Traditions géniales
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Traditions géniales
En voyage au fin fond d'un pays nordique, Roger n'a pas le dieu mécanique avec lui, il se retrouve en panne de motoneige dans un coin perdu. Il est vingt heures, il fait un froid glacial. Cela fait déjà deux heures qu'il fait le pied de grue en s'agitant pour avoir moins froid. Heureusement, sur cette route rarement fréquentée, un véhicule passe. L'homme voit Roger faire du stop, il s'arrête et invite Roger à monter. L'homme qui parle très bien l'anglais, lui dit qu'il est trop tard pour pouvoir le dépanner, est qu'ils verront cela le lendemain, il l'invite chez lui pour la nuit. Après plus d'une heure de route sans jamais rencontrer personne, il arrive dans un coin perdu ou un chalet de rondin y est planté.
L'homme Olav présente sa femme, Magritte et sa fille Guth, à Roger. Les trois sont blonds, aux yeux bleus, les femmes ont de longs cheveux qui leur arrivent plus bas que les épaules. Olav, a un corps athlétique impressionnant. Le chalet est chauffé par une cheminée, de belles flammes l'illuminent et éclaire parfaitement la pièce principale. L'homme propose à Roger de faire un tour dans le sonna comme le recommande la tradition. L'homme se met nus et entre dans le sonna. Il verse de l'eau sur les pierres brûlantes pour faire beaucoup de vapeur. Roger se met nu et entre à son tour. Il s'étend sur un banc de bois quand tout d'un coup les deux femmes entrent entièrement nues et prennent places, elles aussi, sur un banc.
Roger sursaute, malgré la vapeur, on peut voir les formes sublimes des deux femmes, une timide érection se fait ressentir sur son bas-ventre, il se tourne pour que l'on ne remarque pas ce qui le gêne. Souvent de l'eau est jetée sur les pierres. Olva se lève et invite Roger à le suivre. Les deux hommes s'allongent chacun sur une table de massage, les femmes toujours nues s'avancent avec des huiles essentielles. Magritte étale l'huile sur le corps de Roger, en faisant de petits cercles rapprochés sur la peau encore fumante et humide. Les gestes lents deviennent rapidement un doux massage. Guth s'occupe de son papa, les deux femmes agissent comme pour un rituel avec des gestes bien calculés ni trop forts ni trop doux.
Les mains de Magritte glissent à l'intérieur des cuisses de Roger, elles montent jusqu'aux aines, frôlent la verge plusieurs fois. Les mains passent sur le ventre un instant avant de redescendre vers le mat de chair qui commence à dresser. Guth enduit la verge de son papa puis l'agite doucement un court instant avant de la décalotter. Elle verse de l'huile sur le gland et avec la paume de la main le frotte en appuyant légèrement dessus. Magritte fait de même avec Roger, une fois que le méat commence à perler, elle verse de l'huile sur les bourses et les triture longuement. La verge de Roger est dure comme du bois, toujours, comme dans un rite, minutieusement Magritte la branle en la décalottant à chaque descente de son poignet. Roger se met à geindre. Magritte cesse, et demande à Roger de changer de position, elle lui glisse un coussin sous le ventre. Guth fait la même chose avec son papa.
L'huile est étalée sur les dos, les fesses et les jambes. Les femmes semblent synchronisées, leurs gestes doux parcourent les corps fébriles, en faisant geindre doucement les deux hommes. Un filet d'huile et versé entre les lobes fessiers, le liquide coule dans la raie et arrose l'anus. Les doigts de Magritte tournent sur la rondelle brune en appuyant faiblement dessus. La première phalange disparait comme aspirée par le rectum. La femme fait un rapide va-et-vient puis retire l'intrus. Roger se cabre
Les doigts descendent pour atteindre les bourses velues. Magritte sait y faire, elle les presse un instant avant de les triturer longuement. Roger ne peut retenir ses râles de plaisirs. Enfin le massage cesse. Olav ferme les yeux en soupirant profondément. Les doigts agiles de sa fille sont très efficaces. Pour dire que c'est terminé, Guth donne une petite tape sur les fesses de son papa, qui ouvre les yeux. Les queues sont tendues, péniblement Roger descend de la table de massage, on l'invite à s'assoir sur un banc couvert de peau de bête. Les deux femmes prennent place sur la table. Olav commence à faire ce que lui a fait sa fille. Ses mains caressent les seins abondamment huilés, ses doigts tournent sur les aréoles grenelées en faisant dresser les mamelons. Les mains habiles descendent sur le ventre, le frotte longuement avant de plonger vers la vulve. Avec ses pouces, il pressent les grandes lèvres en les faisant glisser l'une contre l'autre. Il coince le clito entre ses pouces et le branle doucement, un très court instant.
Enfin, il fait mettre sa fille sur le ventre et lui masse minutieusement les dos et les fesses. Un doigt s'engage dans l'anus, fait un petit va-et vient pour aussitôt ressortir du puits. La main descend et atteint la vulve, il presse les grandes lèvres, jusqu'à ce que la vulve se mette à suinter. Enfin, maintenant, c'est au tour de sa femme de profiter de ses mains habiles. Guth se place sur le banc à côté de Roger, elle sourit en voyant sa queue tendue. Olav a terminé le massage, il regarde Roger et lui dit :
-Tu es ici chez toi, c'est la tradition, nous allons terminer le rituel !
Roger regarde Guth sans dire un mot. Olav fait un signe de tête à sa fille qui lentement saisit la verge de Roger, elle commence un petit branlage maison qui fait geindre l'invité. Elle décalotte le gland, pose sa bouche dessus, et en quelques coups de langues bien ajustées, elle en fait le tour du propriétaire, puis se met à titiller le frein. Elle aspire le gland et le suce comme une professionnelle. Roger ne résiste pas longtemps au traitement spécial auquel il a droit. Il envoie dans la bouche de Guth un flot de sperme. Rapidement, la jeune fille se redresse et disparait. Magritte aussi suce la queue de son mari, le bougre plus résistant met plus de temps pour jouir dans ma bouche de sa femme, qui avale sans rechigner la décharge gluante. Enfin Guth revient, elle tourne le dos à Roger et se penche en avant, saisit sa queue et en se redressant, la dirige vers son anus. Olav acquiesce de la tête. Guth descend son corps. Le gland appuie sur son muscle rectal, elle descend encore pour que le gland s'engage dans son rectum.
Une fois bien empalée, la jeune fille fait de son corps un ascenseur. Elle serre les dents, s'agite sur le pieu qui lui fore le rectum. Roger s'accroche à ses hanches et commence à donner de violents coups de reins. Magritte, après avoir disparu un instant, est de retour. Elle aussi offre à son mari son anus. Les deux femmes en chœur s'agitent sur les pieux. Les deux hommes ne tardent pas à remplir les culs de semence visqueuse. Les deux femmes, sans prendre leurs plaisirs, se désaccouplent et disparaissent à nouveau. Olav dit pourquoi que les deux femmes disparaissent comme ça. C'est qu'avant la sodomie, il faut faire une toilette anale, et après aussi. Car le rite n'est pas encore terminé. Roger ravale sa salive, il est aux anges.
L'homme Olav présente sa femme, Magritte et sa fille Guth, à Roger. Les trois sont blonds, aux yeux bleus, les femmes ont de longs cheveux qui leur arrivent plus bas que les épaules. Olav, a un corps athlétique impressionnant. Le chalet est chauffé par une cheminée, de belles flammes l'illuminent et éclaire parfaitement la pièce principale. L'homme propose à Roger de faire un tour dans le sonna comme le recommande la tradition. L'homme se met nus et entre dans le sonna. Il verse de l'eau sur les pierres brûlantes pour faire beaucoup de vapeur. Roger se met nu et entre à son tour. Il s'étend sur un banc de bois quand tout d'un coup les deux femmes entrent entièrement nues et prennent places, elles aussi, sur un banc.
Roger sursaute, malgré la vapeur, on peut voir les formes sublimes des deux femmes, une timide érection se fait ressentir sur son bas-ventre, il se tourne pour que l'on ne remarque pas ce qui le gêne. Souvent de l'eau est jetée sur les pierres. Olva se lève et invite Roger à le suivre. Les deux hommes s'allongent chacun sur une table de massage, les femmes toujours nues s'avancent avec des huiles essentielles. Magritte étale l'huile sur le corps de Roger, en faisant de petits cercles rapprochés sur la peau encore fumante et humide. Les gestes lents deviennent rapidement un doux massage. Guth s'occupe de son papa, les deux femmes agissent comme pour un rituel avec des gestes bien calculés ni trop forts ni trop doux.
Les mains de Magritte glissent à l'intérieur des cuisses de Roger, elles montent jusqu'aux aines, frôlent la verge plusieurs fois. Les mains passent sur le ventre un instant avant de redescendre vers le mat de chair qui commence à dresser. Guth enduit la verge de son papa puis l'agite doucement un court instant avant de la décalotter. Elle verse de l'huile sur le gland et avec la paume de la main le frotte en appuyant légèrement dessus. Magritte fait de même avec Roger, une fois que le méat commence à perler, elle verse de l'huile sur les bourses et les triture longuement. La verge de Roger est dure comme du bois, toujours, comme dans un rite, minutieusement Magritte la branle en la décalottant à chaque descente de son poignet. Roger se met à geindre. Magritte cesse, et demande à Roger de changer de position, elle lui glisse un coussin sous le ventre. Guth fait la même chose avec son papa.
L'huile est étalée sur les dos, les fesses et les jambes. Les femmes semblent synchronisées, leurs gestes doux parcourent les corps fébriles, en faisant geindre doucement les deux hommes. Un filet d'huile et versé entre les lobes fessiers, le liquide coule dans la raie et arrose l'anus. Les doigts de Magritte tournent sur la rondelle brune en appuyant faiblement dessus. La première phalange disparait comme aspirée par le rectum. La femme fait un rapide va-et-vient puis retire l'intrus. Roger se cabre
Les doigts descendent pour atteindre les bourses velues. Magritte sait y faire, elle les presse un instant avant de les triturer longuement. Roger ne peut retenir ses râles de plaisirs. Enfin le massage cesse. Olav ferme les yeux en soupirant profondément. Les doigts agiles de sa fille sont très efficaces. Pour dire que c'est terminé, Guth donne une petite tape sur les fesses de son papa, qui ouvre les yeux. Les queues sont tendues, péniblement Roger descend de la table de massage, on l'invite à s'assoir sur un banc couvert de peau de bête. Les deux femmes prennent place sur la table. Olav commence à faire ce que lui a fait sa fille. Ses mains caressent les seins abondamment huilés, ses doigts tournent sur les aréoles grenelées en faisant dresser les mamelons. Les mains habiles descendent sur le ventre, le frotte longuement avant de plonger vers la vulve. Avec ses pouces, il pressent les grandes lèvres en les faisant glisser l'une contre l'autre. Il coince le clito entre ses pouces et le branle doucement, un très court instant.
Enfin, il fait mettre sa fille sur le ventre et lui masse minutieusement les dos et les fesses. Un doigt s'engage dans l'anus, fait un petit va-et vient pour aussitôt ressortir du puits. La main descend et atteint la vulve, il presse les grandes lèvres, jusqu'à ce que la vulve se mette à suinter. Enfin, maintenant, c'est au tour de sa femme de profiter de ses mains habiles. Guth se place sur le banc à côté de Roger, elle sourit en voyant sa queue tendue. Olav a terminé le massage, il regarde Roger et lui dit :
-Tu es ici chez toi, c'est la tradition, nous allons terminer le rituel !
Roger regarde Guth sans dire un mot. Olav fait un signe de tête à sa fille qui lentement saisit la verge de Roger, elle commence un petit branlage maison qui fait geindre l'invité. Elle décalotte le gland, pose sa bouche dessus, et en quelques coups de langues bien ajustées, elle en fait le tour du propriétaire, puis se met à titiller le frein. Elle aspire le gland et le suce comme une professionnelle. Roger ne résiste pas longtemps au traitement spécial auquel il a droit. Il envoie dans la bouche de Guth un flot de sperme. Rapidement, la jeune fille se redresse et disparait. Magritte aussi suce la queue de son mari, le bougre plus résistant met plus de temps pour jouir dans ma bouche de sa femme, qui avale sans rechigner la décharge gluante. Enfin Guth revient, elle tourne le dos à Roger et se penche en avant, saisit sa queue et en se redressant, la dirige vers son anus. Olav acquiesce de la tête. Guth descend son corps. Le gland appuie sur son muscle rectal, elle descend encore pour que le gland s'engage dans son rectum.
Une fois bien empalée, la jeune fille fait de son corps un ascenseur. Elle serre les dents, s'agite sur le pieu qui lui fore le rectum. Roger s'accroche à ses hanches et commence à donner de violents coups de reins. Magritte, après avoir disparu un instant, est de retour. Elle aussi offre à son mari son anus. Les deux femmes en chœur s'agitent sur les pieux. Les deux hommes ne tardent pas à remplir les culs de semence visqueuse. Les deux femmes, sans prendre leurs plaisirs, se désaccouplent et disparaissent à nouveau. Olav dit pourquoi que les deux femmes disparaissent comme ça. C'est qu'avant la sodomie, il faut faire une toilette anale, et après aussi. Car le rite n'est pas encore terminé. Roger ravale sa salive, il est aux anges.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah les nordiques ! Elles aiment recevoir...
Linsee, vous allez encore vous faire critiquer pour votre récit !
Linsee, vous allez encore vous faire critiquer pour votre récit !
Une très belle tradition 😍😍
Cyrille
Cyrille