serre très fort. Prisonnier, il ne peut plus donner des coups de reins, il ne peut que subir. Mais que cela ne tienne, Guth entre en action, elle râle en donnant des coups de reins puissants. Sa chatte n'est qu'un brasier, elle grogne en donnant des coups de bélier rageurs. Soudain, dans un long gémissement, elle jouit une nouvelle fois en se cambrant fortement. Enfin, elle desserre son étau, Roger reprend le contrôle des coups de reins. Sa bite dure comme du béton envoie plusieurs décharges de sperme au fond du vagin brûlant. Il retire sa verge gluante du ventre accueillant. Guth comme une vorace se jette dessus et la suce comme une affamée, ses aspirations font geindre Roger, elle presse la hampe pour en recueillir la semence qui s'y cache encore. Sa langue agile monte et descend sur le mât de chair, pour récupérer le liquide visqueux qui le recouvre.
Olav défonce sa femme comme un soudard, elle jouit en s'accrochant à son mâle comme une pieuvre sur son rocher. Enfin, le bougre envoie la sauce. La chatte en sur-charge de sperme déborde. Olav retire son engin du ventre de sa femme qui continue de geindre.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Linsee pour cette magnifique lecture très excitante et bandante...
Cyrille
Cyrille
Encore une histoire très chaude et très excitante .
Je pars en Scandinavie prochainement, je vauu ou w espérer tomber en panne.(lol)
bravo pour votre écriture , c’est toujours un plaisir de vous lire .. d’une seule main
Je pars en Scandinavie prochainement, je vauu ou w espérer tomber en panne.(lol)
bravo pour votre écriture , c’est toujours un plaisir de vous lire .. d’une seule main
Vivement la suite !!! Les nordiques sont chaudes... Et vous, Linsee, tres productive !
Lolo.
Lolo.